GoLDoZ a écrit :mael a écrit :bumpy a écrit :Je verrais plutôt le scénario ainsi:
1er temps: Tous les participants sont parfaitement au courant du fait que les insultes ne sont pas admises ici.
2ème temps: Les intervenants font valoir leur point de vue.
3ème temps: Le ton monte et les attaques personnelles commencent à fuser.
4ème temps: La modération espère que le bons sens reprendra le dessus.
5ème temps: Les insultes continuent de plus belle.
6ème temps: Les bornes sont dépassées et le fil est fermé.
:rolleyes ::p
Je suis sûr que c'est le scénario que cherche notre historien. Ça doit lui provoquer des frissons dans le bas du ventre...
Se poser en victime est une tactique récurrente du FN.
Enfin, tout le monde a cerné Historien, et comme Bumpy, je n'ai pas de temps à perdre ici. On verra si le sujet continue de dévier.
Insulter pour saboter un débat et pratiquer l'obstruction est une tactique récurrente des extrémistes de gauche. Aussi, si GolDoz n'a "pas de temps à perdre ici", ce fil a quelques chances d'échapper au "3ème temps" proposé par Bumpy : "Le ton monte et les attaques personnelles commencent à fuser"
En-effet, GolDoz est bien le premier à s'être livré à des attaques personnelles (faute d'être capable d'argumenter) sur le fil "Bruno Roger Petit sévèrement taclé".
Chacun peut s'en rendre compte en reprenant ce fil de discussion et en constatant que le premier dérapage venait bien de l' "administrateur" GolDoz, qui se livrait aux premières attaques personnelles sur un des participants du fil, dans ces termes :
"En lisant les articles, j'avais compris que "Historien" (à deux balles) était du FN. Dénoncer le discours d'un gugusse qui s'oppose à un autre gugusse sous prétexte que le second est extrémiste est bien une manip frontiste. Même si le second discours est aussi idiot que le premier..."
Outre le collage d'étiquette politique, seul rôle auquel GolDoz se consacre ici (même s'il ne possède qu'une seule étiquette dans ses poches : FN), ce propos illustre bien la loi que j'énonçais précédemment : "le poisson pourrit toujours par la tête".