Ben...je fais pas partie du club....photos a écrit :S'endormir dans le bruitCe n'est pas donné à tout le monde! D'après des chercheurs de Harvard, l'explication se trouve dans le cerveau. Le cerveau des bons dormeurs produit plus de fuseaux du sommeil. Ces petites salves d'ondes de rythme rapide surviennent pendant le sommeil lent léger. Générés par le thalamus, elles améliorent la stabilité du sommeil bloquant les sons extérieurs.
Questions existentielles - page 10
photos a écrit :S'endormir dans le bruit
Ce n'est pas donné à tout le monde! D'après des chercheurs de Harvard, l'explication se trouve dans le cerveau. Le cerveau des bons dormeurs produit plus de fuseaux du sommeil. Ces petites salves d'ondes de rythme rapide surviennent pendant le sommeil lent léger. Générés par le thalamus, elles améliorent la stabilité du sommeil bloquant les sons extérieurs.
Ben moi je ne peux pas faire de sièste sans la télé allumé, et si quelqu'un éteint la télé pendant ma sièste ben ça me reveille.
Bonjour Roger;rosierl a écrit :Ben moi je ne peux pas faire de sièste sans la télé allumé, et si quelqu'un éteint la télé pendant ma sièste ben ça me reveille.photos a écrit :S'endormir dans le bruitCe n'est pas donné à tout le monde! D'après des chercheurs de Harvard, l'explication se trouve dans le cerveau. Le cerveau des bons dormeurs produit plus de fuseaux du sommeil. Ces petites salves d'ondes de rythme rapide surviennent pendant le sommeil lent léger. Générés par le thalamus, elles améliorent la stabilité du sommeil bloquant les sons extérieurs.
Evidement, si tu prend un somnifère! ::p par contre on pourrait fonder le club de ceux qui s'endorment devant la télé. ca marrive aussi de plus en plus souvent!
les feuilles changent de couleur
A l'automne, les jours raccourcissent et la température diminue.La chlorophylle, indispensable à la photosynthèse et responsable de la coloration verte des feuilles, a tendance à disparaître. Elle souffre du manque de lumière. Les feuilles passent alors au jaune, orange, rouge et tombent. ces autres couleurs sont associées à d'autres pigments masqués par la chlorophylle pendant l'été.Il s'agit des caroténoïdes pour le jaune-orange et des anthocyannes pour le rouge. Les conifères possèdent une couche protectrices indispensable pour résister aux froid et gardent leurs aiguilles vertes.
A l'automne, les jours raccourcissent et la température diminue.La chlorophylle, indispensable à la photosynthèse et responsable de la coloration verte des feuilles, a tendance à disparaître. Elle souffre du manque de lumière. Les feuilles passent alors au jaune, orange, rouge et tombent. ces autres couleurs sont associées à d'autres pigments masqués par la chlorophylle pendant l'été.Il s'agit des caroténoïdes pour le jaune-orange et des anthocyannes pour le rouge. Les conifères possèdent une couche protectrices indispensable pour résister aux froid et gardent leurs aiguilles vertes.
Ah ben çà alors! j'aurai pas cru! ;))photos a écrit :les feuilles changent de couleurA l'automne, les jours raccourcissent et la température diminue.La chlorophylle, indispensable à la photosynthèse et responsable de la coloration verte des feuilles, a tendance à disparaître. Elle souffre du manque de lumière. Les feuilles passent alors au jaune, orange, rouge et tombent. ces autres couleurs sont associées à d'autres pigments masqués par la chlorophylle pendant l'été.Il s'agit des caroténoïdes pour le jaune-orange et des anthocyannes pour le rouge. Les conifères possèdent une couche protectrices indispensable pour résister aux froid et gardent leurs aiguilles vertes.
Quelques chiffres:
parfum Chanel N°5: 1035€ le litre
Huile essentielle de lavande: 620€. il faut 150kg de lavande pour faire un litre d'huile.
Vinaigre Balsamique: 1290€. Il faut 70 l de moût de raisin pour moins de 3 litres.
Encre d'imprimante: 1900€ le litre
parfum Chanel N°5: 1035€ le litre
Huile essentielle de lavande: 620€. il faut 150kg de lavande pour faire un litre d'huile.
Vinaigre Balsamique: 1290€. Il faut 70 l de moût de raisin pour moins de 3 litres.
Encre d'imprimante: 1900€ le litre
vous voulez rétablir le contrôle des prix? B)photos a écrit :Quelques chiffres:parfum Chanel N°5: 1035€ le litre
Huile essentielle de lavande: 620€. il faut 150kg de lavande pour faire un litre d'huile.
Vinaigre Balsamique: 1290€. Il faut 70 l de moût de raisin pour moins de 3 litres.
Encre d'imprimante: 1900€ le litre
Chiffres (suite):
Chewing-gum dragée: 50€ le kilo.
Colle superglue: 2600€ le kilo.
Gelée royale: 2500€ le kilo.
Safran: 15 000€ le kilo.
Timbre poste standard: 5600€ le kilo
Thé en capsule Nestlé: 144€ le kilo
Billet de 500€: 450 000 le kilo.
Chewing-gum dragée: 50€ le kilo.
Colle superglue: 2600€ le kilo.
Gelée royale: 2500€ le kilo.
Safran: 15 000€ le kilo.
Timbre poste standard: 5600€ le kilo
Thé en capsule Nestlé: 144€ le kilo
Billet de 500€: 450 000 le kilo.
Jupes d'actrices aux enchères pour financer l'aide aux femmes battues
Des jupes de stars du cinéma, de la mode ou de la chanson ont été dispersées aux enchères jeudi à Paris, à l'initiative de l'association de défense des droits des femmes Ni putes ni soumises (NPNS) qui récoltait des fonds pour aider les femmes victimes de violences.
Sont notamment parties à 1.000 euros une jupe noire fendue de l'actrice Isabelle Adjani, marraine de l'opération, ou une jupe "printanière" mi-longue de l'actrice Carole Bouquet. Une jupe "bleu écolier" de chez Prada portée par l'actrice Sophie Marceau a été adjugée 1.500 euros. Les acheteurs étaient essentiellement des hommes.
Le produit de la vente servira à louer des appartements-relais pour des femmes victimes de violences conjugales, en attendant qu'elles retrouvent un toit.
L'organisation féministe avait choisi de faire de la journée internationale contre la violence faites aux femmes une "journée de la jupe", un vêtement que les femmes, selon NPNS, en particulier dans les cités mais aussi dans d'autres milieux, n'osent parfois pas porter de crainte de s'attirer des réflexions voire susciter des agressions.
"Mettre une jupe c'est un acte militant, dans le quotidien, sur le lieu de travail, dans la rue, chez soi, car aujourd'hui tous ces espaces sont des espaces de danger pour les femmes", a déclaré la présidente de l'organisation Sihem Habchi à l'AFP.
"On a touché près de 500.000 personnes sur Facebook et il y a 200 personnes par minute qui adhèrent", a-t-elle affirmé. "La jupe est bien un symbole de la résistance", selon elle.
NPNS, qui défend notamment les droits des femmes dans les banlieues difficiles, entendait ainsi marquer la journée contre les violences faites aux femmes sur le thème "en jupes et pas soumises".
Dans certaines banlieues françaises, il est devenu difficile de porter la jupe pour les jeunes filles, qui subissent des violences et des pressions des hommes, ce qui fait aujourd'hui de ce vêtement une marque de résistance à une régression des droits des femmes, selon cette association.
Sihem Habchi a rappelé les derniers chiffres de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ODNRP), selon lesquels 654.000 femmes ont déclaré avoir subi des violences physiques ou sexuelles en 2009 en France, une augmentation de 15% sur deux ans
Des jupes de stars du cinéma, de la mode ou de la chanson ont été dispersées aux enchères jeudi à Paris, à l'initiative de l'association de défense des droits des femmes Ni putes ni soumises (NPNS) qui récoltait des fonds pour aider les femmes victimes de violences.
Sont notamment parties à 1.000 euros une jupe noire fendue de l'actrice Isabelle Adjani, marraine de l'opération, ou une jupe "printanière" mi-longue de l'actrice Carole Bouquet. Une jupe "bleu écolier" de chez Prada portée par l'actrice Sophie Marceau a été adjugée 1.500 euros. Les acheteurs étaient essentiellement des hommes.
Le produit de la vente servira à louer des appartements-relais pour des femmes victimes de violences conjugales, en attendant qu'elles retrouvent un toit.
L'organisation féministe avait choisi de faire de la journée internationale contre la violence faites aux femmes une "journée de la jupe", un vêtement que les femmes, selon NPNS, en particulier dans les cités mais aussi dans d'autres milieux, n'osent parfois pas porter de crainte de s'attirer des réflexions voire susciter des agressions.
"Mettre une jupe c'est un acte militant, dans le quotidien, sur le lieu de travail, dans la rue, chez soi, car aujourd'hui tous ces espaces sont des espaces de danger pour les femmes", a déclaré la présidente de l'organisation Sihem Habchi à l'AFP.
"On a touché près de 500.000 personnes sur Facebook et il y a 200 personnes par minute qui adhèrent", a-t-elle affirmé. "La jupe est bien un symbole de la résistance", selon elle.
NPNS, qui défend notamment les droits des femmes dans les banlieues difficiles, entendait ainsi marquer la journée contre les violences faites aux femmes sur le thème "en jupes et pas soumises".
Dans certaines banlieues françaises, il est devenu difficile de porter la jupe pour les jeunes filles, qui subissent des violences et des pressions des hommes, ce qui fait aujourd'hui de ce vêtement une marque de résistance à une régression des droits des femmes, selon cette association.
Sihem Habchi a rappelé les derniers chiffres de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ODNRP), selon lesquels 654.000 femmes ont déclaré avoir subi des violences physiques ou sexuelles en 2009 en France, une augmentation de 15% sur deux ans
Maîtriser l'art du crachat, indispensable pour tout dégustateur de vins
Un crachoir, c'est toujours intimidant pour un débutant. Et un peu dégoûtant. Mais pour déguster le vin, il faut vaincre sa peur du ridicule et de s'en mettre partout, et maîtriser peu à peu l'art du crachat. D'efficace, ce jet peut même devenir élégant.
Le Salon du vigneron indépendant, qui a ouvert ses portes jeudi à Paris, organise depuis quatre ans un concours du "Cracheur d'or", pour dédramatiser la chose. "Pour mieux déguster, c'est vrai qu'il faut cracher, même si le terme n'est pas très agréable", remarque son président Xavier de Volontat.
Les organisateurs ont ainsi placé de petits seaux sur les tables des centaines de vignerons du salon, "pour éviter que les gens aient à se baisser pour cracher, et s'en mettent plein la chemise ou le pantalon".
Le risque, évidemment, c'est toujours que "ça coule sur le menton", reconnaît ce vigneron des Corbières. Mais l'organisation du concours permet de faire un peu de pédagogie, dans la légèreté.
Sur les quatorze candidats, une seule femme. Et un seul quadra: les autres sont tous plus jeunes, reflétant la fréquentation des salons du vin où les 22-30 ans, qui redécouvrent le vin goûté chez leurs parents, sont de plus en plus nombreux.
D'abord un questionnaire de culture générale, quelques vins à reconnaître et des odeurs à identifier. Et les cinq meilleurs candidats, après avoir observé un "crachat référent", démontré par un membre du jury, en proposent leur version.
"Je ne me suis pas entraîné, non. J'aurais peut-être du. Mais je déguste régulièrement des vins", confie Florent Kvot, 21 ans, venu de Metz.
La technique, il n'y en a pas, ou si peu. Il faut pincer un peu les lèvres, pour une ouverture minime, puis donner une impulsion au jet pour qu'il soit le plus net possible.
Parmi le jury, le dégustateur Michel Bettane, auteur d'un guide des vins pour lequel il goûte des milliers d'échantillons tous les ans, évoque les champions du crachat rencontrés à Xérès, en Espagne: "La longueur, la précision du jet est incroyable. Ils visent à presque deux mètres, c'est impressionnant".
Il affirme ne pas posséder "un très beau crachat", même s'il "crache beaucoup". Mais le plus difficile, à ses yeux, c'est surtout de "faire rouler le vin dans sa bouche sans l'ingérer : c'est ça qui n'est pas naturel".
Sa voisine Ophélie Neiman du blog Miss Glouglou, cracheuse d'élite, est chargée de la démonstration. Sa vidéo "Comment cracher avec élégance" a été consultée plus de 100.000 fois sur le site Daily motion. "Ca montre que ça intéresse. Certains n'osent pas, trouvent ça ridicule ou sale. Mais pour moi, la clé c'est de se sentir élégant et assumer pleinement qu'on doive recracher".
La tête haute, elle s'éxécute devant les finalistes. C'est net, propre, sans esbrouffe.
Les candidats suivent. Leurs crachats ressemblent pour l'un à une fontaine paisible et bouillonante ou encore à un jet d'eau furieusement sous pression. Le gagnant se devine d'emblée : le vin part du centre de sa bouche, d'un jet régulier et précis. "C'est fluide, c'est fin, c'est beau", note Miss Glouglou.
Cracheur d'or 2010, Eric Lebrasseur, informaticien de 38 ans, n'a qu'un seul conseil: "Il faut s'entraîner, beaucoup".
Un crachoir, c'est toujours intimidant pour un débutant. Et un peu dégoûtant. Mais pour déguster le vin, il faut vaincre sa peur du ridicule et de s'en mettre partout, et maîtriser peu à peu l'art du crachat. D'efficace, ce jet peut même devenir élégant.
Le Salon du vigneron indépendant, qui a ouvert ses portes jeudi à Paris, organise depuis quatre ans un concours du "Cracheur d'or", pour dédramatiser la chose. "Pour mieux déguster, c'est vrai qu'il faut cracher, même si le terme n'est pas très agréable", remarque son président Xavier de Volontat.
Les organisateurs ont ainsi placé de petits seaux sur les tables des centaines de vignerons du salon, "pour éviter que les gens aient à se baisser pour cracher, et s'en mettent plein la chemise ou le pantalon".
Le risque, évidemment, c'est toujours que "ça coule sur le menton", reconnaît ce vigneron des Corbières. Mais l'organisation du concours permet de faire un peu de pédagogie, dans la légèreté.
Sur les quatorze candidats, une seule femme. Et un seul quadra: les autres sont tous plus jeunes, reflétant la fréquentation des salons du vin où les 22-30 ans, qui redécouvrent le vin goûté chez leurs parents, sont de plus en plus nombreux.
D'abord un questionnaire de culture générale, quelques vins à reconnaître et des odeurs à identifier. Et les cinq meilleurs candidats, après avoir observé un "crachat référent", démontré par un membre du jury, en proposent leur version.
"Je ne me suis pas entraîné, non. J'aurais peut-être du. Mais je déguste régulièrement des vins", confie Florent Kvot, 21 ans, venu de Metz.
La technique, il n'y en a pas, ou si peu. Il faut pincer un peu les lèvres, pour une ouverture minime, puis donner une impulsion au jet pour qu'il soit le plus net possible.
Parmi le jury, le dégustateur Michel Bettane, auteur d'un guide des vins pour lequel il goûte des milliers d'échantillons tous les ans, évoque les champions du crachat rencontrés à Xérès, en Espagne: "La longueur, la précision du jet est incroyable. Ils visent à presque deux mètres, c'est impressionnant".
Il affirme ne pas posséder "un très beau crachat", même s'il "crache beaucoup". Mais le plus difficile, à ses yeux, c'est surtout de "faire rouler le vin dans sa bouche sans l'ingérer : c'est ça qui n'est pas naturel".
Sa voisine Ophélie Neiman du blog Miss Glouglou, cracheuse d'élite, est chargée de la démonstration. Sa vidéo "Comment cracher avec élégance" a été consultée plus de 100.000 fois sur le site Daily motion. "Ca montre que ça intéresse. Certains n'osent pas, trouvent ça ridicule ou sale. Mais pour moi, la clé c'est de se sentir élégant et assumer pleinement qu'on doive recracher".
La tête haute, elle s'éxécute devant les finalistes. C'est net, propre, sans esbrouffe.
Les candidats suivent. Leurs crachats ressemblent pour l'un à une fontaine paisible et bouillonante ou encore à un jet d'eau furieusement sous pression. Le gagnant se devine d'emblée : le vin part du centre de sa bouche, d'un jet régulier et précis. "C'est fluide, c'est fin, c'est beau", note Miss Glouglou.
Cracheur d'or 2010, Eric Lebrasseur, informaticien de 38 ans, n'a qu'un seul conseil: "Il faut s'entraîner, beaucoup".
Intéressant! Il vaut quand même mieux éviter de crâcher en l'air.photos a écrit :Maîtriser l'art du crachat, indispensable pour tout dégustateur de vinsUn crachoir, c'est toujours intimidant pour un débutant. Et un peu dégoûtant. Mais pour déguster le vin, il faut vaincre sa peur du ridicule et de s'en mettre partout, et maîtriser peu à peu l'art du crachat. D'efficace, ce jet peut même devenir élégant.
Le Salon du vigneron indépendant, qui a ouvert ses portes jeudi à Paris, organise depuis quatre ans un concours du "Cracheur d'or", pour dédramatiser la chose. "Pour mieux déguster, c'est vrai qu'il faut cracher, même si le terme n'est pas très agréable", remarque son président Xavier de Volontat.
Les organisateurs ont ainsi placé de petits seaux sur les tables des centaines de vignerons du salon, "pour éviter que les gens aient à se baisser pour cracher, et s'en mettent plein la chemise ou le pantalon".
Le risque, évidemment, c'est toujours que "ça coule sur le menton", reconnaît ce vigneron des Corbières. Mais l'organisation du concours permet de faire un peu de pédagogie, dans la légèreté.
Sur les quatorze candidats, une seule femme. Et un seul quadra: les autres sont tous plus jeunes, reflétant la fréquentation des salons du vin où les 22-30 ans, qui redécouvrent le vin goûté chez leurs parents, sont de plus en plus nombreux.
D'abord un questionnaire de culture générale, quelques vins à reconnaître et des odeurs à identifier. Et les cinq meilleurs candidats, après avoir observé un "crachat référent", démontré par un membre du jury, en proposent leur version.
"Je ne me suis pas entraîné, non. J'aurais peut-être du. Mais je déguste régulièrement des vins", confie Florent Kvot, 21 ans, venu de Metz.
La technique, il n'y en a pas, ou si peu. Il faut pincer un peu les lèvres, pour une ouverture minime, puis donner une impulsion au jet pour qu'il soit le plus net possible.
Parmi le jury, le dégustateur Michel Bettane, auteur d'un guide des vins pour lequel il goûte des milliers d'échantillons tous les ans, évoque les champions du crachat rencontrés à Xérès, en Espagne: "La longueur, la précision du jet est incroyable. Ils visent à presque deux mètres, c'est impressionnant".
Il affirme ne pas posséder "un très beau crachat", même s'il "crache beaucoup". Mais le plus difficile, à ses yeux, c'est surtout de "faire rouler le vin dans sa bouche sans l'ingérer : c'est ça qui n'est pas naturel".
Sa voisine Ophélie Neiman du blog Miss Glouglou, cracheuse d'élite, est chargée de la démonstration. Sa vidéo "Comment cracher avec élégance" a été consultée plus de 100.000 fois sur le site Daily motion. "Ca montre que ça intéresse. Certains n'osent pas, trouvent ça ridicule ou sale. Mais pour moi, la clé c'est de se sentir élégant et assumer pleinement qu'on doive recracher".
La tête haute, elle s'éxécute devant les finalistes. C'est net, propre, sans esbrouffe.
Les candidats suivent. Leurs crachats ressemblent pour l'un à une fontaine paisible et bouillonante ou encore à un jet d'eau furieusement sous pression. Le gagnant se devine d'emblée : le vin part du centre de sa bouche, d'un jet régulier et précis. "C'est fluide, c'est fin, c'est beau", note Miss Glouglou.
Cracheur d'or 2010, Eric Lebrasseur, informaticien de 38 ans, n'a qu'un seul conseil: "Il faut s'entraîner, beaucoup".
Le Prix Goncourt 2010 est disponible gratuitement sur Internet
Le dernier Prix Goncourt, le livre de Michel Houellebecq "La carte et le territoire" est actuellement disponible gratuitement sur la Toile, et ce sans l'accord de l'auteur.
Florent Gallaire est la personne qui a mis à disposition gratuitement le livre "La carte et le territoire" de Michel Houellebecq sur le site Rapidshare. Il estime en effet que l'oeuvre lauréate du prix Goncourt 2010 doit être "libre de droit", car son auteur a "plagié" une grande partie des articles de Wikipédia.
"Si vous modifiez, transformez ou adaptez cette création, vous n'avez le droit de distribuer la création qui en résulte que sous un contrat identique à celui-ci", explique Florent Gallaire. Seulement, Flammarion, la maison d'édition du livre de Michel Houellebecq, n'est pas d'accord avec cette idée.
Ainsi, le juriste Jean-Claude Patin, du côté de Flammarion explique : "Un auteur dispose de la maîtrise intégrale de son œuvre. Il choisit les conditions de divulgation au public. Monsieur Gallaire prétend qu’au motif d’un réemploi d’une œuvre déjà publiée sur Wikipédia, l’auteur serait contaminé par le régime juridique de publication de la première œuvre. Ceci est faux sauf si l'œuvre dérivée (la seconde) n’est pas une œuvre mais un simple plagiat". Pour Flammarion, le roman de M. Houellebecq est bien une œuvre originale d'après la loi, et ne peut donc pas être distribué gratuitement.
Le dernier Prix Goncourt, le livre de Michel Houellebecq "La carte et le territoire" est actuellement disponible gratuitement sur la Toile, et ce sans l'accord de l'auteur.
Florent Gallaire est la personne qui a mis à disposition gratuitement le livre "La carte et le territoire" de Michel Houellebecq sur le site Rapidshare. Il estime en effet que l'oeuvre lauréate du prix Goncourt 2010 doit être "libre de droit", car son auteur a "plagié" une grande partie des articles de Wikipédia.
"Si vous modifiez, transformez ou adaptez cette création, vous n'avez le droit de distribuer la création qui en résulte que sous un contrat identique à celui-ci", explique Florent Gallaire. Seulement, Flammarion, la maison d'édition du livre de Michel Houellebecq, n'est pas d'accord avec cette idée.
Ainsi, le juriste Jean-Claude Patin, du côté de Flammarion explique : "Un auteur dispose de la maîtrise intégrale de son œuvre. Il choisit les conditions de divulgation au public. Monsieur Gallaire prétend qu’au motif d’un réemploi d’une œuvre déjà publiée sur Wikipédia, l’auteur serait contaminé par le régime juridique de publication de la première œuvre. Ceci est faux sauf si l'œuvre dérivée (la seconde) n’est pas une œuvre mais un simple plagiat". Pour Flammarion, le roman de M. Houellebecq est bien une œuvre originale d'après la loi, et ne peut donc pas être distribué gratuitement.
non, merci! B)photos a écrit :Le Prix Goncourt 2010 est disponible gratuitement sur Internet Le dernier Prix Goncourt, le livre de Michel Houellebecq "La carte et le territoire" est actuellement disponible gratuitement sur la Toile, et ce sans l'accord de l'auteur.
Florent Gallaire est la personne qui a mis à disposition gratuitement le livre "La carte et le territoire" de Michel Houellebecq sur le site Rapidshare. Il estime en effet que l'oeuvre lauréate du prix Goncourt 2010 doit être "libre de droit", car son auteur a "plagié" une grande partie des articles de Wikipédia.
"Si vous modifiez, transformez ou adaptez cette création, vous n'avez le droit de distribuer la création qui en résulte que sous un contrat identique à celui-ci", explique Florent Gallaire. Seulement, Flammarion, la maison d'édition du livre de Michel Houellebecq, n'est pas d'accord avec cette idée.
Ainsi, le juriste Jean-Claude Patin, du côté de Flammarion explique : "Un auteur dispose de la maîtrise intégrale de son œuvre. Il choisit les conditions de divulgation au public. Monsieur Gallaire prétend qu’au motif d’un réemploi d’une œuvre déjà publiée sur Wikipédia, l’auteur serait contaminé par le régime juridique de publication de la première œuvre. Ceci est faux sauf si l'œuvre dérivée (la seconde) n’est pas une œuvre mais un simple plagiat". Pour Flammarion, le roman de M. Houellebecq est bien une œuvre originale d'après la loi, et ne peut donc pas être distribué gratuitement.
Une course en escarpins va opposer la France à la Grande-Bretagne
Une centaine de "fashion victimes" françaises et britanniques vont se mesurer pour la première fois à l'occasion d'une "course en escarpins" qui se disputera le 3 décembre, à Paris, dans l'ancienne piscine Molitor.
A Londres et à Paris, 32 équipes ont été sélectionnées lors des finales locales et sur Internet pour ce championnat inventé en France en 2007 et qui devient international.
Juchées sur des escarpins équipés de talons de huit centimètres au minimum contrôlés par un huissier de justice, les concurrentes s'affronteront lors d'une course en relais. Pour décrocher la première marche du podium, il faudra réaliser le meilleur temps sur une distance de 180 mètres.
Toutes les sortes d'escarpins sont homologuées pour ce match France/Angleterre qui s'annonce très disputé : l'escarpin simple dit "décolleté" et le "baby", mais aussi le "compensé" et le "salomé" avec leurs talons hauts et larges.
Pour les plus téméraires, le "stiletto" et son talon aiguille de 10 centimètres, "exigeant un entraînement intensif et une maîtrise parfaite pour un sprint réussi" selon les organisateurs, est également autorisé.
Une centaine de "fashion victimes" françaises et britanniques vont se mesurer pour la première fois à l'occasion d'une "course en escarpins" qui se disputera le 3 décembre, à Paris, dans l'ancienne piscine Molitor.
A Londres et à Paris, 32 équipes ont été sélectionnées lors des finales locales et sur Internet pour ce championnat inventé en France en 2007 et qui devient international.
Juchées sur des escarpins équipés de talons de huit centimètres au minimum contrôlés par un huissier de justice, les concurrentes s'affronteront lors d'une course en relais. Pour décrocher la première marche du podium, il faudra réaliser le meilleur temps sur une distance de 180 mètres.
Toutes les sortes d'escarpins sont homologuées pour ce match France/Angleterre qui s'annonce très disputé : l'escarpin simple dit "décolleté" et le "baby", mais aussi le "compensé" et le "salomé" avec leurs talons hauts et larges.
Pour les plus téméraires, le "stiletto" et son talon aiguille de 10 centimètres, "exigeant un entraînement intensif et une maîtrise parfaite pour un sprint réussi" selon les organisateurs, est également autorisé.
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