J'y étais la semaine dernière.
C'est vrai, c'était le foutoir, surtout à l'heure où les travailleurs venus de la banlieue sud désirent, et on les comprend, regagner leurs pénates le plus rapidement possible.
IL est plus raisonnable de demander son chemin à un voyageur qu'à un agent de la SNCF.
Le premier a suffisamment galéré les jours précédents pour se repérer "les doigts dans le nez, le second ne connaissant de cette gare que le chemin menant de la cantine aux toilettes puis au vestiaire.