Le psy reçoit sa maîtresse, la Sécu paie

14 Oct 2010, 17:57 0

Déontologie ?
Il semblerait que ce mot ne figure plus dans le vocabulaire de nombre de praticiens, plus enclins à multiplier le nombre de consultations sans trop se soucier du coût pour la collectivité.


Dans ce cas précis, la patiente est guérie.
Une guérison qui nous coûte cher, à tous, mais l'essentiel n'est-il pas qu'elle soit désormais capable de se passer du psy libidineux ?


Quant à l'Ordre des Médecins, il lui arrive d'être fort laxiste avec les confrères qui trichent avec les sous de la sécu...

14 Oct 2010, 18:14 0

Tout à fait, Alpha. Mais le Conseil de l'Ordre a tendance à protéger ses confrères, et comme celui-ci est exempt
d'erreur ou d'incompétence, ils se sont montrés plutôt indulgents à son égard et tant pis - c'est le moins qu'on
puisse dire - pour les pauvres contribuables ...

14 Oct 2010, 18:48 0

Tout à fait, Alpha. Mais le Conseil de l'Ordre a tendance à protéger ses confrères, et comme celui-ci est exempt
d'erreur ou d'incompétence, ils se sont montrés plutôt indulgents à son égard et tant pis - c'est le moins qu'on
puisse dire - pour les pauvres contribuables ...

Pourtant ce type a commis une grosse erreur et est manifestement incompétent, un psy digne de ce nom n'entretient pas de relations amicales et encore moins sexuelles avec ses patients, il doit être un miroir pour eux et rester dans ce rôle.

14 Oct 2010, 18:57 0

Absolument mais ce cas particulier reste un cas particulier tout comme lorsqu'on découvre un prof à tendance pédophile, tous les profs n'en sont pas pour autant des pédophiles, tous les musulmans vivant en France ne sont pas polygame, etc., etc.,...

14 Oct 2010, 19:00 0

Tout à fait, Alpha. Mais le Conseil de l'Ordre a tendance à protéger ses confrères, et comme celui-ci est exempt
d'erreur ou d'incompétence, ils se sont montrés plutôt indulgents à son égard et tant pis - c'est le moins qu'on
puisse dire - pour les pauvres contribuables ...

Pourtant ce type a commis une grosse erreur et est manifestement incompétent, un psy digne de ce nom n'entretient pas de relations amicales et encore moins sexuelles avec ses patients, il doit être un miroir pour eux et rester dans ce rôle.

Oui, mais certains miroirs ne réfléchissent pas toujours ::p

14 Oct 2010, 20:17 0

Tiens! poussons le raisonnement plus loin. de la part du psy c'est de l'amour tarifé; a partir du moment où la sécu rembourse on pourrait l'accuser de proxénétisme! B)

14 Oct 2010, 22:16 0

Tout à fait, Alpha. Mais le Conseil de l'Ordre a tendance à protéger ses confrères, et comme celui-ci est exempt
d'erreur ou d'incompétence, ils se sont montrés plutôt indulgents à son égard et tant pis - c'est le moins qu'on
puisse dire - pour les pauvres contribuables ...

Pourtant ce type a commis une grosse erreur et est manifestement incompétent, un psy digne de ce nom n'entretient pas de relations amicales et encore moins sexuelles avec ses patients, il doit être un miroir pour eux et rester dans ce rôle.

Oui, mais certains miroirs ne réfléchissent pas toujours ::p

::lol:
::lol:


il y a pourtant des solutions

14 Oct 2010, 22:36 0

S’en suivait un quart d’heure d’analyse "classique".

Où est le problème ? Il faisait son travail normalement !
La suite c'était "hors consultation", d'ailleurs la "patiente" ne s'est plainte que quand ça s'est arrêté...

14 Oct 2010, 23:24 0

C'est pas cher payé...

14 Oct 2010, 23:25 0

S’en suivait un quart d’heure d’analyse "classique".

Où est le problème ? Il faisait son travail normalement !
La suite c'était "hors consultation", d'ailleurs la "patiente" ne s'est plainte que quand ça s'est arrêté...

Mouais et si la dame avait été un monsieur, je suis sure que vous auriez été moins conciliant ;))

15 Oct 2010, 00:27 0

S’en suivait un quart d’heure d’analyse "classique".

Où est le problème ? Il faisait son travail normalement !
La suite c'était "hors consultation", d'ailleurs la "patiente" ne s'est plainte que quand ça s'est arrêté...

Je m'étonne que tu ne voies pas le problème. Un psy n'a pas à mélanger les genres, ça fausse toute la thérapie du patient.

Au contraire, ça faisait peut-être partie de la thérapie !
Bien que cela se passait après la consultation...

15 Oct 2010, 00:54 0

Ca ne peut jamais faire partie de la thérapie. :rolleyes

15 Oct 2010, 09:25 0

S’en suivait un quart d’heure d’analyse "classique".

Où est le problème ? Il faisait son travail normalement !
La suite c'était "hors consultation", d'ailleurs la "patiente" ne s'est plainte que quand ça s'est arrêté...

Je m'étonne que tu ne voies pas le problème. Un psy n'a pas à mélanger les genres, ça fausse toute la thérapie du patient.

15 Oct 2010, 10:10 0

Tout à fait, Alpha. Mais le Conseil de l'Ordre a tendance à protéger ses confrères, et comme celui-ci est exempt
d'erreur ou d'incompétence, ils se sont montrés plutôt indulgents à son égard et tant pis - c'est le moins qu'on
puisse dire - pour les pauvres contribuables ...

Pourtant ce type a commis une grosse erreur et est manifestement incompétent, un psy digne de ce nom n'entretient pas de relations amicales et encore moins sexuelles avec ses patients, il doit être un miroir pour eux et rester dans ce rôle.

J'ai seulement voulu dire que ce psy n'avait pas, apparemment, commis d'erreur de diagnostic ni mis en danger la vie
d'un patient ...

15 Oct 2010, 10:14 0

Tout à fait, Alpha. Mais le Conseil de l'Ordre a tendance à protéger ses confrères, et comme celui-ci est exempt
d'erreur ou d'incompétence, ils se sont montrés plutôt indulgents à son égard et tant pis - c'est le moins qu'on
puisse dire - pour les pauvres contribuables ...

Pourtant ce type a commis une grosse erreur et est manifestement incompétent, un psy digne de ce nom n'entretient pas de relations amicales et encore moins sexuelles avec ses patients, il doit être un miroir pour eux et rester dans ce rôle.

J'ai seulement voulu dire que ce psy n'avait pas, apparemment, commis d'erreur de diagnostic ni mis en danger la vie
d'un patient ...

Il a contrevenu aux règles de la psychologie et de la déontologie, qui sait s'il ne met pas la santé psychique de ses patients en danger.