L'idéologie des socialistes n'existe que depuis le XIXème siècle, alors que le monde judéo-chrétien, est arrivé tant bien que mal, à se réformer sans eux.
Ils se vantent de grèves, mais tout était fait avant même leur existence et souvent malgré eux ensuite.
Ce sont les "libéraux" qui ont posé bien avant eux ce qu'on appelait "la question sociale" et qui y ont répondu en établissant les lois fondatrices du droit social actuel. François Guizot qui ministre de Louis Philippe fait voter la loi réglant le travail des enfants dans les usines. C'est Frédéric Bastiat qui intervient à l'assemblée pour qu'on reconnaisse le principe du droit de grève. (C'est pourtant lui qui a écrit ce qui nous arrive : "les laborieux deviendront la dupe des paresseux). C'est Emile Ollivier qui baratine Napoléon III pour qu'on reconnaisse "le droit de coalition", ouvrant la voie au syndicalisme. C'est Wakdeck-Rousseau qui fait voter la loi attribuant aux syndicats la responsabilité civile.
Coluche avait raison dans le coup, ainsi que Léo Ferré qui voyait dans le socialisme l'antichambre de la dictature. Ces donneurs de leçons, moralisateurs en mots mais jamais par l'exemple, n'assoient leur pouvoir que sur la paresse, en vantant et favorisant les paresseux et tous leurs vices pour se faire élire. Chacun de leur passage au gouvernement a ruiné un peu plus le pays. Du million quatre cent mille clampins embauchés sur la dette par le Suicideur à la Francisque pour camoufler le chômage, que ses erreurs venaient de multiplier, nous avions récolté à l'arrivée de Sarkozy, rien qu'en salaires payés par les banques étrangères 1700 milliards de dette.
Sous leur influence et celle de leurs copains Trotskystes, l'éducation nationale produit les cancres à la pelle, cancres feignants et futurs paresseux : étant obligés de travailler à des tâches ingrates qui les ennuient. Il faut voir comme le proviseur tancera les parents qui suivant l'envie de leur gosse le laisseront faire un apprentissage, pour peu qu'il ne soit pas stupide. Il vaut pourtant mieux un plombier intelligent qu'un psychologue sans emploi. Mais un plombier travaille, le proviseur de gôôôche, préférera toujours le prétentieux qui crève de faim. Au moins il y aura de la main d'oeuvre pour aller tout casser.
Ne trouvez vous pas curieux que les plus manifestants se recrutent dans les universités sans débouchés alors que les écoles préparatoires et les grandes écoles préfèrent rester travailler ?