Les blagues 2018 - page 3
- Alors Laurent, raconte-nous ce que tu as fait pendant la récréation ?
- Je me suis amusé dans le bac à sable, Madame.
- Très bien, Laurent. Si tu réussis à écrire au tableau le mot "sable" sans faute, je te mets 20 en orthographe.
Laurent passe au tableau :
- C'est très bien, Laurent, félicitations.
L'institutrice se tourne vers un autre élève:
- Et toi Jérôme, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
- Je me suis amusé dans le bac à sable avec Laurent, Madame.
- Très bien, Jérôme. Si tu réussis à écrire au tableau le mot "bac" sans faute, je te mets 20 en orthographe.
Jérôme passe au tableau :
- Excellent, Jérôme !
L'institutrice se retourne :
- Et toi, Ahmed, qu'est-ce que tu as fait à la récréation?
- Alors, moi, m'dame, ji volu m'amisi aussi dans l'bac à sable, mais Jérome et Louren y z' ont pas volu. Y m'ont dit di m'casser ou sinon y m'pétaient la gueule !
- Mais, mon dieu ! C'est ignoble ! C'est la manifestation d'une discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause ! Et en plus, dans ma classe !
Écoute, Ahmed, si tu réussis à écrire au tableau "discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause", je te mets aussi un 20 en orthographe.
- Je me suis amusé dans le bac à sable, Madame.
- Très bien, Laurent. Si tu réussis à écrire au tableau le mot "sable" sans faute, je te mets 20 en orthographe.
Laurent passe au tableau :
- C'est très bien, Laurent, félicitations.
L'institutrice se tourne vers un autre élève:
- Et toi Jérôme, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
- Je me suis amusé dans le bac à sable avec Laurent, Madame.
- Très bien, Jérôme. Si tu réussis à écrire au tableau le mot "bac" sans faute, je te mets 20 en orthographe.
Jérôme passe au tableau :
- Excellent, Jérôme !
L'institutrice se retourne :
- Et toi, Ahmed, qu'est-ce que tu as fait à la récréation?
- Alors, moi, m'dame, ji volu m'amisi aussi dans l'bac à sable, mais Jérome et Louren y z' ont pas volu. Y m'ont dit di m'casser ou sinon y m'pétaient la gueule !
- Mais, mon dieu ! C'est ignoble ! C'est la manifestation d'une discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause ! Et en plus, dans ma classe !
Écoute, Ahmed, si tu réussis à écrire au tableau "discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause", je te mets aussi un 20 en orthographe.
Un clodo arrive devant le palais de l'Élysée et gare son vélo. Aussitôt un policier de service arrive et lui dit : "Vous ne pouvez pas laisser votre vélo ici, Vous êtes devant le palais présidentiel. Ici passent, le président, les ministres, les députés, les sénateurs et de nombreuses personnalité. "L'ivrogne le toise de la tête aux pieds et répond : "T'inquiète pas je vais mettre un antivol !"
Forte baisse des accidents en Corse, ces derniers ne traversant plus les rues de peur de trouver du boulot en face.
Le Lion, la Blonde et le Retraité.
Le propriétaire d'un cirque a passé une annonce pour trouver un dompteur de lion .
Deux personnes se présentent : un homme de bonne présentation, retraité, 70 ans passés,
et une superbe blonde de 25 ans.
Le patron du cirque reçoit les deux candidats et leur dit :
"Je n'irai pas par quatre chemins; mon lion est féroce et a tué mes 2 derniers dompteurs.
Si vous êtes très fort, je vous embauche.
Voici l'équipement : le banc, le fouet et le pistolet.
"Qui veut commencer ?"
La blonde dit :"moi j'y vais."
Elle fait fi de l'équipement, du fouet, du pistolet, et entre rapidement dans la cage.
Le lion rugit et s'approche de la blonde.
Celle ci commence à se déshabiller pour finir complètement nue, découvrant un corps superbe.
Le lion s'arrête immédiatement; il se couche devant elle et lui lèche
les pieds.
Petit à petit, il se relève et lui lèche tout le corps pendant un long moment !
Tout y passe, les cuisses, les fesses, les seins, le cou, la nuque, etc.
Epoustouflé, le patron du cirque n'en revient pas et dit :
" Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie !"
Il se tourne vers le retraité et lui demande :
"Est-ce que vous pouvez en faire autant monsieur?"
L'homme lui répond :
Évidemment ... mais d'abord, sortez le lion !
Le propriétaire d'un cirque a passé une annonce pour trouver un dompteur de lion .
Deux personnes se présentent : un homme de bonne présentation, retraité, 70 ans passés,
et une superbe blonde de 25 ans.
Le patron du cirque reçoit les deux candidats et leur dit :
"Je n'irai pas par quatre chemins; mon lion est féroce et a tué mes 2 derniers dompteurs.
Si vous êtes très fort, je vous embauche.
Voici l'équipement : le banc, le fouet et le pistolet.
"Qui veut commencer ?"
La blonde dit :"moi j'y vais."
Elle fait fi de l'équipement, du fouet, du pistolet, et entre rapidement dans la cage.
Le lion rugit et s'approche de la blonde.
Celle ci commence à se déshabiller pour finir complètement nue, découvrant un corps superbe.
Le lion s'arrête immédiatement; il se couche devant elle et lui lèche
les pieds.
Petit à petit, il se relève et lui lèche tout le corps pendant un long moment !
Tout y passe, les cuisses, les fesses, les seins, le cou, la nuque, etc.
Epoustouflé, le patron du cirque n'en revient pas et dit :
" Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie !"
Il se tourne vers le retraité et lui demande :
"Est-ce que vous pouvez en faire autant monsieur?"
L'homme lui répond :
Évidemment ... mais d'abord, sortez le lion !
tu m'étonnes !!! 
" un jour j'irais vivre en Théorie,
car en Théorie tout se passe toujours bien "
car en Théorie tout se passe toujours bien "
L'institutrice présente un nouvel élève arrivant du Japon :
- Les enfants, je vous présente un nouvel élève qui vient se joindre à vous. Il s'appelle Sakiro Suzuki.
Le cours commence.
L'institutrice :
- Bon, voyons qui maitrise l'histoire de la culture franco-américaine.
Qui a dit :
DONNEZ-MOI LA LIBERTÉ OU LA MORT ?
Pas un murmure dans la salle.
Suzuki lève la main :
"Patrick Henry,en 1775 à Philadelphie."
L'institutrice :
"Très bien Suzuki !"
Et qui a dit :
L’ÉTAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER
Suzuki lève la main :
"Abraham Lincoln, en 1863 à Washington .."
L'institutrice :
"Excellent, Suzuki !"
Maintenant, qui a dit :
"JE VOUS AI COMPRIS"
Suzuki lève la main et dit :
" Charles DE GAULLE !"
L'institutrice regarde les élèves et dit :
"Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connait l'histoire française et américaine mieux que vous !"
On entend alors une petite voix au fond de la classe :
"Allez tous vous faire enculer , connards de Japonais !"
"Qui a dit ça ?" S'insurge l'institutrice
Suzuki lève la main et, sans attendre, dit :
"Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982,lors de l'assemblée générale de General Motors."
Dans la classe plongée dans le silence,
on entend un discret :
"Y'm'fait vomir..."
L'institutrice hurle :
" Qui a dit ça ?"
Et Suzuki répond :
"George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un diner officiel à Tokyo en 1991."
Un des élèves se lève alors et crie :
" Pomp'moi l'gland !!!"
Et Suzuki, sans sourciller :
" Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington et DSK à une femme de chambre du Sofitel de New-York 2011"
Un autre élève lui hurle alors :
" Suzuki, espèce de grosse merde !"
Suzuki :
" Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002..."
Un autre élève crie plus fort :
- Casse toi pov'con !
Et Suzuki répond :
"Trop facile celle-là, Nicolas SARKOZY au Salon de l'Agriculture 23 février 2008 à Paris à un visiteur peu doué en grammaire"
La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd connaissance, la porte s' ouvre et le directeur de l' école apparaît :
" MERDE, je n' ai encore jamais vu un bordel pareil !"
Et Suzuki :
"Martine Aubry en arrivant à la tête du Parti Socialiste"
- Les enfants, je vous présente un nouvel élève qui vient se joindre à vous. Il s'appelle Sakiro Suzuki.
Le cours commence.
L'institutrice :
- Bon, voyons qui maitrise l'histoire de la culture franco-américaine.
Qui a dit :
DONNEZ-MOI LA LIBERTÉ OU LA MORT ?
Pas un murmure dans la salle.
Suzuki lève la main :
"Patrick Henry,en 1775 à Philadelphie."
L'institutrice :
"Très bien Suzuki !"
Et qui a dit :
L’ÉTAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER
Suzuki lève la main :
"Abraham Lincoln, en 1863 à Washington .."
L'institutrice :
"Excellent, Suzuki !"
Maintenant, qui a dit :
"JE VOUS AI COMPRIS"
Suzuki lève la main et dit :
" Charles DE GAULLE !"
L'institutrice regarde les élèves et dit :
"Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connait l'histoire française et américaine mieux que vous !"
On entend alors une petite voix au fond de la classe :
"Allez tous vous faire enculer , connards de Japonais !"
"Qui a dit ça ?" S'insurge l'institutrice
Suzuki lève la main et, sans attendre, dit :
"Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982,lors de l'assemblée générale de General Motors."
Dans la classe plongée dans le silence,
on entend un discret :
"Y'm'fait vomir..."
L'institutrice hurle :
" Qui a dit ça ?"
Et Suzuki répond :
"George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un diner officiel à Tokyo en 1991."
Un des élèves se lève alors et crie :
" Pomp'moi l'gland !!!"
Et Suzuki, sans sourciller :
" Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington et DSK à une femme de chambre du Sofitel de New-York 2011"
Un autre élève lui hurle alors :
" Suzuki, espèce de grosse merde !"
Suzuki :
" Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002..."
Un autre élève crie plus fort :
- Casse toi pov'con !
Et Suzuki répond :
"Trop facile celle-là, Nicolas SARKOZY au Salon de l'Agriculture 23 février 2008 à Paris à un visiteur peu doué en grammaire"
La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd connaissance, la porte s' ouvre et le directeur de l' école apparaît :
" MERDE, je n' ai encore jamais vu un bordel pareil !"
Et Suzuki :
"Martine Aubry en arrivant à la tête du Parti Socialiste"
C'est une poule qui rencontre un âne. Elle lui demande :
- Comment t'appelles-tu?
- Bob, dit l'âne
- Comment t'appelles-tu?
- Bob, dit l'âne
La scène se passe dans un hôpital psychiatrique .
Un nouveau pensionnaire tente de s'enfuir et deux infirmiers le ceinturent. Il hurle :
- Mais lâchez moi, je suis l'envoyé de Dieu !
Un autre pensionnaire qui était à proximité s'écrie:
- ne le lâchez surtout pas, je n'ai envoyé personne .
Un nouveau pensionnaire tente de s'enfuir et deux infirmiers le ceinturent. Il hurle :
- Mais lâchez moi, je suis l'envoyé de Dieu !
Un autre pensionnaire qui était à proximité s'écrie:
- ne le lâchez surtout pas, je n'ai envoyé personne .
Pascale a écrit : La scène se passe dans un hôpital psychiatrique .
Un nouveau pensionnaire tente de s'enfuir et deux infirmiers le ceinturent. Il hurle :
- Mais lâchez moi, je suis l'envoyé de Dieu !
Un autre pensionnaire qui était à proximité s'écrie:
- ne le lâchez surtout pas, je n'ai envoyé personne .
Pourquoi travestir la vérité et ne pas dire que cela s'est passé à l’Élysée?
Un jeune garçon arabe demande à son père : "c'est quoi ce chapeau bizarre que tu portes ?"
Le père : "c'est pour protéger de la chaleur intense du soleil."
Le garçon : "et cette longue robe flottante que tu portes ?"
Le père : "C'est une djellaba, comme je te l'ai déjà dit, non seulement il fait très chaud dans le désert, mais il y a aussi tout le temps du vent de sable, ma djellaba me protège tout le corps."
Le garçon : "mais c'est quoi ces chaussures moches que tu portes ?"
Le père : "ce sont des babouches, tu dois comprendre que si le sable du désert est très beau, il est aussi très chaud, ces babouches évitent de se brûler les pieds;"
Le garçon : "Dis moi alors..."
Le père : "oui mon fils ?"
Le garçon : "pourquoi portes-tu toujours ça alors que nous sommes en région parisienne ?"
Le père : "c'est pour protéger de la chaleur intense du soleil."
Le garçon : "et cette longue robe flottante que tu portes ?"
Le père : "C'est une djellaba, comme je te l'ai déjà dit, non seulement il fait très chaud dans le désert, mais il y a aussi tout le temps du vent de sable, ma djellaba me protège tout le corps."
Le garçon : "mais c'est quoi ces chaussures moches que tu portes ?"
Le père : "ce sont des babouches, tu dois comprendre que si le sable du désert est très beau, il est aussi très chaud, ces babouches évitent de se brûler les pieds;"
Le garçon : "Dis moi alors..."
Le père : "oui mon fils ?"
Le garçon : "pourquoi portes-tu toujours ça alors que nous sommes en région parisienne ?"
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