Questions existentielles - page 274

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Les gendarmes proposent un service « panne de réveil » à vos « amis »
20Minutes
ROOM SERVICE L’humour gendarmesque a encore frappé, du côté de Dunkerque cette fois, avec un post plein d’ironie proposant un service de réveil matinal aux délinquants
Dans « service public », il y a « service ». A Dunkerque, dans le Nord, la brigade de gendarmerie locale a ainsi décidé de mettre en place des formules à offrir à « vos amis » friands de surprises ou fâchés avec leur réveil. C’est gratuit, mais sans concession sur la qualité du service.

« Panne de réveil ? Visite surprise ? Surprenez vos amis avec la gendarmerie ! » La brigade de Dunkerque assure que, pour toutes les occasions, ses agents fournissent un « travail de qualité qui étonnera vos amis ! » Enfin, si toutefois vos « amis » sont des voleurs, des agresseurs ou des trafiquants de stupéfiants, précisent tout de même les militaires.

« Formule tout compris » et « pack premium »
Et si les futurs clients correspondent aux critères, ils pourront bénéficier de la « formule tout compris » qui comprend, entre autres, « le réveil matinal », « la léchouille du chien anti stup », « le coaching en réfection de la porte » ou encore « des repas et une couverture à usage unique ». Le pack premium propose même un « défèrement devant le magistrat » ou un « jugement ».
Pour autant, si les gendarmes sont fiers de la qualité de leurs services, ils préfèrent autant ne pas proposer de carte de fidélité, « même si plusieurs clients reviennent souvent ». Bien entendu, il s’agit d’ironie, inutile donc de solliciter la brigade de Dunkerque pour faire une surprise à tonton Patrick ou à mamie Micheline. A moins qu’ils ne correspondent aux critères.
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Cette université propose un cours pour apprendre aux étudiants à… ne rien faire
OuestFrance

Aux États-Unis, l’université Lawrence, dans le Wisconsin, propose depuis la rentrée 2022 un cours un peu spécial : on enseigne aux étudiants à ne rien faire et à se détendre. Une idée surprenante mais très sérieuse, qui a notamment permis à cette discipline insolite d’être la plus populaire de l’établissement.
Être étudiant et autorisé à ne rien faire ou, plus familièrement, à « glander », sans culpabiliser, c’est désormais possible aux États-Unis ! L’université privée Lawrence, située à Appleton, dans l’État du Wisconsin propose depuis la rentrée 2022 un cours un peu spécial. Son but ? Enseigner aux étudiants comment ne rien faire et se détendre. Une idée surprenante mais très sérieuse qui a notamment permis à ce cours de devenir « le plus populaire de l’établissement », rapporte le magazine américain Times, le 5 octobre 2022.
En suivant ce cours, les étudiants peuvent valider un crédit universitaire qui s’ajoutera à la note finale de leurs examens. « Ce n’est pas comme si ça allait tout changer dans l’obtention de leur diplôme. C’est une chose en plus, à laquelle les étudiants décident de consacrer du temps, détaille Constance Kassor, la professeure agrégée d’études religieuses qui est à l’origine de ce projet. Et le fait qu’un si grand nombre de nos étudiants aient choisi de le faire, montre, je pense, qu’il y a vraiment un besoin. »
Une « faim de déconnexion »

L’équipe enseignante de l’université est partie d’un constat : dans une société de plus en plus connectée, marquée par l’économie de l’attention, à cause notamment des réseaux sociaux et de la surexposition aux écrans, eh bien, réussir à ne rien faire, c’est devenu super dur !

Cette sursollicitation des temps modernes a notamment des conséquences sur le bien-être des étudiants. Selon une récente étude publiée dans The Journal of Affective Disorders, les problèmes de santé mentale sont en hausse sur les campus universitaires américains depuis plusieurs années : plus de 60 % des étudiants présentaient les signes d’un ou plusieurs problèmes de santé mentale en 2020-2021 contre 10 % en 2013.

Autre chiffre important, d’après le groupe de réflexion américain Pew Resarch Center : 46 % des ados se disent connectés constamment, contre 24 % en 2014-2015, d’où l’apparition d’un besoin vital de se déconnecter, d’une « faim de déconnexion », comme le formule Constance Kassor dans un entretien au magazine américain Times.

À quoi ressemblent ces cours ?

Les téléphones sont donc interdits à chaque début du cours hebdomadaire et, à tour de rôle, des professeurs dispensent des savoirs et apprentissages axés sur le bien-être. Par exemple, sont enseignées les vertus de la marche en pleine conscience. Il y a aussi des « cours de sommeil », l’université expliquant que les étudiants dormant au minimum 8 heures par nuit ont un meilleur taux de réussite en moyenne que les adeptes des nuits blanches. On invite encore les étudiants à sortir 30 minutes sans téléphone portable.

D’autres activités sont en projet, annonce Constance Kassor : « Nous avons quelqu’un qui vient enseigner le tai-chi [gymnastique héritée des arts martiaux chinois] la semaine prochaine. Nous allons faire un peu de méditation. Le cours s’intitule : « Ne rien faire », mais en fait, on fait pas mal de choses ! »
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Un retraité se lance un pari fou : relier toutes les gares de France en train
RTL
Yves Robert a décidé de passer par les 2.900 gares de France en train. Un long voyage en plusieurs étapes.
Passer par toutes les 2.900 gares du réseau ferroviaire français : c'est le défi insolite que s'est lancé Yves Robert, un fou de voyages. Âgé de 74 ans, ce retraité qui habite l’île d’Yeu a déjà fait un tour du monde, un tour de France à vélo et descendu la Seine en kayak.
Cette fois-ci, c'est grâce au train que Yves va voyager : ''J'avais récupéré un atlas des chemins de fer français, un bon livre que je feuilletais. En cherchant un défi à faire, je me suis dit mais oui, c'est vrai qu'en France il y a tout un réseau ferré, pourquoi pas le faire et s'arrêter dans toutes les gares ?".

Yves Robert doit parcourir au total 30.000 kilomètres de voies ferrées. Il prend donc des TER et des trains omnibus qui s'arrêtent dans les petites gares. Yves ne descend pas à chaque fois, mais il y passe : "Il y a des TER qui ne s'arrêtent pas partout, donc il m'arrive très souvent d'être obligé sur une ligne, la ligne Paris - Dijon par exemple, de prendre quatre TER différents pour pouvoir m'arrêter dans la trentaine de gares qu'il y a le long de cette ligne".

Encore un tiers des gares de France à découvrir
Yves a commencé le défi en 2019. Il lui reste moins d’un tiers des gares françaises à traverser et Yves espère donc finir l'année prochaine au plus tard.
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Xavier a une collection de 10 000 stylos publicitaires : "Chaque marque a une histoire"
Actu.fr
En près de 30 ans, Xavier a constitué une énorme collection de stylos publicitaires. Au milieu des milliers de crayons méticuleusement rangés, Actu Rennes est allé à sa rencontre.
Dans son appartement situé au nord-est de Rennes (Ille-et-Vilaine), Xavier nous accueille pour parler de sa collection : les stylos publicitaires. Dans des dizaines de boîtes en polystyrène, sorties pour l’occasion, sont rangés les plus de 10 000 crayons amassés au fil de trois décennies.

J'aime bien les crayons. Ça peut paraître banal, mais ça ne l'est pas du tout. Pour moi, ces stylos sont une trace du passé. Dans l'Histoire, la mémoire s'est d'abord transmise à l'oral, on ne pouvait pas l'écrire. Maintenant si, grâce à eux.

Xavier
Collectionneur de stylos publicitaires
Et ce n’est pas la seule raison avancée par cet électricien pour justifier cette gigantesque collection. « Derrière chaque crayon publicitaire, il y a une marque qui a son histoire. Ces crayons n’existent que parce que des hommes et des femmes sont allés au bout de leur idée commerciale et ont consacré leur vie à celle-ci. Puis, stylo publicitaire signifie souvent réussite de l’entreprise. Il y a aussi des marques qui en ont fait et qui ne sont pas connues du grand public, leur crayon est donc un objet historique », estime-t-il.
« Une culture familiale »
Âgé de 53 ans, c’est à la vingtaine que Xavier a commencé à les collectionner. « Ça a été de la folie, j’ai toujours aimé ça en vérité. C’est un peu une culture familiale. »

Tout petit, j'ai commencé par collectionner les couvercles des boîtes de camembert. Quand j'ai voulu m'en séparer, je n'ai pas mis longtemps à trouver preneur.

Xavier
Collectionneur de stylos publicitaires
Proche de sa grand-mère dès son plus jeune âge, il croit avoir pris ce réflexe avec elle. « C’est une personne que j’estimais beaucoup, elle était agricultrice, elle avait des phrases superbes comme ‘Quand on arrive sur terre, on ne connaît rien mais tout s’apprend’. Elle gardait beaucoup de choses car elle disait toujours que ça pouvait servir. »
Demander, simplement
Des stylos publicitaires, on n’en trouve pas à tous les coins de rue. Alors, Xavier a sa méthode. « Je n’hésite pas à les demander quand je sais que je ne les ai pas. Il m’arrive de voir une voiture de commercial et d’aller lui demander s’il n’a pas un stylo de sa marque à me donner pour ma collection. Au travail, je fais la même chose auprès des gens que je croise, ce qui amuse beaucoup mes collègues. »

Je ne veux pas en faire une question d'argent. Je n'en ai jamais acheté aucun. Récemment, une autre collectionneuse m'en a donné treize kilos. Il y avait plus de 1 200 stylos publicitaires.

Xavier
Collectionneur de stylos publicitaires
Le quinquagénaire n’hésite pas non plus à se rendre dans tous les salons professionnels, comme au salon du Bourget en 2013, pendant deux jours. « Je suis revenu avec plus de 1000 stylos », se souvient-il. Il lui arrive aussi d’échanger des crayons qu’il a en double contre un stylo publicitaire qu’il n’a pas : « J’en ai toujours deux ou trois sur moi pour ça. »
Un tri de plusieurs semaines
Entre notre premier contact et notre rencontre, de nombreuses semaines se sont écoulées pour laisser le temps à Xavier de trier et ranger les stylos publicitaires comme il souhaitait nous les présenter. « Je commence d’abord par trier en fonction de la couleur, puis de la forme. Quand le lot est trop important, je trouve un caractère supplémentaire pour les trier. »

Sa collection est personnelle, il ne cherche pas à la montrer. « En revanche, quand je dis que je collectionne les stylos publicitaires, souvent ça permet d’engager la conversation avec les gens. Au salon du Bourget par exemple, on m’a même invité plusieurs fois à boire ou à manger un petit quelque chose pour en discuter. »
Un moyen d’échanger avec les autres
Parfois, les gens sont interloqués par sa passion. D’autres se moquent : « À ceux-là, je leur dis que c’est la moins grave de mes maladies. » Pour lui, ce n’est pas une fierté, mais un moyen d’échanger. Il connaît l’histoire de chaque crayon ou encore celle des marques et aime les partager avec le plus grand nombre.

Lors de notre entretien, il ne peut s’empêcher de conter ces histoires. Les plus intéressantes concernent la manière de les obtenir. De même, certains stylos sont des pépites par leur style vraiment à part,
Il y a également ce style rouge avec son présentoir que Xavier souhaitait obtenir pour sa collection et qui était utilisé dans une pharmacie. « J’ai donc dit à la pharmacienne que je n’en avais rien à faire s’il n’écrivait plus, mais que je souhaitais l’avoir et le jour où il n’a plus fonctionné, elle me l’a donné. »

Malgré plus de 10 000 stylos publicitaires déjà collectionnés, Xavier ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, sans se fixer d’objectif.
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Une fillette découvre par hasard le dé truqué au mercure le plus ancien jamais trouvé
RTL
Le premier dé truqué au mercure jamais découvert a été trouvé par hasard par une fillette lors de fouilles archéologiques dans une maison gallo-romaine au Luxembourg.
C’est que révèle cette semaine l’archéologue Thomas Daniaux dans la revue Pallas, relayée par nos confrères de Sciences Avenir.
En 2000, au Luxembourg, un dé très ancien a été déniché par une fillette dans une villa gallo-romaine construite au Ier siècle ap. JC. Ce dé à une particularité : il est truqué !

La fillette participait avec un groupe scolaire à des fouilles avec des archéologues bénévoles dans la Villa Mageroy à Habay-la-Vieille, un village luxembourgeois. Sa truelle a cassé un petit objet : un cube en os, dont s’écoulait un liquide gris … du mercure !
Dans le dé finement creusé, le mercure servait à faire peser plus lourd le dé sur une face. Il fallait tapoter le dé discrètement pour faire s’écouler le mercure et alourdir le dé du bon côté. Les dés étaient une des passions des Romains et jouer aux dés pouvait faire gagner gros.
Mais là où la découverte est exceptionnelle, c’est que ce dé luxembourgeois est le plus ancien dé truqué au mercure jamais découvert. Comme le mercure n’a pas d’incidence sur le poids total du dé et que les archéologues ne s’amusent pas à casser des objets anciens, il leur était impossible de savoir si parmi les dés qu’ils avaient découverts, certains étaient truqués. Bien malgré elle, cette écolière âgée d’une dizaine d’années a permis en cassant le dé de dévoiler son contenu.

Les dés truqués au mercure existent toujours. Désormais, on sait que les gallo-romains utilisaient déjà cette technique pour se remplir frauduleusement les poches au jeu de dés.

Et puisqu’on parle de dé, "alea jacta est", l’allocution latine, peut se traduire par "le sort en est jeté" ou "les dés sont jetés". Alea peut se traduire par "sort" ou "dé". Le dé est donc vraiment l’objet du hasard par excellence, comme cette histoire le prouve !
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Charles, 25 ans, est le seul facteur de France à distribuer le courrier en barque
OuestFrance
Charles Defoort n’est pas un facteur comme les autres. Depuis plus d’un an, il est le seul en France à distribuer le courrier à bord d’une barque. Le jeune homme de 25 ans sillonne au quotidien le marais audomarois qui s’étend entre le Nord et le Pas-de-Calais. Une tournée atypique qu’il espère réaliser pendant plusieurs années.
Monter dans une barque, allumer le moteur et naviguer sur l’eau pendant des heures. Voilà le quotidien de Charles Defoort depuis plus d’un an. Non, le jeune homme de 25 ans ne part pas à la pêche ou à la découverte de la nature. Il est le seul facteur en France à distribuer le courrier à bord d’un petit bateau. Né à Hazebrouck (Nord), il effectue sa tournée quotidienne sur les rives du marais audomarois qui s’étend sur 15 communes à cheval entre le Pas-de-Calais et le Nord.
Tout était nouveau mais j’adore relever des défis »
Diplômé d’un BTS dans le management, Charles Defoort travaille à La Poste depuis 2018. « Je devais reprendre mes études à l’issue d’un premier contrat mais je ne suis jamais retourné à l’école finalement », nous confie-t-il. Pendant plusieurs années, il réalise des tournées traditionnelles en voiture ou à vélo. Mais en septembre 2021, sa direction lui propose de devenir le facteur du marais audomarois. « Une factrice avait été nommée avant moi mais elle avait un problème à l’épaule. Elle ne se sentait pas en mesure de diriger la barque, donc elle a préféré arrêter. »

Le jeune homme hésite à prendre la relève. « Puis j’ai fait une journée et j’ai adoré. » Il décide alors de troquer sa camionnette pour un bacôve en bois, bateau typique du marais, peint en jaune. Avant cela, il n’avait jamais conduit une barque. « Tout était nouveau mais j’adore relever des défis. » Il est formé pendant une semaine par un ancien facteur qui lui apprend les manœuvres. « Ce n’était vraiment pas évident au début ! Certaines boîtes aux lettres sont difficilement accessibles depuis la barque, on peut vite chuter. Mais j’ai rapidement appris. » Il nous assure qu’il n’est jamais tombé à l’eau. « Ce qui n’est pas le cas de certaines lettres… », souffle-t-il en rigolant.

Aucune adresse, aucun nom de rue
Aujourd’hui, le jeune facteur maîtrise à la perfection sa tournée sur l’eau. Tous les jours, du lundi au vendredi, il navigue à bord de sa barque pendant environ deux heures. Il dessert quatre communes : Saint-Omer, Salperwick, Tilques et Serques. Il remet le courrier aux habitants qui ne peuvent pas être desservis par la route. « Ils ne sont qu’une cinquantaine à vivre dans ce marais à l’année. Mais l’été, il y a plus de monde et je rends visite à environ 70 personnes. »
Charles Defoort connaît le prénom et le nom de chaque résident. Et il n’a pas vraiment le choix. « Ici, il n’y a pas d’adresse ou de nom de rue. Tout se fait au nom de chaque personne. Je sais exactement qui habite où. » Le jeune facteur doit également s’orienter seul sur l’eau. Il est obligé de retenir et de suivre un itinéraire précis pour ne pas se perdre dans le labyrinthe du marais. « Il faut se débrouiller, résume-t-il. Mais on s’y fait vite et c’est très agréable de travailler dans cet environnement. Je suis en totale autonomie, je vois des paysages magnifiques… L’été, je croise beaucoup de touristes, c’est très sympathique. »

Un lien spécial avec les habitants
Le professionnel réalise sa tournée en barque tout au long de l’année, explique France 3 Hauts-de-France qui a partagé une journée en sa compagnie. Qu’il pleuve ou qu’il vente. « Je ne peux seulement pas naviguer les jours de gel », nous précise-t-il. Dans ce cas, il dépose les colis, les lettres, les recommandés dans des boîtes aux lettres installées à l’extérieur du marais. « J’ai le numéro de tous les habitants alors je les préviens et ils se déplacent pour les récupérer. »

C’est justement cette proximité directe avec les résidents que Charles Defoort aime par-dessus tout dans son métier. « Nous avons un lien très spécial car ce sont des gens qui sont isolés de tout. » Il aime notamment rendre visite aux personnes âgées. « Je suis parfois la seule personne qu’elles voient dans la journée. Alors je prends mon temps pour discuter avec elles. » Aujourd’hui, le Nordiste se sent « très bien » sur son bateau. Et il n’échangerait sa place « pour rien au monde ».
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Le concours de la pelouse la plus moche organisé en Suède
INSOLITE En récompense, le gagnant a pu recevoir les conseils d’une experte en botanique

20 Minutes
L’île de Gotland, une région insulaire de Suède, située au milieu de la mer Baltique, a organisé cet été un concours insolite : celui de la pelouse la plus moche, rapporte The Guardian. L’objectif était pour les autorités d’encourager les habitants à utiliser de façon responsable les ressources en eau limitée de cette île de 3.000 km2, et donc, de réduire au maximum l’arrosage du jardin.

De récentes études ont montré que « les quantités d’eau présentes sur l’île pourraient baisser de près de 15 % d’ici 2050 ». Si sur le long terme, cette diminution des ressources en eau est liée au réchauffement climatique, cette île de près de 60.000 habitants est particulièrement mise en tension tous les étés. Profitant d’un bon ensoleillement et de faibles pluies, ce territoire accueille de nombreux touristes, au point de doubler la population de la région durant cette saison.

Des conseils de botanique en cas de sécheresse
Pour préserver les ressources en eau de l’île, le gouvernement a donc décidé de lancer cette initiative étonnante en parallèle d’une interdiction d’irrigation. Et c’est finalement le jardin de Marcus Norström qui a retenu l’attention du jury. « C’est brun, doré, boueux, avec beaucoup de terre et presque aucun brin d’herbe, c’est plutôt laid » a décrit Mimmi Gibson, directrice marketing de la région de Gotland, au sujet du jardin du gagnant.

L’opération semble en tout cas avoir été un succès, puisque l’un des juges du concours, Johan Gustafsson, a indiqué au Washington Post que l’interdiction d’irrigation a pu être levée dès le 1er septembre.
Quant à Marcus Norström, il a pu profiter des conseils de Sara Gistedt, une des juges du concours spécialisée en botanique, pour garder sa terre fertile en situation de sécheresse. Parmi les plantes les plus résistantes au manque d’eau, il y a notamment les herbes aromatiques. Des rochers peuvent quant à eux être utilisés pour faire de l’ombre et protéger les autres plantes.
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À cause d’une erreur de fabrication, des chansons de Cali se retrouvent sur un vinyle des Wampas
OuestFrance
« C’est comme si quelqu’un avait échangé les bébés à la maternité ». Le chanteur Cali a raconté à France Bleu que certaines de ses nouvelles chansons s’étaient retrouvées par erreur sur le vinyle du groupe des Wampas.
À cause d’une erreur de fabrication, des titres du chanteur Cali se sont retrouvés sur un vinyle du groupe des Wampas, a repéré France Bleu . Une bourde technique assez rare qui a suscité l’étonnement des fans des Wampas au moment d’écouter le nouvel album du groupe.
Le chanteur des Wampas « prend cette mésaventure avec le sourire »
« Mon disque s’est retrouvé dans la nature 15 jours avant sa sortie officielle. Quand on sait tout le travail, les difficultés, l’énergie que nécessite la sortie d’un nouvel album , : ce serait bien que chacun fasse son travail correctement », a tout de même ajouté Cali, « un peu bouleversé ».

Quant au chanteur des Wampas, « il prend cette mésaventure avec le sourire », a affirmé Cali. « J’ai échangé avec Didier Wampas. Il m’a dit : « Comme ça, tu auras plus de fans ! » ».
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États-Unis : les médecins retirent 23 lentilles de contact de l'œil d'une patiente
RTL
Se plaignant de voir flou, une Californienne de 70 ans vivait en fait avec 23 lentilles de contact dans l'œil. Une situation "pas si rare", selon les médecins.
Mettre des lentilles de contact peut paraître inconfortable pour certains alors imaginez en mettre 23, les unes sur les autres. C'est pourtant bien avec 23 lentilles de contact jetables qu'une dame de 70 ans s'est présentée à son ophtalmologiste en Californie, se plaignant de voir flou. Elle explique également à son ophtalmo, le docteur Katerina Kurteeva, sentir quelque chose d'étranger dans son œil droit.
Comme expliqué par l'Insider, le médecin a alors commencé à retirer les premières lentilles, quand elle s'est rendu compte qu'elle en avait un grand nombre sur la rétine, empilées "comme une pile de crêpes", explique-t-elle au média américain. Elle demande alors à son assistant de filmer l'intervention, pensant "que cela pourrait être mon moment du Livre Guinness des records", explique-t-elle.

Mais non, aussi impressionnant que ce nombre puisse paraître, 23 n'est pas le record de lentilles retrouvées dans œil. The Guardian relate qu'en 2017, une femme britannique de 67 ans devait subir une opération de la cataracte, quand les médecins ont trouvé 27 lentilles dans son œil.
Sans aller jusqu'à de tels extrêmes, ce genre d'événement n'est "pas si rare", explique au Guardian le docteur Thomas Steinemann, porte-parole l'académie américaine d'Ophtalmologie. En effet, certaines personnes, après des années de ports de lentilles sont moins sensibles de l'œil et "la cavité de la paupière supérieure devient très profonde", explique Katerina Kurteeva.
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photos a écrit : À cause d’une erreur de fabrication, des chansons de Cali se retrouvent sur un vinyle des Wampas
OuestFrance
« C’est comme si quelqu’un avait échangé les bébés à la maternité ». Le chanteur Cali a raconté à France Bleu que certaines de ses nouvelles chansons s’étaient retrouvées par erreur sur le vinyle du groupe des Wampas.
À cause d’une erreur de fabrication, des titres du chanteur Cali se sont retrouvés sur un vinyle du groupe des Wampas, a repéré France Bleu . Une bourde technique assez rare qui a suscité l’étonnement des fans des Wampas au moment d’écouter le nouvel album du groupe.
Le chanteur des Wampas « prend cette mésaventure avec le sourire »
« Mon disque s’est retrouvé dans la nature 15 jours avant sa sortie officielle. Quand on sait tout le travail, les difficultés, l’énergie que nécessite la sortie d’un nouvel album , : ce serait bien que chacun fasse son travail correctement », a tout de même ajouté Cali, « un peu bouleversé ».

Quant au chanteur des Wampas, « il prend cette mésaventure avec le sourire », a affirmé Cali. « J’ai échangé avec Didier Wampas. Il m’a dit : « Comme ça, tu auras plus de fans ! » ».


Pour moi, ces chanteurs là, cela doit être blanc bonnet et bonnet blanc...
Je l'avoue humblement, je n'ai jamais entendu parler d'eux, je n'ai jamais lu quoique ce soit à leur propos avant ce matin...
Et je ne ferai pas le moindre effort pour que cela change...
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:top: Moi non plus........connais pas ....et je t'avoue que....... :sif: :moins:
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Iran : l'homme considéré comme "le plus sale du monde" est décédé
RTL
Il avait 94 ans et n'avait pas pris de douche depuis huit décennies par crainte de "tomber malade".
Amou Haji était un autochtone, un ermite. "L'oncle Haji", comme le surnommaient affectueusement les gens de son petit village de montagne, Dejgah, situé dans la province de Fars, vivait dans une grotte jouxtant une déchetterie et se nourrissait de carcasse d'animaux.
Son manque d'hygiène lui avait valu le surnom d'homme "le plus sale du monde". Selon les médias iraniens, Amou Haji était persuadé que s'il prenait un bain, cela exposerait son corps à la maladie. Tant et si bien qu'il ne s'est jamais lavé et avait laissé la poussière noircir son visage. La légende raconte même, qu'un jour, des jeunes du village ont voulu l'emmener à la rivière, mais le vieillard s'est enfui de la camionnette pour échapper à sa peur de la mort.

En 2013, un court documentaire intitulé "L'étrange vie d'Amou Haji" avait été réalisé sur la vie de cet homme, dont la culture et la gentillesse dénotaient avec son apparence physique. Celui-ci lui avait cependant porté préjudice puisque l'Iranien était devenu une sorte de "bête de foire", une curiosité que les gens venaient voir et parfois "caillasser".
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Elon Musk fait son entrée au siège de Twitter, un lavabo à la main
OuestFrance
Alors qu'il doit boucler l'achat du réseau social avant vendredi, le patron de Tesla et Space X a été filmé, mercredi 26 octobre 2022, entrant dans les locaux de Twitter, avec un lavabo dans les bras. Elon Musk s'est également rebaptisé « Chef Twit » dans sa description.
Elon Musk a mis en ligne mercredi 26 octobre 2022 une vidéo le montrant dans les locaux de Twitter, dont il doit boucler le rachat d’ici vendredi, et s’est rebaptisé « Chef Twit » sur le réseau social.
Dans le petit film, le bouillant entrepreneur arrive à l’accueil de ce qui semble être le siège de la société, avec un lavabo dans les bras, hilare.

Il joue ainsi sur le mot « sink » (lavabo), utilisé dans une expression américaine qu’il a postée sur le message accompagnant la vidéo.

« J’entre au siège de Twitter - je vous laisse absorber l’information ! », ou « let that sink in » en anglais, a-t-il écrit, sur son compte.
Sept mois de péripéties
Pour mettre fin, à sa demande, au contentieux qui l’oppose aux dirigeants du groupe à l’oiseau bleu, la juge du Delaware chargée du dossier a donné à Elon Musk jusqu’à vendredi pour finaliser le rachat.

La conclusion de la transaction mettrait fin à sept mois de péripéties qui ont souvent opposé le patron de Tesla aux dirigeants de Twitter.

Début juillet, Elon Musk avait annoncé qu’il renonçait à prendre le contrôle du réseau social, décision qu’avait contesté Twitter devant la justice du Delaware.
Il avait finalement changé d’avis début octobre, à quelques jours d’un procès qui s’annonçait délicat pour lui.

Mais Twitter avait refusé d’abandonner son action en justice, amenant la juge référente à renvoyer l’affaire et à demander aux parties de s’entendre d'ici au 28 octobre.
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Rennes : Pendant les vacances, ce sont les enfants qui pilotent le métro
20Minutes
ATTENTION AU DÉPART L’initiative mise en place par le réseau Star a été saluée sur les réseaux sociaux
Un rêve de gosse. Beaucoup d’enfants se sont un jour imaginés aux commandes d’une rame de métro. Pour que leur rêve se réalise, la RATP a eu dès 2017 la chouette idée d’installer des faux tableaux de bord dans certaines rames sur les lignes automatiques 1 et 14. L’initiative vient de débarquer à Rennes depuis mercredi avec l’installation de postes de pilotage en bois plus vrais que nature dans six rames de la ligne A, automatique elle aussi.
Menée dans le cadre du projet national « Villes à taille d’enfants », dont fait partie Rennes, l’animation sera proposée pendant plusieurs semaines. Sur les réseaux sociaux, l’initiative du réseau Star a été saluée par de nombreux internautes. « 29 ans mais pourtant j’ai très envie d’essayer », indique l’un d’entre eux. « C’est quelque chose que vous devriez laisser à l’année », suggère un autre.
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