Questions existentielles - page 304

Pour se reposer quelques minutes
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La vie sexuelle de ce marsupial est si intense qu’elle finit en film d’horreur
Une nouvelle étude détaille la sexualité débridée des marsupiaux, entre cannibalisme et suicide collectif, photo à l’appui.

Par Le HuffPost
SCIENCES - À première vue, c’est un animal très mignon. Et pourtant, le petit marsupial que vous voyez sur la photo en tête de cet article est un véritable cannibale, en plus d’avoir une vie sexuelle au-delà de tout mesure humaine. Dans une nouvelle étude, publiée dans la revue scientifique CSIRO, des chercheurs ont détaillé son étonnant processus de reproduction. Ces derniers le décrivent tout simplement comme un « suicide collectif ».

La méthode est en effet cruelle. Au départ, tout commence de manière classique, comme le décrit l’étude : « pendant la saison des amours, les mâles et les femelles s’accouplent de façon promiscue ». Les choses viennent ensuite se corser, car ces séances d’accouplement peuvent durer jusqu’à 14 heures. Et cette période des amours dure deux semaines, sans manger, ni dormir, de quoi finir mort de fatigue, littéralement.
C’est en effet cette libido frénétique qui cause le plus régulièrement la mort de l’animal, en particulier chez le mâle qui dispose de testicules surdimensionnés. Le professeur Andrew Baker de l’Université de technologie du Queensland détaille ainsi que cette sexualité suicidaire induit « une mort certaine due au stress pour tous les mâles, car la montée en flèche de la testostérone provoque un afflux incontrôlé de cortisol dans l’organisme, qui atteint des niveaux pathologiques ».

« Les mâles souffrent alors d’hémorragie interne, leurs poils tombent, parfois ils deviennent aveugles. Même dans ce cas, ils peuvent errer à la recherche de femelles avec lesquelles s’accoupler jusqu’à ce qu’ils meurent », décrivait encore le chercheur à l’Agence France Presse en 2021. Et ce n’est pas tout, le cannibalisme arrive ensuite.

Après l’effort, le réconfort ?
Une fois que la plupart des mâles sont morts après cette période intense de reproduction, les survivants, principalement des femelles enceintes donc, se régalent. Ce repas cannibale leur permet de « gagner de l’énergie », décrit le communiqué de presse de l’étude.
Cependant rassurez-vous, il est « très rare d’observer ces comportements dans la nature », précise le professeur Baker. C’est justement pour cette raison que cette nouvelle étude est enthousiasmante. Les chercheurs ont pu cette fois-ci étudier une photo de l’animal à l’œuvre, que vous pouvez voir ci-dessous. Elle a été prise à Point Lookout, dans le parc national de la Nouvelle-Angleterre.
L’animal grignote donc tranquillement son congénère. Selon les chercheurs, cette image est une des « rares preuves sur le terrain d’un cannibalisme opportuniste ». Si la photo ne permet pas clairement d’identifier le sexe des deux animaux, l’étude estime qu’il s’agit de deux mâles, ce qui la rend encore plus glaçante.

« L’antechinus qui s’est nourri de son camarade mort semblait vigoureux et de grande taille, mais son œil droit était endommagé et il avait perdu des poils sur les bras et les épaules, ce qui est associé au déclin induit par le stress chez les mâles. Il était peut-être destiné à devenir le repas de quelqu’un d’autre », décrivent les chercheurs.

Heureusement, le marsupial n’a besoin que de quelques mois pour atteindre la taille adulte. C’est ce qui permet à l’espère de survivre, malgré cette sexualité suicidaire.
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Pourquoi la Tour Eiffel va-t-elle changer de couleur cette année ?
RTL
La Dame de fer va retrouver l'une de ses anciennes couleurs dans les prochains mois. Les travaux débutés en 2019 ont pris du retard.
En 135 ans dans le paysage parisien, la Tour Eiffel a déjà connu 7 couleurs différentes. Lors de son inauguration, elle était rouge "venise", couleur brique, mais cela n'a pas duré longtemps. 3 ans plus tard, la Dame de fer s’habille d’une couleur ocre avant de subir un nouveau changement en 1900 : un dégradé jaune ! Avant de trouver une stabilité en 1907 et une campagne de peinture en jaune-brun. Cette couleur restera pendant près de 50 ans, avec pour objectif de ressembler au ton des immeubles haussmanniens.
Mais en 1954, les promoteurs changent d'avis, la Tour Eiffel fait peau neuve avec un retour au rouge mais avec un ton brun, un peu plus foncé que la couleur d’origine. C’est d’ailleurs à ce moment-là que le phare est installé à son sommet. 10 ans plus tard, en 1964, la Dame de fer devient un monument historique et l'on décide de la repeindre en gris-beige ; c’est la couleur que l’on connaît aujourd’hui.

Retour au jaune brun
Mais 60 ans plus tard, en 2024, une nouvelle page est en train de s'écrire, pour plusieurs raisons. D'abord car Paris s'apprête à accueillir les Jeux olympiques, mais c'est aussi le centenaire de la mort de son architecte, Gustave Eiffel. Cette fois, les promoteurs ont décidé de revenir à la couleur préférée de ce dernier, celle de 1907 : le jaune-brun.

Si les travaux devaient être terminés pour les JO, le chantier a pris du retard à cause de la crise du Covid et d'un risque de contamination au plomb qui a nécessité de prendre de nombreuses précautions. La Tour Eiffel sera entièrement repeinte en jaune-brun d'ici 2026.
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Pourquoi reçoit-on des décharges en touchant quelqu’un ?
OuestFrance

C’est une sensation courante et plutôt désagréable : on serre la main d’une autre personne et on reçoit une « châtaigne ». Comment expliquer ce phénomène qui se produit plus souvent l’hiver ? C’est la « question pas si bête » du jour, le podcast de l’édition du soir.
Vous êtes au travail et un collègue vient vous serrer la main. Au moment où vos doigts se touchent, vous recevez une décharge, un petit choc électrique pas très agréable… Cette sensation de « châtaigne » est la manifestation de l’électricité statique. Mais que se passe-t-il concrètement ?
L’électricité statique est l’accumulation de charges électriques sur un matériau. En cas de contact ou de frottement entre deux matières isolantes, leur charge électrique peut être modifiée. C’est-à-dire qu’un objet peut perdre des électrons et se charger positivement, tandis que l’autre va recevoir des électrons et se charger négativement. C’est ce transfert de charges électriques, s’il a lieu entre deux matières, qui produit ces petites décharges électriques. Voilà pour le phénomène physique.
Plus souvent en hiver, à cause des matières synthétiques

Au quotidien, comment cela se traduit-il ? Quand on porte par exemple des vêtements en matière synthétique ou que l’on marche sur de la moquette, notre corps accumule de l’électricité. Des électrons qui appartiennent aux vêtements et au tapis sont transférés vers la semelle des chaussures. Notre corps devient alors très riche en électrons. Le corps reste chargé électriquement jusqu’à ce qu’il trouve l’occasion de se décharger. Cette occasion peut être la rencontre avec un ami ou le moment où l’on ouvre une porte. C’est ce transfert de charges électriques, s’il a lieu entre deux matières, qui produit ces petites « châtaigne ». 
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Au fait, pourquoi les aliments bleus sont-ils si rares ?
OuestFrance

Le bleu est une couleur que l’on trouve peu dans la nature et encore moins dans nos assiettes. Mais pourquoi ? C’est « la question pas si bête » du jour, le podcast de l’édition du soir.
Le bleu est une couleur que l’on trouve peu dans la nature et encore moins dans nos assiettes. Si l’on peut citer les myrtilles, certains choux, certaines espèces de tomates, ou encore les navets, ces plantes comestibles et autres fruits et légumes sont rarement entièrement, et parfaitement, bleus et tirent plutôt sur le violet. Mais pourquoi ?
Une histoire de chlorophylle

Cette rareté a d’abord des raisons chimiques. Si les pigments bleus existent dans la nature, les végétaux parfaitement et totalement bleus n’existent pas. C’est une histoire de mélange des couleurs. En effet, pour transformer la lumière en énergie, les plantes ont besoin de la chlorophylle et des caroténoïdes, des substances essentielles à leur développement. Or la chlorophylle contient des pigments verts et les caroténoïdes, des pigments plutôt orange et jaunes. Résultat, le mélange des couleurs fait qu’un végétal ne peut pas être complètement bleu, détaille un article du magazine Science et Vie.
Une couleur rebutante, mais aussi de plus en plus tendance

Ensuite, si le bleu dans nos assiettes est plutôt rare, cela s’explique aussi parce que cette couleur est souvent associée à un élément rebutant : la moisissure. Quand le bleu apparaît sur les aliments, c’est souvent parce qu’ils deviennent impropres à la consommation.

En revanche, le bleu n’est pas systématiquement banni de nos assiettes. On accepte davantage cette couleur associée à des produits artificiels, que l’on sait déjà transformés, comme les boissons sportives ou encore les bonbons, souligne une étude réalisée en 2018 par le Département de psychologie expérimentale de l’Université d’Oxford. Mais pas de quoi non plus nous ouvrir l’appétit.
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Ce Britannique de 12 ans bat Albert Einstein au test de QI
RTL
Ce petit génie britannique fait partie des 2% de personnes les plus intelligentes du monde.
Encensé par la presse locale, ce jeune britannique de 12 ans est devenu la star du Royaume-Uni. Il s'appelle Rory Bidwell et vient de faire sensation après avoir passé un test de QI (quotient intellectuel). Son résultat est hors norme : 162 ! C’est le score maximal au test de la très sérieuse association MENSA, club très privé qui accueille uniquement les personnes ayant un QI supérieur à 98% de la population. Il fait donc partie des 2% de personnes les plus intelligentes du monde.
Si un résultat de 162 au test de QI ne vous évoque rien, à titre de comparaison, le QI moyen d’un individu est situé autour de 100. On estime que le quotient intellectuel d'Albert Einstein ou Stephen Hawking est estimé à 160. Ce qui signifie que le jeune Rory est plus intelligent qu'eux selon ces tests, qu'il a passé sans aucune préparation selon ses parents.

Il a fini la saga Harry Potter à 8 ans
Depuis sa naissance, Rory Bidwell est brillant. L'écolier vit dans le comté de Devon, dans le sud de l’Angleterre. Alors à peine âgé de 2 ans, il savait déjà terminer un puzzle de 100 pièces. Aussi fou, pendant le confinement, du haut de ses 8 ans, il a lu l'intégralité des 7 romans d'Harry Potter, ce qui représente plus d'un million de mots. Selon ses parents, Rory a une vie aujourd’hui tout à fait normale, il fait du sport, joue au jeu vidéo Fortnite avec ses amis, sur son temps libre. En revanche, il ne sait pas encore ce qu’il veut faire dans sa vie.

Des tests pas toujours fiables
Si le prestigieux test de QI de Mensa est considéré comme l'un des plus sérieux en la matière, tous ne se valent pas. Il existe de nombreux quizz accessibles facilement en ligne, pour tester son niveau d'intelligence. Toutefois ces tests ne sont pas vraiment fiables.
Si vous prenez le sujet au sérieux, vous pouvez consulter un psychologue qui pourra tester mais cela est payant. En revanche il est possible de vous rendre dans un Centre Médico-Psychologique (CMP). Et dans ce cas, le test est gratuit, mais les délais d'attente peuvent être longs.
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Vous croisez des ronds-points partout ? Normal, la France en est la championne du monde !
20Minutes
FRANCE MOCHE Lieux de rendez-vous des dernières contestations sociales, le nombre de ronds-points a explosé avec le développement des zones commerciales et industrielles
Occupés actuellement par les agriculteurs en colère et par les gilets jaunes en 2018, les ronds-points sont devenus un symbole de la contestation sociale.
Le premier rond-point en France a vu le jour place de l’Etoile à Paris en 1907, autour du célèbre Arc de triomphe. Depuis, leur nombre a explosé avec le développement des zones commerciales et industrielles.
S’il n’existe pas de statistiques officielles avec leur nombre exact, la France en serait la championne du monde.
Ils sont les emblèmes de cette France perçue comme « moche ». Les ronds-points, devenus aussi le symbole de la contestation sociale des « gilets jaunes » en 2018, sont ces derniers jours parfois occupés par les agriculteurs en colère. Et malgré l’absence de statistiques officielles, la France est le pays qui en compterait le plus au monde. On vous explique tout sur ce drôle de record.

Des ronds-points, il y en a partout… mais combien précisément ?
Leur nombre a explosé avec le développement des zones commerciales et industrielles. Vingt mille auraient été recensés en 2005, selon les travaux du professeur et docteur en architecture Eric Alonzo, auteur de l’ouvrage Du rond-point au giratoire. Un nombre en constante augmentation puisque 500 à 1.000 nouveaux ronds-points verraient le jour chaque année en France.

La compagnie lettonne de location de véhicules DiscoverCars.com a établi en septembre son propre classement à partir de données OpenStreetMap. La France y occupe de loin la première place mondiale avec 42.986 ronds-points répartis sur l’ensemble du territoire, soit 65 % de plus que le Royaume-Uni, deuxième de la liste avec 25.976 carrefours giratoires.

Au fait, à quoi ça sert ?
Le premier rond-point en France a vu le jour place de l’Etoile à Paris en 1907, autour du célèbre Arc de triomphe, sous l’impulsion de l’urbaniste Eugène Hénard. Ensuite « ils se sont développés dans les années 1960 et 1970, avant de se démultiplier dans les années 1980 pour accompagner la croissance du réseau viaire des zones commerciales de périphérie », selon Philippe Genestier, architecte-urbaniste, professeur à l’Ecole nationale des travaux publics d’Etat (ENTPE).

Un choix urbanistique justifié au départ par de « premiers travaux d’accidentologie, dans les années 1960, qui ont montré que les carrefours classiques, avec priorité à droite, étaient dangereux », précise le spécialiste.

Ça coûte cher en plus, non ?
Philippe Genestier estime que « les ronds-points restent des travaux au coût important, en matière de terrassement, chaussée et paysagement ». Selon lui, une controverse serait née à partir d’une pratique répandue jusque dans les années 1980 « d’ingénieurs membres des directions départementales de l’Equipement (DDE) qui percevaient des primes en fonction du montant des travaux qu’ils étaient amenés à réaliser ».

Jean-Baptiste Léon, directeur de l’association Contribuables associés, qui défend la maîtrise de la dépense publique, évalue le coût moyen d’un rond-point en France entre « 100.000 et un million d’euros ». Il assure avoir estimé à « 30 milliards sur quarante ans » le montant de la dépense publique relative aux ronds-points.
Mais qui crée ces ronds-points, parfois pas jojos ?
Les ronds-points sont souvent agrémentés d’un décor, en vertu du « 1 % artistique » qui impose à l’État, à ses établissements publics et aux collectivités territoriales une « obligation de décoration des constructions publiques ».

Certains se sont spécialisés en « art giratoire », à l’instar de Jean-Luc Plé, un sexagénaire de Charente-Maritime qui crée inlassablement pour les ronds-points depuis une vingtaine d’années. Il estime le prix de ses œuvres entre 35.000 et 50.000 euros pièce, comme ce citron géant dressé sur un rond-point près de Menton.
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Monnaie rare. Comment savoir si votre pièce de 2 € en vaut des milliers ? On vous répond
Chaque pays européen frappe de nouvelles pièces de 2 € chaque année. Parmi toutes celles-là, des raretés. Difficiles à dénicher, elles comportent une étoile en plus ou en moins, un pays mal dessiné, l’effigie de Grace Kelly, la signature de la fabrique « Ouest-France » vous donne quelques pistes pour savoir reconnaître ces pièces si rares qu’elles peuvent valoir plusieurs milliers d’euros.


On ne va pas pinailler pour de la bigaille ? Eh bien si. Certaines pièces laissées dans vos tiroirs ou sur le point de vous permettre d’acheter votre baguette de pain peuvent valoir de l’or. Imaginez que vous ayez dans votre porte-monnaie une pièce qui pourrait vous rapporter des milliers d’euros ? Une folie ? Pas tant que ça. Les monnaies rares qui circulent sont… rares, en effet. Mais existent. Alors comment savoir si votre pièce de deux euros en vaut mille fois plus ? Ouest-France vous répond.
Que vous soyez amateur, curieux, ou décidé à faire fortune avec deux euros, voici quelques pistes et astuces qui pourraient avoir le mérite de vous encourager à pousser la porte d’un numismate professionnel pour vendre une de vos pièces.

Un défaut de qualité
D’abord, sachez qu’un défaut esthétique sur une pièce de monnaie est à valoriser ! Un défaut rend une pièce unique, qui prend ainsi de la valeur. Les pièces dont le rond jaune déborde sur le cercle argenté, ou le dessin est de travers ou la lettre est mal formée, une pièce double face ou une pièce tout argentée, avec une étoile en plus ou en moins, valent en réalité bien plus chère.

Alors, sachant qu’une erreur de frappe peut être lucrative, ouvrez votre porte-monnaie et observez ! « De la même manière, la mention « 2 € » frappée sur une pièce de 1 € peut par exemple affoler les compteurs. Dans ce cas, l’exemplaire raté peut s’échanger à des prix dépassant 1 000 € », explique un expert à Actu.fr. Mais soyons honnêtes, une pièce rare, c’est très rare, surtout quand on ne passe pas sa vie à collectionner la monnaie comme le font les numismates professionnels. Et un défaut oui, mais un défaut de bonne qualité. Si la pièce est presque neuve, c’est encore mieux.

Des pièces thématiques
Et si nous parlons des pièces de 2 €, c’est parce que les pièces de 1 € et de 50 centimes sont toutes les mêmes, tandis que les pièces 2 € sont refaites par chaque pays européen environ chaque année. Chaque pays peut faire une thématique particulière tous les ans, voire deux selon les années.

D’ailleurs, il y a ces collections thématiques frappées en exemplaires restreints. C’est le cas des pièces du Vatican par exemple, en cas de commémoration. Un autre exemple, celui d’une pièce de 2 € frappée en 2007 avec le visage de Grace de Monaco qui vaut plus de 3 000 €. Plus récemment, il y a ces pièces de commémoration des Jeux olympiques frappées par la Monnaie de Paris. Ces pièces ne sont pas destinées à circuler. Mais sait-on jamais…

La marque de l’atelier de frappe
Outre les pièces à thèmes, il existe encore plus rarement celles où la marque de l’atelier qui les a fabriquées a été frappée. « Ainsi, une pièce allemande avec un G est vendue aux alentours de 2 500 €. Sur un site d’enchères en ligne, une pièce grecque avec un S a été mise en vente avec un prix de départ de 18 000 € », confie TF1 .
Suivre les sites de pièces recherchées
Des sites spécialisés, comme Argus2euros, référencent les pièces rares les plus recherchées et les plus chères, comme celle à l’effigie de Lucien 1er Grimaldi, de Monaco, en 2012, ou celle des 35 ans du programme Erasmus, de Malte en 2022, ou celle, la plus chère, des 25 ans de la mort de Grace Kelly de Monaco, en 200, qui vaut dans le meilleur des cas 3 300 €.

Les pièces dites de collection
« J’ai actuellement pleins de pièces de vingt euros et de dix euros. Comment puis-je faire pour m’en débarrasser », nous interrogeait Thierry, un lecteur de Martigues (13). Au sujet des pièces dites de collection vendues par des régions ou des sociétés postales ou bancaires, des musées, les numismates sont unanimes, elles ne valent pas plus que leur valeur d’achat.
Une pièce de 10 €, achetée 10 €, vaut donc 10 €. Libre à vous de les revendre à qui voudra bien les acheter sur un site d’occasion. Mais les numismates sont spécialisés dans les pièces de collection. Et celles-ci n’en font pas partie.
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Une mystérieuse épave refait surface sur les côtes canadiennes
20Minutes
HISTOIRE
•Le navire apparu dans les eaux de Terre-Neuve pourrait dater du XIXe siècle
C’est incroyable, il n’y a pas d’autre mot ». Une mystérieuse épave a fait surface sur la côte de Terre-Neuve au Canada, le 27 janvier dernier, rapporte The Guardian. Cette découverte a suscité un véritable engouement dans la petite ville côtière de Cape Ray, un site patrimonial reconnu par le gouvernement fédéral. Des spécialistes se sont même penchés sur l’histoire du navire. Cette trouvaille, pour le moins surprenante, a été repérée par Gordon Blackmore, alors qu’il chassait des oiseaux marins.
L’érosion et les tempêtes
Selon les premières observations de Neil Burgess, de la Société de préservation des épaves de Terre-Neuve-et-Labrador, le navire, qui mesurerait au moins 24 mètres de long, daterait du XIXe siècle. « C’était un voilier assez imposant, plus gros qu’une goélette », a-t-il affirmé à Radio-Canada.

Reste à savoir comment l’épave est apparue du jour au lendemain à proximité de Cap Ray. Pour le spécialiste, l’érosion côtière et les tempêtes récentes (notamment Fiona) seraient les potentielles causes de cette révélation soudaine.
C’est une partie de notre histoire »
Wanda Blackmore, la mère de Gordon, a par ailleurs affirmé qu’elle avait contacté toutes les autorités et les professionnels compétents pour faire la lumière sur cette découverte. Même si le gouvernement provincial a dépêché une équipe pour examiner l’épave, les marées et les conditions météorologiques incertaines rendent pour l’heure difficile une exploration du site.
En attendant, les spéculations vont bon train sur les réseaux sociaux, en particulier sur Facebook, indique The Guardian. Les résidents de Cap Ray ont déterré des archives afin d’identifier l’origine du navire et son histoire. « C’est une partie de notre histoire qui vient de se réveiller. Découvrons-la », s’est enthousiasmée une riveraine.
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Pourquoi croise-t-on les doigts pour avoir de la chance ? On vous répond
OuestFrance
Qui n’a jamais croisé les doigts pour attirer la chance ? Cette pratique aurait plusieurs origines. Petit tour d’horizon de l’histoire et de l’étymologie des doigts croisés.
Que celui ou celle qui n’a jamais croisé les doigts pour porter chance ou conjurer le sort… lève le doigt ! « Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer » avez-vous peut-être déjà dit en croisant les doigts dans la cour de récréation. Mais que signifie alors croiser les doigts, « figure » qui trouve également sa place dans les emojis ? Pourquoi pensons-nous à la chance en les croisant ? Ouest-France vous répond.
D’abord, il faut regarder l’étymologie du mot croiser. Le verbe croiser est un dérivé du mot croix, qui en latin se dit crux, qui signifie « gibet », « châtiment ». « Du latin classique crucem, accusatif de crux, crucis, « croix, gibet », d’où « châtiment », et, en latin chrétien, « croix du Christ », peut-on lire sur le dictionnaire de l’Académie française.

Toujours sur ce même dictionnaire, croiser signifie par ailleurs « mettre, disposer quelque chose en forme de croix. » Ainsi cette analyse de l’origine du mot nous montre le lien avec la chrétienté, une des raisons pour lesquelles nous croisons les doigts pour porter chance. Croiser ses doigts fait écho à la croix sur laquelle Jésus Christ fut crucifié, c’est donc une façon de repousser les mauvais esprits en invoquant la puissance divine.
Formule chrétienne et païenne
Mais avant que le christianisme ne s’empare de ce geste, déjà à l’antiquité, croiser les doigts était bien une superstition, païenne celle-là. La croix représentait l’union parfaite. Une autre théorie avancerait donc que croiser ses doigts, faire une croix, donnait plus de chance de réaliser un vœu. À l’époque, deux personnes pouvaient se porter chance en croisant leurs index afin de former le point d’intersection. Jusqu’à simplement croiser les doigts.
Une autre théorie encore raconte que croiser ses doigts permettait de chasser le mauvais œil et de fuir lors de la persécution des premiers chrétiens. C’était un signe de reconnaissance entre chrétiens.

Quant à l’expression « croiser les doigts », traduite littéralement de l’anglais « to cross one’s fingers », la formule était fréquemment employée pour éloigner le diable, ou plus généralement, pour conjurer le mauvais sort durant l’ère médiévale.

Aujourd’hui, les dimensions religieuses ont disparu et d’autres méthodes existent pour porter chance, comme dire « merde ».
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Alpes-Maritimes : Un gendarme sanctionné pour des mises en scène pornographiques en tenue

20Minutes
GARDE À VOUS !
•Tonfa et arme de service en guise de sex-toys, polos et écusson de la gendarmerie mis en évidence…. Quatre photos pornographiques gênantes pour l’image de la gendarmerie d’Antibes ont été brièvement diffusées sur un groupe privé de Facebook
n jeune sous-officier de la gendarmerie mobile d’Antibes a été sanctionné pour avoir « porté l’atteinte à l’image de la gendarmerie », après la diffusion d’images pornographiques.

Les photos, consultées par Mediapart, sont d’autant plus osées qu’elles ont été brièvement publiées dans un groupe Facebook en principe accessible qu’aux gendarmes donnant leur numéro d’identification.

Ces quatre clichés pornographiques, sur lesquels on voit notamment l’écusson de l’escadron de gendarmerie mobile d’Antibes posé sur une fesse, mettent en scène une femme se faisant pénétrer l’anus par un tonfa recouvert d’un préservatif. Sur d’autres photos, elle l’aperçoit avec une arme dans le vagin ou tenue en laisse, en train de pratiquer une fellation à deux hommes, porteurs d’un polo de la gendarmerie.
L’ouverture d’une enquête par l’IGGN
Au-delà de l’embarras pudique pour l’institution et de la question du consentement de la jeune femme à leur diffusion, ces photos sont de nature à « porter l’atteinte à l’image de la gendarmerie », estime L’Essor de la gendarmerie. Jeudi, le site spécialisé a indiqué qu’une enquête de l’IGGN avait été diligentée dès la prise de connaissances de ces photos. Le jeune sous-officier a été « provisoirement sanctionné », dans l’attente d’éventuelles autres mesures.
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Alpes-Maritimes : Un gendarme sanctionné pour des mises en scène pornographiques en tenue


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GARDE À VOUS !
•Tonfa et arme de service en guise de sex-toys, polos et écusson de la gendarmerie mis en évidence…. Quatre photos pornographiques gênantes pour l’image de la gendarmerie d’Antibes ont été brièvement diffusées sur un groupe privé de Facebook
n jeune sous-officier de la gendarmerie mobile d’Antibes a été sanctionné pour avoir « porté l’atteinte à l’image de la gendarmerie », après la diffusion d’images pornographiques.

Les photos, consultées par Mediapart, sont d’autant plus osées qu’elles ont été brièvement publiées dans un groupe Facebook en principe accessible qu’aux gendarmes donnant leur numéro d’identification.

Ces quatre clichés pornographiques, sur lesquels on voit notamment l’écusson de l’escadron de gendarmerie mobile d’Antibes posé sur une fesse, mettent en scène une femme se faisant pénétrer l’anus par un tonfa recouvert d’un préservatif. Sur d’autres photos, elle l’aperçoit avec une arme dans le vagin ou tenue en laisse, en train de pratiquer une fellation à deux hommes, porteurs d’un polo de la gendarmerie.
L’ouverture d’une enquête par l’IGGN
Au-delà de l’embarras pudique pour l’institution et de la question du consentement de la jeune femme à leur diffusion, ces photos sont de nature à « porter l’atteinte à l’image de la gendarmerie », estime L’Essor de la gendarmerie. Jeudi, le site spécialisé a indiqué qu’une enquête de l’IGGN avait été diligentée dès la prise de connaissances de ces photos. Le jeune sous-officier a été « provisoirement sanctionné », dans l’attente d’éventuelles autres mesures.
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Haute-Saône : La belle histoire du portefeuille d’un soldat découvert 84 ans après sous un tas de foin
20Minutes
MÉMOIRE
•Portefeuille, stylo, lettres, photos… A Colombier, près de Vesoul, un couple de retraité s’est lancé dans une véritable enquête pour retrouver le soldat de la Seconde Guerre mondiale qui avait perdu ce trésor dans leur grange
Bien plus qu’une banale histoire de portefeuille découvert au fond d’un grenier. Que de l’or ou des pierres précieuses retrouvées, promettant fortune et gloire. Pour Jean-François Maillot et son épouse Angela Williamson, un couple de retraités du village de Colombier, près de Vesoul, en Haute-Saône, c’est avant tout le trésor d’une mémoire retrouvée, d’un lien renoué avec le passé et d’un avertissement pour l’avenir…

Imaginez : sous du foin bien tassé, stocké dans le grenier d’une ancienne étable, ils ont découvert il y a quelques mois un vieux portefeuille en cuir, celui d’un soldat de la Seconde Guerre mondiale. A l’intérieur, une lettre manuscrite et parfaitement conservée datant de 1940, quatre photographies, un stylo-plume, des papiers… Une trouvaille fortuite, alors que le couple effectuait des travaux d’isolation dans cette partie un peu isolée de la ferme acquise il y a une trentaine d’années. Mais surtout le début d’une aventure, relayée dans la presse, qui va les conduire sur la piste des descendants du soldat.
Une piqûre de rappel
« Sur le moment, on a été surpris, explique Jean-François Maillot. Je ne pensais pas du tout que l’on pouvait trouver quelque chose d’ancien dans ce grenier avec des éléments incroyablement bien conservés, un courrier très lisible, des photos en très bon état, une adresse. … » Une surprise mais aussi une « grande émotion », poivrée de l’étrange sentiment, pour lui et son épouse, d’un devoir à accomplir. Car, à bien y regarder, ce trésor de la dernière guerre n’est pas tombé entre n’importe quelles mains, à une époque où certains relents « du passé sont toujours plus d’actualité », fait remarquer le retraité. Pas seulement parce que son épouse est britannique, mais aussi par l’histoire personnelle de sa famille. « Je suis attaché à ce qui s’est passé pendant la Seconde Guerre mondiale car mon oncle, qui était un résistant, a été fusillé par les Allemands le 6 avril 1944, confie Jean-François Maillot. Alors à chaque fois que l’on parle de cette période, ça remue, c’est une émotion forte. »
Ancien enseignant, il se servait d’ailleurs déjà des documents que son propre oncle avait écrits pour communiquer afin d’animer ses classes, notamment en prévision des célébrations du 8-Mai et du 11-Novembre. « Alors si je peux utiliser la moindre chose comme ce portefeuille, j’essaye de le faire intelligemment. Notamment pour prévenir des risques, car malheureusement, nous ne sommes toujours pas protégés d’une guerre, on s’en rend compte aujourd’hui », retrace le sexagénaire.
Une véritable enquête
Le couple joue alors les enquêteurs, notamment pour identifier la bonne personne à qui remettre ce précieux portefeuille. Avec un point de départ : le nom du soldat, Vincent Soubielle, comme en atteste la lettre datée du 4 avril 1940. Devenu photographe professionnel, Jean-François Maillot est le photographe officiel du Festival des cinémas d’Asies (FICA). Un détail qui n’est pas si anodin car son œil avisé lui a permis de remarquer, et surtout d’identifier, une église sur une des photographies. Elle est située à Formiguères, dans les Pyrénées-Orientales.

Contacts pris avec la mairie, avancées dans les recherches notamment via Internet, échanges avec des membres de la famille du soldat, l’affaire est rondement menée. Angela Williamson s’attache même à retracer l’arbre généalogique de la famille. « C’est très complexe car il y a énormément de Soubielle dans les Pyrénées-Orientales. Dans le cimetière du village, il y en a un nombre incroyable », sourit la retraitée.
Renseignements obtenus, le soldat Vincent Soubielle est né en 1901. Des témoignages d’anciens de Colombier attestent des passages des troupes françaises dans le village, situé près des frontières suisse et allemande. Le soldat aurait fait halte dans la grange en y oubliant son portefeuille. Il est décédé en 1957, comme l’atteste une photographie de la pierre tombale obtenue auprès de la famille du soldat. Si Jean-François Maillot et Angela Williamson ne connaissent pas encore les raisons de sa mort, ils se disent soulagés de savoir qu’il n’a pas été tué pendant la guerre. Le soldat Vincent Soubielle était boulanger de métier, comme son père. Il ne s’est pas marié et n’a pas eu d’enfant.

Pour l’heure, des prises de contact avec un de ses petits-neveux ont été établies. Une rencontre avec plusieurs membres de sa famille devrait avoir lieu fin mars afin de leur remettre le portefeuille presque centenaire. Pour un retour définitif du soldat à la maison.
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