Ces trois « super-sens » offrent aux dauphins des pouvoirs insoupçonnés
Par Juliana LÓPEZ MARULANDA, enseignante-chercheuse en éthologie, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières.
Comment les animaux perçoivent-ils leur environnement ? Une enseignante-chercheuse en éthologie nous plonge à la découverte des trois super-sens des dauphins : la perception magnétique, la perception électrique et l’écholocalisation.
Imaginez que vous êtes dans une pièce confortable avec votre chat. Vous êtes tous deux soumis au même espace, à la même température et au même éclairage. Néanmoins, alors que vous appréciez le décor, probablement le goût du chocolat chaud ou la programmation télévisuelle, le chat semble intrigué par autre chose. Peut-être est-il à la recherche des friandises que vous lui avez promises, ou bien veille-t-il à ce que personne ne s’introduise dans son coin détente, un vieux fauteuil près du chauffage. D’une certaine manière, même si vous évoluez dans le même environnement, vous et votre chat percevez différemment l’univers qui vous entoure.
En 1934, un scientifique allemand nommé Jakob von Uexküll s’est penché sur cette question et l’a définie comme l’« umwelt » (environnement en allemand). L’umwelt est la perception qu’a chaque individu du monde dans lequel il vit.
Mais alors comment les autres animaux perçoivent-ils leur environnement ? Je m’intéresse en particulier à ceux qui vivent au sein d’habitats drastiquement différents de ceux des humains, tels que les dauphins dans l’immensité de l’océan.
Mieux comprendre comment les autres animaux perçoivent leur environnement nous permet de mieux les protéger. Par exemple pour les dauphins, savoir comme ils perçoivent leur environnement permet de connaître l’impact du bruit sous-marin sur leur communication et prendre des mesures dans les aires marines protégées pour contrôler le bruit sous-marin.
Plongeons à la découverte des trois super-sens des dauphins, à savoir : la perception magnétique, la perception électrique et l’écholocalisation.
La perception magnétique chez les dauphins
La perception magnétique a été mise en évidence pour la première fois chez les dauphins en 1981 : des chercheurs américains ont trouvé des fragments de magnétite étroitement liées à des connexions neuronales extraites du cerveau de quatre dauphins communs échoués. À l’époque, les scientifiques ont été surpris par leur découverte et ont suggéré que cette magnétite pouvait avoir une fonction sensorielle ou jouer un rôle dans la navigation.
En 1985, une autre équipe de chercheurs a découvert une relation entre les positions d’échouage des cétacés et le champ géomagnétique de la Terre : plusieurs espèces de baleines et de dauphins ont en fait tendance à s’échouer dans des endroits où l’intensité magnétique est faible. Une hypothèse pour expliquer ce phénomène est que, si les cétacés utilisent le champ magnétique terrestre pour se repérer, les zones où l’intensité magnétique est plus faible augmenteraient les probabilités d’échouage, faute de repérages.
C’est en 2014, avec une équipe de scientifiques de l’Université de Rennes 1, que j’ai mené une étude comportementale qui nous a permis de montrer que les grands dauphins possèdent un sens magnétique. Dans cette étude, nous avons testé la réponse spontanée de six dauphins captifs à la présentation de deux types d’appareils de même forme et densité : le premier dispositif contenait un bloc de néodyme (un métal) magnétiquement chargé tandis que le bloc du second était totalement démagnétisé.
Les dauphins s’approchaient beaucoup plus rapidement du dispositif lorsque celui-ci contenait un bloc de néodyme fortement magnétisé. Cela nous a permis de conclure que les dauphins sont capables de discriminer les deux stimuli sur la base de leurs propriétés magnétiques.
Ces données soutiennent l’hypothèse que les cétacés peuvent se repérer à l’aide du champ magnétique terrestre et que, par conséquent, quand ce champ est plus faible, les tendances à l’échouage sont plus importantes.
La perception électrique
Les poissons émettent de faibles champs électriques causés par le mouvement de leurs muscles et de leurs squelettes. Certains prédateurs, notamment dans des zones benthiques (au fond de l’océan) à visibilité réduite, sont capables de percevoir leurs proies via ces champs électriques. Une capacité partagée par diverses espèces aquatiques et semi-aquatiques.
Chez les dauphins, l’électroréception a été mise en évidence en 2012 pour la première fois. Les structures appelées « cryptes vibrissales glabres » du rostre des dauphins de Guyane (l’une des plus petites espèces) servent d’électro-récepteurs. Dans cette étude, les chercheurs ont remarqué que les cryptes vibrissales possèdent une structure ampullaire bien innervée, rappelant les électro-récepteurs ampullaires d’autres espèces comme les elasmobranches (requins et raies), les lamproies, les poissons-spatule, les poissons-chats, certains amphibiens et chez les mammifères protères (par exemple les ornithorynques et les échidnés). Ces cryptes vibrissales marcheraient comme des récepteurs sensoriels capables de capter de petits champs électriques émis par les proies dans des environnements aquatiques.
La même étude a également trouvé des preuves comportementales de l’électroperception. Un dauphin de Guyane mâle a été entraîné à répondre à des stimuli électriques de l’ordre de grandeur de ceux générés par des poissons de taille petite à moyenne. Par exemple, un poisson rouge d’une longueur de 5-6 centimètres produit des champs électriques de 90 microvolts par centimètres, avec un pic d’énergie à 3 hertz. Des champs bioélectriques de 1 000 microvolts par centimètres ont été rapportés chez les limandes – une magnitude qui équivaut à un cent-millième de la charge électrique d’une ampoule électrique.
Le dauphin a été entraîné à placer sa tête dans un cerceau et à toucher une cible avec l’extrémité de son rostre. Il devait quitter le cerceau lorsqu’un stimulus était présenté, et devait rester dans le cerceau pendant au moins 12 secondes lorsqu’aucun stimulus n’était présenté.
Cette expérience a montré que les dauphins perçoivent des champs électriques faibles – une sensibilité comparable à celle des électrorécepteurs des ornithorynques. La première démonstration claire de l’électroréception chez l’ornithorynque a été réalisée à Canberra en 1985 par une équipe germano-australienne, qui a montré que les ornithorynques recherchaient et attaquaient les batteries immergées et invisibles par ailleurs.
En 2023, une équipe de chercheurs a trouvé des seuils de détection similaires chez le grand dauphin, en utilisant le même test comportemental.
On pense aujourd’hui que l’électroréception peut faciliter la détection des proies à courte distance et l’abattage ciblé des proies dans les fonds marins.
En outre, la capacité de détecter de faibles champs électriques pourrait permettre aux dauphins de percevoir le champ magnétique de la Terre grâce à une magnétoréception, qui leur permettrait peut-être de s’orienter à grande échelle.
L’écholocalisation
Le sens le plus étudié chez les dauphins reste l’écholocalisation.
Cette fois-ci, c’est un sens plus actif que pour la détection de champs électriques ou magnétiques. En effet, les dauphins produisent des séquences de clics avec leurs lèvres phoniques (situées dans l’évent, la narine située sur la tête des dauphins). Les clics produits sont très directionnels, vers l’avant. Lorsqu’ils touchent une surface, l’onde sonore revient et est perçue à travers la mâchoire inférieure du dauphin. Ainsi, les dauphins perçoivent extrêmement bien les ondes acoustiques, sans avoir d’oreilles externes et tout en conservant leur hydrodynamisme.
Grâce à ces informations, le dauphin peut non seulement connaître l’emplacement d’une cible, mais aussi déduire sa densité : un dauphin peut distinguer à une distance de 75 mètres si une sphère d’un pouce (2,54 cm) de diamètre est faite d’acier solide ou remplie d’eau.
Les dauphins communiquent par des canaux qui nous sont inaccessibles
Mais cette impressionnante capacité à « voir avec les oreilles » ne s’arrête pas là. En effet, les dauphins peuvent écouter les échos des clics produits par leurs congénères, une capacité appelée « eavesdropping », que l’on pourrait traduire par « écoute clandestine ». Ils peuvent ainsi « partager » ce qu’ils détectent avec les membres de leur groupe et coordonner leurs mouvements.
Dans le cadre de mes recherches, je me suis intéressée à la manière dont les dauphins utilisent leurs clics pour synchroniser leurs mouvements. Pour ce faire, j’ai exploité une méthode d’enregistrement utilisant quatre hydrophones et une caméra à 360°, qui permettent de savoir quel dauphin émet un son – ce qui était jusque-là impossible car les dauphins n’ouvrent pas la gueule pour vocaliser.
’ai pu montrer que lorsque les dauphins sautent de manière synchronisée, dans un delphinarium, l’un des animaux produit les clics et les autres restent silencieux. Dans notre expérience, l’animal qui produisait les clics était toujours la femelle la plus âgée.
La même chose se produira-t-elle dans la nature lorsque les dauphins pêchent en coordination ? Pour le vérifier, il faudrait utiliser la même méthode d’enregistrement audiovisuel à 360° dans l’océan. Cela impliquerait établir une base d’observation dans une zone d’alimentation à bonne visibilité, par exemple lorsque les dauphins pêchent autour des fermes aquicoles. La proximité régulière des dauphins permettrait d’enregistrer leur comportement de pêche en solitaire, et de mieux comprendre comment ils coopèrent et se coordonnent.
Questions existentielles - page 305
Donald Trump pense qu’il ressemble à Elvis Presley, les internautes se déchaînent
20Minutes
SOSIE ?
•Sur les réseaux sociaux, l’ancien président des Etats-Unis a posté un montage de son visage et de celui de la star du rock
C’est non pour moi », « Continue de rêver », « C’est la chose la plus bête que j’ai lue de la semaine »… Dans une publication sur Instagram et Truth Social, la plateforme de médias sociaux de l’ancien président Donald Trump, ce dernier a suscité ce dimanche de nombreux commentaires de la part des internautes, relaie BFMTV.
Le candidat à la Maison-Blanche a ainsi partagé une photo juxtaposant la moitié de son visage avec celui d’Elvis Presley, tout en expliquant : « Depuis tant d’années, les gens disent qu’Elvis et moi nous ressemblons. Maintenant, cette photo circule partout. Qu’en pensez-vous ? »
Des précédents
Cette comparaison inattendue entre l’homme d’affaires et la star du rock a déclenché des réactions variées sur les réseaux sociaux. D’autant que Donald Trump n’en est pas à son coup d’essai : il a une fâcheuse tendance à faire référence à des personnalités historiques, comme Nelson Mandela ou La Joconde, pointe Business Insider.
Parmi les plus de 23.000 commentaires, certains followers ont ainsi confirmé la ressemblance supposée avec Elvis, tandis que d’autres ont ridiculisé Donald Trump en éditant des photos le comparant à Adolf Hitler et à un oompa loompa (personnages de Charlie et la Chocolaterie). « Il a besoin de demander de l’aide », a également écrit un autre internaute.
Une campagne « délirante »
Des figures politiques telles que le président Joe Biden ont également critiqué le comportement de son prédécesseur, qualifiant sa campagne présidentielle des plus « étrange » et soulignant un comportement « encore pire » qu’en 2020 de la part de l’homme d’affaires. Ben Meiselas, cofondateur du comité d’action politique anti-Trump MediasTouch, s’est également exprimé à ce sujet : « [Cela] permet aux gens de voir enfin à quel point la campagne de Trump est délirante ».
L’ancien président âgé de 77 ans, banni des plateformes Meta après l’assaut du Capitole, a récemment retrouvé son accès pour ne pas entraver la campagne présidentielle de 2024.
20Minutes
SOSIE ?
•Sur les réseaux sociaux, l’ancien président des Etats-Unis a posté un montage de son visage et de celui de la star du rock
C’est non pour moi », « Continue de rêver », « C’est la chose la plus bête que j’ai lue de la semaine »… Dans une publication sur Instagram et Truth Social, la plateforme de médias sociaux de l’ancien président Donald Trump, ce dernier a suscité ce dimanche de nombreux commentaires de la part des internautes, relaie BFMTV.
Le candidat à la Maison-Blanche a ainsi partagé une photo juxtaposant la moitié de son visage avec celui d’Elvis Presley, tout en expliquant : « Depuis tant d’années, les gens disent qu’Elvis et moi nous ressemblons. Maintenant, cette photo circule partout. Qu’en pensez-vous ? »
Des précédents
Cette comparaison inattendue entre l’homme d’affaires et la star du rock a déclenché des réactions variées sur les réseaux sociaux. D’autant que Donald Trump n’en est pas à son coup d’essai : il a une fâcheuse tendance à faire référence à des personnalités historiques, comme Nelson Mandela ou La Joconde, pointe Business Insider.
Parmi les plus de 23.000 commentaires, certains followers ont ainsi confirmé la ressemblance supposée avec Elvis, tandis que d’autres ont ridiculisé Donald Trump en éditant des photos le comparant à Adolf Hitler et à un oompa loompa (personnages de Charlie et la Chocolaterie). « Il a besoin de demander de l’aide », a également écrit un autre internaute.
Une campagne « délirante »
Des figures politiques telles que le président Joe Biden ont également critiqué le comportement de son prédécesseur, qualifiant sa campagne présidentielle des plus « étrange » et soulignant un comportement « encore pire » qu’en 2020 de la part de l’homme d’affaires. Ben Meiselas, cofondateur du comité d’action politique anti-Trump MediasTouch, s’est également exprimé à ce sujet : « [Cela] permet aux gens de voir enfin à quel point la campagne de Trump est délirante ».
L’ancien président âgé de 77 ans, banni des plateformes Meta après l’assaut du Capitole, a récemment retrouvé son accès pour ne pas entraver la campagne présidentielle de 2024.
Corée du Sud : la mesure exceptionnelle d'une entreprise contre la crise démographique
RTL
Confrontée au pire taux de fécondité de son histoire, la Corée du Sud fait tout pour se relancer démographiquement. Une entreprise propose même une prime exceptionnelle de 70.000 euros aux nouveaux parents.
La Corée du Sud fait face à un défi démographique historique. L'année dernière, le pays a enregistré le pire taux de fécondité de son histoire : 0,72. Si ce dernier se maintient, la population sud-coréenne menace d'être divisée par deux d'ici à 80 ans. C'est pourquoi l'État a déjà dépensé plus de 280.000 milliards de wons, soit 196 millions d'euros. Certaines entreprises locales œuvrent également contre cette problématique en poussant leurs employés à avoir des enfants.
C'est le cas du groupe sud-coréen de construction Booyoung, dont le PDG Lee Joong-keun souligne l'incapacité des autorités à contrer ce problème. Il a donc opté pour une solution plus directe : une prime exceptionnelle de 100 millions de wons, soit près de 70.000 euros, à tous ses employés qui fêteront la naissance d'un nouveau-né, rapportent Les Echos.
Au cours d'une cérémonie tenue le lundi 5 février où il a distribué ces premières primes, Lee Joong-keun a justifié son initiative. "Si l'on suit ce rythme actuel de baisse de la natalité, le pays pourrait se retrouver menacé d'extinction d'ici à 20 ans", redoute-t-il, "l'entreprise doit adopter ces mesures d'incitation sans précédent pour alléger les charges financières des familles de nos employés et leurs difficultés à concilier vie professionnelle et vie privée", ajoute l'homme d'affaires de 84 ans, qui appelle le gouvernement sud-coréen à multiplier les efforts.
RTL
Confrontée au pire taux de fécondité de son histoire, la Corée du Sud fait tout pour se relancer démographiquement. Une entreprise propose même une prime exceptionnelle de 70.000 euros aux nouveaux parents.
La Corée du Sud fait face à un défi démographique historique. L'année dernière, le pays a enregistré le pire taux de fécondité de son histoire : 0,72. Si ce dernier se maintient, la population sud-coréenne menace d'être divisée par deux d'ici à 80 ans. C'est pourquoi l'État a déjà dépensé plus de 280.000 milliards de wons, soit 196 millions d'euros. Certaines entreprises locales œuvrent également contre cette problématique en poussant leurs employés à avoir des enfants.
C'est le cas du groupe sud-coréen de construction Booyoung, dont le PDG Lee Joong-keun souligne l'incapacité des autorités à contrer ce problème. Il a donc opté pour une solution plus directe : une prime exceptionnelle de 100 millions de wons, soit près de 70.000 euros, à tous ses employés qui fêteront la naissance d'un nouveau-né, rapportent Les Echos.
Au cours d'une cérémonie tenue le lundi 5 février où il a distribué ces premières primes, Lee Joong-keun a justifié son initiative. "Si l'on suit ce rythme actuel de baisse de la natalité, le pays pourrait se retrouver menacé d'extinction d'ici à 20 ans", redoute-t-il, "l'entreprise doit adopter ces mesures d'incitation sans précédent pour alléger les charges financières des familles de nos employés et leurs difficultés à concilier vie professionnelle et vie privée", ajoute l'homme d'affaires de 84 ans, qui appelle le gouvernement sud-coréen à multiplier les efforts.
Un pigeon, espion présumé, relâché après avoir été blanchi
LaPresse.ca
(New Delhi) L’Inde a relâché un pigeon qui avait été incarcéré durant huit mois en raison de soupçons d’espionnage, l’animal ayant finalement été blanchi, a-t-on appris vendredi auprès de l’organisation de défense des animaux Peta.
L’oiseau avait été intercepté en mai porteur d’un « message illisible » et placé en détention dans une clinique vétérinaire de Bombay, avant d’être relâché le 30 janvier par la police, a précisé cette source.
Selon le quotidien Times of India, le message était rédigé en chinois, ce qui avait alarmé les enquêteurs.
« La police avait ouvert une procédure pour espionnage à l’encontre de l’oiseau, mais a clos le dossier au terme de son enquête », affirme le journal. L’AFP n’a pu avoir de confirmation officielle.
Les arrestations de pigeons voyageurs pour espionnage ne sont pas rares en Inde. En 2016, l’un d’eux avait été incarcéré après avoir été intercepté près de la frontière pakistanaise, porteur d’un message menaçant à l’endroit du premier ministre Narendra Modi.
LaPresse.ca
(New Delhi) L’Inde a relâché un pigeon qui avait été incarcéré durant huit mois en raison de soupçons d’espionnage, l’animal ayant finalement été blanchi, a-t-on appris vendredi auprès de l’organisation de défense des animaux Peta.
L’oiseau avait été intercepté en mai porteur d’un « message illisible » et placé en détention dans une clinique vétérinaire de Bombay, avant d’être relâché le 30 janvier par la police, a précisé cette source.
Selon le quotidien Times of India, le message était rédigé en chinois, ce qui avait alarmé les enquêteurs.
« La police avait ouvert une procédure pour espionnage à l’encontre de l’oiseau, mais a clos le dossier au terme de son enquête », affirme le journal. L’AFP n’a pu avoir de confirmation officielle.
Les arrestations de pigeons voyageurs pour espionnage ne sont pas rares en Inde. En 2016, l’un d’eux avait été incarcéré après avoir été intercepté près de la frontière pakistanaise, porteur d’un message menaçant à l’endroit du premier ministre Narendra Modi.
Début février 2024, cette ville bretonne a bénéficié de… douze minutes d’ensoleillement
OuestFrance
Entre les jeudis 1er et 8 février 2024, Brest (Finistère) a compté seulement douze petites minutes d’ensoleillement, selon les données de Météo Bretagne. La cité du Ponant devance Lorient, Rennes, Vannes et Quimper.
Dernièrement, nombreux ont été les Bretons à lever le nez, à la recherche du moindre petit rayon de soleil. Les apparitions de l’astre du jour ont été peu nombreuses, voire inexistantes dans la péninsule.
36 minutes à Rennes et 48 minutes à Quimper
À Brest (Finistère), Météo Bretagne a comptabilisé seulement douze minutes d’ensoleillement, entre les jeudis 1er et 8 février 2024.
Dans une publication sur le réseau social X (ex-Twitter), le météorologue Sébastien Decaux a relevé, sur cette même période, trente minutes à Lorient, trente-six minutes à Rennes et quarante-huit minutes à Vannes et Quimper. « Ça commence à être long », s’est exclamé le présentateur de Météo Bretagne.
Fort heureusement pour les âmes grises, le passage de la dépression Karlotta a chassé nuages et spleen hivernal à la faveur d’éclaircies plus soutenues, ce week-end.
Et la tendance devrait se poursuivre. Le site MétéoBlue anticipe de son côté jusqu’à quatre heures d’ensoleillement dans la cité du Ponant, ce lundi 12 février 2024.
OuestFrance
Entre les jeudis 1er et 8 février 2024, Brest (Finistère) a compté seulement douze petites minutes d’ensoleillement, selon les données de Météo Bretagne. La cité du Ponant devance Lorient, Rennes, Vannes et Quimper.
Dernièrement, nombreux ont été les Bretons à lever le nez, à la recherche du moindre petit rayon de soleil. Les apparitions de l’astre du jour ont été peu nombreuses, voire inexistantes dans la péninsule.
36 minutes à Rennes et 48 minutes à Quimper
À Brest (Finistère), Météo Bretagne a comptabilisé seulement douze minutes d’ensoleillement, entre les jeudis 1er et 8 février 2024.
Dans une publication sur le réseau social X (ex-Twitter), le météorologue Sébastien Decaux a relevé, sur cette même période, trente minutes à Lorient, trente-six minutes à Rennes et quarante-huit minutes à Vannes et Quimper. « Ça commence à être long », s’est exclamé le présentateur de Météo Bretagne.
Fort heureusement pour les âmes grises, le passage de la dépression Karlotta a chassé nuages et spleen hivernal à la faveur d’éclaircies plus soutenues, ce week-end.
Et la tendance devrait se poursuivre. Le site MétéoBlue anticipe de son côté jusqu’à quatre heures d’ensoleillement dans la cité du Ponant, ce lundi 12 février 2024.
Montpellier : Un sanglier retrouvé allongé sur le palier d’un appartement
20Minutes
INVITÉ SURPRISE
•L’animal, qui avait élu domicile au quatrième étage d’un immeuble, a été délogé par un lieutenant de louveterie
On a vu, dans l’Hérault, des sangliers bloquer une autoroute, s’octroyer une petite balade en ville, sur la plage ou même nager en pleine mer. Mais c’est la première fois qu’on en découvre un… dans un immeuble. Le 6 février dernier, un sanglier a été retrouvé dans une résidence, à Montpellier, allongé tranquillement sur le palier d’un appartement.
C’est Max Alliès, le président de la Fédération départementale des chasseurs de l’Hérault, qui a partagé cette étonnante rencontre, au quatrième étage de ce bâtiment. En précisant que ce n’était pas un coup monté. « Au cas où certains seraient encore persuadés que c’est à cause des chasseurs que les sangliers sont présents à Montpellier, soyez rassurés, [ils] n’ont pas déposé du maïs au quatrième étage » de cette résidence, écrit-il, sur Facebook.
« Ils n’ont pas la pression qu’on leur met ailleurs »
« Ces animaux sauvages opportunistes s’adaptent parfaitement à la vie urbaine, poursuit Max Alliès. Il semblerait qu’ils s’orientent maintenant vers le logement collectif. » En mars 2023, tandis que les proliférations de sangliers faisaient la une des journaux à Montpellier, le patron des chasseurs de l’Hérault avait expliqué à 20 Minutes que cette présence de plus en plus étonnante de sangliers en ville était due, notamment, au fait que « nous, les chasseurs, nous n’y allons pas, bien sûr ». « Ils n’ont la pression qu’on leur met ailleurs. »
Un lieutenant de louveterie, missionné par l’Etat pour intervenir, bénévolement, auprès de la faune sauvage, a reconduit ce drôle de locataire à l’extérieur de la résidence.
20Minutes
INVITÉ SURPRISE
•L’animal, qui avait élu domicile au quatrième étage d’un immeuble, a été délogé par un lieutenant de louveterie
On a vu, dans l’Hérault, des sangliers bloquer une autoroute, s’octroyer une petite balade en ville, sur la plage ou même nager en pleine mer. Mais c’est la première fois qu’on en découvre un… dans un immeuble. Le 6 février dernier, un sanglier a été retrouvé dans une résidence, à Montpellier, allongé tranquillement sur le palier d’un appartement.
C’est Max Alliès, le président de la Fédération départementale des chasseurs de l’Hérault, qui a partagé cette étonnante rencontre, au quatrième étage de ce bâtiment. En précisant que ce n’était pas un coup monté. « Au cas où certains seraient encore persuadés que c’est à cause des chasseurs que les sangliers sont présents à Montpellier, soyez rassurés, [ils] n’ont pas déposé du maïs au quatrième étage » de cette résidence, écrit-il, sur Facebook.
« Ils n’ont pas la pression qu’on leur met ailleurs »
« Ces animaux sauvages opportunistes s’adaptent parfaitement à la vie urbaine, poursuit Max Alliès. Il semblerait qu’ils s’orientent maintenant vers le logement collectif. » En mars 2023, tandis que les proliférations de sangliers faisaient la une des journaux à Montpellier, le patron des chasseurs de l’Hérault avait expliqué à 20 Minutes que cette présence de plus en plus étonnante de sangliers en ville était due, notamment, au fait que « nous, les chasseurs, nous n’y allons pas, bien sûr ». « Ils n’ont la pression qu’on leur met ailleurs. »
Un lieutenant de louveterie, missionné par l’Etat pour intervenir, bénévolement, auprès de la faune sauvage, a reconduit ce drôle de locataire à l’extérieur de la résidence.
Hérault : En baladant son chien, il découvre un os de dinosaure vieux de 70 millions d’années
20Minutes
ROARRR !
•Cette étonnante trouvaille a permis de mettre au jour le squelette quasi-complet, du crâne à la queue, d’un monstre du Crétacé
Il y a un peu moins de deux ans, tandis qu’il promenait son chien dans la forêt de Montouliers (Hérault), Damien Boschetto est tombé… sur un os. Mais ce jour-là, en se baissant pour admirer d’un peu plus près cette intrigante trouvaille, au bord d’une falaise, ce jeune homme ne savait pas encore qu’il allait être à l’origine d’une découverte exceptionnelle : ce petit os, qu’un éboulement avait récemment mis au jour, n’était rien de moins qu’une infime partie du fossile… d’un dinosaure. Un titanosaure, pour être plus précis. Un monstre (gentil) du Crétacé supérieur, d’une dizaine de mètres de long et, sans doute, de plusieurs mètres de haut, qui broutait là, il y a 70 millions d’années.
Damien Boschetto ne s’est pas, toutefois, promené ici par hasard. Car cet Héraultais est passionné de paléontologie, la science des fossiles. « Quitte à promener mon chien, je le fais à des endroits où je peux trouver des choses intéressantes ! », confie-t-il à 20 Minutes. Et dans le Saint-Chinianais, une région viticole aux portes de Béziers, ce n’est pas Jurassic Park, mais presque. Selon l’Association culturelle, archéologique et paléontologique (Acap) de Cruzy, engagée dans la recherche et la conservation des vestiges que renferment ces terres, plus de 25 espèces ont déjà été découvertes ici.
« Ce jour-là, j’ai tout de suite reconnu certains ossements »
Mais la trouvaille de Damien Boschetto n’a rien de banal : c’est un squelette presque entier d’un titanosaure qui a été découvert, du crâne à la queue. Et ça, c’est rare. Car les squelettes ont souvent été, au fil des temps, charriés par les crues, et les os ont été dispersés. « Ce jour-là, j’ai tout de suite reconnu certains ossements, et j’ai prévenu mes collègues de l’Acap, témoigne Damien Boschetto. Ce n’est qu’après quelques jours de recherches, que nous nous sommes rendu compte que nous avions devant nous un squelette en connexion. Nous avons d’abord prélevé des os du bassin, puis la colonne vertébrale, puis la queue… Là, les fouilles ont pris une tout autre dimension. »
Pour Damien Boschetto et ses camarades de l’Acap, il était hors de question de révéler l’existence de ce dinosaure au grand jour, avant que son squelette ne soit mis à l’abri, pour éviter qu’il ne soit endommagé ou pillé par d’indélicats Indiana Jones en herbe. Alors pendant deux ans, les bénévoles, épaulés par des étudiants et de jeunes scientifiques, ont progressivement extrait le titanosaure du sol, sans que personne, ou presque, ne soit au courant. Finalement, ces dernières semaines, les ossements ont tous été emballés minutieusement dans des coques de plâtre, et transportés jusqu’au laboratoire de Cruzy.
« Ils sont probablement tous morts en même temps, dans une crue éclair »
Désormais, ils vont être étudiés de près par des scientifiques. Et par Damien Boschetto lui-même. Car cette étonnante découverte, un matin d’hiver, l’a convaincu de changer de vie. Le jeune homme, qui travaillait, jusqu’alors, dans le domaine de l’énergie, s’apprête à se lancer dans un master de paléontologie. Pour son mémoire, il est même probable qu’il planche sur le dinosaure qu’il a découvert, à Montouliers. Ou les dinosaures. Car si le titanosaure qui fait l’objet de toutes ses attentions est le mieux conservé, d’autres squelettes, moins complets, ont aussi été retrouvés, dans cette forêt héraultaise.
« Ils sont probablement tous morts en même temps, dans une crue éclair, détaille Damien Boschetto. Ils sont sans doute été emportés par des courants, et se sont retrouvés là. » Avant que leurs cadavres ne soient totalement recouverts, ce qui a permis leur conservation si exceptionnelle, ils ont sans doute fait le bonheur d’autres espèces. « On constate des traces de morsures de crocodiles, ou de carnivores », confie Damien Boschetto. Mais ce n’est que le début. Il ne fait aucun doute que les Alan Grant du Saint-Chinianais fassent d’autres découvertes exceptionnelles, dans les prochaines années.
20Minutes
ROARRR !
•Cette étonnante trouvaille a permis de mettre au jour le squelette quasi-complet, du crâne à la queue, d’un monstre du Crétacé
Il y a un peu moins de deux ans, tandis qu’il promenait son chien dans la forêt de Montouliers (Hérault), Damien Boschetto est tombé… sur un os. Mais ce jour-là, en se baissant pour admirer d’un peu plus près cette intrigante trouvaille, au bord d’une falaise, ce jeune homme ne savait pas encore qu’il allait être à l’origine d’une découverte exceptionnelle : ce petit os, qu’un éboulement avait récemment mis au jour, n’était rien de moins qu’une infime partie du fossile… d’un dinosaure. Un titanosaure, pour être plus précis. Un monstre (gentil) du Crétacé supérieur, d’une dizaine de mètres de long et, sans doute, de plusieurs mètres de haut, qui broutait là, il y a 70 millions d’années.
Damien Boschetto ne s’est pas, toutefois, promené ici par hasard. Car cet Héraultais est passionné de paléontologie, la science des fossiles. « Quitte à promener mon chien, je le fais à des endroits où je peux trouver des choses intéressantes ! », confie-t-il à 20 Minutes. Et dans le Saint-Chinianais, une région viticole aux portes de Béziers, ce n’est pas Jurassic Park, mais presque. Selon l’Association culturelle, archéologique et paléontologique (Acap) de Cruzy, engagée dans la recherche et la conservation des vestiges que renferment ces terres, plus de 25 espèces ont déjà été découvertes ici.
« Ce jour-là, j’ai tout de suite reconnu certains ossements »
Mais la trouvaille de Damien Boschetto n’a rien de banal : c’est un squelette presque entier d’un titanosaure qui a été découvert, du crâne à la queue. Et ça, c’est rare. Car les squelettes ont souvent été, au fil des temps, charriés par les crues, et les os ont été dispersés. « Ce jour-là, j’ai tout de suite reconnu certains ossements, et j’ai prévenu mes collègues de l’Acap, témoigne Damien Boschetto. Ce n’est qu’après quelques jours de recherches, que nous nous sommes rendu compte que nous avions devant nous un squelette en connexion. Nous avons d’abord prélevé des os du bassin, puis la colonne vertébrale, puis la queue… Là, les fouilles ont pris une tout autre dimension. »
Pour Damien Boschetto et ses camarades de l’Acap, il était hors de question de révéler l’existence de ce dinosaure au grand jour, avant que son squelette ne soit mis à l’abri, pour éviter qu’il ne soit endommagé ou pillé par d’indélicats Indiana Jones en herbe. Alors pendant deux ans, les bénévoles, épaulés par des étudiants et de jeunes scientifiques, ont progressivement extrait le titanosaure du sol, sans que personne, ou presque, ne soit au courant. Finalement, ces dernières semaines, les ossements ont tous été emballés minutieusement dans des coques de plâtre, et transportés jusqu’au laboratoire de Cruzy.
« Ils sont probablement tous morts en même temps, dans une crue éclair »
Désormais, ils vont être étudiés de près par des scientifiques. Et par Damien Boschetto lui-même. Car cette étonnante découverte, un matin d’hiver, l’a convaincu de changer de vie. Le jeune homme, qui travaillait, jusqu’alors, dans le domaine de l’énergie, s’apprête à se lancer dans un master de paléontologie. Pour son mémoire, il est même probable qu’il planche sur le dinosaure qu’il a découvert, à Montouliers. Ou les dinosaures. Car si le titanosaure qui fait l’objet de toutes ses attentions est le mieux conservé, d’autres squelettes, moins complets, ont aussi été retrouvés, dans cette forêt héraultaise.
« Ils sont probablement tous morts en même temps, dans une crue éclair, détaille Damien Boschetto. Ils sont sans doute été emportés par des courants, et se sont retrouvés là. » Avant que leurs cadavres ne soient totalement recouverts, ce qui a permis leur conservation si exceptionnelle, ils ont sans doute fait le bonheur d’autres espèces. « On constate des traces de morsures de crocodiles, ou de carnivores », confie Damien Boschetto. Mais ce n’est que le début. Il ne fait aucun doute que les Alan Grant du Saint-Chinianais fassent d’autres découvertes exceptionnelles, dans les prochaines années.
La « Batmom » : cette retraitée polonaise qui vit avec 1 600 chauves-souris dans son appartement
OuestFrance
Depuis 16 ans, une Polonaise accueille et soigne des chauves-souris dans son appartement de 60 m2. Au total, elle dit en avoir recueilli plus de 1 600 pendant cette période. La retraitée fait désormais de la sensibilisation dans les écoles pour défendre ses petits compagnons et faire tomber les clichés qui nuisent à leur réputation.
En Pologne, on la surnomme la « batmom ». À Szczecin, dans le nord-ouest du pays, Barbara Gorecka, une retraitée de 69 ans, a fait de son appartement un refuge pour chauves-souris. Elle en a déjà recueilli plus de 1 600 en 16 ans, selon nos confrères de TV5 Monde .
En Pologne, on la surnomme la « batmom ». À Szczecin, dans le nord-ouest du pays, Barbara Gorecka, une retraitée de 69 ans, a fait de son appartement un refuge pour chauves-souris. Elle en a déjà recueilli plus de 1 600 en 16 ans, selon nos confrères de TV5 Monde .
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024.
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024. | SERGEI GAPON / AFP
Un « centre de remise en forme »
La première fois qu’elle a vu un chiroptère empêtré dans les draps de sa fille, elle a « paniqué ». L’animal s’était introduit dans l’appartement par des gaines de ventilation. Puis Barbara Gorecka s’est renseignée et a appris à apprécier ces petits volatiles. Depuis, elle se porte à leur secours. « Je reçois surtout des chauves-souris épuisées, celles qui se sont réveillées, malheureusement pour elles, à cause par exemple de feux d’artifice ou à cause d’un coup de chaud quand elles pensent que c’est déjà le printemps », explique-t-elle.
En Pologne, on la surnomme la « batmom ». À Szczecin, dans le nord-ouest du pays, Barbara Gorecka, une retraitée de 69 ans, a fait de son appartement un refuge pour chauves-souris. Elle en a déjà recueilli plus de 1 600 en 16 ans, selon nos confrères de TV5 Monde .
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024.
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024. | SERGEI GAPON / AFP
Un « centre de remise en forme »
La première fois qu’elle a vu un chiroptère empêtré dans les draps de sa fille, elle a « paniqué ». L’animal s’était introduit dans l’appartement par des gaines de ventilation. Puis Barbara Gorecka s’est renseignée et a appris à apprécier ces petits volatiles. Depuis, elle se porte à leur secours. « Je reçois surtout des chauves-souris épuisées, celles qui se sont réveillées, malheureusement pour elles, à cause par exemple de feux d’artifice ou à cause d’un coup de chaud quand elles pensent que c’est déjà le printemps », explique-t-elle.
Barbara Gorecka présente sa chauve-souris à une classe lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024
Barbara Gorecka présente sa chauve-souris à une classe lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024 | SERGEI GAPON / AFP
À court d’énergie, les mammifères peuvent alors se requinquer dans ce logement de 60 m2 devenu un véritable « centre de remise en forme ». Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette habitante ne fait pas les choses à moitié : chaque chauve-souris dispose d’un prénom, d’un tableau de distribution des repas et des médicaments et même d’un endroit où dormir.
Elle sensibilise les jeunes
L’une d’elles a d’ailleurs élu domicile dans les vêtements de la sexagénaire. « Je n’avais pas d’ailes pour qu’elle puisse s’y blottir alors je l’ai mise dans mon soutien-gorge et, en sentant le battement de mon cœur et la chaleur de ma peau, elle s’est sentie comme chez elle. Aujourd’hui encore, dès qu’elle peut, elle vient et elle est très jalouse de cet endroit alors qu’il y a aussi d’autres volontaires », s’amuse la retraitée.
La « batmom », qui peut compter sur l’aide d’un groupe de bénévoles pour soigner ces animaux, s’est déjà rendue à l’église avec une chauve-souris qu’elle avait oubliée dans sa manche. Selon elle, les chiroptères s’apprivoisent généralement en deux ou trois jours. Déterminée à faire tomber les clichés qui collent aux ailes des chauves-souris, la Polonaise se rend désormais dans les écoles du pays pour sensibiliser la jeune génération et, ainsi, continuer de préserver au mieux ses petits compagnons.
OuestFrance
Depuis 16 ans, une Polonaise accueille et soigne des chauves-souris dans son appartement de 60 m2. Au total, elle dit en avoir recueilli plus de 1 600 pendant cette période. La retraitée fait désormais de la sensibilisation dans les écoles pour défendre ses petits compagnons et faire tomber les clichés qui nuisent à leur réputation.
En Pologne, on la surnomme la « batmom ». À Szczecin, dans le nord-ouest du pays, Barbara Gorecka, une retraitée de 69 ans, a fait de son appartement un refuge pour chauves-souris. Elle en a déjà recueilli plus de 1 600 en 16 ans, selon nos confrères de TV5 Monde .
En Pologne, on la surnomme la « batmom ». À Szczecin, dans le nord-ouest du pays, Barbara Gorecka, une retraitée de 69 ans, a fait de son appartement un refuge pour chauves-souris. Elle en a déjà recueilli plus de 1 600 en 16 ans, selon nos confrères de TV5 Monde .
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024.
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024. | SERGEI GAPON / AFP
Un « centre de remise en forme »
La première fois qu’elle a vu un chiroptère empêtré dans les draps de sa fille, elle a « paniqué ». L’animal s’était introduit dans l’appartement par des gaines de ventilation. Puis Barbara Gorecka s’est renseignée et a appris à apprécier ces petits volatiles. Depuis, elle se porte à leur secours. « Je reçois surtout des chauves-souris épuisées, celles qui se sont réveillées, malheureusement pour elles, à cause par exemple de feux d’artifice ou à cause d’un coup de chaud quand elles pensent que c’est déjà le printemps », explique-t-elle.
En Pologne, on la surnomme la « batmom ». À Szczecin, dans le nord-ouest du pays, Barbara Gorecka, une retraitée de 69 ans, a fait de son appartement un refuge pour chauves-souris. Elle en a déjà recueilli plus de 1 600 en 16 ans, selon nos confrères de TV5 Monde .
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024.
Barbara Gorecka nourrit une chauve-souris lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024. | SERGEI GAPON / AFP
Un « centre de remise en forme »
La première fois qu’elle a vu un chiroptère empêtré dans les draps de sa fille, elle a « paniqué ». L’animal s’était introduit dans l’appartement par des gaines de ventilation. Puis Barbara Gorecka s’est renseignée et a appris à apprécier ces petits volatiles. Depuis, elle se porte à leur secours. « Je reçois surtout des chauves-souris épuisées, celles qui se sont réveillées, malheureusement pour elles, à cause par exemple de feux d’artifice ou à cause d’un coup de chaud quand elles pensent que c’est déjà le printemps », explique-t-elle.
Barbara Gorecka présente sa chauve-souris à une classe lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024
Barbara Gorecka présente sa chauve-souris à une classe lors d’une conférence à l’école de Szczecin le 1er février 2024 | SERGEI GAPON / AFP
À court d’énergie, les mammifères peuvent alors se requinquer dans ce logement de 60 m2 devenu un véritable « centre de remise en forme ». Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette habitante ne fait pas les choses à moitié : chaque chauve-souris dispose d’un prénom, d’un tableau de distribution des repas et des médicaments et même d’un endroit où dormir.
Elle sensibilise les jeunes
L’une d’elles a d’ailleurs élu domicile dans les vêtements de la sexagénaire. « Je n’avais pas d’ailes pour qu’elle puisse s’y blottir alors je l’ai mise dans mon soutien-gorge et, en sentant le battement de mon cœur et la chaleur de ma peau, elle s’est sentie comme chez elle. Aujourd’hui encore, dès qu’elle peut, elle vient et elle est très jalouse de cet endroit alors qu’il y a aussi d’autres volontaires », s’amuse la retraitée.
La « batmom », qui peut compter sur l’aide d’un groupe de bénévoles pour soigner ces animaux, s’est déjà rendue à l’église avec une chauve-souris qu’elle avait oubliée dans sa manche. Selon elle, les chiroptères s’apprivoisent généralement en deux ou trois jours. Déterminée à faire tomber les clichés qui collent aux ailes des chauves-souris, la Polonaise se rend désormais dans les écoles du pays pour sensibiliser la jeune génération et, ainsi, continuer de préserver au mieux ses petits compagnons.
Des asticots tombent d’un bagage et envahissent la tête d’une passagère, l’avion fait demi-tour
20Minutes
PANIQUE À BORD•Un passager du vol Amsterdam-Detroit avait emporté dans ses bagages du poisson avarié
Un avion de la compagnie Delta qui partait d’Amsterdam (Pays-Bas) pour rejoindre Detroit aux Etats-Unis a dû faire demi-tour mardi, une heure seulement après son décollage. Une passagère qui se trouvait en classe économique a été fortement incommodée par des asticots qui lui sont tombés dessus depuis les compartiments supérieurs, rapporte The Independent.
Du poisson enveloppé dans du papier journal
« Elle paniquait » a déclaré un Néerlandais vivant dans l’Iowa à la Fox 2. « Elle essayait de lutter contre ces asticots ». Il a précisé qu’une douzaine d’asticots s’agitaient sur la passagère. Le trouble et la panique causés par cet incident sont d’ailleurs visibles dans une vidéo publiée par The Independent.
Le personnel navigant a cherché à comprendre d’où pouvaient provenir les bestioles. Elles étaient en fait tombées d’un bagage à main dans lequel deux poissons avaient été rangés dans du papier journal. Quand le personnel a ouvert le sac, « tout le monde s’est pincé le nez » a confié le Néerlandais.
Les passagers conduits dans un autre appareil
Le poisson avarié a été transféré à l’arrière de l’avion. Peu après, le commandant de bord a annoncé que l’Airbus A330-300 devait faire demi-tour vers l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol. Les passagers ont ensuite pu prendre un autre vol. Il était impossible de repartir avec le même appareil, qui a été envoyé au nettoyage.
L’ensemble des passagers ont été dédommagés. Ils ont reçu 8.000 miles, le paiement de leur chambre d’hôtel et un ticket repas de 30 dollars. Un voyageur a indiqué au Daily Mail que le propriétaire des poissons avait pu être identifié et qu’il avait été retenu par le personnel de bord après la descente des autres passagers.
20Minutes
PANIQUE À BORD•Un passager du vol Amsterdam-Detroit avait emporté dans ses bagages du poisson avarié
Un avion de la compagnie Delta qui partait d’Amsterdam (Pays-Bas) pour rejoindre Detroit aux Etats-Unis a dû faire demi-tour mardi, une heure seulement après son décollage. Une passagère qui se trouvait en classe économique a été fortement incommodée par des asticots qui lui sont tombés dessus depuis les compartiments supérieurs, rapporte The Independent.
Du poisson enveloppé dans du papier journal
« Elle paniquait » a déclaré un Néerlandais vivant dans l’Iowa à la Fox 2. « Elle essayait de lutter contre ces asticots ». Il a précisé qu’une douzaine d’asticots s’agitaient sur la passagère. Le trouble et la panique causés par cet incident sont d’ailleurs visibles dans une vidéo publiée par The Independent.
Le personnel navigant a cherché à comprendre d’où pouvaient provenir les bestioles. Elles étaient en fait tombées d’un bagage à main dans lequel deux poissons avaient été rangés dans du papier journal. Quand le personnel a ouvert le sac, « tout le monde s’est pincé le nez » a confié le Néerlandais.
Les passagers conduits dans un autre appareil
Le poisson avarié a été transféré à l’arrière de l’avion. Peu après, le commandant de bord a annoncé que l’Airbus A330-300 devait faire demi-tour vers l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol. Les passagers ont ensuite pu prendre un autre vol. Il était impossible de repartir avec le même appareil, qui a été envoyé au nettoyage.
L’ensemble des passagers ont été dédommagés. Ils ont reçu 8.000 miles, le paiement de leur chambre d’hôtel et un ticket repas de 30 dollars. Un voyageur a indiqué au Daily Mail que le propriétaire des poissons avait pu être identifié et qu’il avait été retenu par le personnel de bord après la descente des autres passagers.
Le périple absurde des passagers d'un avion pour cause de toilettes en panne
RTL
Un avion devant relier Amsterdam à Los Angeles a été contraint de revenir à son point de départ après 6h30 de vol.
Un problème de toilettes et un voyage cauchemardesque. Les 318 passagers d'un vol KLM qui reliait Amsterdam à Los Angeles ont traversé une drôle de mésaventure le 12 février dernier. Comme l'indiquent nos confrères de BFMTV, l'équipage s'est rapidement aperçu que l'une des toilettes de l'appareil était défectueux.
Si les neuf autres toilettes du Boeing 787-10 Dreamer semblaient fonctionnelles, l'équipage décide tout de même de faire demi-tour et, après une heure de vol, de revenir à l'aéroport d'Amsterdam Schiphol. Mais, surprise, comme l'indiquent les données de suivi du vol, l'équipage est rapidement revenu sur cette décision, les toilettes en question fonctionnant à nouveau.
Le soulagement est temporaire. Toujours à cause de ces toilettes, finalement bien en panne, l'équipage décide, deux heures plus tard, de revenir à Amsterdam. L'avion se situe alors au niveau du Groenland.
La panne aurait ensuite engendré des dysfonctionnements sur l'ensemble des toilettes de l'appareil, la situation prenant soudain une tournure plus grave pour les passagers. Après 6h30 de vol, dont plusieurs sans toilettes à bord, l'avion a finalement atterri à son point de départ.
RTL
Un avion devant relier Amsterdam à Los Angeles a été contraint de revenir à son point de départ après 6h30 de vol.
Un problème de toilettes et un voyage cauchemardesque. Les 318 passagers d'un vol KLM qui reliait Amsterdam à Los Angeles ont traversé une drôle de mésaventure le 12 février dernier. Comme l'indiquent nos confrères de BFMTV, l'équipage s'est rapidement aperçu que l'une des toilettes de l'appareil était défectueux.
Si les neuf autres toilettes du Boeing 787-10 Dreamer semblaient fonctionnelles, l'équipage décide tout de même de faire demi-tour et, après une heure de vol, de revenir à l'aéroport d'Amsterdam Schiphol. Mais, surprise, comme l'indiquent les données de suivi du vol, l'équipage est rapidement revenu sur cette décision, les toilettes en question fonctionnant à nouveau.
Le soulagement est temporaire. Toujours à cause de ces toilettes, finalement bien en panne, l'équipage décide, deux heures plus tard, de revenir à Amsterdam. L'avion se situe alors au niveau du Groenland.
La panne aurait ensuite engendré des dysfonctionnements sur l'ensemble des toilettes de l'appareil, la situation prenant soudain une tournure plus grave pour les passagers. Après 6h30 de vol, dont plusieurs sans toilettes à bord, l'avion a finalement atterri à son point de départ.
« C’est une affaire ! » Donald Trump lance une paire de baskets dorées à 399 dollars
OuestFrance
Condamné à payer près de 355 millions de dollars d’amende pour fraudes, Donald Trump ne perd pas le sens des affaires et du spectacle. Il a fait une apparition surprise dans un salon à Philadelphie, samedi 17 février 2024, pour présenter une nouvelle gamme de baskets et de parfum à son effigie.
Des acclamations, des huées et une nuée de journalistes et de caméras. Le « plan com » est réussi. Une fois de plus, Donald Trump fait le show, une de ses grandes spécialités, et pas forcément là où on l’attend. Samedi 17 février 2024, à Philadelphie (Pennsylvanie), l’ex-président des États-Unis a fait une apparition surprise à la Sneakers Con, l’un des plus grands salons dédiés aux « sneakers », rapporte Le Figaro . L’air conquérant, le candidat à l’élection présidentielle de novembre 2024 a brandi une paire de baskets dorées, frappées d’un T - comme Trump - sur la languette et d’un drapeau américain au-dessus du talon. Des chaussures destinées « aux vrais patriotes », précise-t-il.
Ces baskets sont la dernière lubie du businessman et homme politique controversé. « C’est quelque chose dont je parle depuis 12 ou 13 ans. Et je pense que ce sera un grand succès », promet-il. Leur nom fait écho à son mantra : « Never Surrender », c’est-à-dire « Ne jamais capituler », formule que Trump avait popularisée après la diffusion de son « mug shot », la photo judiciaire prise lors de son arrestation en août 2023.
Jusqu’à 9 000 dollars pour une paire dédicacée
Ce n’est pas un hasard si le milliardaire a présenté ces baskets au lendemain de sa condamnation retentissante à payer près de 355 millions de dollars (330 millions d’euros) d’amende pour une série de fraudes financières au sein de son empire immobilier. Lancé dans sa course pour reconquérir la Maison Blanche, Donald Trump entend montrer qu’il reste maître des projecteurs. Ce show lui permet de faire oublier la mauvaise presse générée par cette sentence judiciaire, comme le souligne Le Parisien . Et si, au passage, ça peut l’aider à payer ses amendes…
Car ces chaussures ne sont pas données : elles sont vendues 399 dollars (370 €) la paire. « C’est une affaire ! », lance pourtant Donald Trump à la foule. Un prix qui, à Philadelphie, pouvait même s’envoler à 9 000 dollars (plus de 8 300 €) lorsque la star y apposait sa dédicace.
« Lacez-les et soyez prêt à conquérir »
Ce ne sont pas les seuls produits proposés par le site de Trump : deux autres paires de chaussures sont en vente, ainsi qu’une gamme de parfums « Victory 47 » (en référence à la présidentielle, qui couronnera le « 47e président » des États-Unis). Une belle opération de promotion pour le candidat. « Les baskets Never Surrender sont votre cri de ralliement sous forme de chaussures. Lacez-les et soyez prêt à conquérir », scande le site GetTrumpSneakers.com, cité par BFMTV .
Donald Trump est coutumier de ce genre de business politique. Le Figaro rappelle qu’en 2022, il avait lancé des cartes NFT - des certificats de propriété numériques - à son effigie, sur lesquels il était représenté en super-héros, en cow-boy ou en astronaute. Prix de vente : 99 dollars la carte. Une idée qui lui aurait rapporté jusqu’à million de dollars, rapporte AP.
L’été dernier, l’équipe de campagne de Donald Trump avait également usé de créativité pour faire du business autour du fameux « mug shot ». En échange d’un don de 47 dollars, il était possible de s’offrir un tee-shirt blanc sur lequel étaient imprimés le cliché judiciaire et l’inscription « Never surrender ! » en lettres capitales. Les chaussures, elles, seraient déjà en rupture de stock.
OuestFrance
Condamné à payer près de 355 millions de dollars d’amende pour fraudes, Donald Trump ne perd pas le sens des affaires et du spectacle. Il a fait une apparition surprise dans un salon à Philadelphie, samedi 17 février 2024, pour présenter une nouvelle gamme de baskets et de parfum à son effigie.
Des acclamations, des huées et une nuée de journalistes et de caméras. Le « plan com » est réussi. Une fois de plus, Donald Trump fait le show, une de ses grandes spécialités, et pas forcément là où on l’attend. Samedi 17 février 2024, à Philadelphie (Pennsylvanie), l’ex-président des États-Unis a fait une apparition surprise à la Sneakers Con, l’un des plus grands salons dédiés aux « sneakers », rapporte Le Figaro . L’air conquérant, le candidat à l’élection présidentielle de novembre 2024 a brandi une paire de baskets dorées, frappées d’un T - comme Trump - sur la languette et d’un drapeau américain au-dessus du talon. Des chaussures destinées « aux vrais patriotes », précise-t-il.
Ces baskets sont la dernière lubie du businessman et homme politique controversé. « C’est quelque chose dont je parle depuis 12 ou 13 ans. Et je pense que ce sera un grand succès », promet-il. Leur nom fait écho à son mantra : « Never Surrender », c’est-à-dire « Ne jamais capituler », formule que Trump avait popularisée après la diffusion de son « mug shot », la photo judiciaire prise lors de son arrestation en août 2023.
Jusqu’à 9 000 dollars pour une paire dédicacée
Ce n’est pas un hasard si le milliardaire a présenté ces baskets au lendemain de sa condamnation retentissante à payer près de 355 millions de dollars (330 millions d’euros) d’amende pour une série de fraudes financières au sein de son empire immobilier. Lancé dans sa course pour reconquérir la Maison Blanche, Donald Trump entend montrer qu’il reste maître des projecteurs. Ce show lui permet de faire oublier la mauvaise presse générée par cette sentence judiciaire, comme le souligne Le Parisien . Et si, au passage, ça peut l’aider à payer ses amendes…
Car ces chaussures ne sont pas données : elles sont vendues 399 dollars (370 €) la paire. « C’est une affaire ! », lance pourtant Donald Trump à la foule. Un prix qui, à Philadelphie, pouvait même s’envoler à 9 000 dollars (plus de 8 300 €) lorsque la star y apposait sa dédicace.
« Lacez-les et soyez prêt à conquérir »
Ce ne sont pas les seuls produits proposés par le site de Trump : deux autres paires de chaussures sont en vente, ainsi qu’une gamme de parfums « Victory 47 » (en référence à la présidentielle, qui couronnera le « 47e président » des États-Unis). Une belle opération de promotion pour le candidat. « Les baskets Never Surrender sont votre cri de ralliement sous forme de chaussures. Lacez-les et soyez prêt à conquérir », scande le site GetTrumpSneakers.com, cité par BFMTV .
Donald Trump est coutumier de ce genre de business politique. Le Figaro rappelle qu’en 2022, il avait lancé des cartes NFT - des certificats de propriété numériques - à son effigie, sur lesquels il était représenté en super-héros, en cow-boy ou en astronaute. Prix de vente : 99 dollars la carte. Une idée qui lui aurait rapporté jusqu’à million de dollars, rapporte AP.
L’été dernier, l’équipe de campagne de Donald Trump avait également usé de créativité pour faire du business autour du fameux « mug shot ». En échange d’un don de 47 dollars, il était possible de s’offrir un tee-shirt blanc sur lequel étaient imprimés le cliché judiciaire et l’inscription « Never surrender ! » en lettres capitales. Les chaussures, elles, seraient déjà en rupture de stock.
Starbucks propose un nouveau type de boisson… saveur porc dans ses boutiques en Chine
Huffpost
La chaîne américaine de café ne cesse pas de surprendre avec ses lattes toujours plus bizarres.
NSOLITE - Quoi de mieux pour commencer sa journée qu’un bon café ? Un café accompagné d’un carré de… viande de porc. C’est en tout cas ce qu’on peut désormais trouver en édition limitée sur le menu de Starbucks en Chine : un latte au porc braisé.
Une boisson à faire dresser les poils aux passionnés du café. Ce latte insolite mélange des goûts qu’on n’aurait jamais imaginés ensemble : un shot d’expresso, de la mousse de lait et une sauce saveur de porc braisé Dongpo, un plat traditionnel chinois.
D’après la filiale chinoise de la chaîne de fast-food, celle-ci serait la recette parfaite pour marquer le début du Nouvel An Lunaire, qui a eu lieu le 10 février, un des moments de l’année les plus importants en Asie. Starbucks veut ainsi porter les traditions du Nouvel an dans le café… littéralement.
Il est servi en effet dans tous les cafés du pays avec un carré de viande sur une brochette et une quantité généreuse de sauce rougeâtre, comme vous pouvez le voir dans cette photo partagée sur Weibo, l’un des réseaux sociaux les plus populaires en Chine.
Le latte a néanmoins reçu autant de critiques, surtout en raison du prix, vendu sur l’appli de livraison de Starbucks à 68 yuans, presque 9 euros. D’autres ironisent sur l’assemblage bizarre sucré/salé. « Je permettrais aux deux (porc et café) d’exister dans mon estomac en même temps, mais pas dans ma bouche, » a plaisanté un internaute.
Huffpost
La chaîne américaine de café ne cesse pas de surprendre avec ses lattes toujours plus bizarres.
NSOLITE - Quoi de mieux pour commencer sa journée qu’un bon café ? Un café accompagné d’un carré de… viande de porc. C’est en tout cas ce qu’on peut désormais trouver en édition limitée sur le menu de Starbucks en Chine : un latte au porc braisé.
Une boisson à faire dresser les poils aux passionnés du café. Ce latte insolite mélange des goûts qu’on n’aurait jamais imaginés ensemble : un shot d’expresso, de la mousse de lait et une sauce saveur de porc braisé Dongpo, un plat traditionnel chinois.
D’après la filiale chinoise de la chaîne de fast-food, celle-ci serait la recette parfaite pour marquer le début du Nouvel An Lunaire, qui a eu lieu le 10 février, un des moments de l’année les plus importants en Asie. Starbucks veut ainsi porter les traditions du Nouvel an dans le café… littéralement.
Il est servi en effet dans tous les cafés du pays avec un carré de viande sur une brochette et une quantité généreuse de sauce rougeâtre, comme vous pouvez le voir dans cette photo partagée sur Weibo, l’un des réseaux sociaux les plus populaires en Chine.
Le latte a néanmoins reçu autant de critiques, surtout en raison du prix, vendu sur l’appli de livraison de Starbucks à 68 yuans, presque 9 euros. D’autres ironisent sur l’assemblage bizarre sucré/salé. « Je permettrais aux deux (porc et café) d’exister dans mon estomac en même temps, mais pas dans ma bouche, » a plaisanté un internaute.
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 53 invité(s)