Questions existentielles - page 281

Pour se reposer quelques minutes
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Le dasyure, ce petit mammifère menacé car il préfère se reproduire plutôt que dormir
OuestFrance
Le dasyure, petit mammifère de la famille des marsupiaux, est menacé de disparition en Australie, selon une étude scientifique récemment publiée. L’explication ? L’animal ne dort pas assez pendant la saison des amours.
Le dasyure, appelé aussi le « chat marsupial », est une espace menacée. D’après une étude australienne, publiée le mercredi 1er février 2023 dans la revue scientifique Royal Society Open Science et repérée par le Huffpost , ce petit mammifère de la famille des marsupiaux, au même titre que les kangourous – les femelles gardent leurs petits dans une poche - est en voie de disparition en Australie parce que les mâles manquent de sommeil. Plus particulièrement lors de la saison des amours.
Un temps de repos trop faible

Durant cette période, l’animal, qui a la taille d’un chat, mais plutôt une tête de rongeur avec son museau allongé et que l’on en trouve en Australie mais aussi en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Tanzanie, sacrifie son temps de sommeil pour parcourir plus de 10 kilomètres en une nuit, soit l’équivalent de 40 kilomètres à l’échelle humaine. Il est capable de parcourir cette distance pour trouver une femelle pour copuler.

Or, d’après les chercheurs, pendant cette période de reproduction, ils passent 8 % de leur temps à se reposer. Ce qui est très peu comparé aux femelles qui, elles, passent plutôt un quart de leur temps à dormir.

Privation de sommeil

Ce manque de sommeil est particulièrement problématique pour le dasyure pour qui la période d’accouplement arrive une fois par an. En effet, cet acte lui demande beaucoup d’énergie : il sécrète de façon excessive des corticoïdes, des hormones, qui l’épuisent et peuvent même lui donner des ulcères à l’estomac. « Ce comportement de repos réduit chez les mâles pourrait expliquer la mort après la reproduction », constatent les auteurs de l’étude, qui affirment néanmoins ignorer précisément ce qui cause leur mortalité.

Le problème, aussi, c’est que ce manque de sommeil les rend plus vulnérables. Face aux prédateurs, ils sont moins vigilants. Sur la route, ils peuvent aussi être percutés par une voiture. Ils se négligent aussi, passent moins de temps au toilettage, constatent les chercheurs. Mais au-delà de la surveillance de cette espèce menacée, ou de l’analyse de cette envie folle de copuler, ce sont davantage les conséquences du manque de sommeil sur le corps qui intéressent les chercheurs.
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Agé de plus de 30 ans, Bobi est le plus vieux chien du monde
RECORD Ce Rafeiro de l’Alentejo, qui vit dans une famille du Portugal, est né 11 mai 1992

20 Minutes
Spike n’est finalement pas le plus vieux chien du monde. Ce chihuahua de 23 ans qui vit dans l’Ohio (Etats-Unis) avait pourtant reçu ce titre honorifique il y a deux semaines. Mais depuis, le Guinness World Records a reçu la preuve qu’un chien encore plus âgé était vivant.

Il s’agit de Bobi, un Rafeiro de l’Alentejo qui a vécu toute sa vie avec la famille Costa, dans un village près de Leira, au Portugal. Au 1er février, il était âgé de 30 ans et 266 jours. En moyenne, un chien de cette race à une espérance de vie comprise entre douze et quatorze ans.
Le plus vieux chien à avoir jamais vécu
En plus d’être le chien le plus âgé au monde, Bobi serait aussi le plus vieux chien… de tous les temps. D’après le Guinness World Records, il aurait battu le record d’un berger australien nommé Bluey, qui aurait vécu 29 ans et 5 mois entre 1910 et 1939.

La date de naissance de Bobi a été confirmée par le service vétérinaire local. Et son âge a pu être vérifié grâce à une base de données d’animaux de compagnie gérée par l’Union nationale des vétérinaires au Portugal.
Un chien miraculé
Bobi est en tout cas est un miraculé. Le chien est né le 11 mai 1992 avec trois autres chiots mais le propriétaire avait décidé de ne pas les garder. « A cette époque, il était considéré comme normal […] d’enterrer les animaux dans un trou pour qu’ils ne survivent pas », a expliqué Leonel Costa, 38 ans, actuel maître de Bobi. Ses parents les avaient alors emmenés avec eux… mais ils n’ont pas réalisé qu’ils en avaient oublié un.

Leonel et ses frères eux, ont découvert que l’animal avait échappé à son triste sort et ont décidé de garder secrète son existence secrète. « Nous savions que lorsque le chien ouvrirait les yeux, mes parents ne l’enterraient plus », a expliqué Leonel. Depuis, Bobi fait le bonheur de la famille Costa. D’après son propriétaire, le chien a toujours aimé se promener librement dans les forêts et les terres agricoles entourant la maison familiale. Sa longévité s’expliquerait par cet « environnement calme et paisible », « loin des villes ».
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Pourquoi en France les voitures roulent à droite alors que les trains roulent à gauche ?
RTL
En ces jours de grève, beaucoup d’usagers vont troquer leur train contre leur véhicule. Et vous ne l’avez peut-être pas remarqué, mais chez nous, les voitures et les trains ne roulent pas du même côté. Quand ils roulent évidemment… spéciale dédicace à la CGT. Mais alors, pourquoi ?
Le sens de circulation nous viendrait de l’Antiquité. À cette époque, les hommes portent leur épée côté gauche parce que c’est plus facile de la dégainer pour un droitier, population majoritaire. Sauf que problème : lorsqu’ils se croisent, leurs armes se retrouvent forcément du même côté.

Et si elles s’entrechoquent par accident, ce geste peut être pris pour une provocation et finir en duel ! Mourir parce qu’on a tapé accidentellement dans l’épée de quelqu’un, avouez que c’est ballot. Une solution toute simple a alors été trouvée : circuler à gauche pour se croiser sur la droite, du côté où il n’y a pas d’épée. Et cela va durer comme ça jusqu’au XVIIIᵉ siècle.

Une tradition qui remonte à Napoléon
C'est à ce moment qu’entre en jeu Napoléon ! Comme la règle sur les champs de bataille était depuis toujours d’attaquer par le flanc gauche, le sens de circulation, lui, en fin stratège, a l’idée géniale d’entraîner ses troupes à attaquer par l’autre côté. Pour créer un effet de surprise. Ce qui lui aurait permis de gagner plusieurs batailles.
Aussi, une fois installé dans les pays conquis comme l’Italie, l’Espagne ou la Prusse, une partie de l’Allemagne, Napoléon leur imposait de circuler à droite. Et comme il n’a pas vaincu les Anglais, eux, ont conservé leur tradition de rouler à gauche…

Ce qui nous amène aux trains, qui, eux, roulent donc à gauche. La raison est simple : les ingénieurs de la première ligne ferroviaire ouverte en 1827 entre Saint-Étienne et Andrézieux s’étaient inspirés des Britanniques, pionniers en la matière. Mais cette fois, la raison n’était pas une histoire d’épée !

En réalité, vu que l’on conduisait en majorité de la main droite, on sortait la tête à gauche. Comme Jean Gabin dans La Bête Humaine. Du coup, rouler à gauche évitait, en sortant la tête du même côté quand on croisait un train, de se le prendre en pleine face, ce qui, somme toute - je n’ai jamais essayé - doit être assez douloureux…
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Pourquoi une petite ville brésilienne est au cœur d’un mystère inexpliqué ?
RTL
Cette ville, c'est Cândido Godói et elle se trouve dans l’état de Rio Grande do Sul, l’état le plus au sud du Brésil. Elle compte à peine 7.000 habitants et reçoit surtout la visite de scientifiques du monde entier, car il s’y passe quelque chose de très étrange.
C'est un phénomène qui dure maintenant depuis plusieurs décennies et qu’on ne comprend toujours pas. À Cândido Godói, il y a un taux de naissance de jumeaux anormalement élevé. Là-bas une naissance sur 5, c’est une paire de filles ou de garçons. Une sur 5 alors que le taux normal dans le reste du monde, y compris en France, est de une sur 80. Enfin était, car depuis quelques décennies, ce taux est descendu à une sur 40 en raison de l’émergence de la PMA, la procréation médicalement assistée, et des grossesses de plus en plus tardives, l’avancée en âge ayant un impact sur l’ovulation.

Mais à Cândido Godói, il n'y a rien de tout cela, alors on cherche une explication. Et comme on n’en trouve pas, on se met à imaginer des choses, par exemple que ce serait le fruit d’expériences scientifiques. Il se trouve que, dans sa fuite de l’Allemagne nazie, le docteur Josef Mengele, tristement connu sous le surnom de l’Ange de la Mort, s’est caché dans la région. Il aurait pu y continuer ses expériences sur la gémellité qu’il menait sous Hitler pour propager la race aryenne. Il serait venu plusieurs fois à Cândido Godói en se faisant passer pour un vétérinaire.
Sauf que le problème, c’est qu’il a été prouvé que 20 ans avant son possible passage, il y avait déjà beaucoup de naissances multiples et qu’il est très peu probable qu’il ait été capable de telles manipulations génétiques. Rappelons que le tout 1er bébé éprouvette, c’est en 1979. Le mystère reste entier et même doublement entier puisqu’on parle de jumeaux !
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Pour la Saint-Valentin, ce zoo vous propose de donner le nom de votre ex... à un cafard
Demotivateur
Seul·e et déprimé·e pour la Saint-Valentin ? Pas de panique, un zoo canadien a une bonne solution pour vous.

Vous n’êtes pas sans avoir que la Saint-Valentin s’approche à grands pas et même si l’événement ressemble davantage à une fête commerciale qu’à une célébration de l’amour, beaucoup d’entre nous y restent très attachés.
C’est pourquoi le soir du 14 février, nombreux seront les couples qui célébreront leur amour autour d’un dîner romantique aux chandelles.

Pour les célibataires en revanche, passer une telle soirée sans une Valentine ou un Valentin peut être déprimant à souhait et notamment pour celles et ceux qui sortent d’une séparation douloureuse.

Alors pour donner un peu de baume au cœur à ces âmes seules et meurtries, le zoo de Toronto (Canada) a eu l’idée assez rigolote de permettre aux visiteurs de donner à un cafard le prénom de leur ex, ou simplement d’une personne qu’ils ne portent pas dans leur cœur.

Au Zoo de Toronto, vous pouvez renommer un cafard du nom de votre ex
Pour autant, cette initiative n’est pas non plus désintéressée car le parc zoologique vous demandera en contrepartie un don de 25 dollars canadiens, soit 17 euros environ, qui permettra de financer le bon fonctionnement de l’enceinte.

La démarche vous permettra donc de vous défouler sur votre ex-conquête tout en profitant aux animaux du zoo. Ou comment joindre l’utile à l’agréable.
Les personnes qui souhaitent franchir le pas peuvent directement faire une demande sur le site internet de l'établissement, en remplissant un formulaire. Un certificat numérique avec leur nom ainsi que celui du cafard rebaptisé leur sera ensuite envoyé par mail pour officialiser la chose.

Rappelons que cette initiative pour le moins cocasse avait déjà été mise en place par le zoo de Hemsley, il y a quatre ans.

Pas beau de copier !
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L'HISTOIRE QUI REVEILLE - Insolite : il plonge dans les lacs de golf pour récupérer les balles perdues
RTL
Direction les Landes, on parle de dépollution. Flavien Salvat est un jeune Landais passionné de golf et de plongée et il a trouvé LE job parfait pour allier les deux tout en faisant du bien à la planète : plonger dans les lacs de golf pour récupérer les balles perdues.
Très peu de personnes le font en France. Flavien a entendu parler de ce métier en voyage universitaire en Amérique du Nord ! L'objectif est de dépolluer les lacs car les balles contiennent des matières toxiques pour l'environnement.
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Ce restaurant était le mieux noté de Montréal sur TripAdvisor, alors qu’il n’existe pas
OuestFrance
Un humoriste canadien a créé sur TripAdvisor la page d’un faux restaurant à Montréal. Grâce à ses 85 commentaires et sa note de 5 sur 5, le Nouveau Duluth est devenu le restaurant de Montréal le mieux noté sur la plateforme, alors qu’il n’existe pas.
Le Nouveau Duluth était le restaurant le mieux noté à Montréal (Canada) sur TripAdvisor. Problème : l’établissement n’existe pas. Tout est parti d’une blague de l’humoriste québécois Charles Deschamps, rapporte la CBC .
Des demandes de réservation
Le jeune homme a posté des photos du sous-sol d’un ami où un bar était aménagé. Il a ensuite sollicité son cercle de connaissances pour poster des commentaires élogieux. Au total, le faux établissement a cumulé 85 avis, tous avec la note de 5 sur 5. « Je ne peux pas croire que cet endroit existe vraiment », pouvait-on lire parmi les commentaires.

Très vite, le téléphone de l’humoriste s’est mis à sonner. A l’autre bout du fil, de futurs clients qui voulaient réserver une table. « J’avais des appels du Brésil, de New York […] et à chaque fois je disais c’est complet, je suis désolé », a expliqué Charles Deschamps à BFMTV . Ce dernier a d’ailleurs été obligé d’enlever la géolocalisation du Nouveau Duluth après qu’une personne s’est présentée chez son ami.

Quand la réputation repose sur les avis
Avec cette farce, l’humoriste a voulu pointer du doigt la facilité de faire ou défaire la réputation d’un lieu. « Une personne a détruit l’établissement d’un ami sur les réseaux sociaux. Elle a demandé à 22 personnes de laisser un avis une étoile simplement parce qu’un verre de vin s’était renversé sur une robe », a-t-il raconté à nos confrères canadiens.
La page du Nouveau Duluth a été supprimée après que la CBC a interrogé TripAdvisor. Ce genre de situation « est rare et ne présente pas les mêmes caractéristiques qu’un véritable cas de fraude », a répondu la plateforme
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Avec ses sept habitants, le plus petit village des Hauts-de-France élit son 3e maire en 3 ans
OuestFrance
Epécamps (Somme), l’une des quinze plus petites communes de France, connaît son troisième maire depuis les dernières élections municipales de 2020. C’est la première fois depuis 80 ans qu’il ne s’agit pas d’un membre de la famille Deramecourt.
Sept habitants et trois maires en trois ans. Ainsi va la vie électorale à Epécamps dans la Somme. C’est Dimitry Cahon, un chef d’entreprise de 42 ans, qui est désormais le maire de cette localité, la plus petite des Hauts-de-France. Elle figure par ailleurs parmi les quinze plus petites communes du pays et ne compte que quatre maisons, rapporte Le Journal d’Abbeville mercredi 8 février 2023. Mais avant Dimitry Cahon, Epécamps a connu deux autres maires depuis les élections municipales de 2020.
Émilie Deramecourt, qui était auparavant le premier magistrat de la commune, a démissionné fin 2022 pour raisons personnelles. Elle avait succédé à son grand-père, qui en était à son septième mandat mais qui est décédé en mars 2021. Jean Deramecourt avait consacré 39 ans de sa vie à la gestion d’Epécamps, expliquent nos confrères.

Une première depuis 80 ans
Autre particularité de ce nouveau mandat : Dimitry Cahon est le premier maire depuis 80 ans à ne pas porter le nom de Deramecourt. Car avant les presque quarante ans d’exercice de Jean, c’était son père Léon qui avait été élu maire en 1953. Une nouvelle ère pourrait donc s’ouvrir dans le village. « Nous allons gérer cette commune comme on gère une entreprise », a confié le nouveau maire au Journal d’Abbeville.

Dimitry Cahon ne tient pas à ce que la commune fusionne avec une autre plus grande. Cela aurait pu arriver si aucun candidat ne s’était manifesté. Une fois qu’il aura bien en main le budget, il souhaiterait améliorer l’extérieur de la mairie, mettre en avant la mare du village et embellir les lieux.
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Il découvre plus de 300 kg de glands cachés dans un mur par des oiseaux
RESERVE Ce technicien spécialisé dans la lutte contre les parasites intervenait à l’origine pour des asticots sortant d’un mur

20 Minutes
Il n’a jamais vu ça en vingt ans de carrière. Le 15 décembre dernier, Nick Castro, un technicien spécialisé dans la lutte contre les parasites, a fait une drôle de découverte dans une maison à Glen Ellen (Californie, Etats-Unis). Le propriétaire l’avait appelé à la rescousse car des asticots sortaient d’un mur situé dans une chambre au deuxième étage. L’entrepreneur pensait alors devoir retirer un animal mort, raconte Le Washington Post, ce mardi.

Mais lorsqu’il a fait un trou dans le mur, un torrent de… glands s’est écoulé. L’homme, à la tête d’une petite entreprise, a partagé les photos de cette impressionnante collection de fruits sur les réseaux sociaux.
300 kg de glands
« J’étais juste un peu choqué et je me demandais quand cela allait se terminer », a raconté Nick Castro au journal américain. Il a dû faire trois trous supplémentaires pour récupérer tous les glands. Au total, il en a retiré plus de 300 kg repartis dans huit grands sacs-poubelle.
Les glands avaient été cachés et grignotés depuis deux à cinq ans par des oiseaux de la famille des piverts. Ces derniers - qui accumuleraient de la nourriture de façon compulsive selon un expert - avaient percé des centaines de trous au pied de la cheminée. Les glands auraient ensuite glissé à travers la cavité murale.

Après cette incroyable découverte, Nick Castro a réparé les endroits endommagés avant de les protéger… pour éviter un nouvel écoulement de glands.
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Saint-Valentin : un pâtissier fait gagner une bague d'une valeur de 1.150 euros
RTL
Un pâtissier de la Sarthe s'est associé à ses voisins bijoutiers pour faire gagner une bague en or et diamants à l'un de ses clients pour la Saint-Valentin.
En panne d'inspiration pour la Saint-Valentin ? Si vous habitez près de La Flèche, dans la Sarthe, la pâtisserie Guillemard a peut-être le cadeau idéal pour votre dulcinée. Son gérant, Sébastien, propose de gagner une bague d'une valeur de 1.150 euros à quiconque achètera ses gâteaux ce 14 février. "C'est un bijou en or orné de deux diamants, qui a été créé spécialement pour la Saint-Valentin par la bijouterie voisine", présente-t-il.
Pour éviter tout risque d'ingestion, le pâtissier a toutefois glissé une fève dans la pâtisserie gagnante. "Le client qui la découvrira pourra venir récupérer sa bague directement chez le bijoutier", précise Sébastien, qui a réalisé des petits gâteaux en forme de cœur. Au menu : un biscuit aux fruits rouges, une mousse à la vanille, une compotée de framboise et poire et une gelée d'hibiscus.

400 gâteaux seront réalisés pour cette occasion. C'est autant de chance de repartir avec le précieux sésame, et ce, même si l'on n'a pas de moitié avec qui le partager.
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Bloqués, les rugbymen de Montauban rentrent avec le bus de leurs adversaires
20Minutes
FAIR-PLAY Samedi matin, le brouillard a empêché les rugbymen de l’US Montauban (Pro D2) de rentrer en avion de Vannes, dans le Morbihan. Mais ils ont trouvé une solution
Une défaite, suivie d’un autre genre de galère. Battus 40 à 37 à Vannes (Morbihan) vendredi soir, les rugbymen de l’US Montauban (Pro D2) se souviendront longtemps de leur périple en Bretagne. L’avion du retour qu’ils devaient prendre à Rennes samedi à 8h55 matin n’a jamais décollé pour cause de brouillard.
Après avoir beaucoup attendu, dû regarder l’incroyable Irlande-France sur un coin de table, et beaucoup râlé à en croire les tweets humoristiques repérés par France 3 Occitanie, les joueurs Tarn-et-Garonnais ont fini par trouver une solution. Une alternative très fair-play, puisque ce sont leurs adversaires de la veille qui ont mis le bus du club à leur disposition. Il était minuit passé quand l’équipe est arrivée à Sapiac, une fois n’est pas coutume, dans un bus « marine et blanc ». Dépaysant.
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À Rennes, les squelettes découverts sous la place de la Mairie ont livré leurs secrets
OuestFrance
En janvier 2022, treize squelettes avaient été mis au jour sous la place de la Mairie, lors de fouilles préalables à la plantation d’arbres. Qui sont-ils, d’où viennent-ils ? Un an plus tard, les scientifiques ont terminé leurs investigations et peuvent répondre à une partie des questions.
Ce n’est pas comme si Rennes ne s’appelait pas déjà Condate, à l’époque Gallo-Romaine, et n’était pas dotée d’une riche histoire. Ce ne fut donc pas une grande surprise lorsqu’en janvier 2022, les archéologues de l’Inrap, l’Institut national de recherches archéologiques préventives ont découvert un, puis quatre, puis treize squelettes, dans quatre tranchées peu profondes creusées pour planter des arbres, en haut et en bas de la place de la Mairie.

Ce n’est pas comme si Rennes ne s’appelait pas déjà Condate, à l’époque Gallo-Romaine, et n’était pas dotée d’une riche histoire. Ce ne fut donc pas une grande surprise lorsqu’en janvier 2022, les archéologues de l’Inrap, l’Institut national de recherches archéologiques préventives ont découvert un, puis quatre, puis treize squelettes, dans quatre tranchées peu profondes creusées pour planter des arbres, en haut et en bas de la place de la Mairie.

Deux époques du Moyen-Âge
La période de fouilles préventives, obligatoire, a permis de mettre au jour, puis extraire précautionneusement ces squelettes, sortis de longs siècles de sommeil sous les yeux des curieux. Mais qui sont-ils, d’où viennent-ils ? Si les archéologues émettaient des hypothèses, il a fallu près d’un an pour les analyser en laboratoire, et en savoir plus sur leur histoire.

« Il s’agit de sépultures d’adultes et d’enfants, compliquées à dater car elles n’étaient pas très bien conservées et qu’il n’y avait plus beaucoup de collagène dans les os », rapporte Elsa Jovenet, archéo-anthropologue à l’Inrap. Si tous les squelettes datent bien du Moyen Âge, ceux des deux tranchées du haut de la place proviennent « des VIIe et VIIIe siècles, tandis que ceux du bas sont plutôt des Xe et XIe siècles », précise-t-elle.
En revanche, « on ne peut pas savoir s’il y a une continuité temporelle entre les tranchées nord et sud, car on ne peut pas fouiller ». La ville n’ayant malheureusement pas prévu de planter d’arbres au beau milieu de la place, il faudra donc s’en tenir aux hypothèses : « Il est possible que les sépultures des Xe et XIe siècles soient liées à une ancienne église qu’on ne sait toujours pas situer. »

Mystérieuse église Saint-Pierre-du Marché
Cette église Saint-Pierre-du Marché est en effet « mentionnée dans des documents comme se trouvant à la grande porte de la ville », confirme Dominique Pouille, archéologue ingénieur de recherches à l’Inrap. Ce qui pourrait parfaitement coller avec ce secteur, situé juste à l’extérieur de la première enceinte de protection de Rennes (1), datant de la fin du IIIe siècle. Et dont le mur se serait globalement situé sur le tracé de l’actuel rue de l’Horloge.
Pour les sépultures plus anciennes du nord de la place, « peut-être qu’une nécropole gallo-romaine aurait pu perdurer au début du Moyen Âge, avance Elsa Jovenet. En ville, il était courant d’avoir plusieurs cimetières voisins. » Rien que sur la place Sainte-Anne, en effet, il en avait été découvert trois : « Un dans le couvent des Jacobins, un lié à l’église Saint-Aubin et un dernier à côté de l’hôpital qui se trouvait là au Moyen Âge. »

Comme un puzzle
Les modes d’inhumations confirment les datations : plutôt « des coffrages en bois en haut de la place, seulement un linceul ou le corps directement dans la fosse », pour la partie basse. Mais il reste beaucoup de points d’interrogation : « On avait peu de temps et beaucoup reste sous le sol, c’est frustrant », concède l’anthropologue.
Consciente que « les diagnostics archéologiques [préalables à des travaux] sont comme un puzzle dont on ne découvre que quelques pièces. On savait que des sépultures se trouvaient probablement dans ce secteur et cela nous permet déjà de le préciser un peu plus. »
Au-delà des squelettes, des éléments sur l’histoire de Rennes
Au-delà de ces treize squelettes, d’autres éléments ont permis d’en apprendre plus sur l’histoire de Rennes, grâce à l’étude des sols de ces quatre tranchées, réalisée au nord et au sud de la place, en janvier 2022.

Une rue du tracé antique

Les fouilles ont mis « en évidence ce qui a pu être une rue du tracé antique », sur la partie nord de la place, relate Dominique Pouille, archéologue ingénieur de recherches à l’Inrap. Une rue qui aurait cependant été « rapidement abandonnée », à en juger de l’état de la chaussée. Un secteur situé juste à l’extérieur des remparts antiques, qui « aurait été délaissé pendant quelque temps, jusqu’à la fin de l’Antiquité. »
Des gravats d’alluvions de la Vilaine

Les sépultures du sud de la place, elles, « sont dans une zone totalement excavée. On a sûrement creusé le sol pour récupérer des gravats d’alluvions de la Vilaine, une sorte de gravier et du schiste, utiles pour la construction de bâtiments, soit à la fin de l’époque antique, soit au début du Moyen Âge. » On a alors enterré les corps dans ces tranchées déjà existantes.

Des traces d’habitations

Dans la tranchée du nord-ouest de la place, « on n’a trouvé aucune sépulture mais des traces d’habitations antérieures au Grand incendie de 1720 [qui a brûlé 40 % du centre ancien durant six jours] et qui ont également profité de cette zone excavée. »



Un mystérieux bâtiment datant du Moyen Âge

Dans l’angle sud-est de la place, enfin, « on a retrouvé des éléments provenant d’un gros bâtiment public ou manoir du Moyen Âge, et qui ont été réutilisés dans la construction d’une maison du XVIIe ou début du XVIIIe siècle. C’est très intéressant, on ne sait pas encore à quoi pouvait correspondre ce gros bâtiment qui a été incendié, à en juger par les blocs rougis par l’action du feu. » Une mission à relever pour les historiens rennais ?

(1) Les murs de la première enceinte de protection de Rennes, datant du IIIe siècle, englobaient la place des Lices au nord, jusqu’à République au sud et jusqu’à l’équivalent de la rue de l’Horloge, derrière l’actuelle mairie. La partie Est a été en partiellement démolie pour bâtir de nouveaux remparts qui englobent toute la partie nord Vilaine du centre-ville, au XVe siècle.
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Etats-Unis : A 14 ans, il fabrique et envoie 16.000 cartes de vœux pour la Saint-Valentin
SOLIDARITÉ Les personnes malades, hospitalisées ou seules sont les destinataires de ces cartes uniques, remplies d’amour

20 Minutes
Il n’a que 14 ans, mais, depuis plusieurs années déjà, la Saint-Valentin est une date importante pour Patrick Kaufmann, un habitant de Potomac dans le Maryland (Etats-Unis). Il y a quelques années, il avait fabriqué pas moins de 30 cartes pour la fête des amoureux, livrées à des enfants et adultes malades.

En 2021, ce chiffre est passé à 300 cartes, destinées aux personnes atteintes de cancer, du VIH, et autres maladies graves, rapporte le Washington Post. Puis 3.000 cartes en 2022, fabriquées avec l’aide d’élèves de plusieurs écoles. Pour la Saint-Valentin 2023, le nombre de cartes a explosé : pas moins de 16.000 exemplaires ont été fabriqués et distribués.
Distribuées à plusieurs organisations
Toutes ont été créées par des élèves scolarisés dans 62 écoles de Washington, du Maryland et de Virginie. Le jeune garçon, qui choisit personnellement les classes qui participent au projet, a également créé un site Internet, pour encourager les internautes à écrire des messages porteurs d’amour.

Ces 16.000 cartes ont toutes été rassemblées au domicile de ses parents, sur qui il peut compter depuis le début de l’aventure. Puis elles ont été distribuées à une soixantaine d’organismes, comme des hôpitaux, des hospices, des maisons de retraite ou des associations.
Des cartes uniques
Le jeune garçon espère ainsi toucher des personnes ayant peu de famille et/ou vivant seules. « J’espère que cela leur fera prendre conscience que quelqu’un pense à eux et s’intéresse à eux » confie Patrick Kaufmann au média américain.
Un engouement partagé par les élèves qui participent à la fabrication de ces cartes, toutes uniques. « Le moins que l’on puisse faire, c’est de leur donner une carte pour leur montrer que nous nous soucions d’eux » assure un élève de 10 ans. Son projet, Patrick Kaufmann compte bien le poursuivre et même l’étendre s’il trouve assez de volontaires.
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