Questions existentielles - page 225

Pour se reposer quelques minutes
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Confinement : ces pires excuses données aux policiers pour justifier un déplacement
Grazia
On croirait à des blagues et pourtant, les policiers ont vraiment dû à faire à ces justifications qui laissent perplexe.
Depuis le 16 mars, un confinement a été mis en place en France ainsi que l'obligation de justifier, via une attestation, une sortie en dehors de son domicile. Seuls 7 déplacements sont concernés : le travail, la santé, les achats de première nécessité, motif familial impérieux, l'activité sportive, à moins d'un kilomètre du foyer, et promener un animal de compagnie. Malheureusement, certains détournent ces mesures de confinement.


Les policiers, en première ligne pour effectuer des contrôles dans les grandes villes, villes moyennes ou même les villages ont entendu d'étonnants motifs de déplacements plus originaux les uns que les autres. Après la cueillette des fleurs, le lavage de voiture ou un besoin de cassoulet à assouvir, il y a le "détour" pour voir la mer ou la promenade du lapin en laisse. On aura tout vu... peut-être pas, le confinement devrait durer au moins jusqu'au 28 avril.
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Santé : que se passe-t-il quand une personne boit du colorant alimentaire bleu pendant 10 jours ?
LINFO.RE
Parce qu’il souhaitait à n’importe quel prix changer la couleur de son urine, un jeune homme ne buvait que du colorant alimentaire bleu pendant dix jours. Mais au bout des dix jours, des phénomènes inattendus sont apparus.
Des séquences virales
Pour que son urine vire au bleu, ce jeune homme s’est lancé comme défi de boire uniquement du colorant alimentaire bleu pendant dix jours. Passé ce délai, il a obtenu ce qu’il voulait, mais d’autres résultats inattendus sont également apparus. En effet, sa peau et ses cheveux se sont également colorés en bleu. Les vidéos insolites de Colton Macaulay, alias Colty, un utilisateur de l’application TikTok ont très rapidement fait le buzz. Elles ont totalisé plus de dix millions de vues, rapporte Sputnik.

Une pratique pouvant "entraîner des blessures graves"
Colton Macaulay a déclaré que l’urine change de couleur cinq jours après avoir bu du colorant bleu. Mais passionné de challenges et de défis, le jeune homme est allé plus loin. Au bout de huit jours à boire ce liquide bleu, sa peau et ses cheveux ont également viré au bleu. Colty a assuré que son expérience est inoffensive, mais il a tout de même appelé à la vigilance en prévenant que ce genre de pratique pouvait "entraîner des blessures graves". Sur ses vidéos, le jeune homme apparaît toujours avec les dents et la langue bleues, mais à son avis, la couleur disparaît une fois qu’il se brosse les dents.

Le lien entre les colorants et les troubles de l’attention chez les plus jeunes
Dans une interview accordée à Health Essentiels, la diététicienne américaine, Julia Zumpano a déclaré en décembre qu’il y avait un lien entre les colorants et les troubles de l’attention ou l’hyperactivité chez les plus jeunes. Une étude a, en effet, révélé que trois parents sur quatre ont constaté une amélioration du comportement de leur enfant après avoir supprimé les colorants artificiels de leur alimentation. Certains colorants favorisent également un risque accru d’asthme ou même de tumeur.
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Coronavirus : Une journaliste de Fox News s’inquiète des femmes privées de coiffeur et de manucure

SENS DES PRIORITÉS La séquence a fait bondir les internautes sur les réseaux sociaux, alors que le pays enregistre plus de 1.000 morts liés au Covid-19

20 Minutes
Alors que les États-Unis sont en passe de devenir le deuxième pays au monde le plus touché par le coronavirus, une journaliste de Fox News s’est inquiétée ce jeudi à l’antenne du sort des femmes privées de leur coiffeur ou de leur manucure. Celle-ci s’est attiré une pluie de critiques sur les réseaux sociaux.
« Vous n’y pensez pas vous les gars, ce n’est pas une priorité, mais il faut que les femmes aillent chez le coiffeur », explique cette animatrice à ses deux collègues masculins, lors de l’émission matinale Fox & Friends. S’inquiétant que la vie se soit arrêtée et qu’elle ne puisse pas rapporter au magasin les vêtements qu’elle ne veut pas garder, elle cite un tweet disant : « Vous allez voir de quelle couleur sont vraiment nos cheveux, nos racines vont repousser ».

« Elles ne peuvent pas se faire faire les ongles »
« Toutes mes amies disent, et ce n’est pas une priorité, les gens meurent et je m’en rends compte, mais elles disent qu’elles ne peuvent pas se faire faire les ongles ». Sur les réseaux sociaux, les critiques se sont rapidement abattues sur cette journaliste de la chaîne préférée des conservateurs américains.


La courbe des infections au Covid-19 ne cesse d’augmenter aux États-Unis avec près de 70.000 cas recensés et plus de 1.000 décès. Et ces nombres devraient très fortement augmenter dans les prochains jours.
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Depuis son balcon, il parodie « Questions pour un champion » avec ses voisins, en plein confinement
OuestFrance
Pour créer de l’animation dans sa rue, un comédien parisien a décidé de convier tous les soirs ses voisins à jouer, depuis leur balcon, à une adaptation du célèbre jeu télévisé « Questions pour un Champion ». Le programme intitulé « Questions pour un balcon » est diffusé en direct sur Instagram aux alentours de 20 h a déjà été visionné un million de fois.
Noam Cartozo est un comédien parisien qui s’amuse à pasticher l’émission Questions pour un champion pendant la période de confinement. Son émission diffusée sur Instagram s’intitule Questions pour un balcon, rapporte L’Union ce samedi 29 mars.

Seule différence : les candidats qui se mesurent entre eux sont ses voisins. Tous sont divisés en deux équipes : les résidents des immeubles pairs et ceux des bâtiments impairs.
Du papier toilette au lieu du dictionnaire Larousse
Le programme est diffusé en direct sur le compte Instagram du comédien avant d’être rediffusé sur d’autres réseaux sociaux. Si l’émission est confinée à la rue de son animateur, elle jouit d’une audience impressionnante. Questions pour un balcon a atteint « un million de vues », se félicite son initiateur.
C’est vers 20 h que Nom Cartozo se positionne sur son balcon et harangue ses voisins afin qu’ils participent à l’émission. Le Francilien pose douze questions de culture générale dont les deux dernières comptent pour deux points. À la fin, il détermine qui sont les gagnants et leur remet en guise de cadeau… du papier toilette, rapporte L’Union.
L’animateur du jeu télévisé a réagi
Samuel Étienne, l’actuel présentateur de Questions pour un champion, a félicité l’initiative sur son compte Twitter. L’animateur a dû s’expliquer sur les réseaux sociaux, après que le super-prime Questions pour un super champion prévu ce samedi 29 mars a été déprogrammé huit minutes après le début du jeu. En cause ? Un problème technique, rapporte Télé Star. « L’épisode sera bien diffusé samedi prochain », a prévenu l’animateur
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Ces sites internet qui ne servent strictement à rien pour tuer le temps pendant le confinement
OuestFrance
Le web est une source intarissable d’informations. Mais c’est aussi un endroit virtuel où l’on peut passer des heures à regarder des choses sans aucun but ni intérêt. Voici une sélection des sites les plus inutiles que nous avons repérés.

Soyons clairs tout de suite, cet article ne vous sera d’aucune utilité. Peut-être vous divertira-t-il quelques minutes, tout au plus, mais ne mettons pas la barre trop haut : vous n’y apprendrez probablement rien d’essentiel.

En tout cas rien de plus que durant ces heures passées à faire défiler le flux d’images d’un réseau comme Instagram, par exemple. Car si le web est une source incroyable d’informations, parfois très intéressantes, il peut aussi être un puits de vacuité sans fond… Un gouffre de néant, dont on vous propose d’explorer les abysses.

Voici donc une sélection de sites parfaitement inutiles, mais qu’on ne peut s’empêcher de montrer à ses amis.
Le cheval sans fin… et sans but

Parmi les plus inutiles, Endless horse, soit « le cheval sans fin ». Le concept ? Un cheval dessiné avec des caractères de clavier, dont les jambes s’étirent à l’infini.

Vous pouvez scroller (descendre) avec votre souris pendant des heures, vous ne verrez jamais ses sabots. Attention à l’entorse de l’index ou du pouce, ce n’est pas le moment d’avoir un accident de souris !
Attendez, cliquer, pointez !

Parfaitement inutile, lui aussi, le site Pointer Pointer. Un écran noir, sur lequel on positionne la flèche du curseur. Puis tout à coup une photo apparaît, dans laquelle une personne tout à fait inconnue montre du doigt l’endroit que vous avez sélectionné.

Attention, prenez votre respiration et réfléchissez bien avant de cliquer : le contenu de la prochaine image en dépend ! Mention spéciale aux photos, sans aucune valeur artistique, voire très souvent ratées, et qui sont particulièrement inutiles, elles aussi.

Une pluie de saucisses sur bâtonnets

On aurait plutôt envie de le classer parmi les fonds d’écran, mais Corndog est bien un site web. Là aussi le concept est simplissime : on peut y observer une pluie de corndogs, des saucisses sur bâtonnet particulièrement appréciées aux États-Unis, qui s’abattent en diagonale.

Certains sont plus ou moins gros, tombent plus ou moins vite, à moins que ce ne soit simplement la perspective, allez savoir… L’effet est presque hypnotisant, mais ce serait lui prêter une utilité qui lui ferait sans doute insulte.
Ver psychédélique

On avoue, celui-ci nous a fait rire. Staggering Beauty, c’est un ver virtuel qui se dandine au rythme de votre curseur. Dans cette danse improvisée, c’est donc vous le chorégraphe ! Attention, si vous agitez trop vite votre doigt ou votre souris, l’invertébré virtuel se transforme en ver de rave party tout à fait psychédélique. Donc si vous souffrez d’épilepsie, ce site est à éviter.
Lèche-vitrines

Bon, on a tous nos petites faiblesses, comme passer des heures à écouter son chat ronfler ou éclater du papier bulle en secret. Alors inutile de se le cacher, ce petit Carlin qui lèche votre écran d’ordinateur sans répit va en faire fondre plus d’un. Et peut-être répugner les autres, mais c’est tant pis pour eux…

Des chats qui rebondissent

Et puisqu’il en faut aussi pour les amoureux des chats, on vous a déniché Cat Bounce. Vous pensiez qu’il n’existait pas de site internet avec des chats qui rebondissent ? Cat Bounce balaie toutes nos certitudes… Attention, le bouton « Make it rain » fait déferler une pluie de chatons trop mignons. Vraiment kitsch. On adore.
Un chant tyrolien, d’urgence !
Votre journée a été éprouvante : votre collègue télétravailleur a dépassé les bornes, votre enfant vous a poussé à bout et votre belle-mère en appel vision vous agace encore plus que d’habitude... Vous avez besoin de vous remonter le moral ? Vite, appuyez sur le bouton d’urgence d’Emergency Yodel. Immédiatement, vous entendrez un chant en yodel, voire en tyrolien. Un site 100 % approuvé par Éric des Musclés.
Est-ce que c’est bientôt le week-end ?

Peut-être le plus inutile de tous, puisqu’il ne semble satisfaire aucun besoin. Si ce n’est, peut-être, celui de répondre à la place de votre collègue de bureau (désormais virtuel) à qui vous posez, chaque semaine et dès le mardi, cette même question. Le site Est-ce que c’est bientôt le week-end ? vous donnera invariablement la même réponse : « Bientôt… »
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Coronavirus : Ces annonces, déplacées, insolites, drôles ou solidaires du « bon coin »
20Minutes
ÉPIDÉMIE Sur l’un des plus populaires sites d’annonces en ligne, le mot-clé « coronavirus » fait émerger un peu tout et n’importe quoi
A chaque événement notable son lot de petites annonces sur le très célèbre site Internet Le bon coin. La crise sanitaire mondiale du coronavirus n’échappe pas à la règle. Entre solidarité, business opportuniste, humour et choses insolites, il y a un peu à prendre et beaucoup à laisser. 20 Minutes a effectué une sélection subjective et non exhaustive.

En lançant une recherche sur toute la France, avec successivement les mots-clés « coronavirus » et « Covid-19 », ce sont près de 8.000 petites annonces qui s’affichent sur notre écran. Parmi elles, beaucoup ne mentionnent la crise sanitaire que pour excuser des empêchements ou des retards de livraison. Mais, une fois le tri effectué, première bonne surprise, aucune annonce ne propose à la vente les fameux masques de protection qui manquent tellement aux soignants.

Des services souvent gratuits, parfois payants
Ce que l’on retrouve le plus souvent, ce sont des propositions de prestation de services. Les offres d’aide gratuite sont légion, à l’image de Mika, en Charente-Maritime, qui ouvre sa porte « à quiconque a besoin de manger, prendre une douche, se loger, bref, quiconque à besoin d’aide. » Il y a aussi Gil, en Haute-Garonne, qui se propose bénévolement de faire des courses, de s’occuper des animaux ou de faire du bricolage. Ou encore Lamine, à Paris, qui offre ses services sur plusieurs arrondissements.

Et comme les écoles sont fermées, on voit aussi de nombreuses annonces de soutien scolaire ou de cours particuliers. La plupart sont le fait d’étudiants qui demandent une contrepartie financière, comprise généralement entre 10 et 20 euros de l’heure.

Plus opportunistes, des professionnels monnayent leurs conseils très ciblés. Un prestataire de services de Pau demande par exemple 30 euros pour remplir les « formalités liées au coronavirus » comme la « demande de l’aide de 1.500 €. » Un autre surfe sur l’engouement conjoncturel pour le télétravail en proposant une formation à distance à 400 euros.
Pléthore de sociétés, souvent spécialisées dans la dératisation ou la désinsectisation, assurent être en mesure de débarrasser locaux commerciaux ou habitations de toute trace de coronavirus. Des prestations dont les tarifs ne sont jamais annoncés mais qui seront établis sur devis.

Des objets parfois utiles, parfois déroutants
Sous le mot-clé « coronavirus », ressortent des objets aussi nombreux qu’hétéroclites. De l'« ardoise effaçable avec feutre pour occuper vos enfants pendant le confinement », vendue trois euros par une Marseillaise, à l’autochargeuse ensileuse à 25.000 euros, « idéale pour effectuer vos ensilages seuls pendant le confinement », cédée par un agriculteur de Haute-Savoie.

Le report pour cause de pandémie des Jeux olympique de Tokyo, prévus en 2020, est une aubaine pour un autre Marseillais. Il s’était procuré deux des 100.000 pièces commémoratives en argent produites par la monnaie du Japon. Chacune était vendue un peu moins de 10.000 yens (84 euros). Le vendeur compte bien en tirer un minimum de mille euros pour les deux.

Enfin, pour ceux qui craignent une pénurie alimentaire, un habitant de La Réunion vend un « Cochon pour réserve de viande covid19. » Il tient toutefois à prévenir que l’animal à une hernie qui, selon lui, « ne change rien au goût de la viande. » Si le prix demandé est de 250 euros, on ne sait en revanche pas combien pèse le cochon.
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Loire : il menace de se rendre au supermarché avec un fusil, les gendarmes lui font ses courses
LaDepeche
Alors qu'ils intervenaient au domicile d'une personne en grande détresse morale, les gendarmes de la Loire lui ont fait les courses. Forcé à l'inactivité par la pandémie de Covid-19 et désespéré de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, il menaçait de se rendre au supermarché avec un fusil.

Les gendarmes de la Loire ont rappelé leur mission principale : être au service des citoyens. Les brigades de Saint-Paul-en-Jarez et de Saint-Chamond ont été amenées, vendredi 3 avril midi, à intervenir au domicile d'une personne en grande détresse morale alors qu'elle menaçait de se rendre au supermarché avec un fusil.
Un panier garni de la gendarmerie
Sur place, les gendarmes ont compris que l'habitant de Valfleury, comme le rapporte Le Progrès, ne pouvait plus travailler à cause de la crise sanitaire. Désespéré de ne pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, il ne parvenait pas à obtenir d'aide "malgré différentes démarches administratives".
Émus par la situation, les militaires de la Loire lui ont proposé un panier garni des produits de première nécessité. Une initiative prise par l'ensemble des gendarmes des deux brigades, dans l'attente d'une "réponse sociale, qui, nous le souhaitons, arrivera le plus vite possible". Le panier a été déposé au domicile de la personne le soir même.
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Observateur

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photos a écrit :une journaliste de Fox News s’est inquiétée ce jeudi à l’antenne du sort des femmes privées de leur coiffeur.

On va bientôt s'apercevoir qu'il y a beaucoup moins de blondes qu'on le croyait...
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« Le but est de pouvoir tenir six mois »... Dans leurs bunkers de luxe, ils se préparent au pire
OuestFrance
Alors qu’une partie de la population mondiale subit une longue période de confinement, des entreprises américaines spécialisées dans la construction d’abris et de refuges souterrains trouvent dans la pandémie de Covid-19 une publicité inattendue.

La survie a toujours fasciné les Américains. Sous des formes diverses, les émissions de télévision et jeux consacrés au sujet se multiplient : Doomsday Preppers, Naked and Afraid, Survivor… Certains responsables religieux extrémistes n’hésitent pas non plus à menacer leurs ouailles d’une apocalypse imminente en utilisant les événements de l’actualité, comme la pandémie de coronavirus en cours.

Un climat anxiogène sur lequel surfent les entreprises de construction de bunkers de sécurité. La société Vivos, basée en Californie, n’hésite d’ailleurs pas à en faire état dans son argumentaire de vente, citant, pêle-mêle, certains passages de la Bible, les prédictions de Nostradamus, les visions des Indiens Hopi, les probabilités de « méga tsunami » ou le choc avec un astéroïde meurtrier !

Pour faire face à ces « éventualités » , Vivos a décidé d’investir dans d’anciens sites militaires à l’abandon, afin de les transformer en abris équipés, tout en proposant une vie de communauté avec d’autres « survivants » .
Nous vivons dans une époque troublée, explique le fondateur, Robert Vicino. Les gens se réveillent tous les jours avec des informations de plus en plus alarmantes et des menaces à travers le monde, que ce soit le coronavirus, l’effondrement de l’économie ou l’escalade militaire avec la Corée du Nord. Nous leur proposons une opportunité de survie et un plan B fiable. »

Le premier site développé par l’entreprise en 2012 s’est servi d’un complexe militaire imaginé par l’armée américaine au cours de la guerre froide. Basé dans l’Indiana et réputé pour supporter les chocs d’une bombe atomique de 20 mégatonnes, ce complexe destiné à accueillir 80 personnes a été pris d’assaut par les acheteurs.

« Versions modernes de l’Arche de Noé »

Un succès qui a incité Robert Vicino à acquérir deux autres sites militaires, l’un de 575 abris dans le Dakota du Sud et l’autre en Allemagne. Ce dernier, bâti sur 2,3 hectares par les Soviétiques après la Seconde Guerre mondiale est présenté comme « la communauté la plus moderne et la plus luxueuse » du groupe.

L’entreprise affirme pouvoir accueillir jusqu’à 5 000 personnes dans le Dakota et plus de 1 000 en Allemagne, promettant même la construction prochaine d’écoles, cliniques, magasins et lieux de culte.

« Il s’agit de versions modernes de l’Arche de Noé », fait valoir le fondateur, dont les abris se négocient aux alentours de 25 000 dollars pour un bail de 99 ans, auxquels s’ajoutent les coûts de l’aménagement et des systèmes d’électricité, de filtration de l’eau et 1 000 dollars par an de charges.

Certaines personnes, cependant, préfèrent abandonner l’idée de communauté et envisager la survie par eux-mêmes. « Si le monde, tel que nous le connaissons, s’effondre, il n’y aura plus d’unité. Chacun pensera à soi et agira au détriment des autres », affirme Adam Silverberg, à la tête d’une société proposant des stages de survie dans les San Gabriel Mountains, près de Los Angeles, en Californie.

Boom de la demande

Partant de ce principe, la Rising S Company, basée au Texas et créée en 2002 après les attaques du 11 septembre, propose la construction d’abris souterrains individuels.

« Notre prix de base est de 39 500 dollars, indique le general manager, Gary Lynch. Depuis notre lancement, nous en avons réalisé plus de 1200, principalement aux États-Unis, mais aussi un peu partout dans le monde. »
Un business déjà florissant, auquel la crise du coronavirus a encore donné un coup de pouce. « Nous avons quatorze chantiers en cours et notre carnet de commandes ne cesse de se remplir. Le besoin de bunkers souterrains augmente, constate Gary Lynch. Les demandes que nous recevons ont grimpé de 2 000 % ! »

Si le catalogue de l’entreprise présente des réalisations extravagantes, comme cet abri de 1 400 m2 avec garage pour voitures de luxe et salle de cinéma, la plupart des refuges se limitent à l’essentiel.

« Inutile d’être millionnaire pour en posséder un. Il est simplement nécessaire d’avoir suffisamment de terrain, explique Gary Lynch. Nos clients souhaitent simplement protéger leur famille, que ce soit avec des pièces isolées et renforcées munies de trappes d’évacuation menant par un tunnel à leurs bunkers, ou par des abris plus vastes et complexes. »

« Pouvoir tenir au moins six mois »

Rising S Bunkers se charge ainsi de réaliser un produit clé en main, qu’il s’agisse de la conception, de la décoration ou des systèmes d’électricité, de chauffage et d’assainissement.

« Le but est de pouvoir tenir au moins six mois, explique un acheteur, préférant conserver l’anonymat, installé dans l’est du Nevada. Lorsque je vois les gens se ruer sur le papier toilette, le riz et les conserves, je me dis que nous avons bien fait de nous préparer : les troubles civils ne sont pas loin. »

Si plusieurs options existent dans le catalogue de l’entreprise, les clients dépensent en moyenne un million de dollars, s’assurant notamment que la nourriture et les divertissements sont suffisants. « Chacun s’arrange pour vivre un confinement relativement agréable, poursuit Gary Lynch. Pour le reste, c’est à nous d’intervenir. Les murs et les portes de nos bunkers peuvent résister aux explosions. Ils sont insonorisés et le verrouillage est renforcé. Nous nous occupons de la sécurité, aux clients de gérer l’ennui. »
Un ennui tout à fait relatif pour l’éventuel acheteur de l’« Aristocrate », le modèle haut de gamme proposé à près de 9 millions de dollars. Celui-ci peut accueillir 50 personnes et comprend des salles de jeux, un sauna, une salle de sport, une salle multimédia, un bowling, un champ de tir et une piscine.

Des aménagements auxquels s’ajoutent une cuisine personnalisée, un garage multi-véhicules, une serre potagère bio et de grandes salles de stockage. De quoi rendre la fin du monde plus agréable…
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Covid et Corona : les incroyables prénoms donnés à des jumeaux Indiens en pleine crise du coronavirus
LaDepeche
"Nous avons voulu rendre la journée mémorable". L'histoire a été reprise par de nombreux médias indiens. Le 27 mars dernier, un couple de l’Etat de Chhattisgarh a décidé de baptiser ses jumeaux Covid (le garçon) et Corona (la fille).
La jeune maman de 27 ans, Preeti Verma, a expliqué au quotidien The Hindu : "J’ai eu la chance d’avoir des jumeaux, un garçon et une fille, dans la nuit 27 mars. Mon mari et moi voulions rendre la journée mémorable. Nous avons eu tellement de mal à accoucher ici."

Et pour cause, comme de très nombreux autres pays à travers le monde, et afin de limiter la propagation du coronavirus l'Inde applique le confinement depuis le 25 mars.

"Nous n’avions pas le droit de circuler. Nous avons été arrêtés par la police à plusieurs reprises mais ils nous ont laissés repartir quand ils ont vu mon état, poursuit la maman. Il était minuit, j’ai eu très peur que l’hôpital refuse mon admission. Heureusement, les médecins et le personnel ont été très coopératifs. "

Nos confrères de La Voix du Nord, parmi les premiers à avoir repéré l'histoire en France, rapportent que les parents assurent ne pas trouver ces deux prénoms négatifs : "L’épidémie a incité les gens à se concentrer sur l’assainissement, l’hygiène et à prendre d’autres bonnes habitudes ». Ils se réservent toutefois le droit de changer d'avis...
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Depuis le début du confinement, on entend mieux la Terre trembler
OuestFrance
Depuis le confinement, la baisse de l’activité humaine permet aux sismographes de percevoir des activités sismiques de faible intensité, en plus grand nombre.

Quand le monde chuchote, la Terre peut parler. Au Royaume-Uni, le confinement imposé à la population durant la pandémie de coronavirus a eu un effet révélateur sur l’activité sismique du pays. Pourtant, il n’est pas connu pour être un territoire très actif à ce niveau.

Bruit anthropique

En tout cas, le bourdonnement presque continu de l’activité humaine ne permettait pas aux sismographes de percevoir les « signaux faibles » de la Terre. Mais les scientifiques du British Geological Survey ont remarqué que, depuis une semaine et la mise en confinement des Britanniques, leurs sismographes sont capables de repérer de petits tremblements de terre au Royaume-Uni et d’autres, plus importants, en Europe.

« Les sismomètres sont si sensibles qu’ils captent également d’autres sources, notamment l’activité humaine, comme la circulation routière, les gens qui passent et les usines à proximité », explique Brian Baptie, sismologue au British Geological Survey d’Édimbourg, au quotidien britannique The Guardian.
Sur certains capteurs, ce « bruit anthropique » est inférieur de cinq décibels à la normale, soit environ un quart de moins que les lectures habituelles.

En Belgique et aux États-Unis aussi

Les chercheurs du British Geological Survey espèrent maintenant vérifier tous leurs sismomètres afin de créer une carte qui révélera quelles régions de la Grande-Bretagne ont connu les déclins les plus marqués du bourdonnement humain. Néanmoins, le Royaume-Uni n’est pas le seul pays à percevoir ces changements dus au confinement.

Le sismomètre de l’Observatoire royal de Belgique « est désormais presque aussi sensible aux légères secousses sismiques qu’un capteur installé au fond d’un trou de forage de 100 mètres », peut-on lire sur le site The Daily Geek Show.

Une diminution également observée à Los Angeles. Mais il semble que toutes les stations de mesures n’enregistreront pas les mêmes effets induits par la baisse du bourdonnement humain. En effet, la plupart ont été installées dans des régions isolées afin de limiter le bruit sismique d’origine humaine.
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Coronavirus. Se déguiser pour sortir les poubelles, le défi des Australiens sur les réseaux sociaux
OuestFrance
Pour tenter d’égayer leur quotidien et celui de leurs voisins en pleine pandémie de Covid-19, des Australiens ont décidé de revêtir des costumes fantaisistes pour sortir leurs poubelles. Les images de cette surprenante démarche montrent que certains habitants de l’île-continent se sont parés de leurs plus beaux déguisements
De nombreux Australiens ont pris l’habitude de se déguiser pour sortir leurs poubelles, afin d’avoir une raison de sourire en pleine pandémie de Covid-19. Certains de celles et ceux qui habitent une maison individuelle enfilent ainsi un costume loufoque pour déposer leurs ordures devant chez eux, rapporte le Huffington Post.
Les tenues les plus fantaisistes ont été observées à travers le pays. Dans toutes ces vidéos qui affluent sur les réseaux sociaux, on y voit se succéder des hommes et des femmes déguisés en sumo, en catcheur, en hippie, en Borat ou encore… en Donald Trump.

Six mille Australiens atteints du coronavirus
Pour participer à ce carnaval anti-morosité, d’autres ont juste revêtu des costumes traditionnels régionaux, une tenue de footballeur ou une combinaison moulante.

Plusieurs expriment leur amour des animaux en sortant habillés en dinosaure, en licorne, en scarabée. Un Australien se rend même jusqu’au conteneur à déchets abrité sous une tente, explique le média en ligne.
Les autorités sanitaires locales n’imposent pas de confinement à la population. Les regroupements de plus de 100 personnes sont cependant interdits dans le pays et les autres rassemblements déconseillés. Près de 6 000 Australiens ont été diagnostiqués comme porteurs du coronavirus.
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