Ces objets insolites qui vous permettent de faire la sieste n'importe où
RTL
On parle beaucoup des bienfaits de la sieste, qui devient possible au travail. La technologie surfe sur cette vague et vient mettre la sieste à la portée de tous.
Les objets en rapport avec la sieste se multiplient ; pas la sieste que font vos enfants et petits-enfants en maternelle mais bien celle des adultes. Ce n'est pas évident de faire la sieste comme ça, au travail, en plein milieu de l'open space. Alors il existe toutes sortes d'objets farfelus pour vous aider à ronfler tranquillement.
En guise d'appui-tête, des coussins rembourrés que l'on enfile comme une cagoule, comme un gant de boxe ou comme une minerve pour le cou. Il y a également le coussin-pouf, un coussin géant qu'on enfile et qui vous donne la silhouette d'Obélix ou d'une quille. Cet accessoire vous permet de vous assoupir sur place en s’asseyant, ou à plat ventre sur votre nouveau gros ventre. Un accessoire d’origine japonaise, ce qui semble logique puisque le Japon est le roi de la sieste. Elle est même élevée au rang d’art : on appelle l'inemuri l'art de dormir dans les endroits insolites.
Un panier pour chiens à taille humaine
Autre exemple, un inventeur japonais a dessiné une cellule de sieste : des cabines insonorisées et adaptées sur le modèle des sièges de métro où l’on peut piquer un petit somme.
Autre idée cette fois américaine, un panier pour chiens à taille humaine : le "Plufle", inspiré des paniers pour chien. Un panier qui coûte près de 500 dollars, tout de même.
Il y a aussi des hamacs à pied à glisser sous le bureau, ou encore des chaises de bureau qui se transforment en lit.
Et si votre patron n’est pas très fan de vous voir dormir dans l’open space et que vous êtes Parisien, foncez au bar à sieste dans le 2e arrondissement : vous pourrez faire une sieste d’une vingtaine de minutes dans un siège adapté !
Questions existentielles - page 282
Ces petits coins valent le détour… Voici les toilettes publiques les plus surprenantes du monde
OuestFrance
Parfois véritables objets d’art, certains lieux d’aisances valent qu’on s’y attarde. Alors que le lavatory Madeleine, toilettes classées « monument historique » en 2011 à Paris, a rouvert au public ce lundi 20 février, voici une sélection de WC originaux, au design contemporain ou plus insolite.
Classé « monument historique » en 2011, le lavatory Madeleine a rouvert au public à Paris, ce 20 février 2023. Ces toilettes publiques au style extrêmement travaillé méritent qu’on s’y attarde. Comme d’autres lieux d’aisances, qui sont devenus de véritables attractions touristiques. Petite sélection de toilettes publiques, ou au sein d’établissements accueillants du public, originales, étonnantes architecturalement ou situées dans des endroits improbables.
Les toilettes du lavatory Madeleine à Paris, style Art nouveau
« Où faire pipi à Paris ? » À cette question, qui est aussi le titre d’un guide insolite publié en 2017 par l’autrice Cécile Briand, on peut désormais répondre : au lavatory Madeleine. Des toilettes publiques, classées Monument historique en 2011.
Construits en 1905 dans deux galeries souterraines, ces lieux d’aisances, accessibles depuis la place de la Madeleine, dans le VIIIe arrondissement, ont donc rouvert ce lundi après des travaux de restauration. Acajou verni, vitraux, céramiques décorées, mosaïque, dans un style Art nouveau, « le lavatory Madeleine s’inspire des lavatories, ces toilettes publiques qui sont apparues dans les rues londoniennes au cours du XIXe siècle », peut-on lire sur le site internet de la mairie de Paris. Chaque cabine dispose d’un miroir et d’un lavabo individuels. Les toilettes sont ouvertes tous les jours, de 10 h à 18 h. L’entrée coûte tout de même 2 €.
Les toilettes impudiques du bar du Standard Hotel à New York
Ce n’est pas une blague. À New York, aux États-Unis, les toilettes du bar du Standard Hotel, un hôtel de luxe qui enjambe la High Line, ont une vue imprenable sur cette coulée verte, parc public construit sur une ancienne ligne ferroviaire. Sauf que les vitres de l’immeuble, imaginé par l’architecte Richard Meier, ne sont pas des miroirs sans tain, comme on aurait pu l’imaginer ! C’est-à-dire que vous pouvez voir à l’extérieur, mais aussi être vu depuis l’extérieur…
Les toilettes publiques transparentes à Tokyo
Autre lieu d’aisances exposé au regard de tous : les toilettes installées dans un parc de Tokyo, conçues par l’architecte tokyoïte Shigeru Ban. Ces toilettes gratuites doivent permettre aux passants de s’assurer de la propreté et de la disponibilité des WC en toutes circonstances. Loin de vouloir favoriser un quelconque voyeurisme déplacé, ce lauréat du prix Pritzker (considéré comme le « Prix Nobel d’architecture ») a construit ces commodités avec un verre « intelligent » qui assure l’intimité de tous : transparente, la vitre devient automatiquement opaque lorsqu’un utilisateur rentre à l’intérieur et verrouille la porte.
Les toilettes en forme d’œufs du Sketch Bar à Londres
À Londres, le Sketch Bar, connu pour ses décors insolites et futuristes, a des toilettes également très originales. Les commodités de ce salon de thé et bar à cocktails, installé dans une maison de ville du XVIIIe siècle du quartier de Mayfair, sont en forme d’œufs géants. Sur Instagram, les photos de visiteurs posant dans ce décor psychédélique sont nombreuses.
Des toilettes avec une vue imprenable sur les fjords en Norvège
Ce lieu est connu pour avoir, ce que certains blogueurs considèrent comme être les plus belles toilettes publiques du monde. Elles sont en Norvège, sur une aire de repos située le long d’une route qui longe les fjords et la côte Atlantique, à Ureddplassen précisément. Ces toilettes ont été réalisées par deux architectes norvégiens Marit Justine Haugen et Dan Zohar. Elles font partie d’un mémorial dédié à un sous-marin norvégien coulé par les Allemands en 1943. Une structure en béton, en forme de vague, surmonte une cabine en verre poli opaque. L’endroit est considéré comme « idéal » pour observer les aurores boréales en hiver et le soleil de minuit en été.
Les toilettes tout « confort » de Chott-el-Jérid en Tunisie
Plus insolites, ces toilettes « tout confort », voire « de luxe », sont situées en bordure de route, à proximité d’un vaste lac salé asséché dans le sud-ouest de la Tunisie. Elles ont la particularité d’être à proximité du lieu où avait été tournée une partie du premier épisode de la série Star Wars de George Lucas, la fameuse ville de la planète Tatooine où le héros de la saga, Luke Skywalker, a grandi. Réhabilité par des fans de la série, l’endroit est devenu un véritable lieu de pèlerinage qui attire toujours, comme le souligne d’ailleurs France 2.
OuestFrance
Parfois véritables objets d’art, certains lieux d’aisances valent qu’on s’y attarde. Alors que le lavatory Madeleine, toilettes classées « monument historique » en 2011 à Paris, a rouvert au public ce lundi 20 février, voici une sélection de WC originaux, au design contemporain ou plus insolite.
Classé « monument historique » en 2011, le lavatory Madeleine a rouvert au public à Paris, ce 20 février 2023. Ces toilettes publiques au style extrêmement travaillé méritent qu’on s’y attarde. Comme d’autres lieux d’aisances, qui sont devenus de véritables attractions touristiques. Petite sélection de toilettes publiques, ou au sein d’établissements accueillants du public, originales, étonnantes architecturalement ou situées dans des endroits improbables.
Les toilettes du lavatory Madeleine à Paris, style Art nouveau
« Où faire pipi à Paris ? » À cette question, qui est aussi le titre d’un guide insolite publié en 2017 par l’autrice Cécile Briand, on peut désormais répondre : au lavatory Madeleine. Des toilettes publiques, classées Monument historique en 2011.
Construits en 1905 dans deux galeries souterraines, ces lieux d’aisances, accessibles depuis la place de la Madeleine, dans le VIIIe arrondissement, ont donc rouvert ce lundi après des travaux de restauration. Acajou verni, vitraux, céramiques décorées, mosaïque, dans un style Art nouveau, « le lavatory Madeleine s’inspire des lavatories, ces toilettes publiques qui sont apparues dans les rues londoniennes au cours du XIXe siècle », peut-on lire sur le site internet de la mairie de Paris. Chaque cabine dispose d’un miroir et d’un lavabo individuels. Les toilettes sont ouvertes tous les jours, de 10 h à 18 h. L’entrée coûte tout de même 2 €.
Les toilettes impudiques du bar du Standard Hotel à New York
Ce n’est pas une blague. À New York, aux États-Unis, les toilettes du bar du Standard Hotel, un hôtel de luxe qui enjambe la High Line, ont une vue imprenable sur cette coulée verte, parc public construit sur une ancienne ligne ferroviaire. Sauf que les vitres de l’immeuble, imaginé par l’architecte Richard Meier, ne sont pas des miroirs sans tain, comme on aurait pu l’imaginer ! C’est-à-dire que vous pouvez voir à l’extérieur, mais aussi être vu depuis l’extérieur…
Les toilettes publiques transparentes à Tokyo
Autre lieu d’aisances exposé au regard de tous : les toilettes installées dans un parc de Tokyo, conçues par l’architecte tokyoïte Shigeru Ban. Ces toilettes gratuites doivent permettre aux passants de s’assurer de la propreté et de la disponibilité des WC en toutes circonstances. Loin de vouloir favoriser un quelconque voyeurisme déplacé, ce lauréat du prix Pritzker (considéré comme le « Prix Nobel d’architecture ») a construit ces commodités avec un verre « intelligent » qui assure l’intimité de tous : transparente, la vitre devient automatiquement opaque lorsqu’un utilisateur rentre à l’intérieur et verrouille la porte.
Les toilettes en forme d’œufs du Sketch Bar à Londres
À Londres, le Sketch Bar, connu pour ses décors insolites et futuristes, a des toilettes également très originales. Les commodités de ce salon de thé et bar à cocktails, installé dans une maison de ville du XVIIIe siècle du quartier de Mayfair, sont en forme d’œufs géants. Sur Instagram, les photos de visiteurs posant dans ce décor psychédélique sont nombreuses.
Des toilettes avec une vue imprenable sur les fjords en Norvège
Ce lieu est connu pour avoir, ce que certains blogueurs considèrent comme être les plus belles toilettes publiques du monde. Elles sont en Norvège, sur une aire de repos située le long d’une route qui longe les fjords et la côte Atlantique, à Ureddplassen précisément. Ces toilettes ont été réalisées par deux architectes norvégiens Marit Justine Haugen et Dan Zohar. Elles font partie d’un mémorial dédié à un sous-marin norvégien coulé par les Allemands en 1943. Une structure en béton, en forme de vague, surmonte une cabine en verre poli opaque. L’endroit est considéré comme « idéal » pour observer les aurores boréales en hiver et le soleil de minuit en été.
Les toilettes tout « confort » de Chott-el-Jérid en Tunisie
Plus insolites, ces toilettes « tout confort », voire « de luxe », sont situées en bordure de route, à proximité d’un vaste lac salé asséché dans le sud-ouest de la Tunisie. Elles ont la particularité d’être à proximité du lieu où avait été tournée une partie du premier épisode de la série Star Wars de George Lucas, la fameuse ville de la planète Tatooine où le héros de la saga, Luke Skywalker, a grandi. Réhabilité par des fans de la série, l’endroit est devenu un véritable lieu de pèlerinage qui attire toujours, comme le souligne d’ailleurs France 2.
Ce phallus romain pourrait bien être le premier sex-toy antique découvert
Un objet phallique en bois intrigue les chercheurs qui ont avancé l’hypothèse qu’il puisse s’agir d’un sex-toy antique.
Le HuffPost
HISTOIRE - La grivoise découverte. Un bout de bois de forme phallique, découvert près du mur d’Hadrien dans le nord de la Grande-Bretagne, dans le fort romain de Vindolanda, intrigue les chercheurs. En réalité, cet objet a été découvert en 1992, mais ce n’est que très récemment que les spécialistes ont réinterprété son utilité dans une étude publiée dans la revue Antiquity, disponible sur le site de l’université de Cambridge.
Les chercheurs ont en effet été interpellés par la taille de l’objet, car c’est la première fois qu’ils observent une sculpture de pénis grandeur nature, alors qu’il est plus courant d’en retrouver à échelle réduite. Ils ont donc effectué une analyse de l’usure de l’objet pour déterminer son utilisation, et l’ont croisée avec des données archéologiques et contextuelles.
Ce phallus est source d’interrogation. Robert Collins, premier auteur de l’étude note dans Antiquity : « sa taille et le fait qu’il ait été sculpté dans du bois amènent plusieurs questions quant à son utilisation dans l’antiquité » .
Un sex-toy ou un objet de torture ?
Il est noté que ses proportions et l’usure concentrée sur les deux extrémités permettent d’avancer plusieurs hypothèses. Cela pourrait être une partie d’une sculpture, ou un pilon dont l’extrémité la plus large servirait à broyer des matériaux. Ou enfin cela pourrait être un objet sexuel antique, un sex-toy.
Toutefois, note l’étude, le terme de « jouet » sexuel serait anachronique. Et il se pourrait qu’au contraire, cet objet ne fût pas destiné à donner du plaisir.
« L’utilisation ne doit pas avoir été exclusivement sexuelle ou pour le plaisir de l’utilisateur. De tels outils peuvent avoir été utilisés dans des actes qui ont perpétué des déséquilibres de pouvoir, comme entre une personne asservie et son propriétaire, comme en témoigne la récurrence de la violence sexuelle dans la littérature romaine ». Autrement dit, cela aurait très bien pu être un outil de torture sexuelle.
Un objet phallique en bois intrigue les chercheurs qui ont avancé l’hypothèse qu’il puisse s’agir d’un sex-toy antique.
Le HuffPost
HISTOIRE - La grivoise découverte. Un bout de bois de forme phallique, découvert près du mur d’Hadrien dans le nord de la Grande-Bretagne, dans le fort romain de Vindolanda, intrigue les chercheurs. En réalité, cet objet a été découvert en 1992, mais ce n’est que très récemment que les spécialistes ont réinterprété son utilité dans une étude publiée dans la revue Antiquity, disponible sur le site de l’université de Cambridge.
Les chercheurs ont en effet été interpellés par la taille de l’objet, car c’est la première fois qu’ils observent une sculpture de pénis grandeur nature, alors qu’il est plus courant d’en retrouver à échelle réduite. Ils ont donc effectué une analyse de l’usure de l’objet pour déterminer son utilisation, et l’ont croisée avec des données archéologiques et contextuelles.
Ce phallus est source d’interrogation. Robert Collins, premier auteur de l’étude note dans Antiquity : « sa taille et le fait qu’il ait été sculpté dans du bois amènent plusieurs questions quant à son utilisation dans l’antiquité » .
Un sex-toy ou un objet de torture ?
Il est noté que ses proportions et l’usure concentrée sur les deux extrémités permettent d’avancer plusieurs hypothèses. Cela pourrait être une partie d’une sculpture, ou un pilon dont l’extrémité la plus large servirait à broyer des matériaux. Ou enfin cela pourrait être un objet sexuel antique, un sex-toy.
Toutefois, note l’étude, le terme de « jouet » sexuel serait anachronique. Et il se pourrait qu’au contraire, cet objet ne fût pas destiné à donner du plaisir.
« L’utilisation ne doit pas avoir été exclusivement sexuelle ou pour le plaisir de l’utilisateur. De tels outils peuvent avoir été utilisés dans des actes qui ont perpétué des déséquilibres de pouvoir, comme entre une personne asservie et son propriétaire, comme en témoigne la récurrence de la violence sexuelle dans la littérature romaine ». Autrement dit, cela aurait très bien pu être un outil de torture sexuelle.
Japon : une mystérieuse boule géante échouée sur une plage intrigue les autorités
RTL
Une sphère en métal de 1,5 mètres de diamètre s'est échouée sur une plage au Japon, sans que personne ne puisse pour l'heure expliquer pourquoi.
Elle mesure 1,5 mètre de diamètre et repose dans le sable à Hamamatsu au Japon. Une mystérieuse sphère métallique est comme échouée sur la plage de cette ville dans la préfecture de Shizuoka, depuis ce mardi 21 février, sans que personne ne puisse, pour l'heure, expliquer pourquoi.
Le média japonais NHK explique que la police a d'abord cru à un engin dangereux et a dépêché une équipe de déminage. "Un examen attentif a révélé qu'il ne s'agissait pas d'une menace, mais n'a pas permis de savoir ce qu'il en était réellement", a précisé le média japonais. Il n'en fallait pas plus pour affoler les internautes sur les réseaux sociaux qui voient là l'œuvre des extraterrestres ou encore une boule magique sortie de Dragon Ball.
Selon le Guardian, les autorités ont observé l'objet aux rayons X, permettant de déterminer que l'intérieur de la sphère était... vide. Pour l'heure, rien n'indique non plus qu'il s'agisse d'un objet d'espionnage envoyé par la Chine ou la Corée du Nord, précise le journal britannique. La thèse la plus probable serait celle d'une simple bouée d'amarrage...
RTL
Une sphère en métal de 1,5 mètres de diamètre s'est échouée sur une plage au Japon, sans que personne ne puisse pour l'heure expliquer pourquoi.
Elle mesure 1,5 mètre de diamètre et repose dans le sable à Hamamatsu au Japon. Une mystérieuse sphère métallique est comme échouée sur la plage de cette ville dans la préfecture de Shizuoka, depuis ce mardi 21 février, sans que personne ne puisse, pour l'heure, expliquer pourquoi.
Le média japonais NHK explique que la police a d'abord cru à un engin dangereux et a dépêché une équipe de déminage. "Un examen attentif a révélé qu'il ne s'agissait pas d'une menace, mais n'a pas permis de savoir ce qu'il en était réellement", a précisé le média japonais. Il n'en fallait pas plus pour affoler les internautes sur les réseaux sociaux qui voient là l'œuvre des extraterrestres ou encore une boule magique sortie de Dragon Ball.
Selon le Guardian, les autorités ont observé l'objet aux rayons X, permettant de déterminer que l'intérieur de la sphère était... vide. Pour l'heure, rien n'indique non plus qu'il s'agisse d'un objet d'espionnage envoyé par la Chine ou la Corée du Nord, précise le journal britannique. La thèse la plus probable serait celle d'une simple bouée d'amarrage...
Pourquoi les militaires américains devraient bannir bagels et muffins de leur alimentation
OuestFrance
Le ministère américain de la Défense invite son personnel à ne plus manger de produits contenant des graines de pavot, comme les bagels et les muffins. La raison ? Cela peut fausser les résultats des tests antidrogue. Explications.
Au pays de l’oncle Sam, le bagel est roi. Ce petit pain en forme d’anneau, généralement garni de fromage blanc et de saumon fumé, est parfois agrémenté d’oignons frits, de raisins ou de graines de pavot. Mais pour le ministère américain de la Défense, ce dernier ingrédient ne passe plus. Le Pentagone s’en explique dans une note de service envoyée le 17 février 2023 à l’ensemble de ses départements militaire : « La consommation de produits à base de graines de pavot pourrait entraîner un résultat d’analyse d’urine positif à la codéine et saper la capacité du département à identifier l’usage de drogues illicites », explique cette note, relayée sur Twitter par Andrew deGrandpré, rédacteur en chef adjoint du journal Washington Post.
Comme l’explique le site indy100.com, les soldats américains et le reste du personnel militaire sont priés d’éviter de manger des bagels, muffins et autres produits de boulangerie pouvant contenir des graines de pavot. Ces ingrédients a priori inoffensifs ont en effet tendance à fausser les tests antidrogues auxquels ils sont soumis régulièrement, et notamment les analyses d’urine réalisées de manière aléatoire. Ces tests réagiraient à des marqueurs comme la morphine ou l’opium.
OuestFrance
Le ministère américain de la Défense invite son personnel à ne plus manger de produits contenant des graines de pavot, comme les bagels et les muffins. La raison ? Cela peut fausser les résultats des tests antidrogue. Explications.
Au pays de l’oncle Sam, le bagel est roi. Ce petit pain en forme d’anneau, généralement garni de fromage blanc et de saumon fumé, est parfois agrémenté d’oignons frits, de raisins ou de graines de pavot. Mais pour le ministère américain de la Défense, ce dernier ingrédient ne passe plus. Le Pentagone s’en explique dans une note de service envoyée le 17 février 2023 à l’ensemble de ses départements militaire : « La consommation de produits à base de graines de pavot pourrait entraîner un résultat d’analyse d’urine positif à la codéine et saper la capacité du département à identifier l’usage de drogues illicites », explique cette note, relayée sur Twitter par Andrew deGrandpré, rédacteur en chef adjoint du journal Washington Post.
Comme l’explique le site indy100.com, les soldats américains et le reste du personnel militaire sont priés d’éviter de manger des bagels, muffins et autres produits de boulangerie pouvant contenir des graines de pavot. Ces ingrédients a priori inoffensifs ont en effet tendance à fausser les tests antidrogues auxquels ils sont soumis régulièrement, et notamment les analyses d’urine réalisées de manière aléatoire. Ces tests réagiraient à des marqueurs comme la morphine ou l’opium.
Des extraterrestres vont arriver sur Terre en 2023, selon un Français sur dix
Demotivateur
Selon un récent sondage réalisé par Ipsos, un Français sur 10 croirait à l’arrivée imminente d’extraterrestres sur Terre.
Depuis le début du mois de février, l’armée américaine a abattu quatre objets volants non identifiés qui survolaient le continent nord-américain. L’un de ces objets était un ballon chinois mais pour le moment, le Pentagone ignore la nature des trois autres ovnis. Ces curieux objets ont relancé les théories sur une potentielle visite extraterrestre sur Terre.
Fin 2022, Ipsos a réalisé une enquête mondiale sur le sujet, dans 36 pays différents. Au total, plus de 24 millions de personnes ont été interrogées et ont participé à l’enquête. D’après les résultats du sondage, de nombreuses personnes pensent que des extraterrestres pourraient arriver sur Terre d’ici peu de temps.
Un Français sur 10 croit à l’arrivée des extraterrestres
En effet, 43% des Indiens interrogés et 24% des Chinois croient à cette idée, contre 10% des Britanniques et 12% des Français, soit un Français sur 10. Ceux qui croient le moins en cette théorie sont les habitants du Japon, de la Belgique et de la Pologne.
Une seconde question a été posée au panel d’individus interrogés, sur la date à laquelle ces extraterrestres pourraient arriver sur Terre. 18% des personnes interrogées, dont 21% au Mexique, pensent qu’il est probable que les extraterrestres arrivent sur Terre en 2023.
Demotivateur
Selon un récent sondage réalisé par Ipsos, un Français sur 10 croirait à l’arrivée imminente d’extraterrestres sur Terre.
Depuis le début du mois de février, l’armée américaine a abattu quatre objets volants non identifiés qui survolaient le continent nord-américain. L’un de ces objets était un ballon chinois mais pour le moment, le Pentagone ignore la nature des trois autres ovnis. Ces curieux objets ont relancé les théories sur une potentielle visite extraterrestre sur Terre.
Fin 2022, Ipsos a réalisé une enquête mondiale sur le sujet, dans 36 pays différents. Au total, plus de 24 millions de personnes ont été interrogées et ont participé à l’enquête. D’après les résultats du sondage, de nombreuses personnes pensent que des extraterrestres pourraient arriver sur Terre d’ici peu de temps.
Un Français sur 10 croit à l’arrivée des extraterrestres
En effet, 43% des Indiens interrogés et 24% des Chinois croient à cette idée, contre 10% des Britanniques et 12% des Français, soit un Français sur 10. Ceux qui croient le moins en cette théorie sont les habitants du Japon, de la Belgique et de la Pologne.
Une seconde question a été posée au panel d’individus interrogés, sur la date à laquelle ces extraterrestres pourraient arriver sur Terre. 18% des personnes interrogées, dont 21% au Mexique, pensent qu’il est probable que les extraterrestres arrivent sur Terre en 2023.
L'HISTOIRE QUI REVEILLE - Le beurre de vodka, cette recette qui fait fureur sur TikTok
RTL
C'est une recette qui fait le buzz, à base de vodka (donc à consommer avec modération) ! Ce n'est pas une recette de cocktail, mais bien une vraie recette de cuisine : le butter vodka, traduisez ... le beurre de vodka !
C'est la TikTokeuse Carolina Gelen qui la propose sur sa page. Cette cuisinière d'origine roumaine a travaillé chez les plus grands et multiplié les passages télévisés. Sur les réseaux sociaux et son blog Scraps (restes en anglais), elle multiplie les recettes, toutes simples à faire comme ce beurre de vodka : il faut mixer du beurre et de la vodka. Résultat : une sorte de crème glacée, couleur blanc cassé, toute fondante !
Et la recette a un franc succès : près d'un million et demi d'internautes ont vu cette vidéo TikTok ! Une vraie tendance sur le web.
RTL
C'est une recette qui fait le buzz, à base de vodka (donc à consommer avec modération) ! Ce n'est pas une recette de cocktail, mais bien une vraie recette de cuisine : le butter vodka, traduisez ... le beurre de vodka !
C'est la TikTokeuse Carolina Gelen qui la propose sur sa page. Cette cuisinière d'origine roumaine a travaillé chez les plus grands et multiplié les passages télévisés. Sur les réseaux sociaux et son blog Scraps (restes en anglais), elle multiplie les recettes, toutes simples à faire comme ce beurre de vodka : il faut mixer du beurre et de la vodka. Résultat : une sorte de crème glacée, couleur blanc cassé, toute fondante !
Et la recette a un franc succès : près d'un million et demi d'internautes ont vu cette vidéo TikTok ! Une vraie tendance sur le web.
Vieux de presque 2 000 ans, le bulletin de salaire d’un soldat romain retrouvé en Israël
OuestFrance
Une partie d’un bulletin de salaire d’un légionnaire romain datant de 72 ap. J.-C. a été retrouvée à la forteresse de Massada (Israël). Ce document rarissime permet de découvrir que l’essentiel de la solde des soldats romains partait dans les dépenses d’équipement. Les garnisons disposaient toutefois de moyens alternatifs pour gagner de l’argent.
Un papyrus rarissime a été retrouvé à la forteresse de Massada, site légendaire de l’Empire romain situé à une cinquantaine de kilomètres au sud de Jérusalem (Israël). Il s’agit du bulletin de salaire d’un des soldats qui aurait participé au siège de cette forteresse lors de la première guerre judéo-romaine (66-74 ap. J.-C.). Son examen par les experts de l’Autorité israélienne des antiquités (AIA) permet d’en apprendre plus sur les finances des légionnaires de la garnison de Judée à cette époque, rapporte Geo .
Une solde ponctionnée
Ce document fragmentaire, qui daterait précisément de 72 ap. J.-C., serait pour l’heure le troisième bulletin de salaire connu du monde romain. Il permet d’apprendre que l’essentiel de la solde des légionnaires de la garnison était prélevé à la source pour payer différentes dépenses. Dans le détail, les deux tiers de la solde du légionnaire passaient dans l’acquisition des bottes, de la tunique et du fourrage pour le cheval. Le reste pouvait être utilisé par le soldat pour ses dépenses personnelles.
Le montant de la solde n’a pas été précisé par les chercheurs. On sait toutefois qu’elle pouvait fortement varier en fonction de son ancienneté ou de sa spécialité. Durant la majeure partie du Ier siècle ap. J.-C., elle démarrait ainsi à 225 deniers par an, mais pouvait atteindre 730 deniers par an pour les gardes prétoriens, soldats d’élite de l’armée romaine.
Des compléments de revenu
Par ailleurs, les légionnaires pouvaient également bénéficier de divers compléments de revenu. Ils pouvaient prendre la forme de gratifications pour leurs prouesses. Ils avaient par ailleurs la possibilité de devenir usuriers et de prêter de l’argent à des locaux, à qui ils faisaient ensuite payer d’importants intérêts.
Enfin, et surtout, les soldats romains étaient parfois autorisés à piller lors des campagnes militaires. Une perspective de butin qui était l’une des motivations principales des légionnaires au moment de s’engager.
OuestFrance
Une partie d’un bulletin de salaire d’un légionnaire romain datant de 72 ap. J.-C. a été retrouvée à la forteresse de Massada (Israël). Ce document rarissime permet de découvrir que l’essentiel de la solde des soldats romains partait dans les dépenses d’équipement. Les garnisons disposaient toutefois de moyens alternatifs pour gagner de l’argent.
Un papyrus rarissime a été retrouvé à la forteresse de Massada, site légendaire de l’Empire romain situé à une cinquantaine de kilomètres au sud de Jérusalem (Israël). Il s’agit du bulletin de salaire d’un des soldats qui aurait participé au siège de cette forteresse lors de la première guerre judéo-romaine (66-74 ap. J.-C.). Son examen par les experts de l’Autorité israélienne des antiquités (AIA) permet d’en apprendre plus sur les finances des légionnaires de la garnison de Judée à cette époque, rapporte Geo .
Une solde ponctionnée
Ce document fragmentaire, qui daterait précisément de 72 ap. J.-C., serait pour l’heure le troisième bulletin de salaire connu du monde romain. Il permet d’apprendre que l’essentiel de la solde des légionnaires de la garnison était prélevé à la source pour payer différentes dépenses. Dans le détail, les deux tiers de la solde du légionnaire passaient dans l’acquisition des bottes, de la tunique et du fourrage pour le cheval. Le reste pouvait être utilisé par le soldat pour ses dépenses personnelles.
Le montant de la solde n’a pas été précisé par les chercheurs. On sait toutefois qu’elle pouvait fortement varier en fonction de son ancienneté ou de sa spécialité. Durant la majeure partie du Ier siècle ap. J.-C., elle démarrait ainsi à 225 deniers par an, mais pouvait atteindre 730 deniers par an pour les gardes prétoriens, soldats d’élite de l’armée romaine.
Des compléments de revenu
Par ailleurs, les légionnaires pouvaient également bénéficier de divers compléments de revenu. Ils pouvaient prendre la forme de gratifications pour leurs prouesses. Ils avaient par ailleurs la possibilité de devenir usuriers et de prêter de l’argent à des locaux, à qui ils faisaient ensuite payer d’importants intérêts.
Enfin, et surtout, les soldats romains étaient parfois autorisés à piller lors des campagnes militaires. Une perspective de butin qui était l’une des motivations principales des légionnaires au moment de s’engager.
Sibérie : Le corps d’un ours vieux de 3.400 ans, conservé dans le permafrost, a enfin été autopsié
ÉTUDE L’animal a été si bien conservé par le froid que les chercheurs ont pu examiner son cerveau et ses organes internes
20 Minutes
Un ours brun vieux de 3.460 ans, parfaitement préservé dans le permafrost, avait été découvert en août 2020 par des éleveurs de rennes sur l’île Bolshoï Lyakhovskyn dans l’archipel de Nouvelle-Sibérie (Russie). La carcasse complète, unique au monde, a enfin fait l’objet d’une autopsie par des chercheurs, rapporte TF1 Info.
Des images de cet examen exceptionnel, relayées sur les réseaux sociaux, ont déjà récolté des centaines de milliers de vues sur les différentes plateformes. Selon les analyses des chercheurs, cet ancien ours brun de 1,55 m pour 78 kg était une femelle de trois ans environ.
Des tissus mous bien préservés
Elle serait morte à la suite d’un coup violent, peut-être l’effondrement d’un bloc de glace sur son corps. Les scientifiques ont en effet relevé plusieurs vertèbres lombaires cassées dans son corps. Par ailleurs, la femelle serait vraisemblablement morte à l’automne car elle avait déjà commencé à remplir ses réserves de graisse en vue de l’hibernation.
Les températures extrêmes de Sibérie ont permis de préserver de façon exceptionnelle les tissus mous de l’ourse. Lors de l’autopsie, l’animal a pu être disséqué et les scientifiques ont pu examiner son cerveau, ses organes internes et réaliser de nombreuses études inédites, détaille Le Parisien.
Trouver une cellule encore vivante ?
L’une d’elles avait pour objectif de comparer l’ADN de cet ours avec celui de ses descendants vivant en Sibérie aujourd’hui. Les conclusions ont déjà montré que l’ADN mitochondrial de la carcasse était similaire avec celui des ours bruns actuels de Tchoukotka et en Yakoutie.
Des échantillons des tissus de l’animal ont été prélevés dans l’espoir de trouver des cellules vivantes. « Ce serait une réalisation historique, une percée dans l’étude des animaux anciens », selon Hwan Wu Sok, chercheur qui a participé à l’autopsie. Autant de recherches qui aident à recréer une image de l’environnement d’il y a quatre mille ans, au milieu de l’Holocène.
ÉTUDE L’animal a été si bien conservé par le froid que les chercheurs ont pu examiner son cerveau et ses organes internes
20 Minutes
Un ours brun vieux de 3.460 ans, parfaitement préservé dans le permafrost, avait été découvert en août 2020 par des éleveurs de rennes sur l’île Bolshoï Lyakhovskyn dans l’archipel de Nouvelle-Sibérie (Russie). La carcasse complète, unique au monde, a enfin fait l’objet d’une autopsie par des chercheurs, rapporte TF1 Info.
Des images de cet examen exceptionnel, relayées sur les réseaux sociaux, ont déjà récolté des centaines de milliers de vues sur les différentes plateformes. Selon les analyses des chercheurs, cet ancien ours brun de 1,55 m pour 78 kg était une femelle de trois ans environ.
Des tissus mous bien préservés
Elle serait morte à la suite d’un coup violent, peut-être l’effondrement d’un bloc de glace sur son corps. Les scientifiques ont en effet relevé plusieurs vertèbres lombaires cassées dans son corps. Par ailleurs, la femelle serait vraisemblablement morte à l’automne car elle avait déjà commencé à remplir ses réserves de graisse en vue de l’hibernation.
Les températures extrêmes de Sibérie ont permis de préserver de façon exceptionnelle les tissus mous de l’ourse. Lors de l’autopsie, l’animal a pu être disséqué et les scientifiques ont pu examiner son cerveau, ses organes internes et réaliser de nombreuses études inédites, détaille Le Parisien.
Trouver une cellule encore vivante ?
L’une d’elles avait pour objectif de comparer l’ADN de cet ours avec celui de ses descendants vivant en Sibérie aujourd’hui. Les conclusions ont déjà montré que l’ADN mitochondrial de la carcasse était similaire avec celui des ours bruns actuels de Tchoukotka et en Yakoutie.
Des échantillons des tissus de l’animal ont été prélevés dans l’espoir de trouver des cellules vivantes. « Ce serait une réalisation historique, une percée dans l’étude des animaux anciens », selon Hwan Wu Sok, chercheur qui a participé à l’autopsie. Autant de recherches qui aident à recréer une image de l’environnement d’il y a quatre mille ans, au milieu de l’Holocène.
Il passe à côté de plus 100 000 € de cartes à jouer Magic déposées dans une décharge
OuestFrance
Un utilisateur américain du réseau social Reddit a découvert, fin février 2023, un trésor dans une décharge au Texas : des cartons remplis de centaines de cartes à jouer Magic : L’Assemblée. La valeur totale de la trouvaille est estimée entre 100 000 et 250 000 dollars (entre 94 000 et 235 000 € environ). Dommage pour lui, presque toutes les cartes sont passées à la broyeuse avant qu’il ne puisse les récupérer.
Dans la vie, il faut parfois se trouver au bon endroit au bon moment. Un utilisateur du réseau social Reddit, connu sous le pseudo LATIN0, a découvert fin février 2023 un véritable trésor dans une décharge au Texas (États-Unis). Alors qu’il s’y rendait pour y déposer ses ordures comme chaque semaine, l’homme est tombé par hasard sur six palettes remplies de boîtes contenant des centaines de cartes Magic : L’Assemblée. Leur valeur totale est estimée entre « 100 000 et 250 000 dollars », rapporte le site spécialisé dans les jeux vidéo Kotaku. L’internaute a ensuite publié sur Reddit une série de photos intrigantes montrant ces « cartons remplis de cartes à jouer ».
Que sont les cartes Magic : L’Assemblée ?
Magic : L’Assemblée est un jeu de cartes créé en 1993. Il est considéré par beaucoup comme LA référence mondiale en la matière. Les joueurs s’affrontent avec ces cartes dans un univers médiéval fantastique, en se lançant des sorts et en utilisant des créatures pour attaquer leurs adversaires. Petite subtilité, et pas des moindres : les joueurs ne peuvent acquérir ces capacités qu’en collectionnant une grande variété de cartes.
Selon le quotidien britannique The Guardian, le jeu est devenu en trente ans un véritable phénomène de la pop-culture, et il rassemblerait aujourd’hui pas moins de « 40 millions de joueurs » à travers le monde ! Résultat, la communauté de joueurs de Magic est à l’origine d’un marché de la revente florissant, où les cartes rares et les souvenirs peuvent se négocier plusieurs milliers de dollars.
Un trésor évalué entre « 100 000 et 250 000 dollars »
Un côté mercantile qui trouve par exemple son acmé avec cette histoire de trouvaille fortuite au Texas. Si, de son propre aveu, l’internaute américain, ne connaît pas grand-chose aux cartes Magic, il décide tout de même de prendre plusieurs photos, au lieu de prendre les cartons, le règlement de la décharge stipulant que les particuliers n’ont en principe pas le droit d’y récupérer quoi que ce soit, rapporte The Guardian.
Seulement voilà, après avoir publié ses photos sur Reddit, l’internaute a vu sa publication devenir virale. La raison ? Des spéculateurs ont commencé à analyser ses images. « En se basant sur le volume et le nombre de boîtes, la valeur totale de ces cartes jetées à la décharge serait comprise entre 100 000 et 250 000 dollars », c’est-à-dire entre 94 000 et 236 000 € environ, rapportent nos confrères de Konbini.
Une estimation qui est « tout à fait possible », nous confie Alexis Gallais, joueur et spécialiste du jeu Magic : L’Assemblée depuis plusieurs années, basé à Montpellier (Hérault). « On parle d’une telle valeur, car ces cartes qui ont été découvertes font partie d’une édition récente, très utilisée et très demandée depuis un an et demi, où certaines pièces valent plus d’une centaine d’euros chacune pour les plus rares d’entre elles », poursuit-il.
Une trouvaille détruite
Une valeur importante donc qui a aiguisé l’appétit des collectionneurs, puisque dans les 24 heures qui ont suivi sa publication sur Reddit, l’internaute américain a reçu une avalanche d’appels et de messages, de la part de collectionneurs et de fans de Magic. Dans le même temps et par la magie d’internet, la décharge a été localisée : elle se trouve au Texas, aux États-Unis.
Quand l’internaute s’est rendu sur place le lendemain matin, il a été bien dépité : tous les cartons qu’il avait photographiés avaient déjà été broyés. Quant aux cartes, il n’en restait plus que des petits bouts déchiquetés, à l’exception de quelques-unes… Mais LATIN0 a pu récupérer ces quelques cartes rescapées de la broyeuse, qu’il a religieusement placées sous plastique en guise de souvenir, sans en connaître la valeur. Depuis, il a expliqué dans les médias américains qui se sont intéressés à l’affaire ne plus vouloir se « gâcher la vie plus longtemps à cause de cette histoire », disant qu’il allait retourner « travailler comme tout le monde ».
OuestFrance
Un utilisateur américain du réseau social Reddit a découvert, fin février 2023, un trésor dans une décharge au Texas : des cartons remplis de centaines de cartes à jouer Magic : L’Assemblée. La valeur totale de la trouvaille est estimée entre 100 000 et 250 000 dollars (entre 94 000 et 235 000 € environ). Dommage pour lui, presque toutes les cartes sont passées à la broyeuse avant qu’il ne puisse les récupérer.
Dans la vie, il faut parfois se trouver au bon endroit au bon moment. Un utilisateur du réseau social Reddit, connu sous le pseudo LATIN0, a découvert fin février 2023 un véritable trésor dans une décharge au Texas (États-Unis). Alors qu’il s’y rendait pour y déposer ses ordures comme chaque semaine, l’homme est tombé par hasard sur six palettes remplies de boîtes contenant des centaines de cartes Magic : L’Assemblée. Leur valeur totale est estimée entre « 100 000 et 250 000 dollars », rapporte le site spécialisé dans les jeux vidéo Kotaku. L’internaute a ensuite publié sur Reddit une série de photos intrigantes montrant ces « cartons remplis de cartes à jouer ».
Que sont les cartes Magic : L’Assemblée ?
Magic : L’Assemblée est un jeu de cartes créé en 1993. Il est considéré par beaucoup comme LA référence mondiale en la matière. Les joueurs s’affrontent avec ces cartes dans un univers médiéval fantastique, en se lançant des sorts et en utilisant des créatures pour attaquer leurs adversaires. Petite subtilité, et pas des moindres : les joueurs ne peuvent acquérir ces capacités qu’en collectionnant une grande variété de cartes.
Selon le quotidien britannique The Guardian, le jeu est devenu en trente ans un véritable phénomène de la pop-culture, et il rassemblerait aujourd’hui pas moins de « 40 millions de joueurs » à travers le monde ! Résultat, la communauté de joueurs de Magic est à l’origine d’un marché de la revente florissant, où les cartes rares et les souvenirs peuvent se négocier plusieurs milliers de dollars.
Un trésor évalué entre « 100 000 et 250 000 dollars »
Un côté mercantile qui trouve par exemple son acmé avec cette histoire de trouvaille fortuite au Texas. Si, de son propre aveu, l’internaute américain, ne connaît pas grand-chose aux cartes Magic, il décide tout de même de prendre plusieurs photos, au lieu de prendre les cartons, le règlement de la décharge stipulant que les particuliers n’ont en principe pas le droit d’y récupérer quoi que ce soit, rapporte The Guardian.
Seulement voilà, après avoir publié ses photos sur Reddit, l’internaute a vu sa publication devenir virale. La raison ? Des spéculateurs ont commencé à analyser ses images. « En se basant sur le volume et le nombre de boîtes, la valeur totale de ces cartes jetées à la décharge serait comprise entre 100 000 et 250 000 dollars », c’est-à-dire entre 94 000 et 236 000 € environ, rapportent nos confrères de Konbini.
Une estimation qui est « tout à fait possible », nous confie Alexis Gallais, joueur et spécialiste du jeu Magic : L’Assemblée depuis plusieurs années, basé à Montpellier (Hérault). « On parle d’une telle valeur, car ces cartes qui ont été découvertes font partie d’une édition récente, très utilisée et très demandée depuis un an et demi, où certaines pièces valent plus d’une centaine d’euros chacune pour les plus rares d’entre elles », poursuit-il.
Une trouvaille détruite
Une valeur importante donc qui a aiguisé l’appétit des collectionneurs, puisque dans les 24 heures qui ont suivi sa publication sur Reddit, l’internaute américain a reçu une avalanche d’appels et de messages, de la part de collectionneurs et de fans de Magic. Dans le même temps et par la magie d’internet, la décharge a été localisée : elle se trouve au Texas, aux États-Unis.
Quand l’internaute s’est rendu sur place le lendemain matin, il a été bien dépité : tous les cartons qu’il avait photographiés avaient déjà été broyés. Quant aux cartes, il n’en restait plus que des petits bouts déchiquetés, à l’exception de quelques-unes… Mais LATIN0 a pu récupérer ces quelques cartes rescapées de la broyeuse, qu’il a religieusement placées sous plastique en guise de souvenir, sans en connaître la valeur. Depuis, il a expliqué dans les médias américains qui se sont intéressés à l’affaire ne plus vouloir se « gâcher la vie plus longtemps à cause de cette histoire », disant qu’il allait retourner « travailler comme tout le monde ».
Qu’est-ce que ce pays fictif qui s’est incrusté à l’Onu et dont le fondateur est un gourou en fuite ?
OuestFrance
Le 24 février 2023, des représentants des États unis du Kailasa ont assisté à deux réunions du Comité des Nations unies à Genève, en Suisse. Un coup d’éclat pour ce pays fictif fondé en 2019 par un gourou indien controversé. Ce dernier est en fuite depuis qu’il a été accusé par les autorités indiennes de viol et d’enlèvement d’enfants.
C’est une prise de parole qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux. Le 24 février 2023, « des représentants des États unis du Kailasa ont assisté à deux réunions du Comité des Nations unies à Genève », rapporte la radio télévision britannique BBC. Si, depuis, un responsable de l’Onu a assuré que la participation des représentants de Kailasa était « hors de propos », sans rapport aucun avec les questions débattues, cette apparition impromptue a fait réagir, notamment en Inde et dans une partie de la presse britannique. Une participation qui a également été reprise sur les réseaux sociaux par l’autoproclamée micronation, « très active sur internet, notamment sur Twitter », souligne la chaîne d’information indienne New Delhi Television. Mais quel est exactement ce pays fictif des États unis de Kailasa ? Éléments de réponse.
Les États unis de Kailasa, c’est quoi ?
Les États unis de Kailasa (USK) forment un pays fictif, qui n’est pas reconnu par la communauté internationale ni « les Nations Unies », précise le journal britannique The Independen t . Selon le site web des USK, le Kailasa est décrit comme un « mouvement fondé et dirigé par des membres de la communauté minoritaire hindoue Adi Shaivite du Canada, des États-Unis et d’autres pays. Il est créé pour offrir un refuge à tous les hindous du monde qui pratiquent, aspirent à pratiquer [leur religion] ou sont persécutés, indépendamment de leur race, de leur sexe, de leur secte, de leur caste ou de leur croyance, où ils peuvent vivre en paix et exprimer leur spiritualité, leurs arts et leur culture, sans dénigrement, interférence ou violence ».
Les USK ont été fondés en 2019 par un Indien nommé Swami Nithyananda : « Un gourou autoproclamé « homme de Dieu » », détaillait en 2019 la chaîne de télévision Cnews. Une personnalité très controversée en Inde, qui a fondé son propre culte religieux, et qui était connue pour organiser des événements en lien avec la spiritualité en Inde et aux États-Unis. Il est aujourd’hui en fuite et recherché par les autorités indiennes.
La raison ? Il est suspecté d’avoir kidnappé et emprisonné des enfants dans l’État du Gujarat, dans l’ouest de l’Inde, afin de recueillir des dons pour son ashram (un ermitage destiné aux exercices spirituels). Il aurait également violé « l’une de ses disciples », détaillait en 2019 le quotidien britannique The Guardian . Un an plus tard et alors qu’il est toujours en fuite, il a affirmé avoir créé son propre pays : les États unis de Kailasa.
L’homme brille évidemment par son absence. Recherché par la justice, il n’a pas fait d’apparition publique depuis 2019, bien que des vidéos de ses sermons soient régulièrement publiées sur ses canaux de médias sociaux.
Pas une première
Si, à ce jour, personne ne sait où se trouve exactement ce pays fictif, la BBC avançait en 2020 que « Swami Nithyananda [avait] acquis une île de la côte de l’Équateur, où il prétend avoir établi Kailasa ». Cette île privée aurait été achetée par l’un de ses riches dévots. Toutefois, cette localisation a été contestée par les autorités équatoriennes en 2019. Ces dernières avaient affirmé que le Kailasa « n’était pas sur le territoire national de l’Équateur » et que le pays « n’avait pas accordé l’asile à Nithyananda », rappelle la chaîne d’information indienne New Delhi Television.
Si « l’existence » des États unis de Kailasas peut surprendre et que la démarche semble loufoque voire dangereuse en raison de la personnalité de son fondateur, ce n’est pas la première fois qu’un gourou indien fonde ainsi une nation fictive. Dans les années 1980, un autre gourou spirituel indien nommé Rajneesh, avait fondé la ville de Rajneeshpuram dans l’Oregon (États-Unis) dans les années 1980, « avec sa propre police, son propre service d’incendie et son propre système de transport public », rappelle The Independent.
OuestFrance
Le 24 février 2023, des représentants des États unis du Kailasa ont assisté à deux réunions du Comité des Nations unies à Genève, en Suisse. Un coup d’éclat pour ce pays fictif fondé en 2019 par un gourou indien controversé. Ce dernier est en fuite depuis qu’il a été accusé par les autorités indiennes de viol et d’enlèvement d’enfants.
C’est une prise de parole qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux. Le 24 février 2023, « des représentants des États unis du Kailasa ont assisté à deux réunions du Comité des Nations unies à Genève », rapporte la radio télévision britannique BBC. Si, depuis, un responsable de l’Onu a assuré que la participation des représentants de Kailasa était « hors de propos », sans rapport aucun avec les questions débattues, cette apparition impromptue a fait réagir, notamment en Inde et dans une partie de la presse britannique. Une participation qui a également été reprise sur les réseaux sociaux par l’autoproclamée micronation, « très active sur internet, notamment sur Twitter », souligne la chaîne d’information indienne New Delhi Television. Mais quel est exactement ce pays fictif des États unis de Kailasa ? Éléments de réponse.
Les États unis de Kailasa, c’est quoi ?
Les États unis de Kailasa (USK) forment un pays fictif, qui n’est pas reconnu par la communauté internationale ni « les Nations Unies », précise le journal britannique The Independen t . Selon le site web des USK, le Kailasa est décrit comme un « mouvement fondé et dirigé par des membres de la communauté minoritaire hindoue Adi Shaivite du Canada, des États-Unis et d’autres pays. Il est créé pour offrir un refuge à tous les hindous du monde qui pratiquent, aspirent à pratiquer [leur religion] ou sont persécutés, indépendamment de leur race, de leur sexe, de leur secte, de leur caste ou de leur croyance, où ils peuvent vivre en paix et exprimer leur spiritualité, leurs arts et leur culture, sans dénigrement, interférence ou violence ».
Les USK ont été fondés en 2019 par un Indien nommé Swami Nithyananda : « Un gourou autoproclamé « homme de Dieu » », détaillait en 2019 la chaîne de télévision Cnews. Une personnalité très controversée en Inde, qui a fondé son propre culte religieux, et qui était connue pour organiser des événements en lien avec la spiritualité en Inde et aux États-Unis. Il est aujourd’hui en fuite et recherché par les autorités indiennes.
La raison ? Il est suspecté d’avoir kidnappé et emprisonné des enfants dans l’État du Gujarat, dans l’ouest de l’Inde, afin de recueillir des dons pour son ashram (un ermitage destiné aux exercices spirituels). Il aurait également violé « l’une de ses disciples », détaillait en 2019 le quotidien britannique The Guardian . Un an plus tard et alors qu’il est toujours en fuite, il a affirmé avoir créé son propre pays : les États unis de Kailasa.
L’homme brille évidemment par son absence. Recherché par la justice, il n’a pas fait d’apparition publique depuis 2019, bien que des vidéos de ses sermons soient régulièrement publiées sur ses canaux de médias sociaux.
Pas une première
Si, à ce jour, personne ne sait où se trouve exactement ce pays fictif, la BBC avançait en 2020 que « Swami Nithyananda [avait] acquis une île de la côte de l’Équateur, où il prétend avoir établi Kailasa ». Cette île privée aurait été achetée par l’un de ses riches dévots. Toutefois, cette localisation a été contestée par les autorités équatoriennes en 2019. Ces dernières avaient affirmé que le Kailasa « n’était pas sur le territoire national de l’Équateur » et que le pays « n’avait pas accordé l’asile à Nithyananda », rappelle la chaîne d’information indienne New Delhi Television.
Si « l’existence » des États unis de Kailasas peut surprendre et que la démarche semble loufoque voire dangereuse en raison de la personnalité de son fondateur, ce n’est pas la première fois qu’un gourou indien fonde ainsi une nation fictive. Dans les années 1980, un autre gourou spirituel indien nommé Rajneesh, avait fondé la ville de Rajneeshpuram dans l’Oregon (États-Unis) dans les années 1980, « avec sa propre police, son propre service d’incendie et son propre système de transport public », rappelle The Independent.
Aux Etats-Unis, le gruyère n'est plus forcément un fromage français ou suisse
RTL
C'est une histoire qui doit faire rougir de colère les producteurs de fromage français ! Sacré pied de nez alors que le Salon de l'agriculture vient de fermer ses portes ...
Car la justice américaine vient de le dire : désormais aux yeux des Etats-Unis, le gruyère n'est plus un fromage français ou suisse. Un fromage qui ressemble à du gruyère mais qui est fabriqué aux Etats-Unis par exemple a le droit de s'appeler "gruyère". En gros, pour les Américains, "gruyère" est un nom commun, pas une appellation.
Pourtant en Europe on s'était arc-boutés. L'interprofession du gruyère en Suisse, le Syndicat interprofessionnel du gruyère en France, tout le monde était venu défendre son bout de gras (ou plutôt de fromage) ... car ne s'appelle pas gruyère qui veut !
RTL
C'est une histoire qui doit faire rougir de colère les producteurs de fromage français ! Sacré pied de nez alors que le Salon de l'agriculture vient de fermer ses portes ...
Car la justice américaine vient de le dire : désormais aux yeux des Etats-Unis, le gruyère n'est plus un fromage français ou suisse. Un fromage qui ressemble à du gruyère mais qui est fabriqué aux Etats-Unis par exemple a le droit de s'appeler "gruyère". En gros, pour les Américains, "gruyère" est un nom commun, pas une appellation.
Pourtant en Europe on s'était arc-boutés. L'interprofession du gruyère en Suisse, le Syndicat interprofessionnel du gruyère en France, tout le monde était venu défendre son bout de gras (ou plutôt de fromage) ... car ne s'appelle pas gruyère qui veut !
Une femme de 96 ans lègue un million d’euros à son village… mais impose une condition
OuestFrance
C’est un très beau cadeau pour la petite commune de Maidières, située près de Nancy (Meurthe-et-Moselle). L’une de ses habitantes, décédée en 2018 à 96 ans, a légué près d’un million d’euros au village. En contrepartie, elle a seulement demandé que sa tombe soit régulièrement entretenue.
« C’est bien la première fois que ça nous arrive mais j’espère que ce ne sera pas la dernière », sourit Gérard Boyé, le maire de Maidières (Meurthe-et-Moselle). Il y a quelques jours, la petite commune de 1 500 habitants a appris une « très bonne nouvelle ». Sans héritier, l’une de ses habitantes a décidé de léguer sa fortune au village. Cela comprend sa maison mais également toutes ses économies, soit près d’un million d’euros.
Le legs a été officialisé lundi 20 février 2023 mais l’édile de 70 ans était au courant depuis quelques mois déjà. « Je suis encore très ému, nous confie-t-il. Je n’ai pas les mots pour décrire un tel acte de générosité. Lorsque le notaire nous a annoncé la somme, on s’est demandé avec mes adjoints s’il avait bien positionné la virgule… Nous étions totalement abasourdis. » Gérard Boyé se félicite de cette décision, d’autant plus que la mairie dispose d’un budget annuel de 950 000 €.
Une femme « amoureuse du village »
Ce don inattendu a été réalisé par Marcelle Verelle, une ancienne enseignante décédée en 2018 à l’âge de 96 ans. « C’était une habitante très ancienne de la commune, elle vivait à Maidières depuis très longtemps. Elle avait une relation privilégiée avec la municipalité. Et elle était forcément amoureuse du village pour lui léguer une telle somme. »
Si la généreuse donatrice était assez discrète sur sa vie privée, elle était très réputée pour ses cours de sténodactylographie. « Elle avait un certain caractère », glisse en souriant Gérard Boyé, à la tête de la mairie depuis 2020. La nouvelle a évidemment ravi l’ensemble des habitants de Maidières. « On ne pensait pas que la dame avait autant d’argent », s’étonne l’un d’entre eux dans un reportage de TF1 . « C’est tout de même chouette qu’une petite commune de 1 500 habitants se retrouve millionnaire », ajoute une riveraine.
Une rue ou un édifice portera son nom
En contrepartie de ce legs, la défunte n’a exigé qu’une seule chose : que sa tombe soit régulièrement entretenue. Une condition que va évidemment respecter la municipalité. Comment l’argent va-t-il être utilisé ? Sur ce point, l’élu ne manque pas d’idées. « Cette somme nous ouvre de nombreuses possibilités. Nous allons pouvoir rénover certains bâtiments communaux à commencer par la mairie et la salle des fêtes. Ils commencent à se faire vieux et ont besoin d’être mis aux normes notamment au niveau de l’isolation. »
Gérard Boyé évoque également des travaux de voirie ainsi qu’une extension de l’accueil périscolaire. « Nous voulons aussi davantage accompagner les associations de la commune », précise-t-il. Une chose est sûre : le maire veut rendre hommage à cette dame qui va faciliter les investissements et futurs projets du village. « Nous allons donner le nom de Marcelle Verelle à une rue ou à un édifice communal pour la remercier », annonce-t-il.
OuestFrance
C’est un très beau cadeau pour la petite commune de Maidières, située près de Nancy (Meurthe-et-Moselle). L’une de ses habitantes, décédée en 2018 à 96 ans, a légué près d’un million d’euros au village. En contrepartie, elle a seulement demandé que sa tombe soit régulièrement entretenue.
« C’est bien la première fois que ça nous arrive mais j’espère que ce ne sera pas la dernière », sourit Gérard Boyé, le maire de Maidières (Meurthe-et-Moselle). Il y a quelques jours, la petite commune de 1 500 habitants a appris une « très bonne nouvelle ». Sans héritier, l’une de ses habitantes a décidé de léguer sa fortune au village. Cela comprend sa maison mais également toutes ses économies, soit près d’un million d’euros.
Le legs a été officialisé lundi 20 février 2023 mais l’édile de 70 ans était au courant depuis quelques mois déjà. « Je suis encore très ému, nous confie-t-il. Je n’ai pas les mots pour décrire un tel acte de générosité. Lorsque le notaire nous a annoncé la somme, on s’est demandé avec mes adjoints s’il avait bien positionné la virgule… Nous étions totalement abasourdis. » Gérard Boyé se félicite de cette décision, d’autant plus que la mairie dispose d’un budget annuel de 950 000 €.
Une femme « amoureuse du village »
Ce don inattendu a été réalisé par Marcelle Verelle, une ancienne enseignante décédée en 2018 à l’âge de 96 ans. « C’était une habitante très ancienne de la commune, elle vivait à Maidières depuis très longtemps. Elle avait une relation privilégiée avec la municipalité. Et elle était forcément amoureuse du village pour lui léguer une telle somme. »
Si la généreuse donatrice était assez discrète sur sa vie privée, elle était très réputée pour ses cours de sténodactylographie. « Elle avait un certain caractère », glisse en souriant Gérard Boyé, à la tête de la mairie depuis 2020. La nouvelle a évidemment ravi l’ensemble des habitants de Maidières. « On ne pensait pas que la dame avait autant d’argent », s’étonne l’un d’entre eux dans un reportage de TF1 . « C’est tout de même chouette qu’une petite commune de 1 500 habitants se retrouve millionnaire », ajoute une riveraine.
Une rue ou un édifice portera son nom
En contrepartie de ce legs, la défunte n’a exigé qu’une seule chose : que sa tombe soit régulièrement entretenue. Une condition que va évidemment respecter la municipalité. Comment l’argent va-t-il être utilisé ? Sur ce point, l’élu ne manque pas d’idées. « Cette somme nous ouvre de nombreuses possibilités. Nous allons pouvoir rénover certains bâtiments communaux à commencer par la mairie et la salle des fêtes. Ils commencent à se faire vieux et ont besoin d’être mis aux normes notamment au niveau de l’isolation. »
Gérard Boyé évoque également des travaux de voirie ainsi qu’une extension de l’accueil périscolaire. « Nous voulons aussi davantage accompagner les associations de la commune », précise-t-il. Une chose est sûre : le maire veut rendre hommage à cette dame qui va faciliter les investissements et futurs projets du village. « Nous allons donner le nom de Marcelle Verelle à une rue ou à un édifice communal pour la remercier », annonce-t-il.
Pourquoi une vache a tenu toute l'Amérique en haleine ?
RTL
Alors que le Salon International de l'Agriculture 2023 s'est tenu à Paris jusqu'à dimanche 5 mars, Florian Gazan vous raconte comment une vache a longtemps tenu en haleine l'Amérique entière. Elle s'appelait Pauline, et a vécu au début du XXe siècle, dans le Wisconsin, puis à Washington... à la Maison-Blanche.
Cette vache Holstein à la robe blanche tachée noire s’appelait Pauline Wayne. Elle exerçait son métier de vache, elle fournissait du lait pour le 27ème président des États-Unis, William Taft et toute sa famille. Car à l’époque, on ne trouvait pas de produits laitiers dans la capitale américaine. Or le président avait 3 enfants en pleine croissance, et lui-même adorait le beurre et tout ce qui était à base de crème, ses 130 kilos faisant foi…
Pauline a séjourné à la Maison-Blanche entre 1910 et 1913. Elle produisait 30 litres de lait par jour. Tout le monde l’adorait. Surtout le président. Elle a eu droit à une vingtaine d’articles dans le Washington Post. C’était une sorte de Kim Kardashian à cornes. Mais un drame s'est produit en 1911 : elle a disparu. L’Amérique et le président étaient en panique…
RTL
Alors que le Salon International de l'Agriculture 2023 s'est tenu à Paris jusqu'à dimanche 5 mars, Florian Gazan vous raconte comment une vache a longtemps tenu en haleine l'Amérique entière. Elle s'appelait Pauline, et a vécu au début du XXe siècle, dans le Wisconsin, puis à Washington... à la Maison-Blanche.
Cette vache Holstein à la robe blanche tachée noire s’appelait Pauline Wayne. Elle exerçait son métier de vache, elle fournissait du lait pour le 27ème président des États-Unis, William Taft et toute sa famille. Car à l’époque, on ne trouvait pas de produits laitiers dans la capitale américaine. Or le président avait 3 enfants en pleine croissance, et lui-même adorait le beurre et tout ce qui était à base de crème, ses 130 kilos faisant foi…
Pauline a séjourné à la Maison-Blanche entre 1910 et 1913. Elle produisait 30 litres de lait par jour. Tout le monde l’adorait. Surtout le président. Elle a eu droit à une vingtaine d’articles dans le Washington Post. C’était une sorte de Kim Kardashian à cornes. Mais un drame s'est produit en 1911 : elle a disparu. L’Amérique et le président étaient en panique…
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