Arsenal : Les Gunners recrutent un chien pour remonter le moral des joueurs
20Minutes
IDÉE DE WOUF Win, une femelle labrador, a rejoint l’équipe de Mikel Arteta, doublée par Manchester City dans la quête du titre de champion d’Angleterre
Certains chiens assistent les personnes atteintes de stress post-traumatique. D’autres aident les victimes dans les tribunaux, ou les personnes déficientes visuelles. Win, elle, est chargée depuis le mois dernier de remonter le moral des joueurs d’Arsenal, doublés par Manchester City en Premier League alors que le titre leur a longtemps semblé promis.
Selon l’Evening Standard, c’est l’entraîneur Mikel Arteta, spécialiste de la quête des gains marginaux, qui a eu l’idée de « recruter » cette aimable femelle Labrador au pelage chocolat. Le technicien espagnol n’a pas eu à chercher bien loin, puisque Win appartient à un membre de son staff.
Payée en poulet grillé
Plusieurs fois par semaine, elle vient traîner sur la pelouse d’entraînement des Gunners pour les aider à finir au mieux leur saison. Le média britannique nous apprend même qu’elle a parfois droit à son plat favori : le poulet grillé.
C’est mignon tout plein, mais cela n’empêchera pas City d’être sacré, sans jouer, dès ce samedi, si Arsenal perd sur la pelouse de Nottingham Forest.
Questions existentielles - page 286
Pourquoi ce maire du Calvados prend-il les chariots d'un supermarché en otage ?
RTL
Il n'en pouvait plus de voir des chariots éparpillés dans sa ville. Le maire d'Hérouville-Saint-Clair dans le Calvados a donc pris une décision radicale : les prendre en otage.
Une décision radicale. Le maire d'Hérouville-Saint-Clair, dans le Calvados, n'en pouvait plus de voir tous ces chariots abandonnés aux quatre coins de sa commune. Il a donc décidé de prendre en otage ceux de l'enseigne Carrefour.
Depuis trois mois, les services de la ville ont récupéré pas moins de 600 chariots, à présent retenus par la mairie. Elle demande aujourd'hui une rançon au supermarché et avec une demande de 10 euros par chariot, l'addition s'élève autour des 6.000 euros. Si cela semble extrême, c'est la seule solution trouvée par Rodolphe Thomas, le maire de la ville.
"C'était mon devoir de prendre des dispositions, les caddies trainant sur les trottoirs, les parkings. Ce n'est pas à la collectivité de faire le travail d'un prestataire d'une enseigne commerciale", juge la maire. En l'absence de réponse de la part de l'enseigne, il a donc pris la décision d'imposer une taxe pour reprendre les chariots.
Le maire veut trouver des solutions
Le magasin s'est manifesté il y a quelques semaines afin de récupérer ses chariots. Le maire reste toutefois catégorique : les chariots ne seront pas rendus tant qu'un terrain d'entente ne sera pas trouvé. "C'est dans l'intérêt général, de la ville et de Carrefour, de travailler autrement", explique-t-il.
Rodolphe Thomas propose ainsi de travailler avec une entreprise d'insertion, afin de créer de l'emploi local. Dans un communiqué, Carrefour se dit "conscient du problème" et pour y remédier, l'enseigne affirme avoir intensifié les ramassages à trois passages par semaine.
RTL
Il n'en pouvait plus de voir des chariots éparpillés dans sa ville. Le maire d'Hérouville-Saint-Clair dans le Calvados a donc pris une décision radicale : les prendre en otage.
Une décision radicale. Le maire d'Hérouville-Saint-Clair, dans le Calvados, n'en pouvait plus de voir tous ces chariots abandonnés aux quatre coins de sa commune. Il a donc décidé de prendre en otage ceux de l'enseigne Carrefour.
Depuis trois mois, les services de la ville ont récupéré pas moins de 600 chariots, à présent retenus par la mairie. Elle demande aujourd'hui une rançon au supermarché et avec une demande de 10 euros par chariot, l'addition s'élève autour des 6.000 euros. Si cela semble extrême, c'est la seule solution trouvée par Rodolphe Thomas, le maire de la ville.
"C'était mon devoir de prendre des dispositions, les caddies trainant sur les trottoirs, les parkings. Ce n'est pas à la collectivité de faire le travail d'un prestataire d'une enseigne commerciale", juge la maire. En l'absence de réponse de la part de l'enseigne, il a donc pris la décision d'imposer une taxe pour reprendre les chariots.
Le maire veut trouver des solutions
Le magasin s'est manifesté il y a quelques semaines afin de récupérer ses chariots. Le maire reste toutefois catégorique : les chariots ne seront pas rendus tant qu'un terrain d'entente ne sera pas trouvé. "C'est dans l'intérêt général, de la ville et de Carrefour, de travailler autrement", explique-t-il.
Rodolphe Thomas propose ainsi de travailler avec une entreprise d'insertion, afin de créer de l'emploi local. Dans un communiqué, Carrefour se dit "conscient du problème" et pour y remédier, l'enseigne affirme avoir intensifié les ramassages à trois passages par semaine.
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Une montre en capsules de café recyclées
LePoint
Les deux maisons suisses Hublot et Nespresso dévoilent une Big Bang insolite issue du recyclage et réalisée en aluminium. Une première mondiale limitée à 200 pièces.
Nespresso maîtrise l'art du recyclage depuis 1991. À cette époque, l'entreprise développe, en effet, un ingénieux système pour séparer l'aluminium du marc de café, permettant ainsi à chaque composant d'être réutilisé. Dans le cadre de son projet « Second Life », les capsules en aluminium usagées s'offrent une seconde vie sous la forme d'objets en éditions limitées à l'instar du célèbre stylo à bille « 849 Nespresso » de Caran d'Ache, de cadres de vélo, de pièces d'automobile ou encore de lampes. Une démarche éco-responsable salutaire sachant que le recyclage de l'aluminium est 95 % plus économe en énergie que la production d'aluminium neuf. En outre, le marc de café, deuxième composant d'une capsule Nespresso usagée est également entièrement recyclé.
Réputée pour son travail avant-gardiste des matériaux, la maison Hublot, qui incarne le savoir-faire dans l'art de la fusion, ne pouvait passer à côté de ce nouveau défi. Ainsi est née la Big Bang Unico Nespresso Origin, fruit d'une collaboration unique entre les deux marques suisses. Un projet pionnier en la matière mettant à l'honneur l'innovation et la durabilité, sorti des ateliers Hublot après un an de recherche et de développement. En somme, un témoignage inédit d'une circularité sans limite.
De la tasse au poignet
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », disait à la fin du XVIIIe siècle, le mathématicien et chimiste français Antoine Lavoisier. Cette nouvelle Big Bang Unico en témoigne bien. Arborant pour seules signature du partenariat le « N » de Nespresso gravé sur la couronne ainsi que la couleur verte emblématique rappelant celle des dosettes Master Origins Peru Organic, la montre se présente sur un boîtier de 42 mm de diamètre. Ce dernier a été façonné dans de l'aluminium recyclé anodisé dans un vert vibrant, satiné et poli, dont 28 % proviennent des capsules de café. Un matériau composite qui habille également la couronne et les poussoirs du modèle tandis que le fond de boîte a été taillé dans de l'Eco-Titanium lui-aussi recyclé.
Quant au marc de café, il a été ici transformé en bracelet de montre. Sa formule comprend 4,1 % de marc de café et 8,2 % de caoutchouc blanc recyclé. Il y a aussi une sangle supplémentaire incluse, fabriquée à partir de tissu 100 % réutilisé qui est composé de 5 % de marc de café et de 95 % de polyester recyclé.
Animé par un mouvement chronographe de manufacture UNICO à remontage automatique, autonome jusqu'à 72 heures de réserve de marche, le garde-temps est livré dans un nouvel écrin Hublot Greenbox. Ce dernier, entièrement développé en interne, accompagnera désormais toutes les collections de montres de l'horloger. Réalisé entièrement en bois de chêne jusqu'à ses charnières, il se compose de bois traçable, majoritairement massif. Une étape de plus vers la promotion des circuits courts. What else ?
LePoint
Les deux maisons suisses Hublot et Nespresso dévoilent une Big Bang insolite issue du recyclage et réalisée en aluminium. Une première mondiale limitée à 200 pièces.
Nespresso maîtrise l'art du recyclage depuis 1991. À cette époque, l'entreprise développe, en effet, un ingénieux système pour séparer l'aluminium du marc de café, permettant ainsi à chaque composant d'être réutilisé. Dans le cadre de son projet « Second Life », les capsules en aluminium usagées s'offrent une seconde vie sous la forme d'objets en éditions limitées à l'instar du célèbre stylo à bille « 849 Nespresso » de Caran d'Ache, de cadres de vélo, de pièces d'automobile ou encore de lampes. Une démarche éco-responsable salutaire sachant que le recyclage de l'aluminium est 95 % plus économe en énergie que la production d'aluminium neuf. En outre, le marc de café, deuxième composant d'une capsule Nespresso usagée est également entièrement recyclé.
Réputée pour son travail avant-gardiste des matériaux, la maison Hublot, qui incarne le savoir-faire dans l'art de la fusion, ne pouvait passer à côté de ce nouveau défi. Ainsi est née la Big Bang Unico Nespresso Origin, fruit d'une collaboration unique entre les deux marques suisses. Un projet pionnier en la matière mettant à l'honneur l'innovation et la durabilité, sorti des ateliers Hublot après un an de recherche et de développement. En somme, un témoignage inédit d'une circularité sans limite.
De la tasse au poignet
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », disait à la fin du XVIIIe siècle, le mathématicien et chimiste français Antoine Lavoisier. Cette nouvelle Big Bang Unico en témoigne bien. Arborant pour seules signature du partenariat le « N » de Nespresso gravé sur la couronne ainsi que la couleur verte emblématique rappelant celle des dosettes Master Origins Peru Organic, la montre se présente sur un boîtier de 42 mm de diamètre. Ce dernier a été façonné dans de l'aluminium recyclé anodisé dans un vert vibrant, satiné et poli, dont 28 % proviennent des capsules de café. Un matériau composite qui habille également la couronne et les poussoirs du modèle tandis que le fond de boîte a été taillé dans de l'Eco-Titanium lui-aussi recyclé.
Quant au marc de café, il a été ici transformé en bracelet de montre. Sa formule comprend 4,1 % de marc de café et 8,2 % de caoutchouc blanc recyclé. Il y a aussi une sangle supplémentaire incluse, fabriquée à partir de tissu 100 % réutilisé qui est composé de 5 % de marc de café et de 95 % de polyester recyclé.
Animé par un mouvement chronographe de manufacture UNICO à remontage automatique, autonome jusqu'à 72 heures de réserve de marche, le garde-temps est livré dans un nouvel écrin Hublot Greenbox. Ce dernier, entièrement développé en interne, accompagnera désormais toutes les collections de montres de l'horloger. Réalisé entièrement en bois de chêne jusqu'à ses charnières, il se compose de bois traçable, majoritairement massif. Une étape de plus vers la promotion des circuits courts. What else ?
l pleut des chenilles dans ce coin des Deux-Sèvres
OuestFrance
Près de Thouars, des promeneurs ont eu la mauvaise surprise de recevoir une pluie de chenilles, au point de devoir ouvrir leur parapluie.
Des promeneurs qui se dirigeaient de Saint-Jacques-de-Thouars vers le Ruault de Rigné, en empruntant un chemin bordé d’arbres feuillus, ont eu la désagréable surprise de recevoir une pluie de chenilles, au point d’ouvrir un parapluie pour continuer leur randonnée.
Des chenilles qui vivent dans les arbres
Renseignements pris, ces chenilles arpenteuses vivent dans les aubépines, charmes, érables, hêtres et autres feuillus. La saison de ponte démarre en novembre.
Les œufs, de 200 à 300 par femelle, sont déposés sur l’écorce des rameaux les plus fins et éclosent à partir du mois d’avril. Il en sort des chenilles qui se nourrissent des bourgeons, des fleurs, des feuilles et, parfois, des fruits en formation.
Pour se déplacer d’une branche à l’autre, elles se laissent pendre à un fil de soie et sont facilement transportées d’un arbre à l’autre d’un coup de vent, ce qui facilite grandement leur propagation.
À la fin du mois de mai, les chenilles tombent au sol et s’y enterrent à 8 cm de profondeur. Les papillons ne sortiront qu’une fois l’été passé.
OuestFrance
Près de Thouars, des promeneurs ont eu la mauvaise surprise de recevoir une pluie de chenilles, au point de devoir ouvrir leur parapluie.
Des promeneurs qui se dirigeaient de Saint-Jacques-de-Thouars vers le Ruault de Rigné, en empruntant un chemin bordé d’arbres feuillus, ont eu la désagréable surprise de recevoir une pluie de chenilles, au point d’ouvrir un parapluie pour continuer leur randonnée.
Des chenilles qui vivent dans les arbres
Renseignements pris, ces chenilles arpenteuses vivent dans les aubépines, charmes, érables, hêtres et autres feuillus. La saison de ponte démarre en novembre.
Les œufs, de 200 à 300 par femelle, sont déposés sur l’écorce des rameaux les plus fins et éclosent à partir du mois d’avril. Il en sort des chenilles qui se nourrissent des bourgeons, des fleurs, des feuilles et, parfois, des fruits en formation.
Pour se déplacer d’une branche à l’autre, elles se laissent pendre à un fil de soie et sont facilement transportées d’un arbre à l’autre d’un coup de vent, ce qui facilite grandement leur propagation.
À la fin du mois de mai, les chenilles tombent au sol et s’y enterrent à 8 cm de profondeur. Les papillons ne sortiront qu’une fois l’été passé.
Etre payé pour voyager en train dans toute l’Europe, ça vous tente ?
Une entreprise de consignes à bagages, Radical Storage, a décidé de recruter un « testeur » de trains de nuit cet été. Une occasion idéale pour voyager dans toute l’Europe tout en étant rémunéré. Les candidatures sont à déposer avant le mercredi 5 juillet 2023.
Ouest-France
Le train de nuit séduit à nouveau les voyageurs en Europe. Face à l’enjeu écologique, il devient une alternative à l’avion pour les longs trajets. Ce jeudi 25 mai 2023, une nouvelle ligne a ainsi été lancée. Au départ de Bruxelles, elle permet de rejoindre Berlin, Rotterdam ou encore Amsterdam. L’offre devrait encore s’étoffer dans les mois à venir avec un trajet prévu entre l’Allemagne et la Croatie par exemple.
Un développement sur lequel l’entreprise de consignes à bagages, Radical Storage, a décidé de capitaliser : elle recherche une personne pour tester cinq lignes de train de nuit de juillet 2023 à janvier 2024, rapporte Géo .
Payé près de 600 € pour un périple gratuit en Europe
Sur son site internet, la société indique rechercher une personne « prête pour l’aventure », acceptant de voyager gratuitement à bord de cinq trains de nuit de son choix. Elle précise également qu’elle ne recherche pas « des pros du voyage, même s’ils sont les bienvenus, mais plus une personne qui aimerait explorer l’Europe et faire de nouvelles expériences ».
En échange des trajets gratuits et d’une rémunération de 500 livres (environ 575 €) pour cette mission, le voyageur devra rendre compte, durant un mois et en anglais, de son voyage à travers l’Europe, des différentes étapes de son itinéraire, des escales prévues etc. Avec photos et vidéos à l’appui. Il devra faire part de son expérience dans ces trains : la qualité de son sommeil, le rapport qualité-prix, le personnel, les services etc.
Jusqu’au 5 juillet 2023 pour postuler
L’heureux élu devra aussi utiliser tout au long de son périple les consignes à bagages de son employeur et faire un retour sur les services proposés par Radical Storage.
Pour postuler, il suffit de remplir un formulaire en ligne jusqu’au 5 juillet 2023. « En 300 mots ou moins, dites-nous pourquoi nous devrions vous choisir comme testeur de trains de nuit », est-il notamment demandé. Le candidat doit avoir plus de 18 ans et pouvoir voyager au sein de l’Union européenne entre juillet 2023 et janvier 2024 avec des documents d’identité en cours de validité.
Une entreprise de consignes à bagages, Radical Storage, a décidé de recruter un « testeur » de trains de nuit cet été. Une occasion idéale pour voyager dans toute l’Europe tout en étant rémunéré. Les candidatures sont à déposer avant le mercredi 5 juillet 2023.
Ouest-France
Le train de nuit séduit à nouveau les voyageurs en Europe. Face à l’enjeu écologique, il devient une alternative à l’avion pour les longs trajets. Ce jeudi 25 mai 2023, une nouvelle ligne a ainsi été lancée. Au départ de Bruxelles, elle permet de rejoindre Berlin, Rotterdam ou encore Amsterdam. L’offre devrait encore s’étoffer dans les mois à venir avec un trajet prévu entre l’Allemagne et la Croatie par exemple.
Un développement sur lequel l’entreprise de consignes à bagages, Radical Storage, a décidé de capitaliser : elle recherche une personne pour tester cinq lignes de train de nuit de juillet 2023 à janvier 2024, rapporte Géo .
Payé près de 600 € pour un périple gratuit en Europe
Sur son site internet, la société indique rechercher une personne « prête pour l’aventure », acceptant de voyager gratuitement à bord de cinq trains de nuit de son choix. Elle précise également qu’elle ne recherche pas « des pros du voyage, même s’ils sont les bienvenus, mais plus une personne qui aimerait explorer l’Europe et faire de nouvelles expériences ».
En échange des trajets gratuits et d’une rémunération de 500 livres (environ 575 €) pour cette mission, le voyageur devra rendre compte, durant un mois et en anglais, de son voyage à travers l’Europe, des différentes étapes de son itinéraire, des escales prévues etc. Avec photos et vidéos à l’appui. Il devra faire part de son expérience dans ces trains : la qualité de son sommeil, le rapport qualité-prix, le personnel, les services etc.
Jusqu’au 5 juillet 2023 pour postuler
L’heureux élu devra aussi utiliser tout au long de son périple les consignes à bagages de son employeur et faire un retour sur les services proposés par Radical Storage.
Pour postuler, il suffit de remplir un formulaire en ligne jusqu’au 5 juillet 2023. « En 300 mots ou moins, dites-nous pourquoi nous devrions vous choisir comme testeur de trains de nuit », est-il notamment demandé. Le candidat doit avoir plus de 18 ans et pouvoir voyager au sein de l’Union européenne entre juillet 2023 et janvier 2024 avec des documents d’identité en cours de validité.
Ce jean connecté vous envoie une notification si votre braguette est restée ouverte
OuestFrance
Le développeur américain Guy Dupont adore transformer et améliorer nos objets du quotidien en leur ajoutant des fonctions. Sur internet, il partage ses inventions, comme ce jean connecté capable d’alerter la personne qui le porte en cas… de braguette ouverte !
Au quotidien, nous utilisons de plus en plus des objets connectés pour nous simplifier la vie. Des montres, des lunettes, des caméras, des aspirateurs, des volets roulants… Aux États-Unis, dans la ville de Cambridge (Massachusetts), un jeune développeur de logiciels nommé Guy Dupont, surfe sur cette tendance. Au quotidien, il passe son temps à bricoler et à réparer les objets que nous utilisons avec une idée bien précise en tête : leur donner une nouvelle vie, soit en les améliorant, soit en leur apportant de nouvelles fonctionnalités grâce à la technologie. Sur son site internet, le jeune développeur recense ses 11 inventions. Elles sont le fruit de nombreuses heures de travail ! Il y a notamment un radio-réveil qui permet d’aller chercher une musique en sélectionnant le jour et l’heure avec la molette, un minuscule jukebox, un iPod trafiqué avec les fonctionnalités de streaming musical de Spotify ou encore un babyphone connecté. Pour cette dernière invention, le développeur de logiciels explique avoir « créé un bracelet confortable et haptique [qui concerne le sens du toucher] à porter pendant que vous dormez », dit-il. « Les vibrations suivent l’amplitude des cris de bébé en temps réel, vous aurez donc une idée de leur son. »
Fini les problèmes de… braguette ouverte
Récemment, Guy Dupont a mis au point une innovation originale, encore plus astucieuse. Il s’agit d’un jean connecté qui alerte la personne qui le porte… en cas de braguette restée ouverte ! Comment ça se passe ? Via une notification sur smartphone… Le site internet Presse Citron explique le principe : « Le système fonctionne grâce à des capteurs magnétiques collés à l’intérieur du pantalon et sur le zip de la fermeture Éclair. » Un petit système électrique, très discret, est donc collé dessus. Le jeune développeur américain en a d’ailleurs fait la démonstration, le 23 mai 2023, dans une vidéo sur Twitter
La question du lavage de ce vêtement connecté reste encore en suspens, tout comme la commercialisation de ce gadget. Et puis, est-ce vraiment utile ? On se dit qu’il suffit, en principe, d’avoir un entourage amical ou professionnel prévenant, qui n’hésitera pas à vous signaler discrètement et gentiment cet oubli gênant. À défaut, le smartphone peut devenir un allié pour éviter une situation embarrassante dans la rue, au travail ou, pire, pendant un entretien d’embauche !
OuestFrance
Le développeur américain Guy Dupont adore transformer et améliorer nos objets du quotidien en leur ajoutant des fonctions. Sur internet, il partage ses inventions, comme ce jean connecté capable d’alerter la personne qui le porte en cas… de braguette ouverte !
Au quotidien, nous utilisons de plus en plus des objets connectés pour nous simplifier la vie. Des montres, des lunettes, des caméras, des aspirateurs, des volets roulants… Aux États-Unis, dans la ville de Cambridge (Massachusetts), un jeune développeur de logiciels nommé Guy Dupont, surfe sur cette tendance. Au quotidien, il passe son temps à bricoler et à réparer les objets que nous utilisons avec une idée bien précise en tête : leur donner une nouvelle vie, soit en les améliorant, soit en leur apportant de nouvelles fonctionnalités grâce à la technologie. Sur son site internet, le jeune développeur recense ses 11 inventions. Elles sont le fruit de nombreuses heures de travail ! Il y a notamment un radio-réveil qui permet d’aller chercher une musique en sélectionnant le jour et l’heure avec la molette, un minuscule jukebox, un iPod trafiqué avec les fonctionnalités de streaming musical de Spotify ou encore un babyphone connecté. Pour cette dernière invention, le développeur de logiciels explique avoir « créé un bracelet confortable et haptique [qui concerne le sens du toucher] à porter pendant que vous dormez », dit-il. « Les vibrations suivent l’amplitude des cris de bébé en temps réel, vous aurez donc une idée de leur son. »
Fini les problèmes de… braguette ouverte
Récemment, Guy Dupont a mis au point une innovation originale, encore plus astucieuse. Il s’agit d’un jean connecté qui alerte la personne qui le porte… en cas de braguette restée ouverte ! Comment ça se passe ? Via une notification sur smartphone… Le site internet Presse Citron explique le principe : « Le système fonctionne grâce à des capteurs magnétiques collés à l’intérieur du pantalon et sur le zip de la fermeture Éclair. » Un petit système électrique, très discret, est donc collé dessus. Le jeune développeur américain en a d’ailleurs fait la démonstration, le 23 mai 2023, dans une vidéo sur Twitter
La question du lavage de ce vêtement connecté reste encore en suspens, tout comme la commercialisation de ce gadget. Et puis, est-ce vraiment utile ? On se dit qu’il suffit, en principe, d’avoir un entourage amical ou professionnel prévenant, qui n’hésitera pas à vous signaler discrètement et gentiment cet oubli gênant. À défaut, le smartphone peut devenir un allié pour éviter une situation embarrassante dans la rue, au travail ou, pire, pendant un entretien d’embauche !
Pollution : À l’aide d’un aimant surpuissant, il retire les déchets métalliques des fleuves français
PLOUF Brut, partenaire de « 20 Minutes », assiste à une pêche (hélas) très fructueuse
20 Minutes avec Brut
Originaire de Lorient, dans le Morbihan, Benoît s’est naturellement intéressé à la pêche. Sauf que le jeune homme ne cherche pas à prendre du poisson… mais des déchets métalliques, qu’il extraie des fleuves et rivières environnants grâce au "Barbarian", un aimant surpuissant : « c’est un aimant à 360 degrés, le plus gros du marché, qui est capable de soulever jusqu’à 1.600 kg », s’enorgueillit Benoît.
Des trouvailles diverses… et très polluantes
Sa « passion » pour la pêche aux encombrants est née suite au visionnage de vidéos de passionnés : « je me suis dit "pourquoi ne pas faire ça chez moi ?", alors j’ai acheté un aimant (le sien lui a quand même coûté 550 euros) et j’ai remonté un vélo, une trottinette, un coffre-fort… c’était parti ! », se souvient-il.
Des poteaux aux appareils électroniques, le pêcheur ramasse ce dont certaines personnes indélicates ont jeté à l’eau. Dans La Vilaine, le fleuve où il « pratique », il trouve souvent des objets banals… et, quelquefois, de merveilleux trésors, comme ce coffre « avec une collection de timbres estimée en 2015 à 35.000 euros. J’ai retrouvé le propriétaire, qui était très surpris et bien content de retrouver son "trésor" ».
PLOUF Brut, partenaire de « 20 Minutes », assiste à une pêche (hélas) très fructueuse
20 Minutes avec Brut
Originaire de Lorient, dans le Morbihan, Benoît s’est naturellement intéressé à la pêche. Sauf que le jeune homme ne cherche pas à prendre du poisson… mais des déchets métalliques, qu’il extraie des fleuves et rivières environnants grâce au "Barbarian", un aimant surpuissant : « c’est un aimant à 360 degrés, le plus gros du marché, qui est capable de soulever jusqu’à 1.600 kg », s’enorgueillit Benoît.
Des trouvailles diverses… et très polluantes
Sa « passion » pour la pêche aux encombrants est née suite au visionnage de vidéos de passionnés : « je me suis dit "pourquoi ne pas faire ça chez moi ?", alors j’ai acheté un aimant (le sien lui a quand même coûté 550 euros) et j’ai remonté un vélo, une trottinette, un coffre-fort… c’était parti ! », se souvient-il.
Des poteaux aux appareils électroniques, le pêcheur ramasse ce dont certaines personnes indélicates ont jeté à l’eau. Dans La Vilaine, le fleuve où il « pratique », il trouve souvent des objets banals… et, quelquefois, de merveilleux trésors, comme ce coffre « avec une collection de timbres estimée en 2015 à 35.000 euros. J’ai retrouvé le propriétaire, qui était très surpris et bien content de retrouver son "trésor" ».
Sarthe. À peine installé, le distributeur de rillettes se fait vandaliser
OuestFrance
À peine plus de deux semaines après son installation, un distributeur de rillettes et de charcuterie mis en place dans la commune sarthoise de Solesmes (Sarthe), près de Sablé-sur-Sarthe, a été la cible d’un acte de vandalisme.
France
l
« Pour une fois qu’on avait quelque chose qui rend service… » Cet habitant à vélo, qui espérait s’approvisionner en charcuterie dans le nouveau distributeur installé dans le bourg de Solesmes, est reparti bredouille et un peu incrédule, ce dimanche après-midi du 28 mai 2023.
L’automate proposant à toute heure des rillettes et autres produits de charcuterie de la ferme voisine La Jaluère, tels que boudins, saucissons et merguez, a été vandalisé. Le méfait a été découvert samedi matin. À peine plus de deux semaines après sa mise en service, sur le parking du stade de football du village sarthois, à côté de Sablé-sur-Sarthe.
Traces d’une ouverture forcée
« Suite à du vandalisme, le distributeur est hors service », peut-on lire sur la porte vitrée de l’appareil, positionné sous un abri en bois. Le distributeur présente des traces d’une ouverture forcée, probablement avec un pied-de-biche. Il n’accepte que le paiement en carte bancaire et ne contient pas d’espèces. C’est donc manifestement la nourriture que les malfaiteurs visaient. Le distributeur de pain situé près de là a, lui, été épargné.
Selon nos informations, une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie de Sablé-sur-Sarthe et des investigations sont en cours.
OuestFrance
À peine plus de deux semaines après son installation, un distributeur de rillettes et de charcuterie mis en place dans la commune sarthoise de Solesmes (Sarthe), près de Sablé-sur-Sarthe, a été la cible d’un acte de vandalisme.
France
l
« Pour une fois qu’on avait quelque chose qui rend service… » Cet habitant à vélo, qui espérait s’approvisionner en charcuterie dans le nouveau distributeur installé dans le bourg de Solesmes, est reparti bredouille et un peu incrédule, ce dimanche après-midi du 28 mai 2023.
L’automate proposant à toute heure des rillettes et autres produits de charcuterie de la ferme voisine La Jaluère, tels que boudins, saucissons et merguez, a été vandalisé. Le méfait a été découvert samedi matin. À peine plus de deux semaines après sa mise en service, sur le parking du stade de football du village sarthois, à côté de Sablé-sur-Sarthe.
Traces d’une ouverture forcée
« Suite à du vandalisme, le distributeur est hors service », peut-on lire sur la porte vitrée de l’appareil, positionné sous un abri en bois. Le distributeur présente des traces d’une ouverture forcée, probablement avec un pied-de-biche. Il n’accepte que le paiement en carte bancaire et ne contient pas d’espèces. C’est donc manifestement la nourriture que les malfaiteurs visaient. Le distributeur de pain situé près de là a, lui, été épargné.
Selon nos informations, une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie de Sablé-sur-Sarthe et des investigations sont en cours.
Venise : Mystère sur le Grand Canal qui a viré au vert fluo
20Minutes
MISE AU VERT Un tronçon du Grand Canal de Venise a brusquement viré au vert fluorescent dimanche. Une enquête est en cours
Stupeur à Venise où l’eau, souvent verdâtre, a carrément tourné au vert fluo dimanche matin sur un tronçon du Grand Canal, aux abords du célèbre pont du Rialto. C’est Luca Zaia, le président de la région de Vénétie, qui a posté les premières photos du phénomène sur Twitter, indiquant que le changement de couleur avait été signalé par des habitants. « Le préfet a convoqué une réunion urgente avec la police pour enquêter sur l’origine du liquide », a-t-il ajouté.
Les pompiers vénitiens ont aidé l’agence régionale de protection de l’environnement à prélever des échantillons pour les analyser. Selon le quotidien local La nuova de Venezia, plusieurs hypothèses sont envisagées et notamment la piste d’un coup d’éclat d’activistes écologistes.
Un traceur de plombier ?
Les premières analyses semblent indiquer qu’il s’agit d’un produit traçant à base de « fluorescéine sodique », habituellement utilisé pour détecter les fuites, notamment par les plombiers. Il est sans danger pour la santé, et d’ailleurs aucun poisson n’a été retrouvé flottant le ventre à l’air. Reste à déterminer la source de ce déversement, s’il est accidentel ou volontaire, et dans ce dernier s’il y a un message dans ce spectaculaire verdissement des eaux vénitiennes.
Ce n’est pas la première fois que le Grand Canal devient vert. En 1968, l’artiste argentin Nicolas Garcia Uriburu avait teint ses eaux en vert à l’aide d’un colorant fluorescent lors de la 34e Biennale de Venise, dans le cadre d’une action de sensibilisation à l’écologie.
20Minutes
MISE AU VERT Un tronçon du Grand Canal de Venise a brusquement viré au vert fluorescent dimanche. Une enquête est en cours
Stupeur à Venise où l’eau, souvent verdâtre, a carrément tourné au vert fluo dimanche matin sur un tronçon du Grand Canal, aux abords du célèbre pont du Rialto. C’est Luca Zaia, le président de la région de Vénétie, qui a posté les premières photos du phénomène sur Twitter, indiquant que le changement de couleur avait été signalé par des habitants. « Le préfet a convoqué une réunion urgente avec la police pour enquêter sur l’origine du liquide », a-t-il ajouté.
Les pompiers vénitiens ont aidé l’agence régionale de protection de l’environnement à prélever des échantillons pour les analyser. Selon le quotidien local La nuova de Venezia, plusieurs hypothèses sont envisagées et notamment la piste d’un coup d’éclat d’activistes écologistes.
Un traceur de plombier ?
Les premières analyses semblent indiquer qu’il s’agit d’un produit traçant à base de « fluorescéine sodique », habituellement utilisé pour détecter les fuites, notamment par les plombiers. Il est sans danger pour la santé, et d’ailleurs aucun poisson n’a été retrouvé flottant le ventre à l’air. Reste à déterminer la source de ce déversement, s’il est accidentel ou volontaire, et dans ce dernier s’il y a un message dans ce spectaculaire verdissement des eaux vénitiennes.
Ce n’est pas la première fois que le Grand Canal devient vert. En 1968, l’artiste argentin Nicolas Garcia Uriburu avait teint ses eaux en vert à l’aide d’un colorant fluorescent lors de la 34e Biennale de Venise, dans le cadre d’une action de sensibilisation à l’écologie.
L'HISTOIRE QUI REVEILLE - En Inde, un fonctionnaire fait vider un barrage pour récupérer son smartphone tombé dedans
RTL
Dimanche au barrage de Kerkhatta en Inde, un haut fonctionnaire a fait tomber son smartphone dans l'eau alors qu'il faisait un selfie. Mais pas question de renoncer à ce Samsung à 1.130 euros pour Rajesh Vishwas. Cet inspecteur d'hygiène alimentaire a d'abord envoyé des plongeurs le chercher mais ils sont rentrés bredouilles ... Il a alors demandé à faire vider l'eau du barrage. Il a payé lui-même l'opération en faisant apporter une pompe au diesel : 2 millions de litres d'eau ont donc été pompés pendant trois jours pour retrouver l'appareil du fonctionnaire. Le téléphone a été retrouvé mais complètement hors d'usage.
RTL
Dimanche au barrage de Kerkhatta en Inde, un haut fonctionnaire a fait tomber son smartphone dans l'eau alors qu'il faisait un selfie. Mais pas question de renoncer à ce Samsung à 1.130 euros pour Rajesh Vishwas. Cet inspecteur d'hygiène alimentaire a d'abord envoyé des plongeurs le chercher mais ils sont rentrés bredouilles ... Il a alors demandé à faire vider l'eau du barrage. Il a payé lui-même l'opération en faisant apporter une pompe au diesel : 2 millions de litres d'eau ont donc été pompés pendant trois jours pour retrouver l'appareil du fonctionnaire. Le téléphone a été retrouvé mais complètement hors d'usage.
photos a écrit : L'HISTOIRE QUI REVEILLE - En Inde, un fonctionnaire fait vider un barrage pour récupérer son smartphone tombé dedans
RTL
Dimanche au barrage de Kerkhatta en Inde, un haut fonctionnaire a fait tomber son smartphone dans l'eau alors qu'il faisait un selfie. Mais pas question de renoncer à ce Samsung à 1.130 euros pour Rajesh Vishwas. Cet inspecteur d'hygiène alimentaire a d'abord envoyé des plongeurs le chercher mais ils sont rentrés bredouilles ... Il a alors demandé à faire vider l'eau du barrage. Il a payé lui-même l'opération en faisant apporter une pompe au diesel : 2 millions de litres d'eau ont donc été pompés pendant trois jours pour retrouver l'appareil du fonctionnaire. Le téléphone a été retrouvé mais complètement hors d'usage.
J'en ai fait tomber un dans le Grand Canal de Versailles, la direction du château n'a pas voulu le vider.
A Béziers, un hôtel propose de dormir dans une prison
20Minutes
PRISON BREAK « La prison », l’un des hôtels les plus atypiques de France, ouvre ses portes ce jeudi à Béziers, dans les murs d’une ancienne maison d’arrêt
L’hôtel « La prison » ouvre ses portes ce 1er juin. On y dort dans l’enceinte d’une ancienne maison d’arrêt, dans les cellules qui ont accueilli des milliers de prisonniers entre 1867 et 2009.
Après quatorze mois de travaux, le groupe Mando, propriétaire des lieux, a tenté de conserver le côté complètement atypique du lieu en y ajoutant le luxe d’un hôtel trois étoiles.
Avec un prix de départ à 77 euros pour une cellule de 13 m2, le résultat est bluffant.
Depuis l’atrium, les mêmes portes donnent toujours vers des cellules. Et chacune d’entre elles conserve encore les traces de la présence des détenus qui les ont fréquentées. Des coups portés, de l’œilleton permettant aux surveillants pénitentiaires de voir sans être vu. Mais derrière, se trouve désormais une seconde porte, afin à la fois de préserver l’intimité des nouveaux occupants et d’améliorer l’acoustique des lieux.
On y venait par le passé régler sa dette à la société, on y vient désormais y vivre une expérience inoubliable. Ouverte en 1867, fermée depuis 2009, l’ancienne maison d’arrêt de Béziers a gardé toute son austérité. Après quatorze mois de travaux et environ 9,5 millions d’euros d’investissement, entre l’achat du lieu et les travaux de rénovation, la maison d’arrêt est désormais transformée en un hôtel trois étoiles, baptisé logiquement « La prison ». L’hôtel, qui ouvre officiellement ses portes ce 1er juin, est l’un des plus atypiques de France, sans doute.
« Garder la patine du lieu en y amenant du confort »
Impossible de l’ignorer, on est bien ici dans un univers carcéral où des milliers de personnes ont séjourné dans l’attente de leur procès ou purgé des peines de prison inférieures à deux ans. Mais le temps de la surpopulation est révolu. On ne s’y entasse plus à quatre par cellule, comme lorsque 200 détenus y séjournaient pour 80 places théoriques. « De trois cellules, nous avons fait deux chambres, souligne Samantha de Castro, directrice de l’établissement. La troisième a été transformée en salle de bains mitoyenne à deux cellules. »
A l’intérieur, le confort est celui d’un hôtel trois étoiles. La plus petite des cinquante chambres, dans les anciennes cellules, mesure 13 m2. La plus spacieuse, la suite familiale réalisée dans les anciens bureaux, s’étend sur 66,5 m2. Et partout, le confort d’un trois-étoiles épouse l’histoire du lieu. Certaines cellules ont même conservé la peinture ou les graffitis de l’époque. « On a cherché à conserver le plus de matière de l’histoire du lieu, garder sa patine pour conserver son aspect brut, tout en amenant la douceur d’une hôtellerie haut de gamme », évoque l’architecte Gilles Gal.
Tout y est, y compris les fantômes
Les prix s’échelonnent de 77 à 295 euros, raisonnables au regard de l’expérience du lieu complètement atypique. « Il existe d’anciennes prisons devenues des hôtels ailleurs en Europe et aux Etats-Unis, mais c’est une première en France », reprend Samantha de Castro. Accolée à la cathédrale Saint-Nazaire et Saint-Celse, l’ancienne maison d’arrêt a été racheté un peu par défaut dans un lot qui comprenait l’ancien tribunal de grande instance et un hôtel particulier, il y a quelques années. Avant de devenir propriété du groupe Mando hospitality, qui a perçu tout le potentiel du lieu. « J’ai eu la chair de poule en le découvrant, non pas parce que j’ai eu peur, mais par le lieu en lui-même et son positionnement incroyable »., souligne Philippe Bonon, l’un des associés du groupe hôtelier et du cabinet d’architecture A +.
Car tout y est. Du resto bistronomique au couloir de nage, en passant par la salle de fitness et sans doute la plus belle vue de Béziers, sur le Canal du Midi et toute la vallée de l‘Orb, cette prison présente de sacrées possibilités d’évasion. Il paraîtrait même que quelques âmes y errent encore. « Un magnétiseur s’est rendu sur place, évoque le maire de Béziers (DVD) Robert Ménard, sans que l’on sache s’il plaisante vraiment ou pas. Il a découvert trois présences, mais uniquement avec de bonnes vibrations. Quand on viendra dormir ici, c’est bon de savoir qu’on sera accompagné par des fantômes sympathiques. »
20Minutes
PRISON BREAK « La prison », l’un des hôtels les plus atypiques de France, ouvre ses portes ce jeudi à Béziers, dans les murs d’une ancienne maison d’arrêt
L’hôtel « La prison » ouvre ses portes ce 1er juin. On y dort dans l’enceinte d’une ancienne maison d’arrêt, dans les cellules qui ont accueilli des milliers de prisonniers entre 1867 et 2009.
Après quatorze mois de travaux, le groupe Mando, propriétaire des lieux, a tenté de conserver le côté complètement atypique du lieu en y ajoutant le luxe d’un hôtel trois étoiles.
Avec un prix de départ à 77 euros pour une cellule de 13 m2, le résultat est bluffant.
Depuis l’atrium, les mêmes portes donnent toujours vers des cellules. Et chacune d’entre elles conserve encore les traces de la présence des détenus qui les ont fréquentées. Des coups portés, de l’œilleton permettant aux surveillants pénitentiaires de voir sans être vu. Mais derrière, se trouve désormais une seconde porte, afin à la fois de préserver l’intimité des nouveaux occupants et d’améliorer l’acoustique des lieux.
On y venait par le passé régler sa dette à la société, on y vient désormais y vivre une expérience inoubliable. Ouverte en 1867, fermée depuis 2009, l’ancienne maison d’arrêt de Béziers a gardé toute son austérité. Après quatorze mois de travaux et environ 9,5 millions d’euros d’investissement, entre l’achat du lieu et les travaux de rénovation, la maison d’arrêt est désormais transformée en un hôtel trois étoiles, baptisé logiquement « La prison ». L’hôtel, qui ouvre officiellement ses portes ce 1er juin, est l’un des plus atypiques de France, sans doute.
« Garder la patine du lieu en y amenant du confort »
Impossible de l’ignorer, on est bien ici dans un univers carcéral où des milliers de personnes ont séjourné dans l’attente de leur procès ou purgé des peines de prison inférieures à deux ans. Mais le temps de la surpopulation est révolu. On ne s’y entasse plus à quatre par cellule, comme lorsque 200 détenus y séjournaient pour 80 places théoriques. « De trois cellules, nous avons fait deux chambres, souligne Samantha de Castro, directrice de l’établissement. La troisième a été transformée en salle de bains mitoyenne à deux cellules. »
A l’intérieur, le confort est celui d’un hôtel trois étoiles. La plus petite des cinquante chambres, dans les anciennes cellules, mesure 13 m2. La plus spacieuse, la suite familiale réalisée dans les anciens bureaux, s’étend sur 66,5 m2. Et partout, le confort d’un trois-étoiles épouse l’histoire du lieu. Certaines cellules ont même conservé la peinture ou les graffitis de l’époque. « On a cherché à conserver le plus de matière de l’histoire du lieu, garder sa patine pour conserver son aspect brut, tout en amenant la douceur d’une hôtellerie haut de gamme », évoque l’architecte Gilles Gal.
Tout y est, y compris les fantômes
Les prix s’échelonnent de 77 à 295 euros, raisonnables au regard de l’expérience du lieu complètement atypique. « Il existe d’anciennes prisons devenues des hôtels ailleurs en Europe et aux Etats-Unis, mais c’est une première en France », reprend Samantha de Castro. Accolée à la cathédrale Saint-Nazaire et Saint-Celse, l’ancienne maison d’arrêt a été racheté un peu par défaut dans un lot qui comprenait l’ancien tribunal de grande instance et un hôtel particulier, il y a quelques années. Avant de devenir propriété du groupe Mando hospitality, qui a perçu tout le potentiel du lieu. « J’ai eu la chair de poule en le découvrant, non pas parce que j’ai eu peur, mais par le lieu en lui-même et son positionnement incroyable »., souligne Philippe Bonon, l’un des associés du groupe hôtelier et du cabinet d’architecture A +.
Car tout y est. Du resto bistronomique au couloir de nage, en passant par la salle de fitness et sans doute la plus belle vue de Béziers, sur le Canal du Midi et toute la vallée de l‘Orb, cette prison présente de sacrées possibilités d’évasion. Il paraîtrait même que quelques âmes y errent encore. « Un magnétiseur s’est rendu sur place, évoque le maire de Béziers (DVD) Robert Ménard, sans que l’on sache s’il plaisante vraiment ou pas. Il a découvert trois présences, mais uniquement avec de bonnes vibrations. Quand on viendra dormir ici, c’est bon de savoir qu’on sera accompagné par des fantômes sympathiques. »
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