Questions existentielles - page 223

Pour se reposer quelques minutes
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Le fromage préféré des Français est...
Europe1
En parallèle au Salon de l'Agriculture se déroule le Salon du fromage et des produits laitiers, à partir de dimanche, porte de Versailles à Paris. Réservé aux professionnels, il doit mettre en lumière le travail des petits producteurs. L'occasion pour notre spécialiste Marion Sauveur de s'intéresser aux fromages préférés des Français.
Les Français sont connus pour leur passion pour le vin et le fromage. Certains se retrouveront porte de Versailles, à Paris, ce week-end, pour le salon du fromage et des produits laitiers. L'occasion pour notre journaliste Marion Sauveur d'apporter un splendide plateau de fromages dans les studios d'Europe 1... Et de révéler le nom de celui que les Français préfèrent.
Il s'agit du.... comté. Un fromage de cette variété, à base de lait cru et plutôt dense, est considéré comme "jeune" en dessous d'un an et vieux à partir de vingt mois. L'hiver est la période idéale pour déguster une fondue comtoise avec un peu de vin du Jura. On peut aussi l'apprécier dans un gratin de pommes de terre ou encore avec de la charcuterie.

Mille variétés de fromage en France
Il n'y a là rien de bien nouveau : le Fromage est presque aussi vieux que l'élevage. Il serait né au septième millénaire avant Jésus Christ, un peu par hasard : le transport du lait se faisait à l'époque dans des peaux faites à partir d'estomacs d'animaux. Ceux-ci contenaient la présure permettant le caillage rapide du lait. On obtenait alors une sorte de faisselle qui, une fois égouttée et séchée, donnait le fromage. Il existait une vingtaine de variétés chez les Sumériens, plus ancienne civilisation de Mésopotamie.
Ensuite, le fromage se répand dans l'empire romain et dans toute l'Europe, si bien que l'on en compte aujourd'hui en France plus de mille variétés. "Seules" 46 d'entre elles ont reçu une appellation d'origine protégée. C'est en tout cas un produit qui séduit à l'étranger puisque la France est, avec l'Allemagne, le premier exportateur de fromage.
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Coronavirus : Donald Trump conseille d'« échapper aux éternuements » le plus possible
ASTUCE PERSO En pleine conférence de presse, le président américain a fait profiter l'audience de ses conseils avisés et a raconté une anecdote

20 Minutes
Donald Trump a donné ce mercredi un de ces conseils personnels dont il a le secret afin d’aider les Américains à lutter contre la propagation du coronavirus : fuir. « Faites comme pour la grippe », a déclaré le président américain en conférence de presse. « Si quelqu’un éternue, moi j’essaie d’échapper aux éternuements autant que possible. »
« Je suis parti me laver les mains »
Le chef d’Etat exposait aux médias les dispositifs mis en place dans le pays face au risque de pandémie, indique le HuffPost. Il a notamment annoncé avoir débloqué 2,5 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros) pour un plan d’urgence. Le vice-président Mike Pence a été placé à la tête de ce programme, qui prévoit entre autres la production de vaccins et le développement de lieux de traitement.

Donald Trump est particulièrement attentif aux risques de contagion. Le milliardaire a en effet déjà évoqué publiquement sa germaphobie. Lors de son intervention devant les journalistes, il a d’ailleurs partagé une anecdote qui a provoqué de nombreux rires dans l’assemblée.

« Il y a une semaine, un homme que je n’avais pas vu depuis longtemps est venu me voir. Je lui ai demandé comment il allait. Il m’a dit 'ça va, ça va' et il m’a serré dans ses bras en m’embrassant », a raconté Donald Trump. « Je lui ai demandé s’il se sentait bien et il m’a répondu : 'Non, j’ai beaucoup de fièvre, j’ai attrapé une mauvaise grippe. Et il me serre et il m’embrasse ! Je lui ai dit 'Excuse-moi' et je suis parti me laver les mains. »
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La Terre a une deuxième Lune, mais ce n’est que temporaire
Fait rarissime, un astéroïde est entré dans l’orbite de la Terre il y a trois ans. Cette « micro Lune » vient d’être repérée par l’observatoire de la Nasa, Catalina Sky Survey.

Jusqu’à présent, on ne connaissait qu’un astéroïde en orbite autour de la Terre. Mais le 15 février dernier, deux astronomes ont capturé les images d’une « possible mini Lune », elle aussi en orbite autour de la Terre. Son petit nom scientifique : 2020 CD3.

Avec ses dimensions loin d’être cosmiques – un diamètre compris entre 1,9 et 3,5 m –, on devrait plutôt parler de « micro Lune ». Rien de comparable à la « vraie » Lune qui, elle, affiche 3 474 km de diamètre.

Phénomène rarissime

Néanmoins, les astronautes Kacper Wierzchos et Teddy Prune, du projet Catalina Sky Survey, basé en Arizona (États-Unis), ont souligné l’aspect rarissime de ce genre de phénomène. « Sur environ un million d’astéroïdes connus, c’est seulement le second à entrer en orbite avec la Terre », insistent-ils.

Le Minor Planet Center, qui collecte les données concernant les objets mineurs du système solaire, a validé l’observation faite par l’observatoire américain, après avoir vérifié qu’il ne s’agit pas d’un objet artificiel. La course de cet astéroïde, modélisée dans un schéma, montre que cette « mini Lune » est probablement entrée dans l’orbite de la Terre il y a trois ans.
Satellite temporaire

Le premier de ces « satellites » observés, baptisé 2006 RH120, avait également été découvert par l’observatoire américain de la Nasa Catalina Sky Survey. Le petit astéroïde d’environ 4 mètres de diamètre était temporairement entré dans l’orbite de la Terre, entre septembre 2006 et juin 2007.

C’est sans doute ce qui fait dire aux scientifiques que la nouvelle « mini Lune », encore plus petite, ne devrait pas tourner très longtemps autour de notre planète.
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Des lits capsules dans l’avion bientôt proposés par une compagnie aérienne ?
CONFORT Dormir lors d’un voyage aérien en classe économique a toujours été un problème pour nombre de passagers, mais Air New Zealand vient peut-être de trouver la solution

20 Minutes
La compagnie Air New Zealand vient peut-être de trouver la solution aux problèmes de sommeil en avion, qui touche de nombreux voyageurs en classe économique. Elle a déposé ce mardi un brevet pour des lits capsules, selon les informations de CNN Travel. Après trois ans de recherches et d’essais, la compagnie a présenté ces capsules, baptisées « Skynest ».

Quelque 200 clients ont déjà pu les tester dans un hangar, à Auckland (Nouvelle-Zélande). Les lits mesurent environ 2 mètres de long et 58 centimètres de large. Chaque voyageur se verra attribuer un oreiller, des draps, une couverture, des bouchons d'oreille et des rideaux de confidentialité. La compagnie étudierait également la mise en place de prises USB et de lampes de lecture.

Six lits capsules par avion
Les avions pourraient accueillir jusqu’à 6 lits capsules. Si le prix des billets n’a pas été dévoilé, il se pourrait que cette option soit tout de même un peu plus onéreuse qu’un siège classique. « Nous voyons une future expérience de vol où un client (...) pourrait réserver l'Economy Skynest en plus de son siège Economy, bien se reposer et arriver à destination prêt à partir », explique Nikki Goodman, directeur général de l'expérience client d'Air New Zealand.
Une décision définitive concernant ces lits capsules doit être prise par la compagnie l’année prochaine, en 2021. Air New Zealand avait déjà proposé une option innovante en 2011 avec la « Economy Skycouch », qui permettait aux passagers qui voyageaient ensemble de transformer leurs sièges en lit.
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Un animal qui n’a pas besoin d’oxygène pour survivre, l’étrange découverte des chercheurs
DECOUVERTE Contrairement à ce que croyaient les chercheurs, les organismes multicellulaires n’ont pas tous besoin d’un système de respiration aérobie pour exister

20 Minutes
Des chercheurs annoncent avoir découvert une espèce animale qui présente la particularité de ne pas avoir besoin d’oxygène pour vivre. Il s’agit du parasite Henneguya salminicola, qui fait partie de la même famille que les méduses, indiquent les scientifiques dans une étude publiée ce lundi dans PNAS.
Les travaux relayés par Numerama montrent « que la respiration aérobie, l’un des chemins métaboliques les plus importants, n’est pas omniprésente » chez les organismes multicellulaires. C’est pourtant ce que les scientifiques croyaient jusqu’ici. Après avoir passé au crible l’ADN d’Henneguya salminicola, les spécialistes ont donc cru avoir fait une erreur.

De nombreuses interrogations
L’absence de gêne respiratoire et de génome mitochondrial a finalement été confirmée. Les auteurs de l’étude avancent que le parasite disposait d’un système respiratoire aérobie lors des étapes précédentes de son développement. Il l’a ensuite perdu. Les scientifiques estiment qu’il est possible que l’animal se soit, au fil du temps, reposé sur les fonctions des organismes qu’il infeste.
Les chercheurs indiquent ne pas avoir réussi à déterminer de quelle manière Henneguya salminicola assure sa survie sans oxygène. Leur découverte permet cependant d’envisager de manière différente les processus d’évolution des espèces qui peuplent la planète, voire le monde extraterrestre.
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Coronavirus. Les ventes de « La Peste » d’Albert Camus en forte hausse depuis le début de l’épidémie
OuestFrance
Entre la quatrième semaine de 2019 et celle de 2020, les ventes de « La Peste » ont été multipliées par quatre. Le roman d’Albert Camus est l’objet d’un regain d’intérêt alors que l’épidémie de coronavirus inquiète les Français. Ces derniers se sont aussi pris de passion pour le film « Contagion » ou le jeu vidéo « Plague, Inc. ».
Le roman La Peste d’Albert Camus connaît des pics de vente en France depuis le début de l’épidémie de coronavirus. Sur Twitter, Edistat, qui publie des statistiques sur les ventes de livres, a comparé les ventes hebdomadaires de l’édition de poche du roman entre début 2019 et début 2020. Les chiffres sont éloquents : 1 700 exemplaires de La Peste ont été vendus lors de la quatrième semaine de 2020, contre à peine 400 à la même période l’an dernier, soit plus de quatre fois plus de livres écoulés.


Parmi les dizaines de pays où le Covid-19 a été détecté, l’Italie a elle aussi connu un engouement pour le roman d’Albert Camus. Les ventes ont été multipliées par trois et l’ouvrage publié en 1947 est passé de la 71e à la troisième place du palmarès établi par le site internet Ibs.it, indique BFMTV.
L’épidémie, sujet phare de la culture
Les lecteurs italiens ont aussi plébiscité L’aveuglement de José Saramago, qui raconte les conséquences d’une épidémie de cécité touchant le Portugal, rapporte ActuaLitté. Le nombre d’exemplaires vendus a augmenté de 180 % à l’occasion de l’arrivée du coronavirus en Italie, où le virus a déjà fait 52 morts.

La littérature n’est pas le seul domaine culturel où l’épidémie a eu un impact. Sorti en 2011, le film Contagion qui met en scène une infection planétaire, figure à la 9e place du classement iTunes des films les plus regardés. Côté applications, le jeu vidéo Plague Inc., supprimé des plateformes chinoises fin février, a vu son nombre de joueurs croître de 256 % au cours du mois de janvier.
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Par hasard, ils découvrent une île qui ne figure sur aucune carte
OuestFrance
L’île Sif ne figure sur aucune carte marine. Et pour cause : personne ne connaissait son existence. Elle vient d’être découverte au large de l’Antarctique par des scientifiques. Récit.
1 février 2020. Le RV Nathaniel B. Palmer, un brise-glace américain, navigue en mer d’Amundsen, au sud-ouest de l’Antarctique. À la passerelle de ce navire de près de 100 m, dédié à la recherche scientifique polaire, c’est Pete, le second du capitaine, qui est de quart. C’est lui qui pilote.
Dans cette région, il y a de l’eau, de la glace, un oiseau de temps en temps, un phoque parfois, mais c’est tout. En matinée, Pete repère quelque chose d’inhabituel : un bout de terre émergée. Brouhaha dans l’équipage : à cet endroit, les cartes marines n’indiquent aucune île. Mais il y a pourtant bien quelque chose. « Au début, nous avons pensé que c’était un iceberg qui s’était coincé sur des récifs, il y a des années, et qui avait ensuite suffisamment fondu pour exposer la roche sous-jacente », raconte Sarah Slack dans le journal de bord de l’expédition.

Cette New-Yorkaise, enseignante en sciences à Brooklyn, est à bord du navire. Elle est l’une des membres de l’expédition, dont l’objectif est d’étudier les effets des changements climatiques sur le glacier Thwaites. En un mot : la fonte de ce monstre de glace s’accélère, et ça inquiète tout le monde. Mais à bord, à ce moment-là, c’est surtout la découverte du jour qui intéresse tout le monde.

350 mètres de long

En observant plus attentivement, les scientifiques comprennent que ce n’est pas un récif mais bien une île, rocheuse dont il s’agit. Elle mesure 350 mètres et est encore largement recouverte de glace. Dans la journée, Julia Smith Wellner, géologue marine à l’université de Houston, au Texas, et elle aussi membre de l’expédition, annonce sur Twitter la découverte d’une terre inconnue. Rarissime.

Quel nom lui donner ? Dans un premier temps, celui de Pete – celui a repéré l’île le premier – est avancé. Ce sera finalement Sif, une déesse de la mythologie nordique, aux cheveux d’or. Elle est l’épouse de Thor, le dieu du tonnerre, qui a donné son nom à l’expédition : Thwaites Offshore Research (Thor).

L’île Sif, qui a désormais sa page Wikipédia en Français, est sans doute apparue dans les années 2010. Personne ne l’avait repérée, car les navires sont rares dans les parages. Sa présence avait également échappé aux satellites, à cause de la glace qui la recouvre. « Nous pensons que cette glace faisait autrefois partie du glacier de l’île du Pin, un immense champ de glace flottante qui s’étend vers l’océan », avance Sarah Slack, l’enseignante de New York. À cause du réchauffement climatique, la glace a fondu, et la roche a fini par apparaître.

Une hypothèse que partage l’océanographe et journaliste Giuliana Viglione : « Il est probable que la terre ait été mise au jour grâce au changement climatique », écrit-elle le 21 février dans la revue scientifique Nature. « Comme les glaciers se sont retirés dans l’ouest de l’Antarctique, ils ont relâché la pression sur la croûte terrestre, lui permettant de rebondir et de s’élever », poursuit-elle, citant Lindsay Prothro, géologue glaciaire à la l’université Corpus Christi du Texas.
L’équipage du Nathaniel B. Palmer avait prévu de se rendre dès le lendemain de la découverte sur l’île Sif, pour prélever des échantillons de roche. L’appel de détresse d’un autre navire, bloqué dans les glaces, a retardé ce moment. Pendant une dizaine de jours, ils ont mis de côté leur mission scientifique.

Du granite, de la glace et des phoques

C’est finalement le 23 février qu’ils ont posé le pied sur Sif. « Après avoir été les premiers visiteurs, nous pouvons confirmer que Sif est faite de granite, qu’elle est encore partiellement recouverte de la plateforme de glace et qu’on y croise quelques phoques », a tweeté Julia Smith Wellner.

Des échantillons de roches ont été prélevés. Leur analyse va passionner les scientifiques : « Nous ne savons pas grand-chose de la géologie de l’Antarctique, qui est recouvert de glace, raconte Jim Marschalek, doctorant en sciences de la Terre à l’Imperial College de Londres, dans le journal de bord de l’expédition. Il n’y a pas d’autres rochers affleurants sur près de 70 km dans toutes les directions, donc c’était vraiment une occasion unique. »
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SIF c'est un drôle de nom, cité par Zoé Shepard dans un de ses bouquins, c'est la secrétaire, Coconne qui en parle : on lui a épilé le SIF : Sillon Inter Fessier
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En Italie, du vin rouge a coulé à la place de l’eau dans les robinets
OuestFrance
Un incident dans une usine locale de production de vin, survenu ce mercredi 4 mars, a provoqué une fuite de Lambrusco dans les canalisations de la ville de Settecani, en Italie. Les habitants ont donc eu la surprise de voir couler de leurs robinets du vin rouge pétillant à la place de l’eau.
Les habitants de Settecani, dans la province de Modène en Italie, ont eu la surprise de voir du Lambrusco rouge s’écouler de leurs robinets ce mercredi 4 mars. Plusieurs résidents de cette ville située dans le nord du pays ont relayé les vidéos et photos du phénomène sur Twitter. Une fuite dans une coopérative viticole locale produisant ce vin pétillant italien est à l’origine de cet incroyable concours de circonstances, relate La Gazzetta di Modena relayée par France Info.
Sur sa page Facebook, la commune a tenu à rassurer la population. Les autorités évoquent « un incident soudain dans la chaîne de production d’une entreprise locale » et « une fuite de liquide alimentaire sans danger pour les organismes et ne présentant aucun risque sanitaire ».
Le vin propulsé dans les canalisations
Le problème est lié au dispositif de mise en bouteille du Lambrusco à l’usine Grasparossa di Castelvetro. Sur Facebook, l’entreprise écrit qu’une « valve défectueuse du système de nettoyage » est à l’origine du dysfonctionnement.

Le vin s’est trouvé soumis à une pression supérieure à celle de l’eau courante utilisée dans la chaîne. Il a donc été propulsé dans les canalisations jusqu’à atteindre les robinets et les douches des habitants les plus proches. Le problème a été résolu rapidement.
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Coronavirus : la vodka ne vous sauvera pas de la maladie prévient un fabricant américain
LaDepeche
"J'ai fait du gel désinfectant avec votre vodka. Le gel n'a pas un mauvais goût d'ailleurs. Il me protège des germes et je me sens bien", a affirmé jeudi le propriétaire du compte Twitter Snottypotty dans un message adressé au compte officiel de la marque de vodka Tito's, basée au Texas.
Une utilisatrice nommée Kaliel a aussi assuré sur Twitter qu'elle allait se "fabriquer un gel désinfectant avec de la vodka Tito's pour rester en sécurité face au coronavirus".

Un autre internaute, Rick Holter, a suggèré d'avoir une bouteille de vodka à portée de main pour se nettoyer les mains.
Face à ces messages, le fabricant a tenu à rappeler sur Twitter les recommandations des Centres américains de contrôle des maladies (CDC).
"Les gels désinfectants doivent contenir au moins 60% d'alcool. La vodka artisanale Tito's contient 40% d'alcool et ne respecte donc pas" ces recommandations, indique le message. Les réseaux sociaux ont été inondés de recettes artisanales plus ou moins farfelues et parfois dangereuses depuis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié sur son site internet un guide de production locale destiné aux professionnels de santé.

En quelques semaines, les masques, gels désinfectants, gants ou combinaisons de protection sont devenus des denrées rares dans plusieurs pays du monde touchés par le virus Covid-19.
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Bordeaux. Une artiste poursuivie pour avoir peint des pâquerettes sur la chaussée
OuestFrance
À Bordeaux, une artiste a été condamnée à payer une amende représentant les frais de nettoyage de la chaussée après l’avoir peinte de vert et de pâquerettes. Une œuvre pas au goût de la mairie, qui avait porté plainte en 2019. L’artiste va demander l’arbitrage du maire.
L’artiste Sophie Daurel a été condamnée à payer les frais de nettoyage de la chaussée, après l’avoir repeinte au côté des habitants d’un quartier de Bordeaux (Gironde). Elle avait coloré de vert un passage, y ajoutant des petites pâquerettes, en mai 2019, rappelle Sud Ouest, samedi 7 mars. La mairie avait porté plainte pour détérioration de la voie publique et risque de glissade. Les peintures avaient rapidement été effacées.
Égayer le paysage urbain
Alors que le revêtement de la chaussée devait être restauré en 2020, l’artiste avait décidé d’embellir la rue avant les travaux. Il s’agissait avant tout pour Sophie Daurel d’un « message pacifique », comme le rapporte le quotidien régional. Une « création éphémère » qui n’a cependant pas séduit la municipalité.
Sophie Daurel a tenté de s’expliquer devant la Maison de la justice et du droit, sans grand succès. Si la mairie a finalement retiré sa plainte, l’artiste a tout de même été condamnée à une amende de 385 €, soit le montant des frais de nettoyage. Elle espère aujourd’hui trouver un terrain d’entente avec la Ville. Par ailleurs, elle n’abandonne pas complètement son projet et espère pouvoir embellir prochainement la chaussée, mais en obtenant en amont la validation de la mairie.
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Pour 50 euros, adoptez un olivier et sauvez un village de l’abandon
OuestFrance
Pour lutter contre le dépeuplement du village d’Oliete, dans le nord-est de l’Espagne, une association a lancé une initiative originale. Elle propose de parrainer des oliviers centenaires, voire millénaires, pour revitaliser le village. Et ça marche !

Oliete revient de loin. En moins de 40 ans, ce petit village aragonais, en Espagne, a perdu près de 70 % de ses habitants, selon le quotidien espagnol El País. Ils sont partis dans de plus grandes villes, offrant des perspectives d’emplois et d’avenir davantage attractives pour les jeunes. Du coup, le village, de plus en plus dépeuplé, risquait l’abandon. Et les 300 habitants restants ne pouvaient plus s’occuper des 100 000 arbres qui vivent dans les oliveraies du coin. Un trésor local.

8 200 oliviers sauvés
Quand tout semblait perdu, un groupe de jeunes a alors créé Apadrina un Olivo, une association pour sauver les oliviers, dont certains sont millénaires. Et cette association a eu une idée originale : lancer un système de parrainage d’oliviers pour venir en aide à la fois aux arbres et au village.

Concrètement, en échange de 50 € par an, quelque 2 500 « parrains » reçoivent chaque mois via une application mobile des photos de leur arbre et, une fois par an, deux litres d’huile. Ils peuvent aussi donner un nom à « leur » olivier.

En six ans, 8 200 oliviers ont ainsi été sauvés grâce à l’aide financière de 5 000 « sponsors » du monde entier. Et peu à peu, le village délaissé a repris vie. Le moulin à huile a rouvert et de nouvelles familles sont arrivées avec des enfants.

14 emplois créés

L’arrivée de nouveaux venus a permis de garder l’école publique d’Oliete ouverte. La remise en activité du moulin, elle, a créé 14 emplois pour les habitants du village, et a contribué à relancer l’économie. Très vite, le village s’est transformé.
Un exemple est la famille de Carlos Blanco, originaire de Barcelone, qui, pour des raisons financières, a décidé de s’installer à Oliete avec sa femme et ses trois enfants. « Nous avions une maison à Barcelone mais quand les choses ont commencé à mal tourner dans mon entreprise, j’ai décidé d’aller travailler dans le nouveau moulin à huile, témoigne Carlos Blanco dans les colonnes d’El País. C’est comme si vous aviez soudainement rejoint une famille de 300 personnes. Et cette famille a veillé à ce que nous ne manquions de rien. »

« Désormais le village compte huit enfants et nous attendons deux naissances », se réjouit Rogelio Villanueva, le maire d’Oliete. En peu de temps, les parrainages ont dépassé les frontières de l’Espagne. Les parrains proviennent de 17 pays : France, États-Unis, Singapour, Afghanistan, Roumanie, Chili, Australie ou Liban… Et chaque année, les parrains sont invités à visiter le village et venir voir leur olivier.

Le modèle pourrait s’étendre

Pour Alberto Alfonso Pordomingo, cofondateur et président d’Apadrina un Olivo, ce projet local pourrait s’étendre à d’autres zones rurales abandonnées d’Espagne. « Chaque village ou région a un produit ou un service de qualité qui lui donne de la valeur et nous voulons le renforcer », dit-il. L’association a déjà commencé à travailler avec des producteurs d’Alacón, non loin de Teruel, une ville espagnole connue pour la qualité de ses légumes.

« Nous faisons des conserves de légumes avec ceux d’Alacón et notre huile, explique notamment Alberto Alfonso Pordomingo. Nous voulons relancer la terre pour produire des conserves d’artichauts, de poireaux, de poivrons… Notre ambition est de promouvoir un produit pour empêcher les gens du coin de partir, sauver l’école, garder la terre et maintenir en vie notre savoir-faire et le patrimoine local et rural. »
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Coronavirus : L’Etat de New York va faire produire du gel hydroalcoolique par des détenus
20Minutes
ETATS-UNIS Les détenus ne sont pas assurés de pouvoir utiliser le produit
L’annonce a fait l’effet d’une bombe. Alors que l’État de New York n’est touché que depuis une semaine par le coronavirus, les autorités ont choisi de faire barrage au Covid 19 d’une manière surprenante : mettre les prisonniers au travail.
Lundi, le gouverneur Andrew M. Cuomo a annoncé lors d’une conférence de presse que l’Etat de New York produirait son propre gel hydroalcoolique. Cela dans le but de combattre la pénurie actuelle mais aussi la forte hausse des prix. Et les objectifs sont grands : produire jusqu’à 378.000 litres de gel chaque semaine pour les distribuer ensuite dans les quartiers affectés par le coronavirus.

Un dollar de l’heure
Lors de la conférence, le gouverneur a mis en avant le coût très bas de production du désinfectant pour les mains : seulement 6 dollars par gallon, soit 3,7 litres. L’ombre au tableau, c’est que ce sont des détenus de l’Etat de New York qui produiront ces gels dans des prisons. Sans même avoir le droit de posséder eux-mêmes du gel hydroalcoolique. Et cela, pour un dollar de l’heure.

Une annonce qui n’a pas manqué de faire réagir des personnalités politiques et des défenseurs des droits des prisonniers qui soulignent les problèmes éthiques que posent cette «solution». Que cela se place du côté de la rémunération des prisonniers, comme des mesures de protections mises en place pour les protéger du coronavirus.
Pas de protections pour les prisonniers
« Gouverneur Cuomo, payez-vous dignement les personnes incarcérées dans des prisons pour leur travail ? Que faites-vous pour vous assurer que ces personnes que vous faites travailler pour nous protéger durant cette pandémie puissent rester saines et sauves ? » dénonce Tiffany Caban sur Twitter, femme politique et avocate.

Les autorités n’ont pour l’instant pas précisé si les prisonniers pourront utiliser les désinfectants, mais comme dans beaucoup d’établissements pénitentiaires aux Etats-Unis, le gel hydroalcoolique est interdit à cause de sa haute teneur en alcool, rappelle le Washington Post.

« Ce n’est rien de moins que de l’esclavage et cela doit s’arrêter », s’est indigné la Legal Aid Society, association de défense des droits des détenus, dans un communiqué appelant à l’instauration du salaire minimum dans les prisons et à l’utilisation de gel hydroalcoolique.

Andrew M. Cuomo, gouverneur démocrate, a tout de même exprimé être en faveur d’une augmentation des salaires des prisonniers. Selon Gothamist, un prisonnier peut toucher au minimum 16 centimes de dollar de l’heure et en moyenne 65 centimes. Pour comparaison, pour les habitants de New York, le salaire minimum varie de 11 à 15 dollars de l’heure selon le quartier.
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