Ils ont créé des lunettes qui déstressent les patients pendant une opération : « C’est instantané »
OuestFrance
Basée en Dordogne, l’entreprise Relax a mis au point des lunettes immersives qui permettent aux patients de déstresser avant et durant une opération. Grâce à une combinaison d’images apaisantes et de musique relaxante, ils se détendent instantanément et se mettent dans leur bulle. Un dispositif proposé dans une vingtaine d’établissements de santé français pour le moment.
Se faire opérer n’est jamais un moment très agréable. Cela peut même être une grande source d’angoisse pour certaines personnes. La société Relax, installée à Villamblard (Dordogne), a trouvé une idée afin d’aider les patients à atténuer leur stress avant et pendant une intervention. « Il existe déjà des casques de réalité virtuelle mais ils ne sont pas adaptés au bloc opératoire et à une patientèle parfois âgée », nous explique Kristelle Stel, qui a fondé l’entreprise avec son mari.
Se faire opérer n’est jamais un moment très agréable. Cela peut même être une grande source d’angoisse pour certaines personnes. La société Relax, installée à Villamblard (Dordogne), a trouvé une idée afin d’aider les patients à atténuer leur stress avant et pendant une intervention. « Il existe déjà des casques de réalité virtuelle mais ils ne sont pas adaptés au bloc opératoire et à une patientèle parfois âgée », nous explique Kristelle Stel, qui a fondé l’entreprise avec son mari.
Face à ce constat, le couple s’est lancé le défi fin 2018 de trouver une solution et a mis au point un dispositif technologique composé de lunettes 2D et d’un casque audio. Pourquoi pas de la 3D ? « Cela créerait un conflit entre l’oreille interne et le cerveau. On aurait des effets indésirables comme des nausées, des céphalées ou des vomissements et ce n’est pas du tout ce que nous recherchons », poursuit la femme de 50 ans.
Nature, voyage, films d’animation
Le dispositif Relax peut être utilisé dans différentes situations : soit avant une intervention sous anesthésie générale, soit avant et durant une opération sous anesthésie locale. Dans tous les cas, son objectif est identique : apporter calme et sérénité au bloc opératoire « en limitant toute la douleur et le stress induits par les images ou les sons » du milieu hospitalier. Lunettes sur les yeux et casque sur les oreilles, les patients sont « dans leur bulle » mais sans être totalement coupés du monde. « Les soignants peuvent continuer de leur parler. »
Les opérés ont le choix entre plusieurs contenus. Ils peuvent par exemple regarder des reportages qui les transportent en Normandie, en Bretagne, en Corse ou encore à l’étranger. « Ils partent en voyage tout en restant au bloc », sourit Kristelle Stel. Avec leur musique relaxante, d’autres programmes leur proposent d’observer des aurores boréales, les profondeurs des océans, des canyons… Autre option : des films d’animation réalisés par des étudiants. Car les lunettes conviennent aussi bien aux adultes qu’aux enfants. « Elles sont légères, confortables et s’adaptent à la majorité des vues. »
Un bénéfice aussi pour les soignants
Aujourd’hui, le dispositif Relax est loué par une vingtaine d’établissements de santé en France. Il est utilisé en pédiatrie, en cardiologie interventionnelle, en implantologie dentaire, en orthopédie… Et les retours sont très positifs, selon la cofondatrice de la société. « Les patients s’apaisent en quelques minutes seulement, c’est instantané. » L’appareil leur permet également de ne plus avoir recours aux drogues de confort, qui sont souvent des produits très lourds et déterminent le temps qu’ils passeront en salle de réveil. « Ils se réveillent plus détendus et plus sereins. »
Mais le bénéfice ne se ressent pas uniquement du côté des opérés. « Puisqu’ils sont moins stressés, leurs corps se détendent et il y a donc moins de résistance, affirme Kristelle Stel. Cela permet parfois aux chirurgiens d’être plus efficaces et plus rapides. » La prise en charge avant, pendant et après l’intervention est facilitée. Interrogée par France 3 Nouvelle-Aquitaine , une cadre en endoscopie digestive et bronchique de l’hôpital Haut-Lévêque de Bordeaux (Gironde) confirme une « réalisation des actes facilitée pour les soins » liée à une « diminution du stress et de l’anxiété » des patients.
Bien d’autres utilisations
Le couple est persuadé que son dispositif pourrait être utilisé dans d’autres secteurs, comme le monde de l’entreprise. « Il pourrait par exemple servir aux soignants qui auraient besoin d’un moment de repos lors d’une journée difficile. » Il pourrait également permettre à n’importe quel salarié de se créer « une bulle de déconnexion » au bureau ou bien d’aider les sportifs à se vider la tête avant une compétition importante. « Les possibilités sont infinies », lance Kristelle Stel, très fière de cette innovation française.
Questions existentielles - page 302
Un bébé retrouvé dans un arbre après une tornade aux Etats-Unis : « J’étais presque sûre qu’il était mort »
MIRACLE Le bébé de 4 mois a survécu à la tornade
20 Minutes
Aux États-Unis, l’état du Tennessee a été touché par une tornade samedi qui a fait six morts. Un couple a évité un drame, alors que son bébé de quatre mois a été emporté par les vents. Le petit se trouvait dans un couffin dans le mobile-home occupé par les deux parents et par son grand frère quand les rafales ont arraché le toit de l’habitation, rapporte la BBC.
« J’ai sauté sur lui »
« La pointe de la tornade est descendue et a soulevé le couffin dans lequel se trouvait mon bébé », a expliqué la mère de famille à un média local. Son compagnon a tenté de se jeter sur le couffin, mais il a également été emporté par la tornade et tous deux ont été projetés. L’homme a eu un bras et une épaule cassée.
La mère de famille, elle, a protégé son aîné d’un an. « Au moment où j’ai sauté sur lui, les murs se sont effondrés ». Elle est ainsi restée écrasée sous les décombres, avant de réussir à se dégager. Les deux parents, très croyants, sont ensuite partis à la recherche du bébé.
Perché entre les branches
Sous une pluie battante, le couffin a été retrouvé dans ce qui « ressemblait à un petit berceau d’arbre » selon la maman. Elle a assuré : « J’étais presque sûre qu’il était mort et que nous n’allions pas le retrouver ». Il s’avère que Lord était bien dans son berceau et vivant.
La tante du bébé a lancé une cagnotte sur le site GoFundMe pour aider à la famille à se reconstruire, alors qu’elle a perdu sa voiture et sa maison. Elle y explique que le bébé « semblait avoir été placé délicatement sur l’arbre » comme si « un ange l’avait guidé en toute sécurité jusqu’à cet endroit ». Plus de 100.000 dollars, soit plus de 91.000 euros, ont déjà pu être récoltés ce lundi.
MIRACLE Le bébé de 4 mois a survécu à la tornade
20 Minutes
Aux États-Unis, l’état du Tennessee a été touché par une tornade samedi qui a fait six morts. Un couple a évité un drame, alors que son bébé de quatre mois a été emporté par les vents. Le petit se trouvait dans un couffin dans le mobile-home occupé par les deux parents et par son grand frère quand les rafales ont arraché le toit de l’habitation, rapporte la BBC.
« J’ai sauté sur lui »
« La pointe de la tornade est descendue et a soulevé le couffin dans lequel se trouvait mon bébé », a expliqué la mère de famille à un média local. Son compagnon a tenté de se jeter sur le couffin, mais il a également été emporté par la tornade et tous deux ont été projetés. L’homme a eu un bras et une épaule cassée.
La mère de famille, elle, a protégé son aîné d’un an. « Au moment où j’ai sauté sur lui, les murs se sont effondrés ». Elle est ainsi restée écrasée sous les décombres, avant de réussir à se dégager. Les deux parents, très croyants, sont ensuite partis à la recherche du bébé.
Perché entre les branches
Sous une pluie battante, le couffin a été retrouvé dans ce qui « ressemblait à un petit berceau d’arbre » selon la maman. Elle a assuré : « J’étais presque sûre qu’il était mort et que nous n’allions pas le retrouver ». Il s’avère que Lord était bien dans son berceau et vivant.
La tante du bébé a lancé une cagnotte sur le site GoFundMe pour aider à la famille à se reconstruire, alors qu’elle a perdu sa voiture et sa maison. Elle y explique que le bébé « semblait avoir été placé délicatement sur l’arbre » comme si « un ange l’avait guidé en toute sécurité jusqu’à cet endroit ». Plus de 100.000 dollars, soit plus de 91.000 euros, ont déjà pu être récoltés ce lundi.
Noël : quels sont les cadeaux les plus redoutés par les Français ?
RTL
Un vêtement fluo, un calendrier, un parapluie... Chaque année, nous recevons des cadeaux de Noël improbables, et pas toujours désirés.
Quel est le cadeau que vous n'aimeriez pas avoir sous le sapin ce lundi 25 décembre ? C'est une enquête publiée par l'IFOP qui révèle les résultats les plus donnés par les Français cette année. Les réponses varient selon le sexe et l'âge des individus. Chez les femmes, 33% d'entre elles ont répondu : l'électroménager. Elles ne souhaitent pas déballer sous le sapin un aspirateur ou une serpillère.
A contrario, les hommes ne veulent pas entendre parler de... mode ! Ils sont 19% à redouter recevoir un vêtement, en particulier des bijoux ou des chaussettes. S'en suivent les présents liés à la nourriture (chocolat, bière, vin) et les produits pour le corps (savon, parfum).
Pas de livres pour les jeunes
Pour les jeunes interrogés, âgés de 18 à 24 ans, ils sont 12% à redouter un cadeau culturel. Il faut donc éviter de glisser un livre ou un album sous le sapin. Ni même peut-être un cadeau en lien avec leur passion. Selon l'IFOP, 7 Français sur 10 ayant une passion dans la vie disent avoir déjà reçu un cadeau en lien avec celle-ci. Mais ce même sondage explique que 46% d'entre eux en ont déjà eu marre de recevoir un présent en lien avec leur passion. Dans tous les cas, c'est "l'intention qui compte !", pour 32% des sondés.
RTL
Un vêtement fluo, un calendrier, un parapluie... Chaque année, nous recevons des cadeaux de Noël improbables, et pas toujours désirés.
Quel est le cadeau que vous n'aimeriez pas avoir sous le sapin ce lundi 25 décembre ? C'est une enquête publiée par l'IFOP qui révèle les résultats les plus donnés par les Français cette année. Les réponses varient selon le sexe et l'âge des individus. Chez les femmes, 33% d'entre elles ont répondu : l'électroménager. Elles ne souhaitent pas déballer sous le sapin un aspirateur ou une serpillère.
A contrario, les hommes ne veulent pas entendre parler de... mode ! Ils sont 19% à redouter recevoir un vêtement, en particulier des bijoux ou des chaussettes. S'en suivent les présents liés à la nourriture (chocolat, bière, vin) et les produits pour le corps (savon, parfum).
Pas de livres pour les jeunes
Pour les jeunes interrogés, âgés de 18 à 24 ans, ils sont 12% à redouter un cadeau culturel. Il faut donc éviter de glisser un livre ou un album sous le sapin. Ni même peut-être un cadeau en lien avec leur passion. Selon l'IFOP, 7 Français sur 10 ayant une passion dans la vie disent avoir déjà reçu un cadeau en lien avec celle-ci. Mais ce même sondage explique que 46% d'entre eux en ont déjà eu marre de recevoir un présent en lien avec leur passion. Dans tous les cas, c'est "l'intention qui compte !", pour 32% des sondés.
États-Unis : un homme déclaré innocent après 48 ans derrière les barreaux
RTL
Glynn Simmons, Afro-Américain de 71 ans, était devenu le détenu ayant passé le plus de temps derrière les barreaux, avant d'être innocenté, de l'histoire des États-Unis.
Une incroyable erreur judiciaire et près d'un quart de siècle passé sous les verrous. Mardi, la justice américaine a déclaré innocent un homme détenu durant 48 ans pour un meurtre qu'il n'avait pas commis. Âgé de 71 ans, Glynn Simons, Afro-Américain, a été innocenté par un tribunal de l'Oklahoma. Libéré en juillet, cinq mois avant son jugement, il était devenu la personne ayant passé le plus de temps emprisonné dans l'histoire des États-Unis avant d'être innocenté, selon le registre national américain des disculpations.
Avec un autre homme, Don Roberts, il avait été condamné à mort en 1975 pour le meurtre d'un employé d'un magasin de spiritueux âgé de 30 ans, lors d'un cambriolage à Edmond, une ville dans l'État de l'Oklahoma. Leur peine a ensuite été commuée en prison à vie.
La condamnation des deux hommes avait été décidée sur la base du simple témoignage d'une cliente du magasin, une adolescente, qui a reçu une balle dans la tête lors du cambriolage mais qui a survécu. L'adolescente avait affirmé les avoir reconnus lors de la séance d'identification, mais une enquête ultérieure a remis en cause ses allégations. Lors du procès, les deux hommes avaient affirmé qu'ils ne se trouvaient pas dans l'Oklahoma le jour du meurtre.
"C'est un jour que nous attendions depuis très, très longtemps", a déclaré Glynn Simmons à la presse. "Nous pouvons dire que justice a été rendue aujourd'hui, enfin", s'est-il réjoui. Sa condamnation a été annulée par la justice. L'autre homme qui avait été condamné dans cette affaire, Don Roberts, a lui été libéré de prison en 2008, selon le registre national américain des disculpations.
Glynn Simmons peut désormais prétendre à une indemnisation. "Ce qui a été fait a été fait, mais il faut rendre des comptes", a-t-il déclaré.
RTL
Glynn Simmons, Afro-Américain de 71 ans, était devenu le détenu ayant passé le plus de temps derrière les barreaux, avant d'être innocenté, de l'histoire des États-Unis.
Une incroyable erreur judiciaire et près d'un quart de siècle passé sous les verrous. Mardi, la justice américaine a déclaré innocent un homme détenu durant 48 ans pour un meurtre qu'il n'avait pas commis. Âgé de 71 ans, Glynn Simons, Afro-Américain, a été innocenté par un tribunal de l'Oklahoma. Libéré en juillet, cinq mois avant son jugement, il était devenu la personne ayant passé le plus de temps emprisonné dans l'histoire des États-Unis avant d'être innocenté, selon le registre national américain des disculpations.
Avec un autre homme, Don Roberts, il avait été condamné à mort en 1975 pour le meurtre d'un employé d'un magasin de spiritueux âgé de 30 ans, lors d'un cambriolage à Edmond, une ville dans l'État de l'Oklahoma. Leur peine a ensuite été commuée en prison à vie.
La condamnation des deux hommes avait été décidée sur la base du simple témoignage d'une cliente du magasin, une adolescente, qui a reçu une balle dans la tête lors du cambriolage mais qui a survécu. L'adolescente avait affirmé les avoir reconnus lors de la séance d'identification, mais une enquête ultérieure a remis en cause ses allégations. Lors du procès, les deux hommes avaient affirmé qu'ils ne se trouvaient pas dans l'Oklahoma le jour du meurtre.
"C'est un jour que nous attendions depuis très, très longtemps", a déclaré Glynn Simmons à la presse. "Nous pouvons dire que justice a été rendue aujourd'hui, enfin", s'est-il réjoui. Sa condamnation a été annulée par la justice. L'autre homme qui avait été condamné dans cette affaire, Don Roberts, a lui été libéré de prison en 2008, selon le registre national américain des disculpations.
Glynn Simmons peut désormais prétendre à une indemnisation. "Ce qui a été fait a été fait, mais il faut rendre des comptes", a-t-il déclaré.
Ces lettres envoyées au Père Noël montrent qu’en 100 ans, les envies des enfants ont bien changé
La Poste suédoise archive les lettres envoyées au Père Noël venus du monde entier. Et le moins que l’on puisse dire c’est que la liste des cadeaux a bien changé.
Par Le HuffPost
NOËL - « Cher Père Noël », voici comment commencent la plupart des lettres adressées au géant à la barbe blanche. Envoyées en « Laponie », sur la « terre des rennes » ou à « l’igloo du Père Noël », plus de 16 000 missives destinées au Père Noël sont reçues chaque année par la Poste suédoise. les lutins locaux ne font pas qu’y répondre. Cela fait désormais plus d’un siècle qu’ils sélectionnent celles qui sortent de l’ordinaire, pour les archiver.
C’est dans le musée de la Postnord que repose aujourd’hui une collection d’environ 10.000 lettres envoyées du monde entier, la plus ancienne datant de 1897. « Celles-ci viennent des États-Unis, d’Asie et j’en ai qui arrivent de Taïwan », explique à l’AFP Kristina Olofsdotter, responsable des timbres chez PostNord, depuis le Postmuseum de Stockholm
Une liste de cadeaux qui a bien changé
Les jeux, les animaux domestiques et les livres arrivent en tête des souhaits des enfants depuis toujours, même si les enfants d’autrefois avaient des attentes peut-être plus modestes. Parmi les lettres que Kristina Olofsdotter dévoile, on retrouve un carton datant des années 1960-70 : « Cher Père Noël, j’ai été une bonne fille. Peux-tu m’envoyer une poupée et des bonbons ? Merci, Gillian de Glasgow », lit la responsable à voix haute
Une requête bien différente de celles que reçoit désormais la Postnord, comme cette lettre d’un certain petit Melvin, reçue cette année et qui demande au Père Noël un jeu de cartes Pokemon, des figurines de combat Pokemon, un skateboard et des talkies-walkies. « Vous pouvez voir que dans les lettres anciennes, les enfants demandaient peut-être une ou deux choses. Maintenant leurs listes sont plus longues », précise Kristina Olofsdotter.
Mais celles qui l’ont particulièrement marquée, restent celles reçues durant la pandémie de Covid-19 : « Les enfants écrivaient au Père-Noël pour qu’il arrête la maladie, beaucoup ont envoyé des lettres pour cela. Ça représentait une grande force, tous ces enfants qui écrivaient au Père Noël. Ça m’est vraiment resté à l’esprit », raconte-t-elle.
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La Poste suédoise archive les lettres envoyées au Père Noël venus du monde entier. Et le moins que l’on puisse dire c’est que la liste des cadeaux a bien changé.
Par Le HuffPost
NOËL - « Cher Père Noël », voici comment commencent la plupart des lettres adressées au géant à la barbe blanche. Envoyées en « Laponie », sur la « terre des rennes » ou à « l’igloo du Père Noël », plus de 16 000 missives destinées au Père Noël sont reçues chaque année par la Poste suédoise. les lutins locaux ne font pas qu’y répondre. Cela fait désormais plus d’un siècle qu’ils sélectionnent celles qui sortent de l’ordinaire, pour les archiver.
C’est dans le musée de la Postnord que repose aujourd’hui une collection d’environ 10.000 lettres envoyées du monde entier, la plus ancienne datant de 1897. « Celles-ci viennent des États-Unis, d’Asie et j’en ai qui arrivent de Taïwan », explique à l’AFP Kristina Olofsdotter, responsable des timbres chez PostNord, depuis le Postmuseum de Stockholm
Une liste de cadeaux qui a bien changé
Les jeux, les animaux domestiques et les livres arrivent en tête des souhaits des enfants depuis toujours, même si les enfants d’autrefois avaient des attentes peut-être plus modestes. Parmi les lettres que Kristina Olofsdotter dévoile, on retrouve un carton datant des années 1960-70 : « Cher Père Noël, j’ai été une bonne fille. Peux-tu m’envoyer une poupée et des bonbons ? Merci, Gillian de Glasgow », lit la responsable à voix haute
Une requête bien différente de celles que reçoit désormais la Postnord, comme cette lettre d’un certain petit Melvin, reçue cette année et qui demande au Père Noël un jeu de cartes Pokemon, des figurines de combat Pokemon, un skateboard et des talkies-walkies. « Vous pouvez voir que dans les lettres anciennes, les enfants demandaient peut-être une ou deux choses. Maintenant leurs listes sont plus longues », précise Kristina Olofsdotter.
Mais celles qui l’ont particulièrement marquée, restent celles reçues durant la pandémie de Covid-19 : « Les enfants écrivaient au Père-Noël pour qu’il arrête la maladie, beaucoup ont envoyé des lettres pour cela. Ça représentait une grande force, tous ces enfants qui écrivaient au Père Noël. Ça m’est vraiment resté à l’esprit », raconte-t-elle.
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Les créatures mythiques de Noël : la Befana, une bienveillante sorcière de Noël
Ouestfrance
De l’Italie on connaît la cuisine, les équipes de football et les ruines des temples romains. Mais peu de gens savent que quelques jours après Noël, au moment de L’Épiphanie, une étrange sorcière sillonne le ciel transalpin en riant pour glisser punitions et récompenses dans les chaussettes des enfants. On la nomme Befanaet, si l’on en croit les chansons des écoliers de Rome, Naples ou Turin, son histoire remonte aux Rois Mages.
Chaussettes rayées, tablier rapiécé, fichu à carreaux sur la tête, une vieille dame au long nez biscornu sillonne le ciel, assise sur son balai de paille. Plongeant de cheminée en cheminée, elle se glisse dans les maisons endormies pour déposer dans les chaussettes des enfants des bonbons et parfois même quelques jouets s’ils ont été très sages. Les garnements, eux, n’auront que du charbon… Mais du charbon au goût de réglisse ou de chocolat. Car elle est indulgente cette sorcière souriante et joyeuse, qui prodigue ses cadeaux dans la nuit de L’Épiphanie. D’ailleurs comment jetterait-elle la pierre aux enfants terribles, elle qui a tant à se faire pardonner ?
On raconte qu’il y a fort longtemps, alors que les Rois Mages étaient en chemin pour saluer la naissance du Messi, les bras chargés d’or, d’encens et de myrrhe, ils firent un soir halte devant une maison où se tenait une vieille ménagère, le balai à la main. Exténués par tant de chemin parcouru, ils lui demandèrent l’hospitalité pour quelques heures. Mais la mégère, qui vouait son existence à chasser de son intérieur le moindre grain de poussière, la moindre trace de doigt sur les meubles et à traquer les toiles d’araignées jusque dans les combles de sa masure, refusa. Elle ne voyait en cet acte de générosité superflu qu’une occasion de réduire à néant tous ses efforts de propreté. Cantonnés au seuil de la maison, les Mages lui annoncèrent la bonne nouvelle qu’ils avaient lu dans les étoiles et l’invitèrent à les accompagner pour rencontrer l’enfant qui venait de naître. Mais une fois encore, la vieille femme refusa, indifférente à leur joie.
Des friandises et un balai
Les voyageurs partis, celle qui avait toujours vécu seule, de peur de voir son ordre chamboulé, commença à trouver le silence pesant. Puis, les minutes lui semblèrent s’étirer au point de devenir des éternités. Elle repensait aux Rois vagabonds et à l’espoir qui guidait leurs pas. Prise de remords, elle remplit un sac de dattes, de fèves, de raisins secs et toutes les maigres gourmandises dont elle disposait pour aller fêter l’arrivée du nouveau né, elle qui ne s’était jamais approchée de ces créatures bruyantes et imprévisibles que sont les enfants.
Le balai toujours en main, elle chercha les Rois Mages partout et, ne les trouvant pas, finit par sillonner le ciel en quête de l’étoile dont ils lui avaient parlé. Jamais elle ne les trouva mais depuis, à chaque épiphanie, elle récompense le désordre si précieux de l’enfance des friandises qu’elle avait jadis glissées dans son sac.
Ouestfrance
De l’Italie on connaît la cuisine, les équipes de football et les ruines des temples romains. Mais peu de gens savent que quelques jours après Noël, au moment de L’Épiphanie, une étrange sorcière sillonne le ciel transalpin en riant pour glisser punitions et récompenses dans les chaussettes des enfants. On la nomme Befanaet, si l’on en croit les chansons des écoliers de Rome, Naples ou Turin, son histoire remonte aux Rois Mages.
Chaussettes rayées, tablier rapiécé, fichu à carreaux sur la tête, une vieille dame au long nez biscornu sillonne le ciel, assise sur son balai de paille. Plongeant de cheminée en cheminée, elle se glisse dans les maisons endormies pour déposer dans les chaussettes des enfants des bonbons et parfois même quelques jouets s’ils ont été très sages. Les garnements, eux, n’auront que du charbon… Mais du charbon au goût de réglisse ou de chocolat. Car elle est indulgente cette sorcière souriante et joyeuse, qui prodigue ses cadeaux dans la nuit de L’Épiphanie. D’ailleurs comment jetterait-elle la pierre aux enfants terribles, elle qui a tant à se faire pardonner ?
On raconte qu’il y a fort longtemps, alors que les Rois Mages étaient en chemin pour saluer la naissance du Messi, les bras chargés d’or, d’encens et de myrrhe, ils firent un soir halte devant une maison où se tenait une vieille ménagère, le balai à la main. Exténués par tant de chemin parcouru, ils lui demandèrent l’hospitalité pour quelques heures. Mais la mégère, qui vouait son existence à chasser de son intérieur le moindre grain de poussière, la moindre trace de doigt sur les meubles et à traquer les toiles d’araignées jusque dans les combles de sa masure, refusa. Elle ne voyait en cet acte de générosité superflu qu’une occasion de réduire à néant tous ses efforts de propreté. Cantonnés au seuil de la maison, les Mages lui annoncèrent la bonne nouvelle qu’ils avaient lu dans les étoiles et l’invitèrent à les accompagner pour rencontrer l’enfant qui venait de naître. Mais une fois encore, la vieille femme refusa, indifférente à leur joie.
Des friandises et un balai
Les voyageurs partis, celle qui avait toujours vécu seule, de peur de voir son ordre chamboulé, commença à trouver le silence pesant. Puis, les minutes lui semblèrent s’étirer au point de devenir des éternités. Elle repensait aux Rois vagabonds et à l’espoir qui guidait leurs pas. Prise de remords, elle remplit un sac de dattes, de fèves, de raisins secs et toutes les maigres gourmandises dont elle disposait pour aller fêter l’arrivée du nouveau né, elle qui ne s’était jamais approchée de ces créatures bruyantes et imprévisibles que sont les enfants.
Le balai toujours en main, elle chercha les Rois Mages partout et, ne les trouvant pas, finit par sillonner le ciel en quête de l’étoile dont ils lui avaient parlé. Jamais elle ne les trouva mais depuis, à chaque épiphanie, elle récompense le désordre si précieux de l’enfance des friandises qu’elle avait jadis glissées dans son sac.
Dotée de deux utérus, elle donne naissance à deux petites files (presque) en même temps
HEUREUX ÉVÉNEMENTS Cette double grossesse exceptionnelle avait une chance sur un million de survenir
20 Minutes
Une Américaine a accouché de deux petites filles les 19 et 20 décembre. Un événement qui pourrait sembler commun, si cette femme ne possédait pas deux utérus au lieu d’un, rapporte la BBC relayée par BFMTV.
Cette grossesse particulière, qualifiée de « cavitaire », a pris fin à l’hôpital universitaire d’Alabama (Etats-Unis). Seules 0,3 % des femmes dans le monde posséderaient cette anomalie congénitale qui conduit à avoir un double utérus. Les chances pour cette femme de tomber enceinte dans les deux étaient d’une sur un million.
Un accouchement par voie basse et une césarienne
Avant cette double naissance, l’Américaine était déjà maman de trois enfants nés séparément. C’est une échographie qui a révélé cet automne qu’elle attendait deux enfants d’un coup. Les fœtus « avaient chacun leur propre utérus, leur propre sac, leur placenta et leur cordon ombilical », et donc « plus d’espace pour grandir et se développer », selon un communiqué de l’université.
Le 19 décembre, la mère de famille a accouché d’une petite fille par voie basse. Les contractions du second accouchement ont commencé alors qu’elle allaitait et la deuxième naissance a eu lieu par césarienne. Tout s’est très bien passé et les deux filles comme leur maman sont en excellente santé.
Malgré cela, une question reste en suspens : les deux enfants sont-elles jumelles ? Pour les experts, la réponse est oui : elles se sont développées en même temps dans le même ventre, malgré le fait qu’elles « avaient tous les deux leur propre 'maison' », s’amuse la mère. Cette dernière est d’ailleurs ravie que chacune de ses filles ait sa propre date et sa propre « histoire de naissance ».
HEUREUX ÉVÉNEMENTS Cette double grossesse exceptionnelle avait une chance sur un million de survenir
20 Minutes
Une Américaine a accouché de deux petites filles les 19 et 20 décembre. Un événement qui pourrait sembler commun, si cette femme ne possédait pas deux utérus au lieu d’un, rapporte la BBC relayée par BFMTV.
Cette grossesse particulière, qualifiée de « cavitaire », a pris fin à l’hôpital universitaire d’Alabama (Etats-Unis). Seules 0,3 % des femmes dans le monde posséderaient cette anomalie congénitale qui conduit à avoir un double utérus. Les chances pour cette femme de tomber enceinte dans les deux étaient d’une sur un million.
Un accouchement par voie basse et une césarienne
Avant cette double naissance, l’Américaine était déjà maman de trois enfants nés séparément. C’est une échographie qui a révélé cet automne qu’elle attendait deux enfants d’un coup. Les fœtus « avaient chacun leur propre utérus, leur propre sac, leur placenta et leur cordon ombilical », et donc « plus d’espace pour grandir et se développer », selon un communiqué de l’université.
Le 19 décembre, la mère de famille a accouché d’une petite fille par voie basse. Les contractions du second accouchement ont commencé alors qu’elle allaitait et la deuxième naissance a eu lieu par césarienne. Tout s’est très bien passé et les deux filles comme leur maman sont en excellente santé.
Malgré cela, une question reste en suspens : les deux enfants sont-elles jumelles ? Pour les experts, la réponse est oui : elles se sont développées en même temps dans le même ventre, malgré le fait qu’elles « avaient tous les deux leur propre 'maison' », s’amuse la mère. Cette dernière est d’ailleurs ravie que chacune de ses filles ait sa propre date et sa propre « histoire de naissance ».
Pour ce 31 décembre 2023, Las Vegas se prépare à un record de mariages et la date y est pour quelque chose
Huffpost
Cette année, le modèle anglais de la date du Nouvel An est 12/31/23. Cette date, en plus du réveillon, prévoit une augmentation des mariages à Las Vegas.
INSOLITE - À Las Vegas, les couples américains fêteront la nouvelle année en se disant oui. Le dimanche 31 décembre 2023, les chapelles de la célèbre ville du Nevada se préparent à atteindre un nombre record de mariages célébrés. Cette envie de s’unir précisément à ce jour-là est due à la date qui est symbolique pour les Américains
.D’ordinaire, le réveillon du Nouvel An est assez chargé. Selon Las Vegas Review-Journal, depuis 2018, entre 450 et 550 couples s’unissent à Las Vegas. Mais la date du 12/31/23 en anglais est spéciale, à cause de son modèle répétitif : 1,2,3,1,2,3.
Aussi insolite ce phénomène soit-il, il attire des centaines de couples à se dire oui à Las Vegas, à chaque fois qu’il se produit.
Une date de mariage pour tous
Selon la greffière du comté de Clark, Lynn Marie Goya, ce phénomène calendaire, « combiné au week-end et à toute l’excitation autour du réveillon du Nouvel An, (...) c’est peut-être l’un des plus grands jours de l’année et l’un des plus grands jours depuis plusieurs années », a-t-elle déclaré à Las Vegas Review-Journal.
D’après ce qu’entend le personnel de la chapelle et du bureau de Las Vegas, ces dates sont « magiques » pour les futurs couples mariés, car elles sont faciles à retenir. Les plus superstitieux d’entre eux disent même qu’elles sont « de bon augure ».
« Je pense que la célébration d’une dynamique de groupe est vraiment attrayante. Quand tout le monde fait la queue, qu’ils sont tous en train de se marier et qu’ils sont excités à l’idée d’être amoureux, cela ne fait qu’améliorer leur propre expérience » conclut Lynn Marie Goya.
Les entreprises matrimoniales sur le qui-vive
Un flux important auquel est préparée l’entreprise Vegas Wedding. La présidente Willis-Williams a confié que ces dates spéciales sont « toujours extrêmement populaires » et que lorsqu’elles tombent le soir du Nouvel an comme cette année, « c’est un coup d’éclat » a-t-elle expliqué au média américain.
Pour l’instant, le jour record à battre est le celui du 7 juillet 2007 (07/07/07), où 4 492 mariages ont été célébrés à Las Vegas. La médaille d’argent revient à la date du 11 novembre 2011 (11/11/11). Ce jour-là le bureau matrimonial du comté avait enregistré 3 125 mariages.
Huffpost
Cette année, le modèle anglais de la date du Nouvel An est 12/31/23. Cette date, en plus du réveillon, prévoit une augmentation des mariages à Las Vegas.
INSOLITE - À Las Vegas, les couples américains fêteront la nouvelle année en se disant oui. Le dimanche 31 décembre 2023, les chapelles de la célèbre ville du Nevada se préparent à atteindre un nombre record de mariages célébrés. Cette envie de s’unir précisément à ce jour-là est due à la date qui est symbolique pour les Américains
.D’ordinaire, le réveillon du Nouvel An est assez chargé. Selon Las Vegas Review-Journal, depuis 2018, entre 450 et 550 couples s’unissent à Las Vegas. Mais la date du 12/31/23 en anglais est spéciale, à cause de son modèle répétitif : 1,2,3,1,2,3.
Aussi insolite ce phénomène soit-il, il attire des centaines de couples à se dire oui à Las Vegas, à chaque fois qu’il se produit.
Une date de mariage pour tous
Selon la greffière du comté de Clark, Lynn Marie Goya, ce phénomène calendaire, « combiné au week-end et à toute l’excitation autour du réveillon du Nouvel An, (...) c’est peut-être l’un des plus grands jours de l’année et l’un des plus grands jours depuis plusieurs années », a-t-elle déclaré à Las Vegas Review-Journal.
D’après ce qu’entend le personnel de la chapelle et du bureau de Las Vegas, ces dates sont « magiques » pour les futurs couples mariés, car elles sont faciles à retenir. Les plus superstitieux d’entre eux disent même qu’elles sont « de bon augure ».
« Je pense que la célébration d’une dynamique de groupe est vraiment attrayante. Quand tout le monde fait la queue, qu’ils sont tous en train de se marier et qu’ils sont excités à l’idée d’être amoureux, cela ne fait qu’améliorer leur propre expérience » conclut Lynn Marie Goya.
Les entreprises matrimoniales sur le qui-vive
Un flux important auquel est préparée l’entreprise Vegas Wedding. La présidente Willis-Williams a confié que ces dates spéciales sont « toujours extrêmement populaires » et que lorsqu’elles tombent le soir du Nouvel an comme cette année, « c’est un coup d’éclat » a-t-elle expliqué au média américain.
Pour l’instant, le jour record à battre est le celui du 7 juillet 2007 (07/07/07), où 4 492 mariages ont été célébrés à Las Vegas. La médaille d’argent revient à la date du 11 novembre 2011 (11/11/11). Ce jour-là le bureau matrimonial du comté avait enregistré 3 125 mariages.
La plus vieille fratrie du monde est française
RTL
Une famille française est officiellement rentrée dans le très sérieux Guinness Book des records. Sa particularité ? Avoir la plus vieille fratrie du monde. L'âge cumulé des cinq membres atteint près de 500 ans.
Ils ne comptent plus les Noël qu'ils ont passés ensemble. Une incroyable fratrie, la plus ancienne du monde, est française ! Elle vit dans l'Yonne, où le record a été homologué par le Guinness Book. Ensemble, ils cumulent 496 ans.
Un chiffre qui donne le vertige. Dans la famille Toutée, on est quasiment tous centenaire. Paulette, 102 ans, Ginette, 100 ans, Mireille, 99 ans et Christiane, 97 ans et Philippe, 96 ans, sont tous nés entre 1921 et 1927. "Si on a pas de soucis de famille, c'est déjà beau !", estime Paulette, l'aînée de la fratrie. "Il faut pas se compliquer la vie. Et merci à nos parents qui nous ont faits comme ça !" Paulette Toutée est d'ailleurs la seule de la fratrie qui ne vit pas encore en maison de retraite.
"Elle a dit qu'elle ne voulait pas y rester car ils ne savaient pas jouer aux cartes", raconte Nadine, la fille de Philippe, le plus jeune. "Ça faisait déjà un moment que l'on se disait qu'ils sont encore tous là. Mais sincèrement je ne pensais pas que ça allait être un record ! On en est fier !" Les cinq frère et sœurs ont toujours été très proches. Jusqu'à il y a encore quatre ans, ils vivaient dans un rayon de 4 kilomètres les uns des autres.
RTL
Une famille française est officiellement rentrée dans le très sérieux Guinness Book des records. Sa particularité ? Avoir la plus vieille fratrie du monde. L'âge cumulé des cinq membres atteint près de 500 ans.
Ils ne comptent plus les Noël qu'ils ont passés ensemble. Une incroyable fratrie, la plus ancienne du monde, est française ! Elle vit dans l'Yonne, où le record a été homologué par le Guinness Book. Ensemble, ils cumulent 496 ans.
Un chiffre qui donne le vertige. Dans la famille Toutée, on est quasiment tous centenaire. Paulette, 102 ans, Ginette, 100 ans, Mireille, 99 ans et Christiane, 97 ans et Philippe, 96 ans, sont tous nés entre 1921 et 1927. "Si on a pas de soucis de famille, c'est déjà beau !", estime Paulette, l'aînée de la fratrie. "Il faut pas se compliquer la vie. Et merci à nos parents qui nous ont faits comme ça !" Paulette Toutée est d'ailleurs la seule de la fratrie qui ne vit pas encore en maison de retraite.
"Elle a dit qu'elle ne voulait pas y rester car ils ne savaient pas jouer aux cartes", raconte Nadine, la fille de Philippe, le plus jeune. "Ça faisait déjà un moment que l'on se disait qu'ils sont encore tous là. Mais sincèrement je ne pensais pas que ça allait être un record ! On en est fier !" Les cinq frère et sœurs ont toujours été très proches. Jusqu'à il y a encore quatre ans, ils vivaient dans un rayon de 4 kilomètres les uns des autres.
Clermont-Ferrand: le sapin de Noël sera transformé en ruches
Par France Bleu Pays d'Auvergne
Les guirlandes vont encore briller quelques heures. Le sapin de Noël de Clermont-Ferrand va bientôt quitter la place de Jaude pour être transformé en ruches par un apiculteur.de Sauxillanges.
Il va connaître une troisième vie. Après avoir poussé pendant 80 ans sur les hauteurs de Murat-le-Quaire où il a été coupé début novembre, après avoir dominé la place de Jaude de ses 26,5 mètres, enrobé de guirlandes pendant deux mois, le sapin de Noël de Clermont-Ferrand aura un troisième usage. C'était déjà le cas puisque la bille (le tronc) était transformée en palettes et les branches broyées pour faire du paillage.
Cette année, les branches seront toujours transformées en paillage mais pour la première fois, la bille, estimée à 4 ou 5 m3, servira à fabriquer des ruches. C'est Christophe Guibert, un apiculteur de Sauxillanges qui va se charger de débiter cet épicéa et de le transformer. Il ne va pas construire les ruches tout de suite, il faut laisser une année aux planches pour sécher. En revanche, il va pouvoir commencer à utiliser une partie du bois pour faire des outils ou des supports pour ses futures ruches.
Par France Bleu Pays d'Auvergne
Les guirlandes vont encore briller quelques heures. Le sapin de Noël de Clermont-Ferrand va bientôt quitter la place de Jaude pour être transformé en ruches par un apiculteur.de Sauxillanges.
Il va connaître une troisième vie. Après avoir poussé pendant 80 ans sur les hauteurs de Murat-le-Quaire où il a été coupé début novembre, après avoir dominé la place de Jaude de ses 26,5 mètres, enrobé de guirlandes pendant deux mois, le sapin de Noël de Clermont-Ferrand aura un troisième usage. C'était déjà le cas puisque la bille (le tronc) était transformée en palettes et les branches broyées pour faire du paillage.
Cette année, les branches seront toujours transformées en paillage mais pour la première fois, la bille, estimée à 4 ou 5 m3, servira à fabriquer des ruches. C'est Christophe Guibert, un apiculteur de Sauxillanges qui va se charger de débiter cet épicéa et de le transformer. Il ne va pas construire les ruches tout de suite, il faut laisser une année aux planches pour sécher. En revanche, il va pouvoir commencer à utiliser une partie du bois pour faire des outils ou des supports pour ses futures ruches.
Le personnage de Mickey n’est plus la propriété exclusive de Disney, mais tombe dans le domaine public
Huffpost
La toute première version de la mascotte, « Steamboat Willie » fait son entrée dans le domaine public aux États-Unis. Ce qui ouvre la voie à des détournements…
ISNEY - Alerte, souris en liberté. Ce lundi 1er janvier, les droits d’auteur de la toute première version de Mickey expirent, et Disney ne peut rien y faire. Le groupe avait réussi à prolonger à plusieurs reprises cette échéance, mais 95 ans après son arrivée sur les écrans, l’emblématique souris entre enfin dans le domaine public.
Ce Mickey Mouse, c’est celui du dessin animé « Steamboat Willie », ou « Le Bateau à vapeur de Willie », court-métrage sorti en 1928. Vous connaissez sans doute ce film en noir et blanc, dont la scène la plus emblématique, où la fameuse souris tient la barre d’un navire en sifflotant, a été utilisée comme logo d’introduction par Disney,
Mais maintenant que ce Mickey est dans le domaine public, n’importe qui peut librement copier, partager ou adapter cette version du personnage. Un Mickey cependant bien différent de la mascotte que l’on connaît aujourd’hui : si l’on reconnaît son short à boutons et ses grosses chaussures, le matelot ressemble plus à un rat qu’à la souris bienveillante d’aujourd’hui.
Un champ des possibles limité
Ainsi, alors que cette expiration des droits d’auteur marque une étape symbolique dans l’histoire du personnage et son évolution à venir, les créateurs souhaitant le reprendre devront procéder avec prudence. Disney a notamment rappelé que les versions ultérieures de Mickey restent protégées car en dehors du domaine public.
Cela signifie aussi que légalement, il ne sera pas possible de reprendre des éléments plus récents caractérisant la mascotte, tels que la couleur de son short ou ses fameux gants blancs. Par ailleurs, il reste interdit de vendre des produits dérivés de « Steamboat Willie » pouvant tromper les consommateurs, en leur faisant croire que ce sont de réels produits Disney.
Et, conséquence directe de l’arrivée à échéance des droits d’auteur, certains pourraient essayer de détourner Mickey de l’image qu’on lui connaît. Par exemple en l’introduisant dans un film d’horreur. C’est ce qui est arrivé à Winnie l’ourson plus tôt cette année : comme le rappelle la BBC, la version originale de l’adorable ours jaune est elle aussi tombée dans le domaine public. Avant de finir comme antagoniste du film gore « Blood and Honey », « Du sang et du miel » en français. Alors, à quand Mickey dans un slasher movie ?
Huffpost
La toute première version de la mascotte, « Steamboat Willie » fait son entrée dans le domaine public aux États-Unis. Ce qui ouvre la voie à des détournements…
ISNEY - Alerte, souris en liberté. Ce lundi 1er janvier, les droits d’auteur de la toute première version de Mickey expirent, et Disney ne peut rien y faire. Le groupe avait réussi à prolonger à plusieurs reprises cette échéance, mais 95 ans après son arrivée sur les écrans, l’emblématique souris entre enfin dans le domaine public.
Ce Mickey Mouse, c’est celui du dessin animé « Steamboat Willie », ou « Le Bateau à vapeur de Willie », court-métrage sorti en 1928. Vous connaissez sans doute ce film en noir et blanc, dont la scène la plus emblématique, où la fameuse souris tient la barre d’un navire en sifflotant, a été utilisée comme logo d’introduction par Disney,
Mais maintenant que ce Mickey est dans le domaine public, n’importe qui peut librement copier, partager ou adapter cette version du personnage. Un Mickey cependant bien différent de la mascotte que l’on connaît aujourd’hui : si l’on reconnaît son short à boutons et ses grosses chaussures, le matelot ressemble plus à un rat qu’à la souris bienveillante d’aujourd’hui.
Un champ des possibles limité
Ainsi, alors que cette expiration des droits d’auteur marque une étape symbolique dans l’histoire du personnage et son évolution à venir, les créateurs souhaitant le reprendre devront procéder avec prudence. Disney a notamment rappelé que les versions ultérieures de Mickey restent protégées car en dehors du domaine public.
Cela signifie aussi que légalement, il ne sera pas possible de reprendre des éléments plus récents caractérisant la mascotte, tels que la couleur de son short ou ses fameux gants blancs. Par ailleurs, il reste interdit de vendre des produits dérivés de « Steamboat Willie » pouvant tromper les consommateurs, en leur faisant croire que ce sont de réels produits Disney.
Et, conséquence directe de l’arrivée à échéance des droits d’auteur, certains pourraient essayer de détourner Mickey de l’image qu’on lui connaît. Par exemple en l’introduisant dans un film d’horreur. C’est ce qui est arrivé à Winnie l’ourson plus tôt cette année : comme le rappelle la BBC, la version originale de l’adorable ours jaune est elle aussi tombée dans le domaine public. Avant de finir comme antagoniste du film gore « Blood and Honey », « Du sang et du miel » en français. Alors, à quand Mickey dans un slasher movie ?
Voici six choses que vous ignorez (peut-être) sur Elvis Presley, de retour au cinéma avec Priscilla
OuestFrance
À l’occasion de la sortie de Priscilla au cinéma, un film de Sofia Coppola anglé sur les souvenirs de l’ex-épouse du King, l’édition du soir se replonge dans la vie trépidante d’Elvis Presley. Du karaté au badge de Sheriff, en passant par son frère jumeau, voici six informations que vous ignorez sûrement à propos du King.
Né le 8 janvier 1935 à Tupelo, dans le Mississippi, Elvis Presley aurait eu 89 ans dans quelques jours. Un anniversaire qu’a choisi la réalisatrice Sofia Coppola pour raconter, sur grand écran, les facettes les plus méconnues de sa vie, par le prisme de son ex-femme, Priscilla.
Vous pensiez tout connaître sur le King, ce chanteur au déhanché légendaire auteur, entre mille autres, des tubes Love me tender, Don’t be cruel, Can’t help falling in Love ou Burning Love ? Voici de quoi réviser vos classiques, ou découvrir des aspects plus insolites de ce fan de karaté, de télévision et de calories.
1. Il n’a jamais donné de concert en dehors de l’Amérique du Nord
Si ses chansons se sont très largement exportées sur les cinq continents, les concerts du King, eux, n’ont jamais dépassé les frontières des États-Unis et du Canada. La raison ? Il semble que son manager, le colonel Tom Parker, né aux Pays-Bas sous le nom d’Andreas Cornelis van Kuijk, ne possédait pas de passeport valide pour franchir légalement les frontières américaines.
Comme évoqué dans le biopic Elvis, sorti en juin 2022, Parker aurait tout fait pour que les concerts de son poulain se cantonnent à l’Amérique du Nord. De nombreuses rumeurs prêtaient également au « colonel » un passé trouble et de possibles ennuis judiciaires en cas d’escapade à l’international.
2. Elvis avait un frère jumeau
Si un jour vous avez la chance de visiter son manoir de Graceland, dans la banlieue de Memphis, vous serez sans doute surpris de trouver, près de la piscine, un espace occupé par des pierres tombales. Sur le côté, l’une d’elles mentionne le nom de Jesse Garon Presley. Il s’agissait du jumeau d’Elvis Presley, né 45 minutes avant son frère, et mort en couches le jour même, dans la maison familiale de Tupelo. Un traumatisme dont le King ne se relèvera jamais vraiment, mais qui est aussi considéré comme sa force motrice.
3. Elvis était un grand fan de télévision
Lors de la visite du manoir de Graceland où le King a fini sa vie, un détail vous frappe : le nombre délirant d’écrans qui peuplent les différentes pièces, de la cuisine à la salle de jeux en passant par le bureau. En tout, Elvis a fait installer quatorze télévisions dans cette demeure d’environ 1630m², achetée pour sa famille en 1957. Un nombre impressionnant pour l’époque (et encore aujourd’hui…). Laugh-In, The Untouchables, The Tonight Show et The Match Game étaient ses émissions de prime time préférées, qu’il consommait d’une manière quasi boulimique : grâce à ses écrans juxtaposés dans sa salle de projection, le King pouvait regarder jusqu’à trois programmes TV en même temps.
4. Il était ceinture noire de karaté
On le voit souvent avec une ceinture épaisse et clinquante qui marque la taille de sa combinaison dorée, beaucoup moins avec une ceinture noire fermant un kimono. Et pourtant ! Le King a découvert les arts martiaux lors de son service militaire, en 1958 : une passion qui le suivra au fil des ans puisque pour se maintenir en forme, Elvis pratiquera assidûment le karaté durant une bonne partie de sa carrière. Une persévérance qui le mènera jusqu’au 7e dan.
5. Il a commencé à fréquenter son ex-femme alors qu’elle avait 14 ans
Alors qu’il effectue son service militaire en Allemagne, la superstar Elvis Presley rencontre, par l’intermédiaire d’un ami, Priscilla Beaulieu, une Américaine de 14 ans. Nous sommes en 1958, il a donc 23 ans. Dans ses mémoires, celle qui deviendra l’épouse d’Elvis décrit leur relation comme platonique dans un premier temps, même si le fait qu’elle ait été si jeune, à l’époque comme aujourd’hui, peut choquer. Ils flirtent, le King rentre aux États-Unis, puis accueille finalement l’adolescente dans son domaine de Graceland, en 1963. Commence alors une histoire d’amour qui se terminera dix ans plus tard, racontée et documentée dans le film Priscilla sorti ce mercredi 3 janvier 2024 au cinéma.
6. Elvis était Sheriff adjoint de son comté
Le 21 septembre 1964, Elvis devenait « shérif adjoint spécial » pour le comté de Shelby. Le chanteur, qui a toujours été attiré par les uniformes, les armes à feu (dont il était possesseur) et les insignes, était ami avec Bill Morris. Ce dernier a été shérif du comté de Shelby et maire de Memphis et était un ami proche d’Elvis. L’insigne de Sheriff du King encore aujourd’hui visible dans le musée qui lui est consacré.
OuestFrance
À l’occasion de la sortie de Priscilla au cinéma, un film de Sofia Coppola anglé sur les souvenirs de l’ex-épouse du King, l’édition du soir se replonge dans la vie trépidante d’Elvis Presley. Du karaté au badge de Sheriff, en passant par son frère jumeau, voici six informations que vous ignorez sûrement à propos du King.
Né le 8 janvier 1935 à Tupelo, dans le Mississippi, Elvis Presley aurait eu 89 ans dans quelques jours. Un anniversaire qu’a choisi la réalisatrice Sofia Coppola pour raconter, sur grand écran, les facettes les plus méconnues de sa vie, par le prisme de son ex-femme, Priscilla.
Vous pensiez tout connaître sur le King, ce chanteur au déhanché légendaire auteur, entre mille autres, des tubes Love me tender, Don’t be cruel, Can’t help falling in Love ou Burning Love ? Voici de quoi réviser vos classiques, ou découvrir des aspects plus insolites de ce fan de karaté, de télévision et de calories.
1. Il n’a jamais donné de concert en dehors de l’Amérique du Nord
Si ses chansons se sont très largement exportées sur les cinq continents, les concerts du King, eux, n’ont jamais dépassé les frontières des États-Unis et du Canada. La raison ? Il semble que son manager, le colonel Tom Parker, né aux Pays-Bas sous le nom d’Andreas Cornelis van Kuijk, ne possédait pas de passeport valide pour franchir légalement les frontières américaines.
Comme évoqué dans le biopic Elvis, sorti en juin 2022, Parker aurait tout fait pour que les concerts de son poulain se cantonnent à l’Amérique du Nord. De nombreuses rumeurs prêtaient également au « colonel » un passé trouble et de possibles ennuis judiciaires en cas d’escapade à l’international.
2. Elvis avait un frère jumeau
Si un jour vous avez la chance de visiter son manoir de Graceland, dans la banlieue de Memphis, vous serez sans doute surpris de trouver, près de la piscine, un espace occupé par des pierres tombales. Sur le côté, l’une d’elles mentionne le nom de Jesse Garon Presley. Il s’agissait du jumeau d’Elvis Presley, né 45 minutes avant son frère, et mort en couches le jour même, dans la maison familiale de Tupelo. Un traumatisme dont le King ne se relèvera jamais vraiment, mais qui est aussi considéré comme sa force motrice.
3. Elvis était un grand fan de télévision
Lors de la visite du manoir de Graceland où le King a fini sa vie, un détail vous frappe : le nombre délirant d’écrans qui peuplent les différentes pièces, de la cuisine à la salle de jeux en passant par le bureau. En tout, Elvis a fait installer quatorze télévisions dans cette demeure d’environ 1630m², achetée pour sa famille en 1957. Un nombre impressionnant pour l’époque (et encore aujourd’hui…). Laugh-In, The Untouchables, The Tonight Show et The Match Game étaient ses émissions de prime time préférées, qu’il consommait d’une manière quasi boulimique : grâce à ses écrans juxtaposés dans sa salle de projection, le King pouvait regarder jusqu’à trois programmes TV en même temps.
4. Il était ceinture noire de karaté
On le voit souvent avec une ceinture épaisse et clinquante qui marque la taille de sa combinaison dorée, beaucoup moins avec une ceinture noire fermant un kimono. Et pourtant ! Le King a découvert les arts martiaux lors de son service militaire, en 1958 : une passion qui le suivra au fil des ans puisque pour se maintenir en forme, Elvis pratiquera assidûment le karaté durant une bonne partie de sa carrière. Une persévérance qui le mènera jusqu’au 7e dan.
5. Il a commencé à fréquenter son ex-femme alors qu’elle avait 14 ans
Alors qu’il effectue son service militaire en Allemagne, la superstar Elvis Presley rencontre, par l’intermédiaire d’un ami, Priscilla Beaulieu, une Américaine de 14 ans. Nous sommes en 1958, il a donc 23 ans. Dans ses mémoires, celle qui deviendra l’épouse d’Elvis décrit leur relation comme platonique dans un premier temps, même si le fait qu’elle ait été si jeune, à l’époque comme aujourd’hui, peut choquer. Ils flirtent, le King rentre aux États-Unis, puis accueille finalement l’adolescente dans son domaine de Graceland, en 1963. Commence alors une histoire d’amour qui se terminera dix ans plus tard, racontée et documentée dans le film Priscilla sorti ce mercredi 3 janvier 2024 au cinéma.
6. Elvis était Sheriff adjoint de son comté
Le 21 septembre 1964, Elvis devenait « shérif adjoint spécial » pour le comté de Shelby. Le chanteur, qui a toujours été attiré par les uniformes, les armes à feu (dont il était possesseur) et les insignes, était ami avec Bill Morris. Ce dernier a été shérif du comté de Shelby et maire de Memphis et était un ami proche d’Elvis. L’insigne de Sheriff du King encore aujourd’hui visible dans le musée qui lui est consacré.
Les calendriers de 1996 s'arrachent, pour une raison étonnante
RTL
Les années 1996 et 2024 ont beaucoup en commun : Jeux olympiques, années bissextiles, débutent un lundi…
Une tendance retro qui s'arrache à prix d'or. Les calendriers de 1996, réutilisables pour l'année 2024, font fureur sur internet aux États-Unis, certains se vendant plus d'une centaine de dollars. L'année 2024 et l'année 1996 sont toutes les deux bissextiles, c'est-à-dire qu'elles comptent 366 jours, et commencent chacune un lundi.
Les similarités ne s'arrêtent pas là : 1996 et 2024 sont toutes les deux des années avec des Jeux olympiques (1996 à Atlanta et 2024 à Paris) et des années d'élection présidentielle aux États-Unis. Le film Matilda, Tom Cruise dans le premier Mission impossible : les blagues et références aux années 90 pleuvent sur les réseaux sociaux, certains internautes fouillant dans leur cave pour retrouver des pépites de 1996.
Sur Ebay, les calendriers de 1996 se vendent à des prix variant d'une vingtaine à une centaine de dollars. Celui avec l'actrice Pamela Anderson, à l'affiche de Papa bricole mais surtout d'Alerte à Malibu, coûte ainsi au moins 150 dollars sur le site de ventes. Et il faudra attendre 2052 pour les utiliser à nouveau, tout comme ceux de 2024.
RTL
Les années 1996 et 2024 ont beaucoup en commun : Jeux olympiques, années bissextiles, débutent un lundi…
Une tendance retro qui s'arrache à prix d'or. Les calendriers de 1996, réutilisables pour l'année 2024, font fureur sur internet aux États-Unis, certains se vendant plus d'une centaine de dollars. L'année 2024 et l'année 1996 sont toutes les deux bissextiles, c'est-à-dire qu'elles comptent 366 jours, et commencent chacune un lundi.
Les similarités ne s'arrêtent pas là : 1996 et 2024 sont toutes les deux des années avec des Jeux olympiques (1996 à Atlanta et 2024 à Paris) et des années d'élection présidentielle aux États-Unis. Le film Matilda, Tom Cruise dans le premier Mission impossible : les blagues et références aux années 90 pleuvent sur les réseaux sociaux, certains internautes fouillant dans leur cave pour retrouver des pépites de 1996.
Sur Ebay, les calendriers de 1996 se vendent à des prix variant d'une vingtaine à une centaine de dollars. Celui avec l'actrice Pamela Anderson, à l'affiche de Papa bricole mais surtout d'Alerte à Malibu, coûte ainsi au moins 150 dollars sur le site de ventes. Et il faudra attendre 2052 pour les utiliser à nouveau, tout comme ceux de 2024.
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