Questions existentielles - page 216
« Il a choisi la mauvaise maison » : une body-buildeuse de 82 ans met au tapis son cambrioleur
ouestFrance
Un voleur qui essayait d’entrer par effraction chez une octogénaire résidant à Rochester, dans l’État de New York, a été mis au tapis par la vieille dame. Il faut dire que l’octogénaire est championne de bodybuilding.
Jeudi soir, vers 23 h. Willie Murphy, 82 ans, s’apprête à aller se coucher à son domicile de Rochester, dans l’État de New York, aux États-Unis, lorsqu’un homme frappe à sa porte. « Il a dit qu’il fallait appeler une ambulance parce qu’il était malade », raconte l’octogénaire à la chaîne local Wham TV.
Willie Murphy décide d’appeler la police mais ne pas laisser entrer l’inconnu, ce qui le met dans une colère noire. Il décide de fracasser la porte et se retrouve face à l’octogénaire.
Mais, ce qu’il ne sait pas, c’est que Willie Murphy est une body-buildeuse accomplie, qui s’entraîne encore quotidiennement.
Le cambrioleur finit à l’hôpital
« Il a choisi la mauvaise maison », lâche Willie Murphy. Profitant de la pénombre, elle réussit à surprendre son cambrioleur et à lui sauter dessus. Elle se saisit d’une table et la fracasse sur l’homme. Puis elle le roue de coups avec un balai.
Elle lui déverse ensuite une bouteille de shampooing dans les yeux pour qu’il ne puisse pas répliquer. À l’arrivée des officiers de police, le malfrat est hors d’état de nuire. Il doit même être transporté à l’hôpital.
Et les policiers applaudissent Willie Murphy : « Ils voulaient même prendre des selfies avec moi ! » Elle a décidé de ne pas porter plainte contre le cambrioleur.
ouestFrance
Un voleur qui essayait d’entrer par effraction chez une octogénaire résidant à Rochester, dans l’État de New York, a été mis au tapis par la vieille dame. Il faut dire que l’octogénaire est championne de bodybuilding.
Jeudi soir, vers 23 h. Willie Murphy, 82 ans, s’apprête à aller se coucher à son domicile de Rochester, dans l’État de New York, aux États-Unis, lorsqu’un homme frappe à sa porte. « Il a dit qu’il fallait appeler une ambulance parce qu’il était malade », raconte l’octogénaire à la chaîne local Wham TV.
Willie Murphy décide d’appeler la police mais ne pas laisser entrer l’inconnu, ce qui le met dans une colère noire. Il décide de fracasser la porte et se retrouve face à l’octogénaire.
Mais, ce qu’il ne sait pas, c’est que Willie Murphy est une body-buildeuse accomplie, qui s’entraîne encore quotidiennement.
Le cambrioleur finit à l’hôpital
« Il a choisi la mauvaise maison », lâche Willie Murphy. Profitant de la pénombre, elle réussit à surprendre son cambrioleur et à lui sauter dessus. Elle se saisit d’une table et la fracasse sur l’homme. Puis elle le roue de coups avec un balai.
Elle lui déverse ensuite une bouteille de shampooing dans les yeux pour qu’il ne puisse pas répliquer. À l’arrivée des officiers de police, le malfrat est hors d’état de nuire. Il doit même être transporté à l’hôpital.
Et les policiers applaudissent Willie Murphy : « Ils voulaient même prendre des selfies avec moi ! » Elle a décidé de ne pas porter plainte contre le cambrioleur.
Inde : Un rein de 7,4 kg retiré du corps d’un quinquagénaire malade
EXCEPTIONNEL « Nous savions que c’était un gros rein mais n’avons jamais pensé qu’il serait aussi lourd », ont indiqué les médecins
20 Minutes
Un rein de la taille d’une boule de bowling. Ce lundi, des médecins indiens ont annoncé avoir retiré un rein de 7,4 kg du corps d’un homme souffrant d’une grave maladie génétique. Il s’agit d’un des plus gros reins jamais retirés lors d’une opération.
« C’était une énorme grosseur qui occupait la moitié de son abdomen », a expliqué Sachin Kathuria, un membre de l’équipe médicale. « Nous savions que c’était un gros rein mais n’avons jamais pensé qu’il serait aussi lourd. »
Un rein de 9 kg déjà retiré à New Delhi ?
Un rein normal pèse entre 120 et 150 g et mesure environ 12 cm de long. Le rein malade, retiré de ce patient de 56 ans, mesurait 45 cm. Selon le livre Guinness des records, le plus gros rein jamais retiré d’un humain lors d’une opération, à Dubai en 2017, pesait 4,25 kg. Mais l’équipe de l’hôpital de New Delhi prétend avoir trouvé des dossiers médicaux faisant état d’un rein de 9 kg retiré d’un patient.
Le patient était atteint de polykystose rénale autosomique type dominant. Cette maladie provoque l’apparition de kystes sur les reins. Les médecins l’ont opéré après avoir repéré une hémorragie interne et un début d’infection. Le quinquagénaire est désormais en bonne santé, et a été placé sous dialyse en attendant un nouveau rein.
EXCEPTIONNEL « Nous savions que c’était un gros rein mais n’avons jamais pensé qu’il serait aussi lourd », ont indiqué les médecins
20 Minutes
Un rein de la taille d’une boule de bowling. Ce lundi, des médecins indiens ont annoncé avoir retiré un rein de 7,4 kg du corps d’un homme souffrant d’une grave maladie génétique. Il s’agit d’un des plus gros reins jamais retirés lors d’une opération.
« C’était une énorme grosseur qui occupait la moitié de son abdomen », a expliqué Sachin Kathuria, un membre de l’équipe médicale. « Nous savions que c’était un gros rein mais n’avons jamais pensé qu’il serait aussi lourd. »
Un rein de 9 kg déjà retiré à New Delhi ?
Un rein normal pèse entre 120 et 150 g et mesure environ 12 cm de long. Le rein malade, retiré de ce patient de 56 ans, mesurait 45 cm. Selon le livre Guinness des records, le plus gros rein jamais retiré d’un humain lors d’une opération, à Dubai en 2017, pesait 4,25 kg. Mais l’équipe de l’hôpital de New Delhi prétend avoir trouvé des dossiers médicaux faisant état d’un rein de 9 kg retiré d’un patient.
Le patient était atteint de polykystose rénale autosomique type dominant. Cette maladie provoque l’apparition de kystes sur les reins. Les médecins l’ont opéré après avoir repéré une hémorragie interne et un début d’infection. Le quinquagénaire est désormais en bonne santé, et a été placé sous dialyse en attendant un nouveau rein.
La Turballe. Le maire prend un arrêté pour obliger la neige à tomber
OuestFrance
.On ne rigole pas avec Noël… Enfin si justement. Avec beaucoup d’humour, le maire a pris un très sérieux arrêté pour que la neige soit au rendez-vous vendredi 29 pour lancer les illuminations.
Article 1 : Le ciel, et plus particulièrement les nuages, sont dans l’obligation de faire tomber la neige le vendredi 29 novembre 2019 sur la place du marché pour le lancement des illuminations de Noël à partir de 19 h précises. Voilà. Jean-Pierre Branchereau, le maire de La Turballe, donne le ton dans son arrêté qui vise à parfaire une cérémonie annuelle.
L’arrêté en question a été affiché sur la place du marché justement où un jardin de Noël est installé. L’article 2 poursuit : Le soleil, les masses d’air et autres courants chauds découlant du réchauffement climatique sont formellement interdits à la date mentionnée dans l’article 1.
En revanche, il y a quelques trucs qui seront autorisés ce vendredi. Ils sont stipulés dans l’article 3 : Sourires, être en joie, avoir des étoiles dans les yeux sont autant de réactions largement autorisées pour l’occasion, même pour les adultes. Aucune dérogation ne sera accordée.
Le maire charge la directrice générale des services, le chef de la police municipale et les services techniques de l’exécution de l’arrêté. Il a juste oublié de missionner une fée qui serait bien utile pour exaucer son vœu.
OuestFrance
.On ne rigole pas avec Noël… Enfin si justement. Avec beaucoup d’humour, le maire a pris un très sérieux arrêté pour que la neige soit au rendez-vous vendredi 29 pour lancer les illuminations.
Article 1 : Le ciel, et plus particulièrement les nuages, sont dans l’obligation de faire tomber la neige le vendredi 29 novembre 2019 sur la place du marché pour le lancement des illuminations de Noël à partir de 19 h précises. Voilà. Jean-Pierre Branchereau, le maire de La Turballe, donne le ton dans son arrêté qui vise à parfaire une cérémonie annuelle.
L’arrêté en question a été affiché sur la place du marché justement où un jardin de Noël est installé. L’article 2 poursuit : Le soleil, les masses d’air et autres courants chauds découlant du réchauffement climatique sont formellement interdits à la date mentionnée dans l’article 1.
En revanche, il y a quelques trucs qui seront autorisés ce vendredi. Ils sont stipulés dans l’article 3 : Sourires, être en joie, avoir des étoiles dans les yeux sont autant de réactions largement autorisées pour l’occasion, même pour les adultes. Aucune dérogation ne sera accordée.
Le maire charge la directrice générale des services, le chef de la police municipale et les services techniques de l’exécution de l’arrêté. Il a juste oublié de missionner une fée qui serait bien utile pour exaucer son vœu.
Indonésie. Lassé des embouteillages, il entreprend de bricoler lui-même un hélicoptère
0uestFrance
Depuis un an et demi, Jujun Junaedi se construit un hélicoptère dans la cour de sa maison. Cet Indonésien de 42 ans espère ainsi échapper aux embouteillages dantesques qui lui compliquent le quotidien.
Pour échapper aux embouteillages cauchemardesques en Indonésie, un habitant a décidé de construire un hélicoptère à partir de matériaux de récupération, une œuvre de longue haleine.
Jujun Junaedi passe des journées entières dans sa cour, bricolant et fignolant son hélicoptère fait maison, à l'aide de vidéos visionnées sur internet, en espérant un jour pouvoir survoler sa ville de Sukabumi et ses encombrements.
« C'est tellement frustrant », dit-il à l'AFP, en se plaignant des embouteillages qui paralysent souvent sa ville à quelque 110 kilomètre au sud de Jakarta.
« On finit à bout de nerfs quand on arrive où on veut aller ».
L'Indonésien de 42 ans a acheté des pièces détachées dans un garage. Et il a déjà dépensé 30 millions de roupies (2 100 dollars) pour son projet débuté il y a un an et demi.
Pas le premier
Son fils et son voisin lui donnent un coup de main pour construire cet hélicoptère de 2,5 mètres de haut et huit mètres de long.
Mais il n'est pas le premier à s'être engagé dans un tel projet.
Il y a deux ans, un Sud-Africain, surnommé « l'homme hélicoptère », a utilisé des plaques métalliques rouillées et d'autres matériaux de récupération pour construire une réplique d'un hélicoptère de la police, selon les médias.
En Chine, un fermier a connu son heure de gloire dans les médias en 2016 après avoir passé trois ans à construire un hélicoptère de fortune. Mais l'engin n'a pas réussi à décoller.
« S'il arrive à décoller, alors je serai satisfait », note Jujun Junaedi.
Mais la technologie n'est peut être pas son plus gros obstacle.
Son épouse, Yeti, veut garder les pieds sur terre. « Quand il a besoin d'argent pour le moteur ou les pales, par exemple, ça coûte beaucoup d'argent », remarque-t-elle. « Mais il faut qu'on dépense en priorité pour nos besoins essentiels, notamment l'éducation des enfants. Si on dépense tout pour l'hélicoptère, on n'aura plus rien pour acheter à manger ».
0uestFrance
Depuis un an et demi, Jujun Junaedi se construit un hélicoptère dans la cour de sa maison. Cet Indonésien de 42 ans espère ainsi échapper aux embouteillages dantesques qui lui compliquent le quotidien.
Pour échapper aux embouteillages cauchemardesques en Indonésie, un habitant a décidé de construire un hélicoptère à partir de matériaux de récupération, une œuvre de longue haleine.
Jujun Junaedi passe des journées entières dans sa cour, bricolant et fignolant son hélicoptère fait maison, à l'aide de vidéos visionnées sur internet, en espérant un jour pouvoir survoler sa ville de Sukabumi et ses encombrements.
« C'est tellement frustrant », dit-il à l'AFP, en se plaignant des embouteillages qui paralysent souvent sa ville à quelque 110 kilomètre au sud de Jakarta.
« On finit à bout de nerfs quand on arrive où on veut aller ».
L'Indonésien de 42 ans a acheté des pièces détachées dans un garage. Et il a déjà dépensé 30 millions de roupies (2 100 dollars) pour son projet débuté il y a un an et demi.
Pas le premier
Son fils et son voisin lui donnent un coup de main pour construire cet hélicoptère de 2,5 mètres de haut et huit mètres de long.
Mais il n'est pas le premier à s'être engagé dans un tel projet.
Il y a deux ans, un Sud-Africain, surnommé « l'homme hélicoptère », a utilisé des plaques métalliques rouillées et d'autres matériaux de récupération pour construire une réplique d'un hélicoptère de la police, selon les médias.
En Chine, un fermier a connu son heure de gloire dans les médias en 2016 après avoir passé trois ans à construire un hélicoptère de fortune. Mais l'engin n'a pas réussi à décoller.
« S'il arrive à décoller, alors je serai satisfait », note Jujun Junaedi.
Mais la technologie n'est peut être pas son plus gros obstacle.
Son épouse, Yeti, veut garder les pieds sur terre. « Quand il a besoin d'argent pour le moteur ou les pales, par exemple, ça coûte beaucoup d'argent », remarque-t-elle. « Mais il faut qu'on dépense en priorité pour nos besoins essentiels, notamment l'éducation des enfants. Si on dépense tout pour l'hélicoptère, on n'aura plus rien pour acheter à manger ».
Donald Trump : Les parties de golf du président ont coûté 115 millions de dollars à l’Etat américain
EXCÈS Les déplacements sont financés par de l’argent public, dont une partie est reversée à des hôtels et complexes appartenant au président américain
20 Minutes
Les parties de golf de Donald Trump auraient coûté 115 millions de dollars (environ 105 millions d’euros) à l’Etat américain depuis son élection. Le président a passé 223 jours de son mandat à se livrer à son activité sportive préférée, la plupart du temps sur un des parcours qu’il possède.
Cette énorme facture correspond à 287 années du salaire présidentiel. En janvier, un rapport estimait à 3,4 millions de dollars le coût d’un seul séjour de Donald Trump à Mar-a-Lago, une de ses propriétés de golf en Floride. Or, depuis son arrivée à la Maison-Blanche, le président y a passé 58 jours, rapporte le HuffPost.
De nombreux déplacements, toujours en avion
Il a également joué au golf 77 jours sur son parcours du New Jersey et 77 autres dans son complexe de Virginie. Donald Trump a effectué quatre séjours sur son parcours de Jupiter (Floride), trois à Doonberg (Irlande), deux à Turnberry (Ecosse), un à Los Angeles et un à Doral, toujours en Floride. Le président n’a d’ailleurs joué que deux fois sur un terrain ne lui appartenant pas, lors de sa visite officielle au Japon.
Le coût est élevé pour les finances publiques, en grande partie à cause des déplacements effectués en Air Force One et d’autres avions servant à transporter l’entourage du président, ses agents de sécurité et des voitures blindées et véhicules officiels.
Bénéfice pour les hôtels Trump
Des voix s’élèvent aussi pour dénoncer un autre type de dépense. Les personnes accompagnant le président seraient en effet toutes logées dans les hôtels du milliardaire, parfois à un tarif dépassant le plafond légal. Les établissements du président toucheraient ainsi des sommes non négligeables.
« Il devient évident que Donald Trump utilise sa présidence pour empocher de l’argent », dénonce l’activiste Jordan Libowitz. « Le problème n’est pas sa passion pour le golf, [c’est] qu’il a passé une bonne partie de sa présidence à faire des apparitions qui font la promotion de ses parcours de golf en difficultés financières, le tout aux frais du contribuable. »
EXCÈS Les déplacements sont financés par de l’argent public, dont une partie est reversée à des hôtels et complexes appartenant au président américain
20 Minutes
Les parties de golf de Donald Trump auraient coûté 115 millions de dollars (environ 105 millions d’euros) à l’Etat américain depuis son élection. Le président a passé 223 jours de son mandat à se livrer à son activité sportive préférée, la plupart du temps sur un des parcours qu’il possède.
Cette énorme facture correspond à 287 années du salaire présidentiel. En janvier, un rapport estimait à 3,4 millions de dollars le coût d’un seul séjour de Donald Trump à Mar-a-Lago, une de ses propriétés de golf en Floride. Or, depuis son arrivée à la Maison-Blanche, le président y a passé 58 jours, rapporte le HuffPost.
De nombreux déplacements, toujours en avion
Il a également joué au golf 77 jours sur son parcours du New Jersey et 77 autres dans son complexe de Virginie. Donald Trump a effectué quatre séjours sur son parcours de Jupiter (Floride), trois à Doonberg (Irlande), deux à Turnberry (Ecosse), un à Los Angeles et un à Doral, toujours en Floride. Le président n’a d’ailleurs joué que deux fois sur un terrain ne lui appartenant pas, lors de sa visite officielle au Japon.
Le coût est élevé pour les finances publiques, en grande partie à cause des déplacements effectués en Air Force One et d’autres avions servant à transporter l’entourage du président, ses agents de sécurité et des voitures blindées et véhicules officiels.
Bénéfice pour les hôtels Trump
Des voix s’élèvent aussi pour dénoncer un autre type de dépense. Les personnes accompagnant le président seraient en effet toutes logées dans les hôtels du milliardaire, parfois à un tarif dépassant le plafond légal. Les établissements du président toucheraient ainsi des sommes non négligeables.
« Il devient évident que Donald Trump utilise sa présidence pour empocher de l’argent », dénonce l’activiste Jordan Libowitz. « Le problème n’est pas sa passion pour le golf, [c’est] qu’il a passé une bonne partie de sa présidence à faire des apparitions qui font la promotion de ses parcours de golf en difficultés financières, le tout aux frais du contribuable. »
Lorraine: Le gagnant de 2,5 millions d'euro à la loterie n'a plus que quelques heures pour récupérer son gain
20Minutes
JEUX Le gagnant de plus de 2,5 millions euros au tirage de l’EuroMillions du 4 octobre doit se faire connaître impérativement avant le 3 décembre à minuit
Si vous habitez dans la Meuse et que vous avez joué à l’EuroMillions le 4 octobre dernier, faites vos poches. Et rapidement. La Française des jeux recherche désespérément le gagnant EuroMillions au rang 2. La bonne combinaison a été jouée dans la Meuse, à Bar-le-Duc (55) exactement. Cela peut lui rapporter précisément 2.521.014,80 d’euros à condition de se présenter avant mardi 3 décembre minuit. Passée cette date, la somme sera remise en jeu par FDJ.
Si la Française des jeux communique exceptionnellement la ville et le nom du point de vente, c’est pour « donner au gagnant toutes les chances de se reconnaître et ainsi de se faire connaître » indique-t-elle dans un communiqué. En effet, habituellement, FDJ communique le nom du point de vente uniquement après le paiement. Le joueur a effectué sa prise de jeu EuroMillions dans le point de vente : Le Barisien, 42 rue Jean-Jacques-Rousseau à Bar-le-Duc (55).
Un numéro de téléphone pour se faire connaÎtre
Aucun joueur n’avait validé la combinaison gagnante permettant de remporter le jackpot de 190 millions d’euros. En revanche, huit joueurs européens, dont deux Français, ont remporté plus de 2,5 millions d’euros au rang 2 en cochant cinq bons numéros et une étoile. L’autre gain français du rang 2 a été remis à une joueuse occasionnelle qui a validé sa grille à Barr (67).
Le gagnant, s’il se reconnaît, peut appeler le service clients FDJ au 09.69.36.60.60 (2), qui le mettra ensuite en contact avec le Service Relations gagnants de la Française des Jeux. En 2018, quatre lots de millionnaires FDJ n’ont pas été réclamés
20Minutes
JEUX Le gagnant de plus de 2,5 millions euros au tirage de l’EuroMillions du 4 octobre doit se faire connaître impérativement avant le 3 décembre à minuit
Si vous habitez dans la Meuse et que vous avez joué à l’EuroMillions le 4 octobre dernier, faites vos poches. Et rapidement. La Française des jeux recherche désespérément le gagnant EuroMillions au rang 2. La bonne combinaison a été jouée dans la Meuse, à Bar-le-Duc (55) exactement. Cela peut lui rapporter précisément 2.521.014,80 d’euros à condition de se présenter avant mardi 3 décembre minuit. Passée cette date, la somme sera remise en jeu par FDJ.
Si la Française des jeux communique exceptionnellement la ville et le nom du point de vente, c’est pour « donner au gagnant toutes les chances de se reconnaître et ainsi de se faire connaître » indique-t-elle dans un communiqué. En effet, habituellement, FDJ communique le nom du point de vente uniquement après le paiement. Le joueur a effectué sa prise de jeu EuroMillions dans le point de vente : Le Barisien, 42 rue Jean-Jacques-Rousseau à Bar-le-Duc (55).
Un numéro de téléphone pour se faire connaÎtre
Aucun joueur n’avait validé la combinaison gagnante permettant de remporter le jackpot de 190 millions d’euros. En revanche, huit joueurs européens, dont deux Français, ont remporté plus de 2,5 millions d’euros au rang 2 en cochant cinq bons numéros et une étoile. L’autre gain français du rang 2 a été remis à une joueuse occasionnelle qui a validé sa grille à Barr (67).
Le gagnant, s’il se reconnaît, peut appeler le service clients FDJ au 09.69.36.60.60 (2), qui le mettra ensuite en contact avec le Service Relations gagnants de la Française des Jeux. En 2018, quatre lots de millionnaires FDJ n’ont pas été réclamés
Un tracteur surpuissant flashé à 247 km/h en Angleterre
OuestFrance
Le pilote britannique Guy Martin a battu le record mondial de vitesse au volant d’un tracteur de la marque JCB. Une sacrée bête qui consomme tout de même 50 litres aux 100 km…
De loin, il ressemble à un tracteur, avec quatre grosses roues et une petite cabine. Mais avec son moteur à 1 000 chevaux, six vitesses et un châssis allégé, le prototype de la firme britannique JCB ressemble davantage, sous le capot, à une voiture de course.
Après avoir atteint une pointe à 166,7 km/h, au mois de juin 2019, le monstre jaune et noir, un modèle Fastrac modifié, a établi un nouveau record, homologué par le Guinness World Records. Le 23 octobre 2019, sur la piste de la base aérienne d’Elvington, près de York (Angleterre), le tracteur a roulé à la moyenne de 217,5 km/h, avec un pic à 247 km/h.
Plus de 50 litres aux 100 km !
Dans la vidéo relatant cette performance, Guy Martin, spécialiste de la moto et adepte des tentatives de records, apparaît casqué et harnaché dans la cabine, distançant une voiture qui tente de le suivre.
On n’a pas l’impression de conduire un tracteur, confirme Guy Martin, sans préciser que la bête consomme plus de 50 litres de carburant aux 100 km.
Rien à voir avec le Fastrac commercialisé auprès des agriculteurs, qui dépasse tout juste les 60 km/h, en étant nettement moins gourmand.
OuestFrance
Le pilote britannique Guy Martin a battu le record mondial de vitesse au volant d’un tracteur de la marque JCB. Une sacrée bête qui consomme tout de même 50 litres aux 100 km…
De loin, il ressemble à un tracteur, avec quatre grosses roues et une petite cabine. Mais avec son moteur à 1 000 chevaux, six vitesses et un châssis allégé, le prototype de la firme britannique JCB ressemble davantage, sous le capot, à une voiture de course.
Après avoir atteint une pointe à 166,7 km/h, au mois de juin 2019, le monstre jaune et noir, un modèle Fastrac modifié, a établi un nouveau record, homologué par le Guinness World Records. Le 23 octobre 2019, sur la piste de la base aérienne d’Elvington, près de York (Angleterre), le tracteur a roulé à la moyenne de 217,5 km/h, avec un pic à 247 km/h.
Plus de 50 litres aux 100 km !
Dans la vidéo relatant cette performance, Guy Martin, spécialiste de la moto et adepte des tentatives de records, apparaît casqué et harnaché dans la cabine, distançant une voiture qui tente de le suivre.
On n’a pas l’impression de conduire un tracteur, confirme Guy Martin, sans préciser que la bête consomme plus de 50 litres de carburant aux 100 km.
Rien à voir avec le Fastrac commercialisé auprès des agriculteurs, qui dépasse tout juste les 60 km/h, en étant nettement moins gourmand.
Après les lance-flammes, le frère de Pablo Escobar se lance dans le business du smartphone pliable
OuestFrance
Frère du célèbre trafiquant de drogue Pablo Escobar, Roberto Escobar revient sur le devant de la scène avec le lancement de son tout dernier téléphone pliable. L’homme qui avait déjà tenté de mettre Elon Musk au pas avec la vente de lance-flammes, s’est lancé un nouvel objectif : battre la marque à la pomme avec un téléphone d’une valeur de 349 dollars.
C’est une nouvelle aussi insolite qu’inattendue. Roberto Escobar, frère du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar, vient de lancer son tout dernier bijou de technologie : un téléphone pliable d’une valeur de 349 dollars.
Si le téléphone pliable, doté d’un écran qui se replie vers l’extérieur, n’est pas une révolution en soi [la société Samsung ayant lancé son smartphone pliable en septembre dernier, quelques mois après le FlexPai de Royole], c’est avant tout le prix proposé par la société Escobar Inc. qui laisse sans voix. Et pour cause, le prix a été savamment réfléchi : avec son smartphone Escobar Fold 1, Roberto Escobar déclare la guerre à Apple.
C’est une nouvelle aussi insolite qu’inattendue. Roberto Escobar, frère du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar, vient de lancer son tout dernier bijou de technologie : un téléphone pliable d’une valeur de 349 dollars.
Si le téléphone pliable, doté d’un écran qui se replie vers l’extérieur, n’est pas une révolution en soi [la société Samsung ayant lancé son smartphone pliable en septembre dernier, quelques mois après le FlexPai de Royole], c’est avant tout le prix proposé par la société Escobar Inc. qui laisse sans voix. Et pour cause, le prix a été savamment réfléchi : avec son smartphone Escobar Fold 1, Roberto Escobar déclare la guerre à Apple.
Question qualité, « le Escobar Fold 1 reprend l’intégralité de la fiche technique du FlexPai, mais également ses défauts de conception. L’écran, qui se replie vers l’extérieur, semble grandement exposé et la qualité de la charnière laisse à désirer », indique le site lesnumériques.com, spécialisé dans les essais comparatifs de matériel, au sujet du smartphone Escobar Fold 1.
Mais pourquoi diable alors Roberto Escobar s’est-il lancé dans cette industrie ? « Le tarif annoncé du FlexPai de Royole, lancé à plus de 1 000 $ nous avait beaucoup déçus. Celui d’Escobar Inc. est beaucoup plus proche d’un prix en accord avec les qualités du produit » expliquent toujours les numériques.
Et de fait, c’est bien la question du tarif qui est au cœur du nouveau business d’Escobar : proposer un produit peu cher pour rivaliser avec le géant Apple contre lequel il est particulièrement remonté. « J’ai dit à beaucoup de gens que je pouvais battre Apple et je le ferai. Je ne passe pas par les opérateurs et la distribution pour vendre aux clients un téléphone qui se plie pour seulement 349 $, des téléphones qui coûtent des milliers de dollars en magasin, vendus par Samsung et d’autres. C’est mon objectif de battre Apple et je vais le faire moi-même, comme je l’ai toujours fait », a confiéRoberto Escobar dans les colonnes de Digital Trends.
« Mon produit est bien meilleur »
Et comme pour s’assurer d’être clair, l’homme renchérit : « [Apple], ce sont des escrocs, et maintenant nous préparons un recours collectif. Ils escroquent les gens en leur vendant des téléphones inutiles et hors de prix. Mes avocats sont prêts depuis un bout de temps, mais avant que je passe à l’offensive pour reverser au peuple ce qu’il mérite, je voulais prouver que mon produit est bien meilleur ».
C’est une nouvelle aussi insolite qu’inattendue. Roberto Escobar, frère du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar, vient de lancer son tout dernier bijou de technologie : un téléphone pliable d’une valeur de 349 dollars.
Si le téléphone pliable, doté d’un écran qui se replie vers l’extérieur, n’est pas une révolution en soi [la société Samsung ayant lancé son smartphone pliable en septembre dernier, quelques mois après le FlexPai de Royole], c’est avant tout le prix proposé par la société Escobar Inc. qui laisse sans voix. Et pour cause, le prix a été savamment réfléchi : avec son smartphone Escobar Fold 1, Roberto Escobar déclare la guerre à Apple.
« Battre Apple »
Question qualité, « le Escobar Fold 1 reprend l’intégralité de la fiche technique du FlexPai, mais également ses défauts de conception. L’écran, qui se replie vers l’extérieur, semble grandement exposé et la qualité de la charnière laisse à désirer », indique le site lesnumériques.com, spécialisé dans les essais comparatifs de matériel, au sujet du smartphone Escobar Fold 1.
Mais pourquoi diable alors Roberto Escobar s’est-il lancé dans cette industrie ? « Le tarif annoncé du FlexPai de Royole, lancé à plus de 1 000 $ nous avait beaucoup déçus. Celui d’Escobar Inc. est beaucoup plus proche d’un prix en accord avec les qualités du produit » expliquent toujours les numériques.
Et de fait, c’est bien la question du tarif qui est au cœur du nouveau business d’Escobar : proposer un produit peu cher pour rivaliser avec le géant Apple contre lequel il est particulièrement remonté. « J’ai dit à beaucoup de gens que je pouvais battre Apple et je le ferai. Je ne passe pas par les opérateurs et la distribution pour vendre aux clients un téléphone qui se plie pour seulement 349 $, des téléphones qui coûtent des milliers de dollars en magasin, vendus par Samsung et d’autres. C’est mon objectif de battre Apple et je vais le faire moi-même, comme je l’ai toujours fait », a confiéRoberto Escobar dans les colonnes de Digital Trends.
« Mon produit est bien meilleur »
Et comme pour s’assurer d’être clair, l’homme renchérit : « [Apple], ce sont des escrocs, et maintenant nous préparons un recours collectif. Ils escroquent les gens en leur vendant des téléphones inutiles et hors de prix. Mes avocats sont prêts depuis un bout de temps, mais avant que je passe à l’offensive pour reverser au peuple ce qu’il mérite, je voulais prouver que mon produit est bien meilleur ».
Quand la motivation change soudain
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Chose étrange : Apple ne propose pas de téléphone pliable. Mais qu’importe, l’homme, particulièrement en colère, ne compte pas s’arrêter là et prévoit d’ores et déjà de lancer, le 6 janvier prochain, une action collective de 30 milliards de dollars auprès des cours de justice de Californie. « Nous voulons qu’Apple reverse une partie de ses profits illégaux au peuple. Et je m’assurerai qu’ils le fassent », conclut Roberto Escobar.
OuestFrance
Frère du célèbre trafiquant de drogue Pablo Escobar, Roberto Escobar revient sur le devant de la scène avec le lancement de son tout dernier téléphone pliable. L’homme qui avait déjà tenté de mettre Elon Musk au pas avec la vente de lance-flammes, s’est lancé un nouvel objectif : battre la marque à la pomme avec un téléphone d’une valeur de 349 dollars.
C’est une nouvelle aussi insolite qu’inattendue. Roberto Escobar, frère du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar, vient de lancer son tout dernier bijou de technologie : un téléphone pliable d’une valeur de 349 dollars.
Si le téléphone pliable, doté d’un écran qui se replie vers l’extérieur, n’est pas une révolution en soi [la société Samsung ayant lancé son smartphone pliable en septembre dernier, quelques mois après le FlexPai de Royole], c’est avant tout le prix proposé par la société Escobar Inc. qui laisse sans voix. Et pour cause, le prix a été savamment réfléchi : avec son smartphone Escobar Fold 1, Roberto Escobar déclare la guerre à Apple.
C’est une nouvelle aussi insolite qu’inattendue. Roberto Escobar, frère du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar, vient de lancer son tout dernier bijou de technologie : un téléphone pliable d’une valeur de 349 dollars.
Si le téléphone pliable, doté d’un écran qui se replie vers l’extérieur, n’est pas une révolution en soi [la société Samsung ayant lancé son smartphone pliable en septembre dernier, quelques mois après le FlexPai de Royole], c’est avant tout le prix proposé par la société Escobar Inc. qui laisse sans voix. Et pour cause, le prix a été savamment réfléchi : avec son smartphone Escobar Fold 1, Roberto Escobar déclare la guerre à Apple.
Question qualité, « le Escobar Fold 1 reprend l’intégralité de la fiche technique du FlexPai, mais également ses défauts de conception. L’écran, qui se replie vers l’extérieur, semble grandement exposé et la qualité de la charnière laisse à désirer », indique le site lesnumériques.com, spécialisé dans les essais comparatifs de matériel, au sujet du smartphone Escobar Fold 1.
Mais pourquoi diable alors Roberto Escobar s’est-il lancé dans cette industrie ? « Le tarif annoncé du FlexPai de Royole, lancé à plus de 1 000 $ nous avait beaucoup déçus. Celui d’Escobar Inc. est beaucoup plus proche d’un prix en accord avec les qualités du produit » expliquent toujours les numériques.
Et de fait, c’est bien la question du tarif qui est au cœur du nouveau business d’Escobar : proposer un produit peu cher pour rivaliser avec le géant Apple contre lequel il est particulièrement remonté. « J’ai dit à beaucoup de gens que je pouvais battre Apple et je le ferai. Je ne passe pas par les opérateurs et la distribution pour vendre aux clients un téléphone qui se plie pour seulement 349 $, des téléphones qui coûtent des milliers de dollars en magasin, vendus par Samsung et d’autres. C’est mon objectif de battre Apple et je vais le faire moi-même, comme je l’ai toujours fait », a confiéRoberto Escobar dans les colonnes de Digital Trends.
« Mon produit est bien meilleur »
Et comme pour s’assurer d’être clair, l’homme renchérit : « [Apple], ce sont des escrocs, et maintenant nous préparons un recours collectif. Ils escroquent les gens en leur vendant des téléphones inutiles et hors de prix. Mes avocats sont prêts depuis un bout de temps, mais avant que je passe à l’offensive pour reverser au peuple ce qu’il mérite, je voulais prouver que mon produit est bien meilleur ».
C’est une nouvelle aussi insolite qu’inattendue. Roberto Escobar, frère du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar, vient de lancer son tout dernier bijou de technologie : un téléphone pliable d’une valeur de 349 dollars.
Si le téléphone pliable, doté d’un écran qui se replie vers l’extérieur, n’est pas une révolution en soi [la société Samsung ayant lancé son smartphone pliable en septembre dernier, quelques mois après le FlexPai de Royole], c’est avant tout le prix proposé par la société Escobar Inc. qui laisse sans voix. Et pour cause, le prix a été savamment réfléchi : avec son smartphone Escobar Fold 1, Roberto Escobar déclare la guerre à Apple.
« Battre Apple »
Question qualité, « le Escobar Fold 1 reprend l’intégralité de la fiche technique du FlexPai, mais également ses défauts de conception. L’écran, qui se replie vers l’extérieur, semble grandement exposé et la qualité de la charnière laisse à désirer », indique le site lesnumériques.com, spécialisé dans les essais comparatifs de matériel, au sujet du smartphone Escobar Fold 1.
Mais pourquoi diable alors Roberto Escobar s’est-il lancé dans cette industrie ? « Le tarif annoncé du FlexPai de Royole, lancé à plus de 1 000 $ nous avait beaucoup déçus. Celui d’Escobar Inc. est beaucoup plus proche d’un prix en accord avec les qualités du produit » expliquent toujours les numériques.
Et de fait, c’est bien la question du tarif qui est au cœur du nouveau business d’Escobar : proposer un produit peu cher pour rivaliser avec le géant Apple contre lequel il est particulièrement remonté. « J’ai dit à beaucoup de gens que je pouvais battre Apple et je le ferai. Je ne passe pas par les opérateurs et la distribution pour vendre aux clients un téléphone qui se plie pour seulement 349 $, des téléphones qui coûtent des milliers de dollars en magasin, vendus par Samsung et d’autres. C’est mon objectif de battre Apple et je vais le faire moi-même, comme je l’ai toujours fait », a confiéRoberto Escobar dans les colonnes de Digital Trends.
« Mon produit est bien meilleur »
Et comme pour s’assurer d’être clair, l’homme renchérit : « [Apple], ce sont des escrocs, et maintenant nous préparons un recours collectif. Ils escroquent les gens en leur vendant des téléphones inutiles et hors de prix. Mes avocats sont prêts depuis un bout de temps, mais avant que je passe à l’offensive pour reverser au peuple ce qu’il mérite, je voulais prouver que mon produit est bien meilleur ».
Quand la motivation change soudain
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Chose étrange : Apple ne propose pas de téléphone pliable. Mais qu’importe, l’homme, particulièrement en colère, ne compte pas s’arrêter là et prévoit d’ores et déjà de lancer, le 6 janvier prochain, une action collective de 30 milliards de dollars auprès des cours de justice de Californie. « Nous voulons qu’Apple reverse une partie de ses profits illégaux au peuple. Et je m’assurerai qu’ils le fassent », conclut Roberto Escobar.
Dernière édition par photos le 05 Déc 2019, 10:16, édité 1 fois.
Comment calculer réellement l'âge humain de votre chien ?
Sarah Noufi
Planet
Multiplier l'âge de votre chien par sept pour déterminer son âge est la méthode la plus répandue. Or, elle n'est vraisemblablement pas la meilleure. Des scientifiques semblent avoir percé le mystère de l'équivalent humain.
Multiplier l'âge de votre chien par sept pour déterminer son âge est la méthode la plus répandue. Or, elle n'est vraisemblablement pas la meilleure. Des scientifiques semblent avoir percé le mystère de l'équivalent humain.
Une nouvelle méthode a été inventée pour trouver l'âge humain des chiens ! Une étude menée par l’Université de Californie à San Diego aurait fait ses preuves. D'après une enquête publiée sur le site BioRxiv, les professeurs Trey Ideker, Tina Wang et leur équipe ont trouvé une formule mathématique, capable de déterminer l'équivalent humain de l'âge de votre animal.
Si de nombreuses études ont démontré les différentes espérances de vie selon les races canines dans le passé, le doute planait surtout sur l'évolution de leur vieillesse, relaie le Huffington Post.
Multiplier l'âge de votre chien par sept pour déterminer son âge est la méthode la plus répandue. Or, elle n'est vraisemblablement pas la meilleure. Des scientifiques semblent avoir percé le mystère de l'équivalent humain.
Une nouvelle méthode a été inventée pour trouver l'âge humain des chiens ! Une étude menée par l’Université de Californie à San Diego aurait fait ses preuves. D'après une enquête publiée sur le site BioRxiv, les professeurs Trey Ideker, Tina Wang et leur équipe ont trouvé une formule mathématique, capable de déterminer l'équivalent humain de l'âge de votre animal.
A lire aussi : Le palmarès étonnant des noms attribués aux chiens et chats en 2019
Si de nombreuses études ont démontré les différentes espérances de vie selon les races canines dans le passé, le doute planait surtout sur l'évolution de leur vieillesse, relaie le Huffington Post.
Le logarithme naturel du chien (ln)
Voici la formule qui permet de connaître l'âge humain du mammifère : age_humain = 16ln+ 31
Les scientifiques ont analysé les caractéristiques de vieillesse de 104 chiens (en majorité des labradors), âgés entre 1 mois et 16 ans. Ils ont ensuite dressé un tableau de leur "horloge épigénétique". C’est-à-dire l’influence de l’âge sur leur ADN.
Lorsque tous les éléments ont été repertoriés, les chercheurs les ont comparés à ceux de 320 humains âgés entre 1 et 103 ans, puis à ceux de 133 souris. Ils ont ainsi mis en évidence des stades similaires de vieillissement à des périodes différentes. Ce travail leur a permis de créer une formule mathématique qui se base sur le logarithme naturel de l'animal (ln).
Pour connaître l'âge humain de votre canidé, il faut tout simplement multiplier le logarithme naturel de l’âge de votre chien par 16 et y ajouter la somme de 31.
Par exemple, un chien âgé de un an, a l'âge d'un être humain de 31 ans. Un chien de 8 ans ? 64 ans en âge humain ou encore, un chien de 20 ans, 79 ans pour nous.
Sarah Noufi
Planet
Multiplier l'âge de votre chien par sept pour déterminer son âge est la méthode la plus répandue. Or, elle n'est vraisemblablement pas la meilleure. Des scientifiques semblent avoir percé le mystère de l'équivalent humain.
Multiplier l'âge de votre chien par sept pour déterminer son âge est la méthode la plus répandue. Or, elle n'est vraisemblablement pas la meilleure. Des scientifiques semblent avoir percé le mystère de l'équivalent humain.
Une nouvelle méthode a été inventée pour trouver l'âge humain des chiens ! Une étude menée par l’Université de Californie à San Diego aurait fait ses preuves. D'après une enquête publiée sur le site BioRxiv, les professeurs Trey Ideker, Tina Wang et leur équipe ont trouvé une formule mathématique, capable de déterminer l'équivalent humain de l'âge de votre animal.
Si de nombreuses études ont démontré les différentes espérances de vie selon les races canines dans le passé, le doute planait surtout sur l'évolution de leur vieillesse, relaie le Huffington Post.
Multiplier l'âge de votre chien par sept pour déterminer son âge est la méthode la plus répandue. Or, elle n'est vraisemblablement pas la meilleure. Des scientifiques semblent avoir percé le mystère de l'équivalent humain.
Une nouvelle méthode a été inventée pour trouver l'âge humain des chiens ! Une étude menée par l’Université de Californie à San Diego aurait fait ses preuves. D'après une enquête publiée sur le site BioRxiv, les professeurs Trey Ideker, Tina Wang et leur équipe ont trouvé une formule mathématique, capable de déterminer l'équivalent humain de l'âge de votre animal.
A lire aussi : Le palmarès étonnant des noms attribués aux chiens et chats en 2019
Si de nombreuses études ont démontré les différentes espérances de vie selon les races canines dans le passé, le doute planait surtout sur l'évolution de leur vieillesse, relaie le Huffington Post.
Le logarithme naturel du chien (ln)
Voici la formule qui permet de connaître l'âge humain du mammifère : age_humain = 16ln+ 31
Les scientifiques ont analysé les caractéristiques de vieillesse de 104 chiens (en majorité des labradors), âgés entre 1 mois et 16 ans. Ils ont ensuite dressé un tableau de leur "horloge épigénétique". C’est-à-dire l’influence de l’âge sur leur ADN.
Lorsque tous les éléments ont été repertoriés, les chercheurs les ont comparés à ceux de 320 humains âgés entre 1 et 103 ans, puis à ceux de 133 souris. Ils ont ainsi mis en évidence des stades similaires de vieillissement à des périodes différentes. Ce travail leur a permis de créer une formule mathématique qui se base sur le logarithme naturel de l'animal (ln).
Pour connaître l'âge humain de votre canidé, il faut tout simplement multiplier le logarithme naturel de l’âge de votre chien par 16 et y ajouter la somme de 31.
Par exemple, un chien âgé de un an, a l'âge d'un être humain de 31 ans. Un chien de 8 ans ? 64 ans en âge humain ou encore, un chien de 20 ans, 79 ans pour nous.
Et si vous achetiez une ancienne base nucléaire américaine ?
Construit au début des années 1960, le bâtiment est situé non loin de Tucson, en Arizona. Son prix ? 395 000 dollars, soit environ 358 000 euros, rapporte l'« Arizona Daily Star ». Par LePoint.fr
"À vendre : bien atypique, ancienne base nucléaire secrète souterraine, sans vis-à-vis, offrant une vue dégagée sur une immense propriété. Pas sérieux s'abstenir." En forçant le trait, voici l'annonce publiée sur le site de l'agence immobilière Realty Tucson Elite. Repérée par l'Arizona Daily Star, elle concerne un ancien bunker de missile nucléaire, situé à 20 minutes de route de Tucson, aux États-Unis. Jusqu'en 1980, ce bâtiment, construit au début des années 1960, accueillait un missile balistique intercontinental Titan II capable de transporter une tête thermonucléaire W3 sur plus de 10 000 kilomètres.
Il existe 54 bunkers de ce genre aux États-Unis, dont 18 près de Tucson, en Arizona, mais c'est le seul en vente : son prix a été fixé à 395 000 dollars, environ 358 000 euros. Soit la somme qu'il faut débourser pour un appartement de deux pièces à Paris, par exemple. À ce prix-là, vous pourrez vous offrir un bunker sous-terrain capable de résister à une attaque nucléaire avec en prime un terrain de 4,8 hectares dans le désert de Sorona, mais dépourvu de missile, puisque les lieux ont été désaffectés il y a une vingtaine d'années. Il y aura toutefois de sérieux travaux de rénovation à faire si on en croit les photos publiées avec l'annonce, puisque le bâtiment est encore "dans son jus" : peinture écaillée sur les murs et machines rouillées sont au rendez-vous.
Plantation de cannabis et films pornographiques postapocalyptiques
Ce bunker a été acheté en 2002 par Rob Ellis moyennant 200 000 dollars (soit environ 181 000 euros actuellement) à un propriétaire privé, qui avait lui-même acheté ce bien au gouvernement américain. À l'époque, il souhaitait en faire une ferme de serveurs informatiques. Mais il a abandonné ce projet en raison de la crise économique en 2008 et cherche désormais à vendre ce bien. Il a déjà reçu plusieurs offres jugées loufoques : un acheteur souhaitait transformer le bunker en plantation de cannabis et un autre voulait y installer un lieu de tournage pour... films pornographiques postapocalyptiques, relate The Guardian.
Pour les personnes intéressées qui souhaitent se faire une idée des lieux, ou les simples curieux, une visite en 3D en ligne est proposée par l'agence immobilière chargée de la vente. Cette dernière demande que les acheteurs potentiels prouvent qu'ils disposent bien des fonds nécessaires pour acheter le bien et qu'ils signent une décharge de responsabilité. L'unique moyen d'accéder au bunker, situé à 12 mètres de profondeur et qui dispose de plusieurs portes blindées de 2,5 tonnes, est en effet une échelle pas vraiment aux normes de sécurité. À noter que certains sites américains, comme Fox News, indiquent que le bunker a déjà trouvé preneur, alors que l'annonce est toujours en ligne sur le site de l'agence immobilière.
Construit au début des années 1960, le bâtiment est situé non loin de Tucson, en Arizona. Son prix ? 395 000 dollars, soit environ 358 000 euros, rapporte l'« Arizona Daily Star ». Par LePoint.fr
"À vendre : bien atypique, ancienne base nucléaire secrète souterraine, sans vis-à-vis, offrant une vue dégagée sur une immense propriété. Pas sérieux s'abstenir." En forçant le trait, voici l'annonce publiée sur le site de l'agence immobilière Realty Tucson Elite. Repérée par l'Arizona Daily Star, elle concerne un ancien bunker de missile nucléaire, situé à 20 minutes de route de Tucson, aux États-Unis. Jusqu'en 1980, ce bâtiment, construit au début des années 1960, accueillait un missile balistique intercontinental Titan II capable de transporter une tête thermonucléaire W3 sur plus de 10 000 kilomètres.
Il existe 54 bunkers de ce genre aux États-Unis, dont 18 près de Tucson, en Arizona, mais c'est le seul en vente : son prix a été fixé à 395 000 dollars, environ 358 000 euros. Soit la somme qu'il faut débourser pour un appartement de deux pièces à Paris, par exemple. À ce prix-là, vous pourrez vous offrir un bunker sous-terrain capable de résister à une attaque nucléaire avec en prime un terrain de 4,8 hectares dans le désert de Sorona, mais dépourvu de missile, puisque les lieux ont été désaffectés il y a une vingtaine d'années. Il y aura toutefois de sérieux travaux de rénovation à faire si on en croit les photos publiées avec l'annonce, puisque le bâtiment est encore "dans son jus" : peinture écaillée sur les murs et machines rouillées sont au rendez-vous.
Plantation de cannabis et films pornographiques postapocalyptiques
Ce bunker a été acheté en 2002 par Rob Ellis moyennant 200 000 dollars (soit environ 181 000 euros actuellement) à un propriétaire privé, qui avait lui-même acheté ce bien au gouvernement américain. À l'époque, il souhaitait en faire une ferme de serveurs informatiques. Mais il a abandonné ce projet en raison de la crise économique en 2008 et cherche désormais à vendre ce bien. Il a déjà reçu plusieurs offres jugées loufoques : un acheteur souhaitait transformer le bunker en plantation de cannabis et un autre voulait y installer un lieu de tournage pour... films pornographiques postapocalyptiques, relate The Guardian.
Pour les personnes intéressées qui souhaitent se faire une idée des lieux, ou les simples curieux, une visite en 3D en ligne est proposée par l'agence immobilière chargée de la vente. Cette dernière demande que les acheteurs potentiels prouvent qu'ils disposent bien des fonds nécessaires pour acheter le bien et qu'ils signent une décharge de responsabilité. L'unique moyen d'accéder au bunker, situé à 12 mètres de profondeur et qui dispose de plusieurs portes blindées de 2,5 tonnes, est en effet une échelle pas vraiment aux normes de sécurité. À noter que certains sites américains, comme Fox News, indiquent que le bunker a déjà trouvé preneur, alors que l'annonce est toujours en ligne sur le site de l'agence immobilière.
Art Basel : une banane scotchée au mur vendue 120 000 dollars
Avis aux amateurs, une troisième version de l'œuvre de l'artiste Maurizio Cattelan est encore en vente. Au prix de 150 000 dollars, selon Franceinfo
LePoint.fr
C'est une œuvre qui aurait sans doute beaucoup plu à Marcel Duchamp, à qui l'on doit les ready-made (ou objets tout faits) et la Fontaine, un urinoir en porcelaine renversé.
Ici, il s'agit ni plus ni moins d'une banane achetée dans une épicerie de Miami et scotchée au mur, avec un simple et large ruban adhésif gris. The Comedian (Le Comédien) a de quoi surprendre. Mais le plus étonnant reste le prix de cette œuvre. La « banane scotchée » s'est en effet vendue cette semaine à 120 000 dollars, rapporte Franceinfo.
Un « symbole du commerce mondial »
Mieux encore, ce n'est pas une, mais bien deux bananes scotchées qui auraient été vendues, et ce, dès le premier jour de la foire d'art contemporain Art Basel de Miami, aux États-Unis. Et pour cause, cette œuvre existe en trois exemplaires. Selon 20 Minutes, des Français auraient acheté les deux premiers exemplaires à 120 000 dollars chacun. Franceinfo affirme de son côté que pour s'offrir le troisième et dernier, il faudra mettre un peu plus la main à la poche encore puisque 150 000 dollars sont demandés.
Interrogé par CBS, le marchand d'art Emmanuel Perrotin, qui représente l'artiste, a estimé que l'œuvre « nous force à nous interroger sur la valeur qui est accordée aux biens matériels ». Et de renchérir auprès de CNN sur le fait que ces bananes sont « un symbole du commerce mondial, une ambiguïté et un instrument classique de l'humour ».
Des WC en or massif
Comme le rapporte CNN, les éventuels intéressés doivent tout de même savoir qu'aucune instruction claire n'est en revanche fournie concernant la procédure à suivre lorsque les bananes commencent à pourrir. Toutefois, le Miami Herald assure que même si elles sont vendues avec un certificat d'authenticité, les très chers fruits jaunes peuvent être remplacés par d'autres bananes, et ce, à volonté.
Comment expliquer un tel prix pour une simple banane et un bout de ruban adhésif ? Si certains estiment que ces ventes sont la parfaite représentation de ce qu'est devenu le monde de l'art, comme le rapporte CBS, l'identité de l'auteur du concept explique en partie le prix exorbitant. Il s'agit de Maurizio Cattelan.*
À 59 ans, cet artiste italien connu pour son art humoristique et provocateur est une véritable star de l'art contemporain. Maurizio Cattelan est notamment connu pour ses WC en or massif qui ont récemment fait parler d'eux. Installés dans le palais de Blenheim, qui a vu naître un certain Winston Churchill, ces derniers ont été volés en septembre dernier.
Avis aux amateurs, une troisième version de l'œuvre de l'artiste Maurizio Cattelan est encore en vente. Au prix de 150 000 dollars, selon Franceinfo
LePoint.fr
C'est une œuvre qui aurait sans doute beaucoup plu à Marcel Duchamp, à qui l'on doit les ready-made (ou objets tout faits) et la Fontaine, un urinoir en porcelaine renversé.
Ici, il s'agit ni plus ni moins d'une banane achetée dans une épicerie de Miami et scotchée au mur, avec un simple et large ruban adhésif gris. The Comedian (Le Comédien) a de quoi surprendre. Mais le plus étonnant reste le prix de cette œuvre. La « banane scotchée » s'est en effet vendue cette semaine à 120 000 dollars, rapporte Franceinfo.
Un « symbole du commerce mondial »
Mieux encore, ce n'est pas une, mais bien deux bananes scotchées qui auraient été vendues, et ce, dès le premier jour de la foire d'art contemporain Art Basel de Miami, aux États-Unis. Et pour cause, cette œuvre existe en trois exemplaires. Selon 20 Minutes, des Français auraient acheté les deux premiers exemplaires à 120 000 dollars chacun. Franceinfo affirme de son côté que pour s'offrir le troisième et dernier, il faudra mettre un peu plus la main à la poche encore puisque 150 000 dollars sont demandés.
Interrogé par CBS, le marchand d'art Emmanuel Perrotin, qui représente l'artiste, a estimé que l'œuvre « nous force à nous interroger sur la valeur qui est accordée aux biens matériels ». Et de renchérir auprès de CNN sur le fait que ces bananes sont « un symbole du commerce mondial, une ambiguïté et un instrument classique de l'humour ».
Des WC en or massif
Comme le rapporte CNN, les éventuels intéressés doivent tout de même savoir qu'aucune instruction claire n'est en revanche fournie concernant la procédure à suivre lorsque les bananes commencent à pourrir. Toutefois, le Miami Herald assure que même si elles sont vendues avec un certificat d'authenticité, les très chers fruits jaunes peuvent être remplacés par d'autres bananes, et ce, à volonté.
Comment expliquer un tel prix pour une simple banane et un bout de ruban adhésif ? Si certains estiment que ces ventes sont la parfaite représentation de ce qu'est devenu le monde de l'art, comme le rapporte CBS, l'identité de l'auteur du concept explique en partie le prix exorbitant. Il s'agit de Maurizio Cattelan.*
À 59 ans, cet artiste italien connu pour son art humoristique et provocateur est une véritable star de l'art contemporain. Maurizio Cattelan est notamment connu pour ses WC en or massif qui ont récemment fait parler d'eux. Installés dans le palais de Blenheim, qui a vu naître un certain Winston Churchill, ces derniers ont été volés en septembre dernier.
À Marseille, un distributeur de billets donnait le double de la somme demandée…
Ouestfrance
Sacrée agitation autour d’un distributeur de billets de la ville de Marseille. En effet, il "offrait" le double de la somme demandée… Un dysfonctionnement vite corrigé.
Les policiers marseillais ont sans doute plus l’habitude d’intervenir pour des braquages de distributeurs de billets e banque que pour ce qui s’est produit dans cette Caisse d’Épargne de l’avenue de Merlan dans le 14e arrondissement de la capitale des Bouches-du-Rhône.
En effet, les policiers ont été avertis que le fameux distributeur était un peu trop généreux avec les clients. Quand vous lui demandiez 20 €, il vous en donnait… 40 comme le rapporte le journal la Provence. Une info qui a, bien entendu, fait rapidement le tour du quartier. C’est fou comme, d’un coup, un nombre impressionnant de personnes a eu un besoin urgent d’argent liquide… Quand les policiers sont arrivés sur place, on n’était pas loin de l’émeute, rapporte des témoins dans le journal régional qui parle de centaines de personnes attendant de pouvoir accéder au distributeur "père Noël".
Rapidement, les responsables de l’agence bancaire ont fait venir un réparateur qui a mis l’appareil hors service. Tant pis pour les retardataires… À cette heure, aucune explication à ce dysfonctionnement a été donnée par l’établissement bancaire.
Ouestfrance
Sacrée agitation autour d’un distributeur de billets de la ville de Marseille. En effet, il "offrait" le double de la somme demandée… Un dysfonctionnement vite corrigé.
Les policiers marseillais ont sans doute plus l’habitude d’intervenir pour des braquages de distributeurs de billets e banque que pour ce qui s’est produit dans cette Caisse d’Épargne de l’avenue de Merlan dans le 14e arrondissement de la capitale des Bouches-du-Rhône.
En effet, les policiers ont été avertis que le fameux distributeur était un peu trop généreux avec les clients. Quand vous lui demandiez 20 €, il vous en donnait… 40 comme le rapporte le journal la Provence. Une info qui a, bien entendu, fait rapidement le tour du quartier. C’est fou comme, d’un coup, un nombre impressionnant de personnes a eu un besoin urgent d’argent liquide… Quand les policiers sont arrivés sur place, on n’était pas loin de l’émeute, rapporte des témoins dans le journal régional qui parle de centaines de personnes attendant de pouvoir accéder au distributeur "père Noël".
Rapidement, les responsables de l’agence bancaire ont fait venir un réparateur qui a mis l’appareil hors service. Tant pis pour les retardataires… À cette heure, aucune explication à ce dysfonctionnement a été donnée par l’établissement bancaire.
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