La poste autrichienne édite un timbre en… papier toilette
qouestFrance
Objet star du confinement en mars 2020 au début la crise sanitaire du coronavirus, le papier toilette va se retrouver à nouveau sous les feux des projecteurs à partir du 30 octobre en Autriche. La poste va mettre en circulation un timbre composé à 100 % de papier hygiénique, triple épaisseur.
Avec la pandémie de coronavirus, la poste autrichienne serait-elle devenue un peu « timbrée » ? La question peut faire sourire, mais l’organisme public du pays vient en tout cas de dévoiler, très sérieusement et pour la bonne cause, son nouveau timbre qui rend hommage… au papier toilette !
C’est la chaîne de télévision américaine CNN qui a repéré cette curieuse initiative. Ayant connu d’impressionnantes pénuries dans le monde entier en mars lors des premières heures de la crise sanitaire, le papier hygiénique a durablement marqué les esprits en cette année 2020. C’est en tout cas ce que semble penser le service postal d’Autriche.
Triple épaisseur, message de distanciation
La poste autrichienne a donc décidé de commémorer en grande pompe l’un des phénomènes les plus étranges de l’année en commercialisant, à partir du 30 octobre 2020, un timbre imprimé sur du papier hygiénique « triple épaisseur », précise CNN.
Pour joindre l’utile à l’agréable, les concepteurs de ce timbre pas comme les autres ont également voulu en faire un pense-bête rappelant l’importance de la distanciation sociale en temps de pandémie : baptisé « timbre corona », il sera vendu sous forme de feuilles de 10 cm, soit un dixième du mètre recommandé par le gouvernement autrichien comme distance de sécurité pour limiter les contaminations. Le dessin d’un éléphanteau a été choisi pour sensibiliser la population au respect des distances.
« Si vous disposez dix feuilles de timbres bout à bout, vous obtenez une distance totale d’un mètre – ou la longueur d’un bébé éléphant. L’animal est également imprimé sur le timbre », a précisé la poste autrichienne dans un communiqué, vendredi.
300 000 timbres pour soutenir ceux qui ont été touchés par la crise sanitaire
Le timbre sera vendu 2,75 €. Au total pas moins de 300 000 seront mis en circulation en Autriche. Les bénéfices des ventes seront versés à des œuvres de bienfaisance.
« Avec le timbre corona, nous voulons non seulement émettre un bloc de timbres original pour se souvenir de cette année, mais aussi pour soutenir ceux qui ont été particulièrement touchés par cette crise », a déclaré Georg Pölzl, directeur général de la poste autrichienne, dans le communiqué.
Questions existentielles - page 238
San Francisco s'engage contre les appels racistes à la police
RACISME La ville signe une loi donnant le droit aux citoyens de poursuivre les personnes qui appellent la police pour des motifs disciminatoires
20Minutes
Il ne sera bientôt plus possible d’appeler la police pour des motifs racistes à San Francisco, en Californie. Le conseil de surveillance de la ville a adopté à l’unanimité la loi Caren, qui rend illégal le fait d’appeler la police, pour une plainte motivée par des critères raciaux. Après un second vote prévu cette semaine, la loi permettra à quiconque s’étant sentie victime de discrimination à la suite d'un appel aux autorités de porter plainte au civil contre la personne ayant passé le coup de fil.
Cette loi s’inscrit dans un contexte d’éveil des consciences sur les questions raciales aux Etats-Unis, dans un pays encore ébranlé par l’assassinat de George Floyd par la police de Minneapolis. Elle intervient également alors que des villes comme San Francisco réévaluent la manière dont leurs services de police interagissent avec les personnes racisées, ciblées de manière disproportionnée par les forces de l’ordre.
« Nous ne voulons pas que ce qui est arrivé à Emmett Till en 1955, ou que la longue histoire de fausses accusations portées contre les hommes et les garçons noirs dans ce pays […] ne se reproduise à nouveau. Je tiens vraiment à souligner que le 911 n’est pas une ligne de service clientèle destinée à servir le comportement raciste d’autrui », a déclaré Shamann Walton, membre du conseil de surveillance de San Francisco à l’origine de la loi. Il faisait référence à Emmett Till, jeune ado noir de 14 ans, torturé à mort en 1955 à la suite des accusations d’une femme blanche, qui avouera avoir menti.
Un nom choisi avec soin
Non restreinte à la discrimination raciale, la loi s’applique aussi aux discriminations basées sur le sexe, l’âge, la religion, le handicap… Mais c’est surtout son nom, Caren Act, qui marque les esprits. C’est une référence au mème de la « Karen » : sur la Toile, une Karen est une femme blanche d’âge moyen qui a l’impression que tout lui est dû et que tout lui est permis, surtout lorsqu’il s’agit de se plaindre des personnes racisées.
Voici la définition, adaptée à 2020, qu’en donne le New York Times dans un article consacré au phénomène : « Une Karen erre dans les restaurants et les magasins, souvent sans masque en cette période de coronavirus, en crachant son venin et en appelant les autorités pour dénoncer d’autres personnes, généralement de couleur, ce qui les met souvent en danger »…
RACISME La ville signe une loi donnant le droit aux citoyens de poursuivre les personnes qui appellent la police pour des motifs disciminatoires
20Minutes
Il ne sera bientôt plus possible d’appeler la police pour des motifs racistes à San Francisco, en Californie. Le conseil de surveillance de la ville a adopté à l’unanimité la loi Caren, qui rend illégal le fait d’appeler la police, pour une plainte motivée par des critères raciaux. Après un second vote prévu cette semaine, la loi permettra à quiconque s’étant sentie victime de discrimination à la suite d'un appel aux autorités de porter plainte au civil contre la personne ayant passé le coup de fil.
Cette loi s’inscrit dans un contexte d’éveil des consciences sur les questions raciales aux Etats-Unis, dans un pays encore ébranlé par l’assassinat de George Floyd par la police de Minneapolis. Elle intervient également alors que des villes comme San Francisco réévaluent la manière dont leurs services de police interagissent avec les personnes racisées, ciblées de manière disproportionnée par les forces de l’ordre.
« Nous ne voulons pas que ce qui est arrivé à Emmett Till en 1955, ou que la longue histoire de fausses accusations portées contre les hommes et les garçons noirs dans ce pays […] ne se reproduise à nouveau. Je tiens vraiment à souligner que le 911 n’est pas une ligne de service clientèle destinée à servir le comportement raciste d’autrui », a déclaré Shamann Walton, membre du conseil de surveillance de San Francisco à l’origine de la loi. Il faisait référence à Emmett Till, jeune ado noir de 14 ans, torturé à mort en 1955 à la suite des accusations d’une femme blanche, qui avouera avoir menti.
Un nom choisi avec soin
Non restreinte à la discrimination raciale, la loi s’applique aussi aux discriminations basées sur le sexe, l’âge, la religion, le handicap… Mais c’est surtout son nom, Caren Act, qui marque les esprits. C’est une référence au mème de la « Karen » : sur la Toile, une Karen est une femme blanche d’âge moyen qui a l’impression que tout lui est dû et que tout lui est permis, surtout lorsqu’il s’agit de se plaindre des personnes racisées.
Voici la définition, adaptée à 2020, qu’en donne le New York Times dans un article consacré au phénomène : « Une Karen erre dans les restaurants et les magasins, souvent sans masque en cette période de coronavirus, en crachant son venin et en appelant les autorités pour dénoncer d’autres personnes, généralement de couleur, ce qui les met souvent en danger »…
"Tuer" Macron dans un escape game à Toulouse : la gérante en garde à vue
Europe1
La gérante d'une société d'escape game, à Toulouse, a été placée en garde à vue. La raison ? Un scénario d'une de ses salles de jeu propose de "tuer" Emmanuel Macron.
"Tuer" Emmanuel Macron lors d'une partie d'escape game ? La gérante de la société proposant ce "jeu" à Toulouse a été entendue mardi pendant plusieurs heures en garde à vue et l'enquête se poursuit, a indiqué le parquet. "La mise en cause a convenu de la matérialité de ces faits, prétendant cependant ne jamais avoir voulu provoquer directement ou indirectement à la commission d'une quelconque atteinte à l'intégrité physique du président de la République", a précisé le parquet.
L'escape game est un jeu où les participants, enfermés dans une pièce, doivent résoudre des énigmes. Selon La Dépêche du Midi qui avait révélé l'existence de ce scénario atypique dans cette salle de jeu, le chef de l'État y est représenté par un mannequin, le visage tuméfié et ligoté sur une chaise roulante.
"Dépassée par les réactions des clients"
La gérante de l'établissement "s'est dite dépassée par les réactions des clients et par l'emballement médiatique dont elle a ensuite fait l'objet, admettant que ses propos publics ont selon elle parfois dépassé sa pensée", a souligné le parquet. Ayant elle-même fait l'objet de menaces, l'intéressée n'a pas souhaité déposer plainte, a-t-il ajouté.
La garde à vue a été levée dans la journée et l'enquête va se poursuivre par l'audition de clients notamment.
Europe1
La gérante d'une société d'escape game, à Toulouse, a été placée en garde à vue. La raison ? Un scénario d'une de ses salles de jeu propose de "tuer" Emmanuel Macron.
"Tuer" Emmanuel Macron lors d'une partie d'escape game ? La gérante de la société proposant ce "jeu" à Toulouse a été entendue mardi pendant plusieurs heures en garde à vue et l'enquête se poursuit, a indiqué le parquet. "La mise en cause a convenu de la matérialité de ces faits, prétendant cependant ne jamais avoir voulu provoquer directement ou indirectement à la commission d'une quelconque atteinte à l'intégrité physique du président de la République", a précisé le parquet.
L'escape game est un jeu où les participants, enfermés dans une pièce, doivent résoudre des énigmes. Selon La Dépêche du Midi qui avait révélé l'existence de ce scénario atypique dans cette salle de jeu, le chef de l'État y est représenté par un mannequin, le visage tuméfié et ligoté sur une chaise roulante.
"Dépassée par les réactions des clients"
La gérante de l'établissement "s'est dite dépassée par les réactions des clients et par l'emballement médiatique dont elle a ensuite fait l'objet, admettant que ses propos publics ont selon elle parfois dépassé sa pensée", a souligné le parquet. Ayant elle-même fait l'objet de menaces, l'intéressée n'a pas souhaité déposer plainte, a-t-il ajouté.
La garde à vue a été levée dans la journée et l'enquête va se poursuivre par l'audition de clients notamment.
Confinement à Rennes. Chez ce disquaire, « pour tout disque acheté, un rouleau de PQ offert »
OuestFrance
Clin d’œil à la ruée sur le PQ lors du premier confinement. Clin d’œil, aussi, à la désormais célèbre phrase du préfet de la Région Centre, « La bamboche, c’est terminé ! ». À Rennes, les deux disquaires de l’inhabituelle et sympathique boutique « Blind Spot, les Angles Morts » ont décidé de se marrer un peu, ce jeudi 29 octobre, avec une offre promotionnelle déconnante.
« C’est bien de faire rire les gens. Ça les détend un peu. » À Rennes, Fred et Steven, les deux disquaires de l’inhabituelle et sympathique boutique Blind Spot les Angles Morts ont décidé de se marrer un peu, ce jeudi 29 octobre, alors qu’un peu partout en ville, c’est la ruée, avant l’entrée en vigueur du confinement.
Parce que « La bamboche, c’est terminé ! »
Sur leur page Facebook, ils ont affiché « une offre exceptionnelle ! Aujourd’hui pour tout disque acheté, un rouleau de PQ offert. » Le disque choisi pour illustrer cette offre ? La bamboche, groupe culte des années 70. Et surtout, référence malicieuse « à cette fameuse phrase que l’on retrouve partout sur Internet », se marre Steven : « La bamboche, c’est terminé ! », prononcée par le préfet de la région Centre Val de Loire en parlant du couvre-feu, le 22 octobre dernier.
Comme tous les magasins rennais, la boutique Blind Spot ne désemplit pas aujourd’hui. C’est vraiment vrai ce rouleau de PQ offert avec un disque acheté ? « Non, c’est une blague, précise Steven. Des rouleaux, il ne m’en reste plus que trois. » Quant au disque de la Bamboche, n’espérez pas repartir avec : « Je le garde pour la déco. »
OuestFrance
Clin d’œil à la ruée sur le PQ lors du premier confinement. Clin d’œil, aussi, à la désormais célèbre phrase du préfet de la Région Centre, « La bamboche, c’est terminé ! ». À Rennes, les deux disquaires de l’inhabituelle et sympathique boutique « Blind Spot, les Angles Morts » ont décidé de se marrer un peu, ce jeudi 29 octobre, avec une offre promotionnelle déconnante.
« C’est bien de faire rire les gens. Ça les détend un peu. » À Rennes, Fred et Steven, les deux disquaires de l’inhabituelle et sympathique boutique Blind Spot les Angles Morts ont décidé de se marrer un peu, ce jeudi 29 octobre, alors qu’un peu partout en ville, c’est la ruée, avant l’entrée en vigueur du confinement.
Parce que « La bamboche, c’est terminé ! »
Sur leur page Facebook, ils ont affiché « une offre exceptionnelle ! Aujourd’hui pour tout disque acheté, un rouleau de PQ offert. » Le disque choisi pour illustrer cette offre ? La bamboche, groupe culte des années 70. Et surtout, référence malicieuse « à cette fameuse phrase que l’on retrouve partout sur Internet », se marre Steven : « La bamboche, c’est terminé ! », prononcée par le préfet de la région Centre Val de Loire en parlant du couvre-feu, le 22 octobre dernier.
Comme tous les magasins rennais, la boutique Blind Spot ne désemplit pas aujourd’hui. C’est vraiment vrai ce rouleau de PQ offert avec un disque acheté ? « Non, c’est une blague, précise Steven. Des rouleaux, il ne m’en reste plus que trois. » Quant au disque de la Bamboche, n’espérez pas repartir avec : « Je le garde pour la déco. »
Une mairie du Jura découvre des lingots d’or dans la maison qu’elle vient d’acheter
OuestFrance
La municipalité de Morez-Hauts de Bienne a récemment fait l’acquisition d’une maison. Pendant le confinement, les élus et les employés de la commune jurassienne y ont découvert cinq lingots d’or et plus de 1 000 pièces de 20 francs d’or. La valeur du trésor est pour l’instant estimée à 500 000 €.
Laurent Petit, le maire de Morez-Hauts de Bienne (Jura), a fait une révélation sensationnelle, mercredi 28 octobre, lors du dernier conseil municipal de la commune. Il a annoncé que les services de la mairie avaient découvert un trésor dans une maison qui venait d’être rachetée par la Ville, rapporte La Voix du Jura.
Quelques mois plus tôt, la propriétaire de la Maison Jobez, une vaste demeure située à deux pas de la mairie, était morte en laissant un seul hériter. Ce dernier ne souhaitait pas conserver la maison et l’avait proposée à la municipalité qui l’avait rachetée pour 130 000 €.
Placé en sécurité
Des élus et des chefs de service avaient profité du confinement pour vider l’habitation, remplie d’objets divers du rez-de-chaussée au grenier. Un formidable pactole avait alors été mis au jour, dans une chambre du deuxième étage. Cinq lingots d’or et plus de 1 000 pièces de 20 francs d’or y ont été trouvés.
D’après une première estimation, la valeur du trésor serait d’environ 500 000 €. Une expertise des services d’archéologie sera prochainement menée pour effectuer une datation. En attendant, le magot a été mis en lieu sûr, dans un coffre. Selon un avocat consulté par le maire, le trésor appartient bien à la municipalité qui a décidément réalisé une bonne affaire.
OuestFrance
La municipalité de Morez-Hauts de Bienne a récemment fait l’acquisition d’une maison. Pendant le confinement, les élus et les employés de la commune jurassienne y ont découvert cinq lingots d’or et plus de 1 000 pièces de 20 francs d’or. La valeur du trésor est pour l’instant estimée à 500 000 €.
Laurent Petit, le maire de Morez-Hauts de Bienne (Jura), a fait une révélation sensationnelle, mercredi 28 octobre, lors du dernier conseil municipal de la commune. Il a annoncé que les services de la mairie avaient découvert un trésor dans une maison qui venait d’être rachetée par la Ville, rapporte La Voix du Jura.
Quelques mois plus tôt, la propriétaire de la Maison Jobez, une vaste demeure située à deux pas de la mairie, était morte en laissant un seul hériter. Ce dernier ne souhaitait pas conserver la maison et l’avait proposée à la municipalité qui l’avait rachetée pour 130 000 €.
Placé en sécurité
Des élus et des chefs de service avaient profité du confinement pour vider l’habitation, remplie d’objets divers du rez-de-chaussée au grenier. Un formidable pactole avait alors été mis au jour, dans une chambre du deuxième étage. Cinq lingots d’or et plus de 1 000 pièces de 20 francs d’or y ont été trouvés.
D’après une première estimation, la valeur du trésor serait d’environ 500 000 €. Une expertise des services d’archéologie sera prochainement menée pour effectuer une datation. En attendant, le magot a été mis en lieu sûr, dans un coffre. Selon un avocat consulté par le maire, le trésor appartient bien à la municipalité qui a décidément réalisé une bonne affaire.
Coronavirus à Lille : Les Lillois se sont rués dans les sex-shops avant le confinement
20Minutes
PLAISIR Les love stores Lillois ont vu leurs chiffres d’affaires s’envoler dès l’annonce que la France sera de nouveau confinée
La France est de nouveau confinée contre le coronavirus depuis ce vendredi.
La veille, les Lillois ont envahi les magasins du centre-ville pour profiter du dernier jour.
Plusieurs sex-shops ont été littéralement dévalisés par des clients craignant sans doute de s’ennuyer.
Equipés pour se confiner. Dès l’annonce d’un reconfinement du pays pour lutter contre la deuxième vague de l’épidémie de coronavirus, beaucoup de Français se sont mis à faire des stocks, vidant les rayons pâtes et papier toilette des grandes surfaces. Pour autant, les supermarchés ne sont pas les seuls à avoir constaté un afflux soudain de clients. C’est aussi le cas des sex-shops, ou love-stores. A Lille, deux boutiques du centre-ville ont littéralement été dévalisées.
« On a cartonné. On a vu des gens arriver en courant pour acheter un truc puis repartir en courant. Je n’avais jamais vu une telle frénésie en neuf ans d’ouverture à Lille », s’étonne encore Patrick Pruvot, fondateur de la chaîne de boutiques Passage du désir. « Sur la seule journée de jeudi, on a doublé notre chiffre d’affaires, encore mieux qu’un jour de braderie », confirme Maxime Figula, responsable marketing du groupe de love-shops Babylon.
Un peu de tout mais beaucoup
Si le volume d’achat était très important, notamment pour les « consommables », il ne ressort néanmoins pas forcément un produit en particulier. « Beaucoup de lingerie sexy et des jeux pour les couples, connectés ou non », détaille-t-on chez Babylon. « Il a eu un effet d’amplification des tendances comme pour les cosmétiques intimes bio qui se sont très bien vendus », ajoute le fondateur de Passage du Désir. Ce dernier note aussi le succès d’objets comme le Womanizer, un sex toy qui fonctionne à distance en produisant des vibrations dans l’air. « Il y a une décomplexion pour ce produit qui est moralement plus acceptable puisqu’il est non pénétrant, qu’il ne vibre pas et qu’il ne touche pas », avance Patrick Pruvot.
Un tel engouement n’avait pas été ressenti à l’annonce du premier confinement, en mars dernier. « Les ventes avaient légèrement augmenté mais cela n’avait rien à voir avec cette fois-ci », poursuit Maxime Figula. « Peut-être les gens s’étaient-ils ennuyés la première fois, cela a créé une espèce de déclic. Ils se sont dit ''après tout, lâchons nous'' », enchaîne Patrick Pruvot. D’ailleurs, pris de cours par la fermeture des boutiques, les clients s’étaient repliés sur les commandes en ligne. Le trafic avait littéralement explosé entre mars et avril. « Il est resté très important au déconfinement alors même que les boutiques rouvraient et connaissaient aussi un afflux de visiteurs. Cela signifie clairement que nous avons gagné des clients », se félicite Patrick Pruvot.
Le Passage du désir n’a pas hésité à surfer sur la vague, notamment en proposant un « pack confinement » à un prix très suggestif. « On est là pour apporter du bien être et du plaisir. Beaucoup de gens se demandent pourquoi nous ne sommes pas considérés comme des commerces de première nécessité », insiste Patrick Pruvot. Ce sera peut-être le cas, au même titre que les librairies, s’il devait y avoir un troisième confinement.
20Minutes
PLAISIR Les love stores Lillois ont vu leurs chiffres d’affaires s’envoler dès l’annonce que la France sera de nouveau confinée
La France est de nouveau confinée contre le coronavirus depuis ce vendredi.
La veille, les Lillois ont envahi les magasins du centre-ville pour profiter du dernier jour.
Plusieurs sex-shops ont été littéralement dévalisés par des clients craignant sans doute de s’ennuyer.
Equipés pour se confiner. Dès l’annonce d’un reconfinement du pays pour lutter contre la deuxième vague de l’épidémie de coronavirus, beaucoup de Français se sont mis à faire des stocks, vidant les rayons pâtes et papier toilette des grandes surfaces. Pour autant, les supermarchés ne sont pas les seuls à avoir constaté un afflux soudain de clients. C’est aussi le cas des sex-shops, ou love-stores. A Lille, deux boutiques du centre-ville ont littéralement été dévalisées.
« On a cartonné. On a vu des gens arriver en courant pour acheter un truc puis repartir en courant. Je n’avais jamais vu une telle frénésie en neuf ans d’ouverture à Lille », s’étonne encore Patrick Pruvot, fondateur de la chaîne de boutiques Passage du désir. « Sur la seule journée de jeudi, on a doublé notre chiffre d’affaires, encore mieux qu’un jour de braderie », confirme Maxime Figula, responsable marketing du groupe de love-shops Babylon.
Un peu de tout mais beaucoup
Si le volume d’achat était très important, notamment pour les « consommables », il ne ressort néanmoins pas forcément un produit en particulier. « Beaucoup de lingerie sexy et des jeux pour les couples, connectés ou non », détaille-t-on chez Babylon. « Il a eu un effet d’amplification des tendances comme pour les cosmétiques intimes bio qui se sont très bien vendus », ajoute le fondateur de Passage du Désir. Ce dernier note aussi le succès d’objets comme le Womanizer, un sex toy qui fonctionne à distance en produisant des vibrations dans l’air. « Il y a une décomplexion pour ce produit qui est moralement plus acceptable puisqu’il est non pénétrant, qu’il ne vibre pas et qu’il ne touche pas », avance Patrick Pruvot.
Un tel engouement n’avait pas été ressenti à l’annonce du premier confinement, en mars dernier. « Les ventes avaient légèrement augmenté mais cela n’avait rien à voir avec cette fois-ci », poursuit Maxime Figula. « Peut-être les gens s’étaient-ils ennuyés la première fois, cela a créé une espèce de déclic. Ils se sont dit ''après tout, lâchons nous'' », enchaîne Patrick Pruvot. D’ailleurs, pris de cours par la fermeture des boutiques, les clients s’étaient repliés sur les commandes en ligne. Le trafic avait littéralement explosé entre mars et avril. « Il est resté très important au déconfinement alors même que les boutiques rouvraient et connaissaient aussi un afflux de visiteurs. Cela signifie clairement que nous avons gagné des clients », se félicite Patrick Pruvot.
Le Passage du désir n’a pas hésité à surfer sur la vague, notamment en proposant un « pack confinement » à un prix très suggestif. « On est là pour apporter du bien être et du plaisir. Beaucoup de gens se demandent pourquoi nous ne sommes pas considérés comme des commerces de première nécessité », insiste Patrick Pruvot. Ce sera peut-être le cas, au même titre que les librairies, s’il devait y avoir un troisième confinement.
Pour protéger ses biscuits de l’apocalypse, la marque Oreo construit un bunker en Norvège
OuestFrance
La marque de sucrerie Oreo a dévoilé une vidéo dans laquelle la compagnie partage la construction d’une chambre forte en Norvège, au milieu de nulle part. Explications.
Les Îles Svalbar appartiennent à la Norvège et sont situées dans le cercle polaire Arctique (infographie)
Même en pleine apocalypse, avoir de bons gâteaux est important ! C’est sans doute ce que sont dits les fabricants des Oreo.
Ces petits biscuits composés d’une garniture sucrée blanche, placée entre deux biscuits ronds au chocolat et propriété du groupe américain Mondelēz International défraie la chronique.
« Qui allait sauver les Oréo » ?
La raison ? L’annonce par la Nasa que l’astéroïde 2018VP1 pourrait percuter la Terre le 3 novembre prochain. Dans le même temps, l’écrivaine Olivia Gordon, un peu paniquée, s’est demandée sur Twitter « qui allait sauver les Oreo ».
Prenant la remarque au pied de la lettre la firme a alors l’incroyable idée de protéger son Graal de la meilleure des façons possibles : dans un… bunker.
Un projet ambitieux
Si depuis la marque a appris qu’il n’y avait aucune chance pour que la collision arrive, elle a tout de même voulu assurer ses arrières et protéger son héritage.
Il aura donc fallu à peine 30 jours aux architectes norvégiens et à l’équipe spéciale d’Oreo pour imaginer puis construire ce bunker sur les Îles glacées de Svalbard en Norvège.
Des îles stratégiques car elles sont connues pour abriter les bunkers les plus sûrs au monde. En effet, depuis 2008, cet archipel héberge la plus grande réserve mondiale d’échantillons végétaux censée protéger en cas d’apocalypse ou de cataclysme naturel, le patrimoine alimentaire de l’humanité.
Ainsi, des cartons entiers du fameux biscuit sous toutes ses formes : enrobés, double épaisseur, au chocolat, craquant… sont enfermés depuis le 23 octobre dans cette chambre forte.
À la fin de la vidéo, la compagnie révèle les coordonnées GPS exactes du bunker afin que tous les goûtés post-apocalypses ne manquent jamais d’Oreo !
OuestFrance
La marque de sucrerie Oreo a dévoilé une vidéo dans laquelle la compagnie partage la construction d’une chambre forte en Norvège, au milieu de nulle part. Explications.
Les Îles Svalbar appartiennent à la Norvège et sont situées dans le cercle polaire Arctique (infographie)
Même en pleine apocalypse, avoir de bons gâteaux est important ! C’est sans doute ce que sont dits les fabricants des Oreo.
Ces petits biscuits composés d’une garniture sucrée blanche, placée entre deux biscuits ronds au chocolat et propriété du groupe américain Mondelēz International défraie la chronique.
« Qui allait sauver les Oréo » ?
La raison ? L’annonce par la Nasa que l’astéroïde 2018VP1 pourrait percuter la Terre le 3 novembre prochain. Dans le même temps, l’écrivaine Olivia Gordon, un peu paniquée, s’est demandée sur Twitter « qui allait sauver les Oreo ».
Prenant la remarque au pied de la lettre la firme a alors l’incroyable idée de protéger son Graal de la meilleure des façons possibles : dans un… bunker.
Un projet ambitieux
Si depuis la marque a appris qu’il n’y avait aucune chance pour que la collision arrive, elle a tout de même voulu assurer ses arrières et protéger son héritage.
Il aura donc fallu à peine 30 jours aux architectes norvégiens et à l’équipe spéciale d’Oreo pour imaginer puis construire ce bunker sur les Îles glacées de Svalbard en Norvège.
Des îles stratégiques car elles sont connues pour abriter les bunkers les plus sûrs au monde. En effet, depuis 2008, cet archipel héberge la plus grande réserve mondiale d’échantillons végétaux censée protéger en cas d’apocalypse ou de cataclysme naturel, le patrimoine alimentaire de l’humanité.
Ainsi, des cartons entiers du fameux biscuit sous toutes ses formes : enrobés, double épaisseur, au chocolat, craquant… sont enfermés depuis le 23 octobre dans cette chambre forte.
À la fin de la vidéo, la compagnie révèle les coordonnées GPS exactes du bunker afin que tous les goûtés post-apocalypses ne manquent jamais d’Oreo !
Etats-Unis : Une petite ville échappe à la coupure de courant pour factures non payées
20Minutes
FIAT LUX Entre la mauvaise gestion du système électrique de la municipalité et les factures non payées des habitants, la ville d’Itta Bena risquait la coupure de courant
L’histoire aurait pu mal se terminer. Il y a quelques jours seulement, la ville d’Itta Bena, dans le Mississippi, était à deux doigts d’être privée de courant pour la totalité de ses 1.800 résidents. La raison ? Défaut de paiement de facture d’électricité qui s’élève en tout à des centaines de milliers de dollars...
Depuis près d’une décennie, la ville traîne derrière elle une dette auprès de son fournisseur d’électricité qui ne faisait qu’enfler. Avec un système électrique géré et contrôlé par Itta Bena, la ville achète de l’électricité pour la revendre à ses habitants. La municipalité devait en août plus de 800.000 dollars au fournisseur. En septembre, la mairie a même reçu un courrier de son fournisseur l'informant que le courant serait coupé à compter du 1er décembre.
Une nouvelle dévastatrice pour la petite communauté d’Itta Bena, où les habitants avaient pourtant tiré la sonnette d’alarme face à leurs factures d’électricité toujours plus importantes. « On est arrivé au point où les factures d’électricité étaient plus importantes qu’une hypothèque », explique au New York Times une habitante d’Itta Bena, Patricia Young, qui ne s’étonnait plus de voir ses factures atteindre jusqu’à 600 dollars.
A qui la faute ?
Le maire d’Itta Bena, J.D. Brasel, a déclaré qu’une partie de la dette, plus de 300.000 dollars, provient des factures impayées des habitants que la ville doit maintenant couvrir. Selon l’ancienne maire Thelma Collins, qui a quitté ses fonctions en 2017, les dirigeants connaissaient depuis longtemps la dette mais l’ont glissé sous le tapis, en priorisant d’autres projets. Très critique, elle assure que le manque de perspective et d’organisation a aggravé la situation.
Du côté des habitants, on pense que la bataille que traverse Itta Bena pour garder du courant disponible est la conséquence directe d’une mauvaise gestion du système électrique par les dirigeants. « Pourquoi devrions-nous subir un black-out si nous payons nos factures ? » a déclaré Patricia Young.
Que la lumière soit
Pour elle, comme pour le reste des habitants, payer des factures ahurissantes dans ce contexte de pandémie de Covid-19 a rendu sa situation financière encore plus difficile. « Nous avons dû choisir entre faire nos courses, payer les factures des médecins et régler la facture d’électricité. » A l’initiative d’une pétition pour qu’une enquête soit menée au niveau régional, Patricia Young a réussi à rassembler plus de 300 signatures.
Pour l’heure, Itta Bena est sortie d’affaire. Après une audience publique qui a eu lieu le 29 septembre, la commission d’État du Mississippi s’est engagée à maintenir le courant et à travailler avec ses dirigeants pour transférer le contrôle du service électrique d’Itta Bena à une compagnie d’électricité du Mississippi. Ce transfert, que la municipalité a approuvé vendredi, permettra à la commission, plutôt qu’à la ville, de réguler les tarifs payés par les clients. Quant à la dette restante de la ville envers son fournisseur d’électricité… une solution doit encore être trouvée.
20Minutes
FIAT LUX Entre la mauvaise gestion du système électrique de la municipalité et les factures non payées des habitants, la ville d’Itta Bena risquait la coupure de courant
L’histoire aurait pu mal se terminer. Il y a quelques jours seulement, la ville d’Itta Bena, dans le Mississippi, était à deux doigts d’être privée de courant pour la totalité de ses 1.800 résidents. La raison ? Défaut de paiement de facture d’électricité qui s’élève en tout à des centaines de milliers de dollars...
Depuis près d’une décennie, la ville traîne derrière elle une dette auprès de son fournisseur d’électricité qui ne faisait qu’enfler. Avec un système électrique géré et contrôlé par Itta Bena, la ville achète de l’électricité pour la revendre à ses habitants. La municipalité devait en août plus de 800.000 dollars au fournisseur. En septembre, la mairie a même reçu un courrier de son fournisseur l'informant que le courant serait coupé à compter du 1er décembre.
Une nouvelle dévastatrice pour la petite communauté d’Itta Bena, où les habitants avaient pourtant tiré la sonnette d’alarme face à leurs factures d’électricité toujours plus importantes. « On est arrivé au point où les factures d’électricité étaient plus importantes qu’une hypothèque », explique au New York Times une habitante d’Itta Bena, Patricia Young, qui ne s’étonnait plus de voir ses factures atteindre jusqu’à 600 dollars.
A qui la faute ?
Le maire d’Itta Bena, J.D. Brasel, a déclaré qu’une partie de la dette, plus de 300.000 dollars, provient des factures impayées des habitants que la ville doit maintenant couvrir. Selon l’ancienne maire Thelma Collins, qui a quitté ses fonctions en 2017, les dirigeants connaissaient depuis longtemps la dette mais l’ont glissé sous le tapis, en priorisant d’autres projets. Très critique, elle assure que le manque de perspective et d’organisation a aggravé la situation.
Du côté des habitants, on pense que la bataille que traverse Itta Bena pour garder du courant disponible est la conséquence directe d’une mauvaise gestion du système électrique par les dirigeants. « Pourquoi devrions-nous subir un black-out si nous payons nos factures ? » a déclaré Patricia Young.
Que la lumière soit
Pour elle, comme pour le reste des habitants, payer des factures ahurissantes dans ce contexte de pandémie de Covid-19 a rendu sa situation financière encore plus difficile. « Nous avons dû choisir entre faire nos courses, payer les factures des médecins et régler la facture d’électricité. » A l’initiative d’une pétition pour qu’une enquête soit menée au niveau régional, Patricia Young a réussi à rassembler plus de 300 signatures.
Pour l’heure, Itta Bena est sortie d’affaire. Après une audience publique qui a eu lieu le 29 septembre, la commission d’État du Mississippi s’est engagée à maintenir le courant et à travailler avec ses dirigeants pour transférer le contrôle du service électrique d’Itta Bena à une compagnie d’électricité du Mississippi. Ce transfert, que la municipalité a approuvé vendredi, permettra à la commission, plutôt qu’à la ville, de réguler les tarifs payés par les clients. Quant à la dette restante de la ville envers son fournisseur d’électricité… une solution doit encore être trouvée.
Découvert dans des toilettes britanniques, ce miroir appartenait à la reine Marie-Antoinette
OuestFrance
Sans le savoir, une famille de Bristol au Royaume-Uni a hérité dans les années 80 du miroir de la reine Marie-Antoinette. Ayant également appartenu à l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, l’antiquité sera mise aux enchères le 13 novembre pour une valeur départ de 11 000 euros.
Un trésor dans la maison. Au Royaume-Uni, une famille originaire de Bristol a découvert que l’un de ses miroirs de salle de bain appartenait en réalité à la reine Marie-Antoinette, l’épouse du Roi de France, Louis XVI rapporte le journal britannique The Daily Mail.
Un miroir vieux de plus de 200 ans
Propriété de la famille depuis les années 80, l’objet royal était installé au-dessus de la cuvette des toilettes de leur maison.
Les propriétaires de ce miroir ont récemment décidé de le faire estimer. Et c’est là qu’ils se sont aperçus de sa provenance royale… et de son âge avancé, plus de 200 ans.
« C’est remarquable de se dire que ce miroir, avec son histoire incroyable, était posé sur un mur de WC sous des escaliers depuis si longtemps », a déclaré un employé d’East Bristol Auction, la société désormais en charge de la vente de l’antiquité, au Daily Mail.
Acheté en 1950
C’est lors d’un héritage que cette famille anglaise a récupéré le miroir de la dernière reine de France.
D’après le commissaire-priseur Andrew Stowe, interviewé par le Daily Mail, le miroir a été acheté dans les années 1950 par un ami de la famille. Au décès de ce dernier, dans les années 1980, c’est la grand-mère de l’actuel propriétaire du miroir qui en a été hérité.
Le miroir orné d’un cadre en noyer sculpté en forme de feuilles et de vignes sera vendu aux enchères le 13 novembre prochain. Il est actuellement estimé à plus de 10 000 livres sterling (soit un peu plus de 11 000 euros).
Une inscription sur le miroir montre la provenance de l’antiquité où l’on peut lire le nom de Marie-Antoinette. (Photo : East Bristol Auction)
Après la mort du couple royal français en 1793, le miroir de Marie Antoinette se transmet de mains en mains. Il atterrit ensuite sur les murs de la résidence de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie sa femme.
Cette dernière était passionnée par la défunte reine. « Elle a acheté certains de ses objets et a organisé une exposition en son honneur » précise le journal anglais.
Même si un bout de chemin reste sans explication, ce miroir est un véritable morceau d’histoire reliant le présent avec « l’une des figures les plus célèbres du XVIIIe siècle » s’émerveille Andrew Stowe.
OuestFrance
Sans le savoir, une famille de Bristol au Royaume-Uni a hérité dans les années 80 du miroir de la reine Marie-Antoinette. Ayant également appartenu à l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, l’antiquité sera mise aux enchères le 13 novembre pour une valeur départ de 11 000 euros.
Un trésor dans la maison. Au Royaume-Uni, une famille originaire de Bristol a découvert que l’un de ses miroirs de salle de bain appartenait en réalité à la reine Marie-Antoinette, l’épouse du Roi de France, Louis XVI rapporte le journal britannique The Daily Mail.
Un miroir vieux de plus de 200 ans
Propriété de la famille depuis les années 80, l’objet royal était installé au-dessus de la cuvette des toilettes de leur maison.
Les propriétaires de ce miroir ont récemment décidé de le faire estimer. Et c’est là qu’ils se sont aperçus de sa provenance royale… et de son âge avancé, plus de 200 ans.
« C’est remarquable de se dire que ce miroir, avec son histoire incroyable, était posé sur un mur de WC sous des escaliers depuis si longtemps », a déclaré un employé d’East Bristol Auction, la société désormais en charge de la vente de l’antiquité, au Daily Mail.
Acheté en 1950
C’est lors d’un héritage que cette famille anglaise a récupéré le miroir de la dernière reine de France.
D’après le commissaire-priseur Andrew Stowe, interviewé par le Daily Mail, le miroir a été acheté dans les années 1950 par un ami de la famille. Au décès de ce dernier, dans les années 1980, c’est la grand-mère de l’actuel propriétaire du miroir qui en a été hérité.
Le miroir orné d’un cadre en noyer sculpté en forme de feuilles et de vignes sera vendu aux enchères le 13 novembre prochain. Il est actuellement estimé à plus de 10 000 livres sterling (soit un peu plus de 11 000 euros).
Une inscription sur le miroir montre la provenance de l’antiquité où l’on peut lire le nom de Marie-Antoinette. (Photo : East Bristol Auction)
Après la mort du couple royal français en 1793, le miroir de Marie Antoinette se transmet de mains en mains. Il atterrit ensuite sur les murs de la résidence de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie sa femme.
Cette dernière était passionnée par la défunte reine. « Elle a acheté certains de ses objets et a organisé une exposition en son honneur » précise le journal anglais.
Même si un bout de chemin reste sans explication, ce miroir est un véritable morceau d’histoire reliant le présent avec « l’une des figures les plus célèbres du XVIIIe siècle » s’émerveille Andrew Stowe.
Vaucluse : l'appel à l'aide d'un couple confiné… avec une araignée géante
Paniqués, des habitants de Grillon ont tenté de faire appel à la maire, aux pompiers et à la police après la découverte d'un gigantesque arachnide, rapporte France Bleu. Par LePoint.fr
Pour certains, le confinement s'avère plus compliqué que pour d'autres. Jeudi 5 novembre au matin, Michèle et Pierre, des habitants de Grillon (Vaucluse), ont eu la désagréable surprise de découvrir une gigantesque araignée dans le couloir qui mène à leur buanderie, rapporte France Bleu.
Paniqué, le couple a fait appel à la mairie, aux pompiers, à la police municipale, et même à la SPA et à la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte. Mais aucun ne se dit compétent. Michèle et Pierre ont bien tenté de tuer l'arachnide, qui mesure entre huit et dix centimètres, par eux-mêmes. En vain : ils ne sont parvenus qu'à l'assommer et à l'enfermer dans une boîte hermétique.
Une des plus grandes mygales d'Europe
Mais le couple craint que l'araignée n'ait pondu des œufs. Un vétérinaire qu'ils ont contacté leur a confirmé qu'il s'agissait d'une espèce étrangère, sans donner de précision sur sa dangerosité. Finalement, des spécialistes ont contacté France Bleu après avoir visionné des photos, pour leur indiquer que l'arachnide était une des plus grandes mygales d'Europe, répondant au nom de Macrothele calpeiana.
Pas de panique pour les colocataires de cette effrayante araignée cependant : caractérisée par une taille importante, des filières très longues et une coloration d'un noir brillant, elle est inoffensive pour l'homme. Elle est même protégée au niveau européen à cause de sa rareté. Il est donc strictement interdit de la tuer ou de détruire son cocon. Provenant du sud de l'Espagne, cette espèce se répand à travers l'Europe depuis plusieurs années, notamment par le biais du commerce d'oliviers. En France, il est possible de l'apercevoir ponctuellement dans le Sud.
Paniqués, des habitants de Grillon ont tenté de faire appel à la maire, aux pompiers et à la police après la découverte d'un gigantesque arachnide, rapporte France Bleu. Par LePoint.fr
Pour certains, le confinement s'avère plus compliqué que pour d'autres. Jeudi 5 novembre au matin, Michèle et Pierre, des habitants de Grillon (Vaucluse), ont eu la désagréable surprise de découvrir une gigantesque araignée dans le couloir qui mène à leur buanderie, rapporte France Bleu.
Paniqué, le couple a fait appel à la mairie, aux pompiers, à la police municipale, et même à la SPA et à la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte. Mais aucun ne se dit compétent. Michèle et Pierre ont bien tenté de tuer l'arachnide, qui mesure entre huit et dix centimètres, par eux-mêmes. En vain : ils ne sont parvenus qu'à l'assommer et à l'enfermer dans une boîte hermétique.
Une des plus grandes mygales d'Europe
Mais le couple craint que l'araignée n'ait pondu des œufs. Un vétérinaire qu'ils ont contacté leur a confirmé qu'il s'agissait d'une espèce étrangère, sans donner de précision sur sa dangerosité. Finalement, des spécialistes ont contacté France Bleu après avoir visionné des photos, pour leur indiquer que l'arachnide était une des plus grandes mygales d'Europe, répondant au nom de Macrothele calpeiana.
Pas de panique pour les colocataires de cette effrayante araignée cependant : caractérisée par une taille importante, des filières très longues et une coloration d'un noir brillant, elle est inoffensive pour l'homme. Elle est même protégée au niveau européen à cause de sa rareté. Il est donc strictement interdit de la tuer ou de détruire son cocon. Provenant du sud de l'Espagne, cette espèce se répand à travers l'Europe depuis plusieurs années, notamment par le biais du commerce d'oliviers. En France, il est possible de l'apercevoir ponctuellement dans le Sud.
Lille : Les postiers vont-ils vraiment distribuer le courrier en Porsche ?
20Minutes
WTF Une belle et onéreuse voiture de sport aux couleurs de La Poste a attiré les curieux dans le centre-ville de Lille
Une voiture aux couleurs de La Poste était garée devant un bureau en centre-ville de Lille.
Malgré le confinement, l’étonnant bolide n’a pas manqué d’attirer les curieux.
On ne verra pas pour autant bientôt les postiers livrer le courrier à bord de telles voitures.
Fast and facteur. Ce jeudi, en fin de matinée, c’était une rutilante Porsche sérigraphiée aux couleurs de La Poste qui était garée à la place des habituels camions remplis de colis et de lettres devant le bureau de poste situé rue Pierre-Mauroy, à Lille. Le bolide n’a pas manqué d’attirer les regards et d’éveiller la curiosité. Quel était le projet ?
On sait bien que les achats sur Internet et les livraisons ont explosé en ces temps de confinement en raison de l’épidémie de coronavirus. Pour autant, le chiffre d’affaires de La Poste s’est-il à ce point envolé que l’entreprise a décidé de doter ses facteurs de véhicules de luxe pour effectuer leurs tournées ? L’idée aurait pu séduire les principaux intéressés, cependant, il n’en est rien.
Un coup de pub, mais pas de La Poste
Il ne s’agit d’ailleurs pas d’une quelconque opération de communication de l’opérateur historique de courrier. Le véhicule en question, une Porsche 911 4S, appartient à un garage lillois spécialisé dans la vente de véhicules d’occasion de prestige. « On voulait faire un petit coup de pub, un clin d’œil amusant en ces temps plutôt moroses », reconnaît Anthony Desnerck, gérant associé de 4Sautomobiles.
Pour lui, il ne s’agit même pas de la vendre, sa belle allemande de 450 chevaux qui coûte près de 140.000 euros. Parce que, dans sa branche, les affaires continuent de tourner. « Les gens qui avaient de l’argent avant la crise en ont encore aujourd’hui. On vend toujours des voitures, sauf qu’avec le confinement, cela se fait davantage à distance », poursuit le gérant.
Le garage a choisi La Poste pour faire son buzz simplement parce que la couleur de la voiture, « Racing yellow », correspondait. « Nous avons juste ajouté les logos qui seront bien entendu retirés avant la vente du véhicule », s’amuse Anthony Desnerck. Son garage avait déjà fait un coup du même genre, mais avec une Renault Alpine sérigraphiée aux couleurs de la Gendarmerie. « Avec l’accord des autorités », tient à préciser le garagiste.
20Minutes
WTF Une belle et onéreuse voiture de sport aux couleurs de La Poste a attiré les curieux dans le centre-ville de Lille
Une voiture aux couleurs de La Poste était garée devant un bureau en centre-ville de Lille.
Malgré le confinement, l’étonnant bolide n’a pas manqué d’attirer les curieux.
On ne verra pas pour autant bientôt les postiers livrer le courrier à bord de telles voitures.
Fast and facteur. Ce jeudi, en fin de matinée, c’était une rutilante Porsche sérigraphiée aux couleurs de La Poste qui était garée à la place des habituels camions remplis de colis et de lettres devant le bureau de poste situé rue Pierre-Mauroy, à Lille. Le bolide n’a pas manqué d’attirer les regards et d’éveiller la curiosité. Quel était le projet ?
On sait bien que les achats sur Internet et les livraisons ont explosé en ces temps de confinement en raison de l’épidémie de coronavirus. Pour autant, le chiffre d’affaires de La Poste s’est-il à ce point envolé que l’entreprise a décidé de doter ses facteurs de véhicules de luxe pour effectuer leurs tournées ? L’idée aurait pu séduire les principaux intéressés, cependant, il n’en est rien.
Un coup de pub, mais pas de La Poste
Il ne s’agit d’ailleurs pas d’une quelconque opération de communication de l’opérateur historique de courrier. Le véhicule en question, une Porsche 911 4S, appartient à un garage lillois spécialisé dans la vente de véhicules d’occasion de prestige. « On voulait faire un petit coup de pub, un clin d’œil amusant en ces temps plutôt moroses », reconnaît Anthony Desnerck, gérant associé de 4Sautomobiles.
Pour lui, il ne s’agit même pas de la vendre, sa belle allemande de 450 chevaux qui coûte près de 140.000 euros. Parce que, dans sa branche, les affaires continuent de tourner. « Les gens qui avaient de l’argent avant la crise en ont encore aujourd’hui. On vend toujours des voitures, sauf qu’avec le confinement, cela se fait davantage à distance », poursuit le gérant.
Le garage a choisi La Poste pour faire son buzz simplement parce que la couleur de la voiture, « Racing yellow », correspondait. « Nous avons juste ajouté les logos qui seront bien entendu retirés avant la vente du véhicule », s’amuse Anthony Desnerck. Son garage avait déjà fait un coup du même genre, mais avec une Renault Alpine sérigraphiée aux couleurs de la Gendarmerie. « Avec l’accord des autorités », tient à préciser le garagiste.
Au Liban, il découvre depuis 30 ans des fossiles vieux de 100 millions d’années
OuestFrance
Depuis près de 30 ans, dans sa boutique la Mémoire du temps située dans le port phénicien de Byblos au Liban, Joseph Abi Saad raconte l’histoire des fossiles. Il possède l’une des collections les plus importantes du monde. Il va lui-même les chercher dans les montagnes de Byblos.
Sa boutique est nichée dans une vieille rue pavée qui mène au port de Byblos, l’antique port phénicien à une trentaine de kilomètres au nord de Beyrouth. Une cité dont les origines remontent à près de 8 000 ans et où le présent est toujours imprégné des vestiges du passé.
En témoignent les vieilles pierres polies par les pas de générations de visiteurs et les colonnes millénaires toujours debout. Un véritable coin de paradis où l’on peut rester des heures à songer ou rêver en regardant la Méditerranée à l’ombre de magnifiques massifs fleuris.
C’est là que depuis 30 ans, Joseph Abi Saad, tient sa boutique la Mémoire du temps. Elle est incontournable à Byblos et fait partie des lieux, comme la vieille forteresse et le célèbre café Chez Pépé.
En vitrine, s’affichent des dizaines de fossiles figés dans la pierre dont des pièces impressionnantes. Tout comme à l’intérieur de la boutique. « Entrez et laissez-moi vous raconter l’histoire de ses fossiles » dit Joseph qui parle un nombre impressionnant de langues.
Il peut aussi bien s’adresser à des Français qu’à des Allemands, des Américains, des Espagnols…
« Ce sont tous des fossiles vieux de 100 millions d’années qui viennent de la montagne de Byblos et on les recueille environ à une hauteur de 650 m. Ce sont les plus anciens trouvés dans le monde » confie-t-il.
Et n’essayez même pas de mettre sa parole en doute ! « Ils proviennent du crétacé supérieur. À l’époque, la mer recouvrait tout. Puis il y a 40 millions d’années, les mouvements tectoniques ont créé les montagnes du Liban. » Les poissons fossilisés ont quitté les profondeurs pour gagner les hauteurs.
Sous le burin, apparaît le poisson fossilisé. (Photo : Joël Le Gall / Ouest-France)
Comment les met-il en évidence ? Rien de tel qu’une petite démonstration. Il se saisit d’un bloc de pierre à l’allure banale puis d’un marteau et d’un petit burin.
Avec des gestes sûrs et précis qui démontrent une grande expérience, il fend en deux la pierre faite de matière sédimentaire. « Là, vous voyez, il y a un petit poisson fossilisé. » Toujours avec l’aide de son burin, il dégage quelques millimètres de pierre et le squelette du poisson se livre entièrement. Un autre vestige du passé immortalisé dans sa gangue minérale.
Sa boutique présente des dizaines de pièces dont certaines sont très rares.
C’est ainsi qu’il a découvert un nombre incalculable de belles pièces dont certaines dépassent le mètre. « Là vous avez des raies primitives, des requins, des crevettes, des calamars ». Il se dirige vers une autre pièce qui lui tient à cœur.
« Là c’est un poisson qui en a avalé un autre. » Sa digestion a été figée dans le temps. Autre merveille : un petit cœlacanthe. L’un des poissons les plus vieux du monde qui remonterait à 400 millions d’années et dont un exemplaire a été capturé vivant en 1938.
« On dit que c’est lui qui est à l’origine de la transformation entre la vie maritime et la vie terrestre ». Le temps passe et Joseph est capable d’en parler encore pendant des heures.
« Si vous voulez, accompagnez-moi dans la montagne. Je vous montrerais. »
OuestFrance
Depuis près de 30 ans, dans sa boutique la Mémoire du temps située dans le port phénicien de Byblos au Liban, Joseph Abi Saad raconte l’histoire des fossiles. Il possède l’une des collections les plus importantes du monde. Il va lui-même les chercher dans les montagnes de Byblos.
Sa boutique est nichée dans une vieille rue pavée qui mène au port de Byblos, l’antique port phénicien à une trentaine de kilomètres au nord de Beyrouth. Une cité dont les origines remontent à près de 8 000 ans et où le présent est toujours imprégné des vestiges du passé.
En témoignent les vieilles pierres polies par les pas de générations de visiteurs et les colonnes millénaires toujours debout. Un véritable coin de paradis où l’on peut rester des heures à songer ou rêver en regardant la Méditerranée à l’ombre de magnifiques massifs fleuris.
C’est là que depuis 30 ans, Joseph Abi Saad, tient sa boutique la Mémoire du temps. Elle est incontournable à Byblos et fait partie des lieux, comme la vieille forteresse et le célèbre café Chez Pépé.
En vitrine, s’affichent des dizaines de fossiles figés dans la pierre dont des pièces impressionnantes. Tout comme à l’intérieur de la boutique. « Entrez et laissez-moi vous raconter l’histoire de ses fossiles » dit Joseph qui parle un nombre impressionnant de langues.
Il peut aussi bien s’adresser à des Français qu’à des Allemands, des Américains, des Espagnols…
« Ce sont tous des fossiles vieux de 100 millions d’années qui viennent de la montagne de Byblos et on les recueille environ à une hauteur de 650 m. Ce sont les plus anciens trouvés dans le monde » confie-t-il.
Et n’essayez même pas de mettre sa parole en doute ! « Ils proviennent du crétacé supérieur. À l’époque, la mer recouvrait tout. Puis il y a 40 millions d’années, les mouvements tectoniques ont créé les montagnes du Liban. » Les poissons fossilisés ont quitté les profondeurs pour gagner les hauteurs.
Sous le burin, apparaît le poisson fossilisé. (Photo : Joël Le Gall / Ouest-France)
Comment les met-il en évidence ? Rien de tel qu’une petite démonstration. Il se saisit d’un bloc de pierre à l’allure banale puis d’un marteau et d’un petit burin.
Avec des gestes sûrs et précis qui démontrent une grande expérience, il fend en deux la pierre faite de matière sédimentaire. « Là, vous voyez, il y a un petit poisson fossilisé. » Toujours avec l’aide de son burin, il dégage quelques millimètres de pierre et le squelette du poisson se livre entièrement. Un autre vestige du passé immortalisé dans sa gangue minérale.
Sa boutique présente des dizaines de pièces dont certaines sont très rares.
C’est ainsi qu’il a découvert un nombre incalculable de belles pièces dont certaines dépassent le mètre. « Là vous avez des raies primitives, des requins, des crevettes, des calamars ». Il se dirige vers une autre pièce qui lui tient à cœur.
« Là c’est un poisson qui en a avalé un autre. » Sa digestion a été figée dans le temps. Autre merveille : un petit cœlacanthe. L’un des poissons les plus vieux du monde qui remonterait à 400 millions d’années et dont un exemplaire a été capturé vivant en 1938.
« On dit que c’est lui qui est à l’origine de la transformation entre la vie maritime et la vie terrestre ». Le temps passe et Joseph est capable d’en parler encore pendant des heures.
« Si vous voulez, accompagnez-moi dans la montagne. Je vous montrerais. »
Confinement dans le Finistère : Des surfeurs présentent un certificat médical pour aller à l'eau
20Minutes
RENDEZ NOUS LA MER Plusieurs rassemblements avaient été organisés pour réclamer le maintien des sports nautiques
La question est toujours la même. Quel risque de contamination au Covid-19 un surfeur prend-il en allant à l'eau ? Sans doute très peu. Mais les règles sont les règles et toute activité nautique de loisirs est interdite depuis la mise en place de mesures de confinement visant à freiner la propagation de l’épidémie. Samedi, plusieurs rassemblements avaient été organisés par des pratiquants pour réclamer « un accès à la mer » derrière le désormais célèbre slogan « Rendez-vous la mer ». En Bretagne, une cinquantaine de personnes étaient présentes sur le mythique spot de La Torche, dans le Finistère, rapporte Ouest-France.
Encadrés par les gendarmes, ces rassemblements ont également donné lieu à des contrôles de la part des forces de l’ordre. A Audierne, près de la célèbre pointe du Raz, la gendarmerie a eu la surprise de voir plusieurs surfeurs à l’eau leur présenter un certificat médical, justifiant « que la pratique d’un sport nautique leur est nécessaire pendant le confinement pour conserver un bon équilibre psychologique », rapporte Ouest-France. Egalement munis d’une attestation en règle, les amateurs de glisse n’ont pas été verbalisés.
Plusieurs mobilisations ont été recensées samedi sur le littoral français, de la côte basque aux plages de Normandie
20Minutes
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Encadrés par les gendarmes, ces rassemblements ont également donné lieu à des contrôles de la part des forces de l’ordre. A Audierne, près de la célèbre pointe du Raz, la gendarmerie a eu la surprise de voir plusieurs surfeurs à l’eau leur présenter un certificat médical, justifiant « que la pratique d’un sport nautique leur est nécessaire pendant le confinement pour conserver un bon équilibre psychologique », rapporte Ouest-France. Egalement munis d’une attestation en règle, les amateurs de glisse n’ont pas été verbalisés.
Plusieurs mobilisations ont été recensées samedi sur le littoral français, de la côte basque aux plages de Normandie
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