Questions existentielles - page 232

Pour se reposer quelques minutes
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Au volant d’un tracteur pour tirer sa caravane, ce retraité allemand a parcouru la France
OuestFrance
Les gendarmes de la brigade motorisée de Vitry-le-François (Marne) ont eu la surprise de découvrir ce week-end un tracteur tirant une caravane, sur la route nationale 4. Au volant de ce surprenant attelage se trouvait un retraité allemand. L’homme a expliqué avoir quitté son pays le 19 juin pour rallier Rocamadour puis le Mont-Saint-Michel, et qu’il rentrait désormais chez lui, relatait la Gendarmerie de la Marne, lundi 6 juillet.
Un retraité allemand a été intercepté le week-end dernier sur la route nationale 4, entre les communes de Soudé et Coole, dans la Marne, alors qu’il conduisait un tracteur qui tirait… une caravane
L’homme a expliqué aux gendarmes de la brigade motorisée de Vitry-le-François qu’il avait quitté l’Allemagne le 19 juin dernier, relate L’Union, lundi 6 juillet. L’unique occupant de cet étonnant cortège était passé par Rocamadour (Lot) puis avait découvert le Mont-Saint-Michel (Manche), raconte la Gendarmerie de la Marne sur sa page Facebook :
Gendarmerie de la Marne


C'est une intervention peu commune que les militaires de la brigade motorisée de Vitry-le-François ont pu faire ce week-end en contrôlant un tracteur agricole qui tirait une caravane sur la RN4 entre les communes de Soudé et Coole.

Vitesse de pointe : 23Km/h pour cet engin piloté par un retraité allemand qui a débuté son périple le 19 juin en partant d'Allemagne pour se rendre à Rocamadour (46) poursuivre jusqu'au MontSaint-michel (50) et revenir au point de départ en passant par notre département.
Après avoir vérifié le bon fonctionnement des gyrophares oranges sur le tracteur et la caravane et les documents du conducteur, les militaires ont pu l'escorter jusqu'à la commune de Coole afin qu'il soit en sécurité pour continuer son voyage sur les petites routes.
Ce spécialiste de la vitesse lente n'en est pas à son coup d'essai, comme l'atteste son palmarès inscrit sur l'arrière de la caravane "Trecker on Tour 2020"
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Des journaux retrouvés sur le Mont-Blanc, 54 ans après le crash d’Air India
Des journaux qui se trouvaient probablement à bord du Boeing 707 de la compagnie Air India qui s’est écrasé dans le massif du Mont-Blanc le 24 janvier 1966 viennent d’être retrouvés sur le glacier qui en recrache régulièrement des vestiges.
Une douzaine de quotidiens datés du 20 et 21 janvier 1966, parmi lesquels des titres indiens annonçant l’élection d’Indira Gandhi, la première femme Premier ministre du pays, ont été découverts, ce mardi, à Chamonix (Haute-Savoie), par le gérant d’une buvette-restaurant située à 1 350 mètres d’altitude.


Ils sont en phase de séchage mais ils sont en très bon état. On peut les consulter, a indiqué Timothée Mottin, le gardien de la Cabane du Cerro, un petit chalet situé à quarante-cinq minutes de marche du glacier des Bossons, au sommet duquel le Kangchenjunga s’est mystérieusement pulvérisé.

Un coup de chance mais pas un exploit
Le jeune homme de 33 ans explique avoir découvert des exemplaires des quotidiens indiens National Herald et The Economic Times lors d’une promenade à la fin de son service, achevé vers 18 h.

Il s’estime chanceux d’avoir pu retrouver ces journaux en si bon état car le bloc de glace dans lequel ils avaient jusqu’alors été miraculeusement conservés venait probablement tout juste de fondre.

Ils étaient à l’air libre, posés dans la neige, au pied d’une chute de séracs. Ils auraient pu se détériorer très vite, a précisé le trentenaire, qui gère son petit établissement touristique depuis cinq ans.

Ce n’est pas un exploit. À chaque fois que nous nous promenons sur le glacier avec des amis, nous retrouvons des vestiges du crash. Avec l’expérience, on sait où ils se trouvent. Ils sont charriés en fonction de leur taille par le glacier, souligne-t-il.
Des vestiges exposés dans une cabane
Une fois complètement secs, les précieux exemplaires iront rejoindre les quelques autres pièces exposées par Timothée Mottin dans l’enceinte de sa cabane. Parmi elles, une photographie d’un couple d’Indiens qui a beaucoup ému le jeune homme lorsqu’il l’a découverte.

Je préfère les montrer que les cacher dans un grenier en attendant de les vendre, pointe le jeune gardien, en raillant au passage le business qu’ont bâti certains autres trouveurs autour des vestiges du crash de l’appareil, qui avait fait 177 morts il y a près de 55 ans.

En 2017, des restes humains pouvant appartenir à des passagers victimes de l’accident – ou à celui d’un autre avion indien, le Malabar Princess, qui s’est écrasé au même endroit en 1950 – avaient été retrouvés sur le glacier.

Mais la plus retentissante des découvertes avait été celle d’un jeune alpiniste savoyard : en 2013, il était tombé lors d’une randonnée sur une boîte de petites pierres précieuses provenant très probablement de l’accident de 1966.

Les émeraudes, les saphirs et les rubis retrouvés, estimés entre 130 000 et 246 000 euros, avaient été placées sous scellés. Six personnes, parmi lesquels le joaillier londonien Jacob Issacharoff, avaient ensuite revendiqué le précieux trésor.
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Etats-Unis : Comment un cimetière de gigantesques bustes de présidents est devenu hyper hype
20Minutes

ATTRACTION Depuis plus de dix ans, ces bustes abandonnés de présidents fascinent les internautes. Leur propriétaire veut aujourd’hui créer un musée
« On apprend aux enfants à l’école à détester leurs propres pays et à croire que les hommes et les femmes qui l’ont construit ne sont pas des héros mais des mauvaises personnes », déclarait Donald Trump vendredi dernier d’un meeting au ton menaçant, symboliquement situé au pied du controversé Mont Rushmore.

Dans un contexte particulièrement secoué par le mouvement Black Lives Matter, les Américains se retrouvent désormais face à une problématique essentielle : faut-il célébrer, sans nuance, les figures historiques du pays ? Se confronter à leur part d’ombre ? Ou déboulonner les statues de colons et autres figures esclavagistes ? Loin de ces questions cristallisant les tensions, revient régulièrement dans l’actualité un étrange cimetière de bustes présidentiels décrépits et perdus dans un champ de Virginie. Et qui eux, ne font que gagner en popularité.
Racines patriotes
A l’origine, ces impressionnants bustes faisaient partie d’un site touristique de Williamsburg, le Parc des Présidents, où les visiteurs pouvaient déambuler parmi les statues. Une idée d’un commerçant local, inspiré après être passé en voiture devant le Mont Rushmore. Everette “Haley” Newman collabore avec un sculpteur, investit la petite fortune de 10 millions de dollars, et ouvre son parc d’attractions en 2004.
Mais très vite, le parc fait faillite. Caché derrière un motel et éloigné des attractions touristiques de la ville coloniale de Williamsburg, le parc était voué à l’échec dès le départ et ferme ses portes en 2010. Mais alors, que faire de ses énormes sculptures ? C’est là qu’intervient Howard Henkins, le propriétaire du terrain ou « reposent » aujourd’hui les statues.
Alors que le terrain du Parc des Présidents doit être vendu aux enchères, il est engagé pour détruire les bustes avec son broyeur de pierre. Patriotisme à l’américaine oblige, Howard n’a pas le cœur à les détruire. « Au lieu de faire cela, il a dépensé des dizaines de milliers de dollars de sa poche pour déplacer les bustes, qui pèsent près de 10.000 kg chacun, du parc à sa propriété », déclare John Plashal à Business Insider, photographe passionné des lieux abandonnés et qui participe désormais à la réhabilitation du terrain où sont entreposés les bustes.

Des bustes instagrammables
Car plus de dix ans après la fermeture du parc, les statues ne cessent de gagner en popularité. Géants et austères, les bustes présidentiels sont désormais plus populaires que jamais depuis qu’ils sont « abandonnés » et laissés en ruines dans la décharge d’Howard Henkins. « Les gens n’étaient vraiment pas intéressés par ces bustes quand ils étaient au Parc des Présidents », explique John Plashal, pour qui l’image qu’on a de ces présidents en tant qu’hommes puissants est en clair contraste avec l’état actuel des statues.

John Plashal et Howard Henkins sont depuis l’année dernière partenaires et organisent des visites payantes, après plusieurs années où les « visiteurs » s’introduisaient illégalement sur la propriété. « Tellement de personnes utilisent Snapchat et Instagram en utilisant le hashtag #presidentshead, ça se propage comme une traînée de poudre », indique le photographe.
Selon plusieurs médias, Henkins a déclaré qu’il cherchait à restaurer et à transporter les grandes sculptures, mais devrait débourser plus de 1,5 million de dollars pour ce faire. « Nous avons besoin d’aide pour obtenir les fonds nécessaires à la création d’un nouveau musée qui donnera aux bustes présidentiels l’honneur qu’ils méritent et éduquer à propos de nos grands présidents », indique le site d'information sur les bustes.
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« Je voyage dans des pays qui n’existent pas officiellement » : le curieux défi d'un globe-trotteur
Par Paul GRATIAN
Depuis des années, un voyageur brésilien s’est lancé un curieux défi : se rendre dans le plus grand nombre possible de pays non reconnus par la communauté internationale. Kosovo, Somaliland, Abkhazie… Le jeune homme nous raconte ses visites dans ces endroits très méconnus.

C’est au cours d’une année sabbatique passée à voyager à travers le monde que Guilherme Canever s’est pris d’une passion : se rendre dans des pays non reconnus par la communauté internationale.

Nous sommes en 2009 et ce jeune brésilien, alors âgé de 32 ans, décide de quitter son travail de manager dans l’industrie du bois pour partir à l’autre bout du monde. Le voyage est censé durer un an, il s’écoule finalement sur trois années. Puis, d'autres départs ont lieu au fil des ans.

« J’avais prévu de visiter l’Afrique en partant du sud vers le nord. Et puis, quand je suis arrivé en Ethiopie, on m’a parlé du Somaliland, je me suis renseigné et j’ai décidé d’y aller », se remémore-t-il aujourd’hui, joint par téléphone depuis le Brésil. Il s’agit alors de son premier contact avec un pays non reconnu.
« Un fonctionnement si proche des autres pays »

Autoproclamé indépendant de la Somalie en 1991, le Somaliland n’est pas reconnu par la communauté internationale. Une réalité qu’il découvre en allant sur place.

« J’ai quand même dû faire un visa spécial, changer de monnaie, passer une frontière. J’ai commencé à réfléchir sur cette curieuse situation. J’ai vu qu’ils avaient quand même une police, un gouvernement… Cela m’a fait bizarre de voir que l’on pouvait avoir un tel fonctionnement alors qu’aucun pays ne reconnaissait le Somaliland », explique Guilherme Canever, aujourd’hui âgé de 43 ans.
À l’époque, son voyage se poursuit en Asie, puis au Moyen-Orient. Mais cette notion de pays non reconnus lui reste dans la tête. Il se rend donc en Palestine, un pays non reconnu par de nombreux États dont la France, et élevé au rang d’État observateur des Nations unies.

« Après ces voyages, j’ai commencé à lire et à me renseigner sur ce sujet. Et puis, je me suis dit que je voulais en faire un projet. À chaque grand voyage, je partais dans des endroits réclamant leur indépendance avec des États non reconnus », poursuit ce grand baroudeur.

Plus d’une dizaine de pays non reconnus visités

Depuis, les destinations et les pays non reconnus se sont multipliés : République d’Abkhazie, Transnistrie, l’Ossétie du Sud, la Chypre du Nord, le Haut-Karabagh… Il a posé son pied dans plus d’une dizaine d’endroits au total.

Partout, il profite des beaux paysages mais surtout écoute les populations locales, ravies d’échanger avec un étranger. « J’essaie de parler en anglais, ce n’est pas toujours facile mais on s’arrange. Comme ils voient peu de touristes, ils sont très curieux, ils ont envie de partager leurs histoires et leurs cultures, de montrer leur fierté d’habituer dans ses endroits… », développe-t-il.
Si tous ces pays ont en commun de ne pas être reconnus, ils restent très différents. « Bien sûr, la vie est plus difficile, il y a souvent peu d’échanges avec l’extérieur et un manque d’infrastructure. Mais certains pays comme le Kosovo, reconnus par de nombreux pays occidentaux, voient beaucoup de touristes, sont plus développés… », a-t-il constaté.

La difficulté pour obtenir des visas varie. Il faut souvent beaucoup se renseigner en amont, pour savoir comment le pays fonctionne, par quelle frontière il est moins dangereux d’entrer, sachant que ces nations sont souvent en conflit avec certains de leurs voisins…

Des pays très méconnus

De cette série de voyage, le projet est ensuite devenu un livre, sorti en 2016 au Brésil et autopublié en anglais sur Amazon depuis le 4 juillet 2020.

Il y raconte la réalité de la vie des habitants de ses pays souvent très méconnus. « Après avoir vu tous ces endroits très uniques, j’ai eu envie d’écrire ce que j’avais vu et de retranscrire la vie parfois difficile de ces minorités, d’expliquer ses conflits, d’aborder les notions de frontières, de gouvernements… », explique ce père de deux enfants.

« Peu de personnes connaissent ces pays donc je voulais avant tout raconter l’histoire des habitants vivant dans ces pays non reconnus, pour qu’on puisse les comprendre mieux, conclut Guilherme Canever. Car selon moi, le meilleur moyen de résoudre un conflit est d’en parler et d’essayer de comprendre ».
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Ces 3 sœurs ont donné naissance à leur enfant le même jour au même endroit
Par Alexandre CHAUVEL
En l’espace de 4 h 30, ces trois sœurs américaines ont donné naissance à un enfant. Dans le même hôpital, avec le même médecin. Un nouveau record du monde.

Accoucher avec le même médecin que sa sœur, ce n’est pas courant. Mais imaginez que le même praticien fasse accoucher trois sœurs en une seule journée… C’est le nouveau record du monde qui nous vient des États-Unis, à Mansfield, dans l’Ohio.

Déjà un cas précédent

Le dernier cas similaire a eu lieu le 11 mars 1998, et est relaté dans un article l’Associated Press, une agence de presse mondiale dont le siège est aux États-Unis. Trois sœurs de l’Utah avaient accouché le même jour : la première à 7 h 18, la seconde à 15 h 25 et la troisième à 20 h 58. Un événement rare, qui avait une chance sur 50 millions de se produire.

Et il vient de se répéter aux États-Unis. Le 3 juillet dernier, à Mansfield, Daneesha Haynes, Ariel Williams et Ashley Haynes, trois sœurs, ont toutes les trois accouché le même jour. À 10 h 30, Ariel, 20 ans, a donné naissance à sa deuxième fille. À 11 h 26, Ashley, 27 ans, a accouché de son cinquième enfant. Et à 14 h 43, Daneesha Haynes, 25 ans, a à son tour donné naissance à sa fille.
Nouveau record du monde

En l’espace de 4 h 30 donc, les trois sœurs ont accouché : un nouveau record du monde. Pourtant, tout n’était pas prévu comme ça. Ariel Williams devait bien donner naissance vers le 3 juillet à sa fille, mais Ashley Haynes pensait, elle, accoucher le 7 juillet. Et pour Daneesha Haynes, c’est encore différent. Les médecins lui ont expliqué qu’elle était à risque, et qu’il valait mieux déclencher le travail trois semaines plus tôt.

Au Mansfield News Journal, Daneesha Haynes a déclaré : « Pour nous, c’était une course. Une fois que nous avons perdu les eaux, j’ai essayé d’être la première. » Elle sera finalement la dernière, et donna naissance à la plus petite des trois bébés. « Une bénédiction, c’est incroyable. On était époustouflé », a déclaré la jeune femme de 25 ans.

Et ce qui est encore plus impressionnant, c’est que c’est le même médecin, le Dr McMillan qui a fait accoucher les trois sœurs. Elles l’ont ensuite qualifié de héros. La plus heureuse finalement, c’est peut-être Déborah Ware, la mamie des bébés. Elle a vu son nombre de petits-enfants passer de 11 à 14 en une demi-journée ! Et maintenant, le 3 juillet risque d’être une belle fête dans la famille.
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Ouais ! Pas très claire cette affaire !
On me dirait que les trois morpions sont le fruit du même père que je n'en serais pas surpris !
On peut imaginer une soirée d'orgie durant laquelle le gus a honoré de ses faveurs les trois frangines, l'une après l'autre !
Un mec un peu viril et des nénettes un peu gourmandes...
Eh, les filles, elles sont où vos cousines ?
Allez zou ! A la suivante !
Dernière édition par Alphabis le 17 Juil 2020, 10:15, édité 1 fois.
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Gendarmerie : Mugs, clés USB, montres… Les gendarmes ouvrent ce jeudi leur première boutique en ligne
BUSINESS Des produits dérivés sont proposés au grand public sur le site Internet

20 Minutes
La gendarmerie nationale a ouvert jeudi sa boutique en ligne où sont proposés au grand public des produits dérivés.
En faisant cela, elle souhaite développer « son rayonnement auprès de tous les publics et de promouvoir ses valeurs ».
Mugs siglés Garde républicaine, clés USB estampillées GIGN, montres, bouteilles isothermes etc. La gendarmerie nationale a ouvert ce jeudi sa boutique en ligne où sont proposés au grand public des produits dérivés. Dans un communiqué, la gendarmerie nationale explique que par cette boutique en ligne, elle entend « valoriser et diffuser plus largement son image et créer des lignes de produits dérivés pour le grand public ».

Trois marques y sont développées : Gendarmerie nationale, Garde républicaine et Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Ces trois marques ont été déposées à l’INPI (Institut national de la propriété intellectuelle), a-t-on rappelé à la gendarmerie nationale.

Objectif : promouvoir ses valeurs
Pour la gendarmerie, il s’agit aussi « d’accroître son rayonnement auprès de tous les publics et de promouvoir ses valeurs ». Parmi les objets proposés figurent des « produits de sécurité » (clé USB biométrique, extincteurs, trousses de premiers secours, etc.), des « produits utiles et pratiques » (bouteilles isothermes, mugs, montres, pinces multifonctions, etc.), des « produits à destination des plus jeunes » (jouets, déguisements, voitures télécommandées, etc.). Des boutiques éphémères, mises en place lors de grands événements, permettront également d’acquérir ces objets.

« Les bénéfices générés par cette commercialisation sont versés au budget de la gendarmerie et dédiés à l’amélioration des conditions de vie des personnels », précise la gendarmerie nationale.
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Coincé depuis trois mois à l’aéroport, il retrouve sa liberté
Starmag
Roman Trofimov a enfin retrouvé sa liberté. Il était coincé dans un aéroport en raison de la pandémie de coronavirus. Le voilà rentré chez lui.

« Libéré, délivré… » On imagine sans peine Roman Trofimov reprendre les paroles de la chanson du film Disney « la Reine des Neiges ». Cet homme originaire d’Estonie vient de rentrer chez lui. Enfin. Cela faisait trois mois qu’il prenait son mal en patience dans un aéroport. Récit d’une trajectoire très particulière.

Roman Trofimov privé de passeport
Son histoire fait sembler à celle du film « Le Terminal », dans lequel l’acteur Tom Hanks incarnait un homme devenu apatride et coincé pendant plusieurs mois dans un aéroport. L’Estonie, le pays de Roman Trofimov est encore là. Mais, en raison des contraintes sanitaires liées à la pandémie de coronavirus, il s’est retrouvé coincé pendant trois mois dans un aéroport des Philippines.

Tout commence le 20 mars dernier. Son vol de retour de Bangkok fait escale à Manille. Mais, les autorités lui retirent son passeport. En effet, il n’a pas le droit à un visa pour entrer dans le pays et la compagnie Air Asia, qui assurait son transport, cloue tous ses avions au sol. On lui propose un vol à 1.500 euros, une offre qu’il décline, sans réaliser ce qui va lui arriver ensuite.

Dormant sur le sol ou les bancs, il attire finalement l’attention du personnel qui le laisse accéder au salon dédié aux voyageurs de la classe affaire. Mais pendant 3 mois, une expérience qu’il documente sur Facebook, ses repas consistent en quelques biscuits et de l’eau.
Dimanche 5 juillet, à bout de forces, il lance un appel désespéré sur les réseaux sociaux. La compagnie Air Asia ne lui donne pas assez à manger.

Ma santé se détériore à cause de la malnutrition, du manque de soleil et d’air frais. Je n’ai pas d’autre choix que de rendre cela public. La compagnie aérienne me traite comme un criminel, elle n’a aucune considération pour les droits de l’homme et la politesse de base

écrit-il sur Facebook, dans une publication relayée par le site Métro. Jeudi 9 juillet, son calvaire a pris fin et le vol de Roman Trofimov s’est finalement posé à Tallinn, la capitale de l’Estonie.
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Après 30 ans seul sur son île paradisiaque, le Robinson italien est menacé d’expulsion
OuestFrance
Depuis 1989, Mauro Morandi, 81 ans, vit seul sur l’île de Budelli, entre la Sardaigne et la Corse. Mais alors que le lieu paradisiaque s’apprête à être transformé en observatoire environnemental, ce Robinson italien va devoir quitter son île, à son grand désespoir.
Sa rencontre avec l’île de Budelli, entre la Sardaigne et la Corse, remonte à 1989, soit il y a plus de 30 ans. Arrivé sur l’île paradisiaque d’un peu moins de 2 kilomètres carrés après un problème de bateau, Mauro Morandi ne l’a jamais quittée depuis, vivant seul au milieu de la nature.

Mais ce mode de vie hors du temps et du monde pourrait bientôt toucher à sa fin. L’île caractérisée par son sable rose va être transformée en observatoire environnemental. L’éviction de ce navigateur vivant seul depuis 31 ans a été demandée.

Un véritable cauchemar pour celui qui est parfois surnommé le Robinson Crusoé italien, référence au personnage de Daniel Defoe échoué sur une île déserte après un naufrage.
L’ermite est pourtant soucieux de la protection de l’écosystème

D’autant que Mauro Morandi a à cœur de faire attention à l’écosystème de l’île. Le connaissant mieux que quiconque, cet amoureux de la nature prend soin de chaque espèce animale et végétale qui peuple l’île.

Sur son compte Instagram qui compte plus de 50 000 abonnés, il poste d’ailleurs de nombreuses photographies des très beaux paysages de l’île et de la faune et flore locale.
Les autorités locales estiment cependant que l’île devrait devenir un observatoire environnemental pour la protéger encore plus. Déjà, les balades de touristes avaient été interdites sur le sable rose et les visites avaient été limitées.

En 2013, l’entreprise qui détenait l’île a fait faillite. Un projet de vente à un businessman néo-zélandais avait vu le jour mais il s’était heurté à des protestations populaires. En 2016, un juge avait donc décidé qu’elle redevenait publique.

Le parc national de l’Archipel della Maddalena, dans lequel l’île est comprise, a récemment demandé la poursuite des travaux de remise en état des structures existantes, essentiellement la maison du gardien. Ce qui permet aux autorités nationales de demander à Mauro Morandi son départ avant la fin de l’année 2020. Une restauration partielle des lieux avait déjà eu lieu en 2019.

Une pétition lancée

Rien ne prédestinait Mauro Morandi à y vivre. En 1989, son catamaran s’était échoué sur l’île de Budelli. Il devait se rendre dans le Pacifique du Sud. Cet ancien professeur d’éducation physique a découvert que le gardien de l’île allait prendre sa retraite. Alors il a décidé d’abandonner son long voyage, de quitter ses amis avec qui il parcourait les mers. Il a revendu son bateau et a repris ce rôle.
Depuis, l’ermite vit seul dans un abri utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale. La nourriture lui arrive par bateau et le peu électricité dont il a besoin lui parvient grâce à un système d’énergie solaire. Un mode de vie plus que jamais menacé : comme le rapporte la presse locale, l’expulsion semble désormais inévitable.

Une pétition a été lancée le 15 juillet pour protester contre cette éviction. Elle réunit à ce jour plusieurs centaines de signatures. En 2017, une précédente pétition après des premières demandes d’évictions avait rassemblé plusieurs milliers de soutiens partout dans le monde.

« Pas d’autre endroit où vivre »

« Je n’ai pas d’autre endroit où vivre. […] Je suis tellement habitué à vivre au milieu de la nature », a expliqué Mauro Morandi au journal britannique The Guardian . Il n’a pas quitté l’île de Budelli depuis 2018 : il était alors parti rendre visite à ses enfants à Modena, sa ville d’origine, dans le nord de l’Italie.
« Qu’est-ce que je ferais de retour à Modena ? Jouer aux cartes et aller dans les bars comme toute personne âgée de plus de 80 ans ? Ce n’est pas possible », a-t-il regretté, ne souhaitant pas vivre dans une société « qui traite mal la nature »
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Viêtnam : naissance d’un bébé avec le stérilet de sa mère dans la main
LINFO.RE

Fin juin dans le nord du Viêtnam, à l’hôpital international de Hai Phong, un bébé est né avec le stérilet de sa mère qu’il tenait dans ses mains.

Déplacement du stérilet
C’est le VN Express qui a révélé les faits, comme le note le Huffington Post. La mère de 34 ans, qui a déjà accouché de deux enfants avant ce petit dernier, s’est fait poser un stérilet en 2018. Le contraceptif se serait déplacé de sa position initiale et ne s’avérait plus efficace. Il s’agit d’un cas rare… Une telle situation s’était produite en 2017 aux Etats-Unis.

L’Express est entré en contact avec Nasrine Callet, gynécologue à l’Institut Curie-Hôpital René Huguenin. La spécialiste explique comment ce genre de chose peut se produire. Selon elle, la durée de vie du stérilet hormonal est en moyenne de 4 à 5 ans. Ainsi, il est possible "qu’en raison de sa vieillesse, le précédent ait été moins efficace". Dans le cas du bébé américain, la mère était tombée enceinte avant de changer de stérilet… Ce qui n’était pourtant pas le cas de la maman vietnamienne.
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Pas-de-Calais : Le « crop circle » de Vimy a disparu
ALIENS Un agriculteur avait découvert un mystérieux dessin dans l’un de ses champs
20Minutes
Un crop circle a été découvert début juillet dans un champ de blé à Vimy.
Le phénomène a attiré beaucoup de monde sur place et une enquête a été ouverte.
Les investigations n’ont rien donné et le champ a depuis été moissonné.
La vérité est ailleurs. Début juillet, un agriculteur du Pas-de-Calais a découvert un mystérieux et gigantesque dessin dans un de ses champs de blé. Il s’agissait d’un « crop circle », ou cercle de culture, ces fameux motifs que certains pensent être l’œuvre des extraterrestres. Cette apparition a été largement diffusée et commentée sur Internet et les réseaux sociaux, au grand dam de l’exploitant qui « souhaite passer à autre chose. »

C’est vraisemblablement dans la nuit du 4 au 5 juillet dernier que le motif a été dessiné dans le champ de cet agriculteur, situé sur la commune de Vimy. Malgré la taille imposante du dessin, il n’était pas possible de le voir depuis la route nationale, en contrebas du champ. Pour y accéder, il fallait emprunter un chemin de terre cahoteux mais praticable en voiture.

Une enquête de gendarmerie ouverte
D’ailleurs, ce n’est qu’en passant devant sa parcelle que l’exploitant a remarqué que quelque chose clochait. Les gendarmes ont été prévenus et sont venus constater les dégâts. La compagnie de gendarmerie d’Arras a confirmé à 20 Minutes qu’une enquête avait bel et bien été ouverte pour les dégradations commises dans le champ.
La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre, notamment parce que l’agriculteur lui-même a publié des photos du crop circle sur la page Facebook de la ferme. De nombreuses personnes ont fait le déplacement pour venir voir le phénomène. De simples curieux, mais aussi des personnes convaincues de l’origine, sinon extraterrestre, du moins mystérieuse, du crop circle. Le jour où 20 Minutes s’est rendu sur place, le 17 juillet, il n’y avait pas âme qui vive. Néanmoins, selon un confrère d’une chaîne de télévision, il y avait, la veille, des gens qui priaient dans le champ et assuraient ressentir des vibrations particulières au centre du motif.
Le motif en question est un dérivé de la Croix de Malte, aussi appelée croix de Saint-Jean. Ce symbole a notamment été utilisé par l’ordre du Temple (dont les membres étaient les célèbres Templiers), comme décoration par l’armée allemande (la Croix de fer), ou encore par l’association l’Ordre de Malte. Dans le cas du crop circle de Vimy, on ignore la signification que les auteurs ont voulu donner à leur dessin.

Aucun élément pour identifier les auteurs
D’ailleurs, on ignore aussi qui sont les auteurs de ce que les gendarmes considèrent comme des dégradations. Selon nos informations, l’enquête est au point mort et ne risque pas d’avancer. En effet, les militaires ne disposent d’absolument aucun élément qui permettrait d’identifier les coupables : « Pas de témoignage, rien sur place et pas de vidéosurveillance », a confié à 20 Minutes une source à la gendarmerie. De quoi alimenter encore les spéculations sur l’origine surnaturelle du phénomène.

Lassé par l’emballement autour de cette affaire, l’exploitant a supprimé les photos de sa page Facebook et ne souhaite plus qu’on lui parle de crop circle. A ce propos, celui qui se trouvait dans son champ a disparu. Pour le coup, on peut tout de suite écarter la piste des petits hommes verts. L’agriculteur a simplement moissonné la parcelle, parce que c’est la saison et « pour passer à autre chose. »
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Quels sont les noms les plus courants en Europe ?
OuestFrance
En Espagne, ce sont les Garcia. En Italie ? Les Rossi. En Allemagne ? Les Müller ! Et chez nous ? Un linguiste tchèque a recensé les noms les plus courants en Europe.

On appelle cela l’onomastique. Ce drôle de nom cache une passion qui l’est tout autant : l’étude des noms propres et de leur histoire. C’est la passion de Jakub Marian. Artiste de renom, il est aussi linguiste et mathématicien. Et c’est un peu par jeu, avoue-t-il, qu’il s’est mis en tête de lister les patronymes les plus répandus en Europe.

Qu’a-t-il découvert ? Couleurs, métiers, animaux/végétaux, caractéristiques physiques, lieu d’origine… Jakub Marian s’est très vite aperçu que cinq grandes catégories de patronymes se détachaient, une fois traduits.

Les professions

Roumanie : Popa, qui signifie littéralement le « prêtre ».
Ukraine : Melnyk, le « meunier ».

Allemagne et Suisse : Müller, dérivé de miller, le « meunier ».

Luxembourg : Schmit, le « forgeron ».

Royaume-Uni : Smith, que l’on peut également traduire par « forgeron ».

Les colorés

Italie : Rossi, la couleur rouge.

Suisse : Bianchi, la couleur blanche.

Les imagés

Turquie : Yilmaz, qui signifie « brave ».

Russie : Smirnov, preuve que les Russes sont « calmes ».

Hongrie : Nagy, qui signifie le « grand ».

Finlande : Korhonen, pas de chance, leurs ancêtres étaient sans doute « malentendants ».

Lettonie : Berzins, pour « petit bouleau ».

Estonie : Tamm, pour le « chêne ».

Belgique : Dubois, inspiré du… bois, et Peeters, de la pierre.

Espagne : Garcia, signifie tout à la fois « jeune » et « ours » (en basque).

Pays-Bas : De Jong, qui signifie « le jeune ».

Pologne, République Tchèque et Slovénie : Nowak ou Novak, qui signifie « le nouvel homme ».

Portugal : Silva, dérivé de la forêt.

Les fils de…

France : Martin, dérivé de Mars, le dieu romain.

Irlande : Murphy, nom qui découle du descendant de Murchadh (guerrier de la mer).

Bosnie-Herzégovine : Hodzic, qui signifie « enfant de prêcheur ».

Bulgarie, Estonie et Belarus : Ivanov, fils d’Ivan.

Grèce : Papadopoulos, fils de prêtre.

Macédoine : Stojanovski, fil de Stojan.

Monténégro : Popovic, le fils d’un prêtre (proche du Hodzic de son voisin de Bosnie-Herzégovine et de la Grèce).

Serbie : Jovanovic, fils de Jovan.

Suède : Andersson, fils d’Anders.

Norvège : Hansen, fils d’Hans.

Danemark : Nielsen, fil de Niels.

Les nés natifs…

Moldavie : Rusu, qui n’est autre que la traduction du mot « russe ».

Lituanie : Kazlauskas, qui marque l’origine géographique, de Kozlow et du Koslowo.

Albanie : Kelmendi, du nom d’une région albanaise.

Autriche : Gruber, originaire de la région de Grub.

Croatie : Hörvat, tout simplement « croate ».

Slovaquie : Horvath qui, étrangement, signifie « croate »… en langue hongroise !
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