Brest : il s'implante une puce de carte bancaire dans la main pour payer ses achats
RTL
Pour éviter les vols ou les oublis, ce trentenaire vit depuis deux ans avec une puce de carte bancaire dans sa main gauche.
l ne risque pas de l'oublier à la maison. Fabien, un Brestois de 31 ans, vit avec une puce de carte bancaire, implantée dans la main, comme nous l'apprend le site Actu.fr. Pour vivre une "expérience d'humain augmenté" selon l'intéressé, cet informaticien a fait appel en décembre 2022 à Walletmor, une société anglaise, qui commercialise ces puces depuis 3 ans en France. 500 personnes en sont déjà équipées en Europe, selon cette entreprise.
L’implant fait à peine 3 centimètres de longueur, et se trouve au dos de sa main gauche, entre 2 os. Il est composé d'une puce et une antenne, recouvertes par un plastique de protection. Est-ce dangereux ? Pas selon Fabien : "Il n'y a pas d'impact. Je ne mets pas ma vie en danger" assure-t-il à nos confrères, expliquant ne pas sentir cet implant. Il a reçu le matériel par La Poste pour un coût de 120 euros au moment de l'achat, cela coûte aujourd'hui environ 500 euros.
Et c'est ensuite auprès d'un spécialiste des implants que Fabien s'est adressé pour l'opération chirurgicale. L'intervention n'a duré que quelques minutes, elle ne fait pas mal et n'a nécessité qu'un seul point de suture. Il n'a eu qu'à faire le lien avec sa banque pour relier la puce, fonctionnelle pour 9 ans.
Fabien souligne aujourd'hui le côté pratique de pouvoir payer directement avec sa main. Plusieurs avantages s'offrent à lui : éviter les vols de carte bancaire et plus simplement ne pas l'oublier ni la perdre dans la vie au quotidien. Il peut payer tout simplement quand il se rend dans un commerce, bar ou restaurant. Mais dans la limite de 50 euros, c'est le plafond maximum en France pour les paiements sans contact. C'est le même principe qu'avec le téléphone (Apple Pay sur iPhone), qui en revanche n'a pas de plafond.
Questions existentielles - page 308
Huit passagers d’un bateau de croisière abandonnés sur une île au large de l’Afrique après un retard
OuestFrance
Huit personnes ont été laissées sur l’île africaine de São Tomé-et-Príncipe après avoir manqué le départ de leur bateau de croisière en raison d’une excursion retardée, le 27 mars. La compagnie les considérant fautifs, le capitaine n’a pas fait demi-tour pour les embarquer. Depuis, le groupe tente désespérément de rejoindre le bateau.
*
Alors qu’ils effectuaient une croisière en Afrique, huit passagers n’ont pas pu remonter à bord de leur bateau après une escale, rapporte WRAL News , lundi 1er avril 2024, relayé par La Dépêche du Midi . Deux membres du groupe, un couple originaire de Garden City, en Caroline du Sud (États-Unis), ont raconté leur mésaventure au média américain.
Les passagers avaient embarqué à bord du bateau de croisière Norwegian Dawn, le 20 mars dernier. Une semaine plus tard, ils ont participé à une excursion sur l’île de Sao-Tomé-et-Principe, au large de l’Afrique occidentale, accompagnés de six autres personnes. Leur guide a tardé à les ramener au navire et avait prévenu le capitaine du retard des huit passagers. Mais à leur arrivée au port, le bateau avait largué les amarres et le capitaine aurait refusé de les laisser monter à bord.
« Nous n’avions jamais vécu une telle expérience »
La compagnie Norwegian a estimé que le retard leur était imputable. « Huit passagers qui se trouvaient sur l’île dans le cadre d’une excursion privée non organisée par nos soins ont manqué le dernier bateau de retour, et n’ont donc pas respecté l’heure d’embarquement fixée à 15 h (heure locale) », peut-on lire dans le communiqué relayé par CNN . Selon elle, les frais de transport jusqu’au prochain port d’escale disponible pour rejoindre le navire sont également à leur charge.
« Le capitaine aurait pu facilement décider de faire demi-tour avec l’un des bateaux annexes, de nous récupérer, de nous charger en toute sécurité et de poursuivre sa route », a déploré le couple. Une situation incompréhensible pour le groupe, composé, d’après leur témoignage, de plusieurs personnes âgées et d’une femme enceinte. L’un d’eux est cardiaque, un autre est paraplégique, ont-ils précisé à WRAL. « Nous n’avions jamais vécu une telle expérience », ont-ils regretté. Les deux Américains étaient les seuls à avoir une carte bancaire utilisable sur l’île et auraient payé plus de 5 000 dollars en nourriture, soins et hébergement pour subvenir aux besoins du groupe.
Des tentatives pour rejoindre le bateau
Les passagers tentent désespérément de rejoindre le bateau de croisière depuis. Ils auraient ainsi passé 15 heures à voyager à travers six pays pour tenter d’embarquer dimanche en Gambie, selon CNN. Mais le navire n’a pas pu accoster ce jour-là « en raison de conditions météorologiques défavorables, ainsi que de restrictions liées aux marées », a déclaré la compagnie de croisières. Ils devaient tenter leur chance à nouveau, mardi, au Sénégal.
OuestFrance
Huit personnes ont été laissées sur l’île africaine de São Tomé-et-Príncipe après avoir manqué le départ de leur bateau de croisière en raison d’une excursion retardée, le 27 mars. La compagnie les considérant fautifs, le capitaine n’a pas fait demi-tour pour les embarquer. Depuis, le groupe tente désespérément de rejoindre le bateau.
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Alors qu’ils effectuaient une croisière en Afrique, huit passagers n’ont pas pu remonter à bord de leur bateau après une escale, rapporte WRAL News , lundi 1er avril 2024, relayé par La Dépêche du Midi . Deux membres du groupe, un couple originaire de Garden City, en Caroline du Sud (États-Unis), ont raconté leur mésaventure au média américain.
Les passagers avaient embarqué à bord du bateau de croisière Norwegian Dawn, le 20 mars dernier. Une semaine plus tard, ils ont participé à une excursion sur l’île de Sao-Tomé-et-Principe, au large de l’Afrique occidentale, accompagnés de six autres personnes. Leur guide a tardé à les ramener au navire et avait prévenu le capitaine du retard des huit passagers. Mais à leur arrivée au port, le bateau avait largué les amarres et le capitaine aurait refusé de les laisser monter à bord.
« Nous n’avions jamais vécu une telle expérience »
La compagnie Norwegian a estimé que le retard leur était imputable. « Huit passagers qui se trouvaient sur l’île dans le cadre d’une excursion privée non organisée par nos soins ont manqué le dernier bateau de retour, et n’ont donc pas respecté l’heure d’embarquement fixée à 15 h (heure locale) », peut-on lire dans le communiqué relayé par CNN . Selon elle, les frais de transport jusqu’au prochain port d’escale disponible pour rejoindre le navire sont également à leur charge.
« Le capitaine aurait pu facilement décider de faire demi-tour avec l’un des bateaux annexes, de nous récupérer, de nous charger en toute sécurité et de poursuivre sa route », a déploré le couple. Une situation incompréhensible pour le groupe, composé, d’après leur témoignage, de plusieurs personnes âgées et d’une femme enceinte. L’un d’eux est cardiaque, un autre est paraplégique, ont-ils précisé à WRAL. « Nous n’avions jamais vécu une telle expérience », ont-ils regretté. Les deux Américains étaient les seuls à avoir une carte bancaire utilisable sur l’île et auraient payé plus de 5 000 dollars en nourriture, soins et hébergement pour subvenir aux besoins du groupe.
Des tentatives pour rejoindre le bateau
Les passagers tentent désespérément de rejoindre le bateau de croisière depuis. Ils auraient ainsi passé 15 heures à voyager à travers six pays pour tenter d’embarquer dimanche en Gambie, selon CNN. Mais le navire n’a pas pu accoster ce jour-là « en raison de conditions météorologiques défavorables, ainsi que de restrictions liées aux marées », a déclaré la compagnie de croisières. Ils devaient tenter leur chance à nouveau, mardi, au Sénégal.
Perdue depuis juillet, cette chienne a voyagé de la Californie au Michigan avant de retrouver sa famille
Huffpost
Après une mystérieuse disparition il y a 8 mois et un périple digne d’Hollywood, Mishka et ses propriétaires ont finalement pu être réunis.
Ils n’avaient jamais perdu espoir. Après 8 mois de vadrouille, Mishka a enfin été réunie avec sa famille… à plus de 3 700 km de chez elle. Cette petite chienne blanche, âgée de 3 ans, avait disparu en juillet dernier à San Diego, en Californie, à l’extrême sud-ouest des États-Unis. Avant d’être finalement retrouvée près de Detroit, au nord-est du pays.
Après sa mystérieuse disparition, ses propriétaires, Liz et Mehrad Houman, avaient imprimé plus de milles affiches, et se promenaient avec sa laisse en espérant la croiser, raconte l’agence de presse AP. Ce n’est que fin mars que Liz et Mehrad ont eu des nouvelles de Mishka, à l’autre bout du pays, dans le Michigan, un habitant ayant aperçu un chien abandonné et le poil ébouriffé, mais en bonne santé. Sur Facebook, le refuge animalier local explique avoir identifié la chienne grâce à sa puce électronique
Fou de joie, Mehrad a immédiatement traversé les États-Unis en voiture depuis Minneapolis, où il passait ses vacances de Pâques en famille. « Mon enfant me manquait, donc je pense que c’est ce que n’importe qui ferait pour retrouver son enfant », a-t-il raconté à la chaîne locale de Detroit Fox 2. Des vidéos publiées par le refuge montrent Mishka remuer frénétiquement de la queue et se laisser chouchouter par sa famille enfin retrouvée.
Reste à savoir comment la petite chienne s’est retrouvée dans le Michigan. Selon la directrice du refuge, Mishka a sûrement été volée et vendue, étant donné que le numéro de téléphone de ses propriétaires était indiqué sur son collier. « Quelqu’un lui a même appris à s’asseoir », a précisé Liz à Fox 2, très reconnaissante que Mishka soit saine et sauve.
Huffpost
Après une mystérieuse disparition il y a 8 mois et un périple digne d’Hollywood, Mishka et ses propriétaires ont finalement pu être réunis.
Ils n’avaient jamais perdu espoir. Après 8 mois de vadrouille, Mishka a enfin été réunie avec sa famille… à plus de 3 700 km de chez elle. Cette petite chienne blanche, âgée de 3 ans, avait disparu en juillet dernier à San Diego, en Californie, à l’extrême sud-ouest des États-Unis. Avant d’être finalement retrouvée près de Detroit, au nord-est du pays.
Après sa mystérieuse disparition, ses propriétaires, Liz et Mehrad Houman, avaient imprimé plus de milles affiches, et se promenaient avec sa laisse en espérant la croiser, raconte l’agence de presse AP. Ce n’est que fin mars que Liz et Mehrad ont eu des nouvelles de Mishka, à l’autre bout du pays, dans le Michigan, un habitant ayant aperçu un chien abandonné et le poil ébouriffé, mais en bonne santé. Sur Facebook, le refuge animalier local explique avoir identifié la chienne grâce à sa puce électronique
Fou de joie, Mehrad a immédiatement traversé les États-Unis en voiture depuis Minneapolis, où il passait ses vacances de Pâques en famille. « Mon enfant me manquait, donc je pense que c’est ce que n’importe qui ferait pour retrouver son enfant », a-t-il raconté à la chaîne locale de Detroit Fox 2. Des vidéos publiées par le refuge montrent Mishka remuer frénétiquement de la queue et se laisser chouchouter par sa famille enfin retrouvée.
Reste à savoir comment la petite chienne s’est retrouvée dans le Michigan. Selon la directrice du refuge, Mishka a sûrement été volée et vendue, étant donné que le numéro de téléphone de ses propriétaires était indiqué sur son collier. « Quelqu’un lui a même appris à s’asseoir », a précisé Liz à Fox 2, très reconnaissante que Mishka soit saine et sauve.
Bon lundi à vous aussi ! 
"Que l'homme prenne conscience qu'il est lui-même en quête perpétuelle de subsistance dans la main de Dieu, et que, de même que Dieu répond à sa prière, il doit répondre à la prière des pauvres."
― Yosef Karo
― Yosef Karo
Doyen de l’humanité : qui est le nouvel homme le plus âgé au monde ?
RTL
Avec la mort de Juan Vicente Perez le 2 avril 2024, âgé de 114 ans, un nouveau doyen de l'humanité vient d'être nommé. Il s'agit désormais d'un vétéran de la Seconde Guerre mondiale.
"Une vraie pipelette". C'est ainsi que décrit le personnel soignant de la maison de retraite où réside John Alfred Tinniswood, le nouveau doyen de l'humanité. Ce Britannique vit à Southport en Angleterre. Malgré son âge vénérable de 111 ans, le Guinness Book des records précise que le retraité est encore assez autonome.
Arrière-grand-père trois fois, John Alfred Tinniswood s'occupe toujours de ses finances seul et se tient informé de l'actualité, en écoutant tous les jours la radio. Né en 1912, il a donc vécu les deux Guerres mondiales. Engagé à 27 ans lors de la Seconde Guerre mondiale, il est désormais le plus vieux vétéran de ce conflit encore en vie.
"Soit vous vivez longtemps, soit peu de temps, mais ce que vous faites n’importe que peu", estime le doyen, qui estime qu'il doit surtout son âge exceptionnel à de la chance. Mais également à une vie saine puisqu'il a avoué ne pas fumer et ne consommer de l'alcool que très occasionnellement !
RTL
Avec la mort de Juan Vicente Perez le 2 avril 2024, âgé de 114 ans, un nouveau doyen de l'humanité vient d'être nommé. Il s'agit désormais d'un vétéran de la Seconde Guerre mondiale.
"Une vraie pipelette". C'est ainsi que décrit le personnel soignant de la maison de retraite où réside John Alfred Tinniswood, le nouveau doyen de l'humanité. Ce Britannique vit à Southport en Angleterre. Malgré son âge vénérable de 111 ans, le Guinness Book des records précise que le retraité est encore assez autonome.
Arrière-grand-père trois fois, John Alfred Tinniswood s'occupe toujours de ses finances seul et se tient informé de l'actualité, en écoutant tous les jours la radio. Né en 1912, il a donc vécu les deux Guerres mondiales. Engagé à 27 ans lors de la Seconde Guerre mondiale, il est désormais le plus vieux vétéran de ce conflit encore en vie.
"Soit vous vivez longtemps, soit peu de temps, mais ce que vous faites n’importe que peu", estime le doyen, qui estime qu'il doit surtout son âge exceptionnel à de la chance. Mais également à une vie saine puisqu'il a avoué ne pas fumer et ne consommer de l'alcool que très occasionnellement !
Bruce Springsteen signe un mot d’absence à une fan qui a séché l’école pour assister à son concert
OuestFrance
Lors d’un concert à San Francisco (États-Unis) le 31 mars dernier, Bruce Springsteen a pris le temps de signer le mot d’excuse d’une jeune fan qui a séché l’école pour assister au spectacle. Une scène qui a ensuite été partagée sur les réseaux sociaux.
Un motif d’excuse peu commun. Une jeune fan du chanteur Bruce Springsteen s’est présentée à son concert au Chase Center de San Francisco (États-Unis) le 31 mars 2024 avec une affiche blanche. Dessus, elle lui a demandé, en lettres noires, de signer son billet visant à justifier son absence à l’école ce jour-là. La scène, filmée puis diffusée sur les réseaux, a fait sourire les spectateurs et les internautes, comme l’explique le Los Angeles Times .
Un moment privilégié
« Skipping School Sign My Note ? » (« J’ai séché l’école, vous pouvez signer mon mot ? »). C’est par ces mots que la jeune fille a présenté la situation au musicien de 74 ans, alors qu’elle se trouvait dans les premiers rangs du public. Après avoir pris connaissance du message, l’artiste s’est agenouillé pour prendre le temps de signer le mot.
« Je n’ai pas de mots !!!!! Me trouver si près d’un grand homme dépassait toutes mes espérances », a réagi la femme à l’origine de la vidéo. L’interprète de Born in the USA a ensuite conclu cette interaction en envoyant un baiser à sa jeune fan, sous les applaudissements du public.
Plusieurs précédents
« The Boss » est assez coutumier du fait. En 2016, alors qu’il faisait la promotion de son livre, il avait déjà signé le mot d’excuse d’un garçon de 10 ans à Philadelphie avant qu’une situation similaire ne se reproduise la même année.
Bruce Springsteen était avec son groupe E Street Band, composé de 17 musiciens, au Chase Center dans le cadre de sa tournée américaine, reprise en janvier, après avoir été contraint de reporter des dates en septembre en raison d’un ulcère gastro-duodénal. Début avril, il a donné deux concerts à guichets fermés dans cette salle de 18 000 places. Le 25 mars, il était à la Penchanga Arena de San Diego avant de se produire à Los Angeles la semaine suivante. Il se dirige désormais vers la côte Est.
OuestFrance
Lors d’un concert à San Francisco (États-Unis) le 31 mars dernier, Bruce Springsteen a pris le temps de signer le mot d’excuse d’une jeune fan qui a séché l’école pour assister au spectacle. Une scène qui a ensuite été partagée sur les réseaux sociaux.
Un motif d’excuse peu commun. Une jeune fan du chanteur Bruce Springsteen s’est présentée à son concert au Chase Center de San Francisco (États-Unis) le 31 mars 2024 avec une affiche blanche. Dessus, elle lui a demandé, en lettres noires, de signer son billet visant à justifier son absence à l’école ce jour-là. La scène, filmée puis diffusée sur les réseaux, a fait sourire les spectateurs et les internautes, comme l’explique le Los Angeles Times .
Un moment privilégié
« Skipping School Sign My Note ? » (« J’ai séché l’école, vous pouvez signer mon mot ? »). C’est par ces mots que la jeune fille a présenté la situation au musicien de 74 ans, alors qu’elle se trouvait dans les premiers rangs du public. Après avoir pris connaissance du message, l’artiste s’est agenouillé pour prendre le temps de signer le mot.
« Je n’ai pas de mots !!!!! Me trouver si près d’un grand homme dépassait toutes mes espérances », a réagi la femme à l’origine de la vidéo. L’interprète de Born in the USA a ensuite conclu cette interaction en envoyant un baiser à sa jeune fan, sous les applaudissements du public.
Plusieurs précédents
« The Boss » est assez coutumier du fait. En 2016, alors qu’il faisait la promotion de son livre, il avait déjà signé le mot d’excuse d’un garçon de 10 ans à Philadelphie avant qu’une situation similaire ne se reproduise la même année.
Bruce Springsteen était avec son groupe E Street Band, composé de 17 musiciens, au Chase Center dans le cadre de sa tournée américaine, reprise en janvier, après avoir été contraint de reporter des dates en septembre en raison d’un ulcère gastro-duodénal. Début avril, il a donné deux concerts à guichets fermés dans cette salle de 18 000 places. Le 25 mars, il était à la Penchanga Arena de San Diego avant de se produire à Los Angeles la semaine suivante. Il se dirige désormais vers la côte Est.
Pays-Bas : pourquoi les parents perdent volontairement leurs enfants en forêt ?
RTL
Aux Pays-Bas, la pratique du "dropping" est devenue une activité emblématique depuis plusieurs décennies, tant chez les Scouts que dans certaines écoles primaires.
Depuis plusieurs décennies, le "dropping" est devenu une activité emblématique aux Pays-Bas, pratiquée aussi bien par les Scouts que par certaines écoles primaires. Cette tradition consiste à déposer des groupes d'enfants au cœur d'une forêt, souvent en pleine nuit, et de les laisser retrouver leur chemin sans l'aide d'adultes. Cependant, cette pratique soulève des inquiétudes auprès des parents quant à la sécurité et aux conséquences éducatives de cette expédition, qui a déjà provoqué plusieurs incidents depuis son existence.
Récemment mentionné dans un article du média Slate, le 8 avril 2024, le "dropping" est largement associé au mouvement scout néerlandais, qui compte près de 120.000 membres dans le pays. Les jeunes scouts, sont répartis en petits groupes, amenés dans une forêt les yeux bandés, généralement à la tombée de la nuit, aux abords d'un bois ou d'une forêt. Ils doivent ensuite s'organiser pour retrouver leur chemin en utilisant des compétences d'orientation à l'aide d'une boussole.
Développer l'autonomie chez les enfants
Cette activité vise à développer l'autonomie, le travail d'équipe et la prise de responsabilité chez les enfants. Selon Thomas Postma, instituteur et chef scout, "le "dropping" n'est pas seulement un jeu, c'est une expérience d'apprentissage qui permet aux enfants de développer leur sens de l'orientation et leur confiance en eux-mêmes".
Le chef scout affirme auprès de Slate, qu'il ne s'agit n'est pas un jeu comme les autres car "le but est précisément de se perdre et d'apprendre à ne pas en avoir peur". C'est un jeu où personne ne peut échouer. Pour Océane Dorange, une blogueuse française expatriée aux Pays-Bas, cette pratique est une opportunité pour les enfants de se confronter à des défis et d'apprendre à surmonter les obstacles : "Ici, les enfants sont poussés à se responsabiliser très jeunes".
Pia de Jong, écrivaine néerlandaise, ayant vécu plusieurs années en Amérique du Nord, déclare : "Contrairement aux États-Unis, ici les enfants ont de l'instinct, car tout n'est pas pensé pour eux par les adultes."
"La seule règle, c'est de ne pas en organiser dans des zones interdites."
Cependant, cette expédition, soulève des inquiétudes en matière de sécurité. Certains parents s'inquiètent du fait de laisser leurs enfants seuls dans une forêt, surtout la nuit. Dans le passé, certains enfants ont subi des blessures en forêt, ont été percutés par des véhicules ou ont même été oubliés. Depuis, la pratique a été régulée pour la rendre plus sécurisée. Les organisateurs assurent prendre des mesures de précaution, comme l'interdiction de la pratique dans des zones dangereuses.
Selon Mila Mulder, chargée de communication de Scouting Nederland, "la seule règle, c'est de ne pas en organiser dans des zones interdites." Le chef scout, Thomas Postma ajoute à cela que : "les forêts néerlandaises sont toujours balisées" par conséquent, "les enfants ne risquent pas de se perdre très longtemps".
Océane Dorange, qui a grandi dans les reliefs escarpés du Vercors, soutient que les forêts aux Pays-Bas n'ont rien à voir avec les forêts françaises, d'ailleurs : "Ici, la plupart des espaces verts font la taille du bois de Vincennes." Si certains enfants gardent de cette expérience un mauvais souvenir, Linnet, 13 ans, se remémore l'entraide et la cohésion de son groupe durant son expédition "On se soutenait tous mutuellement".
RTL
Aux Pays-Bas, la pratique du "dropping" est devenue une activité emblématique depuis plusieurs décennies, tant chez les Scouts que dans certaines écoles primaires.
Depuis plusieurs décennies, le "dropping" est devenu une activité emblématique aux Pays-Bas, pratiquée aussi bien par les Scouts que par certaines écoles primaires. Cette tradition consiste à déposer des groupes d'enfants au cœur d'une forêt, souvent en pleine nuit, et de les laisser retrouver leur chemin sans l'aide d'adultes. Cependant, cette pratique soulève des inquiétudes auprès des parents quant à la sécurité et aux conséquences éducatives de cette expédition, qui a déjà provoqué plusieurs incidents depuis son existence.
Récemment mentionné dans un article du média Slate, le 8 avril 2024, le "dropping" est largement associé au mouvement scout néerlandais, qui compte près de 120.000 membres dans le pays. Les jeunes scouts, sont répartis en petits groupes, amenés dans une forêt les yeux bandés, généralement à la tombée de la nuit, aux abords d'un bois ou d'une forêt. Ils doivent ensuite s'organiser pour retrouver leur chemin en utilisant des compétences d'orientation à l'aide d'une boussole.
Développer l'autonomie chez les enfants
Cette activité vise à développer l'autonomie, le travail d'équipe et la prise de responsabilité chez les enfants. Selon Thomas Postma, instituteur et chef scout, "le "dropping" n'est pas seulement un jeu, c'est une expérience d'apprentissage qui permet aux enfants de développer leur sens de l'orientation et leur confiance en eux-mêmes".
Le chef scout affirme auprès de Slate, qu'il ne s'agit n'est pas un jeu comme les autres car "le but est précisément de se perdre et d'apprendre à ne pas en avoir peur". C'est un jeu où personne ne peut échouer. Pour Océane Dorange, une blogueuse française expatriée aux Pays-Bas, cette pratique est une opportunité pour les enfants de se confronter à des défis et d'apprendre à surmonter les obstacles : "Ici, les enfants sont poussés à se responsabiliser très jeunes".
Pia de Jong, écrivaine néerlandaise, ayant vécu plusieurs années en Amérique du Nord, déclare : "Contrairement aux États-Unis, ici les enfants ont de l'instinct, car tout n'est pas pensé pour eux par les adultes."
"La seule règle, c'est de ne pas en organiser dans des zones interdites."
Cependant, cette expédition, soulève des inquiétudes en matière de sécurité. Certains parents s'inquiètent du fait de laisser leurs enfants seuls dans une forêt, surtout la nuit. Dans le passé, certains enfants ont subi des blessures en forêt, ont été percutés par des véhicules ou ont même été oubliés. Depuis, la pratique a été régulée pour la rendre plus sécurisée. Les organisateurs assurent prendre des mesures de précaution, comme l'interdiction de la pratique dans des zones dangereuses.
Selon Mila Mulder, chargée de communication de Scouting Nederland, "la seule règle, c'est de ne pas en organiser dans des zones interdites." Le chef scout, Thomas Postma ajoute à cela que : "les forêts néerlandaises sont toujours balisées" par conséquent, "les enfants ne risquent pas de se perdre très longtemps".
Océane Dorange, qui a grandi dans les reliefs escarpés du Vercors, soutient que les forêts aux Pays-Bas n'ont rien à voir avec les forêts françaises, d'ailleurs : "Ici, la plupart des espaces verts font la taille du bois de Vincennes." Si certains enfants gardent de cette expérience un mauvais souvenir, Linnet, 13 ans, se remémore l'entraide et la cohésion de son groupe durant son expédition "On se soutenait tous mutuellement".
Un chien fait la grosse commission en première classe, l'avion se pose en urgence
OuestFrance
La mésaventure s’est déroulée aux États-Unis, lors d’un vol entre Houston et Seattle. Une heure après le décollage, l’avion a dû être détourné vers Dallas pour nettoyer un caca de chien dont l’odeur devenait insoutenable pour tout le monde.
Décidément, on s’amuse bien quand on prend un vol avec Delta Airlines. Après le coup de la panne à mi-chemin entre Atlanta et Baltimore, aux États-Unis, en juillet 2019, qui avait valu un atterrissage d’urgence à cause du cône du moteur qui s’était détaché et coincé dans le réacteur, les passagers ont cette fois dû se poser à Dallas au lieu de Seattle. C’était vendredi 7 avril, et moins d’une heure seulement après le décollage.
En cause ? L’affaire est rapportée par le média américain Business Insider : l’odeur pestilentielle d’un caca de chien manifestement pas tout à fait attaché dans le couloir de l’avion (le chien), juste devant les toilettes de la première classe. Branle-bas de combat dans la carlingue, tout le monde au bord du malaise là-dedans. L’équipage tente une première approche le nez pincé, va bien falloir nettoyer. Rebrousse chemin. On sort les sacs à vomi à cause des haut-le-cœur. Les toilettes sont condamnées, impossible d’enjamber l’objet volant identifié, y’en a partout. Décision est prise de dérouter le Boeing 737 vers l’aéroport international de Dallas Fort Worth.
Les agents au sol s’y collent si l’on peut dire. Tout le monde reste dans l’avion, interdiction de débarquer. Un passager raconte le bal qui se joue alors, les feuilles de papier jetées sur ce qui ressemble presque à une flaque jaunâtre. On imagine le chien un peu péteux quand même, la tête vers le hublot. Les bombes aérosol qui font de la mousse blanche sur l’ensemble. On écoute un passager, un certain Gig_Wizard, auteur d’un joli reportage photo et vidéo diffusé sur le réseau social Reddit : « Les agents d’embarquement n’arrêtaient pas de crier après les passagers et le personnel de cabine ». Il a bien fallu racler, essuyer. Le manège dure plus de deux heures à genoux sur la moquette. Rien à se mettre sous la dent compte tenu de la durée de l’opération : « La nourriture s’est détériorée, il ne restait donc que très peu de collations. »
« Les gens qui aiment les chiens sont fous »
L’avion a fini par repartir mais il a fallu être solide si l’on en croit les dires du monsieur : « L’odeur n’a jamais vraiment disparu. » La compagnie aérienne, elle, a confirmé mais n’a pas voulu commenter. Cet épisode douloureux a évidemment levé une petite brise de commentaires. United Airlines autorise les chiens d’assistance en cabine. Et lors des vols domestiques, les animaux de compagnie sont acceptés dès lors qu’ils tiennent dans un sac sous le siège du passager.
Alors, comment cela a-t-il pu arriver ? Mystère. « Les gens qui aiment les chiens sont fous et j’en ai marre de la mentalité des propriétaires qui se disent c’est mon bébé. C’est un animal. Et le propriétaire devrait être obligé de nettoyer ce gâchis. Emmenez un chien dans un avion et nettoyez vos dégâts ! », pense l’un. « Tous les animaux doivent être soit dans une caisse, soit dans la soute, dit un autre. Seuls les animaux d’assistance devraient être réservés aux aveugles. Vous n’avez pas besoin d’un chien de soutien émotionnel pour un p… de voyage en avion. »
Chez Delta Airlines, on a une propension étonnante à marcher dedans, tout de même. En septembre dernier, un avion qui devait relier Atlanta à Barcelone avait dû rebrousser chemin. Cette fois à cause d’un passager qui souffrait de diarrhée aiguë et n’avait pas eu le temps d’atteindre les toilettes du fond. Le pilote avait justifié son choix en parlant d’« un risque biologique ». Changement d’avion. Huit heures de retard à l’arrivée.
OuestFrance
La mésaventure s’est déroulée aux États-Unis, lors d’un vol entre Houston et Seattle. Une heure après le décollage, l’avion a dû être détourné vers Dallas pour nettoyer un caca de chien dont l’odeur devenait insoutenable pour tout le monde.
Décidément, on s’amuse bien quand on prend un vol avec Delta Airlines. Après le coup de la panne à mi-chemin entre Atlanta et Baltimore, aux États-Unis, en juillet 2019, qui avait valu un atterrissage d’urgence à cause du cône du moteur qui s’était détaché et coincé dans le réacteur, les passagers ont cette fois dû se poser à Dallas au lieu de Seattle. C’était vendredi 7 avril, et moins d’une heure seulement après le décollage.
En cause ? L’affaire est rapportée par le média américain Business Insider : l’odeur pestilentielle d’un caca de chien manifestement pas tout à fait attaché dans le couloir de l’avion (le chien), juste devant les toilettes de la première classe. Branle-bas de combat dans la carlingue, tout le monde au bord du malaise là-dedans. L’équipage tente une première approche le nez pincé, va bien falloir nettoyer. Rebrousse chemin. On sort les sacs à vomi à cause des haut-le-cœur. Les toilettes sont condamnées, impossible d’enjamber l’objet volant identifié, y’en a partout. Décision est prise de dérouter le Boeing 737 vers l’aéroport international de Dallas Fort Worth.
Les agents au sol s’y collent si l’on peut dire. Tout le monde reste dans l’avion, interdiction de débarquer. Un passager raconte le bal qui se joue alors, les feuilles de papier jetées sur ce qui ressemble presque à une flaque jaunâtre. On imagine le chien un peu péteux quand même, la tête vers le hublot. Les bombes aérosol qui font de la mousse blanche sur l’ensemble. On écoute un passager, un certain Gig_Wizard, auteur d’un joli reportage photo et vidéo diffusé sur le réseau social Reddit : « Les agents d’embarquement n’arrêtaient pas de crier après les passagers et le personnel de cabine ». Il a bien fallu racler, essuyer. Le manège dure plus de deux heures à genoux sur la moquette. Rien à se mettre sous la dent compte tenu de la durée de l’opération : « La nourriture s’est détériorée, il ne restait donc que très peu de collations. »
« Les gens qui aiment les chiens sont fous »
L’avion a fini par repartir mais il a fallu être solide si l’on en croit les dires du monsieur : « L’odeur n’a jamais vraiment disparu. » La compagnie aérienne, elle, a confirmé mais n’a pas voulu commenter. Cet épisode douloureux a évidemment levé une petite brise de commentaires. United Airlines autorise les chiens d’assistance en cabine. Et lors des vols domestiques, les animaux de compagnie sont acceptés dès lors qu’ils tiennent dans un sac sous le siège du passager.
Alors, comment cela a-t-il pu arriver ? Mystère. « Les gens qui aiment les chiens sont fous et j’en ai marre de la mentalité des propriétaires qui se disent c’est mon bébé. C’est un animal. Et le propriétaire devrait être obligé de nettoyer ce gâchis. Emmenez un chien dans un avion et nettoyez vos dégâts ! », pense l’un. « Tous les animaux doivent être soit dans une caisse, soit dans la soute, dit un autre. Seuls les animaux d’assistance devraient être réservés aux aveugles. Vous n’avez pas besoin d’un chien de soutien émotionnel pour un p… de voyage en avion. »
Chez Delta Airlines, on a une propension étonnante à marcher dedans, tout de même. En septembre dernier, un avion qui devait relier Atlanta à Barcelone avait dû rebrousser chemin. Cette fois à cause d’un passager qui souffrait de diarrhée aiguë et n’avait pas eu le temps d’atteindre les toilettes du fond. Le pilote avait justifié son choix en parlant d’« un risque biologique ». Changement d’avion. Huit heures de retard à l’arrivée.
Montpellier : Le CHU lui annonce qu’il est mort… mais qu’il doit venir retirer ses affaires lui-même
20Minutes
LÈVE-TOI ET MARCHE•Après deux mois d’hospitalisation, Max a eu la surprise d’apprendre… son décès, heureusement sans subir davantage de difficultés administratives
Un homme âgé de 90 ans a eu la surprise d’apprendre qu’il était décédé, explique-t-il, lettre à l’appui, à Midi Libre. Hospitalisé pendant deux mois au CHU de Montpellier, Max en est pourtant ressorti bien vivant. Mais pas pour tout le monde.
Outre l’annonce de son décès, le 27 décembre 2023, l’administration lui a également demandé, dans cette lettre postée fin mars… de venir récupérer en personne ses affaires. « J’ai d’abord cru à un poisson d’avril », sourit le retraité.
Aucune excuse de l’hôpital
La mésaventure n’a heureusement pas eu d’autres conséquences pour cet habitant de Lunel, dans l’Hérault. « Si on avait bloqué mon compte bancaire, j’aurais vraiment été mort là », respire cet ancien exploitant de salles de cinéma. Quelques personnes ont néanmoins eu la douleur d’apprendre son décès dans un avis publié automatiquement sur Internet… Les mêmes ont finalement eu la bonne la surprise de le savoir de retour parmi les morts.
Max n’envisage pas de porter plainte pour autant. « Les avocats ont assez de travail pour que j’en rajoute surtout pour une peccadille, ils ne m’ont fait aucun préjudice », explique-t-il. Celui qui se définit avec humour comme un « cadavre exquis » s’étonne toutefois de n’avoir reçu aucune excuse de la direction de l’hôpital.
20Minutes
LÈVE-TOI ET MARCHE•Après deux mois d’hospitalisation, Max a eu la surprise d’apprendre… son décès, heureusement sans subir davantage de difficultés administratives
Un homme âgé de 90 ans a eu la surprise d’apprendre qu’il était décédé, explique-t-il, lettre à l’appui, à Midi Libre. Hospitalisé pendant deux mois au CHU de Montpellier, Max en est pourtant ressorti bien vivant. Mais pas pour tout le monde.
Outre l’annonce de son décès, le 27 décembre 2023, l’administration lui a également demandé, dans cette lettre postée fin mars… de venir récupérer en personne ses affaires. « J’ai d’abord cru à un poisson d’avril », sourit le retraité.
Aucune excuse de l’hôpital
La mésaventure n’a heureusement pas eu d’autres conséquences pour cet habitant de Lunel, dans l’Hérault. « Si on avait bloqué mon compte bancaire, j’aurais vraiment été mort là », respire cet ancien exploitant de salles de cinéma. Quelques personnes ont néanmoins eu la douleur d’apprendre son décès dans un avis publié automatiquement sur Internet… Les mêmes ont finalement eu la bonne la surprise de le savoir de retour parmi les morts.
Max n’envisage pas de porter plainte pour autant. « Les avocats ont assez de travail pour que j’en rajoute surtout pour une peccadille, ils ne m’ont fait aucun préjudice », explique-t-il. Celui qui se définit avec humour comme un « cadavre exquis » s’étonne toutefois de n’avoir reçu aucune excuse de la direction de l’hôpital.
Un joueur fouetté par un spectateur lors de la Supercoupe d'Arabie saoudite
LaPresse.ca
Un partisan qui assistait à la finale de la Super Coupe d'Arabie saoudite a fouetté un joueur du club d'Al-Ittihad quelques instants après le coup de sifflet final, jeudi soir.
L'incident s'est produit après la défaite d'Al-Ittihad face à Al-Hilal (4 à 1) au stade Mohammed-ben-Zayed d'Abou Dabi (Émirats arabes unis).
Une vidéo montre l'attaquant marocain Abderrazak Hamdallah qui lance de l'eau sur le partisan. Ce dernier sort alors un long fouet et frappe le joueur à deux reprises.
Hamdallah a marqué l'unique but de son équipe lors de cette rencontre.
LaPresse.ca
Un partisan qui assistait à la finale de la Super Coupe d'Arabie saoudite a fouetté un joueur du club d'Al-Ittihad quelques instants après le coup de sifflet final, jeudi soir.
L'incident s'est produit après la défaite d'Al-Ittihad face à Al-Hilal (4 à 1) au stade Mohammed-ben-Zayed d'Abou Dabi (Émirats arabes unis).
Une vidéo montre l'attaquant marocain Abderrazak Hamdallah qui lance de l'eau sur le partisan. Ce dernier sort alors un long fouet et frappe le joueur à deux reprises.
Hamdallah a marqué l'unique but de son équipe lors de cette rencontre.
Colombie : Le maire de Bogota conseille aux couples de se « laver ensemble » pour économiser de l’eau20Minutes
RATIONNEMENT•Le maire de la capitale colombienne a donné plusieurs conseils aux habitants pour économiser de l’eau potable pendant cette période de rationnement
Il a de la suite dans les idées. Alors que Bogota (Colombie) est entrée ce jeudi dans une période de rationnement de l’eau potable, le maire de la ville Carlos Fernando Galan a donné ses conseils pour aider les habitants à rationner l’eau.
Interrogé par la télévision colombienne Noticias Caracol, l’édile a évidemment conseillé aux Colombiens de passer moins de temps sous la douche. « Je me douche en trois minutes », a-t-il déclaré à titre d’exemple, fier de ce qu’il considère comme un petit record.
Une douche à deux contre la sécheresse
Autre recommandation : « Si vous ne sortez pas, ne vous lavez pas ». « Si dimanche vous ne sortez pas de chez vous, profitez-en pour ne pas vous laver », a expliqué le maire de Bogota. « Ce message aiderait beaucoup si nous pouvons encourager un grand nombre de personnes à réduire drastiquement la durée de leur douche. »
Le dernier conseil de l’édile colombien a de quoi faire sourire. Il conseille en effet aux couples de se doucher ensemble. « C’est un exercice pédagogique pour économiser de l’eau », a-t-il déclaré à la télévision. « Ces actions peuvent beaucoup nous aider. Les changements comportementaux sont la clé. »
Les autorités de Bogota ont décidé de rationner l’eau potable de la ville jusqu’à nouvel ordre, à cause d’un épisode de sécheresse causé par le phénomène El Nino, précise Ouest France. La ville a été divisée en neuf secteurs, et chaque secteur sera privé d’eau potable durant vingt-quatre heures à tour de rôle. Un bilan sera fait tous les 15 jours pour voir si la mesure doit être reconduite.
RATIONNEMENT•Le maire de la capitale colombienne a donné plusieurs conseils aux habitants pour économiser de l’eau potable pendant cette période de rationnement
Il a de la suite dans les idées. Alors que Bogota (Colombie) est entrée ce jeudi dans une période de rationnement de l’eau potable, le maire de la ville Carlos Fernando Galan a donné ses conseils pour aider les habitants à rationner l’eau.
Interrogé par la télévision colombienne Noticias Caracol, l’édile a évidemment conseillé aux Colombiens de passer moins de temps sous la douche. « Je me douche en trois minutes », a-t-il déclaré à titre d’exemple, fier de ce qu’il considère comme un petit record.
Une douche à deux contre la sécheresse
Autre recommandation : « Si vous ne sortez pas, ne vous lavez pas ». « Si dimanche vous ne sortez pas de chez vous, profitez-en pour ne pas vous laver », a expliqué le maire de Bogota. « Ce message aiderait beaucoup si nous pouvons encourager un grand nombre de personnes à réduire drastiquement la durée de leur douche. »
Le dernier conseil de l’édile colombien a de quoi faire sourire. Il conseille en effet aux couples de se doucher ensemble. « C’est un exercice pédagogique pour économiser de l’eau », a-t-il déclaré à la télévision. « Ces actions peuvent beaucoup nous aider. Les changements comportementaux sont la clé. »
Les autorités de Bogota ont décidé de rationner l’eau potable de la ville jusqu’à nouvel ordre, à cause d’un épisode de sécheresse causé par le phénomène El Nino, précise Ouest France. La ville a été divisée en neuf secteurs, et chaque secteur sera privé d’eau potable durant vingt-quatre heures à tour de rôle. Un bilan sera fait tous les 15 jours pour voir si la mesure doit être reconduite.
Mamie en retard, train hors de contrôle… Ce cheminot de la SNCF raconte ses souvenirs les plus fous
OuestFrance
Il conduit des trains depuis 1999. En 25 ans de carrière, Wilfried Demaret, 48 ans, a vécu un tas de situations plus ou moins rocambolesques. Mamie en retard, train hors de contrôle, excès de confiance… Il raconte.
Wilfried Demaret manipule le storytelling (entendez-là, l’art de manier les mots pour raconter des histoires captivantes) et l’humour comme personne. Il n’est pourtant pas présentateur télé, ni acteur. Encore moins humoriste. Il est conducteur de trains pour la SNCF. Depuis 25 ans. Un quart de siècle passé à voyager sur les voies ferrées de France. Autant d’années écoulées dans les trains express régionaux (les fameux RER de la région parisienne), les TER (le réseau de transport express dans les autres régions de France) et les trains de fret, destinés aux marchandises.
Bref. L’homme de 48 ans est « trainophile », nous dit-il. Ne cherchez pas, le terme n’existe pas dans le dictionnaire. Mais on le note quand même. Il est bien pratique. Wilfried Demaret, c’est aussi un compte sur X (ex-Twitter), le réseau social du milliardaire américain Elon Musk. Le conducteur de trains y est suivi par près de 100 000 personnes. Sous le pseudonyme, « @BB27000 », il partage avec joie et toujours avec humour son amour pour les trains. Il raconte les moments qui ont marqué sa carrière. Petit florilège.
Pleine lune et neige « bleue »
Le meilleur d’abord. On est en 2008. C’est l’hiver. Wilfried Demaret conduit le train du soir. Le dernier au départ de Clermont-Ferrand, la capitale historique de l’Auvergne. Direction Aurillac. Le trajet n’est pas très long. Le train traverse « une des plus belles régions de France », si l’on en croit le conducteur. Sur cette ligne, le TER doit même passer par l’une des voies ferrées les plus hautes de l’Hexagone : le col du Lioran situé à 1 152 mètres d’altitude.
Dehors, le brouillard s’est levé. Wilfried Demaret redouble de vigilance. Il traverse un tunnel. « Et soudain, le choc », raconte-t-il. Au téléphone, sa voix s’émerveille encore : « Le moment était irréel, la lumière de la pleine lune illuminait la neige d’une lumière bleutée. C’était merveilleux. »
Roues bloquées et train hors de contrôle
Anecdote suivante. Rendez-vous en gare du Lioran. Décidément. Cette fois il fait jour. Wilfried Demaret commence en posant les bases. « C’est une belle journée d’été, il fait chaud, l’air est sec. » Sa vaillante locomotive qui roule au diesel, un certain modèle BB-674000 pour les plus connaisseurs, entame une descente vers Vic-sur-Cère. La petite commune est située à une vingtaine de kilomètres au sud de la gare du Lioran, « le sommet du Cantal », nous rappelle le conducteur. Vingt minutes de trajet maximum.
Seulement, rien ne se passe comme prévu. D’un coup, son train s’enraye. Les roues se bloquent. Et le train lui, prend de la vitesse, beaucoup de vitesse. Le compteur affiche 90 km/h au lieu de 40 km/h. La panique s’empare du conducteur. Il lui reste moins de deux kilomètres pour arrêter 240 tonnes de ferraille. Wilfried Demaret ne flanche pas. Garde son calme. Et réussis par miracle à reprendre le contrôle. Dans les wagons, les passagers ne se sont rendu compte de rien. Leur train arrive finalement en gare de Vic-sur-Cère, au ralenti.
Une grand-mère et 20 centimes
Autre histoire. Plus au nord cette fois. Direction le Val-d’Oise, Enghien-les-Bains. Sur le quai, une petite mamie fait un signe à Wilfried Demaret. L’homme est dans sa cabine de pilotage et doit démarrer le train d’un instant à l’autre. La femme âgée lève les bras dans sa direction. Le conducteur comprend : elle veut monter dans le train. Il attend alors patiemment.
La future passagère marche lentement, « très lentement », se souvient Wilfried Demaret. Une minute, puis deux, et trois. Après quatre minutes, elle atteint finalement la porte du wagon et s’engouffre à bord. Le train démarre. Le conducteur rattrape son retard. Arrivée à Paris, gare du Nord, la grand-mère arrive jusqu’à sa cabine. Tend la main et lui glisse une pièce de 20 centimes. Pour le remercier.
Deux voies, un train et un excès de confiance
Un moment de honte maintenant. Été 2002. On reste à la gare du Nord. Wilfried Demaret patiente tranquillement dans le hall. « Arrive, dit-il, une dame, lunette noire, canne blanche ». Lui, plein de bonne volonté, l’interpelle : « Bonjour, je suis cheminot, je peux vous aider ? » Elle : « Oui, je vais direction Persant. » C’est justement le train que Wilfried Demaret s’apprête à conduire. Il lui indique le quai n° 36 et l’accompagne sur le chemin. Elle, s’arrête. L’interroge. « Vous êtes sûr ? Il n’est pas voie 34 ? »
Un peu vexé, le conducteur lui fait remarquer qu’il en est certain : « C’est quand même moi le conducteur, je sais où est mon train. » Au même moment, la traditionnelle voix de la SNCF retentit dans la gare : « Le train pour Persant partira voie 34. » Silence. Demi-tour. Wilfried Demaret rebrousse le quai n° 36 avec sa passagère pour retrouver son train... à quai sur la voie 34. « C’était un grand moment de honte », s’en amuse-t-il maintenant.
Parfois, les anecdotes sont moins drôles. Il y a aussi cette fois où un jeune homme lui a demandé d’attendre avant de démarrer le train parce qu’il voulait se suicider dessous. Une triste réalité. Cette fois aussi où il a reçu des insultes de la part d’une femme d’une cinquantaine d’années « BCBG », parce que le train avait trois minutes de retard. Un peu excessif. Cet autre jour, encore, où on l’a menacé de mort « en plein milieu du Lot ». Étonnant. Heureusement, il lui reste des anecdotes marrantes à raconter : « Une fois, l’un de mes collègues cheminot a feint d’être malvoyant en montant dans sa cabine pour effrayer gentiment les passagers. » Ça a fonctionné.
OuestFrance
Il conduit des trains depuis 1999. En 25 ans de carrière, Wilfried Demaret, 48 ans, a vécu un tas de situations plus ou moins rocambolesques. Mamie en retard, train hors de contrôle, excès de confiance… Il raconte.
Wilfried Demaret manipule le storytelling (entendez-là, l’art de manier les mots pour raconter des histoires captivantes) et l’humour comme personne. Il n’est pourtant pas présentateur télé, ni acteur. Encore moins humoriste. Il est conducteur de trains pour la SNCF. Depuis 25 ans. Un quart de siècle passé à voyager sur les voies ferrées de France. Autant d’années écoulées dans les trains express régionaux (les fameux RER de la région parisienne), les TER (le réseau de transport express dans les autres régions de France) et les trains de fret, destinés aux marchandises.
Bref. L’homme de 48 ans est « trainophile », nous dit-il. Ne cherchez pas, le terme n’existe pas dans le dictionnaire. Mais on le note quand même. Il est bien pratique. Wilfried Demaret, c’est aussi un compte sur X (ex-Twitter), le réseau social du milliardaire américain Elon Musk. Le conducteur de trains y est suivi par près de 100 000 personnes. Sous le pseudonyme, « @BB27000 », il partage avec joie et toujours avec humour son amour pour les trains. Il raconte les moments qui ont marqué sa carrière. Petit florilège.
Pleine lune et neige « bleue »
Le meilleur d’abord. On est en 2008. C’est l’hiver. Wilfried Demaret conduit le train du soir. Le dernier au départ de Clermont-Ferrand, la capitale historique de l’Auvergne. Direction Aurillac. Le trajet n’est pas très long. Le train traverse « une des plus belles régions de France », si l’on en croit le conducteur. Sur cette ligne, le TER doit même passer par l’une des voies ferrées les plus hautes de l’Hexagone : le col du Lioran situé à 1 152 mètres d’altitude.
Dehors, le brouillard s’est levé. Wilfried Demaret redouble de vigilance. Il traverse un tunnel. « Et soudain, le choc », raconte-t-il. Au téléphone, sa voix s’émerveille encore : « Le moment était irréel, la lumière de la pleine lune illuminait la neige d’une lumière bleutée. C’était merveilleux. »
Roues bloquées et train hors de contrôle
Anecdote suivante. Rendez-vous en gare du Lioran. Décidément. Cette fois il fait jour. Wilfried Demaret commence en posant les bases. « C’est une belle journée d’été, il fait chaud, l’air est sec. » Sa vaillante locomotive qui roule au diesel, un certain modèle BB-674000 pour les plus connaisseurs, entame une descente vers Vic-sur-Cère. La petite commune est située à une vingtaine de kilomètres au sud de la gare du Lioran, « le sommet du Cantal », nous rappelle le conducteur. Vingt minutes de trajet maximum.
Seulement, rien ne se passe comme prévu. D’un coup, son train s’enraye. Les roues se bloquent. Et le train lui, prend de la vitesse, beaucoup de vitesse. Le compteur affiche 90 km/h au lieu de 40 km/h. La panique s’empare du conducteur. Il lui reste moins de deux kilomètres pour arrêter 240 tonnes de ferraille. Wilfried Demaret ne flanche pas. Garde son calme. Et réussis par miracle à reprendre le contrôle. Dans les wagons, les passagers ne se sont rendu compte de rien. Leur train arrive finalement en gare de Vic-sur-Cère, au ralenti.
Une grand-mère et 20 centimes
Autre histoire. Plus au nord cette fois. Direction le Val-d’Oise, Enghien-les-Bains. Sur le quai, une petite mamie fait un signe à Wilfried Demaret. L’homme est dans sa cabine de pilotage et doit démarrer le train d’un instant à l’autre. La femme âgée lève les bras dans sa direction. Le conducteur comprend : elle veut monter dans le train. Il attend alors patiemment.
La future passagère marche lentement, « très lentement », se souvient Wilfried Demaret. Une minute, puis deux, et trois. Après quatre minutes, elle atteint finalement la porte du wagon et s’engouffre à bord. Le train démarre. Le conducteur rattrape son retard. Arrivée à Paris, gare du Nord, la grand-mère arrive jusqu’à sa cabine. Tend la main et lui glisse une pièce de 20 centimes. Pour le remercier.
Deux voies, un train et un excès de confiance
Un moment de honte maintenant. Été 2002. On reste à la gare du Nord. Wilfried Demaret patiente tranquillement dans le hall. « Arrive, dit-il, une dame, lunette noire, canne blanche ». Lui, plein de bonne volonté, l’interpelle : « Bonjour, je suis cheminot, je peux vous aider ? » Elle : « Oui, je vais direction Persant. » C’est justement le train que Wilfried Demaret s’apprête à conduire. Il lui indique le quai n° 36 et l’accompagne sur le chemin. Elle, s’arrête. L’interroge. « Vous êtes sûr ? Il n’est pas voie 34 ? »
Un peu vexé, le conducteur lui fait remarquer qu’il en est certain : « C’est quand même moi le conducteur, je sais où est mon train. » Au même moment, la traditionnelle voix de la SNCF retentit dans la gare : « Le train pour Persant partira voie 34. » Silence. Demi-tour. Wilfried Demaret rebrousse le quai n° 36 avec sa passagère pour retrouver son train... à quai sur la voie 34. « C’était un grand moment de honte », s’en amuse-t-il maintenant.
Parfois, les anecdotes sont moins drôles. Il y a aussi cette fois où un jeune homme lui a demandé d’attendre avant de démarrer le train parce qu’il voulait se suicider dessous. Une triste réalité. Cette fois aussi où il a reçu des insultes de la part d’une femme d’une cinquantaine d’années « BCBG », parce que le train avait trois minutes de retard. Un peu excessif. Cet autre jour, encore, où on l’a menacé de mort « en plein milieu du Lot ». Étonnant. Heureusement, il lui reste des anecdotes marrantes à raconter : « Une fois, l’un de mes collègues cheminot a feint d’être malvoyant en montant dans sa cabine pour effrayer gentiment les passagers. » Ça a fonctionné.
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