Questions existentielles - page 217

Pour se reposer quelques minutes
Observateur

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photos a écrit :Rapidement, les responsables de l’agence bancaire ont fait venir un réparateur qui a mis l’appareil hors service. Tant pis pour les retardataires… À cette heure, aucune explication à ce dysfonctionnement a été donnée par l’établissement bancaire.

C'était peut-être un distributeur utilisant l'intelligence artificielle... :;):
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Hérault : Un bouc sème la zizanie sur l'autoroute et rend chèvres les gendarmes
20 Minutes
INSOLITE L'animal a pu être neutralisé par les pelotons de l'autoroute
Les automobilistes n’en ont pas cru leurs yeux. Le 3 décembre, les gendarmes ont été dépêchés sur l'autoroute A9, dans l'Hérault, pour tenter de neutraliser… un bouc.

L’animal « sautillait fièrement par-dessus les glissières de sécurité centrales tout en traversant chacune des voies de l’autoroute », rapportent les services de gendarmerie de l’Hérault, dans un post plein d’humour, sur Facebook.

Un appel à témoins
Les pelotons de l’autoroute de la gendarmerie « ont été obligés de créer un bouchon mobile dans les deux sens de circulation pour permettre au patrouilleur la capture du malfrat », poursuit la gendarmerie. Le bouc a pu être mis à l’abri.

Désormais, les gendarmes ont lancé un appel à témoins, pour tenter de retrouver les propriétaires de ce bouc qui a pris tous les risques, le 3 décembre dernier.
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Hôtels de luxe : les objets les plus volés dans les chambres
LINFO.RE
Des biens onéreux disparaissent dans les hôtels de luxe
Les vols dans les hôtels sont de plus en plus osés et il s’avère que plus l’établissement est luxueux, plus ces larcins sont importants. Les clients les plus aisés, eux aussi, ont tendance à emporter des choses de leurs chambres, mais il n’est cependant pas question de peignoirs ou de serviettes. Ils dérobent plutôt des biens plus valeureux.

Les objets les plus dérobés
A la suite d’une enquête, dont les résultats ont été révélés par le guide hôtelier Wellness Heaven, une liste des objets les plus emportés par les clients aisés a été dressée. Ces derniers emporteraient des œuvres d’art, des cafetières, des tablettes pour la réservation des soins spa. Il s’avère que certaines personnes trouvent même les moyens de voler des couvertures, des matelas.

Des vols d’objets peu ordinaires
Les hôteliers ont également cité des objets inhabituels, rapporte le site d’informations Sputnik. A Berlin, un client aurait par exemple sorti la plomberie de sa chambre d’hôtel. Un propriétaire d’établissement italien a également confié avoir constaté le vol d’un piano dans son hôtel.
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Un satellite kamikaze lancé par les États-Unis et l'Europe en 2021, pour faire dévier un astéroïde
LaDepeche
Les ministres européens en charge de l'espace ont donné leur accord : en 2021, les États-Unis et l'Agence Spatiale Européenne vont collaborer pour modifier la trajectoire d'un double astéroïde. Le satellite du nom de « Dart » devrait percuter Didymos en octobre 2022.
Les États-Unis et l'Europe, unis pour sauver le monde ? Dans l'espace, la fiction prend le pas sur la réalité. La NASA et l'Agence Spatiale Européenne (ESA) ont annoncé qu'elles allaient travailler ensemble pour tenter de dévier la trajectoire d'un double astéroïde du nom de Didymos d'ici à 2022 : une mission unique en son genre, qui répond au nom de « AIDA ». Celle-ci vient tout juste de recevoir le feu vert des ministres européens en charge de l’espace.

En pratique, il s'agit de recourir à ce que l'on appelle « un engin de type impacteur » : comprenez en fait un satellite kamikaze. Celui-ci doit être lancé par les États-Unis en juillet 2021. Le satellite, qui s'apparente à un missile, du nom de « Dart », sera chargé de frapper le plus petit des deux corps de l'astéroïde. Selon le Figaro, l'impact serait prévu en octobre 2022, et devrait permettre de modifier la façon dont les deux corps de l'astéroïde gravitent l'un autour de l'autre.
À la suite de l'impact, un vaisseau européen, lancé par l'Agence Spatiale Européenne, devra étudier les modifications que cet impact a eues sur la trajectoire de Didymos. « Il faut notamment que l’on détermine sa masse pour avoir une idée de l’efficacité du procédé », souligne Patrick Michel, astrophysicien à l’Observatoire de la Côte d’Azur et responsable scientifique de la mission européenne, dans les colonnes du Figaro.

800 mètres de diamètre
En ce qui concerne le double astéroïde Didymos (« jumeau » en grec ancien), celui-ci a été découvert le 11 avril 1996 à l'observatoire de Kitt Peak. Il possède un satellite (appelé de façon informelle « Didymoon »). L'astéroïde dit « primaire » mesure environ 800 mètres de diamètre. Son satellite lui, environ 150 mètres de diamètre, sur une orbite distante d'environ 1,1 km du primaire.

Cette collaboration entre l'Europe et les États-Unis a pourtant failli ne pas voir le jour. En 2017, l'Europe avait annoncé qu'elle n'allait pas envoyer pas de sonde vers l'astéroïde Didymos. « Nous devons renoncer à cette mission précise car nous manquons de temps et d'argent », avait déclaré Jan Woerner, directeur général de l'Agence spatiale européenne à l'AFP. À l'époque, la mission portait le nom « Aim » (Asteroid Impact Mission).

Prévention des risques de collision avec un astéroïde : quelles solutions ?
Dans les chiffres, le Figaro précise qu'un astéroïde de plus de 10 kilomètres de diamètre tombe sur Terre tous les 100 millions d'années. Pour les astéroïdes de plus d'un kilomètre de diamètre, ces derniers tombent tous les 750 000 ans. Pour ceux qui mesurent plus de 150 mètres, tous les 10 000 ans.

Pour protéger la planète, plusieurs techniques existent. Le site Sciences en ligne en compte trois principalement.

Le « tracteur gravitationnel » en premier lieu. Il s'agit de placer un satellite à côté de l'astérïde en question. En orbite, le satellite permet ainsi de modifier la trajectoire du corps céleste.
« L’ogive nucléaire » : un missile est envoyé sur l'astéroïde. La solution est radicale, mais n'est pas sans danger. Des débris sont susecptibles de retomber sur Terre.
« L'impacteur cinétique », utilisée par exemple dans le cadre de la mission AIDA. Il s'agit d'envoyer une sonde ou un satellite pour percuter l'objet céleste, sans forcément le détruire. L'impact est alors susceptible de modifier la trajectoire de l'astéroïde
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Tunnel, déguisement, valise… Les tentatives d’évasion les plus absurdes

OuestFrance
Un homme a tenté de s’échapper depuis le box des accusés, en marge de son procès pour meurtre. La tentative d’évasion était vouée à l’échec. Des policiers se tenaient juste à côté, mais ce Russe de 18 ans a tout de même tenté sa chance. Comme d’autres avant lui. Retour sur quatre tentatives d’évasion qui semblaient audacieuses, sur le papier… Mais avaient peu de chances de fonctionner.
Il comparaît dans un box fermé, composé de parois vitrées. Le procès de Leonid Greyser, 18 ans, s’est ouvert il y a quelques jours devant un tribunal de Moscou, en Russie. L’homme est accusé d’avoir tué sa sœur, vraisemblablement sous l’emprise de drogues de synthèse retrouvées sur les lieux du crime.

Mais au cours de son procès pour meurtre, le jeune adulte a tenté de se soustraire à la justice. Il a voulu s’évader du tribunal où il comparaissait… Et il ne s’y est pas très bien pris. Sa tentative a été saisie par les caméras de surveillance de la salle d’audience.
Sur les images, Leonid Greyser commence par se mettre debout, dans son box. Ensuite, il se glisse entre les barreaux fixés en haut de l’installation, puis soulève l’une des dalles du plafond. L’accusé tente ensuite de se glisser dedans, dans l’espoir de quitter ensuite le bâtiment…

Problème : tout se déroule sous l’œil des policiers placés de part et d’autre du box. Au départ, ils semblent même un peu circonspects, et regardent Leonid Greyser se mettre debout avec les mains posées sur les hanches.

Au moment où il s’extrait du box et tente de filer par le plafond, ils interviennent et le maîtrisent, évidemment très rapidement. « Je le tiens ! », dit une policière, selon une traduction effectuée par le quotidien britannique The Guardian.

La scène laisse coi. À première vue, la perspective de s’échapper du box des accusés juste devant deux policiers, puis de quitter un bâtiment très surveillé semble irrémédiablement vouée à l’échec.

Mais pourtant, cette tentative n’est pas un cas isolé. Loin de là. Un peu partout dans le monde, des détenus ont tenté de retrouver la liberté en utilisant des techniques parfois audacieuses, sur le papier, mais qui, rétrospectivement, avaient très peu de chances de fonctionner.

En voici trois autres exemples.
Brésil : le narcotrafiquant tente de se faire passer pour sa fille
Tout était prêt, le plan était ficelé dans ses moindres détails. Clauvino da Silva pensait avoir trouvé la solution parfaite pour quitter le complexe pénitentiaire de Gericinó, à Rio de Janeiro, au Brésil. L’homme, condamné à une peine de 73 ans de réclusion criminelle pour trafic de stupéfiants, voulait… Échanger sa place avec sa fille de 19 ans, à la faveur d’une visite au parloir de la prison. C’était au mois d’août.

Perruque noir de jais, petites lunettes cerclées de métal, tee-shirt rose, et même un masque de silicone… Ce déguisement devait lui permettre de quitter les lieux, pendant que sa fille regagnait sa cellule à sa place. Une fois évanoui dans la nature, sa fille aurait, à son tour, tenté de sortir en prison, selon le quotidien brésilien O Globo…

Ce samedi 3 août, au parloir, il se déguise, puis tente de quitter les lieux. Problème : sa nervosité alerte les surveillants pénitentiaires. Ils décident alors de le contrôler… Et découvrent, sous l’apparence d’une femme de 19 ans, un homme au cheveu ras et à la mâchoire carrée.

Quelques jours plus tard, Clauvino da Silva a été retrouvé mort dans sa cellule. « Le détenu semble s’être pendu avec un drap », ont dit les autorités pénitentiaires locales dans un communiqué relayé par l’Agence France-Presse.

Brésil : il creuse un tunnel dans le mur… Et reste coincé

1m77 et 100 kg de muscles : voilà Rafael Valadão, un détenu brésilien. Les faits qui l’ont conduit dans la prison de Ceres, dans l’est du Brésil, n’ont pas émergé dans les médias brésiliens ou internationaux. Sa tentative d’évasion, en revanche, a beaucoup fait parler. C’était en décembre 2012.

À l’époque, Rafael Valadão dort avec trois autres codétenus, dans la même cellule. Ils veulent quitter les lieux et creusent patiemment un trou dans le mur de la prison, avec un pommeau de douche en métal, souligne le quotidien brésilien O Estado de Sao Paulo.

Une fois le trou creusé, ils décident de passer à l’action, tard dans la nuit, un lundi soir de décembre. Un premier détenu se glisse dedans, et sort. Détail capital : il est bâti beaucoup moins solidement que Rafael Valadão. Vient le tour de l’homme de 100 kg. Il commence par glisser la partie inférieure de son corps.

À ce moment-là, ça y est, ses pieds et ses jambes sont dehors, à l’air libre. Mais un problème survient : il reste coincé au niveau du torse. Son buste ne passe pas dans le trou. Trop large.

« Les autres détenus ont tenté de le pousser, mais il est resté coincé dans le mur. Il a commencé à hurler de douleur, et c’est à ce moment-là que les surveillants ont été alertés », complète le lieutenant Tiago Costa, au quotidien britannique The Telegraph.

Pour le sortir de là, les pompiers et les surveillants ont été obligés de faire tomber le mur à coups de masse.

Et le premier détenu, le seul de l’équipée à être sorti de la prison ? Il était déjà parvenu à jeter un sac de vêtements au-dessus du mur d’enceinte de la prison.

Une fois passé dans le trou, il est sorti à l’air libre, puis a escaladé un mur d’enceinte d’un peu plus de quatre mètres de haut. Les médias brésiliens ne font pas état d’une éventuelle interpellation.

Mexique : il tente de s’échapper dans une valise
Juillet 2011, dans la prison de Chetumal, dans le sud du Mexique. Les visites conjugales s’achèvent. Maria del Mar Arjona, 19 ans, s’apprête à sortir de la maison d’arrêt. Elle vient de rendre visite à son ami, Juan Ramirez Tijerina.

Depuis trois ans déjà, il dort là, en prison. En 2007, il a écopé d’une peine de vingt ans de détention, pour détention illégale d’armes, rapporte l’agence de presse Associated Press.

Maria del Mar Arjon s’apprête donc à ressortir. Elle passe plusieurs points de contrôle à l’intérieur de la prison, retrace le quotidien mexicain El Universal.

Jusqu’à la dernière étape avant la sortie : le moment où elle doit récupérer ses papiers d’identité, laissés à l’entrée de la prison. À ce moment-là, son comportement attire l’attention des surveillants. D’abord, elle semble nerveuse. Et puis surtout, la valise est très imposante. Trop imposante, selon les surveillants.
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Toulouse. La vidange du canal du Midi met au jour quantité d’objets insolites
LaDepeche
Une vidange de maintenance du canal du Midi a lieu ces jours-ci à Toulouse. Elle a fait émerger de nombreux objets insolites. Une centaine de kilos de poissons ont également été pêchés et déplacés.
Vélos, chariots de course, trottinettes, aspirateurs, micro-ondes, ou encore moto : on ne trouve pas que des poissons dans le canal du Midi, comme l’ont constaté les techniciens de Voies navigables de France (VNF). Depuis le 2 décembre, entre les écluses de Bayard et les Minimes, sur environ deux kilomètres, les agents sont chargés du vidage et du nettoyage du canal.
Cette opération exceptionnelle qui nécessite une équipe d’une dizaine de personnes durera trois semaines. La dernière vidange remonte à 2006. Au total, ce sont 50 000 mètres cubes d’eau qui ont été vidés entre les deux écluses. "Nous sommes en train de faire des passages de tuyauterie d’une rive à l’autre, explique Carl Beziat, responsable de l’unité de maintenance à Toulouse. Nous en profitons pour faire du nettoyage et quelques travaux comme le remplacement de passerelles ou des plaques de caniveaux par exemple."
Tous les déchets métalliques trouvés depuis le 2 décembre ont été déposés chez un ferrailleur. Le reste, c’est-à-dire les déchets plastiques et verts ont été pris en charge par la Drimm, centre de tri à Montech. "Nous avons collecté deux tonnes de déchets, dont 1,2 tonne de ferraille. On s’attendait à bien pire : il y a treize ans, trois à quatre tonnes de déchets avaient été trouvées, on avait dû utiliser trois camions pour les évacuer !", indique Michel Beteille, technicien chez VNF. Pour l’anecdote, la police est venue récupérer un objet insolite : un pistolet en plastique si bien imité que tous les agents l’ont pris pour une arme véritable.
Mobilisés pour sauver les poissons
La faune aquatique va être soulagée de pouvoir vivre dans des eaux purifiées. Pour aider les poissons coincés lors de la vidange, six pêcheurs de la Fédération de pêche 31 sont intervenus. "Il s’agit d’une opération très banale que nous menons chaque année sur certaines portions du canal. À Toulouse, nous n’avons récupéré qu’une centaine de kilos de poissons : les plus étourdis qui n’avaient pas réussi à passer à travers les écluses", souligne Olivier Plasseraud, directeur de la Fédération. Si les carpes, sandres, brochets, anguilles, silures et perches ont pu être sauvés et déplacés dans le bief en eau en amont, de très nombreux poissons-chats (50 kg) n’ont pas eu cette chance : considérés comme nuisibles, ils ont été tués.
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Les lunettes rondes de John Lennon vendues 165 000 €, plus de vingt fois le prix estimé
OuestFrance
Lors d’une vente aux enchères en ligne, ce vendredi 13 décembre, par Sotheby’s, à Londres, les emblématiques lunettes de soleil rondes de John Lennon ont été vendues 137 500 livres, soit 165 000 €. Elles avaient été abandonnées sur la banquette arrière d’une voiture en 1968.
Une paire des iconiques lunettes de soleil rondes ayant appartenu à John Lennon a été adjugée, vendredi 13 décembre, 137 500 livres (165 000 €), plus de vingt fois le prix estimé, lors d’une vente aux enchères en ligne par Sotheby’s, à Londres.

Ces lunettes avaient été mises en vente par Alan Herring, chauffeur de Ringo Starr et George Harrison, deux des quatre membres des Beatles, à la fin des années 1960. Elles avaient été abandonnées sur la banquette arrière d’une voiture en 1968.

Alan Herring a raconté avoir un jour récupéré Ringo Starr, George Harrison et John Lennon et avoir conduit les garçons au bureau.

Lorsque John est sorti de la voiture, j’ai remarqué qu’il avait laissé ses lunettes de soleil sur le siège arrière et qu’un verre et une tige s’étaient détachés.

« C’est juste pour le style ! »
J’ai demandé à John s’il voulait que je les répare. Il m’a dit : « Ne t’inquiète pas c’est juste pour le style ! », a raconté l’ancien chauffeur, ajoutant : Je ne les ai jamais réparées, je les ai simplement gardées telles qu’elles étaient, comme John les avait laissées.

D’autres reliques du célèbre groupe britannique étaient aussi proposées aux acheteurs, comme un collier en perles avec des clochettes ayant appartenu à George Harrison, vendu 10 000 livres sterling (12 000 €).

John Lennon et ses emblématiques lunettes de soleil rondes sont indissociables. […] Elles sont les lunettes de soleil les plus mythiques de l’histoire du rock and roll, a déclaré dans un communiqué Gabriel Heaton, spécialiste des livres et manuscrits à Sotheby’s.
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Observateur

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photos a écrit :Une vidange de maintenance du canal du Midi a lieu ces jours-ci à Toulouse. Elle a fait émerger de nombreux objets insolites. Une centaine de kilos de poissons ont également été pêchés et déplacés.
Vélos, chariots de course, trottinettes, aspirateurs, micro-ondes, ou encore moto : on ne trouve pas que des poissons dans le canal du Midi, comme l’ont constaté les techniciens de Voies navigables de France (VNF).

On avait le même constat lors de la dernière vidange du canal St Martin à Paris. On y avait notamment trouvé pas mal de Vélib, et aussi des armes...
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Dernière édition par photos le 16 Déc 2019, 09:07, édité 1 fois.
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Un homme se déguise en sa mère pour passer le permis de conduire à sa place

OuestFrance
Au Brésil, lors d’un examen du permis de conduire, un homme de 43 ans s’est fait passer pour sa mère de 60 ans. Elle avait déjà loupé l’épreuve trois fois...
Début décembre, une examinatrice du permis de conduire, dénommée Aline Mendonça, fait passer l’examen pratique à plusieurs candidats dans la petite ville de Nova Mutum Paraná, en Amazonie brésilienne.

Vient le tour de la candidate Maria Schiave, 60 ans. Cette dernière a déjà raté son permis trois fois. Mais l’examinatrice se rend rapidement compte que quelque chose cloche et qu’elle a en réalité en face d’elle… un homme !

« Je n’arrivais pas à y croire, raconte Aline Mendonça au quotidien britannique The Guardian. C’était surréaliste. »

La fausse candidate est en réalité Heitor Schiave, le fils de Maria Schiave, qui se fait passer pour elle, rapporte le média local G1. Ce mécanicien de 43 ans porte un sac à main, une jupe longue, une chemise à fleurs, des boucles d’oreilles et un soutien-gorge rembourré. Il a même mis du vernis à ongles.

La mère, pas au courant ?

L’examinatrice demande alors à un collègue de prévenir la police et laisse l’homme prendre le volant, comme si de rien n’était.

Lorsque la police arrive sur place, le fils descend de la voiture et tente de s’enfuir mais est rapidement rattrapé, raconte The Guardian.

Depuis son arrestation, Heitor Schiave aurait admis les faits, mais assuré que sa mère n’était au courant de rien et qu’il avait tout planifié seul. Il a depuis été libéré et pourrait se voir infliger une amende pour ses actes.

Passer le permis pour son cousin ou une amie

Ce n’est pas la première fois que quelqu’un se fait passer pour un candidat au permis de conduire. À Rome (Italie), en novembre dernier, un homme a tenté de passer le permis de conduire à la place de son cousin, qui avait échoué une fois et ne se sentait prêt pour le repasser. Les inspecteurs ont eu des doutes sur son identité lorsqu’ils ont vu que la forme de son nez n’était pas la même que sur la photo d’identité et qu’il lui manquait un grain de beauté. « Non, c’est vraiment moi », a assuré le candidat, avant d’admettre la supercherie, rapporte le quotidien italien Corriere della Sera.

En juin 2016, à Huy, près de Liège (Belgique), une femme qui avait tenté à plusieurs reprises d’obtenir le précieux sésame a demandé à une amie de passer l’examen pratique à sa place. Mais cette dernière a été démasquée et a écopé d’une peine de 50 heures de travail, rapporte la radio-télévision belge RTBF.

D’autres se contentent d’utiliser le permis de leurs proches. À Lyon, en août 2016, un homme a été arrêté alors qu’il roulait à vive allure et sans ceinture. Il a alors présenté aux forces de l’ordre le permis de… son frère, rapporte Le Progrès . « Je n’ai jamais essayé de passer mon permis de conduire », avait-il déclaré lors de sa comparution immédiate, détaille le quotidien régional.
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J'ai hésité à revenir l'année suivante passer le concours des Arts décoratifs pour une copine. C'était un tel bordel comme organisation que c'était possible. En le passant j'avais redressé le dessin des cinq premiers de mon année, je suis arrivé sixième... c'est pô juste ! Je m'en fous je suis allé aux Métiers d'Arts.
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Un Américain retrouve l’ADN de son donneur dans son sperme après une greffe de moelle osseuse
CHIMERISME L’ADN d’un Américain atteint d’une leucémie a été remplacé par celui de son donneur dans certaines parties de son corps

20 Minutes
Le cas de Chris Long, un habitant de Reno, dans le Nevada (États-Unis), est extrêmement rare. Atteint d’une leucémie, il a bénéficié d’une greffe de moelle osseuse il y a quelques années. Mais quatre ans après l’intervention, son ADN a été remplacé par celui de son donneur dans certaines parties de son corps, rapporte le New York Times.
Un authentique cas de chimérisme
Des prélèvements ont été effectués sur les lèvres, la langue et les joues de ce patient américain. Après analyse, il s’est avéré que ces échantillons contenaient non seulement son propre ADN, mais également celui de son donneur allemand, qu’il n’a jamais rencontré.

Chris Long est donc devenu une chimère, le terme technique qui désigne les rares personnes présentant deux séries d’ADN, indique le quotidien. L’ADN de son sperme a par exemple été intégralement remplacé par celui du donneur allemand. Seuls la poitrine et les cheveux de Chris Long ont été épargnés par cet étrange phénomène.

Une vasectomie en cause ?
« C’est assez incroyable que je puisse disparaître et que quelqu’un d’autre puisse apparaître », a déclaré le principal intéressé. Dans cette situation, on pourrait se demander de quels gènes hériteraient les enfants de Chris Long : les siens ou celui de son donneur ? Ici, la question ne se posera pas, Chris Long ayant subi une vasectomie après la naissance de son deuxième enfant. Mais si ça n’avait pas été le cas ? Selon plusieurs spécialistes, il est impossible de transmettre les gènes d’un autre à la suite d’une greffe de moelle osseuse.

Le docteur Mehrdad Abedi, membre de l’Université de Californie à Davis, a expliqué au New York Times que c’est justement cette vasectomie qui pourrait expliquer la présence de l’ADN du donneur dans le sperme de Chris Long. Les médecins ont indiqué qu’ils allaient continuer à étudier ce cas surprenant.
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Je connaissais Long Chris : Long Chris et les Daltons (puis Long Chris et les Cowden) qui a fait un disque plutôt original au milieu de ce qui se faisait à l'époque "chansons bizarres pour gens étranges"
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Pour 50 €, devenez châtelain en Charente
OuestFrance
Devenir copropriétaire d’un château fort, cela vous tente ? Pour la troisième année consécutive, la société Dartagnans et l’association Adopte un château lancent un financement participatif, pour acheter et restaurer un édifice en péril. Cette année, vous pouvez vous offrir le château de Vibrac, en Charente.
Des ruines, une chapelle, un pont et des communs, le tout sur un domaine de 5 hectares entouré de vaches limousines : c’est tout ce qu’il reste du château fort de Vibrac, entouré des bras de la Charente, à quelques kilomètres de Châteauneuf-sur-Charente, au cœur de Grand Cognac.

Mais si le cœur vous en dit, vous pouvez participer à la restauration de cet édifice du XIIIe siècle et en devenir l’un des copropriétaires, via un projet de financement participatif lancé par la société Dartagnans et l’association Adopte un château.

50 € le ticket d’entrée

Pour la troisième année consécutive, les deux promoteurs lancent une opération d’achat collectif d’un château. Et c’est sur celui de Vibrac qu’ils ont cette fois-ci jeté leur dévolu.
Sur le site internet de Dartagnans, on en apprend un peu plus sur l’histoire de ce château. Dès le IXe siècle, pour tenter de se protéger des invasions barbares, les comtes d’Angoulême ont fait construire un retranchement nommé le Fossé au Comte. Ce fossé long de 20 km reliait la Charente en aval, et allait de Montignac jusqu’au château de Vibrac.

Probablement de modeste importance au départ, le château de Vibrac est rapidement devenu une place défensive dont la rivière vient lécher les remparts. D’abord sous la forme d’un fort érigé par Hugues de Montchaude, le domaine passera ensuite par alliance à la famille Mareuil au XVe siècle qui transformera la bâtisse en château. Cette dernière le conservera jusqu’au XVIe siècle. Pendant plus de 150 ans, elle fera prospérer le domaine.
Aujourd’hui, son emplacement au centre de la communauté de communes du Grand Cognac lui permet de bénéficier d’une abondance d’eau et de soleil, au cœur d’une région renommée pour son cognac et ses melons charentais. Le château a d’ailleurs longtemps été un lieu propice à la culture, puisqu’au XVIIIe siècle et à la Révolution, il a été transformé en exploitation agricole.

Pour en devenir le châtelain ou la châtelaine, il vous faudra débourser 50 € afin de participer à la collecte de fonds organisée via la plateforme Dartagnans.fr, ouverte jusqu’au 1er janvier.

Pour l’achat et la restauration de l’édifice, il faut 1,24 million d’euros. Ce lundi 16 décembre, la barre des 174 000 € a été franchie.

Le château de Vibrac sera racheté sous forme de SAS (Société par Actions Simplifiée). Chaque donateur aura la possibilité, s’il le souhaite, de devenir actionnaire de la société propriétaire du château, moyennant un paiement complémentaire de 1 € symbolique par part, en fin de campagne. Et à l’occasion de Noël, le site internet Dartagnans propose également une box à commander avant le 18 décembre.

Pour un coût de 60 €, cette box vous permet de devenir co-actionnaire du château et d’avoir une parcelle cultivée à votre nom ou au nom de la personne à qui vous offrez la part. Objectif : « Faire d’une ruine abandonnée une œuvre restaurée collectivement pour mieux la protéger sur la durée », souligne le site Dartagnans.

Par le passé, les promoteurs ont déjà réalisé une première opération d’achat collectif : 27 910 personnes, originaires de 115 pays, sont ainsi devenues copropriétaires du château de la Mothe-Chandeniers, dans la Vienne.
De la même manière, des particuliers sont devenus copropriétaires du château fort de l’Ébaupinay, situé dans la commune de le Breuil-sous-Argenton, dans les Deux-Sèvres. L’édifice a finalement été racheté par 10 261 donateurs. Des contributions venant d’internautes issus de 96 pays différents. Chacun des heureux copropriétaires bénéficie, entre autres avantages, d’une entrée libre et gratuite à vie au château.

Fort du succès des précédentes expériences menées, les dirigeants de Dartagnans renouvellent donc l’opération et remercient d’avance les « milliers de seigneurs venus du monde entier qui croient en ce nouveau modèle innovant pour la préservation du patrimoine. Sans vous, rien de tout cela ne serait possible ! »
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Prendre des cours pour devenir adulte, la nouvelle tendance qui cartonne aux États-Unis
OuestFrance
Tenir un budget, organiser son emploi du temps, faire la cuisine… Autant de formations en plein essor aux États-Unis. L’objectif de ces cours ? Acquérir les compétences et les savoirs utiles pour devenir une personne adulte et responsable.
Tenir son budget, chercher un emploi, faire la cuisine ou même gérer ses relations avec les autres : autant de compétences qui ne sont pas enseignées à l’école… Et qui sont pourtant indispensables pour mener une vie d’adulte responsable. Alors, comme on apprend la littérature ou les mathématiques, pourquoi ne pas prendre des cours ?

Aux États-Unis, c’est en tout cas un phénomène en vogue. La prestigieuse université de Berkeley, en Californie, dispense désormais des cours d’« adulting », c’est-à-dire de vie adulte, à l’initiative de plusieurs étudiants.

On y propose chaque semaine des échanges ou une conférence d’un intervenant, sur un sujet relatif à la nouvelle vie sociale et domestique que découvrent les étudiants et jeunes actifs. Et ces cours affichent complet !

« Nous nous sentons tous un peu perdus »

« Nous sommes jetés dans ce monde et avons peu d’idées de ce que nous sommes censés faire. Je pense que, en général, nous nous sentons tous un peu perdus et ne savons pas par où commencer », témoigne Lau, 21 ans, l’une des deux étudiantes à avoir organisé ces cours, au quotidien Los Angeles Times.

Au total, plus de 200 étudiants ont demandé à participer, et la moitié d’entre eux ont été acceptés. Parmi les sujets les plus étudiés : la gestion de son temps, prérequis indispensable pour mener à bien sa scolarité et son entrée dans la vie active.

Ce cours s’intègre au programme DeCal, mis en place à Berkeley afin que des étudiants puissent créer et proposer des cours sur des thématiques qui ne sont d’habitude pas enseignées à l’université.
Une école dédiée

Mais Berkeley n’est pas le seul endroit où les adultes en devenir peuvent apprendre à mener leur vie. Des formations similaires sont organisées dans des bibliothèques, des lycées ou encore sur internet. Une école à même vu le jour à Portland, dans le Maine !

Les cours sont composés à la fois de compétences pratiques, comme changer un pneu, que de compétences sociales, comme parler en public.

« Le jeune âge adulte est une période frustrante. Le but est d’arrêter d’appeler constamment ses parents pour leur demander comment faire », raconte Rachel Flehinger, directrice de la Adulting School, au site d’information américain Parade.
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