Questions existentielles - page 307

Pour se reposer quelques minutes
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Ce monolithe mystérieux apparu au Pays de Galles va vous rappeler des souvenirs
Huffpoet
Quatre ans après la découverte d’un prisme énigmatique dans l’Utah, un objet similaire est apparu au Royaume-Uni.
Encore un coup des aliens ? Début mars, un étrange pilier métallique planté sur une colline est apparu au Pays de Galles. C’est un coureur qui l’a repéré et pris en photo .
Auprès de médias locaux, il l’a décrit comme triangulaire, creux et mesurant « au moins 3 mètres de haut ».

Sur les réseaux sociaux, certains ont attribué la présence de ce monolithe à la pleine lune, aux extraterrestres ou encore à la mystérieuse disparition de Kate Middleton. Des théories pour le moins farfelues, qui avaient déjà été avancées il y a quatre ans, lorsque des prismes très similaires étaient apparus aux États-Unis.
Le premier monolithe avait été découvert en novembre 2020, dans une zone reculée de l’Utah. Tout comme celui au Pays de Galles, il était triangulaire et étincelant. Sa présence avait chamboulé Internet, provoquant un déferlement de théories du complot et de memes. Mais plus étrange encore, à peine démantelé par des locaux, un autre pilier était apparu en Roumanie, celui-ci avec une surface couverte de motifs circulaires.

Un monolithe aussi déconcertant que voyageur
Après la Roumanie, des monolithes ont été retrouvés en Californie, puis au Nouveau-Mexique, sur une île de la Manche et enfin dans le sud de l’Angleterre. Certains sont disparus sans laisser de traces, d’autres ont été détruits ou encore enlevés par les autorités locales. Si toutes les structures se ressemblent de loin, des détails les différencient, et elles semblent avoir des créateurs différents s’imitant mutuellement, explique Vox.

Le pilier californien a par exemple été construit par un artiste métallier, Travis Kenney. Ce dernier avait posté en tant que preuve une vidéo montrant son installation, expliquant avoir été inspiré par le monolithe dans l’Utah, ainsi que par le film de science-fiction 2001, l’Odyssée de l’espace. Le pilier sur l’île de Wight a quant à lui pu être attribué à Tom Dunford, un créateur local voulant participer à la tendance virale.

L’origine du premier monolithe, découvert dans l’Utah, demeure cependant inconnue à ce jour. Certains y voient un hommage au sculpteur américain John McCracken, décédé en 2011 : ses œuvres avant-gardistes ressemblaient fortement aux prismes métalliques, et il habitait au Nouveau-Mexique, État voisin de l’Utah.

D’autres ont rappelé que la série de science-fiction Westworld avait été tournée non loin en 2015, et ont suggéré un canular des équipes de tournages. Quoi qu’il en soit, le mystérieux monolithe n’a pas fini son tour du monde, comme le prouve la présence d’un nouvel exemplaire au Pays de Galles.
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OVNI : "On a jamais décelé la présence d'extraterrestres", assure le directeur du GEIPAN
RTL
Un congrès sur les extraterrestres s'ouvre ce samedi 16 mars à Limoges. Le directeur du GEIPAN, le groupe d'étude et d'information sur les phénomènes volants non identifié, résume l'état de la recherche sur le sujet en France.
Un congrès sur les extraterrestres, se tenant à Limoges (Haute-Vienne) ce samedi 16 mars, inquiètent les autorités. Ces derniers redoutent un événement propice aux dérives sectaires et aux théories du complot. Pourtant, le sujet peut être très sérieux, comme en témoigne le GEIPAN, le Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés.
Fondé en 1977, ce service du Centre national d'études spatiales (CNES) basé à Toulouse comporte quatre scientifiques, épaulés par des enquêteurs bénévoles et des experts. Ils répertorient et enquêtent sur les 500 à 800 signalements faits par an en France. Et plus que les photos, ce sont davantage les témoignages qui sont pris en compte, comme celui d'une automobiliste bretonne, reçu en début d'année.

"C'était une personne qui a été confrontée à la vision de trois signaux rouges dans le ciel", raconte Frédéric Courtade, président du GEIPAN. "Ces signaux l'ont suivi un petit moment alors qu'elle circulait." Ce cas fait partie des très rares situations, qui, malgré un long travail d'enquête, n'a pas été résolu.
On a à peu près 3% de cas que l'on ne peut pas expliquer", estime Frédéric Courtade. "Je dis inexpliqué, mais je ne peux pas dire inexplicable. Je vous affirme qu'on a jamais décelé la présence d'extraterrestres sur Terre !" Pourtant, chaque jour depuis 47 ans, le GEIPAN reçoit plusieurs signalements d'objets volants non identifiés.
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États-Unis : à Chicago, la rivière est peinte en vert pour célébrer la Saint-Patrick
Huffpost

Chaque année à l’occasion de la Saint-Patrick, la rivière Chicago est teinte en vert par les habitants de la ville éponyme.
Comme chaque année, la rivière qui traverse Chicago est devenue vert fluo. Un moyen pour célébrer de manière originale les festivités de la Saint-Patrick (dont le vert est la couleur emblématique), dans une ville qui concentre une importante communauté irlandaise.
Mais de quoi cette teinture est-elle faite, au juste ? Il s'agirait d'une "poudre dérivée d'une base de produits végétaux respectueux de l'environnement", assurait CNN en 2019.

Au fil des ans, les quantités de substance utilisées ont fortement diminué, a souligné la revue américaine Chicago Magazine. En 1962, les plombiers ont déversé plus de 45 kilos de ce produit dans la rivière, et l'eau est restée verte une semaine ! Aujourd'hui, ils en utilisent environ 18 kilos, et l'eau retrouve sa couleur naturelle en quatre ou cinq heures.
Une belle manière de célébrer le Saint patron de l'Irlande
À Chicago, teindre la rivière demeure une vieille tradition datant de 1962. Tout aurait commencé quand le maire de l'époque, Richard J. Daley, aurait voulu colorer une partie du lac Michigan en vert pour célébrer la Saint-Patrick, selon les archives du Chicago Tribune. Une perspective guère réaliste : cette étendue d'eau qui borde la ville et s'étire jusqu'au Canada est tout bonnement immense.
C'est Stephen Bailey, un ami du maire, cadre du Syndicat des plombiers de la ville et organisateur de la parade de la Saint-Patrick, qui aurait eu l'idée de colorer la rivière Chicago. Il aurait vu un plombier rentrer dans les locaux du syndicat, la tenue de travail constellée de taches vertes. Il s'agissait de traces d'un colorant que ce dernier avait utilisé pour remonter à la source d'une fuite.
Stephen Bailey aurait alors appris que cette substance est aussi capable de colorer la rivière d'un vert éclatant, et il voit là une manière de célébrer le Saint patron de l'Irlande. Nous sommes alors en 1961 et, l'année suivante, il décide de déverser d'importantes quantités de ce produit dans la rivière le jour de la parade de la Saint-Patrick. Plus de soixante ans plus tard, les images du cours d'eau teinté de vert font le tour du monde, chaque année.
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Paris : Les pires excuses de cyclistes verbalisés compilées dans des vidéos par la préfecture de police
20Minutes
SÉCURITÉ ROUTIÈRE•Plusieurs infractions tristement communes sont passées en revue, dont le franchissement d’un feu rouge le téléphone à la main, ou encore l’utilisation d’écouteurs
C'est une campagne de prévention pour le moins… cocasse. Sur TikTok, la préfecture de police a publié des vidéos dans lesquelles sont rassemblées les réactions de cyclistes lors de contrôles routiers, a repéré Le Parisien.

Et si la sensibilisation au danger sur les routes est particulièrement sérieuse, le contenu des vidéos prête quant à lui à sourire. En effet, les cyclistes tentent tout, frôlant (souvent) le ridicule, pour échapper aux sanctions. Ces derniers risquent une amende forfaitaire de 90 à 135 euros selon la nature de l’infraction, rappellent nos confrères. En cas d’infraction grave, leur permis peut même être suspendu.
« A Copenhague on a le droit »
« C’est-à-dire, le Code de la route ? », s’interroge un cycliste. Ce qui donne le ton pour la suite. Lorsqu’une policière fait remarquer à un autre que le feu était rouge, ce dernier lui lance un « Ah ouais ? J’ai juste vu les voitures arrêtées, je me suis dit que… », avant de ne plus trouver ses mots.
La vidéo continue entre excuses alambiquées, surréalistes, ou encore des cyclistes qui ne savent vraiment pas quoi répondre ( « Je je je je… »). « Il n’y a pas que moi, il y a des millions de gens. (…) Il n’y a pas que moi sur la route, il y a des centaines, des centaines qui ne respectent même pas les règles. Si jamais je n’ai pas ma pièce d’identité avec moi, comment vous allez faire ? », tente un autre.

Réponse des policiers : « Commissariat. Vérification. 4 heures. » Plusieurs infractions sont passées en revue : franchissement d’un feu rouge, téléphone à la main, utilisation d’écouteurs… « Moi, j’habite à Copenhague. Et à Copenhague on a le droit… », se risque même un cycliste.
Des vidéos qui n’ont pas manqué de faire réagir les internautes, entre félicitations aux policiers, remarques sérieuses sur le Code de la route et moqueries envers les cyclistes interrogés. « Quel divertissement de voir les cyclistes qui ne respectent rien se faire verbaliser. Il faut faire d’autres épisodes », suggère un internaute. « Très bonne initiative mais il faudrait le faire beaucoup plus souvent, ils sont vraiment dangereux », estime un autre. « Non mais ils ont tous des réponses foireuses », peut-on également lire. Un succès inattendu.
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Espace. Une nouvelle étoile va faire son apparition, voici comment ne pas la rater
OuestFrance
Le système stellaire T Coronae Borealis, situé à plusieurs milliers d’années-lumière de la Terre, va connaître un bouleversement. Une réaction thermonucléaire va le rendre plus lumineux. À tel point que vu de notre planète, le phénomène qui sera bref va se traduire par l’apparition d’une étoile.
Une nouvelle étoile va apparaître dans le ciel. L’événement rarissime et observable sans instruments est attendu par les astronomes entre mars et septembre 2024. Cet événement cosmique, qui est en fait une nova, soit l’explosion d’une étoile, se déroule à quelque 3 000 années-lumière dans le système T Coronae Borealis (T CrB), nous apprend TF1 Info . La dernière fois qu’une pareille situation s’est produite, c’était en 1946. Une explosion de nova intervient tous les 80 ans environ, explique la NASA sur son blog. Si bien que la prochaine fois ne devrait pas être avant 2104.
Une petite étoile et une grande
Le système stellaire T Coronae Borealis contient deux étoiles : une naine et une géante rouge. Elles sont suffisamment proches l’une de l’autre pour que des échanges se produisent. « À mesure que la géante rouge devient instable en raison de l’augmentation de sa température et de sa pression et commence à éjecter ses couches externes, la naine blanche collecte cette matière à sa surface », a analysé l’agence spatiale américaine. Une fois que la naine blanche se réchauffe suffisamment, il se produit une réaction thermonucléaire. Elle devient alors bien plus brillante.

T Coronae Borealis est normalement invisible à l’œil nu par les terriens car sa luminosité est trop faible. À l’occasion de l’explosion, il va cependant dégager une luminosité comparable à celle de l’étoile polaire Polaris. Une fois sa clarté maximale atteinte, l’astre pourra être observé pendant plusieurs jours, et même un peu plus d’une semaine avec des jumelles, avant de voir son brillant s’atténuer et de quitter la sphère visible.

Les incertitudes des experts
Pour observer la nouvelle étoile, il faudra regarder en direction la constellation de la Couronne boréale, ou couronne nord, un petit arc semi-circulaire près de Bouvier et d’Hercule, détaille la NASA. Le problème est que les spécialistes sont incapables de prédire de manière précise quand la nova va intervenir. Mais l’agence spatiale devrait avertir les amateurs de la future apparition de l’étoile.
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Une chanson bretonne passée inaperçue lors de sa sortie, il y a 18 ans, cartonne grâce à une tiktokeuse canadienne

20Minutes
BOMBE À RETARDEMENT•Le groupe breton Mediavolo a sorti sa chanson Mass Anasthesia en 2006 mais c’est il y a quelques mois, lorsqu' une ado canadienne la partage sur TikTok qu’elle devient virale. Elle est quasi à 5 millions d’écoutes sur Spotify

Qui aurait cru qu’un groupe breton plutôt confidentiel enflammerait TikTok ? Le duo pop-rock Mediavolo, né à Brest en 1999, connaît un succès à retardement qui s’étend au-delà des frontières françaises.

En 2006, Géraldine Le Cocq et Jacques Henry sortent leur morceau Mass Anasthesia et à l’époque, il passe quasi inaperçu. Mais c’était sans compter sur le coup de foudre d’une adolescente canadienne pour la chanson, il y a quelques mois, raconte BFMTV.

De 50 visites mensuelles à cinq millions d’écoutes sur Spotify
Elle le partage sur TikTok et de nombreux abonnés se filment en reprenant la chanson. Alors que le groupe breton cumulait environ 50 visites mensuelles avant que les réseaux ne s’en mêlent, leur titre Mass Anasthesia frôle aujourd’hui les cinq millions d’écoutes sur Spotify.
Devenus professeurs de musique, les deux artistes comptent bien saisir cette opportunité pour relancer leur carrière. France 3 Bretagne annonce d’ailleurs que Mediavolo n’a pas traîné et vient de sortir un nouvel album baptisé « Away within ».
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Comme quoi, Tik Tok n'est pas que du mauvais
"Que l'homme prenne conscience qu'il est lui-même en quête perpétuelle de subsistance dans la main de Dieu, et que, de même que Dieu répond à sa prière, il doit répondre à la prière des pauvres."

― Yosef Karo
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Ovnis, aliens… Dans cette immense bibliothèque souterraine, on explore les mystères du paranormal
OuestFrance

En Suède, dans la ville de Norrköping, une énorme bibliothèque catalogue les phénomènes paranormaux. Ces articles de presse et livres, témoignages de personnes assurant avoir voyagé sur Vénus ou la lune attirent de nombreux historiens et curieux du monde entier.
Articles de presse et livres, témoignages de personnes assurant avoir voyagé sur Vénus ou la lune : les phénomènes paranormaux ont leur bibliothèque sur quatre kilomètres de sous-sol dans la ville de Norrköping en Suède, attirant historiens et curieux du monde entier.
Clas Svahn, 65 ans et Anders Liljegren, 73 ans, ne sont ni croyants, ni superstitieux, mais aiment se présenter comme des « enquêteurs curieux de l’inconnu » lorsqu’ils dévoilent leur documentation, accumulée depuis cinquante ans, traitant de « l’inexplicable ».

Les livres constituent l’essentiel de leur fonds, qui comporte des documents plus originaux comme des témoignages sur bandes magnétiques et des photographies de spectre, le tout sur les 700 m2 de leur association Archives for the Unexplained (AFU).

« Ce que nous construisons ici à AFU, c’est un dépôt de connaissances », explique Clas Svahn qui assure que leur bibliothèque improvisée est la plus grande de ce type au monde. « Nous essayons d’obtenir le plus possible d’informations sur des mystères scientifiques non résolus pour les mettre à disposition du monde. » Il dit recevoir la visite d’environ 300 personnes par an.
Des archives en cours de numérisation

Ces archives sont en cours de numérisation, et une grande partie des pièces est déjà consultable sur un serveur, à condition d’avoir les codes d’accès - que les archivistes partagent volontiers.

Greg Eghigian, professeur d’histoire et de bioéthique à l’université d’État de Pennsylvanie, a traversé l’Atlantique pour se plonger dans les locaux de l’AFU, dans le cadre de ses recherches pour un livre sur l’histoire du phénomène « ovni ». « J’ai travaillé dans d’innombrables archives en Europe, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Mon séjour à l’AFU a été sans conteste le plus fascinant et le plus productif », dit-il. À mon avis, on ne peut pas étudier le sujet de manière approfondie sans consulter » ce fonds.
Longtemps stigmatisé et rangé du côté du folklore, le fameux « objet volant non identifié », ou ovni, se taille peu à peu une place dans la recherche scientifique. Mi-septembre, la Nasa a publié un rapport formulant des recommandations sur la façon de les étudier de manière rigoureuse à l’avenir.
Hugo et le Vietnam

Dans le local consacré à ces phénomènes aérospatiaux inexpliqués, Clas Svahn feuillette les pages jaunies d’un livre à la couverture rouge.

L’ouvrage, tiré de la scène underground ufologiste de l’URSS, a été publié sous forme de samizdat (texte clandestin) entièrement dactylographié et existant en seulement 7 ou 8 copies originales.

« C’est une pièce rare », savoure-t-il, faisant défiler annotations russes et croquis de fusées. « Ils ne savaient pas ce qu’ils voyaient, mais il s’agissait en fait de lancements de fusées » depuis le cosmodrome de Plessetsk, assure le passionné qui a décortiqué le contenu du livre avec des russophones.

Les archives de l’AFU regorgent d’histoires étonnantes, comme celle de Victor Hugo lors de son exil politique sur l’île de Jersey au large des côtes françaises, mis en évidence dans une exposition au musée d’art de Norrköping. Dans ses notes prises pour préparer l’écriture des Tables tournantes de Jersey publiés à titre posthume en 1923, l’écrivain décrivait les contacts qu’il avait eus avec sa fille décédée.

Ces écrits ont donné naissance à une nouvelle religion observée par plusieurs millions d’adeptes au Vietnam, explique le curateur de l’exposition, Magnus Bärtås. Une fresque de Victor Hugo orne aujourd’hui le mur d’un temple à une dizaine kilomètres au nord de Ho Chi Minh ville.

Lire aussi : Ces scientifiques travaillent dans une maison hantée, voici pourquoi

« C’est une matière sociale »

En accumulant toutes ces données sur l’anormal, la médiathèque artisanale « couvre aussi le folklore, les croyances », indique Clas Svahn, qui souligne que les archives ne se limitent pas seulement aux ovnis. « C’est une matière sociale, (qui montre) l’impact sur la société dans le monde entier et sur la vie des gens. » Les croyances évoluent de génération en génération et ce qui était superstitieux et rejeté comme tel auparavant ne l’est pas forcément aujourd’hui.
L’artiste Ida Idaida a passé un mois à faire des recherches dans les archives souterraines de l’AFU pour créer son œuvre, une gigantesque structure en bois noir.

Elle s’est inspirée des expériences de femmes sorcières, glanées dans des livres, qu’elle souhaite mettre en valeur. Leurs connaissances ont, à travers l’Histoire, été méprisées, dit-elle.

Les personnes dont l’expérience et les témoignages ne sont pas pris au sérieux trouvent, avec ces archives, un espace, selon Magnus Bärtås. « Juste parce que quelque chose est (bizarre) ou inexpliqué, il ne faut pas le rejeter, nous devons l’étudier et être ouverts », fait-il valoir.
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Sur les côtes méditerranéennes, cette punaise géante « mordeuse d’orteils » peut faire très mal
OuestFrance
Des punaises d’eau géantes, causant de douloureuses morsures, ont été récemment repérées sur l’île de Chypre, selon une étude du Muséum national d’histoire naturelle de Bucarest. L’expansion de cette espèce inquiétante, piquant sans distinction des crustacés, des tortues et même des orteils humains, invite à la vigilance des baigneurs.
Publiée en 2023, une étude du Muséum national d’histoire naturelle « Grigore Antipa » de Bucarest rapporte que des « punaises d’eau géantes » ont été observées sur l’île de Chypre. Selon L’Indépendant , la morsure de cet insecte marin, qui peut mesurer jusqu’à 12 centimètres, provoquerait une douleur extrême.
Belostomatidae de son nom scientifique, cette punaise est également appelée « scorpion d’eau » ou « toe biter » (« mordeuse d’orteils », en Français). Si elle se trouve généralement dans les eaux calmes et stagnantes, elle est également capable de voler. Grâce à sa morsure, consistant à injecter sa salive digestive avant d’aspirer le contenu liquéfié, elle peut chasser une vaste gamme de proies, allant des crustacés aux tortues en passant par les amphibiens et les poissons.
Une espèce en pleine expansion
Selon l’étude, la « mordeuse d’orteils » a été observée pour la première fois à Chypre en 2020. Depuis, sa présence aurait été signalée à de nombreuses reprises. Les scientifiques indiquent même qu’elle se « disperse vers des nouvelles zones dans le bassin méditerranéen ». La punaise géante aurait déjà été observée en Italie, dans les Balkans, en Grèce et au Moyen-Orient. « Les spécimens pourraient avoir été transférés par le vent ou les courants marins, ou pourraient avoir été provoqués par une diminution des ressources alimentaires dans leur zone de répartition initiale », indique l’étude.

La morsure de cette punaise géante étant l’une des plus douloureuses comparée à celles infligées par ce type d’insectes, les scientifiques invitent la population chypriote et les touristes à « garder les yeux ouverts et les pieds hors de l’eau ». Pour l’heure, il est néanmoins trop tôt pour parler d’une implantation de la punaise géante à Chypre, nuancent les chercheurs.
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Quelle est la plus belle ville de France selon la science ?
RTL
Un site a établi un classement mondial des plus belles villes du monde selon une formule mathématique. Sur vingt-cinq, trois sont françaises.
Le site de courtage Online Mortgage Advisor a publié un classement assez original : celui des 25 plus belles villes du monde selon... la science ! Il s'est basé sur la logique du Nombre d’or. C’est une formule mathématique, à partir de la suite de Fibonacci, utilisée généralement en art ou en design. Cette formule a été appliquée à plus de 2.400 bâtiments à travers le monde entier, ce qui a permis d’établir un "score de beauté" pour chaque ville. Dans les 25 premières, la plupart sont européennes, 3 sont françaises.

Ainsi, selon la science, la ville de Venise (Italie) est la plus belle du monde. Son romantisme et ses gondoles lui permettent d'obtenir un score de 83,3%. Juste derrière, la capitale italienne, Rome talonne de près avec 82%. Pour compléter le podium, Barcelone (Espagne) arrive 3e. La ville qui accueille la Sagrada Familia obtient 78,7%. Une seule ville hors de l'Europe est dans le classement, il s'agit de New-York (États-Unis), 5e.

Bordeaux devant Paris et Strasbourg
La France n'est pas en reste puisque 3 villes sont dans le classement. Si Paris n'arrive que 12e avec un score de 74,7%, c'est bel et bien la ville de Bordeaux qui est considérée comme la plus belle ville de France. Elle obtient 75,3% à la formule utilisée par le site de courtage, ce qui la hisse à la 9e place mondiale. Une autre commune française fait partie du palmarès : il s'agit de Strasbourg, 22e au classement et un score de beauté de 69,1%.
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Le jet de mangues élevé au rang de sport
LaPresse.ca
(Rio de Janeiro) Quand ils étaient adolescents, en Amazonie, les frères Hildebrando s’amusaient à se lancer des mangues en même temps, l’un devant rattraper le fruit lancé par l’autre avant qu’il tombe par terre.
Ce passe-temps a été transformé en un vrai sport, pratiqué dans plusieurs régions du Brésil, avec des règles bien précises. Et les mangues ont été remplacées par des ballons ovales.

Le « manbol », comme a été baptisée cette curieuse discipline, a fait son chemin jusqu’à la célèbre plage de Copacabana, à Rio de Janeiro, où sont pratiqués de nombreux sports en plein air.

Sur le sable chaud, l’aire de jeu ressemble à un terrain de volleyball de plage, comme il y en a des dizaines à Rio. C’est un rectangle de dix mètres de long et cinq de large, délimité par des cordes bleues, avec un filet au milieu.
Sauf que l’objet en polyuréthane qui vole au-dessus de ce filet n’est pas rond, mais ovale, de la taille d’une mangue, soit environ trois fois moins gros qu’un ballon de rugby.

Le « manbol » teste les réflexes des joueurs : comme les ballons sont lancés simultanément, il faut rattraper celui qui vient de l’adversaire juste après avoir envoyé le sien.

Joutes ultrarapides
« Au début, c’était un simple jeu entre nous, mon frère Rogério me lançait une mangue et je lui renvoyais. Mais, au bout d’un moment, je me suis dit que ce serait plus amusant en se lançant chacun une mangue en même temps », raconte à l’AFP Rui Hildebrando, 44 ans.
En voyant les deux adolescents s’adonner à ces joutes ultrarapides à Belém, dans l’État du Para, leur entourage s’est vite pris au jeu.

Rui Hildebrando a alors décidé de créer des règles et de choisir le matériel idéal pour la pratique de ce sport né officiellement en 2004, quand il a fondé la Confédération brésilienne de manbol.

Les règles sont simples : comme au volley, on marque un point si le ballon passé par-dessus le filet tombe dans l’autre camp, ou si l’adversaire l’envoie en dehors des limites du terrain. Si les deux marquent lors du même échange, le point est rejoué.

Pour gagner le match, il faut remporter deux manches de douze points. On peut jouer en simple, en double, voire à trois joueurs de chaque côté, et chaque partie dure en général de 15 à 25 minutes.

« C’est un sport très dynamique, et le fait qu’il y ait deux ballons le rend très amusant. C’est fatigant, mais avec un peu de pratique, on peut vraiment se faire plaisir », s’enthousiasme Adriana Mathias, enseignante d’éducation physique de 46 ans, qui pratique le « manbol » depuis 2007.
À Copacabana, certains passants interrompent leur promenade pour assister à quelques échanges. « Ce qui a attiré mon attention, c’est que cela demande une grande mobilité. Ça m’a semblé intéressant et j’ai décidé d’y jeter un œil », dit Beti Biaggi, kinésithérapeute de 53 ans.

Présenté à Lula
Ce sport compte environ 2000 adeptes, avec des fédérations régionales dans les États de Rio de Janeiro (sud-est), du Para (nord), du Ceará (nord-est) et dans le district fédéral de Brasilia (centre-ouest), assure Rui Hildebrando, qui fait également état de démonstrations dans 11 pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Sud.

Le « manbol » reste donc encore relativement confidentiel au Brésil, immense pays de plus de 200 millions d’habitants, mais il a été reconnu officiellement comme « discipline sportive » par le conseil municipal de Belém en 2016.

En juin dernier, il a été présenté par les autorités locales au président Luiz Inacio Lula da Silva, lors d’une visite officielle dans cette ville qui accueillera en 2025 la COP30, conférence sur le climat des Nations unies.

« C’est un sport inclusif, qui peut être pratiqué par des gens de tout âge et classe sociale. Il fait travailler plusieurs aspects physiques, notamment les réflexes et l’agilité. Le “manbol” a tout pour grandir », prédit Katia Lessa, présidente de la Fédération de « manbol » de Rio.

Elle rêve de voir son sport devenir une discipline olympique, même s’il est à des années-lumière de la popularité du football ou du volley au Brésil.
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Oxford accuse les excréments présents dans l’eau de lui avoir fait perdre cette célèbre course
Ce samedi, la mythique course d’aviron « Boat Race », opposait les étudiants des universités britanniques de Cambridge et d’Oxford, ces derniers justifient leur défaite tant bien que mal.

Par Le HuffPost

AVIRON - Les étudiants d’Oxford sont-ils mauvais perdants ? C’est ce qu’on pourrait croire face aux justifications d’un membre de l’équipe. Lors de la 169e édition de la « Boat Race », la prestigieuse université britannique n’a remporté qu’une course sur quatre face aux rameurs de Cambridge.

Après la course, Leonard Jenkins, rameur à Oxford, a regretté « la présence d’excréments dans l’eau ». Il a déclaré à la BBC que son équipe « avait quelques gars qui avaient été assez gravement atteints par la bactérie E. coli, ce matin, je vomissais, je n’étais pas sûr que j’aurais une chance d’être dans le bateau ».
Des prélèvements récents avaient effectivement révélé la présence de cette bactérie, souvent responsable de gastro-entérite, dans la Tamise.

La bactérie n’a pas empêché les équipes féminines et masculines de Cambridge de remporter la victoire. Les étudiants de cette université mènent désormais 87 victoires à 81 depuis la création de la course en 1829.

Parmi les vainqueurs se tenait Noam Mouelle, jeune français de 22 ans. Cet étudiant en physique à Cambridge avait déjà gagné au sein de l’équipe l’année dernière. Il devient ainsi le premier rameur tricolore à inscrire son nom deux fois au palmarès de la Boat Race.
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