Questions existentielles - page 262

Pour se reposer quelques minutes
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Noël : quelle est l'origine de la tradition de la crèche ?
RTL
Si les premières célébrations de Noël remontent au IVème siècle siècle, les crèches, elles, ne sont installées que depuis le XIIIème siècle.
Dans certains familles, c'est une tradition qui perdure d'année en année : placer une crèche sous le sapin au moment de fêter de Noël pour représenter la naissance de Jésus avec Marie, Joseph et les rois mages. Un moyen de célébrer la nativité, la naissance du Christ. Normalement, l'enfant Jésus doit être placé dans la crèche à minuit.
À quand remonte cette pratique ? Selon la légende, Saint-François d'Assise, fondateur de l'ordre des Frères mineurs, aurait été le premier à mettre en place une crèche pour célébrer la nativité. Installée dans le village de Greccio, en Italie, en 1223, celle-ci aurait été "vivante", c'est à dire incarnée par de vraies personnes et animaux. Un lieu que le pape François a visité au mois de décembre.

Des crèches vivantes sont encore parfois incarnées, mais le plus souvent, elles sont plutôt composées de figurines. Une pratique qui serait apparue plus tard, plutôt vers le XVIème siècle, explique La Croix, alors que les santons, eux, ne seraient communs que depuis le XIXe siècle.
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Une huître de 2,22 kg récoltée dans le Finistère
OuestFrance
​Une huître de 2,22 kg a été récoltée mi-décembre 2021 au sein de l’exploitation Les Huîtres de Pen al Lann, à Carantec (Finistère). Son poids surpasse de peu le record établi par le mollusque pêché en 2020, déjà à Carantec, qui pesait lui 2,2 kg.
On se souvient de l’huître massive – 2,2 kg – pêchée au chantier ostréicole d’Alain Morvan, à Carantec (Finistère) en octobre 2020. Elle dépassait le poids du record enregistré par le livre des records Guinness : un mollusque de 1,62 kg pêché en 2013 au Danemark.
Au large de cette même ville, l’entreprise Les Huîtres de Pen al Lann assure avoir dépassé ce mastodonte en récoltant une huître, « draguée mi-décembre » 2021, de 2,22 kg. Record battu à quelques grammes près ! Même si rien n’a été homologué officiellement.

Plus de 26 cm de longueur
Selon Gireg Berder, responsable de l’entreprise Les Huîtres de Pen al Lann, à Carantec (Finistère), par qui le spécimen a été récolté, ce dernier mesure 26,5 cm de long, 13 cm de large, 10 cm d’épaisseur.
Comme l’entreprise élève ses huîtres au sol, il s’agit sûrement d’une huître oubliée « qui a pu s’enfouir dans le sable, dans un coin du parc ostréicole qui n’a pas été travaillé ». Gireg Berder estime qu’elle a été semée en 2006. Ce qui ferait de l’huître un beau bébé de 15 ans.

Même de cette taille, le mollusque reste comestible, confirme l’ostréiculteur. Il a d’ailleurs été vendu à un client de l’exploitation.
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7 histoires insolites qui ont marqué l’année 2021
En cette fin d'année, RTL revient sur 7 histoires insolites qui ont marqué 2021.
L'année 2021 a été bien remplie. Comme c'était déjà le cas en 2020, le monde a dû faire face à l'épidémie de Covid-19, qui a malheureusement bien occupé notre quotidien et nos actualités. Mais en marge de l'actualité politique et sanitaire, de nombreuses histoires farfelues ont vu le jour.
Animaux surprenants, records improbables, naissances surréalistes ou découvertes inattendues, cette année encore, certains se sont surpassés pour nous étonner. Avant de tourner la page et d'entrer dans 2022, faisons un petit retour sur ces infos qu'on n'aurait jamais pensé lire un jour.

Une grenade pas comme les autres, des chameaux botoxés, une viennoiserie qui affole tout un quartier ou encore un fan de Maradona qui pousse le culte à son paroxysme... RTL vous fait un petit récap de 7 histoires insolites qui ont marqué l'année 2021.

Des chameaux botoxés disqualifiés d'un concours de beauté
C'était début décembre, des dizaines de chameaux victimes d'injections de botox. Quarante-trois animaux ont été exclus du concours organisé par le roi d'Arabie saoudite. Des disqualifications en cascade qui ont causé un scandale au niveau local. Avec des prix allant jusqu'à 58,5 millions d'euros, le festival organisé par le roi saoudien est un rendez-vous annuel ancré dans la tradition bédouine alors qu'il accueille des éleveurs venant de tout le Golfe.
Un concours de beauté qui départage les chameaux sur quelques critères principaux : la forme et la taille des lèvres, celles du cou et celles de la bosse. Et c'est justement sur ces zones que se sont portés les soupçons des organisateurs de l'événement. A la suite de l'examen physique, un passage aux rayons X a montré que plusieurs dizaines d'animaux avaient subis des injections de botox.

Une drôle de grenade
En avril dernier, la police allemande de Bavière a été alertée par un joggeur pensant avoir trouvé une grenade à main dans un sac dans la forêt. 75 ans après la Seconde Guerre mondiale, il peut être fréquent de tomber sur d'anciennes munitions dans la forêt. Mais sur place, les policiers inspectent le contenu du sac et s'aperçoivent qu'il s'agit en fait d'une réplique de grenade en caoutchouc.

Ils trouvent également du lubrifiant et des préservatifs dans le sac, ne laissant plus beaucoup de doutes sur la réelle fonction de l'objet. Après des recherches sur internet, ce qui semblait être une arme de la Seconde Guerre mondiale était en fait un sextoy. La police n'a en revanche pas précisé si quelqu'un s'est manifesté pour récupérer le sac égaré.

Un fan un peu trop fan
Le 25 novembre 2021, soit pile un an après la mort de la légende du football Diego Maradona, Walter Rotundo, un Argentin de 39 ans, est devenu l'heureux père d'un petit garçon, son troisième enfant, qu'il a appelé... "Diego". Ce qui est plus fou, c'est que le petit "Diego" a rejoint au foyer ses deux soeurs de 10 ans, prénommées... "Mara" et "Dona".

Walter Rotundo a expliqué à l'AFP qu'il n'avait jamais rencontré Maradona, mais lui avait envoyé, il y a dix ans, une photo de ses jumelles nées d'une précédente union, en lui expliquant que leurs prénoms constituaient un hommage.

Grossesse XXL
Autre histoire insolite autour des naissances, au Mali cette fois. Début mai, une jeune Malienne qui pensait être enceinte de septuplés a finalement accouché au Maroc de neuf bébés, cinq filles et quatre garçons. Le porte-parole du ministère marocain de la Santé, Rachid Koudhari, a dit à l'AFP ne pas avoir connaissance d'une telle naissance multiple dans un hôpital du pays.

Originaire de Tombouctou au nord du Mali, Halima Cissé avait été prise en charge à Bamako, puis transférée le 30 mars au Maroc pour un meilleur suivi de cette grossesse qui "sort de l'ordinaire", selon le ministère malien de la Santé.

Un titre pas comme les autres
La Belgique n'est toujours pas championne du monde de football mais peut se targuer d'un autre titre : celui de champion du monde de décorticage de crevettes grises. La compétition s'est tenue en août près de Dunkerque et c'est donc la Belge Katty Vanmassenhove qui a été sacrée en décortiquant 116 grammes de crevettes grises en 10 minutes.

Un croissant dans un arbre
Dans la catégorie "fausse alerte", direction la Pologne maintenant. En avril, des inspecteurs en charge de la protection animale ont fait part de leur perplexité après avoir été contactés pour interpeller un animal qui présentait une allure dangereuse. La Société de protection des animaux de Cracovie a raconté avoir reçu un appel désespéré d'une habitante : "Cela fait deux jours qu'il est dans un arbre en face de la maison ! Les gens n'ouvrent pas leurs fenêtres parce qu'ils ont peur qu'il entre chez eux. Il est marron, il est posé dans un arbre".

Les agents de la SPA ont aussitôt pensé qu'il pouvait s'agir d'un oiseau de proie. Sur place, les inspecteurs sont tombés nez-à-nez avec l'objet de toutes les attentions, installé dans un lilas. Un bien drôle d'animal, puisque celui-ci n'avait "ni pattes ni tête". Et pour cause : la mystérieuse créature était en réalité un croissant !

Il retrouve son portefeuille perdu en Antarctique en 1968
Si vous avez perdu votre portefeuille récemment, gardez espoir : un Américain de 91 ans a réussi à retrouver le sien, égaré en Antarctique il y a plus d'un demi-siècle ! Paul Grisham, ex-météorologiste de la Marine américaine, ne se souvenait même plus d'avoir perdu l'objet quand des inconnus l'ont contacté pour le lui remettre par courrier.

La découverte fortuite s'est faite au moment de la destruction en 2014 de la base scientifique sur l'île de Ross où était stationné le marin en tant que prévisionniste d'octobre 1967 à novembre 1968. Le portefeuille de Grisham était ainsi caché derrière un vestiaire et contenait, entre autres, sa carte d'identité de la Navy, son permis de conduire, des consignes en cas d'attaque biologique ou chimique, et... un ticket de rationnement pour la bière.
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Après cinq ans dans le sable, l’alliance retrouve son propriétaire grâce à la solidarité bretonne

OuestFrance

​Une habitante de Crozon (Finistère), aidée de quelques amis et internautes anonymes, a retrouvé le propriétaire d’une bague perdue sur une plage de la presqu’île. L’alliance, gravée des seuls prénoms des époux, a passé cinq années dans le sable. La remontée de la piste a duré deux mois.
Louise Guérin a le soleil du Québec dans la voix et le cœur sur la main. Pendant deux mois, cette Bretonne d’adoption a remué ciel et terre pour tenter de retrouver le propriétaire d’une alliance perdue sur une plage de la presqu’île de Crozon (Finistère). Et elle a réussi. Tout remonte au mois de février 2021. Un ami lui confie la bague qu’il vient de trouver sur la plage de l’Aber, à Crozon, avec un détecteur de métaux (*). À l’intérieur, deux prénoms, Vincent et Gwenaëlle, et une date, le 17 août 2013.

La Québécoise finistérienne sait que le chantier sera vaste. « Mais ça me faisait trop de peine que cette alliance reste orpheline alors qu’elle était le témoin de l’une des plus belles journées de leurs vies », raconte Louise, qui publie aussitôt un avis sur plusieurs pages et groupes Facebook attachés à la vie de la presqu’île de Crozon.

Dans le sable depuis 2016

Après quelques premières réactions « pas franchement sympathiques », s’ensuit une chaîne de solidarité. Au début du printemps, l’une des internautes anonymes qui relaient sa démarche lui dit : « J’ai tapé, pour le fun, les noms et la date, sur internet. J’ai trouvé cette annonce signée madame Le Gal, sur un site spécialisé. », « Et là, tout a déboulé ! », raconte Louise. On apprend ainsi que la bague est dans le sable depuis 2016… Après avoir contacté tous les Vincent Le Gal (une vingtaine), et toutes les Gwenaëlle Le Gal (six ou sept) que compte Facebook, Louise appelle un soir tout ce que compte l’annuaire de V. Le Gal en Bretagne. « Heureusement, ils sont un peu moins courants que les Le Gall », souligne Louise.
C’est allé d’autant plus vite que la plupart par des gens ne lui ont pas répondu. « Je me suis fait pour ainsi dire « fermer la ligne au nez » au moins deux fois. Une seule dame a parlé avec moi et ça a été pour me dire que son Vincent venait de mourir. Pauvre Vincent ! Pauvre madame ! Mais ce n’était pas celui que je cherchais… »

Le Gal, pas Le Gall

Louise décide alors de se tourner vers les mairies du département. Las. On ne peut pas lui donner les informations. Mais ses origines québécoises vont être un atout : « Il est clair mon accent m’a ouvert des portes », confie-t-elle. Discrètement, on lui fait parvenir des informations, mais elles sont négatives. En avril, Louise décroche de ses recherches prenantes. Un déménagement compliqué (toujours en cours) se profile. « J’annonce plein de choses à vendre ou à donner, sur les réseaux sociaux. Je reçois donc une tonne de messages en rapport avec ça. »
Et puis, début mai, un Vincent Le Gal à qui elle avait écrit via Messenger lui répond : « Oui, effectivement je suis marié avec Gwenaëlle en 2013. »

« J’avais la chair de poule. Ça faisait deux mois que je courais après, et là, alors que tu ne l’attends plus, tu te dis : nooooon ! ?? » Louise se ressaisit et poursuit la conversation avec ce Vincent par messagerie instantanée : « Vous n’auriez pas perdu quelque chose par hasard ? » Photo du mariage célébré à La Chapelle-Neuve (Morbihan) à l’appui, la réponse fuse : « Une alliance. » Super-banco pour la bienveillante Québécoise. « Yesss ! C’était lui. »

« THE alliance »

Émotion aussi du côté de Lesneven où les époux sont désormais installés et devenus parents de deux enfants. « Je me suis mise à pleurer, raconte Gwenaëlle. On ne s’attend plus à ça de la part des gens, aujourd’hui. Cette solidarité, c’est incroyable. »

Quand Vincent, qui travaillait en 2016 à Lanvéoc, se rend compte qu’il n’a plus son alliance, Gwenaëlle avait mis des annonces sur internet. Six mois plus tard, faute d’avancées, le couple s’était décidé à acheter une autre bague. « Pour moi, elle n’avait pas la même valeur, raconte Gwenaëlle. Ce n’était pas celle qu’on avait choisie pour s’unir, avec nos proches autour. Elle n’était pas là le jour du mariage et n’avait pas été bénie. Ce n’était pas THE alliance. »

Vincent, qui se défend d’avoir mis du temps à répondre, n’en revient pas non plus. « Le message venant d’un réseau social, on est resté prudents. Et puis, c’était tellement improbable cinq ans après… »

(*) L’utilisation des détecteurs de métaux à des fins archéologiques est conditionnée à l’obtention d’une autorisation préfectorale. La loi du 18 décembre 1989 a soumis à la double autorisation de l’État et du propriétaire du terrain l’utilisation des détecteurs de métaux à des fins archéologiques.
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États-Unis : les avis négatifs sur les bougies odorantes coïncident avec la vague de Covid-19
RTL
À mesure que l'épidémie évolue aux États-Unis, les avis négatifs sur les bougies odorantes augmentent proportionnellement.
Les bougies odorantes en disent long sur la crise sanitaire. La perte d'odorat est rapidement devenue l'un des premiers symptômes connus de la Covid-19, au même titre que la perte du goût. Les personnes infectées sont incapables de discerner la moindre odeur parfois pendant de longs mois.
Dans ce cas, il devient assez difficile de profiter des dernières bougies odorantes que l'on vient de s'acheter. Alors, on se plaint que la bougie n'émet aucune odeur et on lui attribue une mauvaise note. Ce phénomène est devenu récurent aux États-Unis à mesure que l'épidémie a pris de l'ampleur.

Sur Twitter, un internaute a remarqué une certaine corrélation entre le nombre de nouveaux cas de Covid-19 et la hausse du nombre de remarques négatives à l'encontre de ces bougies. Avant la crise sanitaire, les notes variaient entre 4 et 4,5 étoiles, nous apprend le Washington Post, mais depuis le mois de janvier 2020, les notes ont drastiquement chuté et le nombre de personnes se plaignant qu'elles n'émettent aucune odeur n'a cessé de croître.
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Royaume-Uni : une banque verse 150 millions d'euros par erreur, le jour de Noël
rtl
La plupart des banques concernés par le bug de Santander ont accepté de rendre les fonds. Il s'agit pour la plupart des clients concernés de paiement des salaires ou de règlement de factures.
Une erreur technique à 130 millions de livres, soit 150 millions d'euros. Le 25 décembre dernier, la filiale britannique de banque d'origine espagnole Santander n'avait pas prévu de faire un aussi gros cadeau. En raison d'un incident, 75.000 paiements effectués par plusieurs milliers de clients de la banque ont été purement et simplementdupliqués, confirmant ainsi les informations du Times.
"Aucun client n'a, à aucun moment, payé de sa poche", a assuré Santander dans un communiqué ce mercredi 30 décembre. En effet, les sommes des opérations dupliquées ont été puisées dans les comptes de la banque elle-même. Celle-ci précisant toutefois qu'elle travaillait désormais avec plusieurs établissements à travers le Royaume-Uni pour remettre la main sur les sommes indûment versées.

La plupart des banques des bénéficiaires concernés, principalement des salariés des entreprises clientes et leurs fournisseurs, ont selon cette même déclaration choisi de collaborer. Pour autant, selon nos confrères du Times, un établissement bancaire - sans le nommer - afficherait davantage de réticences dans le cas où rendre ces sommes mettait à découvert les comptes de ses clients.
Sur les neufs premiers mois de l'année 2021, la filiale britannique de Santander a réalisé un bénéfice de plus d'un milliard de livres, soit près de 1,2 milliard d'euros et comptait 14 millions de clients.
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États-Unis : une américaine est parvenu à acquérir une maison avec du troc
OuestFrance
Demi Skipper, une américaine vivant à San Francisco, a réussi à acquérir une maison, gratuitement, en faisant du troc. Tout a commencé à partir d'une épingle à cheveux. Elle s'est lancée ce défi en mai 2020, et a raconté son aventure à plus de 5 millions d'abonnés sur son compte TikTok. Après un an et demi de troc, et 28 objets plus tard, elle est parvenue à atteindre son objectif. Elle a finalement réussi à échanger une caravane équipée de panneaux solaires avec une maison dans l'État du Tennessee. Elle s'était donnée cinq ans pour relever ce challenge. Demi Skipper et son mari envisagent de déménager dans la maison pour la rénover. Ils souhaitent ensuite la troquer à une personne dans le besoin, en échange d’une épingle à cheveux.

Voici la liste des 28 objets qu'elle a troqué :
1. Une épingle à cheveux
2. Des boucles d'oreilles
3. Des verres
4. Un aspirateur
5. Un snowboard
6. Une Apple TV
7. Un casque de musique
8. Une console de jeux vidéos
9. Un ordinateur portable
10. Un appareil photo
11. Des chaussures
12. Des chaussures
13. Des chaussures
14. Un smartphone
15. Une voiture
16. Une voiture
17. Un ordinateur portable
18. Un vélo-cargo électrique
19. Une voiture
20. Un collier d'une valeur de 19 500$
21. Un rameur
22. Une Ford Mustang
23. Une Jeep Patriot
24. Un petit chalet roulant
25. Une Honda CRV
26. Trois tracteurs
27. Une carte cadeau de luxe
28. Une caravane avec panneaux solaires
29. Une maison
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Australie : deux ans plus tard, ils retrouvent un ticket gagnant à 100.000 dollars dans une armoire

RTL LA PRESSE - Un couple d'Australiens a retrouvé un ticket gagnant du jeu Warm Wishes dans son armoire, offert deux ans plus tôt pour Noël.
Quel beau cadeau pour fêter la fin de l'année en légèreté ! Une femme a retrouvé un ticket gagnant à 100.000 dollars australiens (environ 64.000 €) dans son armoire à linge alors qu'elle cherchait du papier cadeau, rapporte jeudi 30 décembre le journal 20minutes qui relate le site tiragegagnant.com. Ce ticket du jeu Warm Wishes leur avait été offert deux ans plus tôt pour Noël mais il n'avait jamais été gratté.
C'est en prenant son petit-déjeuner que le couple, habitant Nelson Bay, fait la découverte du jackpot qui dormait depuis deux ans dans leur armoire. "Nous prenions le petit-déjeuner, et ma femme a décidé de le gratter en mangeant", a confié le mari. Devant le ticket gagnant, sa compagne "s’est alors mise à crier de joie" : ce joli pactole permettra, disent-ils, d'acheter une voiture, de s'offrir des vacances et un système de climatisation pour leur maison.

"Nous sommes passés devant ce placard tellement de fois, nous l’avons nettoyé et nous n’avions aucune idée qu’il y avait 100.000 dollars dedans pendant tout ce temps", a déclaré le mari.
Le couple a par ailleurs indiqué qu'il comptait "acheter un tas de tickets à gratter, les insérer dans des cartes de Noël et les offrir à tout le monde". "Avec un peu de chance", ils auront eux aussi une belle surprise à gratter.
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"Canard", "Kaleesy", "Renesmée"... Les prénoms les plus insolites donnés en 2021
RTL
Quelques prénoms originaux voire très originaux ont été donnés en 2021, avec souvent des références culturelles comme Kaleesy, Renesmée ou Vaïana.
Certains parents ont redoublé d'imagination au moment de choisir le prénom de leur enfant né l'an dernier. Certaines communes ont d'ores et déjà publié la liste des prénoms les plus donnés en 2021, comme Paris, Brest ou Le Havre, où trônent respectivement Louise et Gabriel, Arthur et Emma, Jade et Naël. Pour l'heure, l'Insee n'a pas encore dévoilé de bilan national mais certaines villes ont vu naître des bébés aux prénoms pour le moins atypiques.
Ainsi, selon France Bleu, à Périgueux en Dordogne, un petit "Canard" est né en 2021. Dans cette même commune, on retrouve également des références culturelles assez osées comme Kaleesy, personnage de la série Game of Thrones, Renesmée comme dans Twillight ou Vaïana, prénom de l'héroïne du film Disney.

Du côté de Cherbourg dans la Manche, on retrouve Anakynn, référence à Star Wars. Une petite Dua, comme la chanteuse Dua Lipa, ou encore un petit Keanu, comme l'acteur de Matrix Keanu Reeves ont également vu le jour à Draguignan dans le Var.
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Vaucluse : ils conditionnaient leur cannabis dans des sachets "Haribeuh"
RTL - Dans le Vaucluse, les gendarmes ont mis la main sur des sachets de cannabis estampillés "Haribeuh".
C'est une touche d'humour qui n'a pas été du goût des forces de l'ordre. Dimanche 2 janvier, les gendarmes du Vaucluse ont saisi, lors d’une opération anti-drogue dans la commune de Sorgues, d'importantes quantité de résine de cannabis conditionnée dans des sachets ressemblant fortement à ceux de la célèbre marque de bonbons Haribo.
Comme le rapporte France Bleu, ces sachets comprenaient un slogan "Haribeuh c’est beau la vie, y’a de la weed et du teuchi", en référence à la célèbre devise de la marque de confiserie : "Haribo c'est beau la vie pour les grands et les petits". De la cocaïne et des centaines d'euros en liquide ont également été saisies lors de cette opération.

Sur leur page Facebook, les gendarmes du département n'ont pas manqué de se montrer ironiques à l'issue de cette opération : "Haribeuh ce n'est pas bon à notre avis, ni pour les grands ni pour les petits", ont-ils répliqué.
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Se coucher avec ses chaussettes, un tue-l’amour qui permettrait de s’endormir plus facilement
OuestFrance

Garder ses chaussettes en allant au lit, c’est peut-être une façon de s’assurer un sommeil plus facile et plus rapide. Une médecin américaine a fait le buzz sur le réseau social TikTok avec son astuce, et les spécialistes eux-mêmes l’approuvent… Du moins en partie.
L’insomnie fait partie de votre quotidien, vous avez du mal à fermer l’œil la nuit, et vous avez tout essayé pour trouver le sommeil ? L’Américaine Jessica Andrade, médecin, a peut-être trouvé la solution. Avez-vous déjà essayé de garder vos chaussettes pour vous endormir ? La docteure, présente sur le réseau social TikTok sous le pseudonyme de « doctorjesss », délivre régulièrement des conseils et astuces sur son compte, suivi par plus d’un million d’abonnés. Dans une vidéo postée le 10 février 2021, elle expliquait que les personnes qui portent des chaussettes lorsqu’elles vont se coucher ont tendance à s’endormir plus rapidement. Pourquoi ? « Porter des chaussettes réchauffe les pieds et permet de dilater les vaisseaux sanguins qui refroidissent le corps, expliquait-elle. Et le corps refroidi indique au cerveau qu’il est temps de se coucher. De fait, les personnes qui portent des chaussettes ont tendance à s’endormir plus rapidement. »

« Si les pieds sont froids, ils ne réchauffent pas le lit »

Car, au-delà d’être désagréable, se glisser les pieds gelés dans un lit n’est pas propice à un sommeil rapide. En effet, lorsque les pieds sont froids, le corps tout entier doit agir pour les réchauffer. Une activité qui va donc à l’encontre de ce qui est nécessaire pour trouver le sommeil, que le corps se refroidisse.

Joëlle Adrien, docteure en neurobiologie, directrice de recherche à l’Inserm, est une spécialiste du sommeil. Jointe par téléphone, elle approuve la technique proposée par la docteure américaine : « Lorsqu’on se met sous les couvertures, on va réchauffer le lit avec son corps. On fabrique une niche thermique, à la bonne température. En faisant ça, notre corps perd de la chaleur et facilite l’endormissement, nous détaille-t-elle. Mais si les pieds sont froids, ils ne vont pas réchauffer le lit. Et on ne perdra pas la chaleur nécessaire à réchauffer celui-ci. On peut donc recommander pour les personnes qui ont froid aux pieds de mettre des chaussettes avant d’aller se coucher. »
Une bonne méthode « pour s’endormir » seulement

Pour la spécialiste, les chaussettes permettent d’endiguer le problème des pieds froids, et donc de celui causé par l’activation du corps pour les réchauffer. Un effet que ne permet pas, par exemple, l’utilisation d’une bouillotte. « C’est la bouillotte qui va chauffer le lit, pas le corps lui-même… Il ne perdra pas les dixièmes de degrés nécessaires pour atteindre la bonne température. »

Mais garder ses chaussettes toute la nuit pourrait en revanche ne pas être une si bonne idée. Alexandre Aranda, neurologue et médecin du sommeil, interrogé par Madame Figaro en 2018, expliquait : « Si la chaussette n’est pas respirante, la température ne baissera pas. » À l’inverse, la chaussette peut donc bloquer le processus de refroidissement du corps.

Joëlle Adrien abonde : « Très souvent, au cours de la nuit, on peut avoir trop chaud avec les chaussettes. Alors, généralement par réflexe, on enlève ses chaussettes, et la plupart du temps ça ne suffit pas à causer le réveil. » Les deux spécialistes recommandent donc de mettre des chaussettes avant même d’aller se coucher. « 30 à 90 minutes avant d’aller au lit », précise Alexandre Aranda.
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Pourquoi la moitié des bars-tabacs s’appellent-ils Le Balto ?
RTL
Nos débits de tabac semblent se partager dix noms tout au plus
Que l’on soit fumeur ou non, les bureaux de tabac font partie de notre paysage quotidien : il y en a plus de 20 000 en France métropolitaine, et on ne peut pas les louper puisqu’ils sont signalés par ce bizarre logo rouge en forme de losange qu’on appelle la carotte - un symbole exigé par la loi depuis plus de cent ans et qui doit même aujourd’hui être obligatoirement lumineux (on a vraiment peur que les fumeurs ne trouvent pas leur tabac).
Mais d’ailleurs, pourquoi une carotte ? On a parfois raconté que c’était parce qu’on mettait des rondelles de carottes dans les paquets de tabac pour éviter son dessèchement. Mais cette carotte en plastoc accrochée au mur des échoppes ne ressemble pas tant que ça à la racine orange qui fait le nez des bonshommes de neige et la joie des lapins.

Il s’agit en fait d’une allusion à une autre carotte : on a appelé ainsi, à partir du XVIe siècle, par analogie naturellement avec la forme du légume, les feuilles de tabac séchées, roulées et ficelées ensemble. On râpait ensuite ladite carotte avant de consommer le tabac, qui était arrivé en Europe dans les malles de Christophe Colomb, et dont le nom, au passage, dérive de l’espagnol tabaco, raccourci comme souvent par l’usage, le mot espagnol étant lui-même une déformation de l’appellation que donnaient à ce végétal les Indiens d’Haïti.

"J'ai du bon tabac dans ma tabatière"
Christophe Colomb raconte que les Indiens fument le tabac, mais aussi le chiquent et le prisent. Chiquer, c’est mâcher, et priser, c’est aspirer par le nez la poudre des feuilles séchées. Vous vous souvenez de la chanson de notre enfance, J’ai du bon tabac dans ma tabatière ? Elle date du XVIIIe siècle, et elle évoque en fait cet usage ancien du tabac : “j’en ai du fin et du bien râpé, mais ce n’est pas pour ton vilain nez” : dans la chanson, il s’agit bien de tabac à priser. Drôle de sujet pour une comptine, mais enfin…
Il y a un autre truc qui m’a toujours étonnée, moi, c’est le manque d’imagination des débitants de tabac pour baptiser leurs commerces. On dirait qu’un sur deux s’appelle Le Balto ! OK, il y a aussi pas mal de Marigny… Et le Jean-Bart, le Bergerac, le Celtique, le Chiquito, le Narval… Eh bien figurez-vous qu’il existe une explication à cette homonymie tabacologique.

“Il s'agit des marques des tabacs autrefois commercialisés par la Seita”, expliquait au Monde il y a quelques années un certain Jean Biron, ancien président de la chambre des cafetiers à l’Union des métiers de l’industrie de l’hôtellerie. “Dans les années 1950 à 1970, la régie, en situation de monopole, offrait aux débitants une aide substantielle pour peu qu'ils choisissent, comme enseigne, le nom d’une marque de cigarettes ou de cigares.”

Les Balto étaient des cigarettes blondes, les Marigny des brunes, les Chiquito des cigares, le Narval un tabac à pipe… Voilà un mystère de la vie quotidienne élucidé ! (Et s’il vous reste une résolution à prendre en ce début d’année, amis des mots fumeurs, je vous recommande d’essayer de devenir d’anciens fumeurs, une aventure pas facile mais passionnante).
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