Questions existentielles - page 202

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Belgique. Un pigeon voyageur vendu 1,25 million d’euros, record mondial
OuestFrance
Un pigeon voyageur dressé en Belgique, vedette des concours de colombophilie, a été vendu ce dimanche plus de 1,25 million d’euros lors d’une vente aux enchères en ligne, devenant l’oiseau de son espèce le plus cher au monde.

C’est le site spécialisé Pigeon Paradise (Pipa) qui a annoncé ce record mondial : plus de 1,25 million d’euros lors d’une vente aux enchères en ligne, ce dimanche 17 mars en Belgique. Pour acheter un oiseau. Un pigeon voyageur, vedette des concours de colombophilie. Il est vrai qu’Armando est un pigeon flamand mâle de l’élevage de Joël Verschoot, un des plus réputés du pays.
« Personne ne s’attendait à ce que le cap magique d’1 million d’euros soit pulvérisé. Le montant final (de la vente) est de 1 252 000 € », a souligné Pipa sans préciser l’identité de l’acheteur.
Selon l’agence de presse Belga, il s’agit d’un Chinois, qui « utilisera certainement le volatile à des fins reproductives, pour faire naître de nouveaux champions ».
178 pigeons pour 2 millions d’euros

L’intérêt des collectionneurs chinois pour les pigeons voyageurs remonte à quelques années et a fait bondir les prix pour ces « champions », dont la performance consiste à rentrer le premier au bercail, à l’instinct, après avoir parcouru parfois des centaines de kilomètres.
Enracinée en Belgique mais aussi aux Pays-Bas ou dans le nord de la France, la tradition des concours de pigeons voyageurs était sur le déclin. Mais cet intérêt des Asiatiques lui a redonné une seconde vie dans certaines régions.
Selon Pipa, le pigeon le plus cher de l’histoire des ventes sur internet était jusqu’ici « New Bliksem » cédé 376 000 euros en novembre dernier par son propriétaire belge Gaby Vandenabeele.
Fin janvier 2012, Hu Zhen Yu, un richissime industriel chinois, s’était offert « Special Blue » pour 250 000 euros, battant à l’époque le record mondial en la matière.
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Un «Petit Futé» sur... la Corée du Nord
20minutes
TOURISME L’ouvrage risque d’être interdit dans le pays dirigé par Kim Jong-un
Si vous vous êtes toujours demandé à quoi pouvait ressembler la vie au pays de Kim Jong-un, le nouveau guide touristique du Petit Futé pourrait vous intéresser.
L’ouvrage qui sort ce mardi a davantage pour vocation de nourrir la curiosité des lecteurs que de servir de véritable guide. Dans ces 200 pages, le lecteur découvrira par exemple que dans ce pays qui est l’un des plus fermés au monde, seuls 13 restaurants et 16 hôtels sont référencés pour l’ensemble de la nation. Comme le rapporte France Inter, le guide donne essentiellement des renseignements sur les sites ou monuments officiels dédiés à la gloire du leader arbitraire.
Une destination déconseillée
Les auteurs de l’ouvrage, tiré à 4.000 exemplaires, mettent tout de même le lecteur en garde, Le Petit Futé risque d’être interdit sur le territoire par les autorités nord-coréennes, ils l’invitent donc à télécharger la version numérique. En France, le Ministère des Affaires étrangères déconseille aux citoyens de séjourner dans ce jeune pays qui a fêté ses 70 ans en 2018. En effet, l’hexagone n’a pas de relation diplomatique avec Pyongyang. Il est conseillé de passer par une agence de voyages et d’avoir la surveillance d’un agent du régime car le tourisme individuel « n’est généralement pas admis ».
Heureux chez soi
Le guide rappelle que les visites en territoire nord-coréen ne sont pas libres et que la surveillance est omniprésente. « Quand j’ai effectué mon séjour en Corée du Nord il y a dix ans, j’ai eu deux moments de bonheur : le premier, c’est quand je suis arrivé dans le pays (…) et le deuxième moment de bonheur, c’est quand, après quinze jours, j’en suis reparti, tellement il me tardait de quitter ce pays », a déclaré Dominique Auzias, le cofondateur du Petit Futé.
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130 ans après, l'identité du meurtrier «Jack l’éventreur» enfin révélée
LaDepeche
Grâce à une étude ADN, l'identité d'un des plus grands tueurs en série du XIX siècle vient d'être dévoilée. Derrière le pseudonyme « Jack l'éventreur » se cachait en réalité Aaron Kosminsk, un barbier interné pour folie.
Après 130 ans d’enquête, une récente étude ADN a permis de dévoiler, enfin, l'identité d'un des plus célèbres tueurs en série du XIX siècle. Il s'agit d'Aaron Kosminsk, un barbier polonais qui a terminé sa vie en asile pour folie. Sous son pseudonyme de «Jack The Ripper», « Jack l'Éventreur » en français, il avait égorgé et éventré cinq femmes dans le célèbre quartier londonien de Whitechapel en 1888.
Un châle couvert de sang et de sperme

Cette découverte a été permise grâce à des analyses ADN effectuées sur un châle prélevé sur le corps de Catherine Eddowes, la quatrième victime de Jack l'Éventreur, dans la nuit du 30 septembre 1888. Jari Louhalainen de l'université de Liverpool et David Miller de l'université de Leeds, les deux scientifiques affectés à l’enquête, ont procédé à des tests génétiques sur les descendants vivants connus du principal suspect identifié par Scotland Yard à l'époque, Aaron Kosminski, pour pouvoir confirmer l'identité du meurtrier.

Aaron Kosminski, déjà suspecté

Le barbier polonais faisait déjà partie des principaux suspects de Scotland Yard. À l'époque, il avait subi un interrogatoire avant d'être relâché par manque de preuves. Le suspect était connu pour son état mental instable : il souffrait d'hallucinations auditives et de paranoïa. Placé dans un asile psychiatrique, il y est décédé en 1919, à l'âge de 53 ans.

Si certains voient cette découverte comme le véritable dénouement de cette affaire, d'autres doutent encore quant à l'authenticité du fameux châle qui a permis les prélèvements ADN.
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Chine: Des chiens de police clonés pour réduire les coûts de formation
20Minutes
SCIENCES La formation d'un chien de police en Chine dure environ cinq ans et coûte jusqu'à près de 66.000 euros

Les « Sherlock Holmes des chiens policiers », c’est ainsi que des scientifiques de la province de Yunnan en Chine ont surnommé les chiens qui seront clonés dans le cadre d’un programme visant à réduire le temps et coût des formations de chiens policiers, rapporte The Guardian.
Le premier chien du genre, Kunxun, a été cloné à partir d’un chien de police renifleur. L’opération a été pilotée par la société de biotechnologie Sinogene et l’Université agricole du Yunnan. Le ministère de la Sécurité publique a appuyé la démarche, rapporte Global Times.
Réduire le temps et le coût de la formation
Sinogene espère pouvoir permettre la « production en masse » de chiens policiers clonés afin de réduire considérablement les temps de formation, a déclaré le directeur général adjoint de la société, Zhao Jianping, au Global Times, ajoutant que les coûts du clonage restaient un obstacle majeur sans préciser le montant d’un chien cloné. En Chine, la formation dure environ cinq ans et coûte jusqu’à 500.000 yuans (près de 66.000 euros), sans aucune garantie de succès, a déclaré le journal citant un expert de l’université agricole du Yunnan.
Kunxun, maintenant âgé de trois mois, suivra une formation approfondie en détection de drogue, en contrôle des foules et en recherche de preuves. Il sera opérationnel à l’âge de 10 mois environ, prédit China Daily.
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Le président du comité de pétanque de l'Aveyron dubitatif sur les contrôles d'alcoolémie lors des compétitions
LaDepeche
La Fédération française de pétanque et de jeu provençal (FFPJP) a décidé de mettre en place, à partir de cette année, des contrôles d’alcoolémie sur les boulodromes de l’Hexagone. Marc Nogaret, le président du comité départemental de pétanque n'est pas contre mais se pose des questions pratiques.
On peut y voir le verre à moitié-plein en subodorant que la démarche va entretenir le cliché du pétanqueur buveur intempérant de boissons anisées. On peut y voir également le verre à moitié-vide en estimant qu’après des années de laxisme, la Fédération française de pétanque et de jeu provençal (FFPJP) a, cette fois, décidé de s’attaquer de front à ce fléau qu’est l’alcoolisme. Qui, quoique moins prégnant aujourd’hui, n’en reste toujours pas moins tangible sur les terrains de boules de France et de Navarre
Qui va contrôler?

Ce faisant, dès cette année va être procédé à des contrôles d’alcoolémie sur les boulodromes de l’Hexagone. Et qui va les effectuer lors des divers championnats et des concours officiels ? En vertu de l’agrément délivré par le ministère des sports à la FFPJP, les médecins, les membres des comités directeurs de la fédération, des ligues régionales et des comités départementaux.
« Cette habilitation me pose un problème » confesse Marc Nogaret qui a réuni, ce mardi, les dirigeants du comité de l’Aveyron pour débattre de l’application de cette mesure mais aussi, alors que la période des championnats vient de débuter, arrêter une liste nominative de membres élus désignés pour effectuer ces contrôles.
Sur quelle base?

Le protocole stipule que tout joueur (ou joueuse) et délégué(e) participant à une compétition sera tenu de soumettre à cet éventuel contrôle d’alcoolisme conduit par la personne habilitée. « Mais sur quelle base désigner telle ou telle personne ? Au nom d’un quelconque ciblage ? Par tirage au sort ? En raison de suspicion ? Ces aspects m’interpellent plus que le côté répréhensible » avoue Marc Nogaret.
Deux choses sont avérées : si la personne refuse le contrôle ou dépasse le taux de 0,50 gramme par litre de sang, elle sera exclue de la compétition. « Mais alors, que fait-on ? renchérit le président du comité 12. Réalisons-nous un nouveau contrôle une demi-heure plus tard ? Et si dans les deux cas le taux est positif, on s’arrête là ? Ou devons-nous en référer aux pouvoirs publics ? »


Quoi qu’il en soit, Aveyronnais ou autres, les joueuses et les joueurs savent désormais à quoi s’en tenir : un verre, ça va, deux, bonjour les dégâts !
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Dans cet hôtel mexicain on peut dormir dans des barriques de tequila
LaDepeche
Dormir dans une barrique de tequila, c'est l'expérience insolite que propose un hôtel de la ville de Tequila, dans l'ouest du Mexique, où est produite la célèbre boisson mexicaine.
Son propriétaire, Carlos Hernandez, assure que "c'est un concept unique au monde". Il existe toutefois des hôtels construits dans des répliques agrandies de tonneaux de vin au Portugal et aux Pays-Bas, mais c'est le premier hôtel de ce genre au Mexique.
Les 34 répliques agrandies de barriques de tequila sont réparties dans un champs d'agaves, la plante dont est extraite la boisson.

"Au lieu d'avoir des jardins, il y a autour des agaves", commente le propriétaire, également producteur de cette boisson.
La décoration des chambres s'inspire des ornements distinctifs liés à la tequila, son processus d'élaboration et son histoire, selon le propriétaire, qui a ouvert son établissement il y a 18 mois.

"Nous espérons qu'une personne qui aura passé la nuit dans une barrique en sortira meilleure", s'amuse Hernandez, qui fait le parallèle avec l'alcool qu'il produit. Les touristes peuvent également fabriquer leur propre tequila, de la coupe de la plante à la distillation de la boisson. La ville de Tequila, qui compte environ 40.000 habitants, est située à environ 70 km à l'ouest de Guadalajara, la deuxième plus grande ville du Mexique. Elle se caractérise par son climat semi-sec, ses vastes champs d'agaves et ses forêts de pins et de chênes.
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Depuis 30 ans, des téléphones Garfield s’échouent sur les plages du Finistère : l’énigme enfin résolue ?
ouestfrance
Les bénévoles de l’Association Ar Viltañsoù, au Conquet (Finistère), ont enfin trouvé l’origine des téléphones Garfield qui s’échouent sur les côtes du nord Finistère depuis plus d'une trentaine d’années.

« C’est en discutant avec un vieux paysan de Porsmoguer, alors qu’il prêtait main-forte au nettoyage d’une plage après un échouage de dauphins, qu’il m’a révélé connaître un endroit dans la falaise où pouvait se trouver le porte-conteneurs contenant les Garfield », raconte Claire Simonin Le Meur, présidente de l’association Ar Viltañsoù.
Les déchets des téléphones Garfield sont ramassés par les bénévoles de l’association et les promeneurs depuis une trentaine d’années sur les plages du nord Finistère. « Il m’a montré un endroit dans la falaise, près du Cross Corsen (Centre régional de surveillance et de sauvetage en mer). Nous avons plus tard tenté d’y accéder avec mon mari, mais nous nous sommes fait prendre par la marée », continue-t-elle.
Une expédition dangereuse

Les restes du conteneur recrachant des Garfield se nichaient dans un endroit très difficile d’accès, dans l’antre d’une grotte marine, accessible uniquement par grandes marées basses. Vendredi 22 mars à l’heure du déjeuner, profitant d’un coefficient de marée de 115, cinq bénévoles de l’association, accompagnés de deux journalistes de France Info, s’engouffrent dans la grotte. « La falaise était très haute et la descente abrupte. La roche était vraiment très glissante, les chaos de rochers sont une vraie patinoire. C’était loin d’être une promenade du dimanche », témoigne Claire Simonin Le Meur.
« J’ai vu des morceaux de Garfield et de conteneur partout dans la grotte. Mais le gros des téléphones est déjà parti, la mer a fait son travail depuis trente ans. On arrive après la bataille », déplore-t-elle.
C’est maintenant au tour du Parc national marin d’Iroise de prendre le relais. « Ils feront sûrement appel à une entreprise de dépollution, mais je ne suis pas sûre qu’ils y arrivent », souligne la présidente d’Ar Viltañsoù.
Un deuxième conteneur ?
our Claire Simonin Le Meur, la découverte de ce conteneur dans la grotte marine ne suffirait pas à expliquer la provenance d’autant de morceaux de téléphones Garfield sur les côtes du Leon. Des morceaux de ces téléphones en plastique ont été retrouvés samedi 23 mars à Traez Hir à Plougonvelin. « Ça voudrait dire qu’ils ont passé la Pointe Saint-Mathieu et le Fort de Berthaume. Quand on voit la géographie, on peut se poser des questions… », souligne-t-elle.
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Observateur

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photos a écrit :Les restes du conteneur recrachant des Garfield se nichaient dans un endroit très difficile d’accès.

Les estimations du nombre de conteneurs perdus en mer varient de 2.600 selon le World Shipping Council à 10.000 chaque année...
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Russie: Un trésor à 2,6 millions d’euros perdu depuis la révolution d'octobre refait surface
DECOUVERTE Les ouvriers qui ont découvert le trésor par hasard auraient tenté de le voler mais ont été pris en flagrant délit

20 Minutes
Plus de 2.000 objets en argent pesant au total 400 kg : depuis la révolution bolchévique il y a un siècle, le trésor de la famille Narychkine était considéré comme perdu. Découvert par hasard par des ouvriers, il s’expose désormais à Saint-Pétersbourg.
Grande famille noble de l’époque tsariste, les Narychkine ont fui la Russie après la révolution de 1917. C’est dans l’un des manoirs leur ayant appartenu qu’a été découvert ce trésor estimé à environ 2,6 millions d’euros.
Les ouvriers auraient tenté de voler le trésor
« Une trouvaille de la sorte est extrêmement rare : un trésor dans son intégrité, ayant appartenu à une même famille et très bien conservé. C’est unique », s’est félicitée mardi Olga Taratynova, directrice du musée du palais de Tsarskoïé Selo, où est exposée la collection.
Le trésor a été retrouvé en 2012 lors de travaux de réparation dans un bâtiment situé en plein centre de l’ancienne capitale impériale. Les ouvriers ont découvert par hasard, après avoir cassé une maçonnerie en briques, une petite salle secrète renfermant des caisses remplies d’objets en métal précieux. Selon la presse locale, les ouvriers ont alors tenté de dérober le trésor, avant d’être pris en flagrant délit.
Soigneusement emballé dans des journaux et des tissus imbibés d’acide acétique
Les objets ont été offerts en 2018 par l’Etat au musée de Tsarskoïé Selo, situé dans un ancien palais impérial près de Saint-Pétersbourg.
Il s’agit d’objets du quotidien tels que des services de table réalisés par les meilleurs joailliers russes, principalement en argent, des miroirs, encensoirs, médailles et divers objets décoratifs. Le tout était soigneusement emballé dans des journaux et des tissus imbibés d’acide acétique, ce qui a permis leur bonne conservation. « A l’époque, tout cela faisait partie d’objets du quotidien de l’une des familles les plus riches de Russie », a souligné Olga Taratynova, relevant une « valeur artistique énorme ».
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Naomi Osaka suspend son match à cause d’un insecte

LINFO.RE
La quintuple championne du monde de tennis, la Japonaise Naomi Osaka, a fait suspendre pendant quelques minutes son match pour sauver un coléoptère durant le tournoi Premier Mandatory, à Miami (aux États-Unis).

Naomi Osaka, numéro 1 mondiale de tennis, a fait arrêter son match lors du troisième tour du tournoi Premier Mandatory à Miami. Et pour cause, elle a remarqué un coléoptère sur le court et voulait à tout prix lui sauver la vie.

La WTA, l’Association des joueuses de tennis, a partagé sur Twitter dimanche 24 mars son acte. D’après les images de la vidéo, on y voit la joueuse en train d’attraper le petit insecte. Après plusieurs tentatives, la Japonaise a finalement réussi à l’emporter hors du court.
putniknews a indiqué que son geste honorable a été applaudi par le public, malgré sa défaite contre la surprenante Chinoise Hsieh Su-wei (4-6, 7-6 [4], 6-3). Cette élimination est la première après 63 matchs gagnants. Naomi Osaka est devenue en septembre dernier la numéro 1 mondiale de tennis en remportant l’US Open.
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Il poursuit son employeur pour harcèlement : «Mon patron pétait derrière moi jusqu’à 6 fois par jour»
FaitsDivers
C'est une drôle d'affaire qui a été plaidée en appel lundi devant un Tribunal australien.

David Hingst, ingénieur de 56 ans, accuse son ancien patron de harcèlement. Ce dernier le faisait travailler dans une pièce toute petite et dépourvue de fenêtres.

Mais ce n'est pas que cela qu'il reprochait à son ex-employeur. Il explique que ce dernier entrait plusieurs fois par jour dans son bureau pour se livrer à des flatulences.

«Mon patron pétait derrière moi jusqu’à 6 fois par jour» s'est insurgé l'employé. Son supérieur l’aurait également agressé verbalement à plusieurs reprises en le traitant d'"idiot" au téléphone.

Ce dossier avait déjà été plaidé en première instance en 2018, mais la Juge avait débouté David Hingst car elle ne considérait pas les flatulences du supérieur comme « malveillantes » et avait indiqué qu’il s’agissait d’un cas de « différences culturelles »

Greg Short avait reconnu partiellement les faits en admettant l’avoir peut-être fait une ou deux fois, tout en niant l'avoir fait pour harceler ou stresser son salarié.

La victime réclame 1,8 million de dollars australiens, soit 1,1 million d’euros, de dommages et intérêts à Construction Engineering. Le verdict sera connu vendredi.
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Australie: Un Néerlandais a fini son tour du monde de trois ans en voiture électrique
BAROUDEUR ÉCOLO Selon le conducteur, le même trajet aurait consommé plus de 6.000 litres de pétrole
20 Minutes avec agences
Un tour du monde en voiture électrique : c’est l’exploit que vient d’accomplir un Néerlandais, arrivé ce dimanche à Sydney (Australie). Wiebe Wakker a parcouru 95.000 km autour du globe pour faire la promotion de ce mode de transport non polluant.
Sa « Blue Bandit », un break transformé en véhicule électrique, a traversé 33 pays en trois ans, entre les Pays-Bas et l’Australie. Le trajet a été financé par des dons, qui permettaient de recharger le véhicule et de payer nourriture et hébergement au conducteur.
300 dollars dépensés en recharge
Wiebe Wakker est passé entre autres par la Turquie, l’Iran, l’Inde, la Birmanie, la Malaisie et l’Indonésie. Ce sont les internautes qui lui suggéraient ses étapes, via son site Internet.
Il s’agit du plus long trajet jamais entrepris en voiture électrique, selon lui. « Je veux modifier l’opinion des gens, les inspirer pour qu’ils adoptent la conduite électrique », a-t-il expliqué. Avant modification, sa « Blue Bandit » aurait consommé 6.785 litres de pétrole pour ce même trajet. En trois ans, Wiebe Wakker affirme n’avoir dépensé que 300 dollars (267 euros) en électricité
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