Questions existentielles - page 246

Pour se reposer quelques minutes
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Qui a inventé le "bristol" ?
RTL
Le bristol est synonyme en français de carte de visite ou de carton d’invitation. Mais d’où vient donc cette expression ?
Réponse 1 - Barthélemy Barou de la Lombardière de Canson, gendre du papetier Etienne de Montgolfier, a inventé le papier auquel il a donné le nom de Papier Canson. Son principal concurrent anglais, Edward de Lumley Woodyear of Bristol l’imita aussitôt, et donna donc à son papier le nom de Papier Bristol.

Réponse 2 - Le papier Bristol a tout simplement été inventé à Bristol, en collant plusieurs feuilles de papier entre elles, pour les rigidifier. il a naturellement pris à cause de cela le nom de “Bristol”.

Réponse 3 - Nouvellement adoubé par la reine Victoria, le comte de Bristol avait pris pour habitude de noter son nom et son titre sur un petit bout de carton fort, afin de le remettre à l’aboyeur dans les soirées, afin qu’il puisse l’annoncer sans hésiter. Sans le savoir il avait inventé la carte de visite, appelée à ses débuts “Bristol”.

La bonne réponse est la réponse 2 ! Je sais que vous êtes très déçu car les autres réponses étaient quand même très recherchées, mais en grande partie fausses. Parlons de la bonne réponse d’abord : oui, le "papier bristol" porte bien le nom de la ville dans lequel il a été inventé. Et sa caractéristique principale, c’est d’être, du moins à l’origine, composé de plusieurs feuilles de papier collées entre elles, pour les renforcer, les rigidifier.
C’est une des choses qui distingue le papier bristol du papier Canson (qui, lui, est une marque). Pour fabriquer une feuille de papier Canson, on prend en effet un épais morceau de patte à papier, bien épais, et on le met dans une presse : c’est pour cela que la feuille de papier Canson traditionnelle a des bordures imparfaites ! Il est pressé, ce ne sont pas des feuilles simples collées ensemble.

S’il n’y a malheureusement pas eu de Lord Bristol, en revanche, il y a bien eu un Monsieur de Canson. Barthélemy Barou de la Lombardière de Canson, est bel et bien le gendre du papetier Etienne de Montgolfier, le célèbre inventeur de la Montgolfière avec son frère.
Barthelemy de Canson a pris sa succession, et on lui doit bel et bien le papier qui porte son nom, inventé au XVIIIe siecle, avant le papier bristol d’ailleurs. Malheureusement, c’est bristol qui est devenu synonyme d’invitation en français, et pas Canson.
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Bas-Rhin. Quatre jeunes tentent de voler une locomotive pour rentrer chez eux
OuestFrance
Ne parvenant pas à faire démarrer la locomotive, les quatre amis ont finalement pris un TER à la gare de Saverne pour rentrer à Strasbourg. Trois d’entre eux ont été interpellés à descente du train, le quatrième est recherché.
Une histoire « rocambolesque ». Quatre mineurs qui voulaient rentrer de Saverne à Strasbourg ont tenté de voler… une locomotive pour faire le trajet, mais n’ont pas réussi à la faire démarrer, a-t-on appris ce dimanche auprès du parquet de Saverne.


Les quatre amis ont finalement pris un TER en simples passagers pour rentrer à Strasbourg, où trois d’entre eux ont été interpellés à leur descente du train.

Le quatrième, qui a réussi à prendre la fuite, est recherché, a précisé la procureure de Saverne, Aline Clerot, évoquant une « affaire étonnante et rocambolesque ».

« Une mise au vert »
Les jeunes, âgés de 16 et 17 ans, ont agi dans la nuit de vendredi à samedi en gare de Saverne (Bas-Rhin). Alors qu’ils voulaient rentrer à Strasbourg, à une quarantaine de kilomètres de là, ils sont montés dans une locomotive et ont tenté sans succès de la faire démarrer, a expliqué la magistrate, confirmant une information du quotidien les Dernières Nouvelles d’Alsace.

Selon les premiers éléments de l’enquête menée conjointement par les parquets de Saverne et Strasbourg les mineurs voulaient rentrer chez eux après « une mise au vert » dans ce secteur des Vosges du Nord.
Trois d’entre eux ont donc ensuite été interpellés à leur retour à Strasbourg, selon Mme Clerot, qui souhaite à présent « entendre les différentes versions des suspects ».
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Haute-Loire : drôle de découverte en plein chantier
LePoint
Des agents communaux ont découvert, dans une niche cachée, une bouteille contenant une note datant de 1910, rapporte « L’Éveil de la Haute-Loire ».
La découverte est insolite, mais pas si surprenante que ça. Alors qu'ils effectuaient des travaux dans le centre de loisirs de la commune, trois agents municipaux de Solignac-sur-Loire, dans la Haute-Loire, ont débusqué une niche cachée dans laquelle se trouvait un placard. À l'intérieur du meuble, une ancienne bouteille renfermant un message écrit sur du vieux papier enroulé, raconte L'Éveil de la Haute-Loire. Sur la note, trois noms, ceux des plâtriers qui travaillaient sur le chantier à l'époque, ainsi qu'une date : le 19 mai « 1910, année de la comète ».

Interrogé par le quotidien, le maire de la commune, Olivier Teyssier, rappelle qu'il est assez courant que des objets intentionnellement cachés soient retrouvés par des particuliers ou des professionnels sur des chantiers. « C'est quelque chose qui se fait souvent sur les chantiers. Il n'est pas rare que les artisans du bâtiment laissent une bouteille ou une boîte pour ceux qui arriveront derrière. C'est vraiment une tradition dans le secteur du bâtiment », a-t-il expliqué.

La trouvaille précieusement gardée à la mairie
Le message, laissé il y a plus de cent ans, restera fièrement aux mains de Solignac-sur-Loire. « Nous allons plastifier le message, car le papier se dégrade rapidement lorsqu'il est à l'air libre. Tout sera conservé à côté du vieux tambour du garde champêtre », a précisé l'édile auprès du média local. La municipalité est en train de rénover l'hôtel de ville et selon le maire, un espace sera créé afin d'y exposer ces vieux objets retrouvés dans le but de les mettre en avant le plus possible.
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Il gagne un million au loto mais perd son ticket... avant de le retrouver dans un parking
OuestFrance

Il avait gagné plus d’un million de dollars au loto ! Mais cet Américain étourdi a trouvé le moyen d’égarer son précieux ticket… pendant 24 heures. Par chance, il a fini par le retrouver, par terre, dans un parking.
Millionnaire et tête en l’air ! Après avoir gagné près d’un million de dollars à la loterie du Tennessee aux États-Unis, Nick Slatten, un carreleur américain, a bien failli perdre son gain… Il a en effet égaré son ticket gagnant, durant 24 heures, avant de le retrouver… sur un parking

Selon la chaîne de télévision américaine NBC qui rapporte l’histoire, cet homme originaire de la petite bourgade de Sparta a acheté son billet le 10 mars dernier dans une épicerie de quartier après une dure journée de labeur.

Le lendemain il découvre qu’il vient de gagner un peu plus de 1,1 million de dollars (930 000 €).
« J’étais abasourdi. Je n’arrivais pas à y croire », a-t-il déclaré dans un communiqué. Sûr de lui et de son gain, l’artisan partage rapidement la bonne nouvelle avec sa fiancée puis avec son frère avant d’aller acheter des pièces détachées automobiles.

Tout heureux, Nick Slatten se rend cependant compte en fin de journée qu’il ne sait plus où se trouve son « ticket d’or ». L’euphorie laisse place au stress, puis à l’angoisse.

L’Américain décide de refaire toutes les étapes de sa journée. Bien lui en a pris. Il retrouve finalement son précieux ticket sur le parking du magasin de pièces automobiles. Le ticket était resté par terre, près de la portière conducteur d’un autre véhicule.

Achat d’une maison et investissements

Que va-t-il faire de cet argent ? Le néomillionnaire a déclaré que lui et sa fiancée continueraient de travailler mais qu’ils prévoyaient d’acheter une nouvelle maison, une voiture neuve et d’investir leur pactole.

Le billet gagnant de Nick Slatten est l’un des cinq tickets d’une valeur d’un million de dollars ou plus à avoir été vendus dans le Tennessee au mois de mars.

Les responsables de la loterie encouragent régulièrement les joueurs à signer leur billet dès son achat « pour empêcher quelqu’un d’autre de l’encaisser, en cas de perte ou de vol ». Plus prudent, quand on est un peu tête en l’air.
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Loire-Atlantique : sur le chemin de la boulangerie, un couple tombe sur un cercueil
RTL -
Sur le chemin de la boulangerie, le dimanche 22 mars, un couple de Loire-Atlantique est tombé sur un cercueil, rapporte France bleu. Après vérifications, il s'agissait en fait d'un ancien modèle d'oilà une anecdote dont ils devraient se souvenir encore longtemps ! Alors qu'ils se rendaient à la boulangerie, ce dimanche 22 mars, une femme et son mari sont tombés nez-à-nez avec un cercueil... Ou plus précisément, une moitié de cercueil !
exposition.
Les faits se sont produits en Loire-Atlantique. Comme le rapporte France bleu, c'est un couple domicilié à Saint-Sébastien-sur-Loire, qui a fait cette drôle de découverte, ce matin-là.

Après vérification de leur part, ledit cercueil était en fait un modèle, comme ceux utilisés par des pompes funèbres, en guise d'exposition. "On marchait sur le trottoir et d'un coup on s'est dit 'qu'est-ce que c'est que ça ?', raconte la femme, prénommée Corine, à nos confrères. J'ai pris une photo d'où j'étais, et ensuite je me suis avancée. Et en m'approchant, je me suis rendue compte que c'était un présentoir."

"Je pense que certains ont fouillé dedans"
Une découverte qui n'est pas sans explication : l'objet en question se trouvait devant un ancien local de pompes funèbres, qui n'existe plus aujourd'hui. Certainement rassurée que l'objet soit "factice", l'habitante de Saint-Sébastien-sur-Loire précise à la radio : "Si cela avait été un vrai cercueil, j'aurais appelé la police. Je pense qu'il y en a qui ont dû fouiller dedans, ils ont trouvé cela rigolo et ont sorti le cercueil."
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Covid : l'abbaye de Citeaux écoule plus de 2 tonnes de fromage invendu en quelques heures
Europe1
Les moines de la célèbre abbaye de Citeaux, en Côte d'Or, s'étaient lancés le défi d'écouler d'ici mardi leurs invendus de fromage, en raison de la baisse de la vente physique liée aux restrictions sanitaires. Vendredi soir, le stock était déjà écoulé.


"Faut qu'on fasse du vide": plus de deux tonnes de fromage de l'abbaye de Citeaux (Côte d'Or) a été vendue en quelques heures, vendredi, après un "défi" lancé par les moines trappistes : écouler d'ici à mardi les invendus qui s'accumulent dans leurs caves, Covid oblige. "Les clients viennent moins en boutique et les restaurants sont fermés. La baisse des ventes atteint près de 50%", résume frère Jean-Claude, responsable de la commercialisation à l'abbaye fondée en 1098. "On a tenté d'expliquer à nos 75 vaches qu'il fallait faire moins de lait mais elles n'ont pas l'air de comprendre", lance le moine dans un rire. "Et on ne peut pas pousser les murs".
Les 19 moines trappistes se sont retrouvé ainsi avec "4.000 fromages de trop" dans leurs caves, soit 2,8 tonnes d'excédents. Un comble pour ce fromage de type reblochon très demandé et produit depuis 1925, qui a obtenu en 2020 la médaille d'argent au Concours international de Lyon. "Normalement, on refuse des commandes. On est vendu à Hong Kong, Tokyo, Dubaï...", se félicite le moine. L'abbaye fait ainsi figure de petite entreprise à succès, avec un chiffre d'affaires de 1,2 million d'euros par an pour une production de 140.000 fromages.

2006,9 kg de fromage vendus
Pour écouler les invendus, Citeaux a donc décidé de se lancer "un défi" : vendre sur Internet au moins une tonne de fromage d'ici à mardi matin via la start-up "Divine Box", spécialisée dans la vente en ligne de l'artisanat monastique "Made in Abbayes". À la clôture de la vente vendredi à minuit, l'objectif a été largement dépassé: 2006,9 kg de fromage ont été vendus. La livraison se fera du 13 au 15 avril.
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Des centaines de trésors restent encore à découvrir dans le monde
OustFrance

Partout en France, des histoires et autres légendes locales racontent l’existence de trésors ou de magots disparus et jamais retrouvés. Derrière ces fantasmes, il y a des règles très strictes et un risque réel pour la protection du patrimoine…
Le trésor des Cathares ou celui des Templiers, l’intrigante histoire de l’abbé Saunière qui, à Rennes-le-Château en 1885, se retrouve d’un coup riche à millions après avoir effectué des travaux dans son église délabrée…

Qui n’a pas un jour, en écoutant ces histoires, rêvé de découvrir un chaudron plein de pièces d’or en faisant des travaux dans une vieille maison ou en tombant par hasard sur ces reliquats du passé au cours d’une balade en forêt ?

Dans l’imaginaire collectif, la recherche de trésors enflamme les imaginations ! Des aventures d’Arsène Lupin dans l’aiguille creuse à celles du jeune Jim Hawkins, héros de L’Île au trésor, en passant par le magot de l’abbé Farria qui fit d’Edmond Dantès le Comte de Monte-Cristo, la littérature nourrit cette fascination depuis des siècles.
Tout comme, plus récemment le cinéma, avec les aventures d’un Indiana Jones lancé à la poursuite de l’arche d’Alliance ou d’un Benjamin Gates dont une série télévisée va prochainement être diffusée sur la plateforme de de vidéos à la demande Disney +.

600 trésors encore à découvrir

Selon certains spécialistes, il resterait près de 600 trésors connus à découvrir en France (et beaucoup plus si on imagine tous ceux qui restent inconnus !).

Parmi eux, celui des Chartreux de Bordeaux qui, à la Révolution, aurait caché leur butin dans l’église Saint-Bruno à Bordeaux ; ou les 885 millions d’écus en or de la Sémillante, qui seraient toujours au fond de l’eau, au large de Bonifacio, après que ce bateau en partance pour la Crimée en 1855 a fait naufrage…

Il y a aussi la cassette du maréchal Brune : ce proche de Napoléon aurait confié à son aide de camp en 1815, peu avant d’être assassiné par des royalistes à Avignon, une cassette contenant or, bijoux et pierres précieuses. Ce dernier aurait planqué le magot à une demi-heure de marche de la ville de Saint-Étienne, en direction du Puy-en-Velay.

À Paris, c’est du côté du Louvre que se trouve peut-être encore le trésor du marquis de Louvois, qui aurait dissimulé dans son hôtel particulier de quoi assurer la dot de sa fille, qui finalement ne se maria pas. Anciennement adossé au palais-musée, l’hôtel fut détruit en 1833 sans que le trésor ne soit retrouvé…

Dans chaque région, des histoires de ce type sont nombreuses. Si pour beaucoup elles sont assimilées à des légendes, des découvertes, faites au fil des années, regonflent l’espoir des plus acharnés !

Des découvertes dues au hasard

Pour les chasseurs de trésors, on connaît ces histoires par cœur. Celle du trésor de la rue Mouffetard, du nom de cette découverte faite par des ouvriers en 1938 lors de la démolition d’un immeuble dans cette artère du 5e arrondissement de la capitale.

Dans un pan de mur, des milliers de pièces d’or du règne de Louis XV étaient cachées, enroulées dans des morceaux de toile et accompagnées du testament de Louis Nivelle, un conseiller du roi.
Ou celle des scouts normands qui, en 1954, découvrent un trésor dissimulé derrière une pierre, alors qu’ils participent à un jeu de piste dans l’abbaye Saint-Wandrille. Ou enfin, et plus récemment, ce couple de Millau qui mit la main en 2011 sur un ensemble de pièces datant du XVIIe siècle, alors qu’ils faisaient des travaux dans la cave de la maison familiale. Prix du butin : 100 000 euros !

Un loisir très encadré

Depuis une vingtaine d’années, la France connaît un engouement certain pour la détection de loisir. Chaque année, entre 10 et 15 000 détecteurs de métaux sont vendus dans l’Hexagone, et plus de 100 000 personnes pratiqueraient ce loisir un peu particulier, prospectant plus ou moins activement.

La fouille est très encadrée, et si le Code civil prévoit le partage à parts égales entre l’inventeur – c’est ainsi qu’on appelle la personne qui découvre le trésor – et le propriétaire du terrain, il faut que la découverte soit le fruit du hasard, « l’intention de découvrir un objet historique » étant répréhensible par la loi.

Et si vous tombez de manière fortuite sur une telle trouvaille, vous êtes tenus de la déclarer à la mairie de la commune concernée. Sur un terrain privé, les détectoristes doivent avoir l’autorisation écrite du propriétaire, et la loi de 1989 rappelle qu’il est formellement interdit de prospecter sur un site archéologique.

Le Code du patrimoine précise que « nul ne peut utiliser du matériel permettant la détection d’objets métalliques, à l’effet de recherches de monuments et d’objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans avoir, au préalable, obtenu une autorisation administrative délivrée en fonction de la qualification du demandeur ainsi que de la nature et des modalités de la recherche. »

Ce qui n’empêche pas certains de jouer parfois avec les limites de la légalité, et d’entreprendre des fouilles sauvages sur des lieux qu’ils ont repérés après des recherches dans des ouvrages historiques ou sur internet.

Un risque de destruction du patrimoine
En décembre dernier, l’un de ces détectoristes amateurs, habitant dans l’est de la France, a été interpellé par les agents de la douane.

Ces derniers ont découvert chez lui 27 400 pièces d’une valeur inestimable sur le point de vue archéologique, fruit de plusieurs années de prospection : bracelets et torques datant des âges du bronze et du fer, un très rare dodécaèdre romain, des milliers de pièces de monnaie de l’époque gallo-romaine, ou encore des boucles de ceintures mérovingiennes, médiévales ou de la Renaissance.

Des trésors archéologiques « d’une qualité exceptionnelle », selon le ministère de la Culture, frauduleusement déterrés sur différents sites de l’est de la France.

« Ces objets sortis de leur contexte perdent au niveau d’interprétation, on perd des éléments sur la datation, leur vocation, sans parler des problèmes de préservation, expliquait alors à l’Agence France Presse (AFP) Frédéric Séara, conservateur régional de l’archéologie au sein de la DRAC Alsace. L’ampleur des pillages archéologiques en France est dramatique, ça ne se passe pas qu’en Égypte. »

L’affaire est même remontée jusqu’au ministre de l’Économie, Bruno Lemaire qui, évoquant « un trésor inestimable », a déclaré que cette saisie était « un message clair adressé à ceux qui, pour le profit et le plaisir égoïste de quelques-uns, nous privent de notre patrimoine commun et effacent des pans entiers de notre histoire ».

Dénoncer ces agissements

Depuis 2016, la loi s’est durcie, afin de protéger le patrimoine archéologique : « Les vestiges mobiliers issus de découvertes fortuites sont la propriété de l’État dès la reconnaissance de l’intérêt scientifique justifiant leur conservation. »

Une victoire pour l’association Happah (pour Halte au pillage du patrimoine archéologique et historique) fondée en 2007 par des archéologues dénonçant les ravages qu’engendreraient, selon eux, les chasseurs de trésor.

Depuis, ils réclament un renforcement de la législation encadrant l’usage des détecteurs de métaux. Selon eux, ce sont près de 520 000 objets archéologiques qui terminent chaque année dans des collections privées.

Bon nombre de prospecteurs jurent de leur bonne foi, mettent en avant leur passion pour l’histoire et condamnent les agissements de ceux qu’ils qualifient de « brebis galeuses » qui discréditent leur loisir. Beaucoup d’entre eux pensent même bien faire en mettant à jour des éléments enfouis.

Pourtant, les professionnels de l’archéologie déplorent régulièrement des fouilles anarchiques, sans réelle méthode scientifique, rendant souvent inexploitables d’un point de vue historique ces découvertes.

« Les chasseurs de trésor n’ont pas forcément la perception de mal faire, mais nous passons notre temps à expliquer que leurs gestes sont nuisibles, négatifs pour le patrimoine, explique Jean-David Desforges, le président de l’Happah. Ce qu’ils peuvent mettre au jour est un bien collectif qui appartient à la nation. Cela n’a pas à finir sur une étagère de leur bureau – dans le meilleur des cas – dans une salle des ventes ou sur internet, le tout avec une traçabilité douteuse. »
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Insolite : Un fermier algérien tombe sur du pétrole en voulant creuser un puits d’eau
DÉCOUVERTE Un cultivateur comptait creuser un puits artésien de 200 mètres de profondeur pour trouver de l’eau, mais il est tombé sur le liquide visqueux et noir à 90 mètres sous terre

20 Minutes
Un cultivateur a récemment eu la surprise de découvrir à 90 mètres sous le sol un liquide ressemblant fortement à du pétrole sur le terrain de sa ferme. Celle-ci est située à Ouled Rahmoune, dans la région de Constantine (Algérie). L’agriculteur avait initialement procédé à des forages à 200 mètres de profondeur pour tenter de découvrir de l’eau afin d’irriguer ses champs, raconte Tout sur l’Algérie (TSA).

Le coup de chance de l’Algérien a été relayé et abondamment commenté sur les réseaux sociaux. Des chaînes de télévision du pays ont diffusé les images tournées sur place. Celles d’Echourouk news montrent en effet un trou cylindrique creusé par une machine au fond duquel est visible la substance noire et visqueuse. La région du nord-est du pays où se trouve la ferme n’est pourtant pas connue pour abriter des hydrocarbures.

Des analyses devaient être réalisées
La Société nationale pour la recherche, la production, le transport, la transformation, et la commercialisation des hydrocarbures (Sonatrach) a effectué par le passé des opérations de prospection dans le nord du pays. L’objectif de l’entreprise algérienne était de déterminer une éventuelle présence de pétrole ou de gaz. Des spécialistes du groupe devaient venir mardi dernier analyser les gaz et les liquides provenant de la ferme, rapporte Algérie Éco.
Beaucoup d’internautes ont partagé leur joie en découvrant l’histoire de ce fermier. D’autres ont profité de l’occasion pour ironiser sur les agissements du gouvernement algérien. « Le puits reviendra à l’État et lui aura droit à un certificat de bonne citoyenneté », a par exemple commenté l’un d’entre eux. La gendarmerie nationale a dressé un cordon de sécurité autour du site de forage, pour lequel les services agricoles avaient délivré à l’homme une autorisation de puits artésien.
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Un vrai coup de bol!

A suivre .. :mrgreen: :dur:
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morticia a écrit :Un vrai coup de bol!

Pas forcément, je suppose qu'en Algérie c'est comme en France, les ressources minières et énergétiques (gaz, pétrole) n'appartient pas au propriétaire du terrain situé au dessus...
Il n'y a guère qu'aux USA où c'est le cas.
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Ain : une retraitée vole un camion de pompiers et se lance dans une course-poursuite
RTL - Une femme de 65 ans s'est échappée de sa maison de retraite à l'aide d'un camion de pompiers stationné devant l'établissement.
rête à tout pour s'évader. Dans la soirée du samedi 27 mars, aux alentours de 20 heures, une femme de 65 ans, résidente de la maison de retraite La Montagne, à Châtillon-sur-Chalaronne, en Auvergne-Rhône-Alpes, a pris la poudre d'escampette avec panache.
Pour ce faire, la sexagénaire, probablement lassée de l'établissement, a décidé d'emprunter un véhicule stationné devant la résidence. Comme le relatent nos confrères du Progrès, il ne s'agissait ni plus ni moins que d'un camion de pompiers. Ses propriétaires ayant été appelés en urgence peu de temps avant pour une opération de secours, ils n'ont pas pu empêcher le vol.

S'ensuit "une course-poursuite" d'une demi-heure. Au volant du camion de pompiers, la retraitée s'est dirigée jusqu'à son ancien domicile, à Beauregard. Arrivés sur place, les gendarmes ont pris soin de la sexagénaire troublée par les évènements. Ironiquement, les pompiers l'ont évacuée à l’hôpital de Villefranche-sur-Saône.
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D’où vient cette tradition de faire des farces le 1er avril ?
OuestFrance

L’origine des « poissons d’avril » ? Elle est à chercher dans l’histoire de France : cette tradition bien ancrée et très populaire remonte à Charles IX, au XVIe siècle. Et la coutume consistant à faire des canulars le 1er avril est répandue dans plusieurs pays à travers le monde.
Mardi, le constructeur automobile allemand Volkswagen annonçait qu’il s’appellerait désormais « Voltswagen of America » aux États-Unis. Un prétendu changement de nom pour symboliser son virage vers l’électrique (d’où le préfixe « Volts » au lieu de « Volk ») dans le pays qui avait révélé le « dieselgate » en 2009, un scandale industriel et sanitaire lié à l’utilisation par la marque, de 2009 à 2015, de différentes techniques visant à réduire frauduleusement les émissions polluantes de ses véhicules…

L’opération « Voltswagen of America » a été savamment orchestrée, avec communiqué sur le site internet américain et changement du compte Twitter. Une information largement relayée par les médias outre-Atlantique… Et mardi soir, coup de théâtre : le porte-parole du groupe allemand annonçait qu’il s’agissait en fait d’un canular, à deux jours du 1er avril.
Une tradition d’origine française

Mais d’où vient cette tradition de faire des farces le 1er avril ? Pour essayer d’y voir plus clair, il faut remonter le temps, jusqu’en 1564. Cette année-là, le roi Charles IX abandonne le calendrier julien pour le calendrier grégorien par l’édit de Roussillon. L’usage fut étendu à tous les pays chrétiens par le pape Grégoire XIII.

Dès lors, l’année débutait le 1er janvier, et non plus le 25 mars, jour chrétien de l’Annonciation (neuf mois avant Noël). Or il était d’usage de faire des cadeaux pour célébrer la nouvelle année, dans la semaine qui suivait, et ce jusqu’au 1er avril.

Dans la France du XVIe siècle, le changement calendaire échappa à beaucoup, sans compter les réfractaires. Tous continuèrent à fêter le Nouvel An comme avant. Ils continuèrent donc à s’offrir des cadeaux et des étrennes le 1er avril. Aussi, pour se moquer d’eux, des farceurs eurent l’idée de leur offrir des cadeaux un peu spéciaux : des faux cadeaux pour rire… C’est depuis cette époque que le 1er avril est devenu le jour des farces et canulars.
L’origine du « poisson d’avril »

Quid du fameux poisson en papier, que certains s’accrochent dans le dos ? Une première hypothèse conduit à l’astrologie solaire : le « poisson d’avril » pourrait faire référence au dernier signe du zodiaque. Cela marquait alors la sortie de l’hiver. Une deuxième mène à la religion chrétienne : le 1er avril est proche de la fin du Carême. Pendant 40 jours, la viande est proscrite pour les catholiques et le poisson est privilégié pour remplacer.

Enfin, une dernière piste renvoie à l’interdiction de pêcher au printemps dans certaines zones, pour permettre à la faune marine de se renouveler. Pour réconforter les pêcheurs privés d’activité durant cette période dite du frai, on leur offrait un faux poisson.

Autant d’hypothèses, plus ou moins farfelues, mais qui expliquent une tradition populaire qui remonte à loin.
Les canulars se sont répandus dans le monde

En France, la tradition est bien ancrée et il est courant que les médias divulguent de fausses informations ce jour-là, à l’instar du quotidien Le Parisien en 1986. Le journal avait déclaré que la tour Eiffel, symbole de la France à l’étranger, allait être déplacée à Marne-la-Vallée pour devenir une attraction du parc Walt-Disney en construction !

Autre exemple de canular, plus récent : en 2017, Thomas Pesquet annonce qu’il souhaite rester dans l’espace et ne veut plus rentrer sur Terre. Le spationaute le fait savoir via un Tweet relayé par les médias. Bien évidemment, c’était une plaisanterie puisqu’il est rentré un mois plus tard !

Le 1er avril est célébré avec des blagues dans plusieurs pays du monde. Chez les anglophones, c’est l’April Fool’s Day, autrement dit le Jour des dupes. Cela concerne bien entendu les États-Unis (exemple de Volkswagen), mais également le Royaume-Uni ou l’Australie.

La Belgique n’est pas en reste, la tradition du 1er avril y est bien ancrée comme en France. On peut également citer l’Italie, l’Espagne et le Japon. Au pays du Soleil levant, ce jour est appelé bangusetsu, ce qui signifie « saison des 10 000 absurdités », mais plus que tout là-bas, le 1er avril marque surtout le début du printemps et des danses pour célébrer les cerisiers en fleurs, les fameux sakura.
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Une tablette de chocolat datant de 1900 découverte dans un casque de soldat
LePoint
La confiserie, destinée à doper le moral des soldats engagés dans la Seconde Guerre des Boers, a été retrouvée dans le grenier d’un vieux manoir, relate CNN.
Àl'approche des fêtes de Pâques, une famille anglaise a eu la bonne surprise de découvrir une tablette de chocolat dans le grenier de son manoir de Norfolk, dans l'est du royaume. Mais il y a un hic : la confiserie n'est pas de première fraîcheur. Cette douceur cacaotée, retrouvée dans son emballage d'origine, placé dans un casque de soldat, aurait en effet été commandée par la reine Victoria il y a 121 ans pour doper le moral des troupes combattant durant la Seconde Guerre des Boers en Afrique du Sud (1899-1902), relatent nos confrères de CNN, jeudi 1eravril 2021.

La tablette et le casque appartenaient au baronnet Edward Paston-Bedingfeld, qui avait porté les armes durant la Seconde Guerre des Boers. Ces objets ont été découverts par ses descendants dans le manoir fortifié d'Oxburgh Hall, très vaste propriété familiale construite en 1482 aujourd'hui gérée par le National Trust for Places of Historic Interest, une association à but non lucratif britannique fondée dans le but de conserver et de mettre en valeur des monuments et des sites d'intérêt collectif.
« Ça n'est pas très appétissant pour Pâques »
La tablette est « entièrement intacte, mais s'est un peu détériorée depuis le temps. Elle a toujours sa couleur brunâtre, mais ça n'est pas très appétissant pour Pâques », a indiqué à CNN la conservatrice du lieu, Lynsey Coombs. Edward Paston-Bedingfeld « a peut-être voulu garder [le chocolat] comme souvenir de la reine ou l'a tout simplement oublié. »
Les confiseries ont été produites par les géants britanniques du chocolat Cadbury, Fry et Rowntree. Les boîtes, sur lesquelles étaient inscrits des messages de la reine, contenaient chacune une demi-livre de chocolat, selon le National Trust. La vieille tablette est désormais enveloppée dans un tissu sans acide et entreposée dans une pièce où l'humidité est stabilisée.
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