Questions existentielles - page 254

Pour se reposer quelques minutes
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Elles dormaient dans des granges de la Sarthe, ces luxueuses automobiles vont être mises en vente
OuestFrance

Elles furent dans les années 1960 le fleuron du luxe automobile français. Deux Facel Véga ont été découvertes dans des granges, près de La Flèche (Sarthe). Les voitures seront vendues aux enchères en septembre à Rouen.
Il n’y a pas d’âge pour la chasse au trésor. Dans les granges d’une maison bourgeoise près de La Flèche (Sarthe), deux lingots d’or aux lignes fluides et racées, enfouis sous dix centimètres de poussière.

Pierre-Alexandre Couette ne s’est pas fait prier pour aller voir les belles, deux Facel Véga, fleuron du luxe automobile français dans les années 1960, que leur propriétaire a décidé de mettre en vente.

Pour le consultant en automobiles auprès de Sarthe enchères, l’étude du commissaire-priseur manceau Xavier Sanson, les deux voitures sont si rares que toute restauration, même coûteuse, ne se discute pas.

« Une très belle vitrine »

À ses côtés, Océane Chabaud, 24 ans, l’une des plus jeunes expertes en France. La jeune femme, diplômée du Conservatoire des véhicules anciens, a les yeux de Chimène pour les voitures de collection. Elle est chargée d’ausculter les deux Facel Vega pour établir le catalogue de vente.
« Nous présenterons les deux voitures au salon Auto Moto Rétro de Rouen en septembre, ​prévoit Pierre-Alexandre Couette. Derrière Rétro mobile et Epoq’Auto, c’est le troisième plus grand rendez-vous de France. C’est une très belle vitrine. »

Une GT exclusive

Avant le tapis rouge, les deux GT vont devoir passer entre les mains d’orfèvres. Dans l’une des granges, une Facel 3, construite à 625 exemplaires à partir de 1963 et dotée d’un moteur quatre cylindres Volvo. Elle dort là depuis la fin des années 70, comme sa voisine.

Avec 52 800 km au compteur, l’estimation ne fait pas de doute pour les deux spécialistes : les enchères devraient débuter entre 50 000 et 60 000 € et atteindre 80 000 €.

Malgré son état, la seconde auto est porteuse de plus belles promesses encore. Une Facel 2, modèle présenté en 1961 et produit à 184 exemplaires seulement jusqu’en 1964. À cette époque, cette GT est déjà très chère.

Équipée d’un moteur V8 Chrysler Typhoon approchant les 400 CV, la prestigieuse Française séduit des célébrités du monde entier. « Celle que nous avons là est une conduite à droite, elle appartenait à Charles Drake, l’un des acteurs de la série Star Trek, ​assure Pierre-Alexandre Couette. Restaurée, elle pourrait atteindre une cote de 250 000 à 300 000 €, voire 350 000 € ».

Avant que les voitures ne quittent leur garage, Océane Chabaud s’est attelée au recensement des nombreuses pièces qui accompagnent les voitures, mais à l’extérieur des habitacles… Il manque la culasse du V8.

Sans doute aucune difficulté pour la retrouver aux États-Unis, tant ce moteur a été massivement produit. Il faudra pouvoir répondre aux questions de clients fins connaisseurs de cette marque française de prestige, qui devront ensuite confier les véhicules à l’un des rares garages spécialistes de la firme.

Facel, acronyme de Forges et ateliers de construction d’Eure-et-Loir, et de Véga, l’une des étoiles les plus brillantes du ciel d’été : Facel Véga, marque d’exception de 1954 à 1964, n’est pas qu’une étoile filante, elle fait les beaux jours des salles des ventes.
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JO : la championne olympique de kayak a réparé son bateau avec des préservatifs
RTL-
Les athlètes disposent de plus de 160.000 préservatifs, difficiles à utiliser en temps de Covid. Certains font alors preuve d’imagination.
Comme chaque année, les athlètes engagés lors des Jeux Olympiques de Tokyo disposent de préservatifs gratuits. Cette année, les organisateurs ont commandé 160.000 préservatifs, mais recommandent cependant de rester sages, leur usage n'étant pas très compatible avec la Covid-19... Certains athlètes ont alors décidé de les utiliser d'une autre manière.
C'est le cas de Jessica Fox, sacrée championne olympique en canoë slalom (C1) ce jeudi 29 juillet. Dans une story publiée sur Instagram, repérée par nos confrères de Ouest France, l'Australo-française explique se servir des préservatifs mis à disposition par les organisateurs des JO tout simplement pour réparer son kayak.

"Je parie que vous ne saviez pas que des préservatifs pouvaient être utilisés pour réparer un kayak, plaisante Jessica Fox. C’est très extensible et solide, cela donne au carbone une finition lisse", a-t-elle écrit. Jusqu'ici l'athlète, née à Marseille, avait réussi à décrocher les médailles de bronze et d'argent. Cette fois-ci, et peut-être grâce à cette astuce insolite, Jessica Fox a enfin réussi à remporter la plus belle des médailles.
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Déjà utilisées, les capotes, ou entièrement neuves ?
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Cléopâtre au cœur d'une fausse rumeur coquine depuis des siècles
RTL
Depuis des siècles, une fausse rumeur coquine poursuit Cléopâtre. Dans une minute, vous saurez qu'elle est cette rumeur...
Elle se propage depuis l'an 40 avant Jésus-Christ. Il s'agit d'une rumeur concernant la vie sexuelle de Cléopâtre. La reine d'Égypte aurait inventé le vibromasseur. En l'occurrence un jouet fabriqué avec un papyrus ou une calebasse creusée. Mais tout le monde n’est pas d’accord, ce qui en dit déjà long sur la fiabilité de l'info, et que Cléopâtre aurait fait remplir d'abeilles avant de l'utiliser. Le frémissement des insectes dans son intimité lui permettait alors de se donner du plaisir solitaire. Sauf que c'est une fake news…
Toutes ces histoires sur la sexualité débridée de Cléopâtre ont été inventées pour salir son image. Les Romains ne supportaient pas qu'une femme puisse leur tenir tête. L'empereur Auguste avait alors donné l'ordre de la discrédité par tous les moyens possibles.

Et quel meilleur moyen que de la faire passer pour une dépravée et une nymphomane, assoiffée de sexe et de pouvoir ? Les auteurs à la botte du pouvoir comme Horace ou Virgile s'en donnent à cœur joie. Ils en ont donc profité pour raconter d'autres perversions que Cléopâtre aurait pratiqué des fellations sur cent soldats égyptiens en une seule soirée.
Ils ont donc aussi inventé cette histoire de vibromasseur à abeilles. Qui comme le reste, à force d'être matraqué, puis relayé au fil des siècles et des plus de 1.000 livres écrits sur elle sans compter quelques films érotiques, va finir par créer le mythe de la Cléopâtre folle de sexe qui, elle aussi, du côté d'Alexandrie, Alexandra, avait plus d’appétit qu'un barracuda…
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La SNCF se fait « troller » avec les pires anecdotes des internautes
Sur Twitter, le compte TGV Inoui espérait recueillir des « expériences touchantes ou insolites dans un train ». C’est raté, comme l’a repéré « 20 Minutes ».
Les quelques histoires touchantes dans un train se perdent dans le flot de critiques visant la SNCF.

LePoint.fr
Cela partait d’une bonne intention. Le 21 juillet dernier, le compte Twitter @TGVInoui de la SNCF lançait un jeu-concours. « Vous aussi, vous avez déjà vécu des expériences touchantes ou insolites à bord d'un train ? Partagez les avec #MonAnecdoteTGVINOUI », pouvait-on lire sur le message publié. A la clé : des bons SNCF et une vidéo pour illustrer les anecdotes les plus « likées ». Mais comme l’a repéré 20 Minutes, les internautes ont préféré utiliser ce hashtag pour raconter… leurs pires souvenirs liés à la SNCF.

« Les 150 balles de billet + amende car je suis par erreur monté dans le mauvais TGV, même destination mais 10 min plus tôt, et pour pas déranger je me suis installé entre les wagons et je me suis signalé moi-même au contrôleur qui n'aurait pas check sinon. Ravi à 18 ans », répond ainsi un internaute, dont le message a été « liké » plus de 1 200 fois, contre à peine 200 fois pour le message initial de la SNCF. Une autre personne raconte « cette fois où la SNCF nous a expressément demandé d’attendre l’ouverture des portes du TGV pour sortir, qu’elles ne se sont pas ouvertes et que mon TGV a continué sa route vers Paris ».
Les critiques laissées sans réponse
Les anecdotes négatives concernant la SNCF s’enchaînent dans la centaine de messages accumulés en quelques jours. « J'ai en tête cette anecdote mémorable où il manquait une voiture sur le TGV, et c'était la mienne, du coup j'ai dû voyager debout avec une centaine d'autres personnes pendant 5 heures », explique un internaute. Un autre se rappelle un trajet Paris-Rennes qui a tourné au cauchemar : « Arrêt prolongé à Laval car un autre train bloqué sur les voies plus loin. "On en a pour une heure, vous pouvez descendre manger". 10min plus tard, le TGV repart sans aucune annonce, laissant la moitié de ses passagers sur le quai, avec leurs bagages dans le train. »
Certaines personnes ont bien tenté de placer quelques histoires « touchantes ou insolites ». « J’ai rencontré ma compagne sur un quai de la gare de Strasbourg le 04 décembre 2004. Et je l’ai demandée en mariage sur ce même quai, le 04 décembre 2019, avec la complicité des agents », raconte un internaute, dont le message se perd toutefois dans le flot de critiques. L’équipe de community managers du compte Twitter @TGVInoui a répondu à quelques internautes, les invitant à leur transmettre leurs numéros de réservation ou de train pour tenter de trouver une solution au problème rencontré. Les quelques messages où il est demandé à la SNCF si elle a vraiment cru que ce « concours d’anecdotes » serait une bonne idée sont en revanche restés sans réponse. Et dix jours après le lancement du concours, aucun gagnant n'a pour l'instant été annoncé.
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Un homme condamné pour avoir exhibé sa cage de chasteté sur le port de La Rochelle
OuestFrance
Un quinquagénaire parisien a comparu, jeudi 29 juillet, devant le tribunal de La Rochelle pour exhibition sexuelle. Il avait été interpellé, près d’un an plus tôt, par la police sur le Vieux-Port pour avoir montré à deux femmes… sa cage de chasteté.
Septembre 2020. Un homme, la cinquantaine, père de famille, belle situation, est en vacances avec son épouse du côté de La Rochelle. Mais l’ambiance est loin d’être au beau fixe entre eux et la femme décide de repartir à Paris, où ils résident.


L’homme préfère rester à La Rochelle, pour profiter encore des vacances et voir passer le Tour de France. À la terrasse d’un café, sur le port, il entame une conversation avec deux femmes. Et celle-ci prend un tour coquin, comme le raconte l’homme à la barre du tribunal de La Rochelle, où il a comparu jeudi 29 juillet, relate Actu.fr.

Il doit remettre sa cage aux policiers
Le quinquagénaire explique qu’il porte, sur son pénis, une cage de chasteté : « Une des deux femmes m’a demandé de lui montrer. Elle m’a mis en confiance et demandé de baisser mon short sous la table, car elles ne me croyaient pas », raconte-t-il.

Il s’exécute, baissant son short. Mais une des deux femmes, visiblement choquée, prévient le patron du café qui appelle la police. Le quinquagénaire est interpellé, non sans mal, et accusé d’exhibition sexuelle caractérisée. Il termine au poste, où il doit remettre sa cage aux policiers. Il explique l’utiliser pour se forcer « à l’abstinence afin que je puisse retrouver ma libido ».

Condamné à du sursis
À la barre, il assure avoir montré sa cage à la terrasse du café sans arrière-pensée et estime avoir été piégé. Une peine de six mois de prison avec sursis et une obligation de consulter un sexologue est requise. La défense demande la relaxe, estimant qu’il s’agit d’une « erreur manifeste. Il n’y a pas de partie civile. Ce ne sont pas des victimes mais des plaignantes ». La relaxe est plaidée.

Finalement, l’homme dont le casier était vierge, écope d’une amende 500 € avec sursis. Cette condamnation ne figurera pas sur son casier judiciaire à la demande de son avocate.
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Jeux Olympiques 2021 : ces petites nations qui font l'histoire
RTL
Porto Rico, la Macédoine du Nord, les Bermudes... Autant de nations qui ont profité des Jeux de Tokyo pour enfin briller sur la scène internationale, récupérant parfois leur première médaille de leur histoire.
Les Jeux Olympiques sont l'occasion d'une vie pour des athlètes de se montrer, mais aussi pour des pays de rentrer dans l'histoire. Que ce soit ceux avec des émancipations récentes comme le Kosovo qui, petit à petit, prend part aux plus prestigieuses compétitions, ou d'autres comme les Philippines qui ont très longtemps attendu leur moment de gloire.
Lors de cette première semaine des Jeux de Tokyo, ce sont les Bermudes qui se sont illustrés. Ce territoire d'outre-mer britannique, dans les Caraïbes, participe depuis 1936 aux jeux d'été, avec une seule médaille, en bronze, remportée en 1976 par Clarence Hill. Mais Flora Duffy est devenue la première athlète de la nation à rapporter une médaille d'or en triathlon.

Les Philippines aussi ont connu leur première médaille d'or de leur histoire, malgré 22 participations, grâce à Hidilyn Diaz en haltérophilie. Porto Rico aussi a brillé grâce au titre de Jasmine Camacho-Quinn au 100m haies. La 2e médaille d'or de l'histoire de ce territoire non-incorporé des États-Unis, après l'exploit de la tenniswomen Monica Puig en 2016.

Les premières médailles de l'histoire
A l'image des Bermudes, d'autres pays ont pu célébrer leur première médaille olympique. C'est le cas de la Macédoine du Nord mais aussi de Saint-Marin. Les Nord-macédoniens ont glané une médaille d'argent en taekwondo grâce à Dejan Georgievski.
Pour la principauté de Saint-Marin, enclavée en Italie, c'est en trap (discipline de tir) qu'elle a remporté les deux premières médailles de son histoire, en 16 participations. C'est aussi la plus petite nation de l'histoire, avec 33.600 habitants en 2020, à remporter une médaille lors des Jeux Olympiques.

Ces nations qui se font une place
Certaines nations parviennent à se faire des spécialités et profitent de l'arrivée de nouveaux sports aux Jeux pour se créer un palmarès. C'est le cas des Îles Fidji, grande nation de rugby, qui se sont imposées par deux fois en rugby à 7 dans le tournoi masculin à Rio et Tokyo, débloquant le compteur de médaille de l'archipel du Pacifique.

Le Kosovo, depuis son indépendance et ses premières participations en compétition officielle, a réalisé l'exploit de remporter 3 médailles, toutes en or, et toutes en judo, tout comme Grenade, grâce à son coureur de 400m Kirani James, qui a rapporté les deux médailles de l'île caribéenne, avec un titre à Londres et une médaille d'argent à Rio. Il est encore en lice pour la finale à Tokyo, pour aller, pourquoi pas, chercher une 3e médaille olympique.
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Meilleures villes étudiantes du monde : Paris à la 9e place, Lyon 48e, Toulouse 86e
VIE ETUDIANTE Paris se place au 9e rang des meilleures villes étudiantes selon une étude publiée par l'entreprise britannique Quacquarelli Symonds
20Minutes
Malgré une chute de deux places, Paris se maintient à la 9e position ex aequo avec Boston et Montréal, dans le classement des meilleures villes étudiantes publié fin juillet par l’entreprise britannique Quacquarelli Symonds, spécialisée dans l’analyse des établissements d’enseignement supérieur.

« Les dix universités étudiées par notre programme telles que l’Université PSL ou l’Institut Polytechnique de Paris ont produit certains des plus grands philosophes, scientifiques, chefs d’entreprise et mathématiciens du siècle. La « Ville de l’Amour » a une place très particulière dans le cœur des étudiants étrangers grâce à ses magnifiques monuments, son histoire et sa culture », résume la très prestigieuse entreprise dans sa fiche dédiée à Paris.

Lyon et Toulouse suivent
Mais la capitale n’est pas la seule ville présente dans ce classement. Ainsi, l’entreprise britannique place Lyon au 48e rang mondial, soit deux places plus haut qu’en 2019. « Le berceau du cinéma moderne, une scène start-up florissante et la capitale mondiale de la gastronomie française ». C’est ainsi que Lyon est présentée dans sa fiche par l’entreprise britannique.
La deuxième agglomération de France s’affirme derrière Paris et devant Toulouse, qui se place à la 86e position. « Là où Toulouse s’est le plus améliorée, c’est dans son caractère abordable puisqu’elle se place désormais en 18e position sur ce critère », peut-on lire dans la fiche de la Ville Rose. « En fait, Lyon et Toulouse font partie des vingt villes les plus abordables au monde », révèle Ben Sowter, directeur de la recherche chez QS.

Pour ce qui est du trio de tête, Londres est, pour la troisième année consécutive, la ville étudiante préférée des jeunes, suivie par Munich (+2 places par rapport à 2019). Deux villes asiatiques, Séoul (+7) et Tokyo (-1), complètent le podium.

Quatre universités parisiennes parmi les meilleures
Paris est également très bien placée dans le classement, toujours réalisé par Quacquarelli Symonds, des meilleures universités du monde.
On peut y retrouver quatre établissements dans le top 100, à savoir l’Université PSL (44), l’Institut Polytechnique de Paris (49), La Sorbonne (72) et l’université Paris-Saclay (72). L’Ecole Normale Supérieure de Lyon suit à la 130e position.

Ce classement reste toujours dominé par les universités britanniques et américaines avec un top 3 composé du Massachusetts Institute of Technology (USA), suivi par Oxford (GB) puis Stanford (USA).
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Comment entrer dans le Livre Guinness des records ?
OuestFrance
Vous rêvez de figurer, un jour, dans le Livre Guinness des records et imaginez toutes les combines pour y parvenir ? Attention, l’organisation britannique n’accepte pas tout et elle a mis en place un certain nombre de règles à respecter pour que les records soient éligibles. Suivez ce guide des bonnes pratiques.
Certains sont prêts à tout pour voir leur nom associé à un record du monde dans le célèbre Guinness Book… Mais l’organisation britannique qui enregistre et homologue ces records a mis en place des règles bien précises, pour ne surtout pas encourager les comportements imprudents ou dangereux.

L’infinie variété des records enregistrés depuis 1951 pourrait laisser croire que tout est possible. Mais ce n’est plus le cas. Des pratiques tolérées il y a plusieurs décennies ne le sont plus aujourd’hui. Le Livre Guinness des records précise que ses « règlements sont régulièrement revus et mis à jour en collaboration avec des organisations spécialisées et sur la base des réactions de nos lecteurs ».

Des questions d’éthique et de santé

Des raisons d’éthique évidentes peuvent expliquer que le Livre Guinness refuse un certain nombre de propositions. « Les records qui mettent en danger ou font du mal aux animaux » ne sont par exemple plus autorisés. Le record de « l’animal le plus lourd » a ainsi été supprimé en 1998, rapporte Grunge, par crainte que des animaux ne soient suralimentés et gavés, dans le seul but de gagner. Avant cela, Zorba, un Mastiff anglais, avait été enregistré comme le chien le plus lourd du monde, avec ses 155 kg, en 1987.
Tout acte de cruauté envers autrui, animaux compris, est donc exclu par le Livre Guinness. À cet égard, Grunge précise que les records liés à des activités de chasse, comme celui du « plus grand renard tué », ne sont plus acceptés désormais. En revanche, le saut d’obstacles pour lamas, évoqué par CNews , ne semble pas poser problème à l’organisation.
Évidemment, mettre sa propre santé en danger n’est pas accepté. Le record de l’Américain Randy Gardner, qui n’avait pas dormi pendant 11 jours d’affilée en 1964, restera donc. L’intéressé n’a pas eu de séquelles, mais a raconté à NPR , la radio publique américaine, onze journées au fil desquelles il a eu l’impression de perdre la tête : « C’était fou, je ne me souvenais pas de simples choses, c’était comme si j’avais Alzheimer ! »

« La consommation d’alcool, dans le cadre de concours de boisson » ou « l’alimentation excessive » sont évidemment hors-concours. « Tous nos records d’alimentation sont limités à de courtes durées et à de petites quantités de nourriture, comme le plus rapide pour manger trois biscuits à la crème », précise l’organisation. Avec le Livre Guinness, les plus gros mangeurs de burgers sont chronométrés : le Japonais Takeru Kobayashi est ainsi parvenu à en manger douze en 3 minutes. !
Des unités de mesure

Plusieurs prérequis sont nécessaires pour qu’un record soit homologué par le Guinness Book. L’organisation britannique doit avant tout avoir la possibilité de s’assurer qu’il est bien réel. Les records doivent, par exemple, pouvoir être mesurés, vérifiés et standardisés. « Nous n’acceptons pas les candidatures basées sur des variables subjectives. Par exemple : beauté, gentillesse, loyauté », précise l’organisation.

Par ailleurs, le Livre Guinness ajoute que « les records sont là pour être battus et créer une compétition internationale, si votre suggestion est trop spécifique, elle pourrait ne pas être acceptée ». Attention, par ailleurs, à toujours être précis et à apporter des preuves suffisantes.

La liste, évolutive, des records qui ne sont pas acceptés laisse imaginer certaines des propositions le plus souvent reçues. Pêle-mêle, notons « le moins ou le plus de clignements d’yeux en une minute », la « taille et le nombre de taches de rousseurs » ou, les « records de course de distance (en costume, en poussant un landau, etc.) » qui ne sont pas des marathons ou des semi-marathons.
Stupeur et rires

Toutes ces règles n’empêchent pas l’étonnement à chaque nouveau record établi pour le Livre Guinness. Récemment, nous avions ainsi raconté l’histoire d’un ingénieur parvenu à empiler 5 bonbons M & M’s. Un exploit tellement insolite, que des responsables du Livre Guinness, éberlués, s’y étaient eux-mêmes essayés.

Consulter le site du Guinness revient à s’offrir une bonne tranche de rigolade. L’organisation y recense à n’en pas douter l’actualité la plus loufoque qui soit. On y trouve, par exemple, une interview du créateur du Rubik’s Cube à côté de l’annonce de la mort du plus grand cheval du monde (2,10 m) ou de celle du record du plus long tunnel humain traversé par un chien skateur…
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Pourquoi péter c'est bon pour la santé... mais moins pour la planète
RTL
Certes, ce n'est pas le sujet le plus glamour. Mais ne vous inquiétez pas, vous, moi, les princesses... tout le monde pète. Et même si on ne s'en rend pas forcément compte, on flatule en moyenne une quinzaine de fois par jour.
On libère peu ou prou… enfin peu ou prout… environ entre 17 et 375 millilitres de gaz à chaque fois. Pour vous rendre compte de ce volume, imaginez quelque chose entre un flacon de vernis à ongles et une canette de soda. En tout, on pourrait lâcher jusqu’à 2 litres par jour ! Heureusement, car c’est vital pour notre organisme.

Les pets proviennent en effet de l'activité de petites bactéries à qui on peut dire merci : le macrobiote intestinal. C'est lui qui protège notre ventre d'éventuelles infections. Quand on digère, ces bactéries transforment certaines bactéries en nutriments. Et c'est à ce moment-là qu'elles génèrent du gaz : méthane, sulfure d’hydrogène, vous savez celui qui sent l'œuf pourri, et du dioxyde de carbone, le fameux CO2.
Notre postérieur lui aussi pollue. Mais heureusement, à toute petite dose. Rien à voir avec les vaches. En un an, une seule vache produirait autant de gaz à effet de serre qu'un trajet Paris-Lyon en voiture ! Et si vous additionnez toutes les vaches de notre pays, là en an, elles émettent autant de gaz que 15 millions de voitures. Ce qui représente 5% du CO2 que la France émet chaque année.
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Kékette, Cagole, Fuck Covid... Voici notre top 10 des noms de bières insolites
Actu.fr
À l'occasion de la Journée internationale de la bière ce vendredi 6 août, nous avons sélectionné dix bières aux noms (très) originaux.
Santé, bonheur et bière à toute heure. Cette adage est peut-être le mantra de bon nombre d’entre nous. Pour preuve, en France, ce sont près de 33 litres de bière par habitant qui sont consommés chaque année, selon les Brasseurs de France.

Outre ses goûts variés liés, entre autres, au brassage, ce breuvage se distingue par des appellations de plus en plus osées. Au gré de l’actualité ou de l’envie des brasseurs, certains noms de bières interpellent.

Et parce qu’aujourd’hui, vendredi 6 août 2021, c’est la Journée internationale de la bière, la rédaction d’Actu.fr a sélectionné dix bières aux noms insolites. Si l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, la consommation de ce top 10, elle, ne l’est pas, alors savourez !
Une bière qui sent bon la Provence. Créée en 2003 à Marseille, la Cagole est née « d’une soirée arrosée dans un cabanon » confesse l’une de ses créatrices, Simone Darnaud.

La bière, il y en a partout mais pas chez nous. Alors avec mon mari, on a eu l'idée de brasser notre propre bière.

Simone Darnaud
Pour le nom, « la cagole » vient de l’expression qui désigne de manière péjorative une femme provocante.

Aujourd’hui, cette bière artisanale se décline en six références allant de la blonde à l’IPA en passant par l’ambrée.
La Fuck Covid
Celle-là, on peut dire qu’elle était facile à trouver. Lors du premier confinement, en 2020, Guillaume Lenepveu, un habitant de Montpellier, a eu l’idée de lancer sa propre bière au nom sans appel : « Fuck Covid » , expliquent nos collègues du Métropolitain

Il s’agit d’une bière artisanale blonde et légère. Pourquoi un tel nom ? « J’ai voulu créer cette bière par humour et au second degré pour exprimer notre lassitude envers ce virus et notre solidarité, en conservant notre humour et notre joie de vivre malgré ce qu’il se passe », précise le brasseur.

La Chloroquine Dundee
On reste dans l’esprit du Covid-19 (même si on aimerait bien le voir partir définitivement) avec la Chloroquine Dundee. Celle-ci a été lancée à Marseille, fief du médecin controversé Didier Raoult, dont le portrait est « graffé » sur l’étiquette.

Cette boisson est le fruit de la rencontre entre l’artiste Vëki Graff, le 1er artiste graffeur à avoir réalisé le portrait du professeur Didier Raoult et d’Eric Sgarroni, le patron de la société Sting18, spécialisée dans l’habillage de bouteilles de bière, note Le Bonbon.

Cette bière sort directement de la brasserie artisanale et bio Kiss’wing, basée à Montblanc (Hérault). Elle est décrite comme « à la robe un peu sombre tirant sur l’orange ».

La Confinouze
Pour soutenir l’économie locale pendant le confinement, le bar La pépite à Lille, a eu l’idée de lancer La Confinouze, la bière des confinés. La version du printemps 2020 ayant largement rencontré son public, Victor, Kamil et Théo, les gérants du bar ont eu l’idée de sortir la version hivernale, comme le note Lille actu.

« Une bonne Triple qui tient au corps, avec une belle rondeur, et une légère amertume comme on les aime… »

La Pépite
La Kékette
On rentre ici dans la catégorie des « classiques aux nom lubriques » avec la bière La Kékette made in Normandie. Deux amis d’enfance ont lancé cette bière blonde artisanale au printemps 2013, aux « arômes de coriandre grillée, pas trop amers ni trop sucrés », rapportent les comparses.

Depuis son lancement, plusieurs variantes sont nées : des blondes « extra-larges », des « red » aux fruits rouges, la spéciale de Noël… Aujourd’hui, elle est commercialisée dans de nombreuses brasseries dans toute la France. Et on imagine que le slogan « Vous prendrez bien un petit coup de Kékette ? » n’y est pas pour rien.

La Levrette
« La Levrette », une bière au nom très atypique, a été lancée en 2008 par trois amis. Aujourd’hui, il en existe sept versions différentes sans compter les éditions spéciales au moment de Noël notamment. D’autres gammes seront disponibles prochainement.

Elle se caractérise par « un parfum d’agrumes avec quelques touches épicées » note le site spécialisé saveur-bière.com

La Levrette blonde a reçu la médaille d’or au Mondial de la bière en 2010. Forte de son succès, des bars éponymes ont même ouvert un peu partout en France, comme à Toulouse.

Un « Levrette café » devait aussi ouvrir ses portes dans une chapelle à Saumur. Mais face à la polémique, le gérant a jeté l’éponge.

La Fessée
Lancée par les Brasseurs de Gayant, une brasserie créée à Douai (Nord) en 1919, la Fessée est une bière ambrée de garde à fermentation haute

« Avec une robe cuivrée tirant vers le orange surmontée d’une épaisse mousse blanc cassé, elle dégage des effluves fortement portés vers les céréales et le malt dans un ensemble épicé », décrit le site spécialisé.

La Rince-cochon
Née dans le Nord de la France dans les années 90, la Rince-cochon est une bière connue de tous les amoureux de la petite mousse.

Brassée en Belgique, elle titre jusqu’à 8,5 ° avec « des arômes légers et maltés ainsi que de faibles notes aigres-douces de citron », indique le site spécialisé.

Blonde, rouge, IPA mais aussi aux arômes de whisky… il existe aujourd’hui plusieurs variétés de Rince-cochon disponibles dans la plupart des bars, cavistes mais aussi grandes surfaces.

La Mort-subite
Son nom peut faire peur mais rassurez-vous : ce n’est pas parce que vous en buvez une gorgée que vous passerez de vie à trépas. La Mort-subite vient du nom du café à Bruxelles où elle était brassée à l’origine.

Pour l’anecdote, le nom du café est issu d’un jeu de dés auquel s’adonnaient les clients : le pitjesbak.

Aujourd’hui, elle ne dépasse pas les 5,5° et se décline en plusieurs versions dont la traditionnelle blanche et la krieck (aux fruits rouges) réalisées par un seul maître-brasseur Bruno Reinders.

À noter que la bière s’exporte dans de nombreux pays du monde.

La Belzebuth
Autrefois, la Belzebuth était l’une des bières les plus fortes au monde avec un pourcentage d’alcool équivalant à 13% (pour la version traditionnelle blonde).

Aujourd’hui, sa teneur en alcool oscille entre 2,8° et 8,5° selon la version pour laquelle vous optez (respectivement la Pink Belzebuth et la Triple Belzebuth).

C’est la brasserie Goudale située dans le Nord de la France, qui la produit et la distribue.
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Une Belge sacrée championne du monde de décorticage de crevettes
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Le championnat du monde de décorticage de crevettes grises s'est tenu dimanche 8 août près de Dunkerque. La belge Katty Vanmassenhove a été sacrée.
Dix minutes pour éplucher un maximum de crevettes. C'est le défi auquel se sont mesurés les candidats au titre de champion du monde de décorticage de crevettes. C'est une Belge, Katty Vanmassenhove, qui a réussi à décortiquer 116 grammes de crevettes grises en 10 minutes et qui a donc été sacrée championne. Et elle n'a rien laissé au hasard.
"Je suis très fière et très contente d'avoir gagné. Ça m'étonne. J'ai quand même décortiqué 5 kilos cette semaine pour m'entraîner. Les crevettes coûtent encore cher donc ce n'est pas le moment. C'est mieux en septembre. Ma mère a un établissement près de la mer et elle vend des croquettes aux crevettes. Quand que j'étais petite, j'aidais ma mère à décortiquer les crevettes. Ma mère le fait plus vite que moi, mais elle a beaucoup de travail. Alors que moi j'ai le temps de venir ici, et j'ai gagné", confie celle qui avait déjà gagné le concours en 2018 et 2019.

Katty Vanmassenhove remporte donc un troisième titre de championne du monde de décorticage de crevettes grises. 116 grammes, c'est cependant 70 grammes de moins que le record du monde.
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Etats-Unis : Elle laisse Dieu prendre le volant de sa voiture…et se prend une maison
Starmag
Une trentenaire a eu un accident de voiture à 190km/h le 15 juin après avoir décidé de lâcher le volant et de s’en remettre à Dieu pour la garder sauve. Sa petite fille était sur la banquette arrière.
Peut-être y avait-il des moyens moins stupides de tester sa foi ? Une mère de famille américaine a en effet décidé de voir si Dieu la protégeait vraiment le 15 juin dernier.

Il est aux alentours de minuit dans la petite ville de Beachwood dans l’Ohio quand une voiture traverse les rues à 190km/h. Les caméras de surveillance ont capturé la voiture circuler comme un boulet de canon, griller un feu rouge, perdre le contrôle, heurter un pylône électrique et deux autres véhicules.
Elle a ensuite fini sa course folle encastrée dans une maison comme rapporté par le média Cleveland19.

Pas de blessures graves
Dieu avait donc manifestement envie de tout casser à Beachwood ce soir-là. Et puisque tant qu’à faire d’être stupide, autant l’être jusqu’au bout, la jeune femme ayant fait ça voyageait avec sa petite fille sur la banquette arrière. Mais dans son action complètement irresponsable, il semblerait manifestement qu’elle ait eu de la chance.

En effet, ni la conductrice ni sa fille n’ont été gravement blessées, se plaignant tout de même de légères blessures à la tête, et la maison percutée ne contenait pas d’habitants.

La conductrice risque d’être poursuivie en justice
La police qui a procédé à l’arrestation de la conductrice a rapporté ce qu’elle leur avait avancé comme justification à son geste. Elle voulait ainsi « tester sa foi en Dieu » au cœur d’une période difficile pour elle puisqu’elle a récemment été remerciée de son travail. Elle a également expliqué avoir voulu « laisser la peur s’en aller et se lancer ». Effectivement, elle s’est lancée, on ne peut pas dire le contraire.

Mais en réalité, elle s’est surtout lancée dans une belle procédure judiciaire puisqu’elle risque d’être poursuivie pour mise en danger de la vie d’autrui avec comme circonstance aggravante qu’il s’agisse d’un enfant et agression avec une arme mortelle, c’est-à-dire sa voiture.
Cela ne se fera cependant que s’il est prouvé qu’au moment des faits, la conductrice ne traversait pas une phase de crise mentale qui pourrait expliquer son geste. Les tests de drogue et d’alcool sont en tout cas revenus négatifs.
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