Questions existentielles - page 226

Pour se reposer quelques minutes
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Côtes-d’Armor. « Puis-je dormir avec madame ? » Ces appels insolites au 17 pendant le confinement
OuestFrance
Les gendarmes du centre opérationnel des Côtes-d’Armor, basé à Saint-Brieuc, reçoivent de nombreux appels liés au confinement. Avec des questions parfois insolites. Ils en publient un florilège.
Depuis le début du confinement, le centre opérationnel de la gendarmerie basé à Saint-Brieuc est particulièrement sollicité. Ce sont les gendarmes qui répondent au 17. « À ce jour, sur un total de 12 048 appels, nous recensons 7 620 appels pour des demandes de renseignements liées à la crise sanitaire, soit 63 % de l’activité téléphonique du centre opérationnel », explique le groupement de gendarmerie des Côtes-d’Armor sur sa page Facebook.
Il signale les enfants de son voisin dans le jardin
Les gendarmes ont publié « un florilège quelque peu insolite » de ces appels au 17. Ils évoquent notamment l’appel d’un monsieur qui demande « s’il peut dormir dans le même lit que madame ».

Ou encore cette dame qui contacte les gendarmes « afin de savoir si les lignes téléphoniques sont confinées car elle souhaite appeler son fils ». Mais aussi un homme qui signale que les enfants de ses voisins jouent dans le jardin. Il craint « un risque de contamination ».

Depuis le début du confinement, le centre opérationnel de la gendarmerie basé à Saint-Brieuc est particulièrement sollicité. Ce sont les gendarmes qui répondent au 17. « À ce jour, sur un total de 12 048 appels, nous recensons 7 620 appels pour des demandes de renseignements liées à la crise sanitaire, soit 63 % de l’activité téléphonique du centre opérationnel », explique le groupement de gendarmerie des Côtes-d’Armor sur sa page Facebook.


Il signale les enfants de son voisin dans le jardin
Les gendarmes ont publié « un florilège quelque peu insolite » de ces appels au 17. Ils évoquent notamment l’appel d’un monsieur qui demande « s’il peut dormir dans le même lit que madame ».

Ou encore cette dame qui contacte les gendarmes « afin de savoir si les lignes téléphoniques sont confinées car elle souhaite appeler son fils ». Mais aussi un homme qui signale que les enfants de ses voisins jouent dans le jardin. Il craint « un risque de contamination ».


« Mon couple va mal et nous n’arrêtons pas de nous disputer, questionne un autre Costarmoricain. Est-ce que je peux quitter l’appartement pour retourner chez mes parents ? »


Des numéros pour ne pas engorger le 17
« Je sais que je n’ai pas le droit de sortir avec le confinement mais m’autorisez-vous à sortir quand même ? », questionne tout simplement un autre usager. « Est-ce que je peux aller faire mon sport ? » demande un autre. « Quel sport, monsieur ? », questionne le gendarme. Réponse : « La pêche ! »

« Les opérateurs ne s’ennuient pas dans ce contexte particulier, ils répètent inlassablement le même message : RESTEZ CHEZ VOUS ! », dit la gendarmerie.

De son côté, la préfecture des Côtes-d’Armor demande aux habitants d’éviter d’engorger les standards téléphoniques de la gendarmerie et de la police pour des appels non urgents.
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Coronavirus en Allemagne : à 101 ans, elle s'évade de sa résidence pour voir sa fille
RTL
Une Allemande centenaire s'est échappée de sa résidence pour fêter l'anniversaire de sa fille qui lui "manquait énormément".
oronavirus ou pas, elle voulait absolument fêter l'anniversaire de sa fille. Une Allemande de 101 ans a filé en douce de sa résidence pour seniors avant d'être interceptée dans la rue par la police, ont indiqué les autorités. La centenaire a pu s'échapper ce lundi 6 avril au cœur de l'après-midi en empruntant la sortie de secours, a précisé la police de Braunschweig dans un communiqué.
Retrouvée errant dans la rue par une patrouille de police, elle a commencé par nier vivre dans cette résidence située à proximité, affirmant habiter chez sa fille. Les policiers l'ont alors conduite chez cette dernière. Elle leur a alors révélé que la centenaire vivait bien dans ce centre depuis deux semaines, mais que "sa fille lui manquait énormément", a expliqué la police aux médias locaux.

La vieille dame "a pu au moins voir brièvement sa fille depuis la voiture de police", selon les autorités, avant d'être reconduite à sa véritable adresse.

Une Allemagne relativement préservée
En Allemagne, l'épidémie de coronavirus semble sous un contrôle relatif et les mesures de restrictions de déplacements restent toujours d'actualité. Angela Merkel a estimé le 3 avril que le ralentissement de la propagation du nouveau coronavirus observé actuellement en Allemagne apportait un "peu d'espoir", tout en jugeant prématuré un quelconque assouplissement des restrictions.
"Il est sans conteste trop tôt pour voir (...) une tendance sûre, et aussi beaucoup trop tôt pour assouplir (...) les strictes règles que nous nous sommes fixées, a insisté la chancelière. Il y aura un après", a-t-elle promis après être sortie de 14 jours de quarantaine après avoir été en contact avec un médecin testé positif. Elle avait passé trois tests de détection du virus, tous négatifs, mais avait décidé d'accomplir le temps recommandé de confinement complet.

L'Allemagne n'a pas décrété de confinement strict comme la France ou l'Italie, mais toutes les écoles et la plupart des magasins sont fermés. Chacun est invité à travailler chez soi quand cela est possible et les rassemblements de plus de deux personnes dans l'espace public sont interdits. Toutes ces mesures sont en vigueur au moins jusqu'au 19 avril.
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Non-respect du confinement : le top 8 des verbalisations les plus insolites
LaDepeche
Christophe Castaner l'avait annoncé : les forces de l'ordre ont été déployées en nombre pour tenter de faire respecter au mieux les mesures de confinement. Le ministre de l'Intérieur a annoncé, ce jeudi, que 9,5 millions de contrôles ont été effectués sur le territoire. Ils ont donné lieu jusqu'ici à 528 000 verbalisations.
Si certaines sont clairement justifiées, d'autres apparaissent "abusives" voire carrément loufoques. Voici notre top 8, non exhaustif, des verbalisations les plus "abusives".

1. "Les gens comme ça ne sont pas capables de remplir cette feuille !"
Ce sont les propos assénés par une policière du côté de Rennes. Un patient au RSA et venu consulter son psychiatre a écopé d'une amende pour avoir "mal rempli" son attestation. En effet, l'homme avait rédigé lui-même l'attestation et avait coché à la fois "raison médicale" et "exercice physique".

Pour tenter de le défendre et expliquer la situation, le médecin sort et vient à la rencontre des policiers. Il reconnaît et veut donc clarifier l'intention de son patient, "dans un moment de fragilité" et qui a "donc eu du mal à remplir l'attestation". Réponse de la policière : "Vous êtes en train de dire que les gens comme ça, qui vont voir un psychiatre, ne sont pas capables de remplir cette feuille ?"

2. Sauver des vies, mais attestation à l'appui
Ils sont sur le front, sauvent des vies pendant cette épidémie sans précédent, sont applaudis tous les soirs à 20 heures. En revanche, personne au-dessus des lois : l'attestation de sortie dérogatoire est obligatoire.

Le syndicat CGT du centre hospitalier Béthune-Beuvry a rapporté que deux de leurs collègues avaient été verbalisés le 19 mars dernier. Ils avaient leur justificatif de déplacement professionnel mais pas l'attestation de déplacement dérogatoire. L'infirmière et le personnel soignant ont tous deux écopé de 135 € d'amende, rapporte l'Avenir de l'Arthois.

3. Des SDF vraiment verbalisés
pour non-respect du confinement ?
C'est une nouvelle qui avait fait scandale, notamment lorsque Le Progrès dénonçait la verbalisation de SDF pour non-respect du confinement, à Lyon. L'article a depuis été supprimé et la préfecture de police a démenti l'affaire, précisant que la mention "SDF" sur les PV était une excuse utilisée par certains contrevenants pour tenter d'échapper à la contravention.

En revanche, une enquête de Checknews a révélé que des verbalisations de SDF sont bien à déplorer. Dans la capitale, le 115 a précisé qu'elles avaient concerné des familles sans domicile qui changeaient de foyer d'accueil tous les quatre ou cinq jours. "C’est quand elles se déplacent d’un endroit à l’autre qu’elles sont exposées", a précisé l'association.

L'enquête évoque également la ville de Bayonne. Si la municipalité a démenti, la préfecture des Pyrénées-Atlantiques a reconnu avoir verbalisé un SDF. "Parce qu'il était très mobile et qu'il s'est montré particulièrement agressif avec les forces de l'ordre". Une consigne du gouvernement demande aux agents de faire preuve de discernement concernant la situation des sans domicile fixe.

4. Les tests de grossesse aussi peuvent attendre
Alors qu'il a bien été rappelé que les suivis de grossesse - désirées ou non - devaient évidemment continuer d'être assurés, cette Youtubeuse a eu une drôle d'expérience. Elle relate sur son compte Twitter avoir été sermonnée par une policière qui lui indiquait qu'aller chercher un "test de grossesse à la pharmacie n'était pas un motif de santé nécessaire".
5. Les serviettes hygiéniques,
pas des produits de première nécessité
Le débat dure déjà depuis plusieurs années, sans grande avancée. Alors que les produits hygiéniques ne bénéficient déjà pas des mêmes tarifs attribués aux produits de première nécessité, certains policiers ne les considèrent tout simplement pas comme essentiels.

C'est cette drôle de verbalisation qu'une jeune fille a tenu à partager sur les réseaux sociaux.
6. Sans machine à laver, pas de linge propre
Sans machine à laver mais dans l'obligation professionnelle de laver ses vêtements ? À vos risques et périls. Comme ce trentenaire de Pontivy (Morbihan). Sans lave-linge, le jeune homme s'est rendu à la laverie automatique près de chez lui.

Il est agent d'entretien, et outre toute considération de propreté primaire, il est obligé de nettoyer ses vêtements. Bien qu'armé de son attestation de déplacement, il a écopé d'une amende de 135 €. Il a décidé d'interpeller la préfecture du Morbihan. Les laveries font partie des commerces autorisés à rester ouverts.

7. Les courses oui, mais attention à leur contenu
Un agent de police qui réprimande une dame à la sortie d'un supermarché : dans son caddie, entre autres, plusieurs bouteilles de coca. Cette vidéo a fait le tour des réseaux sociaux et fait rire beaucoup de Français à l'entrée en confinement. Cependant, d'autres verbalisations sur le contenu de leur caddie ont beaucoup moins fait rire les citoyens.
C'est ce que rapporte une autre internaute française : un membre de sa famille s'est vu verbalisé à la sortie du supermarché. Il était en règle, avait son attestation et ses papiers d'identité. Le hic ? Dans le caddie plein, parmi les fruits, les légumes et autres denrées alimentaires "essentielles", deux paquets de gâteaux. Que les policiers n'ont pas jugés indispensables. 135 € d'amende. Le ton monte : 360 € d'amende.

8. De l'activité physique oui, mais pas en jean
L'activité physique et sportive, dans un rayon d'un kilomètre autour de chez soi et pour une durée de moins d'une heure, fait partie des autorisations de sortie dérogatoires. Alors du sport oui, mais pas en jean.
C'est l'amère expérience qu'a faite Elie Jabel-Bernard. L'homme explique, sur Twitter, avoir été verbalisé à 100 mètres de chez lui. Motif : faire du sport sans tenue de sport. L'homme présente son téléphone pour justifier des quelque deux kilomètres parcourus autour de chez lui. 135 € d'amende pour manque de discernement.
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Rennes : un artiste belge brave le confinement recouvert d'attestations de sortie
Avec son costume, Maxime Matthys souhaitait interroger la façon dont nous vivons le confinement, explique France Bleu Armorique.
LePoint.fr
Il voulait se faire remarquer et a bien réussi son coup. Le 23 mars dernier, un étrange personnage déambulait dans les rues de Rennes. Sur sa tête, son buste et ses jambes, des dizaines et des dizaines d'attestations de sortie accrochées. Comme le raconte France Bleu Armorique, cette performance intitulée « Sortez couverts », était l'œuvre de Maxime Matthys, un artiste belge de 25 ans. Le jeune homme, qui a diffusé la séquence sur sa page Facebook, s'est attaché pas moins de 150 attestations sur le corps.
Des attestations remplies consciencieusement une à une. Dehors, l'artiste a croisé la route de policiers, qui, comme beaucoup de passants, ont été interpellés par son accoutrement. Il n'a eu qu'à tendre la main et à décrocher l'une des nombreuses feuilles lorsqu'ils lui ont demandé de justifier sa sortie. Sa performance avait pour but d'interroger sur le confinement que la France et de nombreux autres pays ont mis en place. Sur le réseau social, sa vidéo a été vue plus de 50 000 fois. Après avoir été contrôlé, Maxime Matthys a décidé d'enlever son costume fait maison pour ne pas créer un attroupement qui serait contraire aux règles de distanciation sociale.

« Le costume est un peu une métaphore de la situation actuelle »
« Je n'aurai jamais imaginé dans ma vie devoir me munir d'une attestation pour sortir dans la rue. Le costume est un peu une métaphore de la situation actuelle et de la politique de santé publique qui est assez dingue : la quarantaine et le confinement sont des techniques qui ont été créées au Moyen Âge pour lutter contre les épidémies de l'époque comme la peste ou la lèpre », a expliqué Maxime Matthys à France Bleu.
« En 2020, avec notre armada d'innovations technologiques, on se retrouve à utiliser ces techniques moyenâgeuses. Pendant ce temps-là, on voit l'Allemagne qui n'est pas obligée de prendre de mesures aussi contraignantes parce qu'ils ont beaucoup plus de lits de réanimation… » ajoute-t-il. L'artiste n'avait, en revanche, aucunement l'intention de dénigrer le confinement. Cette mesure reste pour lui « la seule solution en l'état actuel des choses et au regard de la situation de l'hôpital public pour sauver des vies ».
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Pourquoi offre-t-on des cloches, oeufs, et lapins en chocolat à Pâques ?
RTL
Poules, oeufs, lapins et cloches en chocolat offerts à Pâques aux enfants ont des origines différentes, certaines très anciennes, d’autres, plus récentes.
Les cloches en chocolat nous viennent d’une tradition chrétienne, puisque Pâques est une fête chrétienne, celle de la résurrection du Christ trois jours après la crucifixion. C’était vendredi 10 avril, le vendredi Saint.
Pourquoi des cloches ? Parce qu’au VIIIe siècle après JC, on décide de ne plus faire sonner les cloches des églises entre le Jeudi saint, le jour du dernier repas du Christ, et le dimanche de Pâques. Les cloches en chocolat sont donc le symbole du retour des cloches dans les clochers, cloches qui se remettent à sonner. Longtemps on a raconté aux enfants que les cloches partaient à Rome pour être bénies par le Pape, et revenaient donc de Rome le dimanche pour célébrer sa résurrection !

Quant aux oeufs et aux poules en chocolat, elles n’ont rien à voir avec les cloches. Pendant la période du Carême, une autre tradition chrétienne qui précède la fête de Pâques et dure 40 jours, on ramassait les oeufs pondus par les poules pour les garder pour les manger le jour de Pâques, au déjeuner : la sortie d’un long jeûne. Très vite, on a pris l’habitude de décorer les oeufs offerts à Pâques, et même, de les faire bénir par le curé avant de les offrir aux enfants. Comme l’oeuf et la poule sont indissociables, vous savez pourquoi, quand on a commencé à faire des chocolats de Pâques au XIXe siècle, on se met à fabriquer des oeufs en chocolat mais aussi des poules en chocolat.

Reste enfin le lapin de Pâques. Lui nous vient d’une légende allemande du XVIIIe siècle, celle du Osterhase. Des enfants auraient surpris un lapin dans leur jardin à côté des oeufs de Pâques décorés pour l’occasion par leur maman. Dans la légende, ils croient que les oeufs ont été apportés par le lapin pour fêter Pâques. Bien entendu, comme le chocolatier qui a lancé la mode des lapins en chocolat est allemand, et que la légende du Osterhase est allemande, leur succès n’est pas que le fruit du hasard. Voilà comment le lapin a rejoint les poules, les oeufs et les cloches dans la chasse aux oeufs que vous allez organiser ce dimanche pour les enfants, dans votre appartement en étant imaginatif, ou dans le jardin si vous avez la chance d’en avoir un !
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Fantômes, déguisements... Les mesures les plus insolites pour faire respecter le confinement
OuestFrance
Policiers déguisés en virus, lignes à copier, faux fantômes pour inciter à garder ses distances… Voici un tour du monde des mesures les plus insolites déployées pour faire respecter le confinement.

Il n’y a pas que la répression pour inciter la population à respecter le confinement. Depuis le début de la pandémie de coronavirus, certaines autorités rivalisent d’imagination pour faire marquer les esprits et faire comprendre aux habitants qu’ils doivent absolument garder leurs distances ou rester chez eux.

De l’Inde à la Belgique, voici quelques exemples des initiatives les plus insolites.

Des fantômes dans les rues indonésiennes

Le voyage commence en Indonésie, dans le village de Kepuh, où les autorités locales ont décidé de jouer sur les croyances de la population pour faire respecter le confinement. Des bénévoles se sont déguisés en « pocong », des silhouettes blanches qui ressemblent à des fantômes : elles représentent l’âme d’un mort pris au piège dans son linceul…
Une fois passée la vague de curieux, il semble que la mesure ait fonctionné : un habitant du village a ainsi assuré à l’agence de presse Reuters que les parents et leurs enfants ne quittaient plus leur maison depuis l’apparition des pocongs. Le gardien de la mosquée locale a confié au journal indonésien Jakarta Post que cette mise en scène leur rappelait les effets potentiels de la maladie.

Humour belge

Beaucoup plus drôles, les policiers belges ont joué la carte de l’humour pour inciter les habitants à ne pas multiplier les sorties. Autour de l’étang d’Ixelles, à Bruxelles, ils ont patrouillé en diffusant une parodie de la chanson Viens à la maison de Claude François. Les paroles, détournées, deviennent dans la bouche de l’humoriste Yann Lambiel : « Reste à la maison, même si y’a le printemps qui chante… »

Les couplets, eux, rappellent les gestes barrières à adopter, et il est vrai qu’avec une musique de Claude François, ça passe toujours mieux !
Robots en Tunisie

En Tunisie, afin de limiter les contacts entre les forces de l’ordre et les habitants, le pays a recours à des robots téléguidés. Munis de caméras et de haut-parleurs, ces engins permettent aux policiers de s’adresser directement aux contrevenants
Des méthodes plutôt pédagogiques et bon enfant, qui contrastent avec d’autres sanctions infligées en Inde : on a ainsi pu voir des policiers utiliser la manière forte, obligeant des réfractaires au confinement à faire des pompes, des squats, et même en frapper certains avec des bâtons… Des méthodes qui suscitent la controverse, dans un pays où plus de la moitié des habitants vit sous le seuil de pauvreté et sont donc obligés de braver le confinement simplement pour se nourrir.
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Un mystérieux donateur offre des cartes cadeaux à tous les habitants d’une ville
OuestFrance
La ville d’Earlham, dans l’Iowa, aux États-Unis, a été choisie par un mystérieux donateur. Il a offert trois cartes cadeaux de 50 dollars à chacun des 549 foyers de la ville.
Malgré les retombées négatives du coronavirus, les habitants d’Earlham, dans l’Iowa, aux États-Unis, ont eu une belle surprise le 31 mars dernier. Un mystérieux donateur a offert plus de 82 000 dollars (environ 75 000 €) aux habitants de la ville.

Un appel masqué

Le 26 mars dernier, Jeff Lillie, le maire de cette ville de 1 450 habitants, reçoit un appel. Une personne, qui souhaite garder l’anonymat, lui explique qu’un homme souhaite injecter de l’argent dans l’économie locale, pour aider les citoyens d’Earlham et leur rendre la vie un peu plus facile.

Le maire raconte au quotidien américain The Washington Post que la personne au téléphone lui a alors annoncé que le mystérieux donateur comptait acheter 100 cartes cadeaux de 50 dollars à l’épicerie et à l’un des restaurants locaux, pour que la Ville les reverse aux personnes dans le besoin.
Le maire apprécie fortement le geste : « C’est incroyablement gentil et généreux », se dit-il. Mais il n’est pas au bout de ses surprises. Son téléphone sonne de nouveau.

L’homme veut désormais acheter 250 cartes cadeaux. Pour le maire, c’est l’occasion idéale pour relancer les commerces et il propose au donateur d’en acheter également dans l’autre restaurant de la ville, pour partager les revenus.

1 647 cartes cadeaux de 50 dollars

Mais à peine après avoir raccroché, le téléphone sonne à nouveau : ce n’est plus 250 mais 500 cartes cadeaux de 50 dollars que le mystérieux bienfaiteur veut acheter. Ça tombe bien, la ville compte 549 résidences, et tout le monde ou presque va être comblé.

Mais le donateur ne veut laisser personne de côté. Il décide d’en acheter 549. Mais pas question de diviser ses achats entre les deux restaurants et l’épicerie. Il achètera 549 cartes cadeaux dans chaque commerce !

Au total cela fait 1 647 cartes cadeaux de 50 dollars, pour un total de 82 350 dollars, soit environ 75 000 €.
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Coronavirus : Quand le confinement submerge les fabricants de puzzle
20Minutes
JEUX Des puzzles qui pourraient être encore plus longs à fabriquer qu’ils ne sont à résoudre
Depuis le début du confinement, à l’heure ou près de la moitié de la planète se voit confinée ou privée d’une partie de sa liberté de mouvement, les puzzles voient leur cote de popularité soudainement augmentée, dépassant même leurs ventes de Noël. Pas de meilleur passe-temps que de passer plusieurs heures, voire plusieurs jours, l’esprit concentré sur un seul but : réussir à imbriquer chaque pièce avec une autre pour voir progressivement se dessiner l’image finale.

Mais ce regain d’intérêt pour le jeu de patience a surpris des producteurs désormais sous pression face à la masse de commandes, comme le rapporte le New York Times.
Pour Ravensburger, producteur allemand parmi les plus importants dans le monde, suivre le rythme des commandes tout en adoptant les gestes barrières pour protéger les employés devient compliqué. Avec plusieurs semaines nécessaires pour concevoir chaque puzzle, tenir la cadence s’avère rude.

Choix stratégique des images
Le processus est long et minutieux. Comme expliqué dans le Times, chaque pièce du puzzle doit avoir une forme unique car elle ne peut être insérée qu’à une place. Par exemple, pour un jeu de 1.000 pièces, 1.000 formes différentes seront nécessaires, et chacune d’entre elles est dessinée à la main.

Choisir la bonne image relève aussi d’un challenge. « Choisir une simple jolie image et la mettre sur une boîte de puzzle ne fonctionne que très rarement » concède le directeur de Ravensburger en Amérique du Nord, Filip Francke. Selon lui, ce sont plutôt les images riches de détails qui sont les plus populaires, celles-ci permettant au joueur de se repérer plus facilement.

A l’affût des tendances
Un suivi des tendances, sur Reddit, Etsy et Instagram, ainsi que la mise en place de groupes de discussions sont aussi mis en place pour identifier des tableaux d’humeur par type de consommateur. Par la suite, un designer en collaboration avec un artiste travaille à la création de ces images.

Pour les commerces, difficile de répondre à la demande de leur clientèle, plutôt âgée. Quand certains sont tout de même prêts à prendre « ce qu’il reste », d’autres ont déjà commencé à faire des stocks. L’occasion peut-être de tester des puzzles monochromes, réputés pour leur difficulté ?
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Papier toilette à gogo et mot anonyme : voici les « covidioties » de la semaine
OuestFrance
Ils ignorent les règles imposées par le confinement ou se démarquent en faisant des choses particulièrement stupides en pleine pandémie de coronavirus. Partout dans le monde, les « covidiots » se font remarquer. Voici un résumé de la semaine.

C’est bien connu, nous sommes tous le « covidiot » de quelqu’un. Comprendre : en plein confinement imposé par la pandémie de coronavirus, nous faisons parfois des choses que nous pensons responsables mais que certains de nos voisins désapprouvent. Cependant, partout dans le monde, certains se démarquent en faisant fi du danger ou en commettant des « covidioties » particulièrement affligeantes. En voici un florilège.

C’est la fête à Bali

Alors que la plupart des pays du monde ont pris des mesures de confinement, certains déclarant même l’état d’urgence, une poignée de personnes continue à ne pas respecter les distances sociales, voire à se regrouper massivement comme si de rien n’était. Tel fut le cas dimanche dernier sur l’île indonésienne de Bali, où de nombreux touristes occidentaux se sont retrouvés dans une villa de luxe pour faire la fête. Et, bien évidemment, ils ont filmé la scène…

Les Balinais, à qui l’on demande de rester à la maison, ont été outrés et ont prié les participants, parmi lesquels deux mannequins russes et un influenceur britannique, de rentrer chez eux.
Le mot anonyme, un classique

Le confinement, malheureusement, peut aussi être le temps des petites bassesses entre voisins qui s’épient. Et, à force de surveiller les autres, il arrive qu’on se trompe de cible. Cette infirmière anglaise de Godmanchester, dans le Cambridgeshire, en a fait les frais.

Elle rentrait à la maison après un tour de garde de 12 heures à l’hôpital de Peterborough et le quotidien britannique The Daily Times rapporte que cette soignante découvre alors un mot glissé sous sa porte, sur lequel il est écrit : « Vous êtes une honte et vous avez été dénoncée. Sauvez des vies : restez chez vous. » Sauver des vies, c’est justement ce à quoi cette mère de famille avait consacré sa journée.

Il achète 4 800 rouleaux de papier toilette

Les « covidiots », ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît. On pourrait paraphraser les Tontons flingueurs pour évoquer cet Australien qui, en pleine pandémie de coronavirus, a acheté 4 800 rouleaux de papier toilette et 150 litres de désinfectant pour les mains.

Problème : ne pouvant pas les revendre sur internet, l’homme, qui avait cru faire un bon coup, a demandé aux magasins Drakes où il avait trouvé sa marchandise, de la lui racheter. La réponse du gérant de cette chaîne ne s’est pas fait attendre : dans une vidéo publiée sur la plateforme YouTube, John-Paul Drake a levé son majeur en direction de ce client indélicat.

Sur le réseau professionnel LinkedIn, le gérant explique le client n’avait pas fait ses achats seul ni en un seul voyage. Il avait organisé une opération sophistiquée, avec une vingtaine de complices, pour visiter plusieurs magasins Drakes et faire main basse sur le papier toilette, relève l’émission 7 sur 7.

Ses parents ont les symptômes, il part faire la fête

Les Français n’ont rien à envier au « covidiots » du reste du monde. Ainsi, le week-end dernier près de Nantes, un adolescent de 17 ans a cru bon d’aller faire la fête avec ses amis alors que ses parents présentaient les symptômes du coronavirus.

Quand les gendarmes de Carquefou ont ramené le jeune homme chez lui, c’est sa mère qui a ouvert la porte, en toussant. Le père, lui, n’a pas montré le bout de son nez, il était cloîtré dans une chambre. « Ce type d’attitude est affligeante, a fortiori quand on a un père confiné dans sa chambre, a réagi un officier de gendarmerie. Les gendarmes qui sont intervenus ont bien sûr respecté les gestes barrières. Il n’empêche que cela les met en danger. »

Il cache un ami dans sa valise

En Inde, dans la ville de Mangalore, un autre adolescent de 17 ans s’ennuyait tellement qu’il a osé enfreindre les règles de confinement. La chaîne de télévision américaine CNN rapporte que ce lycéen a tenté de faire entrer un de ses amis dans sa résidence en le cachant... dans une valise ! Les voisins, qui avait flairé la supercherie, l’ont dénoncé à la police.

Sortie en famille de 800 kilomètres

Lors du week-end de Pâques, une famille londonienne s’est elle aussi fait remarquer en parcourant 500 miles, soit environ 800 kilomètres, pour aller passer une journée dans la région de Lake District.

Selon le média britannique The Independant, les participants à cette petite expédition estimaient avoir été raisonnables et respecté les règles lors de ce déplacement, puisqu’ils portaient des masques et des gants. Ce qui, évidemment, n’était pas l’avis des policiers du Lancashire qui les ont verbalisés.

Un hélicoptère pour stopper un match de foot

Enfin, en Tunisie, certains n’ont rien trouvé de mieux que d’organiser un match de football en plein confinement. Selon une vidéo relayée par Courrier International, c’est carrément un hélicoptère de l’armée qui a sifflé la fin de la partie, descendant à très basse altitude et créant un tourbillon de poussière pour contraindre les joueurs à quitter immédiatement les lieux. Des militaires qui avaient certainement bien mieux à faire ce jour-là…
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Yonne. Un couple se fait livrer 30 tonnes de pommes de terre, la cargaison termine sur la route
OuestFrance
Un couple de l’Yonne s’est fait verbaliser, mercredi 15 avril, pour avoir gêné la circulation sur une route départementale à cause des 30 tonnes de pommes de terre qu’ils venaient de se faire livrer en espérant les revendre.
Les pommes de terre sont tombées, la prune aussi. Un couple de l’Yonne s’est fait verbaliser, mercredi, à Sementron, près d’Auxerre, pour avoir gêné la circulation sur la route départementale 85 à cause des 30 tonnes de pommes de terre qu’il venait de se faire livrer sur un terrain de la commune. « Le semi-remorque n’a pas réussi à rentrer, il a tout laissé au bord de la route et ça débordait », ont raconté les gendarmes. Ils ont délivré une contravention pour « embarras d’une voie publique par dépôt ou abandon sans nécessité d’objets ou matériaux entravant la libre circulation », précise le quotidien régional  L’Yonne Républicaine .
Le maire, agriculteur à la retraite, a dû intervenir avec un tractopelle pour déplacer la montagne de tubercules. Quand il est arrivé, le couple et ses trois enfants s’attelaient à la tâche, en plein soleil. « Avec une vieille brouette et des seaux ! Si j’étais pas venu, ils y seraient encore, s’amuse Jacques Balou. J’ai pris le tractopelle et un godet à grains pour repousser le tas dans la propriété. J’ai fait un peu de purée évidemment ! »

Le couple avait acheté toutes ces patates pour les revendre et avait créé une micro-entreprise à cette fin. Un business inspiré par le confinement ?
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Un octogénaire utilise une nacelle pour voir sa femme confinée en maison de retraite
RTL
Pour continuer à voir sa femme, confinée en maison de retraite, Nick Avtges, âgé de 88 ans, a utilisé un camion nacelle.
ick Avtges, 88 ans, avait l'habitude d'aller rendre visite à sa femme, Marion, 85 ans, tous les jours dans la maison de retraite où elle habite depuis quelques années à Waltham, près de Boston, et de passer toute la journée avec elle.
Mais depuis que l'épidémie de coronavirus sévit aux États-Unis et que les visites aux personnes âgées dans les maisons de retraites ont été interdites, Nick ne peut plus honorer ses visites. C'est un coup dur pour le couple, marié depuis 61 ans.

Alors leurs proches, notamment leur fils, Chris, ont l'idée de faire monter le père sur un camion nacelle afin qu'il se hisse à la fenêtre de la chambre de sa femme, et qu'ils puissent discuter quelques minutes, munis de masques et en respectant les mesures barrières. Grâce à son réseau Facebook, Chris dégote un camion et convainc l'équipe de la maison de retraite.

C'était la première fois qu'il la voyait depuis des semaines
Deux jours plus tard, Nick Avtges monte sur la nacelle et s'élève de deux étages. "C'était la première fois qu'il la voyait en face à face depuis des semaines", a déclaré son fils au Boston Globes, "c'était tout simplement incroyable".
"Ils auraient pu me soulever de dix étages que ça ne m'aurait pas dérangé", a de son côté confié Nick, heureux d'avoir pu revoir sa femme. Les deux ont discuté et se sont échangés des mots d'amour, puis Nick est redescendu, sans heurts, du deuxième étage.
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Licencié à cause du coronavirus, il remporte la loterie !
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La loterie permet régulièrement de donner naissance à de belles histoires. Récemment, c’est un couple endetté au Canada qui a gagné le gros lot. En janvier, c’est un homme qui avait tout perdu dans les incendies en Australie qui a vu le destin lui sourire. Cette fois, c’est un naufragé du coronavirus qui a eu le droit à un coup de pouce du destin.

Le jackpot à la loterie
Cette histoire relayée par nos confrères de Sud Info, se déroule en Australie. Un jeune homme âgé d’une vingtaine d’année vient d’être licencié en raison de l’épidémie de coronavirus. Un véritable drame pour ce père de famille originaire d’Adélaïde. Mais, sa chance vient de tourner et le voilà désormais mis à l’abri.

Cet homme a en effet gagné la loterie baptisée « Win for Life ». Concrètement, il va toucher l’équivalent de 12 000 euros, chaque mois, pendant 20 ans. Au total, son gain sera d’environ 2,8 millions d’euros. Plus que suffisant pour vivre tranquillement avec sa famille, comme il l’a expliqué dans un communiqué.

Cela nous permettra de vivre sereinement pour le restant de nos jours.

Sans doute encore sous le choc, il a toutefois précisé qu’il ne savait pas comment il allait dépenser cette fortune. Qu’il se rassure, sa femme a déjà des idées :

Shopping, vacances et nouvelle maison !
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