Questions existentielles - page 242

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Des images rarissimes de girafes naines découvertes en Afrique
OuestFrance
Deux girafes aux pattes plus courtes que les spécimens habituels ont été observées en Ouganda et en Namibie. Selon les scientifiques, il s’agit d’une première. Voici ce que l’on
C’est une première dans le monde scientifique. En Afrique, des chercheurs ont révélé l’existence de deux girafes aux pattes plus courtes que leurs congénères.

Là où cet animal est caractérisé par un long cou et des pattes assez grandes, un premier spécimen aux petites pattes a été observé en Ouganda en décembre 2015. Puis, tout juste un an plus tard, une autre girafe, de sexe mâle également, et présentant la même caractéristique, a été étudiée dans une ferme privée du centre de la Namibie.

Des os trop petits

Les deux chercheurs, Michael Butler Brown et Emma Wells, tous deux biologistes au sein de la Giraffe Conservation Foundation, ont donc cherché à élucider ce mystère.

Pour cela, ils ont photographié toutes les girafes possibles pour pouvoir comparer leurs mensurations.


Il est apparu que les métacarpes des deux girafes naines mesuraient 37,6 et 50,5 centimètres contre 65,1 cm en moyenne chez des girafes d’âge équivalent. Le radius, un autre os des pattes, était également plus court d’environ 20 centimètres.

« Ces girafes présentent un radius et un métacarpe [deux os situés dans les jambes] plus petit que d’autres girafes du même âge », explique leur étude publiée dans la revue BMC Research Notes .

Comme l’explique ce document scientifique publié le 30 décembre 2020, ces girafes sont atteintes de « dysplasie squelettique », c’est-à-dire une anomalie du développement osseux qui, dans leur cas, a conduit à des pattes plus courtes et donc à une forme de nanisme.

La cause reste inconnue

Impossible pour l’instant d’établir la cause de cette anomalie, d’autant qu’elle est rarissime. En revanche, les deux chercheurs expliquent que les cous des deux girafes sont deux cas différents : chez l’une, il est plus grand que la moyenne, alors qu’il apparaît plus petit chez l’autre.

Si des cas de nanisme ont déjà pu être observés chez des animaux domestiques comme des chats, des vaches, des cochons ou même des rats, « les observations sur des animaux sauvages sont rares », précise l’étude. Jusqu’alors, seuls des rennes en Écosse ou un éléphant au Sri Lanka présentant une anomalie similaire avaient été observés et étudiés.

« Cette première description de nanisme chez les girafes reste la preuve est un exemple montrant que l’on sait encore très peu de choses sur ces animaux iconiques », souligne la fondation pour la conservation des girafes.
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Pourquoi l'entreprise Ikea a-t-elle connu autant de succès avec ses meubles en kit ?
Europe1
Dans l'émission "Historiquement vôtre" sur Europe 1, le journaliste David Castello-Lopes est revenu mardi sur la genèse de la célèbre entreprise Ikea. D'une petite entreprise suédoise créée par un adolescent suédois au début des années 1940 au mastodonte actuel de l'ameublement, il y a un monde… et une idée toute simple qui a fait la fortune de son auteur.
Le journaliste David Castello-Lopes, dans l'émission Historiquement vôtre sur Europe 1, revient tous les jours sur les origines d'un objet ou d'un concept. Ce mardi, il s'intéresse aux racines de l'entreprise suédoise Ikea, devenue au fil des décennies un géant de l'ameublement. Pour séduire les consommateurs, le fondateur de la marque a su rentabiliser une idée qu'il a eue au moment de charger des meubles dans une camionnette, en 1952. Cela deviendra plus tard l'effet Ikea et inspirera bien d'autres fabricants.

"Il y a plein de gens qui crachent sur Ikea et qui se plaignent : 'Ohlala Ikea, tu montes tes étagères et à la fin il te reste toujours une pièce que tu ne sais pas où mettre, vraiment, c’est nul'. Pourquoi les gens disent-ils ça et pourquoi critiquent-ils Ikea ? Parce qu’au lieu de comparer leur situation avec celle qui précédait l’apparition d'Ikea, à savoir 'tes meubles coûtent quatre fois plus cher et ils passent pas par la porte de ton appartement', ils comparent leur situation à un monde parfait. Ils considèrent que cette perfection leur est due. Pourquoi cela ? Parce qu’ils ont payé 17,90 euros.
Matthieu Noël a déjà raconté il y a quelques semaines l'histoire d'Ingvar Kamprad, le fondateur ainsi que le 'I' et le 'K' d'Ikea (avec les noms propres 'Elmtaryd' et 'Agunnaryd' pour les deux autres lettres). Attardons-nous sur la genèse de l’entreprise. Le Suédois Ingvar Kamprad était dyslexique, mais travaillait bien à l’école. Un jour, son père lui a donné une petite somme d’argent pour le récompenser. Il avait alors 17 ans.


Tout débute (vraiment) en 1952
Avec cet argent, certains auraient acheté une PlayStation. Pas Ingvar Kamprad : lui a préféré créer directement Ikea. Nous sommes alors en 1943 et il est également un petit peu nazi. Mais on peut être nazi et avoir le sens des affaires : Ingvar Kamprad a commencé à vendre des petits trucs avec son entreprise, et notamment des meubles. Près de dix ans plus tard, Ikea s'est déjà bien développé. Il y avait un catalogue de 100 pages, mais c’était juste un magasin de meubles.

Un jour, en 1952, il se retrouve avec l'un des premiers employés d'Ikea, Gillis Lundgren, en train de mettre des meubles Ikea dans une camionnette pour aller faire une session photo. Les deux compères galèrent. Gillis Lundgren lui a dit : 'Attends, on va dévisser les pieds ça ira mieux'. Eurêka ! Ils se disent alors qu'ils vont vendre les meubles de cette manière. Les gens n'auront plus qu'à visser les pieds eux-mêmes.

Rentabilisation logique
Dans cette idée, tout est logique d'un point de vue économique : on peut mettre plus de meubles dans le camion, donc le transport est moins cher. On peut stocker plus de meubles sur la même surface, donc le loyer des entrepôts est mieux amortis. In fine, on peut faire baisser le prix des étagères.

C'est la raison pour laquelle Ikea a continué à cartonner jusqu’à aujourd’hui. Ils n'ont pas arrêté de trouver des méthodes un peu obsessionnelles pour pouvoir vendre leur produits moins chers. Raboter une vis sur une commande pour qu’elle pèse moins lourd, changer la forme d’une tasse pour qu’elle s’emboite mieux dans les autres tasses pareilles…

Un achat valorisant
Il y a un autre effet bénéfique, d’un point de vue commercial, au fait de proposer des meubles à monter soi-même. C'est d'abord l’industrie agro-alimentaire qui s'en est rendu compte. Dans les années 1960, une entreprise de nourriture américaine a commencé à commercialiser des repas tout faits, qu'il fallait juste réchauffer. Cela fut un flop. Pourquoi ? Précisément parce que les femmes au foyer de l’époque n’avaient rien à faire, donc ce n’était pas valorisant. Ils ont alors changé le produit en disant 'il faut ajouter un œuf'.

À partir de là, les ventes ont explosé : il y avait un petit truc à faire et les gens étaient donc fiers. Aujourd'hui, cela s’appelle 'l'effet Ikea'. Ce qui vaut pour l’œuf vaut aussi pour les meubles. Les gens sont contents de monter leur meuble et ont l'impression d’avoir fabriqué un objet. En fait, ils n'ont rien fabriqué du tout. C’est comme être fier d’avoir fait un puzzle : cela n'a aucun sens. C'est malgré tout cela qui a fait le succès d’Ikea."
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Sarthe : trois frères et sœurs nés le même jour... mais pas la même année
RTL
- Inès, Anis et Enzo sont tous les trois nés un 6 janvier, mais respectivement en 2017, 2019 et 2021.
Kamel et Chahira sont les heureux parents du petit Enzo, né le mercredi 6 janvier 2021. Rien d'exceptionnel dans cet événement, si ce n'est que le frère et la sœur du nourrisson sont eux aussi nés le même jour, mais pas la même année. Le couple a ainsi accueilli Inès le 6 janvier 2017. Deux ans plus tard, Anis voyait le jour le 6 janvier 2019.
Cette étonnante coïncidence a été rapportée par France 3 Pays de la Loire. Lors du dernier rendez-vous à l'hôpital avant la naissance, le médecin qui suivait Chahira a opté pour une césarienne. Il a alors annoncé à la maman une admission le 5 janvier pour une intervention le lendemain. Après avoir consulté les pages antérieures du dossier médical à la demande de la maman, "le médecin a ri, il a dit qu'il n'avait jamais vu ça", raconte Kamel.

Après quelques recherches sur internet, le papa a découvert qu'il n'existait que trois autres exemples dans le monde : un en France, un en Scandinavie et un autre en Argentine. Ses enfants, eux, sont tous nés le jour de l'Épiphanie, date à laquelle les trois rois mages sont venus rendre visite à Jésus. Un joli symbole, selon Kamel.
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Renault va-t-il relancer sa mythique 4L en électrique ?
OuestFrance
Voiture emblématique de la France des années 1970 et 1980, la Renault 4L pourrait bien faire son grand retour. Le constructeur au losange pourrait annoncer très prochainement la construction d’une version électrique de Renault 4.

Si vous avez connu les années 1970 et 1980, sans doute avez-vous de multiples souvenirs autour de la voiture 4L…

Véritable véhicule mythique, ce modèle de Renault 4 s’est imposé comme la voiture populaire et emblématique de la France. Avec 8 millions d’exemplaires ayant trouvé preneur, la Renault 4 reste d’ailleurs à ce jour l’une des voitures françaises les plus vendues de l’histoire de l’automobile.

Mais plus aucune 4L n’a été construite de 1992. L’objet appartient donc désormais au patrimoine et reste réservé aux collections ou à des courses…


Un grand retour en version électrique ?

Pourtant, les nostalgiques peuvent se réjouir : la 4L pourrait bien signer son grand retour sur les routes ! Selon plusieurs médias, tels France Bleu ou RTL, Renault s’apprête à annoncer le retour de la Renault 4 ainsi que celui de la R5.

Souvent annoncé, ce grand retour pourrait être confirmé par le nouveau directeur général Luca de Meo ce jeudi 14 janvier 2021, lors de la présentation de son plan stratégique « Renaulution ».

Pour l’instant l’information n’est pas confirmée par l’entreprise automobile. Contactée à de multiples reprises, Renault n’a d’ailleurs pas souhaité répondre à nos questions.

Une nouveau modèle électrique

Cet éventuel retour s’inscrirait dans la tendance du come-back de vieux modèles comme l’ont fait BMW avec la mini, Volkswagen avec la Coccinelle ou encore Citroën avec la DS.

Mais comme nous ne sommes plus dans les années 1980, Renault prévoit un sacré changement : construire la 4L en version électrique ! La voiture serait peut-être ainsi plus facile à conduire et plus agréable que l’ancienne modèle.

Déjà en juillet 2019, Renault avait annoncé la construction d’une nouvelle décapotable électrique nommée e-Plein Air. Un clin d’œil à la mythique Renault 4L Plein Air.

Concernant la nouvelle version de la 4L, il faudra encore attendre encore un peu avant de se jeter chez votre concessionnaire automobile.

Pour l’heure, aucune date de commercialisation ni aucun prix n’ont été avancés.
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Alsace : Il prévoit la météo de l’année grâce à des oignons
SNIF Ce n’est pas la seule technique de Remy Gullung
20Minutes
Depuis une quinzaine d’années, Remy Gullung, 67 ans, s’adonne à des prévisions météo un peu particulières : la nuit de Noël, il coupe des oignons en deux et dispose du gros sel dessus. Avant de les numéroter de 1 à 12 pour les douze mois de l’année.
Pour quel résultat ? Plus l’oignon a rendu d’eau, plus le mois associé sera humide.
L’Alsacien a recours à une autre technique pour affiner ses prévisions : celle dite de la « Petite année ».
Le réveillon de Noël n’est pas qu’une veillée de fête chez Remy Gullung. C’est aussi soir de prévisions météorologiques ! Depuis 2006, cet habitant de Hartmannswiller, dans le Haut-Rhin, a recours à… des oignons pour prédire le temps de l’année à venir.

« Mon père en parlait déjà il y a plus de cinquante ans, c’est plus ou moins une tradition de fermiers car ils n’avaient pas de satellite avant », explique-t-il, avant de détailler le procédé. « C’est assez simple : il faut couper six oignons en deux et placer les douze moitiés côte à côte devant une fenêtre la nuit de Nöel. Toutes représenteront un mois, de janvier à gauche à décembre le plus à droite. Vous mettez du gros sel dessus, vous fermez les volets et vous les laissez. Ce n’est qu’après la messe ou la bûche, comme vous voulez, que vous retournerez voir. Plus les oignons auront donné d’eau, plus le mois sera humide. »
Pour 2021, les bulbes n’ont pas été très généreux en janvier, juin, octobre, novembre et décembre, ce qui pourrait mener à des mois secs selon Remy Gullung. A l’inverse, mars, avril, mai et août verraient bien plus d’humidité. « Ce n’est qu’indicatif », précise le retraité de 67 ans, qui utilise également une autre technique pour prévoir la pluie et le beau temps. Celle dite de la « Petite année ».
Cette dernière demande davantage d’efforts. « On doit faire des observations 4 fois par jour, soit toutes les 6 heures, pendant douze jours entre le 26 décembre et le 6 janvier. A chaque jour son mois », détaille l’ancien employé dans une entreprise d’aluminium. A 6h, 12h, 18h et minuit – « si c’est 23 h, c’est pas grave ! » –, il consigne donc, avec son baromètre, « la pression atmosphérique, la température, l’état du ciel et la direction du vent ». Avec des analyses différentes selon les situations.

« On me traite parfois de charlatan »
« Par exemple, s’il y a du brouillard, c’est un signe d’orage. C’était le cas le 4 janvier donc je prévois des risques orageux en octobre. Le 27 décembre, il y avait beaucoup de vent alors je crains des tempêtes au mois de février, peut-être avec des inondations », annonce le prévisionniste, qui partage ses analyses sur sa page Facebook "Monsieur Météo Grand-Est France". L’homme est aussi régulièrement interrogé par de nombreux médias en Alsace.

« J’ai des amis en Haute-Saône, Moselle etc. Certains agriculteurs ne jurent que par moi », assure-t-il, lucide aussi à propos de ses détracteurs. « On me traite parfois de charlatan mais il faut bien savoir que mes prévisions ne remplacent pas celles des institutions comme Météo-France. Je ne prétends rien. »

Pour 2021, il anticipe simplement « une année de rattrapage des déficits en eau
des quatre dernières années [avec] un printemps pourri et un été mitigé marqué par un déficit d’ensoleillement et sans fortes chaleurs. L’automne, variable, sera plutôt sec. » Pour ceux qui auraient dans l’idée de participer aux vendanges en Alsace, vous pouvez déjà poser congé. Ce sera « vers le 13 septembre ».
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Pourquoi la disparition du corbeau Merlina inquiète beaucoup les Britanniques
OuestFrance
Grosse inquiétude au Royaume-Uni : Merlina, reine des corbeaux de la Tour de Londres, n’a pas donné signe de vie depuis des semaines. Une annonce faite par le monument via le réseau social Twitter qui inquiète les Britanniques. On vous explique tout.

C’est une nouvelle qui a sans doute plongé nombre de Britanniques dans la tourmente. Depuis plusieurs semaines Merlina, la reine des corbeaux de la Tour de Londres, où sont entreposés les joyaux de la couronne, est portée disparue.

Une nouvelle inquiétante donc puisque selon une légende solidement ancrée au Royaume-Uni, si tous les corbeaux venaient à quitter la Tour, le royaume « s’effondrerait » et le pays serait « plongé dans le chaos ».


Un oiseau au caractère indépendant

« Nous avons une nouvelle vraiment triste à partager. Notre corbeau bien-aimé Merlina n’a pas été vu à la Tour depuis plusieurs semaines, et son absence prolongée nous indique qu’elle est peut-être décédée. »

Dans un tweet publié le 13 janvier dernier, le compte officiel de la Tour de Londres a annoncé, non sans une émotion palpable, la disparition inquiétante de Merlina, la reine des corbeaux de la Tour de Londres.

Et pour cause, décrit comme un oiseau « au caractère indépendant », le petit corvidé n’a pas été vu depuis plusieurs semaines dans l’enceinte de cette forteresse historique qui borde la rive nord de la Tamise.

Pour rassurer autant que faire se peut les citoyens britanniques, le communiqué de la Tour de Londres s’est tout de même empressé de préciser que « sept volatiles vivent toujours sur le site », une condition indispensable pour empêcher « la chute du royaume », selon une légende ancestrale.

Un décret royal édité vers 1670

Selon cette légende, si tous les corbeaux venaient à quitter la tour, le royaume « s’effondrerait » et le pays serait « plongé dans le chaos ». D’après un décret royal, qui aurait été édicté par le roi Charles II aux alentours de l’année 1670, il doit donc y avoir six corbeaux sur le site à tout moment pour conjurer le sort.

« Nous avons actuellement sept corbeaux ici à la Tour, un de plus que les six requis », a indiqué la Tour de Londres afin de rassurer les sujets de la Couronne. Et de rajouter dans un autre tweet : « notre actuel Ravenmaster (« maître des corbeaux ») Chris Skaife veille à ce que nous ayons toujours les six corbeaux requis en résidence, plus une ou deux autres bêtes de rechange. Nous avons maintenant sept corbeaux, vous pouvez donc être assurés que la Tour et le royaume sont toujours en sécurité ».

Chris Skaife, le « maitre des corbeaux » de la Tour de Londres. (Photo : capture Écran Twitter / @TowerOfLondon)
Mais tout de même, la disparition de Merlina n’est pas pour rassurer Chris Skaife, son maître. Car si l’animal prenait parfois la poudre d’escampette, elle avait jusqu’à présent toujours rejoint ses congénères Poppy, Erin, Jubilee, Rocky, Harris, Gripp, et Georgie. Chris Skaife redoute donc qu’elle soit montée au ciel « pour de bon ».

« Un oiseau à l’esprit libre »

« C’est un oiseau à l’esprit libre », a-t-il expliqué à la radio anglaise BBC4 . Avant de revenir, comme le rapporte Le Monde, sur les circonstances de sa disparition : « C’était juste avant Noël, avant le confinement, nous “mettions les corbeaux au lit” [dans leur volière, ndlR] et elle n’est pas revenue. Je suis son copain et généralement elle revient, mais pas cette fois ».

« Je crains qu’elle ne soit plus parmi nous », a-t-il en outre rajouté auprès de la BBC. Même si les menaces d’effondrement du royaume constituent « un mythe et une légende », le maître des corbeaux n’en est pas moins prudent : « nous avons sept corbeaux ici à la Tour de Londres, six par décret royal, et bien sûr j’en ai encore un de rechange, donc pour l’instant tout va bien ».

En attendant de pouvoir formellement décréter le décès du corbeau, la Tour de Londres a indiqué, via Twitter, « espérer qu’avec le temps, un nouveau poussin issu de son programme d’élevage sera à la hauteur du formidable défi que représente la poursuite de l’héritage » de Merlina.
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photos a écrit :"Il y a plein de gens qui crachent sur Ikea et qui se plaignent : 'Ohlala Ikea, tu montes tes étagères et à la fin il te reste toujours une pièce que tu ne sais pas où mettre, vraiment, c’est nul'. Pourquoi les gens disent-ils ça et pourquoi critiquent-ils Ikea ? Parce qu’au lieu de comparer leur situation avec celle qui précédait l’apparition d'Ikea, à savoir 'tes meubles coûtent quatre fois plus cher et ils passent pas par la porte de ton appartement', ils comparent leur situation à un monde parfait. Ils considèrent que cette perfection leur est due. Pourquoi cela ? Parce qu’ils ont payé 17,90 euros.

L'origine du succès d'Ikea, c'est surtout le prix, même si la qualité et la solidité laisse un peu à désirer. Fini l'époque des meubles en bois massif qui se transmettait de génération en génération...
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Coronavirus aux Etats-Unis : Terrorisé par l'épidémie, il se cache trois mois dans un aéroport
ANGOISSE Cet habitant de Los Angeles, âgé de 36 ans, a vécu trois mois dans une zone de l’aéroport de Chicago interdite au public, en demandant de la nourriture aux passagers

20 minutes
Aditya Singh, 36 ans, a été arrêté le week-end dernier à l’aéroport O’Hare de Chicago. Cet habitant à Los Angeles se trouvait dans une zone interdite au public et avait été repéré par deux employés qui ont alerté la sécurité. Cela faisait en fait trois mois que le Californien se trouvait dans l’aérogare, qu’il refusait de quitter par peur du Covid-19, rapporte Chicago Tribune. Il a été inculpé de « violation d’une zone aéroportuaire interdite au public ».

Jugé le 27 janvier
Le trentenaire a aussi été mis en examen pour « vol mineur ». Il était en effet en possession d’un badge d’accès, déclaré manquant par un employé depuis le 26 octobre, une semaine après l’arrivée du trentenaire. Depuis, il aurait vécu dans une zone sécurisée de l’aéroport en demandant un peu de nourriture aux passagers.


L’homme est un diplômé en hôtellerie au chômage. Il n’a commis aucune violence et son casier judiciaire est vierge. En attendant son procès le 27 janvier, il pourra être remis en liberté contre une caution de 1.000 dollars, mais l’accès à l’aéroport lui sera interdit. Le département de l’aviation de Chicago a tenu à rassurer ses clients, en assurant que l’homme n’était pas considéré comme dangereux.
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Un divorce gratuit à gagner pour la Saint-Valentin
OuestFrance

En amont de la Saint-Valentin, le 14 février, un cabinet d’avocats américain a eu l’idée de célébrer la fête des amoureux avec une offre promotionnelle pour le moins insolite. À gagner : un divorce gratuit
Les fêtes de Noël et du Nouvel An sont passées, la période des galettes des rois touche à sa fin, et la prochaine fête est la Saint-Valentin, le 14 février. Pour célébrer le jour des amoureux, un cabinet d’avocats américain de Crossville, dans le Tennessee, a décidé d’attirer les clients avec une offre intrigante et alléchante.

La Powers Law Firm organise un concours promotionnel, permettant de gagner un divorce gratuit !

« Avancer dans la vie »

« Beaucoup de personnes restent mariées uniquement parce qu’elles ne peuvent pas se permettre de divorcer. Les procédures sont très chères. En général, [aux États-Unis] cela démarre autour de 1 150 dollars [environ 1 000 €] et tout le monde ne dispose pas d’une telle somme », a expliqué Timothy Sexton, un assistant juridique de la Powers Law Firm, au média CNN.
Le cabinet estime donc que ce 14 février 2021 est l’occasion parfaite d’offrir un divorce à un de leurs clients. « Après ce que nous avons enduré pendant la pandémie, les confinements, la nation divisée pendant l’élection présidentielle, certaines personnes ont atteint un point de bascule. Elles ont besoin d’une porte de sortie. Nous leur offrons donc la possibilité d’avancer dans la vie », poursuit-il.

Les candidatures déjà ouvertes

Pour gagner un divorce tous frais payés, il suffit d’envoyer un e-mail aux avocats du cabinet, en expliquant pourquoi cette séparation est nécessaire (à l’adresse tws@powerslawcrossville.com).

Seules conditions à respecter pour les candidats au divorce gratuit : il faut résider dans l’État du Tennessee, que les futurs ex-époux soient tous deux d’accord pour divorcer et qu’il n’y ait pas de problème majeur de garde d’enfant. Les personnes intéressées peuvent tenter leur chance jusqu’au 15 février.
Le cabinet a d’ailleurs déjà reçu des candidatures, révèle CNN, citant l’exemple d’un couple âgé séparé depuis vingt ans mais n’ayant pas les moyens de se payer les services d’un avocat pour officialiser cette rupture.

Le client gagnant ne sera sélectionné que le 19 février. Les futurs divorcés devront donc se résigner à être encore mariés le jour de la Saint-Valentin.
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La ville de Lunel veut rouvrir les « maisons closes »
Comment faire le buzz en temps de Covid-19 sans parle
r de vaccination ? La petite cité héraultaise a trouvé la parade avec une campagne décoiffante.
LePoint
Alors que la troisième vague de la pandémie s'approche tel un tsunami, certains n'hésitent pas à nager à contre-courant. Quand tous les élus de France se démènent sur la vaccination, le maire de Lunel annonce la « réouverture des maisons closes ». « Lunel ose ! » affiche sans vergogne la nouvelle campagne de communication de la ville, située à une trentaine de kilomètres de Montpellier. Une provocation d'autant plus assumée qu'elle ne désigne pas la création de lupanars Covid-compatibles, mais un grand projet de revitalisation du cœur historique à horizon 2030. « Sans artères fluides, sans réhabilitation de l'habitat dégradé et insalubre, sans la réouverture de commerces, en un mot sans l'ouverture de toutes les maisons closes, le cœur est voué à une mort inéluctable. Et si le cœur se meurt, c'est la ville tout entière qui s'éteindra à terme », décode le dossier de présentation de l'opération « Métamorph'ose » que souhaite engager le nouveau maire de Lunel, Pierre Soujol (DVD). « Je dois dire que le terme de maison close, qui fait référence à la prostitution et à l'esclavage des femmes, m'a d'abord choqué, souligne le député héraultais (LREM) Patrick Vignal. Mais sans marquer les esprits, le sujet n'aurait intéressé personne. Il fallait être disruptif car notre ville souffre d'une image qui ne lui correspond pas. À Paris, quand je dis que je viens de Lunel, mes collègues me demandent : “T'as un gilet pare-balles ?” »

« Lunel se dévoile »
La commune de 26 500 habitants n'en est pas à son premier coup d'éclat. En 2017, le « Molenbeek français », comme les médias la surnomment alors, tente déjà de faire oublier son image de berceau de djihadistes, en lançant une campagne de communication très maladroitement baptisée : « Lunel se dévoile ». « Quel mauvais goût ! s'étonne encore aujourd'hui Patrick Vignal. En outre, cette campagne ne s'accompagnait d'aucun moyen. Cette fois, ce sont 53 millions d'euros qui sont promis sur dix ans. » Pierre Soujol a en effet réussi à réunir cette somme – « une première », se félicite-t-il – en mobilisant l'État (via l'Anru, l'Agence nationale de l'habitat et le programme Action Cœur de ville notamment), le département de l'Hérault, la région Occitanie, la ville (qui abondera à hauteur de neuf millions d'euros) et des acteurs privés. « À terme, les sommes engagées seront supérieures, assure le maire. Des investisseurs qui avaient l'habitude de travailler avec Nîmes et Montpellier, où les marges se réduisent, se tournent désormais vers nous. »
Ex-officier de gendarmerie, Pierre Soujol, qui fut le premier adjoint de l'ancien maire de Lunel Claude Arnaud, avant de se présenter contre lui aux dernières élections municipales, a eu le temps de peaufiner son projet, qu'il souhaite historique. Objectif : renforcer l'attractivité d'un centre-ville qui s'est paupérisé depuis de nombreuses années, résorber l'habitat dégradé voire insalubre, améliorer le cadre de vie des habitants, avec plus de végétalisation et de mobilités douces, et ouvrir la ville sur la métropole. « Dans le contexte de crise que nous connaissons, c'est aussi un projet de relance économique pour nos entreprises », souligne Pierre Soujol. Un concours d'architectes sera prochainement lancé pour coordonner l'ensemble de l'opération « en concertation avec les habitants et les commerçants », précise la mairie, qui espère décrocher la signature d'un grand nom de l'architecture nationale voire internationale. De quoi permettre à Lunel d'attirer, comme l'espère Patrick Vignal, « les bobos de Montpellier qui peinent aujourd'hui à se loger dans la capitale héraultaise » ?
Reste que la ville n'en a pas encore tout à fait fini avec ses vieux démons. Située en entrée de ville, la mosquée El Baraka a été placée sous surveillance en décembre par le Renseignement intérieur et le Renseignement territorial. « Ce sujet regarde l'État et Lunel n'est pas plus impactée par le radicalisme islamiste que d'autres villes de France. Métamorph'ose est d'ailleurs un projet de mixité sociale et de vivre-ensemble. Les investisseurs l'ont compris », défend Pierre Soujol qui, avec cette opération de com, aura au moins permis au marketing territorial de franchir un cap.
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Près d’Angers. La découverte d’une voiture de luxe cache une guerre d’héritage
OuestFrance
Des passionnés d’urbex (explorateurs urbains) ont découvert une Clénet série 3. Cette voiture de luxe américaine était cachée sous des branchages dans une vaste propriété au nord d’Angers. Elle révèle une bien étrange histoire de famille…
Début octobre, Rodrigue et Wilfried, frères jumeaux, ainsi que deux de leurs amis, Jordan et Vincent, partent en exploration dans une propriété, au nord d’Angers. Tous quatre pratiquent ce que l’on appelle l’urbex. « Nous explorons des lieux abandonnés, des demeures étranges. Et à chaque passage nous filmons nos découvertes, nous montons les images et publions des vidéos sur nos chaînes YouTube. Nous ne volons rien, nous ne cassons rien » , racontent-ils.


C’est là, à quelques mètres d’une maison bourgeoise, qu’ils vont faire une incroyable découverte. Dans leur balade, ils sont intrigués par quelque chose qui brille dans la nuit claire de l’automne. Ils s’approchent, tentent de se frayer un chemin parmi les ronces et tombent sur une forme étrange recouverte d’une bâche.

« Santa Barbara... »
« Lorsque nous l’avons soulevée, nous avons découvert une voiture de luxe. En y regardant de plus près, elle portait encore une plaque d’immatriculation américaine. Il était écrit « Santa Barbara, Clénet série 3, numéro 42 ». Puis à côté, deux autres voitures », racontent les explorateurs.

Début octobre, Rodrigue et Wilfried, frères jumeaux, ainsi que deux de leurs amis, Jordan et Vincent, partent en exploration dans une propriété, au nord d’Angers. Tous quatre pratiquent ce que l’on appelle l’urbex. « Nous explorons des lieux abandonnés, des demeures étranges. Et à chaque passage nous filmons nos découvertes, nous montons les images et publions des vidéos sur nos chaînes YouTube. Nous ne volons rien, nous ne cassons rien » , racontent-ils.


C’est là, à quelques mètres d’une maison bourgeoise, qu’ils vont faire une incroyable découverte. Dans leur balade, ils sont intrigués par quelque chose qui brille dans la nuit claire de l’automne. Ils s’approchent, tentent de se frayer un chemin parmi les ronces et tombent sur une forme étrange recouverte d’une bâche.

« Santa Barbara... »
« Lorsque nous l’avons soulevée, nous avons découvert une voiture de luxe. En y regardant de plus près, elle portait encore une plaque d’immatriculation américaine. Il était écrit « Santa Barbara, Clénet série 3, numéro 42 ». Puis à côté, deux autres voitures », racontent les explorateurs.

Wilfried et Rodrigue (Ed & Roka production), Jordan (Jordan Perrigaud) posent devant la photo de la voiture de collection découverte lors d’une exploration.
Wilfried et Rodrigue (Ed & Roka production), Jordan (Jordan Perrigaud) posent devant la photo de la voiture de collection découverte lors d’une exploration. | DR
Les quatre amis décident de mener une enquête pour retrouver l’histoire de cette voiture. Ils fouillent Internet, les archives américaines et tombent sur un article du Courrier de l’Ouest. « Ce papier racontait l’histoire de la famille Clénet qui se déchirait autour d’un héritage. Et au cœur du conflit, la disparition de voitures de luxe dont cette Clénet série 3. Nous décidons alors de prendre contact avec les fils du propriétaire. »

Entre-temps, ils apprennent qu’il s’agit d’un véhicule emblématique fabriqué aux États-Unis par Alain Clénet, frère de Philippe, aujourd’hui décédé. La Clénet série 3 a été présentée en 1975 au salon de l’automobile de Los Angeles. Des articles lui ont été consacrés dans le célèbre Los Angeles Times. Selon les explorateurs, cette voiture fit des ravages aux États-Unis, notamment à Beverly Hills et Las Vegas… Alain Clénet, le créateur, a marqué la vie américaine à Santa Barbara et la jet-set locale…

« Nous avons eu le fils de Philippe Clénet au téléphone. Nous étions vraiment très émus face à son immense joie. Nous sommes maintenant en contact régulièrement avec lui. » Interrogé par nos confrères du Courrier de l’Ouest, le fils Clénet raconte que « cette découverte est inespérée. On se désole cependant de l’état de la voiture, rongée par l’humidité et la végétation. D’après les photos, c’est désormais une épave. Sa restauration va coûter cher. »

Avec cette découverte, les héritiers comprennent vite que leur belle-mère, la deuxième femme de leur père, a caché ces voitures dans cette propriété. « Un testament laissé par le père de mes clients indiquait que tout devait revenir à sa dernière épouse. Tout, même les voitures. Mais en réalité, elle n’a ni titre ni droit. Lorsque nous lui avons annoncé cela, elle a revendu des meubles, encaissé l’argent et caché ces voitures » , raconte Me Alexandre Beaumier, l’avocat d’Éric et Richard, les fils de Philippe. Pour lui, « sans ces explorateurs, nous n’aurions peut-être jamais retrouvé ces biens qui ont une valeur pour les fils Clénet » .

Début octobre, Rodrigue et Wilfried, frères jumeaux, ainsi que deux de leurs amis, Jordan et Vincent, partent en exploration dans une propriété, au nord d’Angers. Tous quatre pratiquent ce que l’on appelle l’urbex. « Nous explorons des lieux abandonnés, des demeures étranges. Et à chaque passage nous filmons nos découvertes, nous montons les images et publions des vidéos sur nos chaînes YouTube. Nous ne volons rien, nous ne cassons rien » , racontent-ils.


C’est là, à quelques mètres d’une maison bourgeoise, qu’ils vont faire une incroyable découverte. Dans leur balade, ils sont intrigués par quelque chose qui brille dans la nuit claire de l’automne. Ils s’approchent, tentent de se frayer un chemin parmi les ronces et tombent sur une forme étrange recouverte d’une bâche.

« Santa Barbara... »
« Lorsque nous l’avons soulevée, nous avons découvert une voiture de luxe. En y regardant de plus près, elle portait encore une plaque d’immatriculation américaine. Il était écrit « Santa Barbara, Clénet série 3, numéro 42 ». Puis à côté, deux autres voitures », racontent les explorateurs.

Wilfried et Rodrigue (Ed & Roka production), Jordan (Jordan Perrigaud) posent devant la photo de la voiture de collection découverte lors d’une exploration.
Wilfried et Rodrigue (Ed & Roka production), Jordan (Jordan Perrigaud) posent devant la photo de la voiture de collection découverte lors d’une exploration. | DR
Les quatre amis décident de mener une enquête pour retrouver l’histoire de cette voiture. Ils fouillent Internet, les archives américaines et tombent sur un article du Courrier de l’Ouest. « Ce papier racontait l’histoire de la famille Clénet qui se déchirait autour d’un héritage. Et au cœur du conflit, la disparition de voitures de luxe dont cette Clénet série 3. Nous décidons alors de prendre contact avec les fils du propriétaire. »

Entre-temps, ils apprennent qu’il s’agit d’un véhicule emblématique fabriqué aux États-Unis par Alain Clénet, frère de Philippe, aujourd’hui décédé. La Clénet série 3 a été présentée en 1975 au salon de l’automobile de Los Angeles. Des articles lui ont été consacrés dans le célèbre Los Angeles Times. Selon les explorateurs, cette voiture fit des ravages aux États-Unis, notamment à Beverly Hills et Las Vegas… Alain Clénet, le créateur, a marqué la vie américaine à Santa Barbara et la jet-set locale…

« Nous avons eu le fils de Philippe Clénet au téléphone. Nous étions vraiment très émus face à son immense joie. Nous sommes maintenant en contact régulièrement avec lui. » Interrogé par nos confrères du Courrier de l’Ouest, le fils Clénet raconte que « cette découverte est inespérée. On se désole cependant de l’état de la voiture, rongée par l’humidité et la végétation. D’après les photos, c’est désormais une épave. Sa restauration va coûter cher. »

Avec cette découverte, les héritiers comprennent vite que leur belle-mère, la deuxième femme de leur père, a caché ces voitures dans cette propriété. « Un testament laissé par le père de mes clients indiquait que tout devait revenir à sa dernière épouse. Tout, même les voitures. Mais en réalité, elle n’a ni titre ni droit. Lorsque nous lui avons annoncé cela, elle a revendu des meubles, encaissé l’argent et caché ces voitures » , raconte Me Alexandre Beaumier, l’avocat d’Éric et Richard, les fils de Philippe. Pour lui, « sans ces explorateurs, nous n’aurions peut-être jamais retrouvé ces biens qui ont une valeur pour les fils Clénet » .


La propriétaire du domaine visité par les explorateurs urbains ne compte pas en rester là. Pour l’avocat, « elle savait que les voitures étaient cachées dans son parc puisqu’elle reconnaît avoir répondu positivement à la demande de l’épouse de Philippe Clénet de les garder. Mais elle n’accepte pas que des gens soient entrés dans sa propriété. Pour nous, cependant, il n’y a pas eu d’effraction. Et nous, maintenant, nous voulons récupérer la voiture. »
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Les Anglais et les Ecossais champions du monde de la beuverie, selon une récente étude
ALCOOL Les auteurs de l’étude tirent la sonnette d’alarme sur la consommation excessive des Britanniques ainsi que sur les politiques « zéro tolérance » mises en place par les autorités
20Minutes
Les Anglais et les Ecossais rois de la beuverie ? Un résultat qui n’étonnera peut-être pas grand-monde, mais qui soulève d’épineuses questions liées à la consommation d’alcool et plus particulièrement à l’ alcoolisme.

C’est la récente étude du GDS (Global Drug Survey), une organisation de recherche indépendante basée à Londres, qui publie ces résultats concernant non pas le nombre de fois où l’on a bu, mais le nombre de fois où l’alcool nous a rendus ivres. Le GDS a interrogé plus de 110.000 personnes, sur une période de trois mois allant de novembre 2019 à février 2020, avant la pandémie de coronavirus, dans vingt-cinq pays du globe. L’étude suggère que le problème de l’alcool au Royaume-Uni est bien plus dangereux que la consommation de toute autre drogue.

Plus de 5 % des personnes de moins de 25 ans interrogées au Royaume-Uni ont déclaré s’être rendues aux urgences après avoir bu, contre une moyenne mondiale de 2 %. « Le recours à un traitement médical d’urgence est une conséquence grave de la consommation d’alcool, avec un coût pour les services de santé ainsi que pour l’individu », indique le rapport.

Zéro tolérance ou modération ?
Le taux d’admission à l’hôpital pour cause d’alcool est plus élevé au Royaume-Uni que parmi les consommateurs de toute autre drogue citée dans le rapport, à l’exception de l’héroïne. La consommation d’alcool est elle beaucoup plus répandue, avec 94 % des personnes au Royaume-Uni déclarant avoir bu de l’alcool au cours de l’année écoulée, contre 2,3 % qui ont consommé de l’héroïne.

« Les politiques de tolérance zéro en matière de drogues limitent la capacité du gouvernement à engager des conversations honnêtes avec les personnes qui consomment des drogues. Changer la politique en matière de drogue peut prendre des années », indique l’étude du GDS, qui publie son rapport annuel pour la 9e année consécutive. Pour les auteurs de l’étude, il est temps de changer le débat criminalisant les consommateurs de drogues et d’adopter une posture qui pousse – à l’inverse – à la modération dans les usages de toutes les drogues.

Et les Français ?
La France est bien présente dans le classement mais se situe loin derrière l’Ecosse et la Grande-Bretagne, à la neuvième position ex æquo avec l’Irlande et juste derrière le Canada. Près de 26 % des personnes interrogées dans ces deux pays ont déclaré avoir été ivres entre novembre 2019 et février 2020.

Selon un sondage publié en avril 2020, la crise du Covid-19 a aussi eu un sérieux impact sur la consommation d’alcool des Français. 5,5 millions déclaraient au printemps dernier avoir augmenté leur consommation avec le premier confinement à cause de l’ennui, de la perte de repères et du stress causé par l’épidémie actuelle.
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Confinée pour cause de Covid, cette retraitée retrouve un pactole caché dans sa machine à coudre
OuestFrance

Infectée par le coronavirus mais sans symptômes graves, une Italienne de 98 ans a profité de son confinement chez elle, à Rome, pour ranger son appartement. Dans sa vieille machine à coudre, elle a trouvé un véritable trésor…
Alors qu’un troisième confinement semble imminent en France et que de nombreux autres pays européens durcissent leurs restrictions de déplacements, rester chez soi peut malgré tout avoir des bons côtés… La preuve avec l’histoire de cette retraitée italienne.

Nonna Maria, une Romaine âgée de 98 ans, a été diagnostiquée positive au Covid-19 en novembre dernier, comme le rapportent plusieurs médias italiens, dont le grand quotidien le Corriere della Sera .

Un coupon d’épargne émis en 1986 et oublié depuis

« Madame, restez à la maison, isolement maximum », lui intiment les médecins. Vivant avec sa fille et ayant peu de symptômes malgré son grand âge, cette presque centenaire a donc mis à profit ce confinement à domicile pour faire le grand ménage dans son appartement du quartier de Prenestino, dans le nord-est de Rome.
En faisant du tri et en rangeant ses souvenirs, Nonna Maria a retrouvé sa vieille machine à coudre, dont elle a rouvert le tiroir. Et là, surprise ! À l’intérieur, il y avait un bon d’épargne d’un montant initial de 50 millions de lires (un peu moins de 26 000 €).

Il s’agissait d’un coupon émis par la Poste italienne le 13 janvier 1986, un investissement réalisé à l’époque par son mari, un haut fonctionnaire de l’armée aujourd’hui décédé. La vieille dame en avait complètement oublié l’existence.

19 fois la mise initiale

« Maman, comment as-tu pu oublier ça ? », s’est exclamée sa fille. Mais les deux femmes ne sont pas au bout de leur surprise. Avec le temps, ce bon d’épargne a pris beaucoup de valeur. Il vaut en effet aujourd’hui plusieurs centaines de milliers d’euros.

Quand elles ont présenté ce coupon à la banque postale, l’établissement s’est dit prêt à leur verser une somme d’environ 200 000 €. Mais la famille et une association de consommateurs s’en sont mêlées. Elles estiment, elles, que ce coupon vaut beaucoup plus. La banque postale avait en effet fait son calcul à partir du taux d’intérêt figurant sur le document originel, au lieu de se baser sur un taux réactualisé au fil des années.

La justice, qui rendra sa décision d’ici mars, devrait donner raison à la famille. Au total, Nonna Maria peut donc espérer recevoir environ 475 000 €, soit 19 fois la mise initiale ! Un très bel investissement. Nonna Maria a expliqué qu’elle utiliserait l’argent pour faire des cadeaux à sa famille.

En tout cas, la vieille dame, qui est guérie du coronavirus, peut se réjouir de sa chance et remercier les médecins de l’avoir confinée. À 98 ans, elle prouve qu’il n’est jamais trop tard, ni pour vaincre un virus redoutable ni pour devenir riche.
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