Questions existentielles - page 194

Pour se reposer quelques minutes
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Contre les incendies, les chèvres "sapeurs" au secours des forêts portugaises
AFP
Des bruyères arrachées, un genêt dépouillé, des plantes et arbustes vite effeuillés: les chèvres de Fernando Moura dévorent la végétation du plus important massif montagneux du Portugal pour lutter contre les feux de forêt comme ceux qui ont fait plus d'une centaine de morts en 2017.
Ce berger de 49 ans et son troupeau de 370 chèvres "sapeurs" font partie d'un projet-pilote lancé en mars par le gouvernement portugais pour défricher les zones de maquis afin d'éviter, en cas d'incendie, que les flammes ne se propagent d'une zone boisée à une autre.

"Autrefois, il n'y avait pas tous ces incendies. Il y avait des milliers d'animaux qui nettoyaient en broutant. Et des bergers comme moi, il y en avait des centaines", dit-il à l'AFP. "Aujourd'hui, je suis pratiquement le dernier."

Pour les cinq prochaines années, les chèvres de Fernando ont une mission spéciale: sillonner les flancs de la Serra da Estrela, dans le centre du pays, pour nettoyer une cinquantaine d'hectares de broussailles et créer des pare-feux naturels.

A travers le Portugal, ils sont une quarantaine de chevriers à mettre en oeuvre ce projet. "C'est la méthode la plus naturelle et la plus économique", explique Antonio Borges, cadre de l'Institut pour la Conservation de la Nature et des Forêts (ICNF).

Capables d'accéder aux terrains les plus escarpés et rocheux, les chèvres sont plus efficaces que ne le seraient des bulldozers ou des hommes équipés de débroussailleuses.

Villages "à l'abandon"
A l'aube, chaque jour de l'année, M. Moura arpente les crêtes du parc naturel de la Serra da Estrela, sur les plus hautes cimes du territoire continental portugais.

D'un pas sûr et rapide malgré le dénivelé, épais bâton en main, cet homme trapu conduit son bétail à l'aide de cris et de sifflements perfectionnés au cours de toute une vie dans la montagne.

Pour ce travail, il touchera 125 euros par hectare nettoyé la première année, puis 25 les quatre années suivantes. Un petit supplément de revenus pour cet homme qui vit du lait, des fromages et de la viande de ses chèvres.

"Fernando est avec son troupeau depuis toujours, il est très heureux d'être encouragé à maintenir son activité", assure Antonio Borges, en soulignant l'important "rôle de vigilance" des bergers dans la lutte contre les incendies.

L'ICNF table sur des résultats visibles rapidement, mais l'efficacité du projet des chèvres "sapeurs" ne pourra être réellement mesurée qu'à son terme, au bout de cinq ans.

Fernando Moura reste lucide sur l'état des forêts portugaises. "Il y a beaucoup de végétation laissée à l'abandon près de nos villages", déplore-t-il, assis sur un énorme rocher de granit dominant les pentes.

Dans les régions vallonnées de l'intérieur du Portugal, l'exode rural a été particulièrement intense. Bien souvent, seules restent les personnes âgées dans des villages isolés. Les champs et les pâturages ne sont plus exploités et les forêts sont délaissées, devant des proies faciles pour les flammes.

"Travail de longue haleine"
Après les incendies meurtriers de l'an dernier, qui avaient fait plus de 100 morts dans le centre du Portugal, cet été a été beaucoup plus calme, avec une surface calcinée en baisse de 60 % par rapport à la moyenne des dix dernières années, 40 % de départs de feux en moins et aucun mort à déplorer.

"Le Portugal reste très vulnérable", prévient toutefois Tiago Oliveira, placé par le gouvernement à la tête d'une équipe d'experts chargée de reformuler le dispositif de prévention et de lutte contre les feux de forêt.

"Les nouvelles initiatives de gestion forestière vont mettre des dizaines d'années à produire des résultats, c'est un travail de longue haleine", dit-il au sujet du projet des chèvres "sapeurs".

Pour Fernando Moura, qui ramène son troupeau rassasié dans un enclos encastré au milieu d'imposants rochers, la nuit tombe, lui accordant un peu de répit. Il laissera ses chèvres pour la nuit, ira dormir avec ses chiens non loin de là. Et demain, reprendra sa tâche harassante qu'il accepte pourtant avec entrain, avant de rapporter le lait à son épouse, pour qu'elle fabrique les fromages.

"Mes chèvres, je les aime vraiment beaucoup, c'est moi qui ai créé ce troupeau. J'ai essayé de travailler dans une usine mais je n'ai pas réussi", confie-t-il. "Je ne pouvais pas abandonner mes chèvres."
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:clap: :clap: :clap:
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Savoie: Après avoir oublié sa carte d'identité chez sa victime, le cambrioleur va porter plainte pour vol
20Minutes

CAMBRIOLAGE L'homme a été reconnu par le fils de sa victime et a été interpellé mardi soir à Jacob-Bellecombette, en Savoie.
Culotté ou complètement inconscient ? Mardi, un cambrioleur s’est fait interpeller à Jacob-Bellecombette, en Savoie, après s’être lui-même rendu aux services de police. Un peu plus tôt dans la soirée, le malfaiteur avait été surpris dans un logement qu’il visitait par le fils de sa victime.
Dans sa fuite, il avait oublié son sac à dos contenant, notamment, sa carte d’identité, rapporte ce jeudi Le Dauphiné. Réalisant son impair, le cambrioleur s’est directement rendu au commissariat pour déclarer le vol de ses papiers et porter plainte, espérant sans doute pouvoir s’en sortir sans difficulté.
Placé en centre de rétention
Mais les policiers n’ont pas tardé à faire le lien avec le cambriolage survenu un peu plus tôt dans la soirée et le fils de la victime a fini par identifier formellement le voleur. Ce dernier, de nationalité roumaine a été placé en garde à vue puis transféré au centre de rétention administrative de Lyon en attendant sa prochaine comparution devant le tribunal correctionnel.
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Chimène Avatar de l’utilisateur

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de nationalité roumaine ???
pas de pot ! s'il avait été sans papiers, il ne risquait rien !!! ::p:
quel nunuche... :lol: :lol: :lol:
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Aube : une météorite de 477 kg découverte, enfouie sous terre depuis 55 000 ans
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Si le site de Saint-Aubin, dans l’Aube, était connu depuis longtemps pour renfermer des fragments de météorites dans son sol, les découvertes réalisées entre mars et octobre 2018 sont inédites.

Parmi elles, un monstre de bloc de 477 kg, la plus grosse météorite trouvée en France à ce jour, enfouie un mètre sous terre depuis 55 000 ans.
Au total, 123 météorites ont été découvertes dans la région de Saint-Aubin, dans l’Aube entre mars et octobre 2018.
Un lieu qui abrite un gisement extraordinaire : les chercheurs ont mis à jour l’un des plus importants sites de chute de météorites métalliques, avec au total, une masse de près de 7 tonnes extraite du sol.

Une découverte sur un lieu coutumier du fait, la première météorite y avait été découverte en 1968.
Après des expertises métallographiques et chimiques réalisées par Emmanuel Dransart, membre de la commission Météores de la Société astronomique de France, il s'avère que ces corps célestes ferreux étaient aussi composés de nickel (11 %) avec un peu de cobalt (0,7 %) et du phosphore (0,1 %).

Une partie de ces météorites sera transférée au Muséum national d’histoire naturelle, qui possède déjà une des plus belles collections au monde de fragemnts de météorites.
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Un peu de précision, je vous prie !
Pas d'amateurisme concernant l'histoire de notre planète !

Cette météorite était enfouie dans le sol à une profondeur de 18 mètres, 25 décimètres et 17 centimètres depuis exactement 54997 années...
Un rapide calcul vous permettra, je n'en doute pas de déterminer s'il s'agissait d'une année bissextile...

Les spécialistes qui ont pu approcher de près cet objet estiment, des études plus précises le confirmeront sans doute, que ce corps céleste contient environ 2% de macronite, un composé ferreux fort instable et totalement incontrôlable, 14 % de bennalite, un produit acide, explosif au contact de l'être humain, le reste étant vraisemblablement de l'auziérite, un minerai rare mais fort précieux car il neutralise parfaitement les réactions chimiques pouvant faire exploser la bennalite, bennalite qui anéantit totalement les qualités physiques et chimiques de la macronite...
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Un mégot de Johnny, mort d'un cancer du poumon, adjugé 250 € aux enchères Drouot
LaDepeche
Un peu moins d’un an après la mort de Johnny, emporté par un cancer du poumon le 5 décembre 2017, un mégot de la rockstar a été adjugé 250 €, ce samedi, à l’ occasion d’une vente aux enchères organisée salle Drouot à Paris.
Ce bout de cigarette consumée faisait partie d’un lot d’objets divers, touchés ou ayant appartenus au chanteur qui partageait la vedette avec Cloclo, un autre monument de la chanson française, dont la maison Drouot dispersait également quelques reliques.

20 000 € pour une veste Yves Saint-Laurent

De son vivant, Johnny était « coté » 400 € la chemise et 1000 € le costume aux enchères. Mais depuis sa mort, les prix se sont envolés.
Une veste bleue griffée Yves Saint Laurent portée par le chanteur en 1971 est partie à 20 000 €, tandis que le blouson de l’idole des jeunes sur la célèbre photo de Jean-Marie Périer pour « Salut les Copains » en 1966 a été adjugé à 9500 €. Un perfecto a trouvé preneur à 7500 euros, tout comme ce bracelet en cuir, dont la seule valeur est d’avoir appartenu au « Taulier » pour lequel un fan a déboursé 4500 euros.
C’est peu de dire que les enchères se sont envolées, mais les investisseurs sont convaincus d’avoir réalisé un excellent placement. Une fois passée la polémique sur la succession houleuse du rocker, la « cote Johnny » devrait encore grimper.
Dans l’ombre des deux poids-lourds de la chanson française (un pantalon de scène bleu de Cloclo a atteint 7500€ et une cravate 650€), Nino Ferrer, Dave et Patrick Juvet n’ont pas vraiment fait recette chez Drouot. A 40€, leurs 45 tours ont péniblement trouvé preneurs à 40 €...
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Alphabis Avatar de l’utilisateur

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Je possède, don de l'une de ses nourrices, l'une des couches culottes de Johnny bébé...
Origine garantie par certificat notarié.
Couche ayant servi, possédant les traces d'urine et d'excréments du nourrisson...
Je la vends au plus offrant.
Si pas sérieux s'abstenir.
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Quand les sourciers et le magnétisme viennent à la rescousse des agriculteurs
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Quand les animaux et les fruits sont touchés par des maladies, les agriculteurs n'hésitent plus à faire appel à des sourciers. Dans les Pyrénées, une jeune entrepreneuse en a fait son affaire.

Pour les agriculteurs, elle est «madame miracle». Depuis qu'elle a sauvé des brebis qui avaient la gale et guéri des vignes, sa réputation précède Mélissa Sabatier-Versailles, dans les coteaux pyrénéens. Il y a un peu plus d'un an, cette ancienne salariée agricole de 32 ans s'est installée à son compte comme sourcière. Sa société «Anobé» a vu le jour chez elle à Mascaras, dans les Hautes-Pyrénées. «J'ai imprimé des cartes de visite, commandé un logo… En fait, j'ai tout fait pour ne pas qu'on pense que je suis une sorcière», confie la jeune femme qui n'a pourtant jamais été formée dans son domaine. Mélissa n'a rien d'une hérétique : chemisier à fleurs, jean, baskets, sans maquillage, elle assure être «une maman comme tout le monde.»

Celle qui a un «don» depuis son enfance, veut dépoussiérer le fantasme et se professionnaliser : elle obtient de l'Insee un numéro Siret qui lui permet de faire des factures à ses clients et inscrit à sa carte de visite une panoplie d'activités (soins énergétiques, recherche d'eau, aide à l'agriculture et développement personnel).

Des veaux malades

Le bouche-à-oreille profite à Mélissa. Les agriculteurs la sollicitent de plus en plus pour éradiquer des maladies dans les champs, les maraîchages et les élevages. Chez un éleveur de Clarac, à quelques kilomètres de chez elle, les veaux sont malades depuis plusieurs mois. L'agriculteur ne comprend pas pourquoi ses bêtes boitent et finissent par mourir peu de temps après la naissance. «J'ai engagé des frais vétérinaires, les animaux sont revenus soignés mais le problème n'est pas réglé : les veaux continuent d'être malades», se désespère-t-il devant Mélissa. Cinq veaux sont touchés sur les dix-huit de la ferme. Devant l'étable, Mélissa ferme les yeux. Personne n'ose la troubler. Concentrée plus que possédée, elle remue la main, comme si elle caressait le sol, pivote sur elle-même : «Là-bas, le courant d'eau est terrible, il faut le neutraliser». La réponse tombe comme une sentence. L'énergie de la source souterraine est trop forte, c'est ce qui pourrait expliquer selon la sourcière la maladie récurrente des bêtes. Au prochain rendez-vous, Mélissa va «régler» la puissance de l'eau seulement en imposant les mains.

La dernière chance

Pour éviter de perdre leurs bêtes ou sacrifier leurs récoltes, les agriculteurs sont prêts à mettre le prix. La sourcière facture 50 € la première visite d'observation et 120 € la recherche d'un point d'eau. Pour le reste, il n'y a pas vraiment de grille tarifaire. Combien pour les veaux ? Mélissa compte dans sa tête, hésite. «Je pense facturer 680 € car il y a beaucoup de surface», répond-elle. Grâce à ces rendez-vous et ses autres activités, elle se verse un smic par mois.

Quand les vétérinaires sont impuissants et que les techniciens des chambres d'agriculture sont dépassés, certains se tournent vers ce qu'ils croient être de la sorcellerie. Et souvent, Mélissa devient l'ultime solution aux yeux des paysans. Quand un producteur d'armagnac d'Eauze, dans le Gers, l'a sollicité pour ses vignes, elle a prévenu : «Je ne suis pas magicienne». Il a répondu : «Je crois pourtant que c'est ce dont j'ai besoin». «Quand ils ont tout essayé, qu'ils sont isolés dans leur exploitation, alors oui, ils espèrent que ce soit de la magie», constate la sourcière. Mais avant d'entrer dans les bergeries ou les granges, il faut montrer patte blanche. Par pudeur et par méfiance, les paysans ne laissent pas rentrer n'importe qui.

Tabou et pudeur

«La ferme, c'est leur intimité, ils ne m'ouvrent pas tout de suite les portes de leur étable», a-t-elle observé. Quand il a vu que ses pêchers étaient malades, Lionel Dupont ne s'est pas posé la question. «Je perdais une dizaine d'arbres par an malgré mes traitements au soufre», se souvient l'exploitant agricole à Clarac. Un sourcier est intervenu et en a conclu que la polarité de l'eau n'était pas bonne. Il a remis le courant dans le bon sens, sans même toucher l'eau et depuis «on n'a plus besoin de traiter». Cette fois-ci ce sont les poires qui sont touchées, recouvertes par un champignon blanc. «L'année dernière j'ai perdu 30 % de la récolte et 30 % des fruits étaient tellement abîmés que j'ai dû en faire du nectar», déplore l'arboriculteur. Il a sollicité Mélissa pour qu'elle guérisse ses fruits. Dans le monde agricole, le recours aux sourciers a toujours existé. Mais la pratique reste encore taboue. «C'est comme si on parlait de Dieu, les fermiers ont besoin de palper pour se rendre compte», avance l'arboriculteur. Lui est athée, il le jure. Mais un jour, il a vu. «J'ai constaté que ça fonctionnait, c'est du pragmatisme», confie-t-il. Ou une série de miracles, au pied de Lourdes.

François Gonneau, vétérinaire : «On a confiance en ce qui est ancestral»
Que pensez-vous de cette pratique ?

On peut en effet ressentir le mal-être du patient en se plaçant comme récepteur et réussir par magnétisme à soulager des animaux. En revanche, cette pratique doit relever d'un apprentissage : simple spasme, colique, cancer ? Guérir par les mains nécessite des connaissances anatomiques : la vache a plusieurs estomacs, le cheval n'a pas de vésicule biliaire et ce savoir ne s'invente pas. Le risque est donc de poser un mauvais diagnostic et de passer à côté d'un cas grave qui aurait besoin d'une prise en charge d'urgence.

Peut-on expliquer scientifiquement ces guérisons par le magnétisme ?

La science commence de plus en plus à se pencher sur l'influence de l'eau et plus largement celle de l'environnement sur le vivant. La présence de lignes à haute-tension, de courant d'eau et des réseaux de champs magnétique terrestre peuvent accélérer le développement des maladies.

J'ai cette histoire d'une connaissance qui a transformé son ancien chai en écurie. Les chevaux placés dans les zones où fermentait le vin faisaient systématiquement des coliques. Quand ils étaient changés s d'endroit, il n'y avait plus de troubles. Les cuves avaient dû être versées sur le sol. Résultat : il persistait une forme d'humidité qui rendait les animaux malades et il n'y avait là aucun surnaturel !

Comment expliquer que les agriculteurs sollicitent parfois des sourciers à la place des vétérinaires ?

C'est d'abord une question de traditions. Les magnétiseurs et les rebouteux ont toujours existé et sont souvent intervenus pour ce genre de cas. On a tendance à avoir confiance en ce qui est ancestral. Il y a aussi une méfiance grandissante des médicaments et de la médecine conventionnelle.

Les sourciers et les vétérinaires sont-ils complémentaires ?

Nous avons tout intérêt à travailler main dans la main et que personne ne se sente indiscutable. De la même manière que les scientifiques ne doivent pas se mettre des œillères, les sourciers ne doivent pas avoir une confiance absolue en leur ressenti et penser à consulter des spécialistes quand le cas est grave ou urgent.
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Inondations dans l’Aude: Le poisson Moïse, sauvé des eaux par un pompier, va retrouver son foyer
20Minutes
INSOLITE Après les inondations dramatiques qui ont touché l’Aude, la recherche des propriétaires d’un poisson rouge a mobilisé les réseaux sociaux et lui a permis de retrouver son foyer…
La magie des réseaux sociaux. Alors qu’il se trouvait dans l’Aude pour aider la population à faire face aux inondations, Nicolas, un pompier de l’Hérault, a trouvé un poisson rouge se débattant dans un nid-de-poule à Trèbes.
Après lui avoir offert le gîte dans un bocal d’eau propre et l’avoir baptisé Moïse, le pompier a décidé de lancer un appel sur Facebook pour retrouver son propriétaire qu’il pensait être peut-être un enfant.
Relayé, il a fini par trouver un écho. A la fois chez des pompiers des Pyrénées-Orientales mais aussi par la fille de sa propriétaire relate France Bleu. Comme le pompier héraultais, ses homologues avaient trouvé des poissons rouges charriés par la boue. Ils se trouvaient tous initialement dans la mare du jardin d’une retraitée qui a débordé lors des intempéries.
Une fois qu’elle sera nettoyée, Moïse et ses collègues à écailles retrouveront leur foyer audois. En attendant, Nicolas prendra soin de ce petit rescapé.
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Pour la Toussaint, un abbé du Gers organise une «chasse aux vampires» avec de l'ail blanc de Lomagne
LaDepeche
Si l’ail est réputé pour éloigner les vampires, à Saint-Clar, capitale gersoise de l’ail blanc de Lomagne, on a bien compris qu’il y avait un coup à jouer. Ce mercredi, soir d’Halloween mais surtout… soir de messe de la Toussaint au village, l’abbé David Cenzon, en accord avec le conseil paroissial, a décidé d’organiser une chasse aux vampires ! Mais attention, pas de rituel mystique ou d’incantation magique dans les rues de Saint-Clar au programme. Non, en Lomagne gersoise on a bien mieux et bien plus efficace : un tourin à l’ail. Ce plat emblématique gersois, que l’on pourrait apparenter à une soupe à l’ail, sera distribué à la sortie de la messe aux fidèles présents. Quoi de mieux pour éloigner, définitivement, les quelques crocs acérés qui auraient pu être de sortie en ce soir d’Halloween ?
Célébrer les 10 ans de l’IGP de l’ail blanc de Lomagne

Au-delà de l’originalité de cet événement, cette chasse aux vampires est l’occasion de faire d’une pierre deux coups. « Derrière cela, il y a l’idée de casser cette image que l’on peut avoir de la Toussaint comme d’un événement triste, indique l’abbé David Cenzon. On a tendance à faire l’amalgame avec le jour des défunts, le 2 novembre. Mais la Toussaint est un moment de joie où on fête les saints. » Et si tout part de cette volonté, l’occasion d’y associer l’ail blanc de Lomagne est l’opportunité de faire un clin d’œil à ce produit phare de Saint-Clar dont on fête, cette année, les 10 ans de l’IGP, l'indication géographique protégée.

D’ailleurs, le maire du village, David Taupiac s’est tout de suite enthousiasmé à l’annonce de cette manifestation. « Quand j’ai vu l’événement crée par l’abbé sur Facebook, j’ai tout de suite adoré l’idée. J’aime beaucoup ce ton décalé et cette façon de s’approprier ce produit, qui fait partie intégrante du patrimoine local. » Le premier édile sera donc présent ce mercredi soir pour partager le tourin à l’ail, dès 18 heures, avec les convives. De quoi régaler les papilles avant la soirée d’Halloween prévue dans la foulée au village.
L’ail blanc de Lomagne, vitrine de Saint-Clar
En cette année anniversaire de l’IGP de l’ail blanc de Lomagne, une série d’animations ont d’ailleurs rythmé la vie locale. A Saint-Clar, il y a une réelle volonté de mettre en avant ce produit phare. « On est également en train de voir avec la CCI pour faire partie de l’opération : un village, un produit, ajoute le maire, David Taupiac. Cela peut être une formidable vitrine pour la commune et un vecteur économique fort. »
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Caen: Il invente une capsule pour que les SDF puissent dormir au chaud dans la rue
20Minutes
INVENTION Cette capsule de sommeil résiste à la pluie, au vent et au froid…
érémie Jeanne, un inventeur de Caen (Calvados) a imaginé une valise qui se transforme en capsule de sommeil. Une solution envisagée notamment pour préserver les SDF du froid. « La capsule de sommeil est un toit solide qui arrête toutes les intempéries (vent, pluie, froid) », assure l’inventeur, qui a déjà fait l’expérience de dormir dans la rue, à Ouest France. « Les gens dormant dehors sont confrontés à tous ces problèmes. »
« C’est comme une grande valise qu’on étire sur les côtés. Je me suis inspiré de la capsule de Superman », explique Jérémie Jeanne. A l’intérieur de l’objet qui se déplie sur 2,20 mètres, une couverture de survie capable de conserver la chaleur. La coque en plastique recyclé ou en algue sera parsemée de petites valves ou d’un grillage permettant d’aérer l’habitacle. La capsule pourrait également disposer d’une petite fenêtre.
3.500 euros pour le premier prototype
Une fois repliée en valise, la capsule pèse entre 3 et 4 kg. Elle est munie d’espaces pour ranger ses affaires et dotée de roulettes. Cinq versions ont été dessinées, selon qu’on est voyageur, militaire ou SDF. L’inventeur espère qu’il fournira aussi des espaces de sommeil dans les gares.
Pour financer son projet, Jérémie Jeanne lance un financement participatif. Une cagnotte sera mise en ligne sur KissKissBankBank dans les prochains jours. L’inventeur espère récolter 3.500 euros et remporter le prochain concours Lépine en 2019. En mai dernier, il a reçu la médaille de bronze du célèbre concours pour son invention « Tub’z », une cabine portative permettant de se doucher, de se changer en extérieur et d’aller aux toilettes.
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