Questions existentielles - page 186

Pour se reposer quelques minutes
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Près du Mont Saint-Michel, des sorties en traîneau
ouestFrance
Didier Petit est musher… en baie du Mont Saint-Michel ! Avec son traîneau adapté pour rouler dans le sable, il fait partager sa passion des chiens de traîneau aux enfants, sur la plage de Dragey (Manche).
Étonnant spectacle sur la plage de Dragey, dans la baie du Mont Saint-Michel. Tiré par huit chiens, un traîneau file sur le sable.
L’activité est proposée par Didier Petit, musher (meneur de chiens). Trois kilomètres pendant environ quinze minutes, tiré par un attelage de huit huskies. Le musher ne prend qu’une seule famille par après-midi et seuls les enfants profitent de la balade. « C’est une association, notre but n’est pas la rentabilité, mais plutôt le partage », précise Didier Petit qui met en avant le caractère pédagogique de ces rencontres.

Partage de connaissances

Parents et enfants écoutent attentivement le musher parler de ses chiens : « Ce sont des chiens husky qui viennent du sud de la Sibérie. Il y a quatre races de chiens de traîneau, mais le husky a ma préférence. »
Il détaille : « Pour un attelage, il faut huit chiens ou plutôt huit chiennes car elles sont moins bagarreuses, plus douces. Il faut qu’elles soient issues de la même lignée. » Dans son attelage, la meneuse s’appelle Minou. « On met les plus gros gabarits à l’arrière pour faciliter le démarrage de l’attelage », ajoute encore Didier Petit.

L’éducation d’un chien de traîneau commence très tôt, dès trois mois. « Plus on attend, plus ce sera dur, et il faudra être plus têtu que les chiens. »
Ce sont des chiens faits pour le travail, insiste le musher. Il faut les nourrir en conséquence et les garder bien hydratés. Une soupe-croquettes le matin, et surtout le soir, après l’effort 250 à 300 gr de croquettes pour chien d’activité, équilibrées en protéines et matières grasses.

Le parcours du musher

Côté matériel, Didier a adapté un traîneau classique en l’équipant de roues. « J’ai passé cinq ans dans le Jura, à La Pesse, paradis du traîneau et du ski de fond, mais je trouvais que la neige devenait de moins en moins bonne. J’ai alors eu l’idée de transformer mon traîneau et de l’adapter aux parcours sur le sable et d’en faire profiter les enfants sur ce merveilleux site qu’est la plage de Dragey, avec le Mont Saint-Michel. »

Basé dans la région de Rennes, Didier passe les vacances scolaires normandes dans son camping-car devant la plage de Dragey et gère ses rendez-vous par texto.
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Choc national: le camembert québécois est champion du monde

www.ladepeche.fr
Faudra-t-il mettre en berne les drapeaux de Normandie ? Ou nommer une commission pour analyser les raisons du drame avant de décréter un plan d'urgence ? Ou rappeler notre ambassadeur ? Toujours est-il que c'est un camembert québécois qui a été sacré le meilleur camembert au monde lors du World Championship Cheese Contest de Madison dans l'État du Wisconsin, aux États-Unis, devant deux camemberts français. L'Extra, «au goût de noisettes et de champignons», de la coopérative Agropur, a été préféré par un jury international à ses concurrents dont l'Isigny, l'une des références en la matière.
C'est une nouvelle qui va provoquer des remous en Normandie. Vendredi, un fromage québécois a été sacré meilleur camembert au monde lors d'un concours international, damant notamment le pion à deux camemberts français.
L'Extra, une spécialité à base de lait pasteurisé, s'est imposé face à 17 autres produits concurrents lors du World Championship Cheese Contest, de Madison, dans l'Etat du Wisconsin aux Etats-Unis, selon le classement officiel sur le site du concours.
Des camemberts danois, néo-zélandais,
ou américain

L'Extra, au goût de noisettes et de champignons, de la coopérative gagnante Agropur a été préféré par un jury international aux autres camemberts, dont l'Isigny, le très réputé fromage au lait cru et moulé à la louche de Normandie, une référence en la matière.
Cette victoire québécoise intervient au moment où les producteurs de lait et de camemberts de Normandie viennent récemment de se mettre d'accord sur une bataille d'étiquette qui les opposait depuis 10 ans.
Des camemberts danois, néo-zélandais, ou américains étaient également en lice pour être sur la plus haute marche du podium mondial.
Trois mille quatre cents fromages de 26 pays étaient en lice cette année à ce championnat mondial des fromages, présenté comme la plus grande compétition du genre au monde.

Un fromage français champion du monde toute catégorie

Petite consolation pour les Français, puisque c'est un fromage français au lait de brebis, l'Esquirrou, du maître fromager Michel Touyarou installé à Mauléon dans les Pyrénées-Atlantiques, qui a été sacré champion du monde toutes catégories.
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Lyon: Découvrez une espèce de dinosaure encore inconnue
HISTOIRE Cet imposant squelette de dinosaure carnivore sera ensuite exhibé au premier étage de la Tour Eiffel avant d'être mis en vente aux enchère à Paris le 4 juin...
20minutes
La Maison Aguttes de Lyon expose jusqu’au 28 mai un squelette de théropode, dont l’espèce est inconnue des chercheurs.
Il sera ensuite exhibé au premier étage de la Tour Eiffel avant d’être vendu aux enchères le 4 juin.
La taille de ses dents donne déjà une indication de l’appétit féroce de la bestiole. La bestiole en question ? On serait bien incapable de la nommer puisque les chercheurs n’avaient jamais vu de pareil dinosaure. Ils n’avaient même pas conscience de son existence.
Cet animal rare, découvert dans le Wyoming en 2013, sera vendu aux enchères à Neuilly le 4 juin. Avant d’être exposé au premier étage de la tour Eiffel, il sera exhibé jusqu’au 28 mai à la maison Aguttes de Lyon, à compter de ce jeudi. Une pièce unique au monde, mesurant 9 mètres de long et 2,60 mètres de haut.
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Stephen Hawking. Son dernier article révolutionnaire veut prouver l’existence d’univers parallèles

Disparu le 14 mars, l’astrophysicien britannique Stephen Hawking a toujours été en avance sur son temps. Provocateur, il a parfois souvent émis des hypothèses déstabilisantes, dont certaines sont aujourd’hui considérées comme faisant partie des théories plausibles. S’il a entre autres travaillé sur les trous noirs, Hawking a, à la toute fin de sa vie, cherché les moyens de démontrer l’existence d’univers parallèles. Son dernier article devrait être publié bientôt. Et il est révolutionnaire.

L’Univers. Autrement dit, l’ensemble de tout ce qui existe, régi par un certain nombre de lois physiques. Déjà pas simple à appréhender, ce concept – origine, taille, âge, expansion infinie ou pas, distribution de la vie en son sein : les questions sont nombreuses… Alors imaginez maintenant le Multivers. Ou, si vous préférez, le Multi-univers, un ensemble d’univers possibles, parallèles. Existant en même temps, mais séparément. Ailleurs, mais peut-être accessibles. En tout cas discernables. Oui, l’idée est vertigineuse.
Pas étonnant qu’elle ait intéressé l’astrophysicien Stephen Hawking, disparu le 14 mars dernier à 76 ans. D’abord parce qu’il a toujours fait preuve d’un esprit novateur, voire provocateur. Ensuite par ce qu’il a, voici plusieurs années déjà, émis l’hypothèse que les trous noirs, loin d’être des entités fermées dans lesquelles matière et lumière restent piégées, sont en réalité des passages ouverts vers d’autres réalités. Il fallait bien, après cela, que l’astrophysicien britannique s’intéresse à ce qu’il y a « de l’autre côté ». Et ses premières idées sur la question datent de 1983.
Comme les pages d’un livre ?

Commençons par planter succinctement le décor. Un Multivers, qu’est-ce qu’est ? Un ensemble d’univers, avons-nous dit. D’accord, mais… Séparés, ou bien communiquant entre eux ? Régis par les mêmes lois physiques ou pas ? Distincts (comme les pages d’un livre), mais formant un tout homogène (un livre) ? Dupliquant à l’infini les mêmes composants mais avec d’infimes variations (et alors, dans un de ces univers parallèles, vous êtes en train de faire tout autre chose que de lire cet article) ? Toutes ces théories, aujourd’hui, coexistent très sérieusement. Et certaines ne datent pas d’hier : contrairement à ce que l’on pourrait croire, la théorie du Multivers n’est pas nouvelle.
Newton, en son temps – au tout début du XVIIIe siècle, donc – en esquissait l’idée philosophique, avançant que Dieu aurait très bien pu créer en même temps plusieurs mondes, avec des lois différentes : « À tout le moins, je ne vois rien d’une contradiction dans tout ceci », écrivait-il en 1704. Pas de « Big bang », pour lui. Mais Dieu. Qui, s’il existe, peut en effet bien faire tout ce qu’il veut comme il le veut.
L’idée de plusieurs univers prend son essor dans les années 30, puis est développée dans les années 50 par le physicien Hugh Everett et sa « théorie des mondes multiples ». Mais pour le scientifique américain, ces multiples univers sont séparés, différents, inaccessibles entre eux. Pour Everett, chaque monde contient une version unique de chaque personne qui vit une situation différente au même moment du temps.
« Mousses d’univers » ou membranes ?

Pour d’autres physiciens, les différents univers se définissent dans un espace des possibles et chacun possède ses lois et ses constantes propres - on parle alors de « mousse d’univers ». Pour d’autres encore, une infinité d’univers à quatre dimensions coexistent sur des branes (raccourcissement de membranes) différentes, de la même façon que des pages d’un livre coexistent sans intersection.
De son côté, Stephen Hawking était d’accord avec l’idée du Multivers. Et il a émis celle, encore plus folle, que l’on pouvait, depuis notre Univers, détecter la présence de ceux qui « coexistent » avec le nôtre.
Cette théorie, l’astrophysicien britannique entendait carrément la démontrer à la fin de sa vie. Son dernier article, coécrit avec Thomas Hertog, professeur de physique belge dont Hawking a été le directeur de thèse, est intitulé « A Smooth Exit from Eternal Inflation ». Ou, si vous préférez (mais ce n’est pas certain) : « Une sortie douce de l’Inflation éternelle ».
Des radiations détectables ?
Des radiations détectables ?

Autrement dit (et pour faire court) une remise en cause de certains modèles dominants d’explication de l’univers (notre Univers est en perpétuelle expansion). Associée à l’idée que si plusieurs univers ont été « créés » par le Big Bang, ils ont laissé une trace dans le nôtre. Une sorte de radiation que l’on doit pouvoir donc détecter. Analyser. Décrypter. Comment ? À l’aide de capteurs « adéquats » et d’une sonde spatiale.
L’article, commencé en 2017 et ultimement corrigé quatre jours avant la mort de Stephen Hawking, devrait être publié bientôt, après relecture par la communauté scientifique. D’après Thomas Hertog, cet écrit d’une quinzaine de pages (dont le PDF, carrément aride, est accessible ici), veut « transformer l’idée d’un Multivers en un cadre scientifique qu’il est possible de tester ». Il porte donc en lui les germes d’une approche révolutionnaire de l’Univers.
Selon plusieurs chercheurs, un tel article pourrait déboucher sur un prix Nobel. À un détail près : cette récompense ne peut être donnée à titre posthume. À moins que dans un autre Univers…
OuestFrance
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IBM a mis au point un ordinateur gros comme un grain de sel
La firme IBM a mis au point le prototype d'un ordinateur minuscule, pas plus gros qu'un grain de sel... Si pour l'heure, le produit n'en est donc qu'au stade de prototype, la société prévoit néanmoins que ce type d’appareil équipera dans un futur proche beaucoup de produits et appareils de notre quotidien.
Le but de ce « mini-ordi », d'une puissance de calcul comparable à nos ordinateurs des années 90, est en effet d'équiper nos objets du quotidien. Il serait ainsi utile pour récupérer, traiter et transmettre de nombreuses données. Fixés par exemple sur des flacons de parfum ou des médicaments, ces ordinateurs pourraient en effet garantir aux sociétés, le lieu, la date de fabrication ou encore le trajet effectué par le produit.

Autre atout de ce petit ordinateur, il ne devrait coûter moins de dix cents à produire !
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Chimène Avatar de l’utilisateur

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:doute: :doute: et à acheter ??? :sif: :sif:
" un jour j'irais vivre en Théorie,
car en Théorie tout se passe toujours bien "

Observateur

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photos a écrit :La firme IBM a mis au point le prototype d'un ordinateur minuscule, pas plus gros qu'un grain de sel...

Les "puces" des processeurs actuels ne sont guère plus gros, mais on est obligé de les mettre dans des boîtiers plus grands pour de raisons de connectique et de refroidissement...
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L'exceptionnel miel de Malaisie
Franceinfo
Dans les profondeurs de la jungle en Malaisie, deux hommes perchés en haut d'un arbre agitent une torche brûlante pour tenter d'éloigner des milliers d'abeilles de leur essaim, afin de ramasser le précieux nectar, à leurs risques et périls. Ces chasseurs de miel font partie d'un groupe de villageois qui, chaque année, se rendent en expédition dans des lieux isolés de la forêt tropicale à la recherche de la production des abeilles sur des Tualang, une variété d'arbres géants. "Ce miel est riche en éléments nutritifs. On peut s'en servir comme un médicament, contre la toux par exemple", raconte Abdul Samad Ahmad, qui participe depuis plus de 20 ans à ces aventures risquées.

Le miel malaisien de Tualang se vend cher, environ 150 ringgit (30 euros) le kilo, une fortune pour des villageois pauvres dans ce pays d'Asie du Sud-Est. Pour ces chasseurs de miel, rien de tel que de grimper au sommet d'arbres mesurant jusqu'à 75 mètres de haut et de recueillir ce miel unique produit par des abeilles se nourrissant des fleurs exotiques de la jungle. La saison de collecte s'étend de février à avril dans la forêt d'Ula Muda, quand des colonies d'abeilles arrivent d'autres régions d'Asie pour construire des ruches naturelles sur des branches de Tualang.

Déforestation

La production de miel est "menacée par l'abattage d'arbres et la réduction des forêts" pour faire de la place à des plantations et des habitations, relève Makhdzir Mardan, un spécialiste des abeilles à l'Université Putra Malaysia. Le nombre d'abeilles dans la forêt d'Ulu Muda a diminué ces dernières années. M. Mardan raconte avoir compté 128 ruches naturelles sur un seul arbre lors d'une expédition dans cette forêt en 1983 et n'en compter aujourd'hui que 40 au maximum. Des experts tirent depuis longtemps la sonnette d'alarme sur le déclin des colonies d'abeilles à travers le monde, surtout en raison des pesticides qui déciment les populations de pollinisateurs.

Enfoncés dans la jungle, M. Arshad et ses amis chasseurs de miel se désolent, il y a beaucoup moins de fleurs qu'auparavant. "Les endroits où les abeilles cherchent de la nourriture disparaissent", constate M. Arshad. "S'il n'y a plus assez de fleurs, les abeilles ne viendront plus".
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Finistère. Des algues pour soigner, manger et… servir à boire !

Devant l’Armorica, à Plouguerneau (Finistère), le Karreg-Hir donne le ton ! Tel un poème à la manière de Robert Desnos – « Un sloop en pleine cour de l’Armorica, ça n’existe pas ! Eh, pourquoi pas ? » – l’ambassadeur et l’emblème de l’Écomusée ouvrait le bal à deux journées exceptionnelles. Cap sur sur la valorisation et l’avenir de l’algue bretonne !
« La Bretagne est le 2e producteur européen d’algues, après la Norvège, rappelle un membre de l’Écomusée. Rien que dans les cinq départements de la Bretagne historique, 125 entreprises récoltent l’algue, et Lanildut est le premier port goémonier d’Europe ! »
300 visiteurs

Utiliser l’algue pour renforcer les défenses immunitaires sur les plantes ou les animaux, en tirer des principes actifs pour des crèmes de soin, l’intégrer dans les ingrédients d’un cocktail ou d’un gâteau, l’utiliser en poudre pour l’associer à la création d’objets en verre… Ce sont toutes les applications que l’on pouvait découvrir ce week-end, durant deux après-midi organisées par l’Écomusée des goémoniers et de l’algue.
« Le partenariat avec les entreprises, les commerçants et les associations a été optimal. Tous ont répondu présents, se réjouit Caroline Bramoullé, organisatrice de l’événement. Il y avait un large panel d’activités. Nous avons eu 300 visiteurs, certains pour les conférences, d’autres pour la découverte, et une centaine de convives pour le kig ha fars »
« Nous avons vu les algues sous plein d’angles différents, apprécie une maman devant le stand des chercheurs de la station de Roscoff, qui parlait de la biologie des algues. Chacun a trouvé ce qui pouvait l’intéresser. » Sur ce stand, les enfants expérimentaient la gélification, en formant des billes d’alginate.
Un verre 100 % marin !

Sophie, l’esthéticienne d’Escale Bien-Être, agréée par Agrimer pour représenter sa marque à base d’algue, propose des soins : « La crème est très agréable à travailler par sa texture et sa senteur, les produits à base d’algue sont plus actifs. »
Le design n’est pas en reste : « Ce verre 100 % marin est conçu avec des algues réduites en poudre. Nous travaillons aussi avec la poudre d’un pain de soude de 2015 produit ici », explique Lucile qui présente les différents verres nés de ses recettes.
Ouestfrance
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Les jolis petits canards de bain de votre enfant sont-ils dangereux ?
ls ont une bonne bouille, aiment cracher de l'eau et les jeunes enfants les adorent quand ils prennent leur bain. Les canards en plastique représentent un potentiel danger selon l'étude "les vilains petits canards de bain" menée par des Suisses et des Américains.
Selon ces chercheurs, tout corps en plastique plongé dans un liquide déjà pollué par nos ablutions devient une véritable bombe à bactérie et à champignons. Pour le prouver, ils ont placé des canards neufs pendant onze semaines dans de l'eau propre et d'autres canards dans "de l'eau de bain usagée contenant des restes de savon, de la saleté, de la sueur et des bactéries accompagnatrices du corps humain".

Irritations des yeux, des oreilles, infections

Résultat : les canards qui ont barboté dans l'eau sale étaient porteurs de champignons et 80 % de tous les canards avaient développé des germes potentiellement pathogènes comme des légionelles et des bactéries très résistantes. La principale difficulté vient de l'intérieur du jouet difficile à nettoyer. Les chercheurs font remarquer que "lorsque l'enfant appuie sur le ventre pour faire gicler de l'eau, il n'est ainsi pas rare que le jet soit de couleur brun".
Ces bactéries et champignons peuvent "provoquer des irritations des yeux et des oreilles ou des infections gastro-intestinales plus problématiques" indique le microbiologiste Frederik Hammes cité dans l'étude.
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Un ovni observé au même moment par deux pilotes
OuestFrance

Troublante coïncidence : un objet volant non identifié a été repéré par deux pilotes de deux avions de lignes américains différents. Les deux hommes survolaient le ciel de l’Arizona. Personne ne sait ce que c’était. Mais l’événement suscite évidemment bien des fantasmes.
- « Y’avait-il quelque chose au-dessus de nous il y a trente secondes ? » Voilà le message radio lancé par un pilote d’un Learjet se dirigeant vers la Californie (États-Unis), à 12 000 m d’altitude alors qu’il survole le désert d’Arizona.
- « Négatif », lui répond un contrôleur aérien du centre de trafic aérien d’Albuquerque au Nouveau-Mexique.

- « Ok. Pourtant quelque chose nous a survolés ! », lui rétorque le pilote.
Ce dialogue enregistré entre un pilote et un contrôleur du ciel a été publié, mercredi, par le Huffington Post américain. Les faits remontent au 24 février dernier. Il était 15 h 30, heure locale.

Quelques minutes plus tard, le contrôleur du ciel demande à un autre pilote d’un Airbus d’American Airlines voyageant dans la même direction d’ouvrir l’œil sur ce qui se passe au-dessus de lui.

- « Oui quelque chose vient de passer au-dessus de nous en se dirigeant dans la direction opposée à la nôtre. On a vu une grande ombre », confirme, à son tour, le pilote de ce deuxième avion. Il y avait un grand reflet, je n’arrivais pas à distinguer ce que c’était, mais ce n’était pas un avion… »

D’autres pilotes sont intervenus dans la conversation. Ils émettent l’hypothèse d’un ballon Google. Mais le pilote d’American Airlines estime que « c’est peu probable ».

Aucune explication pour le moment

Plusieurs semaines plus tard, les autorités sont toujours perplexes, selon le New York Times. En dehors du témoignage et du rapport fait par les deux pilotes de ligne, cet événement demeure mystérieux pour l’administration américaine de l’aviation civile (FAA). À sa connaissance, aucun autre avion ne se trouvait logiquement dans les parages. « Nous entretenons des relations de travail étroites avec d’autres organismes. Quel que soit l’objet volant, un avion militaire, civil ou un ballon météorologique, nous sommes tenus au courant. Ce n’était pas le cas en l’occurrence », déclare un de ses représentants cité par le New York Times.

À 800 km de Roswell
l n’en fallait pas plus pour que les hypothèses les plus farfelues soient émises. Certains évoquent le survol d’un appareil russe ou coréen compte tenu des tensions diplomatiques actuelles. D’autres thèses conspirationnistes estiment évidemment que le gouvernement américain cache la vérité sur l’existence d’une vie extraterrestre. D’autant que ces faits se sont produits à vol d’oiseau, à environ 800 km à l’ouest de Roswell.

Souvenez-vous : le 2 juillet 1947, un ovni aurait explosé en plein vol et se serait écrasé près de Roswell, au cœur du Nouveau-Mexique, aux États-Unis. Cette affaire, qui a été très médiatisée, constitue l’un des événements les plus controversés de l’histoire américaine. Elle a donné naissance à de nombreux livres, films et d’extravagantes thèses. Néanmoins, soixante-dix ans après, le mystère demeure. Et cette nouvelle mystérieuse affaire d’ovni fait de nouveau s’emballer la machine à fantasmes.
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Des restaurants du Tarn-et-Garonne proposent des cartes de menus sonores pour les malvoyants
LaDepeche
C’est un petit objet qui risque de changer la vie de nombreuses familles. Pour la première fois en Tarn-et-Garonne, onze restaurateurs vont pourvoir leurs tables de ce qui est appelé un kit « cartes sonores ».

Destiné aux personnes mal ou non-voyantes, le dispositif leur a été présenté mardi après-midi au restaurant montalbanais Au fil de l’eau. L’initiative a été lancée au départ par la Jeune chambre économique (JCE) de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, en 2015. « Elle a ensuite gagné notre région avec deux restaurateurs utilisateurs du système à Béziers, dans l'Hérault. Et c’est maintenant dans le département que le contingent est le plus important de la région ! », s’est réjouie Natacha Viguié, la présidente de la JCE 82.

« Le contingent le plus important d’Occitanie ! »
Une heure durant, onze chefs des seize membres de l’association des restaurateurs du Tarn-et-Garonne (AR82) ont pu commencer à appréhender, sous les conseils de cette dernière, le dictaphone qui servira aux clients à écouter les différentes réjouissances que propose chaque restaurant. Il a d’abord fallu apprendre les fonctions de base de l’enregistreur. Ce fut ensuite le temps d’un premier enregistrement, une sorte de brouillon pour appréhender l’exercice.
« L’appareil est tout de même relativement simple d’utilisation, à la fois pour nous professionnels et pour le client. Après c’est sûr qu’il faudra s’exprimer correctement avec les bonnes informations pour qu’il puisse bien tout comprendre. Mais nous sommes très heureux de participer à cette initiative », confie Cyril Simon, coprésident de l’association des restaurateurs tarn-et-garonnais et chef de l'auberge de Bardigues.

Avancée sociale

Cette opération est à la fois une avancée sociale et sociétale pour les personnes touchées par ce handicap, mais c’est aussi un pas de plus fait par les restaurateurs envers des individus qui rencontrent beaucoup de difficulté dans leur quotidien. « Nous sommes déjà sensibilisés par rapport aux allergènes. Il nous a fallu ensuite nous mettre aux normes pour pouvoir accueillir des personnes à mobilité réduites (PMR). Désormais, c’est naturel de se tourner vers un nouveau public qui souffre de handicap visuel pour les amener à venir vers nos restaurants de loisirs », a conclu M. Simon. Cela leur fait aussi de nouvelles papilles à ravir.
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Les canulars auxquels on a «failli» échapper

Si la Dépêche-du-Midi ne tente plus de piéger ses lecteurs le 1er avril, d'autres continuent à ramener dans leurs filets quelques poissons. Parmi les plus célèbres, le 1er avril 1964, les journalistes annonçaient le plus sérieusement du monde que la tour Eiffel allait être déplacée pour faire place à un stade. L'an passé, France Info annonçait que Thomas Pesquet ne voulait plus rentrer sur terre pour avoir plus de fans sur Instagram.
La page BMF TV du journaliste Florian Pérez révélait le 1er avril 2017 que «Mazamet déclarait la guerre aux lapins du rond-point d'un fast food bien connu». Devant la prolifération de lapins, une chasse dite au C 15 devrait permettre d'éradiquer ce fléau et «si l'opération est un succès elle sera reconduite sur d'autres ronds-points de la ville. Un nouveau restaurant baptisé «le Civet gourmand» devrait même voir le jour pour joindre l'utile à l'agréable».

C'est la tradition, chaque premier avril est riche en «fausses» informations. Le journal la Montagne Noire annonçait à sa Une que le conseil municipal de Mazamet avait voté à l'unanimité le projet d'un tapis roulant rue Saint Jacques : «les personnes âgées et les personnes chargées de sacs n'auront plus d'effort à faire pour rejoindre leur voiture stationnée au champ de la ville». Le journal a remis ça cette année…

Journées de… 28h

Ce jour-là, on peut se permettre des choses qu'on ne ferait pas les autres jours.
L'expert météo Paul-Frédéric Casset évoquait dans son flash météo matinal de la radio locale Cent pour cent qu'une «étude très sérieuse de la NASA vient de confirmer que l'excédent de pluie qui est tombé sur le grand sud depuis le début de l'année a une forte incidence sur la vitesse de rotation de la planète et que d'ici 2020, les journées feront 28 h».

Du coup, les gourvernements allaient en profiter pour rallonger la durée du temps de travail… Il faut être vigilant. La micro-station de ski du Triby avec sa piste forestière unique va s'équiper de «canons à neige» pour fabriquer de la «neige de culture» grâce à «la contribution financière des promoteurs éoliens qui vont fournir l'électricité excédentaire aux futurs gestionnaires du site «Neige nouvelle» déterminés à faire de ce lieu une destination prisée. Dossier à suivre…». Ces canulars ont le mérite d'apporter un peu d'humour et de détente.

Ce qui n'empêche pas tout lecteur avisé de rester vigilant et critique sur les fakes news.
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Qui a inventé le poisson d'avril?
Concordance des calendriers, ce dimanche de Pâques tombe un 1er avril. Ce jour-là, chacun récolte son lot de poissons facétieux. Une tradition qui en a trompé plus d’un ! Mais d’où vient ce satané poisson d’avril ? On serait tenté de vous raconter des bobards, mais promis, on vous dit la vérité, rien que la vérité. Partons à la pêche aux origines du poisson d’avril.

C'est une journée où les farces et les entourloupes, parfois de mauvais goût, sont à l’honneur. Comme à l’accoutumée, le roi des canulars, c’est ce fameux poisson d’avril.
Dans les écoles, on découpe des poissons en papier que l’on tente de coller dans le dos de ses camarades et de la maîtresse quand elle est au tableau. Au travail et à la maison, on tente de faire avaler des histoires tirées par les cheveux à ses collègues ou ses proches. Et une fois que la plaisanterie a fait son petit effet, on s’exclame : « Poisson d’avril ! » Non mais sans blague, qui est allé pêcher cette idée de poisson d’avril ?

Concordance des calendriers, ce dimanche de Pâques tombe un 1er avril. Ce jour-là, chacun récolte son lot de poissons facétieux. Une tradition qui en a trompé plus d’un ! Mais d’où vient ce satané poisson d’avril ? On serait tenté de vous raconter des bobards, mais promis, on vous dit la vérité, rien que la vérité. Partons à la pêche aux origines du poisson d’avril.

C'est une journée où les farces et les entourloupes, parfois de mauvais goût, sont à l’honneur. Comme à l’accoutumée, le roi des canulars, c’est ce fameux poisson d’avril.
Dans les écoles, on découpe des poissons en papier que l’on tente de coller dans le dos de ses camarades et de la maîtresse quand elle est au tableau. Au travail et à la maison, on tente de faire avaler des histoires tirées par les cheveux à ses collègues ou ses proches. Et une fois que la plaisanterie a fait son petit effet, on s’exclame : « Poisson d’avril ! » Non mais sans blague, qui est allé pêcher cette idée de poisson d’avril ?

Une tradition « made in France »

C’est Charles IX qui est l’origine du poisson d’avril. Enfin, indirectement. Tout commence le 9 août 1564, par l’Édit de Roussillon. Le jeune roi de France impose à l’époque le 1er janvier comme point de départ obligatoire de chaque année.
Auparavant, le début de l’année variait selon les diocèses. Elle commençait pour la plupart le 1er avril, en accord avec Pâques, la résurrection de Jésus-Christ selon la Bible. Cette mesure, visant à harmoniser le calendrier dans tout le royaume de France, prit effet très exactement le 1er janvier 1567.
Mais revenons en arrière. Quand le 1er avril était encore le premier jour sur le calendrier. Pour célébrer la nouvelle année, on avait coutume de s’offrir des cadeaux. En signe de protestation contre ce changement de calendrier, une partie de la population a continué à s’offrir des présents le 1er avril. Comme il ne s’agissait plus du « vrai » premier jour de l’année, les cadeaux étaient transformés en farces. Voilà pourquoi le 1er avril est devenu la journée de la blague… Cool, mais quel rapport avec le poisson ?
Un poisson-cadeau

Souvent, les cadeaux du 1er avril étaient simplement alimentaires. La fête de Pâques tombe chaque année autour du 1er avril, date à laquelle les chrétiens célèbrent la fin du carême, une période de jeûne et d’abstinence de quarante jours. Et le poisson était l’étrenne la plus abordable et la plus répandue.
Lorsque la tradition des blagues du 1er avril s’est bien installée, la farce la plus courante était l’offrande de faux poissons. Car le 1er avril marquait également, en France, le jour de la fermeture de la pêche, afin de respecter la période de reproduction. Certains faisaient donc des blagues aux pêcheurs en leur offrant de faux poissons.
Enfin, certains historiens relient directement le poisson d’avril à l’ichthus chrétien, symbole représentant un poisson. Lors des premiers siècles, le poisson était le signe de reconnaissance des chrétiens. Dans la langue de l’époque, le grec ICHTUS est un acronyme : I pour « Iesous » (Jésus), CH pour « Christ », TH pour « Theou » (de Dieu), U pour « Uios » (fils), S pour « Soter » (sauveur).
Et les poissons du monde ?
La tradition du 1er avril s’est largement diffusée dans le monde mais sous différentes formes. La coutume du poisson d’avril, elle, n’existe pas partout. On retrouve des poissons en papier collant au dos des Italiens, des Belges et des Suisses francophones ainsi que des Québécois. Dans les autres pays, pas d’écailles à l’horizon mais des farces à la pelle. Les pays anglophones appellent cette coutume « April Fools’ Day ».
En Angleterre, les plaisanteries se font uniquement le matin et les personnes piégées sont traitées de « nouilles ». Les Écossais, eux, font durer le plaisir : les canulars s’étalent sur deux jours. Au Mexique, la tradition consiste à voler une affaire de quelqu’un et de le lui signaler avec un petit mot accompagné de bonbons. Dans les pays nordiques, on parle d’« aprilsnar » au Danemark et d’« aprillipäivä » en Finlande.
Attention aux fausses nouvelles sur internet

Chaque année, les médias ne sont pas les derniers à participer à cette course à la supercherie, surtout sur internet. En 2013, Youtube avait annoncé sa fermeture et la mise en place d’un jury pour désigner la meilleure vidéo publiée depuis son lancement. En 2015, la Fnac avait proposé de livrer ses clients en longboard tandis que le voyagiste Nouvelles Frontières avait annoncé une nouvelle destination : la Lune ! Et Google avait tout simplement transformé son service de cartographie, Google Maps, en… jeu vidéo PacMan. Alors, à qui le tour ?
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