Questions existentielles - page 185

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Des "villages pittoresques" français se mettent en vente sur Le Bon Coin
A vendre "village pittoresque", "entre mer et montagne" ou "fort sympathique": par solidarité avec leurs agriculteurs en colère, des communes du secteur de La Piège (Aude) se sont symboliquement mises en vente sur un site de petites annonces.
Saint-Julien de Briola, Fanjeaux, Orsans, Saint-Amans, Laurac, Ribouisse, Generville, Villautou Fanjeaux, Lacassaigne... autant de villages audois mis en vente pour protester contre l'exclusion possible de leurs éleveurs de la carte des zones défavorisées, dont la réforme est actuellement en discussion.

Cette vente, qui ne donne aucun prix, fait "suite à une série de décisions injustes", "à l'abandon du monde rural par l'État et à la surdité du ministère de l'Agriculture", peut-on lire notamment sur les petites annonces. Pour tout renseignement, "l'acheteur" est invité à s'adresser à Stéphane Travert, ministre de l'Agriculture. Il doit faire des "offres sérieuses", "Perlimpinpin abstenez-vous", prévient ainsi la commune de Fanjeaux.

Entre dérision et défaitisme, les annonceurs mettent en exergue les qualités de tous les villages mais aussi constatent les conséquences du déclassement possibles de leurs terres, privant les exploitants de l'ICHN, l'indemnité compensatoire de handicaps naturels. A Fanjeaux, où les habitants ont installé des panneaux "maisons à vendre", l'annonce publiée sur leboncoin.fr concerne "de nombreuses exploitations endettées mais où vous serez toujours accueillis avec le sourire", "des écoles rurales en désuétude mais premier rempart des valeurs de la République"...
Eleveurs de bovins mis en vente
En revanche, elle ne comprend pas "un havre de paix que l'État est en train de détruire dans l'indifférence la plus totale". De son côté, Cazalrenoux, "belle commune de 13,5 km2", vend des éleveurs d'ovins et bovins, "une espèce en voie de disparition mais non protégée", un "éleveur de porc tout autant menacé", "des agriculteurs, a priori, considérés comme nuisibles".

"Tout est à vendre", clame également Saint-Julien de Briola: ses 84 habitants, ses exploitations agricoles, céréalières ou élevages, conventionnelles ou bio, une fromagerie, une église en bon état, une salle des fêtes et son comité des fêtes, une mairie avec son maire, ses adjoints et même ses deux employés municipaux. La commune déplore avoir été reclassée depuis peu en zone de plaine. Et d'ironiser: c'est peut-être à cause de ses terres pentues, pauvres et caillouteuses...

"Information aux futurs acquéreurs", alerte Villautou: "grâce à la disparition de l'agriculture, landes, friches, genêts, ronces, mauvaises herbes... envahiront le paysage, rendant nos collines sujettes aux incendies". Villautou insiste encore sur l'abandon de l'État: "Tout contact téléphonique étant pour ainsi dire impossible (ligne fixe hors d'usage, pas de réseaux pour les portables), veuillez prendre contact avec Stéphane Travert".

Outre les villages, une ferme bio avec gites à Cazalrenoux ou encore le domaine agricole de Barca ont publié leurs propres petites annonces sur le site leboncoin.fr.
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La police fait appel aux internautes pour trouver le descendant d'un poilu
La mobilisation de centaines de personnes sur les réseaux sociaux a permis à la police marseillaise de retrouver et contacter le descendant d'un poilu, après la découverte d'une lettre du 27 mai 1915 écrite sur le front de la Somme.
"On avance bien, on doit encore faire des vérifications mais la partie familiale de l'affaire a été découverte", explique Arnaud Louis, chargé de communication à la Direction départementale de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône. "Maintenant on aimerait bien retrouver le propriétaire de la lettre, et si c'était la famille de Jean Audiffen, le destinataire, ce serait formidable", a ajouté le policier.

Arnaud Louis a salué la "mobilisation exceptionnelle" sur les réseaux sociaux autour de cette enquête insolite, notamment les recherches de généalogistes amateurs qui ont permis de retrouver un descendant du poilu.
Une lettre d'adieu poignante

La lettre, signée Jean Soulagnes, a été trouvée dans le 5e arrondissement de Marseille dans le cadre d'une perquisition après un cambriolage. Le jeune homme, sergent-fourrier au 73e régiment d'infanterie, écrivait à son "seul ami", Jean Audiffen avant de partir "dans deux heures pour une destination incertaine où doivent se passer de grandes choses".

Le matricule 3336 demande un service prémonitoire à son ami: "Je connais votre cœur et je n'hésite pas à lui faire un appel suprême: vous ne refuserez pas le pénible service, en cas d'événement grave, d'avertir ma famille et ma fiancée qu'avant de mourir, après avoir donné ma vie au pays, mon âme ne pense qu'à eux et leur envoie mon adieu suprême".

Deux semaines plus tard, Jean Soulagnes est tué à Hebuterne (Pas-de-Calais), à seulement 24 ans.

L'enquête participative : une nouvelle méthode ?

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La police se trouvait face à une impasse pour retrouver la famille de Jean Soulagnes, jusqu'à ce qu'elle tweete la lettre et la fiche de renseignement du soldat, via le compte @PoliceNat13: "c'est une volonté très claire de notre part d'utiliser les réseaux sociaux pour ce type de faits, et une demande des enquêteurs", selon Arnaud Louis, qui se félicite que ce genre d'enquête rende "la police très proche des gens"
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Un Japonais remporte le droit de garde de 13 enfants nés de mères porteuses en Thaïlande
AFP

mporte le droit de garde de 13 enfants nés de mères porteuses en ThaïlandeUn Japonais remporte le droit de garde de 13 enfants nés de mères porteuses en Thaïlande © AFP / LILLIAN SUWANRUMPHA
Un riche Japonais a remporté mardi le droit de garde de treize de ses enfants nés de mères porteuses en Thaïlande, dernier rebondissement d'un scandale dit de "l'usine à bébés" qui avait mis en lumière les zones grises du marché de la procréation médicalement assistée.

Au terme de cette affaire hors normes, qui avait passionné la presse internationale lors de sa révélation en 2015, le tribunal pour enfants de Bangkok a invoqué "le bonheur des treize enfants nés de mères porteuses" pour justifier sa décision d'accorder à Mitsutoki Shigeta "l'intégralité des droits parentaux".
"Leur père biologique n'a pas d'antécédent de mauvais comportements", a tranché le tribunal, sans se prononcer sur la santé mentale d'un homme ayant décidé de se lancer dans une entreprise de procréation pléthorique.
Cela devrait permettre à Mitsutoki Shigeta, riche héritier japonais, de ramener ses enfants au Japon. Il a déjà mis en place toute la logistique, engageant des nourrices pour s'occuper de sa nombreuse progéniture, a précisé le tribunal.
Le riche héritier, très discret depuis l'éclatement du scandale, n'avait pas fait le déplacement à Bangkok mardi.
Son avocat thaïlandais, Kong Suriyamontol, a précisé que le transfert des treize enfants au Japon allait être négocié avec le gouvernement thaïlandais. "On va voir quand les enfants seront prêts. Après avoir été placés pendant si longtemps, il faut éviter les changements brusques", a précisé l'avocat.
Quant aux motivations de son client pour se lancer dans une telle entreprise, l'avocat a seulement expliqué devant la presse, venue en nombre, que son client souhaitait avoir une famille nombreuse. "Il est né dans une famille nombreuse et veut que les enfants grandissent ensemble", a-t-il seulement dit.
Tout avait commencé à l'été 2014 avec la découverte de plusieurs des bébés vivant avec leurs mères porteuses dans un appartement de Bangkok loué par leur client japonais commun.
Des tests ADN avaient rapidement prouvé que les bébés étaient tous nés du même père japonais, ce qui avait valu à l'affaire le surnom médiatique de "l'usine à bébés".
Les mères avaient ensuite porté plainte contre l'Etat afin de récupérer leurs enfants, remis aux services sociaux - tandis qu'à distance le père japonais se lançait dans une bataille légale pour récupérer ses enfants.
Les mères porteuses thaïlandaises ont signé mardi un accord reconnaissant qu'elles abandonnaient leurs droits parentaux, a précisé le tribunal pour enfants de Bangkok. Aucune précision n'a été donnée quant à leur éventuelle indemnisation.
-Interdiction pour les étrangers-
Le marché des mères porteuses s'était développé en Thaïlande depuis des années, grâce à un flou juridique. Mais le scandale de "l'usine à bébés" avait suscité l'émoi et conduit en 2015 à une loi interdisant cette pratique pour les étrangers.
Un couple d'Australiens avait fait scandale au même moment en abandonnant leur bébé trisomique à sa mère porteuse thaïlandaise.
Depuis, le marché pour les étrangers en quête de ventres à louer s'est déplacé dans d'autres pays d'Asie du Sud-Est.
Au Cambodge, ce business de la "gestation pour autrui" (GPA) s'est très rapidement développé après l'interdiction décrétée en Thaïlande: les prix proposés y étaient très bas, notamment par rapport aux Etats-Unis, et en l'absence de régulation, les cliniques acceptaient les couples homosexuels comme les célibataires.
Mais les autorités cambodgiennes ont fini par interdire cette pratique à leur tour. En août dernier, une infirmière australienne a été condamnée à 18 mois de prison pour sa participation à une clinique spécialisée dans les mères porteuses.
Récemment, le Laos semble le nouveau pays de la région où se développe la GPA. En avril 2017, un homme qui tentait de faire passer en contrebande des flacons de sperme a été arrêté à la frontière entre le Laos et la Thaïlande.
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Un couple payé pour décrire ses ébats sexuels dans des hôtels de luxe
Est-ce le job de vos rêves?
Un guide de voyage érotique. Jessica D'Argent et Justin Engelke, 23 et 26 ans respectivement, ont été payés pour parcourir l'Australie dans des hôtels de luxe. Rien que ça...

Une seule condition à respecter: ils devaient décrire publiquement leurs ébats sexuels pour le plus grand plaisir de Skyn, une entreprise qui fabrique des préservatifs.

"Places of Intimacy"
Pour promouvoir ses produits, Skyn a lancé un blog consacré au sexe dans les plus beaux complexes touristiques: "Places of Intimacy".

"De vrais couples sont envoyés à travers le monde afin de découvrir les meilleurs endroits pour leur intimité", peut-on lire sur le blog.

"J'avais un bon feeling"
Jessica et Justin ont participé au concours. Pendant 14 jours, ils ont visité des hôtels cinq étoiles à Sydney, Melbourne, Byron Bay, en Tasmanie et en Australie Occidentale.

"Nous avons dû remplir un questionnaire et envoyer une vidéo dans laquelle nous nous sommes présentés", a souligné Justin dans le Daily Mail. "Ensuite, il y a eu un entretien via Skype. C'était donc une procédure de sélection assez intense, mais j'avais un bon feeling à ce sujet. Pour être clairs, nous Est-ce le job de vos rêves?
Un guide de voyage érotique. Jessica D'Argent et Justin Engelke, 23 et 26 ans respectivement, ont été payés pour parcourir l'Australie dans des hôtels de luxe. Rien que ça...

Une seule condition à respecter: ils devaient décrire publiquement leurs ébats sexuels pour le plus grand plaisir de Skyn, une entreprise qui fabrique des préservatifs.

"Places of Intimacy"
Pour promouvoir ses produits, Skyn a lancé un blog consacré au sexe dans les plus beaux complexes touristiques: "Places of Intimacy".

"De vrais couples sont envoyés à travers le monde afin de découvrir les meilleurs endroits pour leur intimité", peut-on lire sur le blog.

"J'avais un bon feeling"
Jessica et Justin ont participé au concours. Pendant 14 jours, ils ont visité des hôtels cinq étoiles à Sydney, Melbourne, Byron Bay, en Tasmanie et en Australie Occidentale.

"Nous avons dû remplir un questionnaire et envoyer une vidéo dans laquelle nous nous sommes présentés", a souligné Justin dans le Daily Mail. "Ensuite, il y a eu un entretien via Skype. C'était donc une procédure de sélection assez intense, mais j'avais un bon feeling à ce sujet. Pour être clairs, nous n'écrivions pas uniquement sur nos relations sexuelles. Nous examinions aussi les hôtels dans lesquels nous séjournions".

"C'était fantastique"
Pour Jessica et Justin, ce fut une expérience inoubliable. Difficile d'imaginer le contraire.

"C'était fantastique. Pendant deux semaines, nous avons été autorisés à voyager et à passer la nuit dans des hôtels sublimes à travers l'Australie, alors que tout était payé pour nous", a conclu ce couple australien.
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J'ai bien connu un employé municipal qui écrivait des romans XX pendant ses heures d'ennui à la mairie, pour se faire du fric en plus.
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Une petite fille de 6 ans demande le retour de Pluton comme planète, la Nasa lui répond
LaDepeche
Plus considérée comme une planète depuis 2006 à cause de sa petite taille, Pluton manque beaucoup à une petite irlandaise de 6 ans, qui a décidé de demander à la NASA de reconsidérer leur choix. L’agence spéciale lui a répondu.
Cara Lucy O’Connor est une petite irlandaise de 6 ans, qui avec l’aide de sa maîtresse a réclamé à la station américaine le retour de Pluton en tant que « vraie » planète. « J'ai entendu une chanson qui disait à la fin "Ramenez Pluton", et j'aimerais vraiment que ça arrive », a-t-elle écrit dans une lettre citée par le Washington Post.

La fillette qui rêve un jour de devenir astronaute pour découvrir ses propres planètes et visiter toutes les principales, y compris Pluton, raconte dans sa lettre avoir vu et entendu des choses tristes à l’encontre de l’ex-planète. « J’ai écouté quelques chansons sur Pluton, et dans l’une des vidéos, les personnes étaient habillés en différentes planètes et Pluton a été mis à la poubelle et a été effrayé par la Terre. »

De nombreuses réponses

Le directeur de la division scientifique des planètes à la NASA, James Green a répondu à Cara quelques jours plus tard. « Je suis d’accord avec toi, Pluton est vraiment cool, mais pour moi, la question n'est pas vraiment de savoir si Pluton est une planète naine ou non. C'est un endroit fascinant que nous devons continuer à étudier. »
Fin janvier, la lettre de Cara a été publiée dans le magazine spécialisé Astronomy Ireland ce qui a permis au scientifique membre de la mission New Horizons, Carly Howett d’avoir vent de ce courrier et de lui répondre également. « Pluton est très importante, mais elle se moque probablement de savoir comment les gens stupides sur Terre l'appellent. »
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Appeler son enfant "Marseille", c'est possible !
Après s'être vu refuser le prénom "Marseille" pour son fils, Xavier Monnier a décidé de livrer bataille à l'administration... qui a fini par céder. Son fils, né dans la mairie du XIXe arrondissement de Paris en septembre dernier porte donc bien le nom de la cité phocéenne en guise de troisième prénom.

« Marseille » vient de faire son entrée au palmarès des prénoms loufoques choisis par les parents. A la naissance de son fils, Xavier Monnier choisit pour troisième prénom celui de la cité phocéenne. « Je suis né à Marseille, nous nous sommes mariés à Marseille et j'ai écrit deux livres sur Marseille. C'est tout simplement un homme à ma ville de coeur », a expliqué le jeune papa. Deux jours plus tard, le service de l'état civil de la mairie du 19e arrondissement de Paris refuse le prénom. La raison : Marseille n'en serait justement pas un. L'officier d'état civil menace alors de saisir le procureur de la République.
Si, dans un premier temps, Xavier et son épouse renonce à livrer bataille et préfèrent retirer le prénom, ils se ravisent finalement et décident d'introduire un recours auprès du procureur de la République. Ce dernier les aiguille vers leur mairie de résidence. Menant un travail de recherche documenté pour justifier sa demande, il apporte notamment les preuves que ce prénom existant déjà. « Il avait été notamment donné sous la Révolution, au XVIIIe et au XIXe siècle. »
Et les parents obtiennent gain de cause ! Dans un tweet, le jeune papa témoigne : « Officiel, mon fils se prénomme bien Onken, Philipp, Marseille ». Trois prénoms rares en France et dont on espère qu'ils ne seront pas trop difficiles à porter.
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Le jeune Roi Arthur, dans une bataille, se fait capturer par le monarque d’un royaume voisin.
« J’aurais pu te tuer, mais comme tu es jeune, je te propose un marché. Je te laisse la vie sauve si tu réussis à trouver la réponse à une question très difficile. »
Arthur aurait un an pour trouver la réponse. Si au bout d’un an, il revenait avec la réponse, alors il serait libre, sinon, le monarque le tuerait.
La question ? Que veulent réellement les femmes ?
Une telle question rendrait perplexe n’importe quel homme d’expérience, mais pour le jeune roi, la réponse paraissait impossible à trouver.
Arthur accepte malgré tout la proposition et promet de revenir dans un an avec la réponse à cette difficile question.
Il retourne dans son royaume et interroge tous ses sujets : La princesse, les prostituées, les prêtres, les sages, les courtisans, les soldats.
Personne ne peut lui répondre.
On lui conseille de consulter une vieille sorcière qui, seule, pourrait connaître la réponse, mais le prix est élevé. La sorcière connaît sa valeur et exige beaucoup d’argent qu’il n’a pas.
Le temps passe, Arthur n’a plus le choix et il consulte la sorcière.
Elle accepte de répondre à sa question, à la condition qu’il lui accorde d’épouser Galaad, fils de Lancelot du Lac, un des plus nobles des chevaliers de la Table Ronde, et un ami parmi les plus chers.
Arthur est horrifié : La sorcière est bossue et hideuse, elle n’a plus qu’une dent, sent l’eau croupie et émet des bruits obscènes.
C’est la créature la plus répugnante qu’il ait jamais rencontrée.
Il refuse d’imposer une telle ignominie à son ami.
Galaad, en apprenant le prix proposé par la sorcière, affirme à Arthur qu’aucun sacrifice n’est trop grand pour préserver la vie de son roi et l’existence de la Table Ronde.
La sorcière approche de l’oreille d’Arthur…
« Ce qu’une femme veut réellement, c’est de pouvoir être maîtresse de sa destinée. »
Tout le monde sut alors que la sorcière venait de dévoiler une profonde vérité et que la vie d’Arthur était sauve.
Et ainsi en fut-il.
Le monarque voisin épargna la vie d’Arthur et lui redonna sa liberté.
Au mariage, Arthur est déchiré entre le soulagement et le désespoir. Autant Galaad est parfait, gentil et courtois, autant la vieille sorcière est dégueulasse.
La nuit de noce approche : Galaad, prêt pour une nuit d’horreur entre dans la chambre.
Surprise !
Allongée sur le lit, c’est la plus belle femme du monde qui l’attend.
« – Qu’est-ce qui se passe ? Qui es-tu ?
– Comme tu as été gentil et généreux avec moi quand j’étais la vieille sorcière, je serai tantôt répugnante, tantôt créature de rêve. À toi de choisir comment tu me veux le jour et la nuit. »
Galaad réfléchit…
Durant le jour, une femme ravissante à montrer à ses amis mais la nuit, dans l’intimité de sa maison, un enfer. Ou bien l’inverse, un monstre le jour et un pétard la nuit.
Quel serait votre choix ?
Le noble Galaad répond quant à lui qu’il lui laisse le choix.
À ces mots, elle lui annonce qu’elle sera toujours une ravissante jeune femme car il l’avait respectée et laissée prendre en main son propre destin…
Morale de cette histoire ?
Peu importe que votre femme soit jolie ou laide, à l’intérieur, c’est toujours une sorcière !
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Montpellier: Etudiants, louer une chambre dans une maison de retraite, ça vous dit?
20minutes
A partir de septembre, quatorze jeunes vont pouvoir louer un appartement meublé dans trois des sept Ehpad de la ville…
Le Centre communal d’action sociale de Montpellier va proposer à des étudiants de loger en maison de retraite.
Des loyers modérés seront garantis en échange d’heures de bénévolat.
Quatorze étudiants vont bénéficier de ce dispositif à la rentrée.
Si vous aimez le Scrabble et Motus, ce qui suit est peut-être fait pour vous : le CCAS (Centre communal d’action sociale) de Montpellier, qui se veut innovant en matière de dispositifs de solidarité envers les publics les plus fragiles, va proposer à des étudiants, à la rentrée prochaine, de louer des chambres… dans des maisons de retraite.
À partir du mois de septembre prochain, la structure proposera une colocation « à loyer modéré » dans trois de ses sept Ehpad (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) à 14 étudiants montpelliérains, qui ont des difficultés à se loger.
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Etats-Unis: Un Etat envisage de verbaliser les citoyens dont le pantalon laisse voir le caleçon
20minutes
NO MORE SAGGY PANTS Les personnes en infraction se verront adresser une amende et des travaux d’intérêt général…
Un projet de loi en Caroline du Sud aux Etats-Unis envisage de verbaliser toute personne portant le pantalon à la mode « saggy », c’est-à-dire en dessous de la taille, révélant de la peau ou le sous-vêtement, rapporte la chaîne ABC.
Les personnes en infraction devront payer une amende de 25 dollars la première fois, 50 dollars la deuxième et 75 dollars la troisième fois. Des travaux d’intérêt général peuvent également être imposés. La loi est précise : le pantalon ne doit pas être porté plus de 7 cm en dessous des hanches dans un lieu public.
Un problème touchant tout le monde
Wendell Gilliard qui a participé à l’élaboration du projet de loi (House 4957), a déclaré que le phénomène du pantalon descendu baisse au fur et à mesure que les années passent. Il a ajouté qu’il a vu des personnes de toutes « confessions et races » porter le pantalon en dessous de la ceinture. Le politicien estime que cette mode est un problème qui touche toutes les communautés confondues.
Tout droit sorti de la prison
Le « sagging » trouve son origine dans les prisons américaines où les détenus ne sont pas autorisés à porter de ceinture pour éviter les risques de suicides ou que l’accessoire soit employé comme arme. Les prisonniers sont donc les premiers à avoir porté le pantalon aussi bas, d’autant plus que la majeure partie d’entre eux ne portait que des pantalons extrêmement larges appelés « baggy » (« sac » en français). Le pantalon descendu est devenu célèbre au début des années 1990 avec le hip-hop.
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Meudon: La ville va vendre 50 cm2 de terrain!
20minutes
Le conseil municipal de Meudon (Hauts-de-Seine), qui se tient ce mardi soir, devrait voter la vente d’une bande de terrain de 50cm², révèle Le Parisien.
« Cela peut paraître délirant »
Selon les informations du quotidien, cette vente, qui devrait se conclure pour 55 euros, va permettre à un particulier de faire isoler un mur sur plusieurs mètres de hauteur en étant totalement dans les règles.
« Cela peut paraître délirant mais cela permet de régulariser et d’être en conformité en termes de cadastre », indique au Parisien Denis Larghero, le maire (UDI) de la ville.
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La plus ancienne «bouteille à la mer» connue découverte en Australie
LaDepeche
132 ans ! C’est l’âge de la plus ancienne « bouteille à la mer » connue découverte récemment en Australie.

L’objet, de forme rectangulaire, a été retrouvé, à moitié enfoui dans le sable, près de Wedge Island, à 160 km au nord de Perth, par des promeneurs, dont Tonya Illman, en janvier, a indiqué le Western Australia Museum (WAM), dans un communiqué.

Il a fallu six semaines d’investigations, jusqu’en Allemagne, pour authentifier l’origine de la bouteille. Celle-ci remonte au 12 juin 1886. Ce jour-là, le Paula, un bateau allemand croise dans l’océan Indien à environ 950 km des côtes. L’équipage, qui souhaite comprendre les régimes de courants et améliorer les routes maritimes, jette la bouteille à l’eau. « De façon incroyable, des recherches dans les archives en Allemagne ont permis de retrouver le journal météorologique du Paula qui contenait une entrée au 12 juin 1886 écrite par le capitaine, qui indiquait qu'une bouteille avait été jetée à la mer », a expliqué Ross Anderson, du WAM, informé de la découverte par les époux Illman. « La date et les coordonnées correspondent exactement à celles du message », a-t-il ajouté, précisant que des examens graphologiques du message et d’autres notes manuscrites du capitaine confirmaient cette concordance. L'Agence fédérale maritime et hydrographique allemande et les Services météorologiques allemands ont également confirmé l'authenticité du message, selon le WAM.
La bouteille sera exposée au Musée maritime de Freemantle.

Protégée par le sable

Les chercheurs pensent que la bouteille fut probablement rejetée sur le littoral australien dans l'année ayant suivi son largage. Elle serait longtemps restée enterrée sous une couche de sable mouillé, ce qui expliquerait sa conservation, avant qu'une tempête ou un autre événement météorologique ne lui permette de croiser le chemin de Tonya Illman et de son groupe de promeneurs et de revoir la lumière du jour. « Il s'agissait d'une jolie bouteille ancienne alors je l'ai ramassée en me disant qu'elle irait bien sur ma bibliothèque », a déclaré la découvreuse. « C'est la petite amie de mon fils qui a découvert le message en tentant de vider le sable de la bouteille. La note était mouillée, enroulée de façon serrée et enveloppée dans du fil. », a-t-elle encore dit. Plus tard, le groupe fit sécher le message avant de le dérouler et de découvrir une inscription imprimée en allemand et des mots écrits à la main, et presque effacés.

Kym Illman, le mari de Tonya, se lança alors dans des recherches sur internet pour découvrir que le message semblait s'inscrire dans une campagne du Deutsche Seewarte, ou Observatoire naval allemand, qui entre 1864 et 1933 lança à la mer, depuis des navires, des milliers de bouteilles contenant des messages standards que le capitaine du bateau devait compléter, selon le WAM. A charge pour la personne qui découvrirait le message de le retourner au consulat allemand le plus proche, ou à l'Observatoire basé à Hambourg.

663e bouteille retrouvée

Sur les milliers de bouteilles jetées à la mer par les navires allemands en 69 ans, seuls 662 messages revinrent à Hambourg. Celui de Wedge Island est le 663e. Le précédent avait été découvert le 7 janvier 1934 au Danemark. La plus ancienne "bouteille à la mer" jusqu'alors connue avait été larguée par un chercheur en Mer du Nord en 1906, et retrouvée en Allemagne 108 ans, quatre mois et 18 jours plus tard.
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Il invente un igloo pour protéger les sans-abri du froid

Geoffroy de Reynal, un ingénieur Bordelais de 26 ans, vient de créer un igloo isotherme utilisant la chaleur humaine comme seul chauffage.

Destiné aux SDF, cet abri isotherme permet de faire monter la température de 15 °C à l’intérieur. Plus étanche qu’une tente, il est aussi démontable, recyclable et équipé d’une lampe solaire. Pour le moment, une vingtaine de prototypes ont été distribués à des SDF à Paris et à Bordeaux. Ce projet est toujours en phase financement sur la plateforme Ulule.
Ouest France
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Zimbabwe : les préservatifs chinois sont "trop petits" selon le ministre de la Santé
Ladepeche
Lors du lancement d’un conseil d’administration sur le VIH et le sida au Zimbabwe, le ministre de la Santé David Parirenyatwa a pris la parole afin d’encourager les entreprises locales à fabriquer des préservatifs...
La raison : ceux importés de Chine seraient trop petits pour la majorité des hommes zimbabwéens.

13,5% de la population vivait avec le virus en 2016

« Vous savez que cette région, l’Afrique australe, a l’incidence la plus élevée du VIH et nous encourageons l’utilisation des préservatifs, a déclaré le ministre. Les jeunes ont maintenant un préservatif qu’ils aiment mais nous ne les fabriquons pas. Nous importons des préservatifs de Chine et certains hommes se plaignent qu’ils sont trop petits » a notamment déclaré l’élu.
« Nous devons regarder cela ; vous devez pouvoir avoir vos propres préservatifs. Donc, si vous voulez être un grand homme d’affaires, alors fabriquez-les pour la région », relate le journal zimbabwéen newzimbabwe.com

Ce pays d’Afrique est en effet particulièrement touché par l’épidémie de VIH puisque 13,5 % de sa population était infectée en 2016.
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Le parfum de la cathédrale de Rouen dans un flacon
l'edition du soir
En Normandie, la maison Berry a conçu un parfum inédit, restituant les caractéristiques olfactives de la cathédrale de Rouen. Une fragrance appelée « Cathédrale », aux notes de bergamote, de cèdre, de lavande, d’encens, de pierre froide et de mousse…
Retrouver l’odeur d’un lieu, l’extraire, la travailler, l’enfermer dans un flacon… L’idée peut paraître étrange, mais elle est techniquement réalisable. C’est ce que vient de prouver la maison de parfum Berry, en capturant « l’essence » de la vénérable cathédrale de Rouen (Seine-Maritime). « C’est la première fois que l’odeur d’un lieu est transformée en parfum », assure Cécile Vialla, codirigeante avec Charles Berry de la parfumerie normande.
Pour ce faire, la maison Berry s’est adjoint les services de Séverine Tisse et Catherine Fiol-Petit, maîtres de conférences au département chimie de l’IUT de Rouen. Avec leurs étudiants, ils ont effectué une douzaine de prélèvements en grattant les pierres de l’édifice, construit entre 1030 et 1506, jusque dans la crypte. « Nous avions les autorisations, et nous avons même payé une redevance aux Monuments historiques », précise Cécile Vialla.

Pierre froide et mousse

En laboratoire, le chromatographe et le spectromètre de masse ont identifié les molécules volatiles de la pierre. La technologie a un nom : Olfactive ID. Elle repère les siècles d’odeurs que la craie a absorbées comme une éponge : des encens, principalement, et, plus surprenant, du limonène, une molécule responsable en grande partie du parfum des citrons.
Il a ensuite fallu un an au « nez » Anatole Lebreton pour créer ce parfum unique aux notes de bergamote, de cèdre de l’Atlas, de lavande de Séville, de pierre froide et de mousse… Conditionné dans un flacon fabriqué dans la vallée de la Bresle, Cathédrale compose un tableau olfactif qui rend hommage au lieu, comme Monet a su le faire en captant sa lumière. « C’est un parfum mixte, qui se développe différemment sur chaque peau », explique Charles Berry.

Les bouteilles sont en vente (95 € le flacon de 50 ml) à la parfumerie, 35, rue Damiette à Rouen, mais également au Moyen-Orient ou en Grande-Bretagne où les productions de la maison sont distribuées.
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