Questions existentielles - page 174

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Un logiciel pour reconnaître les moutons malheureux
Un programme informatique permettant de déterminer si les moutons souffrent ou sont malheureux a été mis au point par une équipe de chercheurs de l’université de Cambridge au Royaume-Uni dans le but d’améliorer leur bien-être.

Un programme informatique permettant de déterminer si les moutons souffrent ou sont malheureux a été mis au point par une équipe de chercheurs de l’université de Cambridge au Royaume-Uni dans le but d’améliorer leur bien-être.

Les scientifiques se sont appuyés sur près de 500 photos de moutons collectées par des vétérinaires pour élaborer un algorithme qui détecte certaines expressions sur la tête des ovins. Ils peuvent ainsi déterminer si l’animal souffre, et son degré de douleur.
Le logiciel décèle les yeux mi-clos, les joues creusées, les oreilles repliées, les lèvres étirées, ou les narines déformées, autant d’expressions de la douleur chez le mouton. Il fonctionne aussi pour d’autres espèces, notamment le cheval, le lapin ou certains rongeurs utilisés pour les expériences en laboratoire.

En installant des caméras sur des abreuvoirs ou dans des granges pour scanner le visage des bêtes, les scientifiques pensent pouvoir permettre aux fermiers de détecter plus rapidement les maladies et ou les blessures de leur bétail, et accélérer la mise en place des traitements.

Pour développer leur logiciel, les scientifiques se sont appuyés sur des recherches en intelligence artificielle visant à reconnaitre les émotions humaines.

« Une bonne partie du travail préparatoire avait été effectuée par Darwin », explique Peter Robinson, professeur au Laboratoire d’informatique de Cambridge, sur le site de l’Université.

Analogies entre l’homme et le mouton
« Il avait affirmé que les humains et les animaux exprimaient leurs émotions par des comportements similaires. On a donc voulu appliquer aux animaux certains de nos travaux sur les humains ».

« C’est intéressant de constater qu’il existe des analogies évidentes dans l’expression de la douleur sur le visage d’un humain ou d’un mouton », complète sa collègue Marwa Mahmoud.

Les scientifiques s’attachent désormais à élargir leur base de données, et de photos, pour perfectionner le logiciel.

« Je marche souvent dans la campagne, et depuis que je travaille sur ce projet, je me surprends à m’arrêter devant les moutons pour m’assurer qu’ils vont bien », conclut Peter Robinson.

(Source : AFP)
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Des lycéennes créent une paille qui détecte la drogue du violeur
Il y a quelque temps on découvrait le stealthing, une pratique sexuelle aberrante qui tient plus du viol que d'un acte de plaisir. Mais les agressions sexuelles sont aujourd'hui bien présentes dans la société, si bien que l'envie de faire la fête en toute liberté s'accompagne souvent d'un sentiment d'inquiétude et de vigilance constante. Alors pour éviter d'avoir peur de ce qu'un inconnu aurait pu mettre dans notre verre, trois lycéennes américaines originaires de Miami ont inventé un outil qui pourrait apaiser nos doutes : une paille qui change de couleur quand une drogue a été mise dans notre boisson.
Baptisée « smart straw », cette paille permet de détecter la moindre trace de Rohypnol, de GHB (acide gammahydroxybutyrique) et de kétamine, trois substances utilisées par les violeurs et principalement mélangées aux boissons dans les boîtes de nuit ou les soirées arrosées.

Susana Cappello, Carolina Baigorri et Victoria Roca ont eu cette idée lors d'un cours d'entreprenariat. Et même si les adolescentes sont conscientes que cette invention ne mettra pas fin aux viols, elles espèrent qu'elle permettra au moins de « diminuer le nombre de situations dangereuses dans lesquelles vous pouvez vous retrouver à cause de ces drogues ». Et pour voir cette invention aboutir à un projet concret, elles espèrent déposer un brevet aux Etats-Unis puis lancer une campagne de crowdfunding afin de financer la fabrication de cette paille.

(femme actuelle)
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Un homard à quatre pinces découvert à Terre-Neuve


Un homard avec quatre pinces est la dernière attraction de la station marine de Bonne Bay au Canada. La créature rare a été prise par un pêcheur dans la région qui a amené le crustacé à Norris Point.

Le homard, qui a depuis été nommé Snappers a une pince de taille régulière sur son côté gauche, et trois pinces plus petites entièrement fonctionnelles à droite.

Duncan McIlroy, directeur intérimaire de la station maritime, est fasciné par les captures et a recherché des résultats similaires. Jusqu’à présent, il n’a pu trouver que deux autres cas.

« C’est absolument incroyable, car je n’ai jamais entendu parler de cela avant. La première fois que je rencontrais ce type d’anomalie avec des pinces qui fonctionnement c’était hier ».

McIlroy a déclaré qu’il était assez normal de voir un homard avec une pince latérale parce que les homards sont connus pour la régénération d’un nouveau membre si on l’endommage.

Les homards ne jouent pas toujours bien et souvent s’attaquent les uns les autres, c’est-à-dire lorsqu’un homard se blesse il régénère une pince.

Mais le cas de Snappers est extrêmement rare car toutes les pinces fonctionnent pleinement.

« Le dégât a été effectué juste au moment de la jointure avec le corps, donc, au lieu de régénérer une seule griffe, le tissu corporel a effectivement été endommagé de manière permanente, et essentiellement la programmation dans les cellules autour de la plaie a décidé de créer une nouvelle paire de pinces ».

Partie normale de la réparation des dégâts

Snappers a été attaqué alors qu’il était hors de leur coquille lors de la mue. Il dissipe toute théorie selon laquelle cela a été causé par des facteurs environnementaux tels que la pollution et le changement climatique.

McIlroy a déclaré que la plus grande surprise est que le homard a survécu à l’attaque quand il était hors de sa coquille.

Il indique que Snappers a environ deux ou trois ans et, malgré ses quatre griffes, est assez sain et heureux. Il sera conservé à la station marine de Bonne Bay pour toute sa durée de vie.

(Source : CBC)
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Une application pour allonger l’espérance de vie
En signalant en temps réel leurs symptômes, les malades pourraient vivre plus longtemps selon une récente étude.

Une application web par laquelle des malades atteints d’un cancer avancé peuvent en temps réel signaler leurs symptômes a produit des effets bénéfiques substantiels, dont une espérance de vie allongée, a révélé un essai clinique présenté dimanche.

Cette étude menée avec 766 patients, dont 86% de Blancs et d’une moyenne d’âge de 61 ans, tous diagnostiqués de différents cancers métastasés du poumon, du sein et de la prostate, montre que les utilisateurs de l’application disponible sur tablette ou smartphone pour communiquer les effets secondaires de la chimiothérapie à leur médecin ont vécu en moyenne cinq mois de plus que ceux du groupe témoin. Ces derniers attendaient leur visite mensuelle chez le cancérologue pour mentionner ces problèmes.

L’espérance de vie grappillée représente un gain de 20% (31 mois comparés à 26 mois) et ce avec une meilleure qualité de vie, a précisé le Dr Ethan Basch, professeur de médecine au centre du cancer Lineberger de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, principal auteur. Il en a présenté les résultats à la conférence de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO), le plus grand colloque mondial sur le cancer avec plus de 30’000 participants réunis ce week-end à Chicago.

L’étude, menée de septembre 2007 à janvier 2011 et qui comptait 58% de femmes, est également publiée en ligne dans le Journal of the American Medical Association (JAMA). Les calculs ont été effectués en juin 2016 après que 67% des participants furent morts, mois marquant une durée de suivie de sept ans.

Système d’alerte

«Le gain de survie pourrait paraître modeste mais en fait il est supérieur à ce qui est obtenu avec de nombreux médicaments très coûteux qui ciblent les cancers avancés», pointe le Dr Basch. On ne compte que quatre essais cliniques présentés cette année à la conférence de l’ASCO dont les résultats montrent un plus grand effet thérapeutique potentiel pour ce groupe de patients, relève-t-il également.

«Les malades qui suivent une chimiothérapie ont souvent des symptômes sévères –nausées, douleurs, fatigue, difficultés respiratoires– et les médecins comme les infirmières n’en sont informés que la moitié du temps», explique le chercheur. «Nous avons constaté que le système d’application web pour signaler ces symptômes en temps réel alerte l’équipe soignante qui peut agir sans attendre pour soulager les malades», poursuit-il.

La fréquence des alertes était en général d’au moins une fois par semaine. En cas d’aggravation, ils correspondaient avec les infirmières par courriel, quand les malades du groupe témoin devaient en informer celles-ci par téléphone.

Ce système d’alerte par l’application «Symptom Tracking and Reporting» a permis de nettement réduire les visites aux urgences pour ces patients qui ont aussi mieux toléré la chimiothérapie sur la durée, restant ainsi plus actifs. Tous ces facteurs ont contribué à l’allongement de leur vie.

Rendre plus accessible

Parmi les difficultés pour généraliser cette application –qui n’est pas commercialisée–, les chercheurs citent la conception des dossiers médicaux électroniques et le fait que les médecins ne seraient pas payés par les assurances dans le système actuel.

Mais, souligne le professeur Basch, ce système est «prometteur» à la fois pour soulager les souffrances des malades et améliorer la qualité de leur existence pendant les derniers mois de vie tout en permettant d’économiser des millions de dollars. Il dirige actuellement une étude clinique sur l’ensemble des Etats-Unis avec mille patients, atteints d’un cancer métastatique, traités par des cabinets de cancérologues.

«Je pense que nous allons bientôt voir de plus en plus de centres de cancer et des cabinets médicaux adopter ce modèle», a prédit le Dr Harold Burstein, un cancérologue du Dana-Farber Cancer Institute à New York, qui n’a pas participé à cette étude. «C’est tout simplement impressionnant que quelque chose d’aussi simple puisse non seulement améliorer la qualité de vie des malades mais aussi dans ce cas les aider à vivre plus longtemps», a-t-il dit dimanche lors d’une conférence de presse.

«Nous devons maintenant trouver la manière de rendre ce système plus accessible et plus mobile pour les patients… et voir aussi comment l’intégrer dans notre pratique médicale», a ajouté le Dr Burstein.

(Source : AFP)
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Un ingrédient clé de la vie détecté autour de jeunes étoiles
Des astronomes ont détecté un élément chimique essentiel à la vie tourbillonnant autour d’un trio d’étoiles juvéniles semblables au soleil dans sa jeunesse selon deux études publiées dans Monthly Notice de la Royal Astronomical Society.

La molécule, l’Isocyanate de méthyle, « joue un rôle essentiel dans la formation des protéines, qui sont des ingrédients de base pour la vie », a déclaré Victor Rivilla de l’Observatoire d’Arcetri à Florence, co-auteur d’une des études.

Selon les chercheurs, cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre l’apparition de la vie sur Terre il y a des milliards d’années.

Les trois étoiles se trouvent à environ 400 années-lumière de la Terre dans la constellation du Serpentaire (Ophiuchus) et ressemblent à notre soleil dans sa jeunesse, avant la formation de la Terre et des autres planètes il y a environ 4,5 milliards d’années.

La présence de l’Isocyanate de méthyle autour d’étoiles juvéniles montre que les éléments clés pour l’émergence de la vie « étaient très probablement déjà disponibles au stade le plus précoce de la formation du système solaire », a déclaré Niels Ligterink, chercheur à l’Observatoire de Leiden aux Pays-Bas, auteur principal de la deuxième étude.

(Source : AFP
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L’incroyable don de double vue d’une aveugle
Une écossaise aveugle a développé une capacité à percevoir avec précision son environnement qui stupéfie les scientifiques.

C’est encore un mystère pour les neurosciences : certains aveugles parviennent à développer une perception de leur environnement presque aussi complète que celle des personnes voyantes. C’est le cas de Milina Cunning une Ecossaise qui a perdu la vue quand elle avait une vingtaine d’années. Un reportage de la BBC Radio, «The Digital Human» fait découvrir les capacités à peine croyables de cette femme étudiée avec attention par une équipe de chercheurs. Jody Culham, une scientifique qui a scanné le cerveau de Milina Cunning, donne un exemple de ses aptitudes : «Si je lui jette une balle de ping-pong à la tête, elle tendra le bras et l’attrapera avant même d’en avoir pris conscience.»

Milina est devenue aveugle à la suite d’une attaque survenue pendant un long coma de 52 jours : «Quand je me suis réveillée, je ne voyais que du noir. Mais les choses ont commencé à changer, au bout de six mois j’ai commencé à distinguer des couleurs mais un éminent spécialiste, le neurologue Gordon Dutton, a confirmé que j’étais complètement aveugle…» Toutefois, Gordon Dutton a voulu soumettre la jeune femme à quelques tests : «Il a disposé plusieurs chaises dans le couloir de l’hôpital et m’a dit de le traverser à mon pas normal, c’est à dire lentement et avec précaution. Je me suis heurtée à presque toutes les chaises. Il m’a alors demandée de refaire le parcours mais beaucoup plus rapidement. Je n’ai pas touché un seul obstacle…»

Milina est devenue aveugle à la suite d’une attaque survenue pendant un long coma de 52 jours : «Quand je me suis réveillée, je ne voyais que du noir. Mais les choses ont commencé à changer, au bout de six mois j’ai commencé à distinguer des couleurs mais un éminent spécialiste, le neurologue Gordon Dutton, a confirmé que j’étais complètement aveugle…» Toutefois, Gordon Dutton a voulu soumettre la jeune femme à quelques tests : «Il a disposé plusieurs chaises dans le couloir de l’hôpital et m’a dit de le traverser à mon pas normal, c’est à dire lentement et avec précaution. Je me suis heurtée à presque toutes les chaises. Il m’a alors demandée de refaire le parcours mais beaucoup plus rapidement. Je n’ai pas touché un seul obstacle…»

«Ne réfléchissez pas trop » lui a conseillé le neurologue. Et ça marche : son inconscient semble en mesure de la renseigner avec précision sur son environnement : «Je peux me déplacer chez moi et ranger des choses sans aucun problème, explique-t-elle, je ne peux pas voir les objets mais mon cerveau me dit où ils sont. Si un truc traîne par terre, je peux l’éviter ou le ramasser sans problème.»

Quel est le secret de Milina ? Selon l’hypothèse la plus communément admise par les scientifiques, le nerf optique continue de fournir des micro-informations transmises au cortex cérébral à un niveau inconscient. Une autre théorie, plus intrigante est aussi avancée par quelques scientifiques, l’écholocation. A la manière des chauve-souris et des cétacés, certains aveugles auraient acquis une capacité à percevoir les échos sonores renvoyés par les objets. De véritables sonars humains…

(Source : Paris Macth)
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Des chercheurs affirment avoir retrouvé la 8e merveille du monde en Nouvelle-Zélande
Et si la huitième merveille du monde avait été redécouverte en Nouvelle-Zélande? C’est en tout cas la théorie de chercheurs néo-zélandais.

Des chercheurs auraient redécouvert la huitième merveille du monde, en Nouvelle-Zélande. Celle-ci avait été enterrée il y a 131 ans par une éruption volcanique, rapporte le Guardian.

Des terrasses naturelles roses et blanches du lac Rotomahana, situées sur l’île du Nord, avaient attiré des touristes du monde entier dans les années 1800. Des piscines spectaculaires en cascade descendaient alors dans les eaux tempérées du lac. Elles ont longtemps été considérées comme la huitième merveille du monde. Mais en 1886, le mont Tarawera se réveille et engloutit cette prouesse de la nature.

Enterrées sur la lisière du lac

Aujourd’hui, deux chercheurs pensent avoir localisé l’endroit exact où ces terrasses seraient conservées. Elles seraient sous la terre, à environ 10-15 mètres de profondeur, sous des couches de boue et de cendre. Jusqu’à présent, les études scientifiques menées privilégiaient la thèse d’une destruction. Cette fois-ci, les chercheurs pensent qu’elles sont simplement enterrées sur la lisière du lac.

(Source : Guardian, BFM TV)
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Un mystérieux poisson avec des "jambes" découvert en Indonésie
Au large de Bali, un plongeur français a récemment découvert un poisson qui se déplace sur ses jambes. Les scientifiques sont partagés sur l'espèce à laquelle appartient cet étrange animal marin.
Un poisson qui marche a été récemment découvert au large de Bali par un plongeur français, a rapporté National Geographic. Le poisson aurait été attiré par la lumière que diffusait Emeric Benhalassa, le plongeur. "C'était bizarre et joli... Je me suis dit que ça plairait à Internet", a écrit ce dernier dans un courriel.
Les scientifiques ne sont pas d'accord sur l'espèce de ce poisson

Pour certains scientifiques, il s'agirait d'un poisson-chat rayé de la branche des Minous trachycephalus. "Ils ont des glandes de venin à la base des épines dorsales et lorsque la colonne vertébrale s'enfonce dans la peau d'une personne, le venin est injecté dans la plaie", a expliqué Jeff Williams, ichtyologiste et responsable des collections du muséum d'histoire naturelle de Washington.
Selon W. Leo Smith, un ichtyologiste de l'Université du Kansas qui se base sur la couleur pâle des écailles, le poisson est un Minous Pictus. Mais il pourrait s'agir aussi d'une toute nouvelle espèce. Quoi qu'il en soit, les scientifiques sont unanimes pour dire que ce poisson est extrêmement dangereux. Et les étranges "jambes" de l'animal seraient en réalité des petits filaments qui lui permettraient de fouiller dans le sable pour trouver des coquillages et crustacés.
Planet.fr
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AUX ÉTATS-UNIS, UNE COLLÉGIENNE REÇOIT LE PRIX DE "CELLE QUI A LE PLUS DE CHANCES DE DEVENIR TERRORISTE"
MAUVAIS ESPRIT - Au Texas, près de Houston, une professeure de collège a décerné de faux prix à ses élèves de 5e. Lizeth Villanueva a reçu le diplôme de "celle qui a le plus de chances de devenir terroriste". Une blague inappropriée que la mère de la fillette n'a pas du tout appréciée.
C'est ce qu'on appelle une blague de mauvais goût. Au Texas, une enseignante du collège Anthony Aguire, près de Houston, a décerné de faux prix pour la fin de l'année scolaire. Lizeth Villanueva a pour sa part reçu le diplôme de "Celle qui a le plus de chances de devenir terroriste"...

Lors de la cérémonie parodique, d'autres professeurs étaient présents et, selon la jeune fille de 13 ans, ils ne sont pas gênés pour rigoler. En prime, la remise de prix avait lieu le mardi 23 mai, soit le lendemain de l'attentat suicide de Manchester, qui a fait 22 victimes après un concert d'Ariana Grande.

S'il s'agissait, certes, d'une plaisanterie, la mère de la collégienne s'est dite "contrariée et en folle de rage" : "J'ai lu deux fois et je me suis dit : Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ?". J'ai été surprise car ma fille avait de bonnes notes", a-t-elle indiqué au Washington Post.
Après la polémique et les différents témoignages de la jeune fille dans les médias américains, l'administration a réagi : "Nous voudrions nous excuser pour cette cérémonie parodique et ces prix choquants et offensants attribués à des élèves en classe. En tant que directeur, je voudrais assurer à tous les élèves, parents et membres de la communauté que ces prix ne sont pas représentatifs de notre vision et de notre mission pour l'éducation des enfants de la région", a indiqué sur Twitter, Eric Lathan.

"Une enquête va être menée", a encore précisé le principal du collège. Pour le moment, le professeur en question a été suspendu.
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Un étudiant israélien a inventé des sacs pour cuire sa nourriture dans la machine à laver

LINFO.RE –
Cette idée insolite est l’invention d’Iftach Gazit étudiant en école d’art et design à Tel Aviv en Israël. Il a mis au point ce concept pour venir en aide aux sans-abri.
Pour une cuisson lente et haut de gamme
Les machines à laver ne se limiteront plus au lavage des vêtements. Avec cette invention de l’étudiant israélien Iftach Gazit,elles pourront désormais servir à cuire les aliments, notamment pour les sans-abri. Cette brillante idée lui est venue à la tête après avoir discuté avec un SDF. Ce dernier lui a en effet confié que les laveries étaient les meilleurs endroits de la terre. Baptisés les sacs Sous la vie, les sachets permettent "une cuisson lente et haut de gamme, les aliments sont cuits uniformément et conservent leur humidité", rapporte Ouest France.

Des sacs fabriqués en Tyvek, un papier synthétique imperméable
Iftach Gazit compte préconiser le concept adapté pour chaque aliment. Dotés de pictogrammes similaires à ceux inscrits sur nos vêtements, ces sacs spécial machine à laver sont fabriqués en Tyvek, un papier synthétique imperméable. Une deuxième couche en plastique enveloppe ensuite les aliments. Pour les légumes, il envisage de créer un programme coton.

Une démarche sociale
Les aliments seront alors cuits avec les chemises et les pantalons, mais ces derniers ne sentiront pas la nourriture. Dans la foulée, les aliments n’auront pas le goût de la lessive. Même si cette démarche ne peut pas plaire à tout le monde, Iftach Gazit insiste sur la démarche sociale de son invention : tout le monde a le droit de manger sainement. L’étudiant de Tel Aviv a précisé sur son site que "ce dîner au lave-linge n’est pas destiné uniquement aux sans-abri, mais plutôt à tous : en fonction de ses goûts, de ses capacités économiques et de sa culture". Ces sachets ne sont pas encore disponibles sur le marché, aucune date de leur commercialisation n’a été dévoilée.
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L’origine du chat domestique enfin élucidée
Une grande partie des chats domestiques du monde entier descend de chats domestiqués qui vivaient en Egypte vers 500 avant J-C.

Une découverte surprenante dans la mesure où les chats domestiques les plus anciennement répertoriés ne vivaient pas en Egypte mais dans le Levant ou le Croissant fertile il y a presque 10.000 ans, à l’époque des premiers habitants du Néolithique.

C’est une équipe internationale de chercheurs, dont Claudio Ottoni du Centre de sciences archéologiques de l’université de Louvain et Wim Van Neer, de l’Institut royal des sciences naturelles de Belgique, qui a fait cette découverte. L’étude sera publiée lundi prochain dans Nature Ecology and Evolution.

Ancêtre des Balkans
La propagation du chat domestique dans le reste du monde s’est effectuée en deux temps. Une variante de spécimens originaires du Levant a d’abord fait son apparition dans les Balkans il y a 6.000 ans. La deuxième grande colonisation survient à partir de 300 ans avant J-C., dans l’Egypte ptolémaïque puis romaine.

Hypothèses
« Il se pourrait que les chats domestiques qu’on trouvait en Egypte ont été domestiqués à partir d’une race sauvage, à l’instar de ce qui s’est produit au Proche-Orient. Mais il est également possible que des chats issus du Levant ont été importés en Egypte ou qu’ils accompagnaient des marins sur des navires en provenance de la même région, comme il était déjà d’usage à l’époque », indique Wim Van Neer.

« Très à la mode en Égypte ancienne »
« Les chats étaient très à la mode dans l’Egypte ancienne et ce déjà avant l’époque pharaonique. A plusieurs endroits, ils étaient enterrés avec leurs propriétaires. Six chats ont ainsi été découverts dans une tombe du cimetière des élites d’Hierakopolis. La sépulture datait de 3.700 avant J-C soit presque 2000 ans avant les chats de l’époque des pharaons durant le Moyen Empire ».

Civilisation romaine
Durant l’ère gréco-romaine, les chats ont été dispersés dans toute l’Europe et sur le continent eurasien via la colonisation romaine. De l’ADN provenant de chats égyptiens a même été décelé dans un chat d’un port viking de Ralswiek, dans le nord de l’Allemagne. Tous les chats anciens avaient un pelage rayé comme celui de leur ancêtre sauvage. Ce n’est qu’au Moyen Âge que les chats au pelage tacheté feront leur apparition.

Origine de nos chats domestiques
Nos chats domestiques ne descendent pas des chats sauvages européens (Felis silvestris silvestris). Ces derniers sont très craintifs, ne se laissent pas approcher, même appâtés par de la nourriture, et évitent le contact avec l’être humain. Au fil du temps, un croisement a toutefois eu lieu entre chat domestique et chat sauvage. A l’époque des grands voyages de découvertes, les chats domestiques ont ensuite été transportés dans le monde entier.

(Source : Belga)
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Découverte d’une prothèse vieille de 3000 ans
Retrouvée près de Louxor, une prothèse de gros orteil a été analysée par des chercheurs de Bâle et Zurich.

Les connaissances de la physionomie humaine étaient déjà précises il y a près de 3000 ans. Une prothèse de gros orteil découverte sur la tombe d’une femme près de Louxor en témoigne. Des chercheurs bâlois, zurichois et égyptiens l’ont analysée en détail.

La prothèse en bois date de près d’un millénaire avant notre ère, indique mardi l’Université de Bâle. Elle appartenait à la fille d’un prêtre. Les archéologues l’ont découverte lors de fouilles dans la nécropole de Cheikh’Abd el-Qurna, l’ancienne Thèbes égyptienne, parmi des tombes appartenant à une élite proche de la famille royale.

Les chercheurs dirigés par Susanne Bickel, de l’Université de Bâle, ainsi que leurs confrères de l’Université de Zurich et du Musée égyptien du Caire ont analysé l’objet au microscope, aux rayons X et au scanner. Leurs travaux s’inscrivent dans le cadre d’un projet soutenu par le Fonds national.

Importance de l’esthétisme

Premier enseignement: la prothèse témoigne d’une habileté artisanale indéniable. Sa structure mobile et souple ainsi que la robustesse de la sangle permettant de maintenir la prothèse en place démontrent les compétences techniques et les connaissances physionomiques du «fabricant».

La conception soignée et fastidieuse de l’objet laisse supposer que sa propriétaire accordait une grande importance à l’esthétique et au confort. L’analyse a aussi révélé que la prothèse avait été réadaptée et retravaillée à plusieurs reprises.

(Source : 20 Minutes)
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Pyramide mystérieuse au Pérou
Les archéologues ont longtemps été perplexes face à une structure bizarre construite il y a des centaines d’années au Pérou qui semble être modelée sous la forme d’un volcan.

Situé dans la vallée de Nepeña, il n’y a pas de volcans à proximité de la pyramide préhistorique, ni de structures artificielles similaires qui ressemblent à sa forme.

Dans une nouvelle enquête, les chercheurs ont découvert un escalier effondré à l’intérieur du monticule menant à un sol en plâtre de boue et un foyer contenant du charbon et de la coquille.

Et la datation par radiocarbone a révélé l’occurrence inhabituelle de quatre éclipses solaires totales sur le site sur une période de seulement 110 ans, ce qui suggère qu’il a été utilisé pour célébrer «la victoire de la lune sur le soleil».

La pyramide étrange, également appelée monticule, a d’abord été identifiée dans les années 1960.

Bien qu’elle ne soit pas connu exactement quand elle a été construite, sa proximité avec le centre formant tardif de (900 av. J.-C. à 200 av. J.-C.) de San Isidrio suggère qu’il peut y avoir un lien vers cette période, les chercheurs expliquent dans une nouvelle étude, publiée dans le journal L’antiquité .

Il mesure environ 15,5 mètres de haut et possède une étrange caractéristique de cratère creusée dans le haut.

Depuis sa découverte, les scientifiques ont été déconcertés par la structure.

«Lorsqu’elle est vue de loin, le site ressemble à un cône de cendre volcanique, comme celui de la vallée d’Andahua dans le sud du Pérou, et nous avons donc nommé le site El Volcán», ont écrit les auteurs.

«Il convient toutefois de noter qu’il n’y a pas de volcans à proximité d’El Volcán pour servir de modèles, ni d’autres exemples de structures volcaniques connues au Pérou ou d’ailleurs».

Au cours des années, les chercheurs ont suggéré plusieurs explications, ce qui a mené à deux hypothèses en vigueur: l’une soutenant que le «cratère» est le résultat du pillage ou de l’érosion plus tard dans sa vie, et un autre suggérant qu’il a été construit à l’origine pour ressembler à un cône volcanique et pourrait Être lié aux événements astronomiques.

Dans la nouvelle étude, cependant, les chercheurs soutiennent que les activités ultérieures ou les processus naturels ne sont pas susceptibles d’avoir créé de fonctionnalité.

(Source : Daily Mail)
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En Thaïlande, des statues de superhéros dans les temples bouddhistes

C’est le cas par exemple du temple Wat Ta Kien, à une heure de Bangkok, où des statues monumentales des Transformers ont été ajoutées. On y voit aussi un dieu, Garuda, tenant un téléphone portable à la main.

« Le temple a acheté cinq statues de Transformers et les a installées devant le temple pour que les enfants puissent jouer et les adultes prendre des photos », explique à l’AFP Pra Vichien, un des responsables religieux de l’édifice.

Il assure que ce mélange des genres n’est pas un problème, les statues de Transformers ayant juste une vocation récréationnelle.

Mais certaines voix en Thaïlande s’élèvent contre une conception souvent mercantile du bouddhisme, au contact de la société de consommation, par des moines plus soucieux de susciter les donations que de méditer.

Les statues de Transformers sortent de l’atelier d’un artiste thaïlandais, Pairoj Thanomwong, qui connaît un certain succès également à l’étranger, notamment en Europe, avec ses statues de métal monumentales.

Il a jusqu’ici déjà fourni en statues de superhéros plusieurs temples en Thaïlande, notamment dans la province d’Ayutthaya (centre), mais aussi « dans un centre de méditation dans la province de Chiang Rai » (nord), explique-t-il.

L’artiste, lui-même bouddhiste, ne voit aucun mal à voir ses créations profanes dans l’enceinte de temples. « Ils les placent devant les temples pour attirer les enfants », explique-t-il.

Enfant, l’artiste thaïlandais a été un collectionneur passionné de figurines de héros de bandes dessinées, de Hulk à Spiderman, dont il fait aujourd’hui des versions monumentales, en métal.

Fort de son succès, l’artiste de 43 ans est à la tête d’une équipe de soudeurs qui transforment des carcasses de métal en statues de plusieurs mètres de haut pour certaines, dont il refuse de révéler le prix de vente.

Dans son atelier en pleine campagne, dans la province de Ang Thong, à une centaine de kilomètres de Bangkok, près de 90% du métal utilisé provient du recyclage.

La plupart des commandes viennent de l’étranger: les statues de Pairoj sont particulièrement populaires en Allemagne et en Pologne.

« Entre 80 et 90% sont envoyées à l’étranger, la plupart en Europe », explique l’artiste métallurgiste. En Asie, ce sont Taïwan, la Corée du Sud et le Japon qui sont les plus friands de ses œuvres.

(Source : AFP)
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Les parades possibles face aux astéroïdes
Dans le film « Armageddon », l’acteur Bruce Willis parvient à détruire un énorme astéroïde qui menace la Planète. Dans la vie réelle, les choses ne sont pas si simples mais le monde de l’espace réfléchit très sérieusement aux moyens de protéger les Terriens d’une collision dangereuse.

Tout dépend de la taille de l’astéroïde et du temps dont on dispose pour agir. « Pour les astéroïdes de toute petite taille, inférieurs à 50 mètres, avec un temps d’impact très court, la seule chose que l’on puisse faire, c’est de prédire le point d’impact et d’évacuer la zone », déclare à l’AFP Ian Carnelli, chef du projet AIM (Asteroid Impact Mission) à l’Agence spatiale européenne (ESA).

Si l’objet est plus gros, l’idée est d’éviter la collision en déviant l’astéroïde, souligne Daniel Hestroffer, de l’Observatoire de Paris. Il y a principalement trois techniques pour dévier les astéroïdes. La première consiste à lancer une ogive nucléaire dans l’espace et à la faire exploser « près de l’astéroïde afin que l’énergie se dépose sur la surface et pousse l’astéroïde », indique Ian Carnelli.

Cette technique n’est valable que pour un astéroïde de très grande taille (supérieure à 1 kilomètre). Appliquée à un petit astéroïde, elle risquerait de détruire l’objet en morceaux qui pourraient tomber sur la Terre. Le remède serait pire que le mal. Des travaux de simulation sur ordinateur de cette technique sont réalisés notamment aux Etats-Unis mais personne ne songe à la tester pour de vrai dans l’espace, souligne Ian Carnelli. En outre, « on n’en a pas besoin ».

« Actuellement on connaît la quasi totalité de ces objets de grande taille et aucun ne pose un risque pour les siècles à venir », dit-il.

« Tracteur »
Deuxième méthode, celle du « tracteur gravitationnel », valable pour les astéroïdes de petite taille, et pour lesquels on dispose de beaucoup de temps pour agir. Elle consiste à envoyer un assemblage assez massif de satellites artificiels près de l’astéroïde. La force de gravitation qui s’exercera permettra de modifier petit à petit l’orbite de l’astéroïde.

Troisième technique, celle de l' »impacteur cinétique » pour les astéroïdes de taille moyenne (entre 50 mètres et plusieurs centaines de mètres). Elle consiste à envoyer un satellite artificiel heurter à très grande vitesse l’astéroïde. Cela doit permettre de changer la vitesse de celui-ci et de dévier sa trajectoire. C’est la méthode la plus avancée.

Une mission test américano-européenne baptisée AIDA est en préparation. Les Américains doivent envoyer dans l’espace un engin autoguidé baptisé DART. Il doit percuter en 2022 la Lune de l’astéroïde Didymos, afin de changer légèrement sa vitesse.

Mais le volet européen AIM, qui consistait à envoyer une sonde séparée pour prendre des images avant, pendant et après l’impact, bat de l’aile faute d’un soutien financier suffisant des Etats membres de l’ESA. La sonde AIM ne pourra pas être lancée en 2020 comme prévu, a reconnu l’ESA qui réfléchit à envoyer une caméra qui volerait sur DART et se détacherait peu avant l’impact.

(Source : AFP)
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