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Indiana

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yves63000 Avatar de l’utilisateur

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Article tronqué certes, mais si concis !
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Sexualité : 5 choses que toutes les femmes devraient savoir sur les hommes


SEXOLOGIE - Ces idées reçues sur la sexualité masculine, toujours vivaces, peuvent sévèrement perturber une relation de couple, explique le Dr Catherine Solano.

Le Dr Catherine Solano est médecin sexologue. Formée à l'éthique de la santé, elle consulte en urologie à l'hôpital Cochin à Paris. Elle est cofondatrice de Doctical, une plateforme de télésanté qui soutient dans leur santé intime les personnes touchées par un cancer. Elle est auteur de nombreux ouvrages, dont Le grand livre de la puberté (éditions Robert Laffont).


Toutes les femmes ne connaissent pas bien la sexualité masculine. Or, certaines idées reçues peuvent bloquer une relation, faire rater une belle rencontre, traumatiser un partenaire. Les sexologues le constatent souvent en consultation. Retour sur cinq choses que toutes les femmes devraient savoir sur la sexualité masculine.


1. L'éjaculation précoce, c'est parfois normal

Quand un homme espace les relations sexuelles, il est normal que cela entraîne une éjaculation précoce. En effet, des études montrent que le principal facteur de l'éjaculation précoce est la fréquence espacée des rapports sexuels. «Il existe une relation inverse entre la période d'abstinence de rapports sexuels et la latence d'éjaculation», écrivent par exemple Walter Spiess et ses collègues dans la revue Journal of Abnormal Psychology (réf 1).

Tout se passe chez un homme comme si la tension sexuelle pouvait s'accumuler et qu'elle avait, au bout d'un moment, tendance à «exploser» plus rapidement au moment d'un rapport sexuel.
En pratique cela signifie qu'un homme dont c'est le tout premier rapport sexuel a beaucoup de chances que son éjaculation soit rapide ; qu'un célibataire endurci aura probablement une éjaculation rapide les premières fois ; qu'un partenaire parti en mission plusieurs semaines ou plusieurs mois risque, à son retour, d'avoir une éjaculation rapide lors du premier rapport (c'est un phénomène bien connu des marins ou des militaires). De façon plus surprenante peut-être, la masturbation ne change pas grand-chose à ce phénomène, car les circuits neurologiques impliqués dans un acte sexuel solitaire ne sont pas tout à fait les mêmes. Si vous avez un partenaire masculin dans l'un de ces cas, soyez attentionnée, compréhensive. Mieux vaut ne pas pointer «un problème d'éjaculation précoce» dès le premier rapport. Cela ne ferait qu'accentuer le stress de votre partenaire ce qui, malheureusement, a tendance… à accélérer l'éjaculation.

En revanche, si vous avez deux à trois rapports par semaine depuis deux mois et que l'éjaculation continue à survenir en moins d'une minute, cela peut valoir la peine de s'interroger sur la présence d'un problème éventuel.


2. S'il a une panne, c'est peut-être qu'il vous désire… trop

Un homme qui perd son érection pendant les préliminaires ou au cours de l'acte peut se révéler frustrant pour les deux partenaires. Certaines femmes peuvent alors penser que leur partenaire ne les désire plus. Or, c'est le plus souvent faux. S'il a voulu faire l'amour, c'est qu'il le désirait, sinon, il n'aurait pas essayé.

Un homme qui éprouve un grand désir, mais aussi beaucoup de stress, peut être «bloqué». En consultation de sexologie, ce type de difficultés est courant. Parce qu'il est très amoureux, que cette relation compte énormément pour lui et qu'il a peur de ne pas être à la hauteur par exemple. Pour ces personnes, tout fonctionne facilement quand c'est une partenaire à qui ils ne tiennent pas. Mais s'il a l'impression qu'il s'agit de la femme de sa vie et qu'il faut absolument que cela marche, rien ne se déroule comme prévu. La solution peut alors être de le mettre à l'aise, de faire en sorte qu'il se sente en confiance.


3. Le préservatif entraîne un risque de panne

Une enquête en ligne sur plus de 200 hommes a montré que 75 % d'entre eux ont déjà connu une «panne» ou une baisse d'érection en mettant leur préservatif en place. La raison est simple : l'homme qui est dans le désir et l'excitation doit tout à coup changer de fonctionnement mental et basculer dans un mode de pensée «technique» (trouver le préservatif, déchirer son emballage, le prendre dans le bon sens, pincer le bout, le mettre en place, le dérouler, etc.). Toutes ces étapes techniques le font sortir de l'émotion érotique. Pour réaliser ce geste, son cerveau se met en pause… et l'érection aussi.

Ce phénomène banal est parfois mal perçu par sa partenaire. Un de mes patients dont c'était le tout premier rapport sexuel s'est entendu dire lors d'un «petit moment de flou» : «pas de bol, je suis tombée sur un impuissant». Autant dire qu'il n'a jamais pu avoir un rapport avec cette jeune femme dont il était pourtant amoureux. Un peu d'empathie féminine et encore mieux un peu d'aide pratique associée à des caresses pour la mise en place du préservatif peuvent contribuer à détendre l'atmosphère et préserver l'ambiance érotique, et donc l'érection.


4. Un deuxième rapport sexuel n'est pas toujours possible

Après l'éjaculation, le corps d'un homme a besoin d'un temps de repos appelé «période réfractaire». Pendant ce temps, aucune stimulation n'est efficace et il est impossible d'obtenir une érection. Ni les paroles, ni les actes, ni les caresses n'y feront rien. C'est physiologique, naturel et on ne peut rien y faire. Si après un premier rapport sexuel avec éjaculation, un homme n'a pas envie de recommencer tout de suite, ce n'est pas qu'il n'a pas suffisamment de désir pour sa partenaire : c'est juste que son corps n'est pas une machine.

Cette période réfractaire évolue avec l'âge pour augmenter progressivement, depuis l'adolescence jusqu'à un âge avancé. Elle peut varier de quelques secondes à quelques minutes quand un homme est très jeune, puis passer à 30 mn, puis une heure parfois à 40 ou 50 ans et continuer à augmenter pour arriver par exemple à un ou deux jours à 80 ans. Dans ce cas, on ne peut plus avoir qu'un rapport sexuel tous les deux jours.

Si tous les hommes voient leur période réfractaire augmenter au fil des années, ils ne sont pas tous égaux. À 18 ans, un homme peut déjà avoir besoin de 30 mn pour obtenir une deuxième érection quand d'autres n'ont toujours besoin que de 5 minutes à 40 ans. Mais la tendance à l'augmentation de cette période est universelle.


5. Les troubles de l'érection augmentent avec l'âge

Comme le rapporte une étude de 2020 parue dans la revue Sexual Medicine Reviews, «la prévalence globale de la dysfonction érectile augmente avec l'âge». Les artères sexuelles deviennent moins souples avec l'âge, leur diamètre rétrécit et le sang arrive moins bien à la verge, d'où une augmentation des troubles de l'érection, en particulier après 50 ans. Ce risque est accentué par la sédentarité, l'obésité, le tabac, le diabète, l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie, les apnées du sommeil ou certains médicaments.

Pour les femmes, cela peut correspondre à l'âge de la ménopause, une période de leur vie où elles peuvent se sentir moins désirables, ce qui a tendance à provoquer une peur de ne plus être aimée ou désirée. C'est dans ces moments de vie qu'un soutien mutuel dans les couples est essentiel pour passer ce double cap avec brio et continuer à aller de l'avant avec amour en conservant une vie intime épanouie. Rappelons que même avec une érection moyenne ou plus difficile, une vie sexuelle reste possible.



Je me suis vaiment décarcassé pour la mise en page. Vous pourriez au moins me remercier.
Par contre rien sur les gonzesses qui elles ne veulent rien savoir de tout ce qui pourrait être sexuel!
Parole d'Etat, mensongeS d'Etat.
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
Indiana

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MERCI, Merci, merci encore merci ! ::D:
Alphabis Avatar de l’utilisateur

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Ouais...
Mine de rien, quand je lis :
"Le Dr Catherine S****** est médecin sexologue."
cela m'interpelle quelque peu !
Une orientation qui impose énormément d'observations, de manipulations, de tripatouillages, de branlettes...
...voire même de léchages ou de sucettes...
Enfin, quoi ! Ses parents l'ont laissée choisir cette "orientation" sans la foutre à la porte ?
Et personne ne le leur a reproché ?
J'y crois pas !
Dernière édition par Alphabis le 29 Juil 2023, 07:07, édité 3 fois.
Indiana

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Une chose, on indique que le corps de l'homme n'est pas une machine !
Heureusement car certaines auraient pu nous tuer à la tâche !
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