ENQUÊTE - Au nom de la «diversité» et de son corollaire pédagogique, l’«inclusion», les idéologies woke ont pénétré dans le temple scolaire avec la complicité d’une partie du corps enseignant et par le biais des outils pédagogiques.
[size=140][font=noto-serif, Verdana, Georgia, Times,]Sara * (1) est lycéenne dans un établissement sans histoire de la banlieue parisienne. Son lycée n’est ni huppé ni ghetto. L’équilibre du[size=164] «vivre-ensemble» y est fragile, mais il tient. Sara est métisse, ses camarades sont d’origines diverses. Ils sont blancs, noirs, maghrébins, asiatiques mais pour elle, comme pour eux, la différence n’a jamais été un sujet de débat ni un problème… Jusqu’à ce fameux cours d’éducation morale et civique intitulé: [color=#163860]«Le racisme anti-Blancs existe-t-il?» Une question qui n’en était pas une, selon la lycéenne, tant l’enseignante a verrouillé les échanges pour imposer sa réponse: «Non, il n’existe pas.» Les élèves ont été invités à se définir comme «racisés» ou «non racisés» et ont découvert les notions de «privilège blanc», de «racisme systémique», etc. Une véritable initiation à la sémantique décoloniale[/size][/font][/size][/color]