"La maison de celle qui peint" et un village décoré.
[quote=" Lisa"][center]
J 'hallucine
J'adore !!!
Fabuleuse cette Artiste !
J'ai pensé au facteur Cheval , pour finalement constater qu'elle était encore beaucoup plus loin dans son trip et tellement douée !
Mon dieu quel univers féérique !!
Merci Lisa.........mais sans doute n'auras tu pas autant de lectorat que ça mériterait
J'aimerai bien avoir une de ses toiles ou un coussin ...........enfin une de ses oeuvres quoi ...........chaque fois que j'aurais le blues je regarderais l'ouvrage et ça me redonnerait un coup de fouet pour avancer tout en souriant !
Vraiment ça me touche beaucoup .
J 'hallucine
J'adore !!!
Fabuleuse cette Artiste !
J'ai pensé au facteur Cheval , pour finalement constater qu'elle était encore beaucoup plus loin dans son trip et tellement douée !
Mon dieu quel univers féérique !!
Merci Lisa.........mais sans doute n'auras tu pas autant de lectorat que ça mériterait
J'aimerai bien avoir une de ses toiles ou un coussin ...........enfin une de ses oeuvres quoi ...........chaque fois que j'aurais le blues je regarderais l'ouvrage et ça me redonnerait un coup de fouet pour avancer tout en souriant !
Vraiment ça me touche beaucoup .
(img)xxxxx(/img)
Quand le bien pensant parle, on entend l'âne qui brait.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Avec un grand "A"
Chapeau l'Artiste
Chapeau l'Artiste
Dernière édition par Phistoo le 18 Mars 2021, 11:51, édité 1 fois.
A Roussillon.
Quand le bien pensant parle, on entend l'âne qui brait.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Si votre couleur favorite est le violet, alors voici une idée de voyage à planifier après la pandémie de coronavirus. En Corée du Sud, deux villages ont été complètement repeints afin d’en faire une attraction touristique, pour le plus grand bonheur des instagrameurs, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article.
je n'aimerais pas y vivre.
je n'aimerais pas y vivre.
Dernière édition par Lisa le 18 Mars 2021, 14:32, édité 1 fois.
Et à Taiwan
https://www.opnminded.com/2018/02/23/vi ... chung.html
Des histoires aussi inspirantes que celle-ci, on vous prévient de suite : on n’en voit pas tous les jours. Aujourd’hui, nous allons vous raconter l’aventure de Huang, un papy de 97 ans, qui a réussi à sauver son village de la destruction grâce à … ses peintures ! En recouvrant entièrement les habitations de couleurs bariolées, ce vieil homme prouve que la persévérance vaut toujours le coup.
Il y a un peu plus de 10 ans, Huang Yung-Fu a fait face à un dilemme. À l’époque, son village a été menacé d’être détruit par le gouvernement taïwanais dans le but d’y construire une multitude d’immeubles modernes, puisque Huang en était le tout dernier résident. Afin de le convaincre de faire ses valises, ils lui ont même proposé de l’argent. Mais alors âgé de 86 ans, Huang ne supportait pas la pensée de quitter sa maison. C’est à ce moment qu’il a commencé à peindre !
Huang, aujourd’hui appelé affectueusement “Rainbow Grandpa” (Papy Arc-en-ciel), est pourtant né en Chine. Après avoir combattu dans la guerre sino-japonaise mais aussi la Deuxième Guerre mondiale, il s’est également battu pour le parti nationaliste, contre le gouvernement communiste de Mao Zedong. Mais lorsque les nationalistes ont perdu, lui et 2 autres millions de personnes ont fui à Taiwan. C’est là-bas qu’il a été accueilli dans un petit village, tout juste construit à partir de rien, bâti pour les familles réfugiées et les membres militaires. Ce qui était censé n’être qu’une solution temporaire est finalement devenu sa maison.
Alors 40 ans plus tard, il est bien normal que cela lui ait fait un choc d’apprendre qu’on voulait détruire son endroit de vie. “Lorsque je suis arrivé ici, le village avait 1200 foyers et nous étions tous comme une seule grande famille”, explique Huang. “Mais plus tard, beaucoup ont déménagé et d’autres sont décédés, et je me suis retrouvé seul.” Avec nulle part où aller, il s’est tourné vers l’art pour soulager sa douleur, comme un refuge.
autres images: https://creapills.com/papy-arc-en-ciel- ... n-20190523
https://www.opnminded.com/2018/02/23/vi ... chung.html
Des histoires aussi inspirantes que celle-ci, on vous prévient de suite : on n’en voit pas tous les jours. Aujourd’hui, nous allons vous raconter l’aventure de Huang, un papy de 97 ans, qui a réussi à sauver son village de la destruction grâce à … ses peintures ! En recouvrant entièrement les habitations de couleurs bariolées, ce vieil homme prouve que la persévérance vaut toujours le coup.
Il y a un peu plus de 10 ans, Huang Yung-Fu a fait face à un dilemme. À l’époque, son village a été menacé d’être détruit par le gouvernement taïwanais dans le but d’y construire une multitude d’immeubles modernes, puisque Huang en était le tout dernier résident. Afin de le convaincre de faire ses valises, ils lui ont même proposé de l’argent. Mais alors âgé de 86 ans, Huang ne supportait pas la pensée de quitter sa maison. C’est à ce moment qu’il a commencé à peindre !
Huang, aujourd’hui appelé affectueusement “Rainbow Grandpa” (Papy Arc-en-ciel), est pourtant né en Chine. Après avoir combattu dans la guerre sino-japonaise mais aussi la Deuxième Guerre mondiale, il s’est également battu pour le parti nationaliste, contre le gouvernement communiste de Mao Zedong. Mais lorsque les nationalistes ont perdu, lui et 2 autres millions de personnes ont fui à Taiwan. C’est là-bas qu’il a été accueilli dans un petit village, tout juste construit à partir de rien, bâti pour les familles réfugiées et les membres militaires. Ce qui était censé n’être qu’une solution temporaire est finalement devenu sa maison.
Alors 40 ans plus tard, il est bien normal que cela lui ait fait un choc d’apprendre qu’on voulait détruire son endroit de vie. “Lorsque je suis arrivé ici, le village avait 1200 foyers et nous étions tous comme une seule grande famille”, explique Huang. “Mais plus tard, beaucoup ont déménagé et d’autres sont décédés, et je me suis retrouvé seul.” Avec nulle part où aller, il s’est tourné vers l’art pour soulager sa douleur, comme un refuge.
autres images: https://creapills.com/papy-arc-en-ciel- ... n-20190523
Moins extraordinaire que l'oeuvre du vieux Monsieur pendant ses 40 dernières années.
Dernière édition par Lisa le 19 Mars 2021, 14:12, édité 3 fois.
Dernière édition par Lisa le 19 Mars 2021, 14:39, édité 3 fois.
Dolus
Quand le bien pensant parle, on entend l'âne qui brait.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
J'aime aussi ces artistes un peu déjantés, un peu poètes, un peu farfelus mais tellement créatifs comme le poète ferrailleur Robert Coudray :
"La xénophobie est le mariage du patriotisme d'officine et de l'imbécillité sacrée".
Robert Sabatier
Robert Sabatier
Dernière édition par gayluron le 19 Mars 2021, 19:55, édité 6 fois.
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 24 invité(s)