Pour cause de virus d'enculés de fils de pute chinetoques le parlement argentin se réunit en visioconférence, seule une poignée de députés est présente physiquement dans l'hémicycle. Or voici qu'apparait sur l'écran géant un "cher collègue" (appellation officielle des députés) qui enlace sa femme, lui extirpe une boîte à lait du t-shirt et embrasse l'objet du désir.
Haut cris! Interruption puis suspension de séance. Le président du parlement est horrifié et tape du poing sur la table. Comment diable un homme marié peut-il se permettre d'embrasser le sein de son épouse à domicile??? Une honte! Qu'on lui coupe les couilles en place publique et qu'on soumette l'épouse à un viol collectif purificateur!
Ho! Le mec est chez lui, certes en télétravail, mais faudrait il qu'il s'isole dans une cellule monacale? Si Bobonne sort des cagoinsses et passe à coté de lui en se rendant dans la pièce d'à coté, ma foi qu'y a-t-il de mal à lui faire un bisou?
"Tout au long de ces mois en télétravail nous avons vécu différentes situations où un député s’est endormi ou un autre s’est caché, mais aujourd’hui nous avons vécu une situation qui dépasse les règles de bienséance de cette maison", a lancé M. Massa.
Confus, M. Ameri a tenté de s’excuser, expliquant qu’il pensait ne pas être connecté à ce moment-là. "Ici, dans tout l’intérieur du pays, la connexion est très mauvaise. Ma conjointe est sortie des toilettes, je lui ai demandé comment étaient ses prothèses et je l’ai embrassée, car il y a dix jours elle a été opérée pour des prothèses mammaires", s’est défendu le député de 47 ans qui devrait connaître dans un délai de cinq jours la sanction infligée par le Parlement.