Ils sont brillants au GIEC

Pour se reposer quelques minutes
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Selon une analyse du chercheur australien John McLean, le dernier rapport est beaucoup trop bâclé pour être pris au sérieux même par les climatologues, et encore moins par un organisme aussi influent que le GIEC ou les gouvernements.

McLean a relevé des données absolument improbables, des erreurs d’ajustement systématiques, de grandes lacunes là où il n’y a pas de données, des erreurs de localisation, des températures Fahrenheit exprimées en degrés Celsius (et des fautes d’orthographe !).
• Presque aucun contrôle de qualité n’a été effectué : des valeurs aberrantes qui sont des erreurs évidentes n’ont pas été corrigées :
◦ Une ville de Colombie aurait passé trois mois en 1978 à une température quotidienne moyenne de plus de 80 degrés C.
◦ Une ville de Roumanie est sortie de l’été 1953 à -46°C. Et il s’agit soi-disant de « températures moyennes » pour le mois entier.
◦ Saint-Kitts, une île des Caraïbes, a été enregistrée à 0°C pendant un mois entier, et deux fois de suite!
• Les températures pour l’ensemble de l’hémisphère sud en 1850 et pour les trois années suivantes sont calculées à partir d’un seul site en Indonésie et de quelques navires aléatoires.
• Certaines mesures de température proviennent de navires qui sont identifiés à des endroits situés à 100 km à l’intérieur des terres ! D’autres se trouvent dans des ports, ce qui n’est guère représentatif de la « haute mer » comme c’est indiqué.
• Lorsqu’un thermomètre est déplacé sur un nouveau site, les données de l’ancien site sont toujours ajustées et « réchauffé » par la présence de béton et de bâtiments. Des ajustements de ce genre peuvent créer un siècle entier de tendances artificielles de réchauffement.
• En avril, juin et juillet 1978, Apto Uto (Colombie, ID:800890) avait une température mensuelle moyenne de 81,5°C, 83,4°C et 83,4°C.
• La température moyenne mensuelle en septembre 1953 à Paltinis, en Roumanie, est de -46,4 °C (les autres années, la moyenne était d’environ 11,5 °C en septembre).
• A l’aéroport de Golden Rock, sur l’île de Saint-Kitts dans les Caraïbes, les températures mensuelles moyennes pour décembre 1981 et 1984 sont de 0°C. Alors que de 1971 à 1990, la moyenne était de 26,0°C.
• L’ensemble des données commence en 1850.
◦ De 1850 à 1852, une seule station située en Indonésie relève les températures terrestres et elles sont prises en considération « pour tout l’hémisphère Sud ».
◦ Au bout de cinq ans, il n’y a toujours que trois stations pour communiquer des températures pour l’ensemble de cet hémisphère.
◦ Les moyennes globales sont calculées à partir des moyennes de chacun des deux hémisphères, de sorte que ces trois stations ont une influence disproportionnée sur ce qui est censé être « global ».
• Les chiffres du GIEC ne sont pas crédibles car ils ne sont pas basés sur une couverture mondiale fiable et raisonnable.
◦ Seulement 50 % du monde n’a été couvert qu’en 1906.
◦ 50 % de l’hémisphère Sud ne l’a été qu’autour de 1950.
◦ En mai 1861, la couverture mondiale n’était que de 12 %, soit moins d’un huitième.
◦ Dans la majeure partie des années 1860 et 1870, la majeure partie de la couverture supposée mondiale provenait de l’Europe et de ses routes et ports maritimes commerciaux, qui ne couvraient qu’environ 13% de la surface de la Terre.
◦ Calculer des moyennes à partir de ces données et les qualifier de « moyennes globales » est faire preuve d’un biais idéologique – ce qui disqualifie du label « vérité scientifique ».
• Une autre constatation importante de l’audit est que de nombreuses températures ont été mal ajustées afin de fausser les résultats. L’ajustement des données est fait comme si l’équipement actuel avait toujours mesuré la température locale, en appliquant artificiellement un « refroidissement » passé parce qu’une ville en pleine croissance déforme la température réelle. Les données antérieures sont toujours plus ajustées qu’elles n’auraient dû être sans que personne ne dise rien, puis elles servent à montrer un « réchauffement ». Les températures anciennes réelles sont très supérieures à leurs valeurs corrigées, ce qui permet de montrer une tendance au réchauffement artificiellement exagéré.
La principale conclusion de l’audit est que l’ensemble des données montre un réchauffement exagéré, et les moyennes mondiales sont beaucoup moins certaines que ce qui a été affirmé.
• Les données antérieures à 1950 souffrent d’une faible couverture et très probablement de multiples ajustements incorrects des données des stations.
• Les données depuis cette année-là ont une meilleure couverture, mais il y a toujours le problème de l’ajustement des données et une foule d’autres questions douteuses.
• Les modèles climatiques ont été ajustés pour correspondre à des résultats décidés à l’avance, ce qui rend erronées les estimations de l’influence humaine sur les températures.
• Une autre implication est que la proposition que l’Accord de Paris sur le climat qui adopte les moyennes de 1850-1899 comme « indication » des températures préindustrielles est fatalement erroné.
◦ Au cours de cette période, la couverture mondiale était faible – en moyenne de 30 %.
◦ De nombreuses températures terrestres sont très susceptibles d’avoir été excessivement ajustées et sont donc incorrectes.
• Une troisième implication est que même si l’affirmation du GIEC selon laquelle l’humanité est à l’origine de la majeure partie du réchauffement depuis 1950 est correcte, l’ampleur de ce réchauffement sur près de 70 ans pourrait bien être négligeable.
La question se pose alors de savoir si l’effort et le coût d’y faire face ont un sens. Et le mot coût prend alors toute son importance, car toute cette affaire est une immense pompe à fric.
En fin de compte, l’auteur de l’audit considère que le dernier rapport du GIEC, ainsi que les rapports ou les affirmations qui en découlent, ne constituent pas une base crédible pour la politique gouvernementale sur le climat, et pour les accords internationaux sur les causes supposées du changement climatique.
Jean-Patrick Grumberg
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Carlbarks a écrit : Selon une analyse du chercheur australien John McLean, le dernier rapport est beaucoup trop bâclé pour être pris au sérieux même par les climatologues, et encore moins par un organisme aussi influent que le GIEC ou les gouvernements.

Je croyais que John McLean c'était le personnage joué par Bruce Willis dans les films de la série "Die Hard" !
Mais celui que vous citez est un climatosceptique sans qualification en climatologie qui raconte n'importe quoi...
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Mais bien sûr... je ne crois pas plus au GIEC qu'au coran ! L'un comme l'autre ne sont là que pour leur équivalent du "denier du culte".
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Carlbarks a écrit : Mais bien sûr... je ne crois pas plus au GIEC qu'au coran ! L'un comme l'autre ne sont là que pour leur équivalent du "denier du culte".

Contrairement à ce qu'eesaient de faire croire les climatosceptiques, le GIEC n'est pas une secte dirigé par un gourou. Ses rapports sont rédigés par plus de 800 scientifiques de 80 pays, détachés de leurs organismes de recherche pour l'occasion, et qui font la synthèse des études scientifiques dans le domaine du climat publiées dans le monde entier (plusieurs milliers).
DragonRouge

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N'empêche que pour vous, c'est devenu un Coran.
On ne peut rien en critiquer.
C'est marrant chez vous finalement.
Observateur

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DragonRouge a écrit : N'empêche que pour vous, c'est devenu un Coran.

Le travail de milliers de scientifiques n'a pas grand chose à voir avec le Coran ! :mur:
DragonRouge

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Pour vous le résultat est le même : le Coran parole divine, les scientifiques sont scientifiques donc ...parole divine.
Pourquoi leur parole ne serait pas contestable ?
Vous et moi ne sommes pas climatologues..qu'est ce qui vous rend certain des choses ?
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N'oubliez pas qu'années après années il y a beaucoup moins de scientifiques sérieux à envoyer leurs études au GIEC, certains en ont marre de les voir "bricolées" et leurs chiffres truqués pour prouver ce que veut prouver le GIEC.
Article Suisse : Le professeur Reto Knutti de l’EPF, par exemple, proclame que la Suisse peut «éviter» le changement climatique en réduisant le CO2 à zéro – ce qui est assez ridicule, vu que la Suisse ne produit qu’un millième du CO2 mondial d’origine anthropique. Le passage de la Suisse à zéro carbone n’aura aucune incidence mesurable sur le climat.
Prenons aussi l’exemple du collègue de Knutti, le professeur Thomas Stocker. Il refuse totalement de discuter avec les personnes critiques, qui défendent une autre opinion. Il fait mine que tout débat scientifique sur les causes du changement climatique est superflu, comme si la science avait «réglé» la question une fois pour toutes. Or ce n’est pas le cas – et affirmer le contraire n’est pas scientifique et pas digne d’un professeur d’université suisse.
La science procède en se basant sur le doute organisé, le scepticisme organisé. Toutefois dans le débat climatique, le scepticisme passe pour un crime. Les critiques et les contradicteurs sont taxés avec dédain de «climatosceptiques». Or refuser la discussion et vilipender les contradicteurs, ce n’est pas faire preuve de force intellectuelle, mais de faiblesse, c’est être à court d’arguments raisonnables.
Le mouvement qui défend la catastrophe climatique ne veut pas discuter. Il ne veut pas convaincre. Il veut intimider. Il veut faire prévaloir son opinion et ses intérêts sur tous les autres. Et il n’hésite pas à embrigader des enfants pour répandre l’insécurité, la panique et un climat empoisonné dans lequel personne ne s’aventure à poser les questions gênantes.
La Weltwoche s’oppose à ce dévoiement du changement climatique non scientifique, intolérant, pseudo-religieux et, sous ses grands airs, également liberticide, totalitaire, à des fins politiques transparentes et au nom d’intérêts financiers indéniables.
Car ne nous leurrons pas, le climat a depuis longtemps donné le jour à une gigantesque industrie mondiale. Nous parlons d’un complexe climato-gouvernemental qui réalise des centaines de milliards de dollars de profits chaque année et qui a créé des légions qui en sont tributaires et fort bruyantes.
Cet appareil mondial du pouvoir climatique veut nous persuader que l’homme, et lui seul, est responsable avec son CO2 des récentes variations insignifiantes de la température.
Quelles sont les raisons réelles de cet acharnement sur le CO2 ? Notre air se compose de nombreux gaz, tels que la vapeur d’eau, qui ont une incidence nettement plus forte sur les températures, mais le complexe climato-gouvernemental mondial ne parle que d’un seul gaz à effet de serre, soit dit en passant, assez faible.
La raison est évidente, car qui contrôle le CO2 a un formidable levier de pouvoir en main. Le CO2 est partout. Il est dans les océans, dans les plantes, dans l’atmosphère, dans les voies respiratoires des animaux et des humains.

Pour le Suisse, à qui le crime profite ?

Le chef du groupe parlementaire PS, Roger Nordmann, préside l’association Swissolar, grosse de plus de 700 membres dont plus de 500 «pros du solaire» – planificateurs, consultants, entreprises spécialisées certifiées, fabricants ou installateurs d’installations photovoltaïques. Ils encaissent des millions au titre de la transition énergétique du fait de l’augmentation des tarifs de l’électricité.
L’organisation Swisscleantech appelle à une «politique d’adaptation du bâti au climat» pour chauffer tous les bâtiments sans CO2 d’ici 2050. Le conseiller national Jürg Grossen, président du parti Vert’libéral suisse, siège au comité directeur de Swisscleantech. L’engagement de Grossen pour l’environnement lui rapporte gros. Il a, en effet, des participations dans les sociétés Elektrolink, Elektroplan Buchs & Grossen ainsi que Smart Energy Link à Frutigen. Qui plus est, il préside la Conférence des associations de technique des bâtiments.
Le conseiller national PLR Peter Schilliger est copropriétaire de la société IC AG Beratung spécialisée dans le conseil en installations techniques des bâtiments ainsi que, depuis 2009, copropriétaire et directeur de Herzog Haustechnik AG à Lucerne. Il est l’un des plus ardents défenseurs des politiques d’assainissement énergétique des bâtiments – et génère un flot d’interventions parlementaires à son profit.

Sans parler de tous les climatologues et chercheurs qui prolifèrent et détournent leurs chaires universitaires au profit d’un activisme politique et d’une pêche aux subventions. Mettre en garde contre la fin du monde signifie pouvoir compter sur les aides publiques, le pouvoir, l’argent et le prestige.
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DragonRouge a écrit : Pour vous le résultat est le même : le Coran parole divine, les scientifiques sont scientifiques donc ...parole divine.
Pourquoi leur parole ne serait pas contestable ?

Le coran est considéré comme parole divine par l'islam, parce que Mahomet a prétendu qu'il lui avait été révélé par Dieu, mais ceci sans témoins et sans le moindre indice permettant de le confirmer, au contraire tout montre que tout a été inventé.

Vous et moi ne sommes pas climatologues..qu'est ce qui vous rend certain des choses ?

tous les rapportsdu GIEC sont basés sur la compilation et la synthèse d'études scientifiques publiées dans les revues scientifiques les plus sérieuses, celles à comité de lecture. Les cas d'études contestées sont rares, il y a bien eu un cas d'étude invalide concernant la fonte des glaciers de l'Himalaya, mais celle-ci a vite été repérée et éliminée.
Par contre les climatosceptiques ne se basent sur aucune étude scientifique, seulement sur la désinformation...
Le seul reproche qu'on peut faire aux climatologues c'est d'avoir été trop optimistes, car les mesures récentes montrent que le réchauffement est plus important que ce qui avait été prévu il y a quelques années.
De toutes façons les conséquences du réchauffement sont de plus en plus perceptibles, même pour les non climatologues ne disposant pas d'outils d'observation et de mesure...
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Carlbarks a écrit : N'oubliez pas qu'années après années il y a beaucoup moins de scientifiques sérieux à envoyer leurs études au GIEC,

Le dernier rapport du GIEC a été basé sur 6.000 études !
sharckozy Avatar de l’utilisateur

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Quand il parle de coran ... c’est une image

Le sujet est trop important pour ne pas tout mélanger

Je ne suis pas certain que le GIEC ait la science infuse

Dans ce domaine du climat ... de l’ecologie ... les enjeux financiers sont si importants qu’il faut reste très critique et garder l’œil ouvert
Et suspicieux
Je fais ce que je veux quand je veux ou je veux
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sharckozy a écrit : Quand il parle de coran ... c’est une image

Le sujet est trop important pour ne pas tout mélanger

Je ne suis pas certain que le GIEC ait la science infuse

Dans ce domaine du climat ... de l’ecologie ... les enjeux financiers sont si importants qu’il faut reste très critique et garder l’œil ouvert
Et suspicieux

Les climatosceptiques accusent les climatologues d'être corrompus, mais à ce jour ils n'ont pas été capables de citer un seul cas avéré de corruption d'un climatologue, par contre les cas avérés de climatosceptiques corrompus sont légion...
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