Jolie coutume Belge

Pour se reposer quelques minutes
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Carlbarks Avatar de l’utilisateur

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Trouvé sur internet :
"Entré dans un petit café en Belgique avec mon ami nous avons fait notre demande. Tandis que nous étions à l'approche de notre table deux personnes arrivent et s'approchent du comptoir : - "Cinq cafés, s'il vous plaît. Deux pour nous et trois suspendus." Ils ont payé, ils ont pris leurs deux cafés et sont partis. J'ai demandé à mon ami : - "Qu'est ce des cafés suspendus ?" Mon ami m'a répondu : - "attends et tu verras." Un peu plus de gens sont entrés. Deux filles ont demandé un café chacune elles ont payés et sont partis.la commande suivante a été de sept cafés et il a été fait par trois avocats - trois pour eux et quatre "suspendus". Tandis que je me demande toujours qu'elle est la signification des cafés suspendus" ils partent. Soudain, un homme habillé avec des vêtements usés qui ressemble à un mendiant arrive au comptoir et demande cordialement : - "Avez-vous un café suspendu ?" Et le serveur lui sert un café La récapitulation: les gens payent à l’ avance un café qui seras servi a qui ne peut pas se payer une boisson chaude! Cette tradition a commencé à Naples, mais elle s'est dispersé pour tout le monde et a quelques endroits il est possible de commander non seulement "des café suspendus" mais aussi un sandwich ou un repas complet... fait en sorte de publier cette belle idée a tout le monde entier ! Sa serait super bien que ceci se fasse ici en France et ailleurs " !
Chimène Avatar de l’utilisateur

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mais ça existe aussi en France, Bernard ! et il y a déjà un moment...
"J’aime bien les Italiens. Ils sont épatants, ils trouvent, comme ça, de bonnes idées pour éclairer un peu la grisaille de ceux qui regardent les vitrines mais qui, sans-le-sou, ne peuvent entrer... Et ils nous donnent la marche à suivre.
Suivons-les donc, dans cette belle initiative de solidarité, le "pain en attente" et le "café suspendu".

Un concept tout droit venu de Naples

Il y a 15 ans, à Naples, le boulanger du "Panifico Mosca", s’est mis à afficher dans sa vitrine, "un pane in attesa", qui signifie "un pain en attente".
Le premier d’une série de gestes de solidarité pour ceux qui n’ont pas de quoi se payer du pain.

Le principe était simple : un client plus argenté payait deux pains, un qu’il prenait, l’autre à mettre en attente pour la personne qui, ce jour-là, n’avait pas les quelques lires pour l’acheter. Le boulanger se servait d’une ardoise qu’il laissait dans sa vitrine, où il indiquait : "un pane in attesa", et l’homme qui avait faim venait le chercher.
L’idée a fait boule de neige en Italie et non seulement pour les boulangeries, mais aussi pour les restaurants qui affichent parfois "un repas en attente".
Du coup, les gargotes sympathiques s’y sont aussi mises. Et voilà l’apparition du "caffe sospeto", le café en attente. On entre, on paie deux cafés, un pour soi et un pour l’inconnu qui n’a pas de quoi se payer une boisson chaude et qui verra dans la vitrine qu’il y a quelques cafés payés d’avance. Question de confiance, mais de mémoire d’homme, personne jusqu’à présent n’a jamais truqué la donne !

Le "pain en attente", ça marche aussi en France

L’idée était trop belle pour qu’on la laisse passer. Elle a mis quelques temps pour traverser la frontière, mais nos villes se sont emparées de la trouvaille généreuse du patron de la boulangerie Mosca.

Bordeaux, Lyon, St Nazaire, Fécamp, Rouen, Mulhouse, Orléans, Brest, Bayonne, Carcassonne, Les Lilas ... et c’est la traînée de poudre. Non seulement cela fait marcher le commerce mais ce geste si généreux, et en même temps, si peu coûteux, se répand à grande vitesse et attire les clients "payants".

N’est-il pas réconfortant de penser que quelqu’un se préoccupe un instant de celui qui reste au bord du chemin ?

Je suis disposé à jouer le jeu
Je ne connaissais pas le concept, j’en parle à tous ici autour de moi. Les amis sont interloqués, puis tout à fait disposés à jouer le jeu du "café suspendu" et du "pain en attente".
On va tous acheter du pain, non ? Et parfois, ou souvent, s’offrir un "petit noir" au comptoir. Il suffit de mettre le patron dans le coup, qui ne peut refuser sans passer pour un vrai gougnafier.

Tout n’est pas perdu dans ce monde tristounet, tant qu’on arrive à faire un geste aussi facile et aussi désintéressé."

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1125346-j-ai-decouvert-le-pain-en-attente-et-cafe-suspendu-une-belle-idee-solidaires.html
" un jour j'irais vivre en Théorie,
car en Théorie tout se passe toujours bien "

Carlbarks Avatar de l’utilisateur

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Le gros problème c'est qu'il est rare que j'achète du pain à la boulangerie, surtout depuis que ce couillon de boulanger à viré sa femme (qui était coiffée comme Cee Cee James), la Boule Bio de Carrefour me dure longtemps, je ne vais jamais au bistro depuis que les patrons sympas sont partis à la Grande Motte,

et que si je fais ça chez mon copain caviste, ça sera mal vu...
taccagno Avatar de l’utilisateur

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Deux cubi dont un en suspens.
Et là t'as le cantonnier de Bernard qui arrive dans la foulée et râle parce que Bernard lui, n'achète pas son cubi quotidien.
Parole d'Etat, mensongeS d'Etat.
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
Carlbarks Avatar de l’utilisateur

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Même pas : je n'achète que des cinq litres qui me font trois semaines, ce pauvre homme c'était dix litres chaque jour. Lui il assurait vraiment !
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