récit de violence ordinaire
Quand le bien pensant parle, on entend l'âne qui brait.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Vive le diesel et le nucléaire.
La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les deux pieds touchent par terre.
Pas grande sympathie pour le corps enseignant. Désolé.hagar_dunor a écrit :je pensais pas que ça t'exciterait! ::lol:
::lol:
::lol:
mais
aussi
Une descente de légion, matraquage généralisé. Parcours du combattant jusqu'à....
Jusqu'à ce qu'une autre section relève la première et on continue...
On continue 48h ou jusqu'à ce que les pertes atteignent 35%.
Très mauvais pour le pays, car c'est uniquement parmi ces merdeux, puisqu'ils sont tous ainsi, qu'il faudra recruter demain.
Jusqu'à ce qu'une autre section relève la première et on continue...
On continue 48h ou jusqu'à ce que les pertes atteignent 35%.
Très mauvais pour le pays, car c'est uniquement parmi ces merdeux, puisqu'ils sont tous ainsi, qu'il faudra recruter demain.
Parole d'Etat, mensongeS d'Etat.
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
arnold a écrit :Pas grande sympathie pour le corps enseignant. Désolé.hagar_dunor a écrit :je pensais pas que ça t'exciterait! ::lol:
::lol:
::lol:
mais
aussi
Pareil
Autres pays, autres moeurs.
Mardi 9 novembre, Institut Notre Dame de Lourdes, école spécialisée pour enfants handicapés Sierre.
8h15 Adrien autiste atteint d’un sydrome x fragile refuse de se rendre en classe et réclame sa maman. Il est assis par terre au fond du couloir, excédée son éducatrice lui lance au visage son sac d’école et sa veste en criant : « casse toi ! «
pour la première fois l’enfant se relève et s’approche en criant, il va griffer le visage et le cou de son éducatrice à cinq reprises. Il va ensuite ramasser ses affaires et se rendre en classe en pleurant. Il sera retrouvé deux étages plus bas couchés sous trois hommes dont le cuisiner de l’établissement le corps recouvert de bleus et de griffures.
Après avoir du manger sur le sol dans une écuelle pour chien en guise de punition pour s’être mal tenu à table, après avoir été promené dans la ville vêtu d’un training rose à l’effigie de Barbie pour apprendre à ne pas mouiller son pantalon, après avoir donné son doudou pour la nuit à un autre enfant pour apprendre le partage, après avoir du partager la douche avec des filles, elles aussi handicapées donc privées d’intimité, cet enfant privés de mots a exprimé à sa manière qu’une limite de trop avait été franchie pour cet acte barbare il sera expulsé de l’école pour 4 jours.
Tout le monde s’est inquiété de l’état de cette collègue mais le médecin qui a constaté les maltraitances que portait Adrien sur le corps est choqué, outré. Le rapport parle de mauvaises traitements et de coups et blessures, l’Institut parle de légitime défense.
Il n’y retournera plus jamais.
¨Je suis très inquiet pour la situation de la liberté d'expression en France¨Kim-Jong I
Ca c'est une réponse intelligente!arnold a écrit :Pas grande sympathie pour le corps enseignant. Désolé.hagar_dunor a écrit :je pensais pas que ça t'exciterait! ::lol:
::lol:
::lol:
mais
aussi
je partage ton indignation, mais la connerie des uns ne peut excuser ou rendre admissible celle des autres.
les 2 histoires n'ont pas grands chose à voir et l'une n'enlève rien à l'autre dans l'abject.
les 2 histoires n'ont pas grands chose à voir et l'une n'enlève rien à l'autre dans l'abject.
hagar_dunor a écrit :je partage ton indignation, mais la connerie des uns ne peut excuser ou rendre admissible celle des autres.
les 2 histoires n'ont pas grands chose à voir et l'une n'enlève rien à l'autre dans l'abject.
Plus que d'accords avec toi, je suis juste toujours affolée de voir une si grande différence entre deux pays voisins et qui paraissent si proches de culture.
Je suppose que Genève enregistre un peu plus de violence à l'école que le Valais mais ce que tu décris ressemble à ce film des années 80 d'un collège américain et dont j'ai oublié le nom.
Je sais que certains ici voudraient mettre cela sur le dos de l'immigration mais toi comment expliques tu cette augmentation de la violence qui au travers de ton récit fait peur ?
¨Je suis très inquiet pour la situation de la liberté d'expression en France¨Kim-Jong I
un ami, enseignant à Stains, en plein dedans:
l'école n'a pas pour vocation d'être l'antichambre du travail, pas l'école et le collège. malheureusement depuis des années on marchandise tout à tout prix, le résultat ne peut qu'être dramatique. ils ont toute une vie à bosser, combattre, être compétitifs. laissons l'esprit de compétition au sport, à la juste mesure de soi face à l'autre dans le respect. toute la vie n'est pas un concours avec une cote, un prix de marché, etc.
Parents, profs et autorités en général ont privé depuis des lustres les mômes (et je n'y inclus pas les loulous en institutions qui n'ont pas forcément les mêmes capacités ou clés de compréhension hein), de la juste punition à laquelle ils ont pourtant droit... ils cherchent les limites pour qu'on les leur montre, les leur impose. ils doivent avoir confiance dans le fait que les regles sont là et appliquées, que nous sommes, adultes, éducateurs, état, fiables dans notre juste respect des règles.
je sais c'est réac tout ça aussi. mais n'est réactionnaire, par nature, que celui qui a quelque chose à transmettre! l'éducateur DOIT être, pour partie, réac, au sens conservateur de musée en somme.
Ca empêche l'ouverture? je crois pas.
Citation: a écrit :La démission des parents, c'est largement un mythe. Quand je vois les parents de mes élèves, sortes d'ouvriers qu'on croyait disparus, pauvres mais dignes et debout, ben, je réfléchis. La situation que l'Etat fait au bas peuple (bas, dans l'échelle sociale) est juste un crime.
Bien sûr, quand je vois les bandes et tout ce qui va avec, je peste, j'enrage mais à froid, le(s) responsable(s) de tout ça, ce sont les politiques de démissions par rapport à une école exigeante pour tous !
L'Ecole n'est pas là pour faire ascenseur social mais pour instruire, pour donner du désir intellectuel aux gosses. C'est ça qui est mis par terre. Et, hélas, ça ne va pas s'arranger !
l'école n'a pas pour vocation d'être l'antichambre du travail, pas l'école et le collège. malheureusement depuis des années on marchandise tout à tout prix, le résultat ne peut qu'être dramatique. ils ont toute une vie à bosser, combattre, être compétitifs. laissons l'esprit de compétition au sport, à la juste mesure de soi face à l'autre dans le respect. toute la vie n'est pas un concours avec une cote, un prix de marché, etc.
Parents, profs et autorités en général ont privé depuis des lustres les mômes (et je n'y inclus pas les loulous en institutions qui n'ont pas forcément les mêmes capacités ou clés de compréhension hein), de la juste punition à laquelle ils ont pourtant droit... ils cherchent les limites pour qu'on les leur montre, les leur impose. ils doivent avoir confiance dans le fait que les regles sont là et appliquées, que nous sommes, adultes, éducateurs, état, fiables dans notre juste respect des règles.
je sais c'est réac tout ça aussi. mais n'est réactionnaire, par nature, que celui qui a quelque chose à transmettre! l'éducateur DOIT être, pour partie, réac, au sens conservateur de musée en somme.
Ca empêche l'ouverture? je crois pas.
TU ne vas pas trouver grand réconfort ici. Sur les 6 intervenants de ce fil 2 trouvent carrément normal et souhaitable de tabasser les momes. 2 sont un peu plus mitigés et 2 semblent opposés aux violences.ficelledeluge a écrit :arnold a écrit :Pas grande sympathie pour le corps enseignant. Désolé.hagar_dunor a écrit :je pensais pas que ça t'exciterait! ::lol:
::lol:
::lol:
mais
aussi
Pareil
Autres pays, autres moeurs.
Mardi 9 novembre, Institut Notre Dame de Lourdes, école spécialisée pour enfants handicapés Sierre.
8h15 Adrien autiste atteint d’un sydrome x fragile refuse de se rendre en classe et réclame sa maman. Il est assis par terre au fond du couloir, excédée son éducatrice lui lance au visage son sac d’école et sa veste en criant : « casse toi ! «
pour la première fois l’enfant se relève et s’approche en criant, il va griffer le visage et le cou de son éducatrice à cinq reprises. Il va ensuite ramasser ses affaires et se rendre en classe en pleurant. Il sera retrouvé deux étages plus bas couchés sous trois hommes dont le cuisiner de l’établissement le corps recouvert de bleus et de griffures.
Après avoir du manger sur le sol dans une écuelle pour chien en guise de punition pour s’être mal tenu à table, après avoir été promené dans la ville vêtu d’un training rose à l’effigie de Barbie pour apprendre à ne pas mouiller son pantalon, après avoir donné son doudou pour la nuit à un autre enfant pour apprendre le partage, après avoir du partager la douche avec des filles, elles aussi handicapées donc privées d’intimité, cet enfant privés de mots a exprimé à sa manière qu’une limite de trop avait été franchie pour cet acte barbare il sera expulsé de l’école pour 4 jours.
Tout le monde s’est inquiété de l’état de cette collègue mais le médecin qui a constaté les maltraitances que portait Adrien sur le corps est choqué, outré. Le rapport parle de mauvaises traitements et de coups et blessures, l’Institut parle de légitime défense.
Il n’y retournera plus jamais.
De mon expèrience lointaine, je me souviens que les profs les plus chahutés et les moins respectés étaient ceux qui gueulaient le plus et nous collaient des baffes, coup de règles sur le bout des doigts et nous insultaient joyeusement. On ne frappe pas un mome. Il existe suffisement de moyens de rétorsion pour faire reigner un semblant d'ordre. Au besoin avoir un flic sur place dans les établissements les plus difficiles.
je sais pas où tu me places dans les 6, (pis j'en ai ranabat' wolaut'eh), mais je suis extrêmement d'accord à la nuance près que, je me répète, que la sanction, qu'ils cherchent par leurs conneries, ils y ont DROIT. ce quine veut pas dire qu'il faut cogner dessus hein, mais les parents qui menacent de la fessée leurs momes sans jamais la donner, sont méchants, ils ne tiennent pas une promesse, toute négative soit elle.
Je comprends ce que tu veux dire et je te remercie pour cette explication, comment revenir à tout cela aujourd'hui ?
Je ne connais pas vraiment les conditions de travail des profs Français et peut être est ce justement cette différence culturelle de nos deux pays qui rend ma vision un peu intransigeante mais comment apprendre la rigueur à des élèves en faisant grève si régulièrement, j'ai le sentiment qu'il est ancré dans les esprits qu'il suffit de manifester lorsque les choses ne conviennent pas. Comme une culture de la paralysie, je sais que je touche là à un sujet très sensible , peut être que la ''docilité'' toute Suisse ne peut comprendre cette façon de procéder qui ressemble à des enfants se roulant par terre dans un super marché criant en tapant du pied jusqu'à l'obtention de la friandise convoitée.
Comment remettre les punitions justes et équitables que j'ai moi même connu à l'école et qui se pratiquent encore ici à l'ordre du jour alors que le simple fait d'assister au cours en silence devient un exploit ?
Il est affolant d'avoir le sentiment que le programme scolaire s'adapte pour que les résultats suivent. On a diminué les exigences, comment espérer obtenir une envie de faire mieux ?
Je ne connais pas vraiment les conditions de travail des profs Français et peut être est ce justement cette différence culturelle de nos deux pays qui rend ma vision un peu intransigeante mais comment apprendre la rigueur à des élèves en faisant grève si régulièrement, j'ai le sentiment qu'il est ancré dans les esprits qu'il suffit de manifester lorsque les choses ne conviennent pas. Comme une culture de la paralysie, je sais que je touche là à un sujet très sensible , peut être que la ''docilité'' toute Suisse ne peut comprendre cette façon de procéder qui ressemble à des enfants se roulant par terre dans un super marché criant en tapant du pied jusqu'à l'obtention de la friandise convoitée.
Comment remettre les punitions justes et équitables que j'ai moi même connu à l'école et qui se pratiquent encore ici à l'ordre du jour alors que le simple fait d'assister au cours en silence devient un exploit ?
Il est affolant d'avoir le sentiment que le programme scolaire s'adapte pour que les résultats suivent. On a diminué les exigences, comment espérer obtenir une envie de faire mieux ?
¨Je suis très inquiet pour la situation de la liberté d'expression en France¨Kim-Jong I
Just for my special friend, il ne faut pas confondre un collège "normal" devenu territoire perdu de la République où la plupart des merdeux font régner la terreur avec une institution pour handicapés.
Dans le premier cas, la méthode rugueuse s'impose. Vu la dérive qu'a subi l'établissement, il n'y a plus guère que les rangers dans la gueule qui puissent fonctionner.
A moins bien évidemment de considéer les élèves dont l'Education Nationale a la charge comme des handicapés mentaux.
Dans le premier cas, la méthode rugueuse s'impose. Vu la dérive qu'a subi l'établissement, il n'y a plus guère que les rangers dans la gueule qui puissent fonctionner.
A moins bien évidemment de considéer les élèves dont l'Education Nationale a la charge comme des handicapés mentaux.
Parole d'Etat, mensongeS d'Etat.
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
J ai le sentiment d être sur une autre planète quand je lis ça.
C est tellement peu le reflet de ce que je vis où je bosse.
Je ne dis pas, bien sûr il y a des problèmes de violence, dérapage verbal, et j en passe. Mais ils sont gérés d une main de fer par le Directeur avec l appui des parents qui savent que ou on accepte la décision ou on prend son enfant et on va voir ailleurs.
Petite classe, enfants qui, la plupart, se connaissent depuis la maternelle, mêmes profs depuis des années...
Vouvoiement obligatoire des élèves envers leur prof .
On n appelle pas par le prénom, mais Madame/Monsieur ou maitresse ou maitre...
On se lève quand le Directeur rentre dans la classe...
C est tellement peu le reflet de ce que je vis où je bosse.
Je ne dis pas, bien sûr il y a des problèmes de violence, dérapage verbal, et j en passe. Mais ils sont gérés d une main de fer par le Directeur avec l appui des parents qui savent que ou on accepte la décision ou on prend son enfant et on va voir ailleurs.
Petite classe, enfants qui, la plupart, se connaissent depuis la maternelle, mêmes profs depuis des années...
Vouvoiement obligatoire des élèves envers leur prof .
On n appelle pas par le prénom, mais Madame/Monsieur ou maitresse ou maitre...
On se lève quand le Directeur rentre dans la classe...
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 19 invité(s)