Questions existentielles - page 299

Pour se reposer quelques minutes
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Ce cinéaste a envoyé un portrait de Shakespeare dans l’espace pour les besoins d’un court-métrage
TO BE OR NOT TO BE IN SPACE Cette sortie dans la haute atmosphère a été filmée et fera partie d’un court-métrage du réalisateur Jack Jewers

20 Minutes
Shakespeare aurait-il pu imaginer qu’il se retrouvait un jour dans l’espace ? Un portrait du célèbre écrivain britannique a été envoyé dans la haute atmosphère afin de célébrer les 400 ans de son premier recueil de pièces, « Les Comédies, histoires et tragédies de William Shakespeare », rapporte CNN.

Cet ouvrage de 900 pages, surnommé « Premier Folio », avait été publié en 1623, sept ans après la mort du dramaturge. Il comprend 36 pièces, dont 18 auraient été complètement perdues s’il n’avait pas vu le jour. Parmi elles, la célèbre « Macbeth ».
Un ballon météorologique
Le cinéaste anglais Jack Jewers est à l’origine de cette initiative insolite. Il a attaché le portrait, ainsi qu’un extrait de son œuvre « Le Songe d’une nuit d’été » à un ballon météorologique équipé d’une caméra et d’un traceur GPS. Le vol a été filmé dans le cadre du tournage du prochain court-métrage du réalisateur, « Lovers and Madmen ». Celui-ci raconte justement l’histoire d’une jeune femme qui participe à un concours d’art en envoyant un portrait de Shakespeare dans le ciel.
« Tout ce qui nous arrive depuis quelques années – épidémies, inquiétudes liées à l’immigration, protestations, conflits en Europe, désir croissant de défier l’autorité – se passait également en 1623, lorsque le Premier Folio a été publié », a déclaré Jack Jewers. « Les parallèles sont troublants et montrent que les mots de Shakespeare sont plus frais que jamais dans leur capacité à résonner avec force dans nos propres vies contemporaines. »
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À 86 ans, il envoie son ADN sur la Lune pour créer un « zoo intergalactique », voici son projet fou
OuestFrance

Un physicien américain de 86 ans va expédier une partie de lui dans l’espace. Le 24 décembre 2023, il profitera d’un vol organisé par la société spatiale Celestis pour envoyer son ADN sur la Lune. Il espère ainsi que sa génétique sera utilisée par les extraterrestres – s’ils existent – dans le futur.
C’est un étonnant héritage qu’il va laisser. Aux États-Unis, un physicien de 86 ans a décidé d’envoyer une partie de lui dans l’espace. Le 24 décembre 2023, Kenneth Ohm profitera de la mission spatiale de Celestis pour envoyer son ADN sur la Lune. Depuis 1997, cette entreprise américaine propose à ses clients « d’envoyer leurs cendres dans l’espace, en orbite autour de la Terre ou sur la Lune », précise le magazine Le Point.

Dix-huit de ces vols spatiaux « commémoratifs » ont déjà été organisés. « Pour réaliser cette prestation, l’entreprise américaine achète un emplacement disponible dans les satellites embarqués par des fusées », explique le journal We Demain.
Premier alunissage américain depuis plus de cinquante ans

La veille de Noël, le vol Tranquillity transportera vers la Lune les cendres de défunts et l’ADN de Kenneth Ohm. Ce vol s’inscrit dans la mission Peregrine One de l’entreprise américaine Astrobotic. La fusée Vulcan Centaur – qui abrite ce vol – décollera depuis le pas de tir de Cap Canaveral, en Floride (États-Unis). L’atterrisseur lunaire Peregrine devrait se poser dans la partie nord-est de la Lune. « Il s’agit de l’un des premiers alunissages américains depuis la dernière mission du programme Apollo – Apollo 17, il y a plus de cinquante ans », se félicite Astrobotic sur son site.
Les capsules commémoratives Celestis transportant des restes incinérés et de l’ADN resteront sur la surface lunaire « comme un hommage permanent aux âmes intrépides qui n’ont jamais cessé d’atteindre les étoiles », explique Celestis sur son site. Mais ce service n’est pas donné. Comptez 12 995 dollars – soit un peu plus de 12 000 euros – pour envoyer des cendres ou de l’ADN sur la Lune. À ce prix-là, Celestis assure que « l’ADN est suffisamment durable pour survivre aux conditions de l’espace et même résister à la chaleur et aux pressions extrêmes de la traversée de l’atmosphère terrestre ».
« Être cloné pour finir dans un zoo intergalactique »

Au journal américain The New York Times, relayé par le magazine Slate, l’octogénaire a expliqué vouloir « être cloné pour finir dans un zoo intergalactique, comme représentant de l’espèce humaine ». Rien que ça.

Si son rêve semble un peu fou, il est loin d’être complètement irréaliste. « Nous avons déjà trouvé des moyens de cloner des animaux en utilisant leur ADN, relève le site Futurism. Le concept de clonage d’humains, malgré les implications éthiques et morales, n’est pas de la science-fiction lointaine. »
Pour Kenneth Ohm, rien est impossible. Son ambition est telle qu’il plaisante auprès de nos confrères américains sur la création d’un « essaim de milliers de Ken Ohm reconstitués [qui se répandraient – NDLR] dans l’Univers ».
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Découvrez le classement des villes "les plus moches de France"
RTL
Chaque année, l'association Paysages de France remet le trophée des communes les plus "moches de France". Découvrez quelles sont les quatre villes qui ont été désignées en 2023.
"Pas sûr qu'elles apprécient", peut-on lire sur le site de Paysages de France. L'association de protection de l'environnement vient de publier son palmarès 2023 des villes "les plus moches de France". Le communiqué officiel précise que l'objectif n'est pas de "stigmatiser ces villes mais plutôt de mettre en évidence des atteintes à nos paysages".
Dans la catégorie "Mise en valeur du patrimoine", c'est Paris qui remporte le prix. Si la Ville Lumière est souvent réputée pour être l'une des plus belles du monde, l'association pointe du doigt la célèbre place des Vosges, dans le quartier du Marais (IVe arrondissement). Si cette place mythique est épinglée, c'est parce qu'une bâche publicitaire a été installée sur des monuments historiques lors de travaux.
Trop d'enseignes et des plots en guise de menhirs
Parmi les autres "lauréats", la zone commerciale du Pré-Droué à Chavelot (Vosges) remporte le prix de la catégorie "Tripotée d'enseignes et sans concession". Dans le même genre, l'entrée de la ville de Honfleur (Calvados) est gagne le prix de "Foire à l'enseigne" : "bâches, panneaux, bannières, totems, drapeaux, toutes les enseignes sont en promotion", ironise Paysages de France.
Enfin, dans la dernière catégorie, la ville de Carnac (Morbihan) décroche le prix "Obélix 2.0" grâce à ses "Alignements du Ménec", pas en pierres ceux-ci. Les plots routiers sont moqués par l'association de protection des paysages français : "Enfin, on a droit à un bel alignement bien rectiligne, avec des menhirs parfaitement identiques, sans aucune végétation pour les dissimuler. Merci !", écrit Paysages de France dans le communiqué.
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Enceinte, elle porte un bébé dans chacun de ses deux utérus
PARTICULARITÉ Selon les médecins, il y avait une chance sur 50 millions qu’une telle situation se produise

20 Minutes
Une femme de l’Alabama (Etats-Unis) née avec deux utérus est enceinte de jumeaux qui sont logés dans chacune de ses cavités utérines. Kelsey Hatcher, 32 ans, qui raconte son histoire sur son compte Instagram « doubleuhatchlings » (double éclosion), sait depuis ses 17 ans que son utérus est « didelphe », c’est-à-dire qu’il possède deux cavités. Selon les estimations, 0,3 % des femmes environ sont dans ce cas.

« On était époustouflés ! »
C’est lors d’une échographie de routine réalisée à huit semaines en mai que la trentenaire, déjà mère de trois enfants, a appris qu’elle portait non seulement des jumeaux mais que chaque fœtus avait son propre utérus. « On était époustouflés ! Durant cette première échographie, on a BEAUCOUP rigolé », a-t-elle écrit sur Instagram.

« Le plus probable est qu’elle ait ovulé séparément et qu’un ovule soit descendu dans chaque trompe de Fallope », a expliqué sur la chaîne ABC Shweta Patel, la gynécologue-obstétricienne qui traite Kelsey Hatcher au Centre des mères et des enfants de l’Université de l’Alabama à Birmingham. Il est vraisemblable, a-t-elle poursuivi, « que les spermatozoïdes soient remontés dans chaque utérus et que la fécondation ait eu lieu séparément ».
Une chance sur 50 millions
Un utérus double est fréquemment associé un risque élevé de complications mais ses trois premiers enfants sont nés en bonne santé et à terme. Les grossesses dans les deux utérus sont extrêmement rares. L’intéressée dit que les médecins lui ont raconté qu’il y avait une chance sur 50 millions qu’une telle éventualité se produise. Le cas le mieux connu s’est produit au Bangladesh en 2019 quand Arifa Sultana, alors âgée de 20 ans, avait donné naissance à deux bébés en bonne santé à 26 jours d’intervalle.
Kelsey Hatcher espère pouvoir donner naissance aux « bébés A et B » par voie naturelle à la date d’accouchement estimée, le jour de Noël. Les deux vont pour l’instant très bien. Les utérus pourraient se contracter à des moments différents, à des minutes, des heures voire des jours d’écart. Kelsey et son mari Caleb savent qu’une ou deux césariennes pourraient être nécessaires.
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Les mouches nous aideront-elles à mieux vieillir ? Cette découverte pose des questions vertigineuses
OuestFrance

Le risque de mort naturelle s’accroît avec l’âge. Mais le vieillissement n’est pas un phénomène continu. Une étude chez la mouche révèle qu’il se déroule en deux phases distinctes. Et même qu’il est possible de repousser la phase funeste en agissant sur certains gènes.
Le temps atteint les individus différemment. Une étude, publiée dans la revue Aging cell, le confirme d’une manière étonnante. Elle a été coordonnée par le chercheur CNRS Michael Rera, qui dirige l’équipe UteLife (Université Paris Cité, Inserm). Le généticien décortique les phénomènes liés au vieillissement, en étudiant la drosophile, cette minuscule « mouche du vinaigre », qui envahit les fruits mûrs.

Prédire la mort

En 2012, Michael Rera avait montré qu’on peut prédire la mort chez les mouches. « Elles vivent une cinquantaine de jours, mais nous pouvons repérer les individus dont l’espérance de vie n’est plus que de trois jours. » Et ce, quel que soit l’âge des insectes, dix ou quarante jours ! L’expérience a consisté à colorer leur nourriture en bleu. Le lendemain, certaines mouches ont perdu leur couleur habituelle, brun orange, et sont devenues bleues : elles mourront bientôt. Le colorant n’est pas toxique ; c’est l’intestin qui, à un moment donné, devient perméable. Le vieillissement est donc un phénomène en deux grandes phases distinctes « séparées par une phase plus ou moins abrupte ».
La nouvelle étude montre que « les marqueurs du vieillissement se retrouvent essentiellement chez les mouches bleues, c’est-à-dire en phase tardive de leur vie » . Ces marqueurs sont l’inflammation de plusieurs organes et « une forte diminution de la capacité à se mouvoir, alors que cet effet du temps n’est pas observé sur les mouches dans la première phase ». Les mouches (bleues) en fin de parcours « ont aussi beaucoup moins de molécules qui stockent l’énergie ».
Les chercheurs ont étudié les gènes des insectes. Présents dans toutes les cellules, les gènes ont plusieurs rôles, notamment pour reconstruire et réguler l’organisme, au fil du temps. Chez les humains par exemple, certains gènes sont responsables de la production de protéines (kératine), dont dépend la qualité des cheveux et de la peau. D’autres régulent la réponse immunitaire lors d’une infection
L’étude révèle que l’expression de plusieurs gènes diffère énormément entre les deux phases de la vie. Jeunes ou âgées, les mouches dans la première phase ont des gènes qui s’expriment de manière assez similaire. Puis tout bascule dès le passage en phase 2 ! « Contrairement à ce que l’on pensait, le niveau d’expression des gènes est lié à l’âge biologique, et non à l’âge chronologique », résume Michael Rera.
Une longévité augmentée de 10 %

Pour le vérifier, les scientifiques se sont intéressés à trois gènes de la mouche. « En modifiant l’expression de ces gènes, nous avons retardé l’entrée dans la phase de vie tardive. La longévité des individus a alors augmenté de plus de 10 % » .
Chez d’autres espèces animales, comme la souris et le poisson zèbre, l’équipe UteLife a montré qu’on peut aussi identifier les individus en phase de vie tardive. Alors, est-ce possible chez les humains et vieillissons-nous en deux temps ? « On ne peut pas le conclure pour le moment, précise Michael Rera. Même si des données épidémiologiques sur les pathologies liées à l’âge montrent qu’on détecte des changements biologiques plusieurs années avant le décès. » Si cette phase de vie tardive existe chez nous, elle dure « six à huit ans » environ. Peut-on modifier l’expression de nos gènes, comme chez la mouche, pour vivre plus longtemps ? « Ce n’est pas réalisable techniquement et j’ignore si c’est souhaitable », répond le généticien.

Après ces découvertes, on peut imaginer de diagnostiquer notre âge biologique, pour se soigner en conséquence. Des thérapies retarderont-elles l’entrée dans la dernière ligne droite de la vie ? Ces recherches posent de nouvelles questions vertigineuses sur le vieillissement.
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Des vols suspendus pour ne pas perturber un examen crucial
LaPresse.ca
(Séoul) Plus d’un demi-million d’étudiants passent jeudi un examen crucial d’entrée à l’université en Corée du Sud, d’une telle importance que les autorités sont allées jusqu’à suspendre temporairement des vols pour éviter toute nuisance sonore.
Le test de neuf heures, que passent cette année 504 588 élèves, est crucial pour obtenir une place dans les meilleures universités.

Il est également considéré comme la voie d’accès à un statut social élevé, des carrières lucratives et même de bonnes perspectives de mariage.

Désigné sous le nom de « suneung » en coréen, cet examen est si important que les autorités ont pris des mesures extraordinaires pour empêcher toute perturbation pendant l’examen.
Afin de réduire les nuisances sonores pendant l’écoute du test d’anglais, le ministère des Transports de Séoul a annoncé une interdiction nationale de tous les décollages et atterrissages d’avions pendant 35 minutes, à l’exception des situations d’urgence.

À l’exception des avions en détresse, tous les avions en vol doivent maintenir une altitude supérieure à 3000 mètres pendant cette courte période. Plus de 90 vols ont dû être reportés à cause de l’examen.

Les services publics et les grandes entreprises ont été priés d’ajuster leurs heures d’ouverture afin de réduire les embouteillages et de garantir que les étudiants arrivent à l’heure pour l’examen national, qui a débuté à 8 h 40 locales.

La Bourse a également ouvert une heure plus tard que d’habitude.

Pour l’examen de cette année, les autorités ont abandonné les « questions tueuses », c’est-à-dire celles auxquelles on ne peut pas répondre en étudiant seulement le programme enseigné dans les écoles publiques, dans le but de réduire la dépendance à l’égard des écoles privées coûteuses.

« Des questions de difficulté appropriée ont été sélectionnées […] pour garantir que (les étudiants) puissent démontrer leur aptitude sur la base uniquement du contenu couvert dans le programme d’enseignement public », a déclaré jeudi Jeong Moon-seong, un professeur d’université qui a supervisé l’administration de l’examen cette année, aux journalistes.

L’énorme pression exercée sur les étudiants dans le système éducatif ultra-compétitif de Corée du Sud a été accusée de favoriser la dépression et le suicide des adolescents, dont les taux sont parmi les plus élevés au monde.

Les ménages sud-coréens ont dépensé l’année dernière plus de 20 milliards de dollars en cours privés pour les élèves des écoles primaires, collèges et écoles secondaires, selon les statistiques officielles.
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Le Sphinx de Gizeh aurait été sculpté par le vent d’après cette étude
Huffpost
Des chercheurs américains se sont penchés sur l’origine du Sphinx, dans l’espoir d’élucider le mystère de sa création.
INSOLITE - Une théorie qui décoiffe. D’après une équipe de physiciens américains, le Sphinx de Gizeh aurait en partie été sculpté… Par le vent. Une fascinante hypothèse, qui a pour ambition d’ajouter sa pierre à l’édifice des mystères concernant la monumentale sculpture qui trône aux pieds des pyramides.

« Je me suis intéressé au Sphinx après avoir fait des recherches sur la formation des reliefs, et plus particulièrement sur les yardangs », explique au HuffPost Leif Ristroph, professeur de mathématiques à NYU et auteur principal de l’étude. les yardangs sont des crêtes rocheuses créés par l’érosion due au vent dans les déserts.
Certains yardangs ont des formes étranges, et ressemblent même à des animaux allongés. Leif Ristroph et son équipe se sont donc demandé si le Sphinx pouvait être un yardang, dont les détails auraient ensuite été rajoutés par les ouvriers égyptiens il y a 4500 ans.

Les facéties du calcaire
Pour tester cette hypothèse, l’équipe a d’abord créé des petits tas d’argile de 10 centimètres de haut en guise de réplique du bloc de roche dont est taillé le Sphinx de Gizeh. « Ce dont on est sûr, c’est que le Sphinx est en calcaire, et que certaines parties, en particulier la tête, sont faites de calcaire plus compact, et donc plus résistant à l’érosion », précise Leif. Afin d’imiter cette composition, des bouts de plastiques ont été insérés dans l’agile, avant d’être placés dans un tunnel à eau.

L’eau du tunnel coulant très vite, plusieurs milliers d’années d’érosion ont ainsi pu être répliquées en seulement quelques heures… Ce qui a permis à Leif de découvrir que dès que le courant de l’eau se déplaçait principalement dans un sens, le tas d’argile finissait par ressembler à une sorte d’animal allongé. « Évidemment, notre expérience simplifie les conditions que l’on retrouve dans la nature, et on utilise ici de l’eau à la place du vent… Mais les formes obtenues ne semblent pas très sensibles à ces paramètres », conclut Leif.
En effet, le résultat s’explique plutôt par la présence de blocs plus compacts à l’intérieur du Sphinx : lorsque l’eau ou le vent font face à des morceaux de calcaire plus résistants à l’érosion, ils vont changer de trajectoire. Sur des milliers d’années, ce motif d’érosion va naturellement créer ce qui ressemble à un cou, des épaules, des pattes… Et tout cela sans intervention des humains. Il aura donc « suffit » aux Égyptiens de tailler des yeux, un nez et une bouche au rocher.
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Jeasse

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ce que l'on sait avec certitude, c'est que c'est Obélix qui a cassé le nez du Sphinx ::D:
Dernière édition par Jeasse le 19 Nov 2023, 19:10, édité 1 fois.
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Excréments, animaux en décomposition … Pourquoi les chiens aiment-ils tout renifler ?
Comportement. Excréments ou charogne, certains chiens ont un goût très sûr pour tout ce qui empeste. D’où ce fâcheux penchant leur vient-il et y a-t-il un risque à les laisser faire ?

Ouest-France
Peu importe où elles se trouvent, il les sent : crottes de toutes natures ou cadavres d’animaux en décomposition, les matières les plus malodorantes agissent sur votre chien à la manière d’un aimant. Inutile d’espérer le rattraper si vous n’avez pas flairé le piège à temps : emporté par sa truffe, l’animal ira inéluctablement s’y vautrer. Avec délice. Mais comment l’éthologie, la science du comportement animal, explique-t-elle cela ?
Camouflage olfactif
À vrai dire, elle ne l’explique pas tout à fait. Plusieurs hypothèses ont été avancées. La plus connue suggère qu’il s’agirait d’un camouflage olfactif. Cela aurait permis au chien chasseur, avant sa domestication, de ne pas être repéré par ses proies ou encore d’avancer masqué, face à d’éventuels prédateurs.

Autre explication, autre persistance d’un comportement ancestral : le chien s’imprégnerait de l’odeur des fèces ou des carcasses pour signaler à la meute la présence d’un prédateur. Ou d’une proie.

Qu’en pense le vétérinaire Thierry Bedossa ? Si la seconde hypothèse lui semble en dehors des clous, il adhère à la première : « Même le plus mignon des chihuahuas est un carnivore prédateur. Le comportement qui consiste à aller se rouler dans des déjections est profondément inscrit dans l’histoire évolutive du chien, et l’on peut penser que c’était à l’origine pour éviter d’être repéré par ses proies. »

Peu importe où elles se trouvent, il les sent : crottes de toutes natures ou cadavres d’animaux en décomposition, les matières les plus malodorantes agissent sur votre chien à la manière d’un aimant. Inutile d’espérer le rattraper si vous n’avez pas flairé le piège à temps : emporté par sa truffe, l’animal ira inéluctablement s’y vautrer. Avec délice. Mais comment l’éthologie, la science du comportement animal, explique-t-elle cela ?

Camouflage olfactif
À vrai dire, elle ne l’explique pas tout à fait. Plusieurs hypothèses ont été avancées. La plus connue suggère qu’il s’agirait d’un camouflage olfactif. Cela aurait permis au chien chasseur, avant sa domestication, de ne pas être repéré par ses proies ou encore d’avancer masqué, face à d’éventuels prédateurs.

Autre explication, autre persistance d’un comportement ancestral : le chien s’imprégnerait de l’odeur des fèces ou des carcasses pour signaler à la meute la présence d’un prédateur. Ou d’une proie.

Qu’en pense le vétérinaire Thierry Bedossa ? Si la seconde hypothèse lui semble en dehors des clous, il adhère à la première : « Même le plus mignon des chihuahuas est un carnivore prédateur. Le comportement qui consiste à aller se rouler dans des déjections est profondément inscrit dans l’histoire évolutive du chien, et l’on peut penser que c’était à l’origine pour éviter d’être repéré par ses proies. »

« Les goûts et les couleurs »…même pour les chiens !
Il ajoute : N’oublions pas que depuis 15 000 ans, au moins, les chiens ont charogné à proximité de nos lieux d’habitation, principalement où se trouvent nos excréments, nos déchets avariés.

Est-ce à dire que seules les mauvaises odeurs les plus fortes flattent leur museau ? Ah, les goûts et les couleurs… Sachons rester prudents et humbles lorsque nous tentons de nous mettre dans la tête d’un chien. Je connais très personnellement des chiens délicats – les miens – qui refuseront de dormir dans un panier s’ils y reniflent la plus petite trace d’urine. Les mêmes qui n’hésiteront pas, une fois en forêt, à se rouler dans les déjections d’un daim ou d’un sanglier… Voire à les boulotter.

Pas de danger
Mais à propos, est-ce dangereux pour Toutou ? « En quarante ans de métier, je n’ai jamais vu aucun chien tomber malade de s’être roulé dans du caca, s’amuse Thierry Bedossa. En revanche, ceux qui pratiquent la coprophagie sont souvent des chiens nourris exclusivement aux croquettes. Le chien étant un gourmet en puissance, diversifier le régime alimentaire de son animal suffit généralement à le détourner des excréments. »
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