À Londres, une cage d’escalier désaffectée vendue pour 29 000 euros
L’opération est vue comme un nouveau symbole de la crise du logement qui frappe le Royaume-Uni.
Par Le HuffPost
Quatre étages, des grandes fenêtres et une belle luminosité… Non, on ne vous parle pas d’un appartement, mais bien d’une cage d’escalier désaffectée située derrière un Starbucks près de Londres. elle vient d’être vendue pour 25 000 livres sterling, soit plus de 29 000 euros.
Située au cœur de Twickenham, une banlieue au sud-ouest de Londres, elle est décrite par l’agence qui la met en vente comme ayant « du potentiel de développement » et étant « proche des transports en commun, ainsi que de nombreux magasins, bars et restaurants. »
Des atouts qui ont convaincu un entrepreneur de 49 ans de sauter le pas : d’après la BBC, en achetant cet escalier, Simon Squibb souhaite montrer « que rien n’est impossible. » Pour le moment, il imagine y créer des magasins éphémères à chaque étage, ou encore un lieu de rendez-vous pour les entrepreneurs. L’heureux acheteur en est devenu le quasi-propriétaire, la cage d’escalier étant soumise à un bail de très longue durée, dit bail emphytéotique, d’une durée de plus de 990 ans.
Crise du logement
Dans une visite virtuelle mise en ligne par l’agence Barnard Marcus, on y aperçoit des marches encore encombrées de boîtes en carton et de vélos, ainsi que quelques fenêtres cassées. La vidéo montre également l’immeuble auquel l’escalier était auparavant connecté.
Les appartements à Twickenham se vendant en moyenne pour plus de 400 000 livres sterling d’après nos confrères du Guardian, le prix de cette cage d’escalier bien située semble coller à la réalité de la crise du logement auquel le Royaume-Uni fait face. Néanmoins, l’aménagement ou la reconversion de cet espace inhabituel nécessitera à son nouveau propriétaire une sacrée dose d’imagination et un permis de construire.
Questions existentielles - page 291
Marre du volley ou de la voile ? On vous propose des sports insolites à tester (ou non) cet été
OuestFrance
Si vous cherchez de nouvelles activités pour cet été, dans votre jardin, dans un parc ou à la plage, vous pourriez vous laisser tenter par un de ces sports, plus ou moins insolites. Petite revue de ces sports méconnus ou très improbables qui pourraient animer votre mois d’août.
Cet été, entre deux averses, vous pourriez avoir envie d’essayer une nouvelle activité. Voici donc un florilège de sports que vous ne connaissez (peut-être) pas encore. Petite ou grande balle, trampoline, hamac, lancer original… Il y en a pour tous les goûts.
Le spikeball
Entre quatre et six joueurs, deux sports à petites balles peuvent être particulièrement adaptés à un jeu de plage, de jardin ou de parc. Lorsqu’un rayon de soleil illumine les villes, peut-être avez-vous déjà remarqué de petits trampolines, autour desquels quatre personnes bougeaient dans tous les sens. Si oui, il s’agissait du spikeball . Venu tout droit des États-Unis, cette pratique est déjà assez populaire en France.
Ce sport, entre le volley et le jeu de paume se joue à deux équipes de deux. Chaque équipe doit faire rebondir à son tour la balle sur un filet fixé à un cadre rond près du sol (le fameux petit trampoline), après trois touches au maximum, comme au volley donc. Quelques vidéos prises lors de compétitions, circulent sur internet. Mais pas besoin d’un tel niveau pour commencer. Ces trampolines et balles sont d’ailleurs facilement accessibles dans de nombreux magasins de sport en France.
Le sepak takraw
Un autre sport, le sepak takraw, ressemble par la taille de la baille au spike ball, mais se rapproche bien plus du volley par la hauteur du filet. Pour être bon dans cette discipline très populaire en Malaisie ou aux Philippines, le mieux est de savoir utiliser ses pieds et d’être un brin acrobate.
Les règles ? Deux équipes de trois joueurs s’affrontent à l’aide d’une balle d’environ 15 cm de diamètre et d’un filet de séparation de 1,50 mètre. La balle peut-être renvoyée par n’importe quelle partie du corps sauf… Les bras et les mains. Les compétitions sont généralement très spectaculaires. Un sport qui peut être une alternative au plus classique « tennis-ballon ».
Le kin-ball
Si vous êtes plus nombreux et que vous avez accès à un plus vaste espace, comme un stade de football ou que, par chance, vous disposez d’une plage vide, deux sports pourraient vous intéresser. Le kin-ball (illustration de l’article) est un sport dont la taille de la balle contraste nettement avec les deux activités précédemment mentionnées. Un ballon de 1,22 mètre de diamètre est posé au centre du terrain et trois équipes de quatre joueurs s’affrontent.
Le but du jeu est relativement simple, les joueurs doivent attraper le ballon avec n’importe quelle partie du corps afin d’éviter qu’il ne touche le sol. Beaucoup d’écoles ou d’associations, notamment dans l’Ouest, ont déjà démocratisé la pratique devenue familiale. Le SCO d’Angers a d’ailleurs son équipe féminine en première division française.
L’ultimate
Avec une taille de terrain comparable à celle du kin-ball, vous pouvez jouer à l’ultimate. Popularisé il y a quelques années, ce sport permet d’apporter une dimension compétitive au frisbee. Si vous êtes plusieurs en vacances et munis d’un frisbee, il pourrait animer un après-midi ensoleillée.
Bien que les règles soient ajustables, dans les compétitions officielles deux équipes de sept participants et participantes (jeu mixte, même dans certaines compétitions) s’affrontent. Pour gagner des points, les équipes, par des passes successives, doivent envoyer puis rattraper le frisbee dans la zone d’en-but adverse. Disque en main, interdiction de courir et de bousculer, ni même de toucher son adversaire.
Pour la petite histoire, le jeu s’est notamment développé grâce à des étudiants américains, impudents, qui, après leur repas, se lançaient les moules à tarte de la « frisbie pie compagny », boulangerie voisine et fournisseur de l’université. Ce sport, joué désormais à haut niveau, offre régulièrement des actions très impressionnantes.
OuestFrance
Si vous cherchez de nouvelles activités pour cet été, dans votre jardin, dans un parc ou à la plage, vous pourriez vous laisser tenter par un de ces sports, plus ou moins insolites. Petite revue de ces sports méconnus ou très improbables qui pourraient animer votre mois d’août.
Cet été, entre deux averses, vous pourriez avoir envie d’essayer une nouvelle activité. Voici donc un florilège de sports que vous ne connaissez (peut-être) pas encore. Petite ou grande balle, trampoline, hamac, lancer original… Il y en a pour tous les goûts.
Le spikeball
Entre quatre et six joueurs, deux sports à petites balles peuvent être particulièrement adaptés à un jeu de plage, de jardin ou de parc. Lorsqu’un rayon de soleil illumine les villes, peut-être avez-vous déjà remarqué de petits trampolines, autour desquels quatre personnes bougeaient dans tous les sens. Si oui, il s’agissait du spikeball . Venu tout droit des États-Unis, cette pratique est déjà assez populaire en France.
Ce sport, entre le volley et le jeu de paume se joue à deux équipes de deux. Chaque équipe doit faire rebondir à son tour la balle sur un filet fixé à un cadre rond près du sol (le fameux petit trampoline), après trois touches au maximum, comme au volley donc. Quelques vidéos prises lors de compétitions, circulent sur internet. Mais pas besoin d’un tel niveau pour commencer. Ces trampolines et balles sont d’ailleurs facilement accessibles dans de nombreux magasins de sport en France.
Le sepak takraw
Un autre sport, le sepak takraw, ressemble par la taille de la baille au spike ball, mais se rapproche bien plus du volley par la hauteur du filet. Pour être bon dans cette discipline très populaire en Malaisie ou aux Philippines, le mieux est de savoir utiliser ses pieds et d’être un brin acrobate.
Les règles ? Deux équipes de trois joueurs s’affrontent à l’aide d’une balle d’environ 15 cm de diamètre et d’un filet de séparation de 1,50 mètre. La balle peut-être renvoyée par n’importe quelle partie du corps sauf… Les bras et les mains. Les compétitions sont généralement très spectaculaires. Un sport qui peut être une alternative au plus classique « tennis-ballon ».
Le kin-ball
Si vous êtes plus nombreux et que vous avez accès à un plus vaste espace, comme un stade de football ou que, par chance, vous disposez d’une plage vide, deux sports pourraient vous intéresser. Le kin-ball (illustration de l’article) est un sport dont la taille de la balle contraste nettement avec les deux activités précédemment mentionnées. Un ballon de 1,22 mètre de diamètre est posé au centre du terrain et trois équipes de quatre joueurs s’affrontent.
Le but du jeu est relativement simple, les joueurs doivent attraper le ballon avec n’importe quelle partie du corps afin d’éviter qu’il ne touche le sol. Beaucoup d’écoles ou d’associations, notamment dans l’Ouest, ont déjà démocratisé la pratique devenue familiale. Le SCO d’Angers a d’ailleurs son équipe féminine en première division française.
L’ultimate
Avec une taille de terrain comparable à celle du kin-ball, vous pouvez jouer à l’ultimate. Popularisé il y a quelques années, ce sport permet d’apporter une dimension compétitive au frisbee. Si vous êtes plusieurs en vacances et munis d’un frisbee, il pourrait animer un après-midi ensoleillée.
Bien que les règles soient ajustables, dans les compétitions officielles deux équipes de sept participants et participantes (jeu mixte, même dans certaines compétitions) s’affrontent. Pour gagner des points, les équipes, par des passes successives, doivent envoyer puis rattraper le frisbee dans la zone d’en-but adverse. Disque en main, interdiction de courir et de bousculer, ni même de toucher son adversaire.
Pour la petite histoire, le jeu s’est notamment développé grâce à des étudiants américains, impudents, qui, après leur repas, se lançaient les moules à tarte de la « frisbie pie compagny », boulangerie voisine et fournisseur de l’université. Ce sport, joué désormais à haut niveau, offre régulièrement des actions très impressionnantes.
À quoi ressemblait le plus gros animal ayant jamais vécu sur Terre ?
RTL
Des chercheurs pensent avoir découvert au Pérou l'animal le plus lourd de tous les temps : un ancêtre de la baleine bleue qui vivait il y a 39 millions d'années.
Insolite découverte. Au Pérou, des chercheurs pensent avoir déniché, grâce à des fossiles, l'animal le plus lourd de tous les temps. Il s'agirait d'un ancêtre lointain de la baleine bleue, qui peuplait la mer il y a 39 millions d'années. Plusieurs ossements fossilisés ont été découverts au Pérou, dont un spécimen impressionnant.
Le Perucetus colossus avait des vertèbres de 200 kilos. Les scientifiques en ont déduit qu'il devait peser au total 180 tonnes, soit l'équivalent de 250 vaches. Les chercheurs pensent qu'il avait sans doute des congénères encore plus gros et que l'animal pouvait peser jusqu'à 340 tonnes, soit huit troupeaux de vaches rassemblés dans un seul animal.
Il mesurait environ 20 mètres de long, nageait et vivait dans l'eau selon les scientifiques qui ne sont pas encore en mesure de détailler son alimentation. Mais, à cause de son poids, il ne pouvait pas se déplacer très vite et devait donc racler les fonds marins. En revanche, il avait une tête ridiculement petite par rapport à son impressionnant gabarit.
La baleine bleue détrônée
Il serait le plus gros mammifère connu ayant vécu sur Terre. Auparavant, le record était détenu par la baleine bleue, qui dépasse souvent 150 tonnes. Les cétacés sont de loin les animaux les plus lourds du monde, bien plus que ne l'étaient les dinosaures, qui pesaient en moyenne seulement 70 tonnes et possédaient une envergure moindre. Le fossile du Perucetus, accompagné de ces énormes vertèbres, peuvent être admirées au musée de Lima au Pérou depuis le 2 août dernier.
RTL
Des chercheurs pensent avoir découvert au Pérou l'animal le plus lourd de tous les temps : un ancêtre de la baleine bleue qui vivait il y a 39 millions d'années.
Insolite découverte. Au Pérou, des chercheurs pensent avoir déniché, grâce à des fossiles, l'animal le plus lourd de tous les temps. Il s'agirait d'un ancêtre lointain de la baleine bleue, qui peuplait la mer il y a 39 millions d'années. Plusieurs ossements fossilisés ont été découverts au Pérou, dont un spécimen impressionnant.
Le Perucetus colossus avait des vertèbres de 200 kilos. Les scientifiques en ont déduit qu'il devait peser au total 180 tonnes, soit l'équivalent de 250 vaches. Les chercheurs pensent qu'il avait sans doute des congénères encore plus gros et que l'animal pouvait peser jusqu'à 340 tonnes, soit huit troupeaux de vaches rassemblés dans un seul animal.
Il mesurait environ 20 mètres de long, nageait et vivait dans l'eau selon les scientifiques qui ne sont pas encore en mesure de détailler son alimentation. Mais, à cause de son poids, il ne pouvait pas se déplacer très vite et devait donc racler les fonds marins. En revanche, il avait une tête ridiculement petite par rapport à son impressionnant gabarit.
La baleine bleue détrônée
Il serait le plus gros mammifère connu ayant vécu sur Terre. Auparavant, le record était détenu par la baleine bleue, qui dépasse souvent 150 tonnes. Les cétacés sont de loin les animaux les plus lourds du monde, bien plus que ne l'étaient les dinosaures, qui pesaient en moyenne seulement 70 tonnes et possédaient une envergure moindre. Le fossile du Perucetus, accompagné de ces énormes vertèbres, peuvent être admirées au musée de Lima au Pérou depuis le 2 août dernier.
Imaginez un peu la tempête déclenchée sur notre planète, voire même dans l'univers,
si cet animal ayant trop bouffé de haricots ne pouvait s'empêcher de péter...
Je préfère ne pas y penser...
Prout, prout...
si cet animal ayant trop bouffé de haricots ne pouvait s'empêcher de péter...
Je préfère ne pas y penser...
Prout, prout...
Dernière édition par Alphabis le 04 Août 2023, 08:13, édité 1 fois.
Comment les animaux réussissent-ils à faire des centaines de kilomètres pour retrouver leur maître ?
OuestFrance
Chaque année, des animaux de compagnie sont portés disparu pour de multiples raisons. Ils disparaissent pendant des jours, des semaines, même des années ! Mais certains d’entre eux, parviennent à retrouver la trace de leur maître après un long voyage. Comme cette chienne, qui a parcouru plus de 160 kilomètres en une nuit, avant d’être retrouvée le 1er août 2023 par la police suisse. Alors est-ce le hasard ou quelque chose qui relève de l’instinct ?
Elle s’appelle Lucky et a 14 ans. La petite chienne a été retrouvée le 1er août 2023 par la police suisse à la périphérie de Genève. Elle était seule en train d’errer et « visiblement fatiguée » selon les agents, comme le précise le journal Le Soir.
Un état de fatigue qui en dit long, car les policiers ont découvert que Lucky avait parcouru une distance « de 163 kilomètres en l’espace d’une nuit » en scannant sa puce d’identification. Un véritable exploit sportif pour la petite chienne Border Terrier.
« Un exploit que certains vétérinaires justifient par l’endurance »
La veille, Lucky a pris la fuite en partant de Berne (Suisse) pour retrouver ses maîtres, partis en vacances en Allemagne. Ces derniers avaient veillé à la laisser chez un ami, le temps de leur séjour. Mais rien à faire. L’absence de ses maîtres était trop dure à supporter. Lucky a préféré suivre son cœur et prendre la route, avant d’être arrêtée près de la ville de Genève.
« La distance parcourue par l’animal équivaut à un trajet d’environ deux heures et demie en voiture », note le média belge RTBF.
« Certains chiens sont capables de sauter du quatrième étage pour rejoindre leur propriétaire »
Pour la vétérinaire Sylvia Masson, jointe par téléphone, il s’agit avant toutes choses d’une question de sens. « Les chiens ont un excellent odorat, mais cette histoire extraordinaire n’est pas la norme, car parcourir 163 kilomètres pour un Border Terrier, cela relève d’une performance sportive ! », précise la spécialiste européenne en médecine du comportement des animaux de compagnie.
D’autant plus, que cette race de chien n’est pas vraiment connue pour parcourir d’aussi longue distance, malgré son endurance. D’après l’experte, plusieurs scénarios existent. « Si on discute avec ses propriétaires, ils vous diront peut-être qu’elle était agitée ou sénile. Certains chiens totalement perdus peuvent déambuler pendant des heures », avance Sylvia Masson.
Mais l’affect est aussi un élément à tenir compte. « L’attachement affectif joue beaucoup. Certains chiens sont capables de sauter du quatrième étage pour rejoindre leur propriétaire », confie la vétérinaire qui travaille à Voreppe (Isère).
En 2021, Pablo avait, lui, parcouru… 380 kilomètres
Et Lucky n’est pas la seule à avoir tenté le diable pour retrouver ses maîtres. Déjà, en août 2021, Pablo, le chien de Catherine et Roger, deux habitants du Gard, avait traversé une partie de la France pour rentrer à la maison à Bezouce, comme le précisent nos confrères de 20 minutes.
De retour de vacances, le petit jagterrier s’était égaré au moment d’une escale en Savoie, en présence de ses maîtres. « Nous l’avons attendu des heures. Nous avons même passé la nuit sur place, en vain », racontait Catherine au micro de France Bleu Gard Lozère.
Catherine et Roger signalent sa disparition en mairie, puis se rendent quelques jours dans l’Ain. Une semaine plus tard, le miracle se produit. « Une amie du couple, chargée de surveiller leur maison à Bezouce, leur envoie une photo par texto », note le média France Bleu Gard Lozère. « Dessus, j’ai reconnu Pablo, je n’en revenais pas, c’était un vrai moment de bonheur », se remémore Catherine, auprès de la radio locale.
Après les chiens, les chats, eux aussi, ont leurs belles histoires. En novembre 2022, la jeune Coxy avait parcouru 600 kilomètres entre l’Orne et la Meuse, rapporte la chaîne TF1. Direction son ancien domicile, là où plusieurs mois auparavant ses maîtres avaient déménagé pour partir vivre en Normandie.
OuestFrance
Chaque année, des animaux de compagnie sont portés disparu pour de multiples raisons. Ils disparaissent pendant des jours, des semaines, même des années ! Mais certains d’entre eux, parviennent à retrouver la trace de leur maître après un long voyage. Comme cette chienne, qui a parcouru plus de 160 kilomètres en une nuit, avant d’être retrouvée le 1er août 2023 par la police suisse. Alors est-ce le hasard ou quelque chose qui relève de l’instinct ?
Elle s’appelle Lucky et a 14 ans. La petite chienne a été retrouvée le 1er août 2023 par la police suisse à la périphérie de Genève. Elle était seule en train d’errer et « visiblement fatiguée » selon les agents, comme le précise le journal Le Soir.
Un état de fatigue qui en dit long, car les policiers ont découvert que Lucky avait parcouru une distance « de 163 kilomètres en l’espace d’une nuit » en scannant sa puce d’identification. Un véritable exploit sportif pour la petite chienne Border Terrier.
« Un exploit que certains vétérinaires justifient par l’endurance »
La veille, Lucky a pris la fuite en partant de Berne (Suisse) pour retrouver ses maîtres, partis en vacances en Allemagne. Ces derniers avaient veillé à la laisser chez un ami, le temps de leur séjour. Mais rien à faire. L’absence de ses maîtres était trop dure à supporter. Lucky a préféré suivre son cœur et prendre la route, avant d’être arrêtée près de la ville de Genève.
« La distance parcourue par l’animal équivaut à un trajet d’environ deux heures et demie en voiture », note le média belge RTBF.
« Certains chiens sont capables de sauter du quatrième étage pour rejoindre leur propriétaire »
Pour la vétérinaire Sylvia Masson, jointe par téléphone, il s’agit avant toutes choses d’une question de sens. « Les chiens ont un excellent odorat, mais cette histoire extraordinaire n’est pas la norme, car parcourir 163 kilomètres pour un Border Terrier, cela relève d’une performance sportive ! », précise la spécialiste européenne en médecine du comportement des animaux de compagnie.
D’autant plus, que cette race de chien n’est pas vraiment connue pour parcourir d’aussi longue distance, malgré son endurance. D’après l’experte, plusieurs scénarios existent. « Si on discute avec ses propriétaires, ils vous diront peut-être qu’elle était agitée ou sénile. Certains chiens totalement perdus peuvent déambuler pendant des heures », avance Sylvia Masson.
Mais l’affect est aussi un élément à tenir compte. « L’attachement affectif joue beaucoup. Certains chiens sont capables de sauter du quatrième étage pour rejoindre leur propriétaire », confie la vétérinaire qui travaille à Voreppe (Isère).
En 2021, Pablo avait, lui, parcouru… 380 kilomètres
Et Lucky n’est pas la seule à avoir tenté le diable pour retrouver ses maîtres. Déjà, en août 2021, Pablo, le chien de Catherine et Roger, deux habitants du Gard, avait traversé une partie de la France pour rentrer à la maison à Bezouce, comme le précisent nos confrères de 20 minutes.
De retour de vacances, le petit jagterrier s’était égaré au moment d’une escale en Savoie, en présence de ses maîtres. « Nous l’avons attendu des heures. Nous avons même passé la nuit sur place, en vain », racontait Catherine au micro de France Bleu Gard Lozère.
Catherine et Roger signalent sa disparition en mairie, puis se rendent quelques jours dans l’Ain. Une semaine plus tard, le miracle se produit. « Une amie du couple, chargée de surveiller leur maison à Bezouce, leur envoie une photo par texto », note le média France Bleu Gard Lozère. « Dessus, j’ai reconnu Pablo, je n’en revenais pas, c’était un vrai moment de bonheur », se remémore Catherine, auprès de la radio locale.
Après les chiens, les chats, eux aussi, ont leurs belles histoires. En novembre 2022, la jeune Coxy avait parcouru 600 kilomètres entre l’Orne et la Meuse, rapporte la chaîne TF1. Direction son ancien domicile, là où plusieurs mois auparavant ses maîtres avaient déménagé pour partir vivre en Normandie.
Barbie dépasse le milliard de dollars au box-office mondial, une première pour une réalisatrice
OuestFrance
Le film Barbie réalisé par Greta Gerwig a passé le cap du milliard de dollars de recettes au box-office mondial, selon les estimations publiées ce dimanche 6 août 2023 par un cabinet spécialisé. Il s’agit d’une première pour une réalisatrice.
Des comptes bancaires dans le rose. Le film Barbie réalisé par Greta Gerwig a passé le cap du milliard de dollars de recettes au box-office mondial, une première pour une réalisatrice en solo, selon les estimations, publiées dimanche 6 août 2023, du cabinet spécialisé Exhibitor Relations, rapporte l’Agence France-Presse (AFP).
Avec le duo Margot Robbie et Ryan Gosling, déjà iconiques en Barbie et Ken, la comédie qui met en scène la poupée s’aventurant dans le monde réel totalise plus de 1,03 milliard de dollars de recettes à travers le monde, dont 459 millions de dollars en Amérique du Nord.
Une intense campagne marketing
La vague rose Barbie continue de déferler sur les cinémas, trois week-ends après sa sortie tant attendue. Le film, qui a fait l’objet d’une intense campagne marketing s’est rapidement imposé comme un immense succès commercial.
Avec 53 millions de dollars supplémentaires engrangés dans le weekend en Amérique du Nord, il offre une bouffée d’air frais aux cinémas, durement touchés par le Covid-19 et la bascule du public vers les services de streaming.
«Le film a captivé l’imagination des cinéphiles à travers le monde et ces résultats sont incroyablement impressionnants, avec un cumul mondial qui a dépassé ce weekend le milliard de dollars», salue Paul Dergarabedian, analyste média de la société spécialisée Comscore.
OuestFrance
Le film Barbie réalisé par Greta Gerwig a passé le cap du milliard de dollars de recettes au box-office mondial, selon les estimations publiées ce dimanche 6 août 2023 par un cabinet spécialisé. Il s’agit d’une première pour une réalisatrice.
Des comptes bancaires dans le rose. Le film Barbie réalisé par Greta Gerwig a passé le cap du milliard de dollars de recettes au box-office mondial, une première pour une réalisatrice en solo, selon les estimations, publiées dimanche 6 août 2023, du cabinet spécialisé Exhibitor Relations, rapporte l’Agence France-Presse (AFP).
Avec le duo Margot Robbie et Ryan Gosling, déjà iconiques en Barbie et Ken, la comédie qui met en scène la poupée s’aventurant dans le monde réel totalise plus de 1,03 milliard de dollars de recettes à travers le monde, dont 459 millions de dollars en Amérique du Nord.
Une intense campagne marketing
La vague rose Barbie continue de déferler sur les cinémas, trois week-ends après sa sortie tant attendue. Le film, qui a fait l’objet d’une intense campagne marketing s’est rapidement imposé comme un immense succès commercial.
Avec 53 millions de dollars supplémentaires engrangés dans le weekend en Amérique du Nord, il offre une bouffée d’air frais aux cinémas, durement touchés par le Covid-19 et la bascule du public vers les services de streaming.
«Le film a captivé l’imagination des cinéphiles à travers le monde et ces résultats sont incroyablement impressionnants, avec un cumul mondial qui a dépassé ce weekend le milliard de dollars», salue Paul Dergarabedian, analyste média de la société spécialisée Comscore.
Le championnat du monde de cracher de bigorneaux se tient dans le Finistère
OuestFrance
Le championnat du monde de cracher de bigorneaux est organisé tous les ans sur le port de Moguériec, dans la commune de Sibiril, dans le Finistère. Cette année, il avait lieu le dimanche 6 août.
C'est un championnat du monde pour le moins insolite qui se tient à Sibiril (Finistère). Celui du cracher de bigorneau, avec un objectif : projeter la coquille le plus loin possible, rien qu'avec la force du souffle.
Lire aussi : Finistère. Le cracher de bigorneaux demande technique, entraînement et humour
Un record à 11 mètres
Certains sportifs se préparent en amont, d'autres tentent leur chance pour la première fois… Ce dimanche 6 août 2023, au port de Moguériec, plusieurs compétiteurs s'affrontaient pour tenter de battre le record établi à 11 mètres.
OuestFrance
Le championnat du monde de cracher de bigorneaux est organisé tous les ans sur le port de Moguériec, dans la commune de Sibiril, dans le Finistère. Cette année, il avait lieu le dimanche 6 août.
C'est un championnat du monde pour le moins insolite qui se tient à Sibiril (Finistère). Celui du cracher de bigorneau, avec un objectif : projeter la coquille le plus loin possible, rien qu'avec la force du souffle.
Lire aussi : Finistère. Le cracher de bigorneaux demande technique, entraînement et humour
Un record à 11 mètres
Certains sportifs se préparent en amont, d'autres tentent leur chance pour la première fois… Ce dimanche 6 août 2023, au port de Moguériec, plusieurs compétiteurs s'affrontaient pour tenter de battre le record établi à 11 mètres.
Cette « météorite » qui a surpris les Australiens n’en était pas une
Huffpost
Alors que les retours d’objets spatiaux dans l’atmosphère sont plutôt rares, celui qui a survolé Melbourne la nuit dernière a émerveillé les habitants.
DÉBRIS SPATIAUX - Une boule de feu a illuminé le ciel de Melbourne, dans l’État australien de Victoria. Dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 août, vers minuit, les habitants de la ville ont cru apercevoir une météorite. De nombreuses vidéos ont circulé à ce sujet sur les réseaux sociaux.
La couleur orange que l’on aperçoit sur ces images indique pourtant qu’il ne s’agit pas d’un astéroïde, mais plutôt de métal ou de plastique en feu, signifiant que l’objet est d’origine humaine. Ce ne sont donc que des débris spatiaux qui sont rentrés dans l’atmosphère.
Débris d’origine russe
Certains habitants ont ressenti une secousse, et une explosion retentissante a été entendue dans tout l’État de Victoria, à la pointe sud de l’Australie : on appelle ce phénomène un bang supersonique, c’est-à-dire le bruit que fait un objet lorsqu’il dépasse le mur du son. Cela se produit lorsque la vitesse de l’objet est plus rapide que celle du son.
L’astronome américain Jonathan McDowell a estimé sur Twitter l’origine de ces débris spatiaux. Selon lui, il pourrait s’agir d’une partie d’une fusée Soyouz-2 transportant le satellite de navigation GLONASS-K2 pour le placer en orbite, lancée par l’agence spatiale russe Rocosmos le 7 août.
L’Agence Spatiale Australienne a confirmé cette explication en détaillant que ladite fusée russe a été lancée depuis le Cosmodrome de Plessetsk, dans le Nord-Ouest de la Russie. Il était prévu que la fusée revienne dans l’atmosphère et atterrisse dans l’océan au large de l’État de Tasmanie, situé juste en dessous de l’État de Victoria et de Melbourne.
Huffpost
Alors que les retours d’objets spatiaux dans l’atmosphère sont plutôt rares, celui qui a survolé Melbourne la nuit dernière a émerveillé les habitants.
DÉBRIS SPATIAUX - Une boule de feu a illuminé le ciel de Melbourne, dans l’État australien de Victoria. Dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 août, vers minuit, les habitants de la ville ont cru apercevoir une météorite. De nombreuses vidéos ont circulé à ce sujet sur les réseaux sociaux.
La couleur orange que l’on aperçoit sur ces images indique pourtant qu’il ne s’agit pas d’un astéroïde, mais plutôt de métal ou de plastique en feu, signifiant que l’objet est d’origine humaine. Ce ne sont donc que des débris spatiaux qui sont rentrés dans l’atmosphère.
Débris d’origine russe
Certains habitants ont ressenti une secousse, et une explosion retentissante a été entendue dans tout l’État de Victoria, à la pointe sud de l’Australie : on appelle ce phénomène un bang supersonique, c’est-à-dire le bruit que fait un objet lorsqu’il dépasse le mur du son. Cela se produit lorsque la vitesse de l’objet est plus rapide que celle du son.
L’astronome américain Jonathan McDowell a estimé sur Twitter l’origine de ces débris spatiaux. Selon lui, il pourrait s’agir d’une partie d’une fusée Soyouz-2 transportant le satellite de navigation GLONASS-K2 pour le placer en orbite, lancée par l’agence spatiale russe Rocosmos le 7 août.
L’Agence Spatiale Australienne a confirmé cette explication en détaillant que ladite fusée russe a été lancée depuis le Cosmodrome de Plessetsk, dans le Nord-Ouest de la Russie. Il était prévu que la fusée revienne dans l’atmosphère et atterrisse dans l’océan au large de l’État de Tasmanie, situé juste en dessous de l’État de Victoria et de Melbourne.
Un mystérieux totem de plus de 2 mètres apparaît sur la côte anglaise, et personne ne sait pourquoi
OuestFrance
Fin juillet, un totem en bois est apparu sur un sentier côtier dans le sud-est de l’Angleterre. Plusieurs hypothèses sur la signification de cette œuvre de 2,40 mètres circulent. L’auteur de cette œuvre qui attire les curieux ne s’est pas (encore) fait connaître.
À la façon des monolithes mystérieusement découverts fin 2020 dans différents endroits du monde, un totem en bois a récemment fait son apparition sur le littoral anglais, comme l'a relevé Slate. L’intrigante œuvre d’art a été érigée le long d’un sentier côtier, le North Downs Way, dans la réserve naturelle de Capel-Le-Ferne, entre Douvres et Folkestone, dans le sud-est de l’Angleterre.
Depuis que cette pièce, haute de 8 pieds (2,4 mètres), au sommet de laquelle est sculptée une figure géométrique, est apparue dans la nuit du 27 juillet, les questions sur sa présence et sa signification vont bon train. Comment ce totem est arrivé là ? Pourquoi ? Qui en est à l’origine ? Les hypothèses se multiplient.
Sur les réseaux sociaux, toutes sortes d’hypothèses circulent quant à l’origine de cette structure en bois et sa signification : des extraterrestres, une antenne satellite, ou, plus plausible, une œuvre artistique à l’auteur inconnu, évoquent les médias britanniques.
Un dieu balte ou slave, ou « un bon présage »
Une inscription sculptée sur le poteau suscite particulièrement l’intérêt. Ce totem porte le nom de Perkūnas, le dieu balte de la foudre, du tonnerre et des tempêtes. « Perkūnas est son nom lituanien, explique au quotidien britannique The Guardian Francis Young, historien à l’Université d’Oxford et spécialisé dans l’histoire des religions et des croyances. Il est l’un des trois ou quatre principaux dieux de la mythologie balte, mais pas le plus important. »
Dans la mythologie lituanienne et lettone, il est le dieu de la guerre, de la loi, de l’ordre, de la fertilité, des montagnes et des chênes. Selon un archéologue polonais, Jerzy Sikora, de l’Université de Łódź, ce totem ressemblerait au Wolin Svetovit, une sculpture en bois du IXe ou Xe siècle représentant Svetovit, un dieu slave de l’abondance et de la guerre, trouvé en Pologne en 1974, rapporte encore le quotidien britannique.
L’artiste est invité à se manifester
De son côté, Ian Rickards, le responsable de la fondation Kent Wildlife Trust, qui gère la réserve naturelle de Capel-Le-Ferne, où se trouve le totem ainsi qu’une partie des célèbres falaises blanches de Douvres, aime à penser que cette œuvre mystérieuse a été installée à cet endroit précis pour protéger une espèce d’oiseaux récemment réintroduite dans la zone, des craves à bec rouge, qui nichent aussi près de la presqu’île de Crozon en France, dans le Finistère.
La fondation aimerait bien aussi conserver l’œuvre, qui est a priori unique au Royaume-Uni, et rencontre beaucoup de succès auprès des promeneurs. Pour cela, un permis de construire est nécessaire. Sur une page Facebook dédiée, l’organisme a lancé un appel aux dons pour conserver le totem. Sur les réseaux sociaux et sur le site de la fondation, le responsable de la Kent Wildlife Trust a aussi invité ce Bansky du totem, en référence à l’artiste de rue contemporain dont l’identité n’a jamais été confirmée. Mais pour l’instant, l’appel est resté sans réponse.
OuestFrance
Fin juillet, un totem en bois est apparu sur un sentier côtier dans le sud-est de l’Angleterre. Plusieurs hypothèses sur la signification de cette œuvre de 2,40 mètres circulent. L’auteur de cette œuvre qui attire les curieux ne s’est pas (encore) fait connaître.
À la façon des monolithes mystérieusement découverts fin 2020 dans différents endroits du monde, un totem en bois a récemment fait son apparition sur le littoral anglais, comme l'a relevé Slate. L’intrigante œuvre d’art a été érigée le long d’un sentier côtier, le North Downs Way, dans la réserve naturelle de Capel-Le-Ferne, entre Douvres et Folkestone, dans le sud-est de l’Angleterre.
Depuis que cette pièce, haute de 8 pieds (2,4 mètres), au sommet de laquelle est sculptée une figure géométrique, est apparue dans la nuit du 27 juillet, les questions sur sa présence et sa signification vont bon train. Comment ce totem est arrivé là ? Pourquoi ? Qui en est à l’origine ? Les hypothèses se multiplient.
Sur les réseaux sociaux, toutes sortes d’hypothèses circulent quant à l’origine de cette structure en bois et sa signification : des extraterrestres, une antenne satellite, ou, plus plausible, une œuvre artistique à l’auteur inconnu, évoquent les médias britanniques.
Un dieu balte ou slave, ou « un bon présage »
Une inscription sculptée sur le poteau suscite particulièrement l’intérêt. Ce totem porte le nom de Perkūnas, le dieu balte de la foudre, du tonnerre et des tempêtes. « Perkūnas est son nom lituanien, explique au quotidien britannique The Guardian Francis Young, historien à l’Université d’Oxford et spécialisé dans l’histoire des religions et des croyances. Il est l’un des trois ou quatre principaux dieux de la mythologie balte, mais pas le plus important. »
Dans la mythologie lituanienne et lettone, il est le dieu de la guerre, de la loi, de l’ordre, de la fertilité, des montagnes et des chênes. Selon un archéologue polonais, Jerzy Sikora, de l’Université de Łódź, ce totem ressemblerait au Wolin Svetovit, une sculpture en bois du IXe ou Xe siècle représentant Svetovit, un dieu slave de l’abondance et de la guerre, trouvé en Pologne en 1974, rapporte encore le quotidien britannique.
L’artiste est invité à se manifester
De son côté, Ian Rickards, le responsable de la fondation Kent Wildlife Trust, qui gère la réserve naturelle de Capel-Le-Ferne, où se trouve le totem ainsi qu’une partie des célèbres falaises blanches de Douvres, aime à penser que cette œuvre mystérieuse a été installée à cet endroit précis pour protéger une espèce d’oiseaux récemment réintroduite dans la zone, des craves à bec rouge, qui nichent aussi près de la presqu’île de Crozon en France, dans le Finistère.
La fondation aimerait bien aussi conserver l’œuvre, qui est a priori unique au Royaume-Uni, et rencontre beaucoup de succès auprès des promeneurs. Pour cela, un permis de construire est nécessaire. Sur une page Facebook dédiée, l’organisme a lancé un appel aux dons pour conserver le totem. Sur les réseaux sociaux et sur le site de la fondation, le responsable de la Kent Wildlife Trust a aussi invité ce Bansky du totem, en référence à l’artiste de rue contemporain dont l’identité n’a jamais été confirmée. Mais pour l’instant, l’appel est resté sans réponse.
Thaïlande : "Là-bas, les singes prennent le train et vont au cinéma", raconte Philippe Gougler
RTL
Saviez-vous que ces animaux sont si bien intégrés qu'ils vivent dans un cinéma, et prennent même le train ? Dans l'émission "Ça va faire des histoires", le journaliste Philippe Gougler raconte comment les singes et la population se partage la ville de Lopburi.
RTL vous propose, du lundi au vendredi, un concours d'anecdotes entre les experts de la radio. Philippe Gougler vous emmène en Thaïlande, plus précisément dans l'une des plus anciennes villes : Lopburi. Les rues abritent des ruines khmères. Mais pas seulement ... "L'endroit est envahi par les singes ! Des milliers qui ont quasiment pris le contrôle de la ville", précise-t-il. Ils se baladent dans les mêmes lieux que les humains. Vous risquez même d'être fouillés par ces animaux, qui n'hésiteraient pas à vous grimper dessus. L'expert voyage nous prévient, les singes ne sont pas seulement dans les zones touristiques, mais dans toute la ville ! Au point où les habitants ont installé des barrières à leurs fenêtres.
Dans la culture de Lopburi, les singes sont sacrés. Personne n'ose les tuer. Pour les faire fuir, des employés municipaux sont armés de lances pierres. Pendant son excursion, Philippe Gougler s'est tourné vers ces employés pour savoir d'où venaient ces milliers de singes. L'explication ne peut être plus simple : ils étaient déjà sur ce territoire avant l'installation de la ville. L'animateur de l'émission "Des trains pas comme les autres", a même découvert un cinéma abandonné, qui est devenu le foyer d'une des bandes de singes. "Ils ont même fait de la salle de projection une sorte de mausolée où ils amènent ceux des leurs qui sont morts", explique-t-il.
Il y a plusieurs groupes de singes. Celui du cinéma, celui dans les ruines d'un temple, et celui qui occupe le quartier qui entoure la ville. "Il y a une voie ferrée qui passe le long des ruines et la légende raconte qu'il y a bien longtemps, une partie des singes du temple est montée dans le train pour aller se battre contre une autre bande située dans une autre ville", révèle Philippe Gougler. Une fois leur combat terminé, ils auraient repris le train pour rentrer chez eux. Ce voyage leur a toutefois apporté un problème... Ils n'ont pas été reconnu par les autres singes. Quand ils sont partis livrer bataille, ils ont gardé sur eux l'odeur de leurs adversaires.
Les habitants de Lopburi n'arrivent pas à coexister calmement avec les singes. Les commerçants sont obligés et fermer leur porte d'entrée, même quand l'affluence touristique est très dense. Il y a eu plusieurs cas de vols et de casses par ces animaux. Plusieurs campagnes ont été diffusées pour demander la stérilisation des singes. Mais c'est impossible car ils sont trop nombreux et se reproduisent très vite.
RTL
Saviez-vous que ces animaux sont si bien intégrés qu'ils vivent dans un cinéma, et prennent même le train ? Dans l'émission "Ça va faire des histoires", le journaliste Philippe Gougler raconte comment les singes et la population se partage la ville de Lopburi.
RTL vous propose, du lundi au vendredi, un concours d'anecdotes entre les experts de la radio. Philippe Gougler vous emmène en Thaïlande, plus précisément dans l'une des plus anciennes villes : Lopburi. Les rues abritent des ruines khmères. Mais pas seulement ... "L'endroit est envahi par les singes ! Des milliers qui ont quasiment pris le contrôle de la ville", précise-t-il. Ils se baladent dans les mêmes lieux que les humains. Vous risquez même d'être fouillés par ces animaux, qui n'hésiteraient pas à vous grimper dessus. L'expert voyage nous prévient, les singes ne sont pas seulement dans les zones touristiques, mais dans toute la ville ! Au point où les habitants ont installé des barrières à leurs fenêtres.
Dans la culture de Lopburi, les singes sont sacrés. Personne n'ose les tuer. Pour les faire fuir, des employés municipaux sont armés de lances pierres. Pendant son excursion, Philippe Gougler s'est tourné vers ces employés pour savoir d'où venaient ces milliers de singes. L'explication ne peut être plus simple : ils étaient déjà sur ce territoire avant l'installation de la ville. L'animateur de l'émission "Des trains pas comme les autres", a même découvert un cinéma abandonné, qui est devenu le foyer d'une des bandes de singes. "Ils ont même fait de la salle de projection une sorte de mausolée où ils amènent ceux des leurs qui sont morts", explique-t-il.
Il y a plusieurs groupes de singes. Celui du cinéma, celui dans les ruines d'un temple, et celui qui occupe le quartier qui entoure la ville. "Il y a une voie ferrée qui passe le long des ruines et la légende raconte qu'il y a bien longtemps, une partie des singes du temple est montée dans le train pour aller se battre contre une autre bande située dans une autre ville", révèle Philippe Gougler. Une fois leur combat terminé, ils auraient repris le train pour rentrer chez eux. Ce voyage leur a toutefois apporté un problème... Ils n'ont pas été reconnu par les autres singes. Quand ils sont partis livrer bataille, ils ont gardé sur eux l'odeur de leurs adversaires.
Les habitants de Lopburi n'arrivent pas à coexister calmement avec les singes. Les commerçants sont obligés et fermer leur porte d'entrée, même quand l'affluence touristique est très dense. Il y a eu plusieurs cas de vols et de casses par ces animaux. Plusieurs campagnes ont été diffusées pour demander la stérilisation des singes. Mais c'est impossible car ils sont trop nombreux et se reproduisent très vite.
Pochon, poche, cornet… Comment appelle-t-on un « sac » dans votre région ?
OuestFrance
Le linguiste Mathieu Avanzi, très suivi sur les réseaux sociaux, a cartographié les régionalismes, ces mots qui désignent un même objet mais varient en fonction des régions. Pour poursuivre cette série d’été, nous nous intéressons aux différents termes utilisés en France pour désigner un sac.
À l’épicerie, vous mettez vos fruits et légumes dans un « sac », un « sachet », une « poche » ou peut-être encore un « cornet » ? Pour poursuivre notre série d’été sur les régionalismes, on s’intéresse, avec le linguiste Mathieu Avanzi qui dirige le Centre de dialectologie et d’étude du français régional à l’université de Neuchâtel en Suisse, aux différents termes employés en France pour désigner un « sac ». Car d’une région à l’autre, on ne met pas forcément des poireaux dans un « sac »
Dans le sud-ouest de la France on dit « poche »
Avec la « chocolatine », autre appellation pour désigner le « pain au chocolat », la « poche » est probablement le régionalisme le plus assumé, le plus conscient et aussi le plus revendiqué dans tout un quart sud-ouest du pays. En français standard, une « poche » c’est la partie d’un vêtement où l’on peut mettre les objets que l’on porte sur soi : la poche d’un pantalon, la poche d’une veste. On retrouve encore le mot poche dans certains domaines spécialisés, comme dans le domaine médical (« une poche de sang ») ou culinaire.
Mais dans le sud-ouest, on dit « poche » pour parler « d’un sac en plastique ou en papier, que l’on utilise quotidiennement pour transporter divers objets ou denrées, notamment quand on fait ses courses », détaille Mathieu Avanzi.
Cet usage est un héritage de l’ancien français, comme souvent avec les régionalismes. En vieux français une « poche » qui pouvait se dire « puche », désignait « la poche d’un vêtement et également un bout de tissu dans lequel on pouvait mettre quelque chose », explique le linguiste.
Ce contenant en tissu, en toile de jute, était utilisé « pour stocker des denrées alimentaires comme du blé ou des pommes de terre », précise le linguiste. « Dans le sud-ouest de la France, le mot « poche » a gardé ce sens de contenant et désigne aujourd’hui un sac en plastique ou en papier, utilisé au quotidien pour transporter des objets ou des denrées, lorsque l’on fait ses courses », explique Mathieu Avanzi.
En petit format, une poche se dit « pochon » – avec le suffixe « on » qui sert de diminutif – dans le sud de la Bretagne et en bordure du sud-ouest. « Pochon est en train de disparaître, contrairement à « poche » qui se maintient très bien », observe le dialectologue.
Lire aussi : Pourquoi dans ces régions, on ne dit pas « escargot », mais « cagouille » ou « luma » ?
Cornet, sachet, bourse
À l’est, un phénomène similaire s’est déroulé, ancrant le mot « cornet » pour désigner un sac. « Quand vous alliez chez des commerçants de détail pour acheter des graines ou des cacahuètes, on emballait ces denrées dans un emballage en papier à l’allure conique, en forme de cornet. Par extension, cornet est devenu le sac d’épicerie », raconte Mathieu Avanzi.
Pour parler d’un petit sac, on dit « sachet » dans les zones cartographiées en jaune : en Corse, dans l’est de la France et dans une petite partie du nord du pays. « Avec le suffixe « et », « sachet » est la variante diminutive de sac », précise Mathieu Avanzi.
Enfin, tout au sud, près de Perpignan, non loin de l’Espagne, « dans les Pyrénées, les anciens parlent encore de « bourse » pour désigner un sac. Ce qui se rapproche de « borsetta », qui signifie sac à main en espagnol ».
OuestFrance
Le linguiste Mathieu Avanzi, très suivi sur les réseaux sociaux, a cartographié les régionalismes, ces mots qui désignent un même objet mais varient en fonction des régions. Pour poursuivre cette série d’été, nous nous intéressons aux différents termes utilisés en France pour désigner un sac.
À l’épicerie, vous mettez vos fruits et légumes dans un « sac », un « sachet », une « poche » ou peut-être encore un « cornet » ? Pour poursuivre notre série d’été sur les régionalismes, on s’intéresse, avec le linguiste Mathieu Avanzi qui dirige le Centre de dialectologie et d’étude du français régional à l’université de Neuchâtel en Suisse, aux différents termes employés en France pour désigner un « sac ». Car d’une région à l’autre, on ne met pas forcément des poireaux dans un « sac »
Dans le sud-ouest de la France on dit « poche »
Avec la « chocolatine », autre appellation pour désigner le « pain au chocolat », la « poche » est probablement le régionalisme le plus assumé, le plus conscient et aussi le plus revendiqué dans tout un quart sud-ouest du pays. En français standard, une « poche » c’est la partie d’un vêtement où l’on peut mettre les objets que l’on porte sur soi : la poche d’un pantalon, la poche d’une veste. On retrouve encore le mot poche dans certains domaines spécialisés, comme dans le domaine médical (« une poche de sang ») ou culinaire.
Mais dans le sud-ouest, on dit « poche » pour parler « d’un sac en plastique ou en papier, que l’on utilise quotidiennement pour transporter divers objets ou denrées, notamment quand on fait ses courses », détaille Mathieu Avanzi.
Cet usage est un héritage de l’ancien français, comme souvent avec les régionalismes. En vieux français une « poche » qui pouvait se dire « puche », désignait « la poche d’un vêtement et également un bout de tissu dans lequel on pouvait mettre quelque chose », explique le linguiste.
Ce contenant en tissu, en toile de jute, était utilisé « pour stocker des denrées alimentaires comme du blé ou des pommes de terre », précise le linguiste. « Dans le sud-ouest de la France, le mot « poche » a gardé ce sens de contenant et désigne aujourd’hui un sac en plastique ou en papier, utilisé au quotidien pour transporter des objets ou des denrées, lorsque l’on fait ses courses », explique Mathieu Avanzi.
En petit format, une poche se dit « pochon » – avec le suffixe « on » qui sert de diminutif – dans le sud de la Bretagne et en bordure du sud-ouest. « Pochon est en train de disparaître, contrairement à « poche » qui se maintient très bien », observe le dialectologue.
Lire aussi : Pourquoi dans ces régions, on ne dit pas « escargot », mais « cagouille » ou « luma » ?
Cornet, sachet, bourse
À l’est, un phénomène similaire s’est déroulé, ancrant le mot « cornet » pour désigner un sac. « Quand vous alliez chez des commerçants de détail pour acheter des graines ou des cacahuètes, on emballait ces denrées dans un emballage en papier à l’allure conique, en forme de cornet. Par extension, cornet est devenu le sac d’épicerie », raconte Mathieu Avanzi.
Pour parler d’un petit sac, on dit « sachet » dans les zones cartographiées en jaune : en Corse, dans l’est de la France et dans une petite partie du nord du pays. « Avec le suffixe « et », « sachet » est la variante diminutive de sac », précise Mathieu Avanzi.
Enfin, tout au sud, près de Perpignan, non loin de l’Espagne, « dans les Pyrénées, les anciens parlent encore de « bourse » pour désigner un sac. Ce qui se rapproche de « borsetta », qui signifie sac à main en espagnol ».
Le HuffPost
Au Canada, une femme reçoit des colis Amazon chaque jour, sans jamais avoir passé commande
Tous les jours, Anca Nitu retrouve sur son palier des colis Amazon qu’elle n’a jamais commandés. En seulement deux mois, cette Canadienne raconte au média public CBC avoir reçu une cinquantaine de paquets contenant des chaussures à son domicile, situé à Langley, une province située à l’ouest de la Colombie-Britannique.
« Je commence à trembler quand je vois des colis à ma porte. Ils n’arrêtent pas d’arriver et ça ne s’arrête pas », explique-t-elle dans une longue interview, ajoutant que ce « stress lui fait perdre le sommeil et l’appétit ».
Des factures avec les colis
Il faut dire que ces paquets sont non seulement envahissants, mais qu’ils risquent en plus de lui coûter bonbon. Anca Nitu a en effet reçu une facture de 300 dollars canadiens (203 euros environ) à régler à la société de livraison UPS. En cause, Amazon, qui propose à ses clients de régler leur commande à la réception du colis. Sauf qu’Anca Nitu, elle, n’a jamais rien commandé sur la plateforme…
La plupart des colis qu’elle reçoit contiennent des chaussures pour femme, et sont munis d’un bordereau de retour portant son nom et son adresse. Mais ils sont en réalité destinés à des vendeurs de chaussures aux États-Unis.
Comment expliquer cette méprise ? L’adresse d’Anca Nitu serait devenue un centre de retour pour les colis non désirés par les clients, explique le Better Business Bureau (BBB), une ONG spécialisée dans le droit de la consommation, interrogé par CBC.
Technique frauduleuse de vendeurs tiers d’Amazon
Concrètement, cette Canadienne serait victime d’un système de retour frauduleux utilisé par des vendeurs tiers d’Amazon, généralement originaires de Chine ou d’Inde. En mettant l’adresse d’une résidence privée plutôt que la leur, ils contournent les frais de retour à l’étranger et de traitement dans les centres de distribution.
Il est plus facile et moins coûteux pour les vendeurs d’envoyer les produits retournés à une adresse aléatoire que de les renvoyer en Chine », précise à CBC Neesha Hothi, directrice du marketing et de la communication au BBB de Colombie-Britannique. Elle envisage ainsi un scénario dans lequel les vendeurs auraient été contraints de vider un entrepôt stockant leurs colis, et qu’ils aient choisi de les faire envoyer chez Anca Nitu plutôt que les rappatrier.
Pour le moment, Anca Nitu conteste les frais de douane facturés par UPS. Mais malgré ses nombreuses relances auprès de la société, qui affirme qu’une enquête est en cours, aucune solution n’a été trouvée pour stopper l’afflux de colis.
Au Canada, une femme reçoit des colis Amazon chaque jour, sans jamais avoir passé commande
Tous les jours, Anca Nitu retrouve sur son palier des colis Amazon qu’elle n’a jamais commandés. En seulement deux mois, cette Canadienne raconte au média public CBC avoir reçu une cinquantaine de paquets contenant des chaussures à son domicile, situé à Langley, une province située à l’ouest de la Colombie-Britannique.
« Je commence à trembler quand je vois des colis à ma porte. Ils n’arrêtent pas d’arriver et ça ne s’arrête pas », explique-t-elle dans une longue interview, ajoutant que ce « stress lui fait perdre le sommeil et l’appétit ».
Des factures avec les colis
Il faut dire que ces paquets sont non seulement envahissants, mais qu’ils risquent en plus de lui coûter bonbon. Anca Nitu a en effet reçu une facture de 300 dollars canadiens (203 euros environ) à régler à la société de livraison UPS. En cause, Amazon, qui propose à ses clients de régler leur commande à la réception du colis. Sauf qu’Anca Nitu, elle, n’a jamais rien commandé sur la plateforme…
La plupart des colis qu’elle reçoit contiennent des chaussures pour femme, et sont munis d’un bordereau de retour portant son nom et son adresse. Mais ils sont en réalité destinés à des vendeurs de chaussures aux États-Unis.
Comment expliquer cette méprise ? L’adresse d’Anca Nitu serait devenue un centre de retour pour les colis non désirés par les clients, explique le Better Business Bureau (BBB), une ONG spécialisée dans le droit de la consommation, interrogé par CBC.
Technique frauduleuse de vendeurs tiers d’Amazon
Concrètement, cette Canadienne serait victime d’un système de retour frauduleux utilisé par des vendeurs tiers d’Amazon, généralement originaires de Chine ou d’Inde. En mettant l’adresse d’une résidence privée plutôt que la leur, ils contournent les frais de retour à l’étranger et de traitement dans les centres de distribution.
Il est plus facile et moins coûteux pour les vendeurs d’envoyer les produits retournés à une adresse aléatoire que de les renvoyer en Chine », précise à CBC Neesha Hothi, directrice du marketing et de la communication au BBB de Colombie-Britannique. Elle envisage ainsi un scénario dans lequel les vendeurs auraient été contraints de vider un entrepôt stockant leurs colis, et qu’ils aient choisi de les faire envoyer chez Anca Nitu plutôt que les rappatrier.
Pour le moment, Anca Nitu conteste les frais de douane facturés par UPS. Mais malgré ses nombreuses relances auprès de la société, qui affirme qu’une enquête est en cours, aucune solution n’a été trouvée pour stopper l’afflux de colis.
Un Américain va bientôt s’appeler officiellement « Subway » en échange de sandwichs à vie
DÉVOUEMENT La chaîne de fast-food a promis au vainqueur de lui rembourser tous les frais juridiques liés à ce changement de prénom
20 Minutes
Changer de prénom pour adopter celui d’une marque ? L’idée saugrenue (et bougrement capitaliste) n’est pas si folle aux yeux de certains, au vu du succès rencontré par Subway début août aux Etats-Unis.
Le 26 juillet, la chaîne de restauration rapide proposant les sandwichs éponymes a en effet lancé une initiative originale, le « Name Change Challenge ». Dans un communiqué, l’entreprise explique qu’elle offrira des sandwichs à vie à toute personne prête à changer officiellement de nom pour se faire désormais appeler « Subway », rapporte Capital.
Bientôt un grand vainqueur
Le défi s’adressait donc (évidemment) aux fans de la chaîne. Ces derniers pouvaient se rendre, entre le 1er et le 4 août dernier, sur le site Web SubwayNameChange.com pour postuler. Le concours était ouvert aux hommes comme une femme, car Subway précisait que son nom était épicène.
Dans le courant du mois d’août, la chaîne de sandwichs donnera le nom (ou plutôt ex-nom) du grand gagnant de son concours. Celui-ci devra ensuite engager toutes les démarches pour renoncer à son prénom actuel au profit de Subway. L’entreprise précise qu’elle remboursera tous les frais juridiques liés à cette démarche administrative.
DÉVOUEMENT La chaîne de fast-food a promis au vainqueur de lui rembourser tous les frais juridiques liés à ce changement de prénom
20 Minutes
Changer de prénom pour adopter celui d’une marque ? L’idée saugrenue (et bougrement capitaliste) n’est pas si folle aux yeux de certains, au vu du succès rencontré par Subway début août aux Etats-Unis.
Le 26 juillet, la chaîne de restauration rapide proposant les sandwichs éponymes a en effet lancé une initiative originale, le « Name Change Challenge ». Dans un communiqué, l’entreprise explique qu’elle offrira des sandwichs à vie à toute personne prête à changer officiellement de nom pour se faire désormais appeler « Subway », rapporte Capital.
Bientôt un grand vainqueur
Le défi s’adressait donc (évidemment) aux fans de la chaîne. Ces derniers pouvaient se rendre, entre le 1er et le 4 août dernier, sur le site Web SubwayNameChange.com pour postuler. Le concours était ouvert aux hommes comme une femme, car Subway précisait que son nom était épicène.
Dans le courant du mois d’août, la chaîne de sandwichs donnera le nom (ou plutôt ex-nom) du grand gagnant de son concours. Celui-ci devra ensuite engager toutes les démarches pour renoncer à son prénom actuel au profit de Subway. L’entreprise précise qu’elle remboursera tous les frais juridiques liés à cette démarche administrative.
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