Mamie, Mémé, Grand-Mère Coco, Mouy, Mamissa… les « petits noms » les plus prisés de nos grands-mères
OuestFrance
Et vous, comment appelez-vous votre grand-mère ? Les petits noms de nos aïeules se transmettent souvent de parents à enfants. Pas que ! L’imagination joue son rôle et même le contexte comme pour Guylène qui après une opération chirurgicale est devenue – et est restée – « Mamie Bobo ».
On vous a posé la question sur notre page Facebook : Et vous, comment appelez-vous votre grand-mère ? . Sans surprise Mamie est en tête de vos réponses. Une Mamie souvent agrémentée d’un second diminutif : Mamie Loulou, Mamie Doudoune, Mamie Gâteau, Mamie Blue… Quant à Mari Yon elle appelle sa grand-mère Mamie Farine. Son prénom c’est Francine ! Mon fils l’appelle Mémé Farine .
Guylène c’est toujours Mamie Bobo
Guylène est grand-mère. Son diminutif remonte à quelques années quand elle a subi une opération chirurgicale : Ma fille disait toujours à son fils de deux ans et demi « on va aller voir mamie qui a bobo à son pied… » Voilà comment je suis devenue Mamie Bobo .
Viennent ensuite les Mémères et les Mémés . Tout court ou elles aussi prolongées d’un de Baugé car elle habite Baugé (Baugé-en-Anjou) dans le Maine-et-Loire ; ou d’un gâteau pour celles qui s’attirent les faveurs de leurs petites têtes blondes et brunes avec, entre autres, la boîte à biscuits qui sort du buffet chaque fois qu’ils investissent la maison.
Grand-Mère Coco, Mamounette, Babou…
Il y a bien sûr les classiques : Grand-Mère quelquefois agrémentées d’un Coco par exemple. Les Mamounette , les Mamoune , les Nanou et les Babou , les Mimine , Néné et autres Nana .
Plus rares les petits-enfants qui gratifient leur aïeule d’un bref Mé ».Des enfants pressés peut-être. Ou de surnoms à consonances anglo-saxonnes : Mamily ou Mandy , voire Nany ; africaines comme la grand-mère de Soso Chabot : Mamissa ; ou plus singulières comme Nora Id qui appelle sa mamie Mouy .
Questions existentielles - page 290
Dans la maison d’Agatha Christie, ces touristes ont vécu une aventure digne de ses romans policiers
Huffpost
Une centaine de personnes sont restées bloquées à Greenway, le domaine de la célèbre autrice britannique, et beaucoup y ont vu un parallèle avec son roman « Ils étaient dix ».
INSOLITE - Ces vacanciers passionnés des romans d’Agatha Christie n’imaginaient pas en devenir presque des protagonistes. Une centaine de touristes ont en effet été bloqués pendant plusieurs heures, vendredi 14 juillet, à Greenway, le domaine de la célèbre écrivaine britannique, dans la campagne anglaise.
La région du Devon était alors frappée par les orages, et la foudre a fait tomber un arbre, lequel a bloqué la route menant à la propriété. Le « National Trust », l’instance chargée de la gestion de nombreux sites historiques au Royaume-Uni, et notamment de Greenway, a rapidement publié un message sur son site web, indiquant qu’il « faisait tout » pour assurer leur confort des visiteurs, bénévoles, et personnel bloqués.
« Un par un, ils sont tués… Et puis il n’y en avait plus »
En attendant de pouvoir reprendre leur route, les touristes se sont inspirés de la propriétaire des lieux qui passait des heures sur les pelouses de Greenway, jouant au golf ou au croquet. Ils ont ainsi visité les jardins du domaine, dont le célèbre hangar à bateaux qui sert de scène de crime dans le roman d’Agatha Christie, Dead Man’s Folly (ou Poirot joue le jeu dans la version française).
Sur Twitter, après que cette histoire commençait à s’ébruiter, les internautes n’ont pu s’empêcher d’établir un parallèle avec un autre roman emblématique de l’autrice : Ils étaient dix (And Then There Were None), dans lequel dix étrangers sont inexplicablement invités dans un manoir isolé au large de la côte du Devon, rappelle CNN. Lorsque des membres du groupe sont mystérieusement tués, les visiteurs se rendent vite compte qu’il y a un assassin parmi eux.
« Heureusement qu’aucun des touristes enfermés dans la maison d’Agatha Christie n’a eu l’idée de reproduire l’intrigue des Dix Petits Nègres (ancien nom d’Ils étaient dix, ndlr) », écrit un utilisateur de Twitter. « Un par un, ils sont tués… Et puis il n’y en avait plus », complète une jeune femme, en référence au roman. D’autres trouvent quant à eux que cette histoire est « la version de téléréalité » de l’intrigue du livre. Encore plus macabre, un homme a commencé à faire un faux décompte des « morts » sur Twitter : « 99, 98, 97, 96, 94… ».
Les visiteurs qui souhaitent découvrir cette demeure en pierres qui a inspiré au moins trois romans de Christie, Cinq Petits Cochons (1942), Témoin indésirable (1958) et le fameux Poirot joue le jeu (1956), devront néanmoins attendre quelques jours avant de s’y rendre. Le « National Trust » a prévenu que Greenway resterait fermée en raison des « dégâts considérables causés par la tempête ». Pour patienter, les touristes curieux peuvent toujours se replonger dans l’œuvre d’Agatha Christie.
Huffpost
Une centaine de personnes sont restées bloquées à Greenway, le domaine de la célèbre autrice britannique, et beaucoup y ont vu un parallèle avec son roman « Ils étaient dix ».
INSOLITE - Ces vacanciers passionnés des romans d’Agatha Christie n’imaginaient pas en devenir presque des protagonistes. Une centaine de touristes ont en effet été bloqués pendant plusieurs heures, vendredi 14 juillet, à Greenway, le domaine de la célèbre écrivaine britannique, dans la campagne anglaise.
La région du Devon était alors frappée par les orages, et la foudre a fait tomber un arbre, lequel a bloqué la route menant à la propriété. Le « National Trust », l’instance chargée de la gestion de nombreux sites historiques au Royaume-Uni, et notamment de Greenway, a rapidement publié un message sur son site web, indiquant qu’il « faisait tout » pour assurer leur confort des visiteurs, bénévoles, et personnel bloqués.
« Un par un, ils sont tués… Et puis il n’y en avait plus »
En attendant de pouvoir reprendre leur route, les touristes se sont inspirés de la propriétaire des lieux qui passait des heures sur les pelouses de Greenway, jouant au golf ou au croquet. Ils ont ainsi visité les jardins du domaine, dont le célèbre hangar à bateaux qui sert de scène de crime dans le roman d’Agatha Christie, Dead Man’s Folly (ou Poirot joue le jeu dans la version française).
Sur Twitter, après que cette histoire commençait à s’ébruiter, les internautes n’ont pu s’empêcher d’établir un parallèle avec un autre roman emblématique de l’autrice : Ils étaient dix (And Then There Were None), dans lequel dix étrangers sont inexplicablement invités dans un manoir isolé au large de la côte du Devon, rappelle CNN. Lorsque des membres du groupe sont mystérieusement tués, les visiteurs se rendent vite compte qu’il y a un assassin parmi eux.
« Heureusement qu’aucun des touristes enfermés dans la maison d’Agatha Christie n’a eu l’idée de reproduire l’intrigue des Dix Petits Nègres (ancien nom d’Ils étaient dix, ndlr) », écrit un utilisateur de Twitter. « Un par un, ils sont tués… Et puis il n’y en avait plus », complète une jeune femme, en référence au roman. D’autres trouvent quant à eux que cette histoire est « la version de téléréalité » de l’intrigue du livre. Encore plus macabre, un homme a commencé à faire un faux décompte des « morts » sur Twitter : « 99, 98, 97, 96, 94… ».
Les visiteurs qui souhaitent découvrir cette demeure en pierres qui a inspiré au moins trois romans de Christie, Cinq Petits Cochons (1942), Témoin indésirable (1958) et le fameux Poirot joue le jeu (1956), devront néanmoins attendre quelques jours avant de s’y rendre. Le « National Trust » a prévenu que Greenway resterait fermée en raison des « dégâts considérables causés par la tempête ». Pour patienter, les touristes curieux peuvent toujours se replonger dans l’œuvre d’Agatha Christie.
C’est quoi cette course de baignoires qui a lieu le 22 et 23 juillet en Mayenne ?
OuestFrance
Samedi 22 et dimanche 23 juillet 2023 se tient la 31e édition de la Fête du pain, à Ménil (Mayenne). Concours de palets et pétanque, marché de producteurs, dégustation de fouées et courses de baignoire sont au programme.
« Toutes nos baignoires ont été retapées. C’est la première fois ! On est dedans depuis le mois de février. » Samedi 22 et dimanche 23 juillet 2023 se tient la 31e édition de la Fête du pain, à Ménil (Mayenne). « Soixante bénévoles seront mobilisés », souligne Benjamin Boisard, le président du comité des fêtes, qui organise l’évènement.
Début des festivités le samedi matin
Grosse nouveauté, cette année, les festivités démarreront dès le samedi matin, à 10 h, avec un concours de palets (inscriptions dès 9 h) qui durera toute la journée. Trente planches en bois seront mises à la disposition des 120 participants. Tarif : 10 € par équipe. « Tout est réinvesti dans les lots pour les gagnants », précise Benjamin Boisard. Pour les joueurs de pétanque, un autre concours sera organisé, à 11 h (inscriptions dès 10 h). Tarif : 10 €.
Durant tout le week-end, des jeux en bois seront également proposés. Il sera possible de se restaurer sur place et, Fête du pain oblige, « on pourra acheter des fouées, des brioches et du pain faits maison ! » Le soir, place au bal populaire, de 21 h à 2 h, avec un feu d’artifice, qui sera tiré à 23 h.
Un trophée en bois remis en jeu chaque année
Dimanche, de 9 h à 12 h, un marché de producteurs locaux prendra place avec 11 exposants. « On aura du fromage, de la nourriture asiatique, de miel, des sirops, des œufs, fruits et légumes, épices ou encore bijoux. »
Les tant attendues courses de baignoire sur la Mayenne débuteront, elles, à 14 h (inscriptions dès le matin, 1 € par personne). « On a six manches de 11 baignoires et la finale à 17 h 30. Tout le monde peut participer, il suffit d’une autorisation parentale pour les mineurs », poursuit Benjamin Boisard. Cette année, un trophée réalisé par le sculpteur sur bois Denis Clerc sera remis aux vainqueurs. « L’idée, c’est de le remettre en jeu chaque année. »
L’ambiance guinguette se poursuivra toute la journée. L’an dernier, l’événement avait connu une très forte affluence. « On a vendu plus de 4 000 fouées et entre 800 et 900 pains. »
OuestFrance
Samedi 22 et dimanche 23 juillet 2023 se tient la 31e édition de la Fête du pain, à Ménil (Mayenne). Concours de palets et pétanque, marché de producteurs, dégustation de fouées et courses de baignoire sont au programme.
« Toutes nos baignoires ont été retapées. C’est la première fois ! On est dedans depuis le mois de février. » Samedi 22 et dimanche 23 juillet 2023 se tient la 31e édition de la Fête du pain, à Ménil (Mayenne). « Soixante bénévoles seront mobilisés », souligne Benjamin Boisard, le président du comité des fêtes, qui organise l’évènement.
Début des festivités le samedi matin
Grosse nouveauté, cette année, les festivités démarreront dès le samedi matin, à 10 h, avec un concours de palets (inscriptions dès 9 h) qui durera toute la journée. Trente planches en bois seront mises à la disposition des 120 participants. Tarif : 10 € par équipe. « Tout est réinvesti dans les lots pour les gagnants », précise Benjamin Boisard. Pour les joueurs de pétanque, un autre concours sera organisé, à 11 h (inscriptions dès 10 h). Tarif : 10 €.
Durant tout le week-end, des jeux en bois seront également proposés. Il sera possible de se restaurer sur place et, Fête du pain oblige, « on pourra acheter des fouées, des brioches et du pain faits maison ! » Le soir, place au bal populaire, de 21 h à 2 h, avec un feu d’artifice, qui sera tiré à 23 h.
Un trophée en bois remis en jeu chaque année
Dimanche, de 9 h à 12 h, un marché de producteurs locaux prendra place avec 11 exposants. « On aura du fromage, de la nourriture asiatique, de miel, des sirops, des œufs, fruits et légumes, épices ou encore bijoux. »
Les tant attendues courses de baignoire sur la Mayenne débuteront, elles, à 14 h (inscriptions dès le matin, 1 € par personne). « On a six manches de 11 baignoires et la finale à 17 h 30. Tout le monde peut participer, il suffit d’une autorisation parentale pour les mineurs », poursuit Benjamin Boisard. Cette année, un trophée réalisé par le sculpteur sur bois Denis Clerc sera remis aux vainqueurs. « L’idée, c’est de le remettre en jeu chaque année. »
L’ambiance guinguette se poursuivra toute la journée. L’an dernier, l’événement avait connu une très forte affluence. « On a vendu plus de 4 000 fouées et entre 800 et 900 pains. »
Débris d’avion, navette spatiale… D’où vient ce mystérieux cylindre découvert sur une plage ?
OuestFrance
Un imposant et mystérieux cylindre surmonté d’un dôme s’est échoué le 16 juillet 2023 sur une plage australienne à 250 km de la ville de Perth, dans l’ouest du pays. Plusieurs hypothèses ont été avancées quant à son origine. Explications.
C’est un objet non identifié plutôt insolite que des amateurs de sable fin ont récemment découvert. Un imposant cylindre surmonté d’un dôme s’est récemment échoué sur la plage de Green Head, une zone peu peuplée situé à 250 km environ de la ville de Perth, dans l’ouest de l’Australie. L’objet, pour l’instant inconnu, jouit de mensurations impressionnantes. Il mesure 3 m de haut pour 2,5 m de large. Ce sont des badauds qui « se promenaient sur la plage qui ont alerté les autorités le 16 juillet après avoir remorqué l’objet à l’aide de leur véhicule », rapporte la chaîne de télévision australienne ABC.
En réaction, une enquête a été ouverte par les autorités fédérales locales afin de connaître l’origine de ce cylindre aux dimensions XXL. « Nous sommes activement engagés dans un effort de collaboration avec diverses agences étatiques et fédérales pour déterminer l’origine et la nature de l’objet », a indiqué la police locale dans un communiqué.
Par la suite, les autorités ont assuré que l’objet, s’il n’était composé « d’aucun matériel toxique et ne présentait aucun danger pour la santé », soulignent nos confrères de la radio RMC, est toujours interdit au public afin de « maintenir l’intégrité de l’enquête ».
Un objet aérien ou provenant de l’espace ?
Plusieurs hypothèses circulent quant à l’origine de cet objet depuis sa découverte. Tout d’abord, il ne s’agirait pas d’un débris d’avion. Le débris « ne semble pas provenir d’un avion commercial », rappelle la police en réaction aux déclarations de certains observateurs y voyant une partie du tristement célèbre avion MH 370 de la Malaysia Airlines, disparu avec ses 239 passagers au large des côtes de la Malaisie depuis le 8 mars 2014. « Il ne s’agit pas d’une pièce d’un Boeing 777 et concernant l’hypothèse du vol MH370, ce dernier a disparu il y a neuf ans et demi. L’usure des débris serait beaucoup plus importante », affirme sans ambages l’expert en aéronautique Geoffrey Thomas, au micro de la chaîne de télévision locale 9news.
Une autre hypothèse existe : celle d’un débris d’une fusée spatiale. Une théorie en partie confirmée par l’Agence spatiale australienne (ASA). Cette dernière a assuré, sur le réseau social Twitter, collaborer avec les autorités afin de connaître l’origine du cylindre. « L’objet pourrait provenir d’un lanceur spatial étranger et nous sommes en contact avec les agences spatiales d’autres pays qui pourraient être en mesure de fournir plus d’informations », a assuré l’ASA sur Twitter.
Toujours sur Twitter, l’ASA a exhorté la population à signaler aux autorités et à l’agence spatiale tous les « autres débris suspects ». Selon RMC, il pourrait s’agir d’un morceau du « lanceur de la fusée indienne Chandrayaan-3, qui a décollé vers la Lune avec succès ce vendredi 14 juillet ». L’enquête se poursuit.
OuestFrance
Un imposant et mystérieux cylindre surmonté d’un dôme s’est échoué le 16 juillet 2023 sur une plage australienne à 250 km de la ville de Perth, dans l’ouest du pays. Plusieurs hypothèses ont été avancées quant à son origine. Explications.
C’est un objet non identifié plutôt insolite que des amateurs de sable fin ont récemment découvert. Un imposant cylindre surmonté d’un dôme s’est récemment échoué sur la plage de Green Head, une zone peu peuplée situé à 250 km environ de la ville de Perth, dans l’ouest de l’Australie. L’objet, pour l’instant inconnu, jouit de mensurations impressionnantes. Il mesure 3 m de haut pour 2,5 m de large. Ce sont des badauds qui « se promenaient sur la plage qui ont alerté les autorités le 16 juillet après avoir remorqué l’objet à l’aide de leur véhicule », rapporte la chaîne de télévision australienne ABC.
En réaction, une enquête a été ouverte par les autorités fédérales locales afin de connaître l’origine de ce cylindre aux dimensions XXL. « Nous sommes activement engagés dans un effort de collaboration avec diverses agences étatiques et fédérales pour déterminer l’origine et la nature de l’objet », a indiqué la police locale dans un communiqué.
Par la suite, les autorités ont assuré que l’objet, s’il n’était composé « d’aucun matériel toxique et ne présentait aucun danger pour la santé », soulignent nos confrères de la radio RMC, est toujours interdit au public afin de « maintenir l’intégrité de l’enquête ».
Un objet aérien ou provenant de l’espace ?
Plusieurs hypothèses circulent quant à l’origine de cet objet depuis sa découverte. Tout d’abord, il ne s’agirait pas d’un débris d’avion. Le débris « ne semble pas provenir d’un avion commercial », rappelle la police en réaction aux déclarations de certains observateurs y voyant une partie du tristement célèbre avion MH 370 de la Malaysia Airlines, disparu avec ses 239 passagers au large des côtes de la Malaisie depuis le 8 mars 2014. « Il ne s’agit pas d’une pièce d’un Boeing 777 et concernant l’hypothèse du vol MH370, ce dernier a disparu il y a neuf ans et demi. L’usure des débris serait beaucoup plus importante », affirme sans ambages l’expert en aéronautique Geoffrey Thomas, au micro de la chaîne de télévision locale 9news.
Une autre hypothèse existe : celle d’un débris d’une fusée spatiale. Une théorie en partie confirmée par l’Agence spatiale australienne (ASA). Cette dernière a assuré, sur le réseau social Twitter, collaborer avec les autorités afin de connaître l’origine du cylindre. « L’objet pourrait provenir d’un lanceur spatial étranger et nous sommes en contact avec les agences spatiales d’autres pays qui pourraient être en mesure de fournir plus d’informations », a assuré l’ASA sur Twitter.
Toujours sur Twitter, l’ASA a exhorté la population à signaler aux autorités et à l’agence spatiale tous les « autres débris suspects ». Selon RMC, il pourrait s’agir d’un morceau du « lanceur de la fusée indienne Chandrayaan-3, qui a décollé vers la Lune avec succès ce vendredi 14 juillet ». L’enquête se poursuit.
À l’office de tourisme des Herbiers, ces demandes (plus ou moins) surprenantes
OuestFrance
L’an dernier, plus de 32 000 personnes ont poussé la porte de l’office de tourisme ou d’un point info du Pays des Herbiers. Leurs attentes concernent souvent le Puy du Fou, mais pas seulement.
C’est le charme du tourisme. La rencontre de connaisseurs d’un territoire et de parfaits profanes. De loin, la notoriété des Herbiers (Vendée) n’est pas une chose acquise. Et quand on vient sur place ? En 2022, 32 626 personnes ont poussé les portes de l’office de tourisme ou d’un point info du Pays des Herbiers. Avec des demandes variées.
Le Puy du Fou en tête
« On nous pose pas mal de questions sur le Puy du Fou », commence, sans surprise, Claire Bodin, coordinatrice touristique au Pays des Herbiers. Heures idéales, places pour la Cinéscénie, conseils… « C’est très récurrent, et encore plus au téléphone que sur place. »
Des fresques qui interpellent
Mais les demandes sont parfois plus surprenantes. Après l’épopée du Vendée Les Herbiers football (VHF) en Coupe de France en 2018, « des gens nous demandaient où était le stade Massabielle ». D’autres, régulièrement, demandent des explications sur les fresques en trompe-l’œil qui ornent certains murs de la ville. « Ça interpelle les gens, que nous orientons vers le parcours balisé de 3,7 km qui permet de les découvrir », avec un dépliant explicatif en prime.
Pensions pour lapins
Côté questions décalées, il y a ce couple qui croyait arriver près du parc ostréicole qu’il devait visiter. Ou cet homme qui demandait où il pouvait laisser son lapin pendant ses visites touristiques. « On lui a donné deux ou trois numéros de pensions. » Ou encore ce GPS qu’il a fallu « aller programmer en anglais, dans la voiture, pour que les gens trouvent leur hébergement ». Travailler dans le tourisme, une école de polyvalence !
OuestFrance
L’an dernier, plus de 32 000 personnes ont poussé la porte de l’office de tourisme ou d’un point info du Pays des Herbiers. Leurs attentes concernent souvent le Puy du Fou, mais pas seulement.
C’est le charme du tourisme. La rencontre de connaisseurs d’un territoire et de parfaits profanes. De loin, la notoriété des Herbiers (Vendée) n’est pas une chose acquise. Et quand on vient sur place ? En 2022, 32 626 personnes ont poussé les portes de l’office de tourisme ou d’un point info du Pays des Herbiers. Avec des demandes variées.
Le Puy du Fou en tête
« On nous pose pas mal de questions sur le Puy du Fou », commence, sans surprise, Claire Bodin, coordinatrice touristique au Pays des Herbiers. Heures idéales, places pour la Cinéscénie, conseils… « C’est très récurrent, et encore plus au téléphone que sur place. »
Des fresques qui interpellent
Mais les demandes sont parfois plus surprenantes. Après l’épopée du Vendée Les Herbiers football (VHF) en Coupe de France en 2018, « des gens nous demandaient où était le stade Massabielle ». D’autres, régulièrement, demandent des explications sur les fresques en trompe-l’œil qui ornent certains murs de la ville. « Ça interpelle les gens, que nous orientons vers le parcours balisé de 3,7 km qui permet de les découvrir », avec un dépliant explicatif en prime.
Pensions pour lapins
Côté questions décalées, il y a ce couple qui croyait arriver près du parc ostréicole qu’il devait visiter. Ou cet homme qui demandait où il pouvait laisser son lapin pendant ses visites touristiques. « On lui a donné deux ou trois numéros de pensions. » Ou encore ce GPS qu’il a fallu « aller programmer en anglais, dans la voiture, pour que les gens trouvent leur hébergement ». Travailler dans le tourisme, une école de polyvalence !
Une centaine de chats, des chiens… et un cochon vont emménager dans une villa à 1,5 million d’euros
ouestFrance
Une bienfaitrice a légué à une association de défense des animaux une magnifique villa de 300 m², située à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), à condition qu’elle l’aménage pour accueillir des chats. D’importants travaux doivent être lancés pour exaucer cette dernière volonté. Ce type de succession n’est pas si rare… mais pas toujours facile à mettre en œuvre.
L’histoire fait curieusement penser aux Aristochats, le célèbre dessin animé de Walt Disney, dans lequel la richissime propriétaire d’une maison parisienne décide de léguer sa fortune à ses chats. Elle a d’ailleurs commencé comme un conte de fées, pour l’Alliance pour le respect et la protection des animaux (Arpa), basée à Nice.
Comme le relate le quotidien Nice-Matin, cette association recherchait de longue date un local pour accueillir les animaux qu’elle recueille tout au long de l’année. En 2020, ses responsables étaient sur le point de signer un compromis de vente, lorsqu’ils ont reçu le courrier d’un notaire. Ils ont alors appris qu’une habitante de Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) récemment décédée avait choisi de faire de l’Arpa son légataire principal… et de lui léguer une villa de 300 m² et son terrain de 500 m². Des biens d’une valeur totale d’un million et demi d’euros !
Selon le journal, en plus de l’entretien de sa tombe, la bienfaitrice a inscrit une condition dans son testament pour céder sa maison à l’association : qu’elle devienne un lieu d’accueil pour les chats.
« C’est un don fabuleux »
Trois ans plus tard, l’association s’apprête à exaucer les dernières volontés de la défunte. Ce n’est pas une mince affaire. Le chantier pour réaménager la bâtisse est estimé à 400 000 €. « C’est un don fabuleux, je veux que ça change le quotidien des chats », commente Anne-Marie David, directrice de l’Arpa. Contactée par l’édition du soir, elle tient à rendre hommage à cette bienfaitrice, tout en expliquant que ce cadeau ne tombe pas tout cuit dans le bec de son association. « Ce n’est pas parce qu’on a reçu ce legs que l’on est riches, l’argent de cette maison n’est pas sur notre compte. On a dû se battre pour trouver des fonds pour la rénovation. » En plus des dons de particuliers, l’association a pu compter sur la générosité de la fondation de l’hôtel niçois Negresco.
À terme, l’Arpa souhaite héberger dans cette villa une centaine de chats sur deux niveaux, avec du mobilier ludique et des cabanes extérieures. Mais ce ne seront pas les seuls animaux à profiter du palace. L’association annonce qu’elle hébergera aussi neuf chiens (pour ne pas dépasser la limite qui ferait de cette maison un refuge), ainsi que « des rongeurs, des oiseaux et notre cochon ». Un appartement sera également aménagé pour le gardien, qui sera aux petits soins de cette ménagerie.
Des legs qui ne règlent pas tout
La villa doit accueillir ses premiers pensionnaires « au printemps 2024 ». Mais elle ne sera pas ouverte au public et l’adresse ne sera pas dévoilée pour éviter que des propriétaires abandonnent leurs animaux domestiques juste à côté.
Il arrive fréquemment que des bienfaiteurs fassent don d’une partie ou de la totalité de leur fortune à des associations de défense des animaux. L’Arpa, comme beaucoup d’autres, vit en partie grâce aux legs. Sa directrice explique que c’est un apport financier indispensable. « Et notre quotidien reste compliqué, on aura toujours besoin de la générosité des donateurs et de nos adhérents pour nourrir les animaux au quotidien », insiste Anne-Marie David.
Une autre maison impossible à aménager
L’histoire de cette riche donatrice rappelle celle de Russ Gremel. À la tête d’une fortune de 2,1 millions de dollars issue d’un bon placement dans des actions pharmaceutiques, cet Américain n’avait jamais touché à ce pactole et avait toujours vécu chichement. En 2017, à l’âge de 95 ans, il a décidé de léguer toute sa fortune, de son vivant, à une société de l’Illinois pour créer un refuge pour animaux. Trois ans plus tard, la nouvelle structure a ouvert à Chicago, accueillant 170 espèces d’oiseaux, des tortues rares et bien d’autres animaux.
Mais quand il s’agit de successions, les dernières volontés des bienfaiteurs ne sont pas toujours faciles à respecter. Ainsi, en 2016, une habitante de Guidel (Morbihan) avait décidé de faire un legs conséquent à l’association Stéphane Lamart, qui lutte en faveur des animaux maltraités et abandonnés. Très malade, sans enfant ni famille proche, Joëlle Poisson avait légué sa propriété afin qu’elle soit transformée en refuge. Mais l’association s’est heurtée à des problèmes de réglementation. En mai, elle a finalement décidé de revendre la maison et d’utiliser les fonds pour aménager un refuge en Normandie. Tout en promettant de lui donner le nom de Joëlle Poisson.
ouestFrance
Une bienfaitrice a légué à une association de défense des animaux une magnifique villa de 300 m², située à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), à condition qu’elle l’aménage pour accueillir des chats. D’importants travaux doivent être lancés pour exaucer cette dernière volonté. Ce type de succession n’est pas si rare… mais pas toujours facile à mettre en œuvre.
L’histoire fait curieusement penser aux Aristochats, le célèbre dessin animé de Walt Disney, dans lequel la richissime propriétaire d’une maison parisienne décide de léguer sa fortune à ses chats. Elle a d’ailleurs commencé comme un conte de fées, pour l’Alliance pour le respect et la protection des animaux (Arpa), basée à Nice.
Comme le relate le quotidien Nice-Matin, cette association recherchait de longue date un local pour accueillir les animaux qu’elle recueille tout au long de l’année. En 2020, ses responsables étaient sur le point de signer un compromis de vente, lorsqu’ils ont reçu le courrier d’un notaire. Ils ont alors appris qu’une habitante de Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) récemment décédée avait choisi de faire de l’Arpa son légataire principal… et de lui léguer une villa de 300 m² et son terrain de 500 m². Des biens d’une valeur totale d’un million et demi d’euros !
Selon le journal, en plus de l’entretien de sa tombe, la bienfaitrice a inscrit une condition dans son testament pour céder sa maison à l’association : qu’elle devienne un lieu d’accueil pour les chats.
« C’est un don fabuleux »
Trois ans plus tard, l’association s’apprête à exaucer les dernières volontés de la défunte. Ce n’est pas une mince affaire. Le chantier pour réaménager la bâtisse est estimé à 400 000 €. « C’est un don fabuleux, je veux que ça change le quotidien des chats », commente Anne-Marie David, directrice de l’Arpa. Contactée par l’édition du soir, elle tient à rendre hommage à cette bienfaitrice, tout en expliquant que ce cadeau ne tombe pas tout cuit dans le bec de son association. « Ce n’est pas parce qu’on a reçu ce legs que l’on est riches, l’argent de cette maison n’est pas sur notre compte. On a dû se battre pour trouver des fonds pour la rénovation. » En plus des dons de particuliers, l’association a pu compter sur la générosité de la fondation de l’hôtel niçois Negresco.
À terme, l’Arpa souhaite héberger dans cette villa une centaine de chats sur deux niveaux, avec du mobilier ludique et des cabanes extérieures. Mais ce ne seront pas les seuls animaux à profiter du palace. L’association annonce qu’elle hébergera aussi neuf chiens (pour ne pas dépasser la limite qui ferait de cette maison un refuge), ainsi que « des rongeurs, des oiseaux et notre cochon ». Un appartement sera également aménagé pour le gardien, qui sera aux petits soins de cette ménagerie.
Des legs qui ne règlent pas tout
La villa doit accueillir ses premiers pensionnaires « au printemps 2024 ». Mais elle ne sera pas ouverte au public et l’adresse ne sera pas dévoilée pour éviter que des propriétaires abandonnent leurs animaux domestiques juste à côté.
Il arrive fréquemment que des bienfaiteurs fassent don d’une partie ou de la totalité de leur fortune à des associations de défense des animaux. L’Arpa, comme beaucoup d’autres, vit en partie grâce aux legs. Sa directrice explique que c’est un apport financier indispensable. « Et notre quotidien reste compliqué, on aura toujours besoin de la générosité des donateurs et de nos adhérents pour nourrir les animaux au quotidien », insiste Anne-Marie David.
Une autre maison impossible à aménager
L’histoire de cette riche donatrice rappelle celle de Russ Gremel. À la tête d’une fortune de 2,1 millions de dollars issue d’un bon placement dans des actions pharmaceutiques, cet Américain n’avait jamais touché à ce pactole et avait toujours vécu chichement. En 2017, à l’âge de 95 ans, il a décidé de léguer toute sa fortune, de son vivant, à une société de l’Illinois pour créer un refuge pour animaux. Trois ans plus tard, la nouvelle structure a ouvert à Chicago, accueillant 170 espèces d’oiseaux, des tortues rares et bien d’autres animaux.
Mais quand il s’agit de successions, les dernières volontés des bienfaiteurs ne sont pas toujours faciles à respecter. Ainsi, en 2016, une habitante de Guidel (Morbihan) avait décidé de faire un legs conséquent à l’association Stéphane Lamart, qui lutte en faveur des animaux maltraités et abandonnés. Très malade, sans enfant ni famille proche, Joëlle Poisson avait légué sa propriété afin qu’elle soit transformée en refuge. Mais l’association s’est heurtée à des problèmes de réglementation. En mai, elle a finalement décidé de revendre la maison et d’utiliser les fonds pour aménager un refuge en Normandie. Tout en promettant de lui donner le nom de Joëlle Poisson.
La question du jour : Pourquoi Louis XVI n’a-t-il eu aucune maîtresse ?
20Minutes
HAUTE FIDÉLITÉ Ce roi pieux n’avait aucun goût pour la bagatelle… au pieu.
La plupart des Rois de France ont eu de nombreuses liaisons hors mariage. À l’exception de Louis XIII, les Bourbons étaient notamment connus pour leur tempérament sensuel. De fait, Henri IV n’était pas surnommé le « Vert Galant » pour rien.
On sait que Louis XIV eut de nombreuses favorites, dont les plus connues sont Mme de Montespan et Mme de Maintenon. Quant à Louis XV, il n’est pas en reste, et ses aventures galantes alimentaient la chronique quotidienne de Versailles.
Mais, dans ce domaine, son petit-fils, Louis XVI, ne suit en rien l’exemple de ses ancêtres. En effet, on ne lui connaît aucune liaison. Non seulement il n’eut pas de maîtresses, mais il eut du mal à avoir une descendance. Comment expliquer cette atonie des sens chez le successeur de Louis XV ?
Un mariage consommé sept ans après l’union
Il faut d’abord rappeler que le jeune homme, alors héritier du trône, se marie très jeune. En effet, au moment de son mariage avec la jeune archiduchesse d’Autriche Marie-Antoinette, en 1770, il n’a que quinze ans. Et sa jeune femme a un an de moins que lui.
Les deux adolescents n’ont donc aucune expérience de la sexualité. Au surplus, le futur Louis XVI est un jeune homme timide et emprunté, qui ne semble éprouver aucun goût particulier pour la bagatelle.
Pour couronner le tout, il souffre d’une légère malformation, qui rend les rapports sexuels douloureux. Il faudra que le frère de Marie-Antoinette, l’Empereur Joseph II, se déplace en personne pour convaincre son beau-frère de consommer enfin son mariage. Ce sera chose faite en 1777.
Et la Reine accouchera de son premier enfant, la future madame Royale, l’année suivante. Mais si Louis XVI n’eut pas de maîtresses, c’est encore pour une autre raison. En effet, c’était un homme très pieux, qui ne prenait pas à la légère ses devoirs de croyant. Par ailleurs, il avait pu constater à quel point les débordements de son grand-père avaient pu, à la fin de son règne, miner une popularité qui, en d’autres temps, lui avait valu le surnom de Bien-Aimé.
20Minutes
HAUTE FIDÉLITÉ Ce roi pieux n’avait aucun goût pour la bagatelle… au pieu.
La plupart des Rois de France ont eu de nombreuses liaisons hors mariage. À l’exception de Louis XIII, les Bourbons étaient notamment connus pour leur tempérament sensuel. De fait, Henri IV n’était pas surnommé le « Vert Galant » pour rien.
On sait que Louis XIV eut de nombreuses favorites, dont les plus connues sont Mme de Montespan et Mme de Maintenon. Quant à Louis XV, il n’est pas en reste, et ses aventures galantes alimentaient la chronique quotidienne de Versailles.
Mais, dans ce domaine, son petit-fils, Louis XVI, ne suit en rien l’exemple de ses ancêtres. En effet, on ne lui connaît aucune liaison. Non seulement il n’eut pas de maîtresses, mais il eut du mal à avoir une descendance. Comment expliquer cette atonie des sens chez le successeur de Louis XV ?
Un mariage consommé sept ans après l’union
Il faut d’abord rappeler que le jeune homme, alors héritier du trône, se marie très jeune. En effet, au moment de son mariage avec la jeune archiduchesse d’Autriche Marie-Antoinette, en 1770, il n’a que quinze ans. Et sa jeune femme a un an de moins que lui.
Les deux adolescents n’ont donc aucune expérience de la sexualité. Au surplus, le futur Louis XVI est un jeune homme timide et emprunté, qui ne semble éprouver aucun goût particulier pour la bagatelle.
Pour couronner le tout, il souffre d’une légère malformation, qui rend les rapports sexuels douloureux. Il faudra que le frère de Marie-Antoinette, l’Empereur Joseph II, se déplace en personne pour convaincre son beau-frère de consommer enfin son mariage. Ce sera chose faite en 1777.
Et la Reine accouchera de son premier enfant, la future madame Royale, l’année suivante. Mais si Louis XVI n’eut pas de maîtresses, c’est encore pour une autre raison. En effet, c’était un homme très pieux, qui ne prenait pas à la légère ses devoirs de croyant. Par ailleurs, il avait pu constater à quel point les débordements de son grand-père avaient pu, à la fin de son règne, miner une popularité qui, en d’autres temps, lui avait valu le surnom de Bien-Aimé.
La Chine a planté 3,83 millions d'hectares de forêt l'année dernière
20Minutes
ESPACE VERT La Chine a fait de nouveaux progrès dans le boisement en 2022, avec la superficie de forêts nouvellement plantées totalisant 3,83 millions d'hectares
La Chine a fait de nouveaux progrès dans le boisement en 2022, avec la superficie de forêts nouvellement plantées totalisant 3,83 millions d'hectares, d'après un rapport publié récemment.
Le pays a également restauré 3,21 millions d'hectares de prairies dégradées grâce à la plantation d'herbe en 2022, selon le rapport de la Commission nationale du verdissement.
Après des décennies de boisement, la Chine a créé les plus grandes forêts plantées du monde, avec un taux de couverture forestière qui a plus que doublé, passant de 12% au début des années 1980, à 24,02% en 2022.
Le taux de couverture végétale des prairies du pays a augmenté à 50,32% en 2022, selon le rapport.
Le mouvement vert du pays fait également partie des efforts de la Chine pour remplir son engagement d'atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici 2030, et d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2060, les forêts et les prairies étant des puits de carbone importants qui absorbent et stockent le dioxyde de carbone de l'atmosphère.
Vers plus d'espace vert à Beijing
Beijing ajoutera 22 parcs de loisirs et forêts urbaines, et 50 parcs de poche et petits espaces verts en 2023, ont déclaré les autorités locales.
l est prévu que d'ici la fin de cette année, 89% des résidents profiteront des parcs et des petits espaces verts dans un rayon de 500 mètres, selon le Bureau municipal des forêts et des parcs de Beijing.
La capitale compte actuellement 1 050 parcs de différents types, notamment des parcs de loisirs urbains, des forêts urbaines, des parcs de poche et de petits espaces verts.
Beijing prévoit également d'achever la restauration écologique de 120 000 mu (8 000 hectares) de terres et le boisement de 15 000 mu en 2023, ainsi que d'ajouter 200 hectares supplémentaires d'espaces verts urbains.
De 2012 à 2017, Beijing a lancé un projet de boisement couvrant 1 million de mu.
Une nouvelle série de projets de boisement, réalisés de 2018 à 2022, a permis d'ajouter 1,02 million de mu d'espaces verts à Beijing.
La ville a restauré 10 200 hectares de zones humides au cours des cinq dernières années et compte actuellement 596 espèces d'animaux sauvages terrestres.
20Minutes
ESPACE VERT La Chine a fait de nouveaux progrès dans le boisement en 2022, avec la superficie de forêts nouvellement plantées totalisant 3,83 millions d'hectares
La Chine a fait de nouveaux progrès dans le boisement en 2022, avec la superficie de forêts nouvellement plantées totalisant 3,83 millions d'hectares, d'après un rapport publié récemment.
Le pays a également restauré 3,21 millions d'hectares de prairies dégradées grâce à la plantation d'herbe en 2022, selon le rapport de la Commission nationale du verdissement.
Après des décennies de boisement, la Chine a créé les plus grandes forêts plantées du monde, avec un taux de couverture forestière qui a plus que doublé, passant de 12% au début des années 1980, à 24,02% en 2022.
Le taux de couverture végétale des prairies du pays a augmenté à 50,32% en 2022, selon le rapport.
Le mouvement vert du pays fait également partie des efforts de la Chine pour remplir son engagement d'atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici 2030, et d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2060, les forêts et les prairies étant des puits de carbone importants qui absorbent et stockent le dioxyde de carbone de l'atmosphère.
Vers plus d'espace vert à Beijing
Beijing ajoutera 22 parcs de loisirs et forêts urbaines, et 50 parcs de poche et petits espaces verts en 2023, ont déclaré les autorités locales.
l est prévu que d'ici la fin de cette année, 89% des résidents profiteront des parcs et des petits espaces verts dans un rayon de 500 mètres, selon le Bureau municipal des forêts et des parcs de Beijing.
La capitale compte actuellement 1 050 parcs de différents types, notamment des parcs de loisirs urbains, des forêts urbaines, des parcs de poche et de petits espaces verts.
Beijing prévoit également d'achever la restauration écologique de 120 000 mu (8 000 hectares) de terres et le boisement de 15 000 mu en 2023, ainsi que d'ajouter 200 hectares supplémentaires d'espaces verts urbains.
De 2012 à 2017, Beijing a lancé un projet de boisement couvrant 1 million de mu.
Une nouvelle série de projets de boisement, réalisés de 2018 à 2022, a permis d'ajouter 1,02 million de mu d'espaces verts à Beijing.
La ville a restauré 10 200 hectares de zones humides au cours des cinq dernières années et compte actuellement 596 espèces d'animaux sauvages terrestres.
Un habitant tombe nez à nez avec mygale dans sa baignoire en Charente-Maritime
OuestFrance
Une mygale andalouse, originaire d’Espagne, a été capturée dans la baignoire d’un habitant de Vaux-sur-Mer (Charente-Maritime) le 16 juillet 2023. L’animal a ensuite été envoyé dans un laboratoire en Belgique.
Une capture hors du commun. Une mygale andalouse, une espèce d’araignée rare dans l’Hexagone, a été saisie le dimanche 16 juillet 2023 dans la commune de Vaux-sur-Mer (Charente-Maritime). L’animal a été découvert par un habitant dans la baignoire de son logement, rapporte France Bleu La Rochelle .
C’est l’élue d’astreinte de la commune qui a été contactée par les sapeurs-pompiers. En effet, en cas de découverte d’un animal non domestique, c’est à la municipalité de faire appel à un organisme spécialisé. Dans ce cas, c’est le Centre d’accueil provisoire des espèces non domestiques, basé à Saint-Palais-sur-Mer, qui est intervenu.
Une espèce venimeuse dangereuse pour les enfants
La mygale a ensuite été envoyée dans un laboratoire en Belgique, afin de retirer son venin, et faire des tests médicaux. Selon le maire de Vaux-en-Mer, Patrice Libelli, l’espèce est « très venimeuse ». Son venin n’est pas mortel pour un adulte mais peut l’être pour un enfant.
La mygale andalouse, dont l’abdomen fait environ 4 cm de diamètre, est originaire d’Espagne et est une espèce protégée en France, rapporte Sud Ouest . Elle arrive souvent dans l’Hexagone dans les racines de palmiers ou d’oliviers, dans lesquels elle se niche. Selon le Centre d’accueil provisoire de Saint-Palais, les captures de mygales andalouses sont en hausse en 2023.
OuestFrance
Une mygale andalouse, originaire d’Espagne, a été capturée dans la baignoire d’un habitant de Vaux-sur-Mer (Charente-Maritime) le 16 juillet 2023. L’animal a ensuite été envoyé dans un laboratoire en Belgique.
Une capture hors du commun. Une mygale andalouse, une espèce d’araignée rare dans l’Hexagone, a été saisie le dimanche 16 juillet 2023 dans la commune de Vaux-sur-Mer (Charente-Maritime). L’animal a été découvert par un habitant dans la baignoire de son logement, rapporte France Bleu La Rochelle .
C’est l’élue d’astreinte de la commune qui a été contactée par les sapeurs-pompiers. En effet, en cas de découverte d’un animal non domestique, c’est à la municipalité de faire appel à un organisme spécialisé. Dans ce cas, c’est le Centre d’accueil provisoire des espèces non domestiques, basé à Saint-Palais-sur-Mer, qui est intervenu.
Une espèce venimeuse dangereuse pour les enfants
La mygale a ensuite été envoyée dans un laboratoire en Belgique, afin de retirer son venin, et faire des tests médicaux. Selon le maire de Vaux-en-Mer, Patrice Libelli, l’espèce est « très venimeuse ». Son venin n’est pas mortel pour un adulte mais peut l’être pour un enfant.
La mygale andalouse, dont l’abdomen fait environ 4 cm de diamètre, est originaire d’Espagne et est une espèce protégée en France, rapporte Sud Ouest . Elle arrive souvent dans l’Hexagone dans les racines de palmiers ou d’oliviers, dans lesquels elle se niche. Selon le Centre d’accueil provisoire de Saint-Palais, les captures de mygales andalouses sont en hausse en 2023.
Etats-Unis : La star du R’n’B Monica interrompt son concert pour aider une fan frappée par un homme
AGRESSION La chanteuse n’a pas hésité à descendre de la scène et à s’en prendre directement à l’homme violent avant qu’il ne soit exfiltré
20 Minutes
Alors qu’elle était en concert à Detroit (États-Unis) le week-end dernier dans le cadre du Riverfront Music Festival, la star du R’n’B Monica n’a pas hésité à descendre de scène. Elle est en effet venue en aide à une femme présente dans le public et que son compagnon aurait été en train de frapper. La scène a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, devenant rapidement virale, raconte Le Parisien.
« Ah, non ! Ne la frappez pas comme ça ! », a notamment crié la chanteuse après avoir interrompu son concert. Elle a ensuite demandé à la sécurité de faire sortir l’homme suspecté d’agression avant de décider d’aller dans le public pour se confronter directement à lui. « On ne frappe pas une femme comme ça ! », a ajouté l’interprète de The Boy is Mine. Elle est ensuite remontée sur scène et a présenté ses excuses au public.
Le conjoint expulsé de la salle de concert
« Vous êtes censés vous amuser », a lancé Monica à ses fans. Elle a finalement attendu que l’homme soit accompagné jusqu’à l’extérieur de la salle avant de reprendre son show. Plus tard, l’artiste a expliqué à CNN : « Je ne voulais tout simplement pas qu’elle soit blessée et je ne souhaitais pas qu’elle rentre chez elle comme si de rien n’était, après avoir assisté à un concert. » D’autant que pour la chanteuse, les concerts jouissent d’une mauvaise image et sont désormais considérés comme des lieux dangereux. « Je veux vraiment que cela change », a-t-elle confié.
Monica a également expliqué ce que ses « instincts ont joué » au moment de quitter la scène pour porter assistance à la spectatrice agressée. « Je n’ai pas l’impression d’être une superhéroïne. Mais j’ai fait ce que j’aurais espéré que quelqu’un fasse s’il voyait cela arriver à ma tante ou à ma mère », a-t-elle commenté. Pour elle, cette intervention était « une question de cœur avant tout ».
AGRESSION La chanteuse n’a pas hésité à descendre de la scène et à s’en prendre directement à l’homme violent avant qu’il ne soit exfiltré
20 Minutes
Alors qu’elle était en concert à Detroit (États-Unis) le week-end dernier dans le cadre du Riverfront Music Festival, la star du R’n’B Monica n’a pas hésité à descendre de scène. Elle est en effet venue en aide à une femme présente dans le public et que son compagnon aurait été en train de frapper. La scène a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, devenant rapidement virale, raconte Le Parisien.
« Ah, non ! Ne la frappez pas comme ça ! », a notamment crié la chanteuse après avoir interrompu son concert. Elle a ensuite demandé à la sécurité de faire sortir l’homme suspecté d’agression avant de décider d’aller dans le public pour se confronter directement à lui. « On ne frappe pas une femme comme ça ! », a ajouté l’interprète de The Boy is Mine. Elle est ensuite remontée sur scène et a présenté ses excuses au public.
Le conjoint expulsé de la salle de concert
« Vous êtes censés vous amuser », a lancé Monica à ses fans. Elle a finalement attendu que l’homme soit accompagné jusqu’à l’extérieur de la salle avant de reprendre son show. Plus tard, l’artiste a expliqué à CNN : « Je ne voulais tout simplement pas qu’elle soit blessée et je ne souhaitais pas qu’elle rentre chez elle comme si de rien n’était, après avoir assisté à un concert. » D’autant que pour la chanteuse, les concerts jouissent d’une mauvaise image et sont désormais considérés comme des lieux dangereux. « Je veux vraiment que cela change », a-t-elle confié.
Monica a également expliqué ce que ses « instincts ont joué » au moment de quitter la scène pour porter assistance à la spectatrice agressée. « Je n’ai pas l’impression d’être une superhéroïne. Mais j’ai fait ce que j’aurais espéré que quelqu’un fasse s’il voyait cela arriver à ma tante ou à ma mère », a-t-elle commenté. Pour elle, cette intervention était « une question de cœur avant tout ».
Un Danois a fait le tour du monde pendant 10 ans sans prendre l’avion
LaPresse.ca
(Aarhus) Le voici de retour sur le sol danois, après un voyage de quasi 10 ans. Torbjørn Pedersen est arrivé mercredi à Aarhus au Danemark à l’issue d’un tour du monde inédit, sans prendre l’avion une seule fois.
En train, en bus, en bateau ou à pied, « Thor », 44 ans, a visité 203 pays de son départ le 10 octobre 2013 du Danemark à son arrivée aux Maldives le 24 mai, sa dernière destination. Il est le premier à avoir relevé le défi, assure-t-il.
« Je suis tellement heureux d’être de retour chez moi au Danemark, j’ai rêvé de ce moment, et c’est aujourd’hui », a-t-il réagi auprès de l’AFP à son arrivée, soulignant qu’il se battait contre des « sentiments mitigés ».
« Je suis anxieux vis-à-vis du futur. Vais-je réussir à me lancer comme conférencier ? Écrire un livre ? », a-t-il aussi confié à sa descente d’un porte-conteneurs dans le port d’Aarhus.
Soutenu par des donations privées et des entreprises, cet ancien cadre dans le transport maritime a parcouru l’Europe occidentale, puis les Amériques, l’Afrique, l’Europe de l’Est et le Moyen-Orient, avant d’arriver en Asie.
Après la Micronésie en janvier 2020, il est allé à Hong Kong où il est resté coincé pendant deux ans à cause de la pandémie de COVID-19. Une fois les frontières de nouveau ouvertes, il a repris la route direction la république des Palaos, puis les pays d’Océanie et les îles du Pacifique.
Avide de rencontres, cet ancien casque bleu n’a jamais loué de voiture et a privilégié les voyages en bus et en train.
Et malgré la distance géographique, Torbjørn Pedersen et sa conjointe ont réussi à entretenir la flamme de leur relation.
Pendant cette décennie de voyage, Le Gjerum, 40 ans, est allée lui rendre visite aux quatre coins du monde 27 fois.
La dixième fois, il s’est agenouillé et lui a demandé de l’épouser. Pandémie oblige, ils se sont mariés en ligne.
« J’ai hâte d’avoir un quotidien avec lui maintenant », a-t-elle partagé mercredi à l’AFP.
Thor, qui documenté son périple sur les réseaux sociaux et sur un blogue, était aussi ambassadeur pour la Croix-Rouge.
D’après le Guinness des records, le Britannique Graham Hughes est le premier à avoir fait le tour du monde sans avion, mais son voyage avait été entrecoupé de deux retours au bercail, ce que Thor n’a pas fait.
LaPresse.ca
(Aarhus) Le voici de retour sur le sol danois, après un voyage de quasi 10 ans. Torbjørn Pedersen est arrivé mercredi à Aarhus au Danemark à l’issue d’un tour du monde inédit, sans prendre l’avion une seule fois.
En train, en bus, en bateau ou à pied, « Thor », 44 ans, a visité 203 pays de son départ le 10 octobre 2013 du Danemark à son arrivée aux Maldives le 24 mai, sa dernière destination. Il est le premier à avoir relevé le défi, assure-t-il.
« Je suis tellement heureux d’être de retour chez moi au Danemark, j’ai rêvé de ce moment, et c’est aujourd’hui », a-t-il réagi auprès de l’AFP à son arrivée, soulignant qu’il se battait contre des « sentiments mitigés ».
« Je suis anxieux vis-à-vis du futur. Vais-je réussir à me lancer comme conférencier ? Écrire un livre ? », a-t-il aussi confié à sa descente d’un porte-conteneurs dans le port d’Aarhus.
Soutenu par des donations privées et des entreprises, cet ancien cadre dans le transport maritime a parcouru l’Europe occidentale, puis les Amériques, l’Afrique, l’Europe de l’Est et le Moyen-Orient, avant d’arriver en Asie.
Après la Micronésie en janvier 2020, il est allé à Hong Kong où il est resté coincé pendant deux ans à cause de la pandémie de COVID-19. Une fois les frontières de nouveau ouvertes, il a repris la route direction la république des Palaos, puis les pays d’Océanie et les îles du Pacifique.
Avide de rencontres, cet ancien casque bleu n’a jamais loué de voiture et a privilégié les voyages en bus et en train.
Et malgré la distance géographique, Torbjørn Pedersen et sa conjointe ont réussi à entretenir la flamme de leur relation.
Pendant cette décennie de voyage, Le Gjerum, 40 ans, est allée lui rendre visite aux quatre coins du monde 27 fois.
La dixième fois, il s’est agenouillé et lui a demandé de l’épouser. Pandémie oblige, ils se sont mariés en ligne.
« J’ai hâte d’avoir un quotidien avec lui maintenant », a-t-elle partagé mercredi à l’AFP.
Thor, qui documenté son périple sur les réseaux sociaux et sur un blogue, était aussi ambassadeur pour la Croix-Rouge.
D’après le Guinness des records, le Britannique Graham Hughes est le premier à avoir fait le tour du monde sans avion, mais son voyage avait été entrecoupé de deux retours au bercail, ce que Thor n’a pas fait.
« C'est très sérieux », ce Vendéen fait chanter les plantes
OuestFrance
Thomas Bellenot est un musicien qui aime les challenges. Attiré depuis toujours par les instruments peu communs, il s’est lancé il y a trois ans dans l’exploration de la musique des plantes. il soulève les mystères qui entourent sa passion pour nous fait voir les plantes autrement.
Musicien depuis ses 17 ans, Thomas Bellenot, voue une véritable passion pour les instruments insolites, « ceux que personne n’a ». Et parmi eux, un petit boitier transformant le signal électrique des plantes en mélodies. D’une valeur de 600€, il a été développé en Italie par Damanhur décrit par l’ONU comme « une fédération de communautés reconnue au niveau international pour la recherche artistique, écologique et sociale ».
Une passion devenue un style de vie
Le soir quand il rentre du travail, Thomas ne choisit pas un programme télé mais un arbuste ou autre végétal à faire chanter. Ce qui l’amuse c’est de tester, d’explorer le champ des possibles. Un jour il fait chanter deux plantes ensemble, le lendemain il s’invite à la partie en composant manuellement d’autres sons. « Je m’endors avec la musique des plantes quasiment tous les soirs » confie-t-il. Branchée, la plante joue alors toute la nuit, jusqu’au petit matin.
Une méconnaissance
Et cette passion il la fait découvrir aux badauds dans les jardins publics. Il y a les curieux et les indifférents, beaucoup d’indifférents admet-il. Thomas regrette les perceptions occidentales trop matérialistes. « Même quand on prouve que les plantes réagissent à leur environnement via leurs variations musicales, il y a toujours des sceptiques ».
La musique des plantes est davantage démocratisée aux États-Unis où on y est exposé dans les parcs ou encore les hôtels de luxe. En France seul Jean Thoby réussit à faire connaitre réellement la pratique, notamment grâce au festival de musique des plantes qu’il organise tous les ans au mois d’août.
Des projets plein la tête
Thomas voudrait maintenant monter des projets pour partager avec le plus grand nombre sa passion. « J'aimerais organiser des présentations de la musique des plantes en petits groupes, proposer des concerts, m'associer à une chanteuse... ». Pour les réaliser, le musicien de 49 ans compte se rapprocher du tissu associatif local « connecté à la biodiversité ».
OuestFrance
Thomas Bellenot est un musicien qui aime les challenges. Attiré depuis toujours par les instruments peu communs, il s’est lancé il y a trois ans dans l’exploration de la musique des plantes. il soulève les mystères qui entourent sa passion pour nous fait voir les plantes autrement.
Musicien depuis ses 17 ans, Thomas Bellenot, voue une véritable passion pour les instruments insolites, « ceux que personne n’a ». Et parmi eux, un petit boitier transformant le signal électrique des plantes en mélodies. D’une valeur de 600€, il a été développé en Italie par Damanhur décrit par l’ONU comme « une fédération de communautés reconnue au niveau international pour la recherche artistique, écologique et sociale ».
Une passion devenue un style de vie
Le soir quand il rentre du travail, Thomas ne choisit pas un programme télé mais un arbuste ou autre végétal à faire chanter. Ce qui l’amuse c’est de tester, d’explorer le champ des possibles. Un jour il fait chanter deux plantes ensemble, le lendemain il s’invite à la partie en composant manuellement d’autres sons. « Je m’endors avec la musique des plantes quasiment tous les soirs » confie-t-il. Branchée, la plante joue alors toute la nuit, jusqu’au petit matin.
Une méconnaissance
Et cette passion il la fait découvrir aux badauds dans les jardins publics. Il y a les curieux et les indifférents, beaucoup d’indifférents admet-il. Thomas regrette les perceptions occidentales trop matérialistes. « Même quand on prouve que les plantes réagissent à leur environnement via leurs variations musicales, il y a toujours des sceptiques ».
La musique des plantes est davantage démocratisée aux États-Unis où on y est exposé dans les parcs ou encore les hôtels de luxe. En France seul Jean Thoby réussit à faire connaitre réellement la pratique, notamment grâce au festival de musique des plantes qu’il organise tous les ans au mois d’août.
Des projets plein la tête
Thomas voudrait maintenant monter des projets pour partager avec le plus grand nombre sa passion. « J'aimerais organiser des présentations de la musique des plantes en petits groupes, proposer des concerts, m'associer à une chanteuse... ». Pour les réaliser, le musicien de 49 ans compte se rapprocher du tissu associatif local « connecté à la biodiversité ».
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