À Majorque, une paroisse étonne en ouvrant un bar de plage
RTL
Sur l'île espagnole de Majorque, un bar de plage étonne, non pas pour son menu qui est très habituel, mais par son propriétaire.
Un chiringuito signifie en espagnol bar de plage. Et à Majorque sur la plage de Portals Nous, il y a un chiringuito vraiment pas comme les autres.
Sur une plage paradisiaque à Majorque, le décor habituel : mer calme, sable fin, un bar de plage. Vous pouvez y commander une salade à 17 euros, une corbeille de pain à 3,50 euros ou une bouteille de champagne à 415 euros. Jusqu'ici, rien d'étonnant.
Mais le bar a été ouvert, non pas par le meilleur ami de David Guetta, mais par... une paroisse. Un tenancier déroutant, mais c’est bien l'Église de l’île qui gère ce bar. Et tous les bénéfices sont redonnés à une bonne cause : l'argent des tapas et autres champagnes participera à la construction d'un refuge pour les familles ayant des problèmes d'accès au logement.
Un beau projet d'auberge solidaire qui pourra accueillir une bonne douzaine de personnes mais dont la note est salée : entre 800.000 et 900.000 euros.
Le nom du bar est de circonstance : Tabgha, la ville où le Christ aurait multiplié les pains et les poissons. On souhaite à ce chiringuito de multiplier ses ventes !
Questions existentielles - page 288
Canada : un cambrioleur nettoie la pâtisserie qu'il vient de dévaliser avant d'appeler pour s'excuser
RTL
Arsène Lupin a peut-être trouvé son maître : un voleur canadien a été plus que délicat avec la pâtisserie qu'il a cambriolée.
Au Canada, à Vancouver, un voleur insolite est entré par effraction dans la pâtisserie Sweet Something fin mai. Son seul butin ? Six cupcakes goût chocolat-champagne, d'une valeur de 30$.
Mais la vidéo de l'effraction récupérée sur les caméras de vidéosurveillance montre un cambriolage complètement lunaire. Le voleur reste une demi-heure devant la boutique, finit par casser la porte vitrée pour se glisser dans la pâtisserie, se repose sur une chaise, passe aux toilettes puis... fait le ménage !
La pâtissière Emma Irvine a mis ces images sur TikTok avec un commentaire plein d'humour sur l'étonnant et maladroit voleur. La vidéo cumule plus de 440.000 vues sur TikTok.
Le voleur a même un drôle d’humour puisqu’il a pris des selfies avec le téléphone de la boutique avec de grosses lunettes orange, téléphone qu’il n’a même pas emporté puisque son seul butin consiste en cette fameuse boîte de six cupcakes.
La police de Vancouver n’a pas eu à enquêter longtemps sur l’identité du voleur car celui-ci a fini par… appeler la pâtisserie pour présenter ses excuses. Le jeune homme a même proposé de rembourser les dégâts et de donner les fameuses lunettes orange du selfie.
La pâtissière n’est pas rancunière. Emma Irvine a créé un cupcake en hommage à cette aventure nommé “crime passionnel” avec … des lunettes oranges en sucre.
Elle a demandé à la police d’abandonner les poursuites et envisage de se réconcilier avec son voleur autour de cupcakes chocolat-champagne, partagés et non volés cette fois-ci.
RTL
Arsène Lupin a peut-être trouvé son maître : un voleur canadien a été plus que délicat avec la pâtisserie qu'il a cambriolée.
Au Canada, à Vancouver, un voleur insolite est entré par effraction dans la pâtisserie Sweet Something fin mai. Son seul butin ? Six cupcakes goût chocolat-champagne, d'une valeur de 30$.
Mais la vidéo de l'effraction récupérée sur les caméras de vidéosurveillance montre un cambriolage complètement lunaire. Le voleur reste une demi-heure devant la boutique, finit par casser la porte vitrée pour se glisser dans la pâtisserie, se repose sur une chaise, passe aux toilettes puis... fait le ménage !
La pâtissière Emma Irvine a mis ces images sur TikTok avec un commentaire plein d'humour sur l'étonnant et maladroit voleur. La vidéo cumule plus de 440.000 vues sur TikTok.
Le voleur a même un drôle d’humour puisqu’il a pris des selfies avec le téléphone de la boutique avec de grosses lunettes orange, téléphone qu’il n’a même pas emporté puisque son seul butin consiste en cette fameuse boîte de six cupcakes.
La police de Vancouver n’a pas eu à enquêter longtemps sur l’identité du voleur car celui-ci a fini par… appeler la pâtisserie pour présenter ses excuses. Le jeune homme a même proposé de rembourser les dégâts et de donner les fameuses lunettes orange du selfie.
La pâtissière n’est pas rancunière. Emma Irvine a créé un cupcake en hommage à cette aventure nommé “crime passionnel” avec … des lunettes oranges en sucre.
Elle a demandé à la police d’abandonner les poursuites et envisage de se réconcilier avec son voleur autour de cupcakes chocolat-champagne, partagés et non volés cette fois-ci.
À Lima au Pérou, une momie vieille de 3 000 ans découverte dans une décharge par des archéologues
Huffpost
Il a fallu retirer huit tonnes de déchets pour trouver cette momie, dont les archéologues estiment qu’elle appartenait « à la culture Manchay ».
PÉROU - 3 000 ans d’histoire ensevelis sous huit tonnes de déchets. Des archéologues péruviens ont découvert une momie datant de l’époque des Manchay dans la décharge de Rimac à Lima, mercredi 14 juin. En réalité, ce sont des étudiants de l’Université de San Marcos, qui participent aussi aux fouilles, qui ont repéré – dans un premier temps – les cheveux puis le crâne de la momie.
Miguel Aguilar, l’un des archéologues péruviens ayant participé à la découverte, estime que cette momie « appartient très probablement à la culture Manchay » qui vivait « dans les vallées de Lima entre 1500 et 1000 av. J-C. ». Le corps était enveloppé dans un tissu fait de coton et de fibres végétales.
L’expert, qui s’est confié à la BBC, précise que les Manchay « sont associés à la culture des temples en U » : ces derniers sont toujours construits en direction de l’Est.
Sans doute un sacrifice
La momie a été découverte dans une tombe en pierre, placée au centre de l’un des temples, raconte Miguel Aguilar. Pour lui, il n’y a pas de doute : « la personne qui a été abandonnée ou offerte (comme un sacrifice, ndlr) dans cette zone l’a été lors de la dernière phase de la construction de ce temple ».
Pour trouver la momie, les équipes de Miguel Aguilar ont dû retirer plus de huit tonnes de déchets. Mais il y avait aussi du maïs, des feuilles de coca et des graines enterrés juste à côté du corps.
La BBC rappelle que la momification était pratiquée par les différentes cultures qui vivaient dans la région de l’actuel Pérou, avant l’arrivée des conquistadors espagnols. Le plus fréquemment, les momies sont enterrées en position fœtale. Certaines défilent lors de festivals importants avant d’être placées dans un temple.
Huffpost
Il a fallu retirer huit tonnes de déchets pour trouver cette momie, dont les archéologues estiment qu’elle appartenait « à la culture Manchay ».
PÉROU - 3 000 ans d’histoire ensevelis sous huit tonnes de déchets. Des archéologues péruviens ont découvert une momie datant de l’époque des Manchay dans la décharge de Rimac à Lima, mercredi 14 juin. En réalité, ce sont des étudiants de l’Université de San Marcos, qui participent aussi aux fouilles, qui ont repéré – dans un premier temps – les cheveux puis le crâne de la momie.
Miguel Aguilar, l’un des archéologues péruviens ayant participé à la découverte, estime que cette momie « appartient très probablement à la culture Manchay » qui vivait « dans les vallées de Lima entre 1500 et 1000 av. J-C. ». Le corps était enveloppé dans un tissu fait de coton et de fibres végétales.
L’expert, qui s’est confié à la BBC, précise que les Manchay « sont associés à la culture des temples en U » : ces derniers sont toujours construits en direction de l’Est.
Sans doute un sacrifice
La momie a été découverte dans une tombe en pierre, placée au centre de l’un des temples, raconte Miguel Aguilar. Pour lui, il n’y a pas de doute : « la personne qui a été abandonnée ou offerte (comme un sacrifice, ndlr) dans cette zone l’a été lors de la dernière phase de la construction de ce temple ».
Pour trouver la momie, les équipes de Miguel Aguilar ont dû retirer plus de huit tonnes de déchets. Mais il y avait aussi du maïs, des feuilles de coca et des graines enterrés juste à côté du corps.
La BBC rappelle que la momification était pratiquée par les différentes cultures qui vivaient dans la région de l’actuel Pérou, avant l’arrivée des conquistadors espagnols. Le plus fréquemment, les momies sont enterrées en position fœtale. Certaines défilent lors de festivals importants avant d’être placées dans un temple.
Ca rejoint les documentations et les reportages que je ne rate jamais étant une vraie fana de la culture Aztèque ........
C'est vrai que souvent les victimes de sacrifices étaient souvent ensevelies en position fœtale.
Une merveille cette civilisation ......mais pas d'écrits ,juste le commencement de la compréhension des hiéroglyphes ...........juste avec des tresses en poils d'animaux , tressés et noués .
Merci Photos . :flo:
C'est vrai que souvent les victimes de sacrifices étaient souvent ensevelies en position fœtale.
Une merveille cette civilisation ......mais pas d'écrits ,juste le commencement de la compréhension des hiéroglyphes ...........juste avec des tresses en poils d'animaux , tressés et noués .
Merci Photos . :flo:
(img)xxxxx(/img)
De l'Ehpad à la boîte de nuit : une association belge emmène des personnes âgées danser
RTL
Des résidents d'un Ehpad sont allés faire un petit tour en boîte de nuit en Belgique. C'est l'objet d'un reportage réalisé par nos confrères de Réel Media, un média "positif" entièrement digital.
L'association Papy Boom organise des activités régulièrement pour les seniors. Tous les mois, des résidents d'Ehpad sont emmenés en boîte de nuit faire la fiesta. Première étape avant d'aller danser ? Maquillage, coiffure, et un peu de crème étalée sur le visage par la maquilleuse : la personne âgée profite de ce moment où elle se fait pomponner.
Chemise pour Papy, lunettes de soleil et robe pour Mamie : direction la boîte de nuit, où les attend une table VIP mise à leur disposition par la discothèque. Mais ce qui intéresse tout le monde, c’est la piste de danse bien sûr ! On ne sait pas si les personnes âgées ont fait la fermeture de la boîte mais ils ont l’air de bien s’amuser. Même des jeunes sont venus inviter Mamie à danser.
Objectif pour l’association Papy Boom : qu’on s’amuse encore un peu à tout âge. Car l’association veut rompre l’isolement des seniors pour qu’on n’oublie pas qu’entrer en EHPAD ce n’est pas la fin de la vie !
RTL
Des résidents d'un Ehpad sont allés faire un petit tour en boîte de nuit en Belgique. C'est l'objet d'un reportage réalisé par nos confrères de Réel Media, un média "positif" entièrement digital.
L'association Papy Boom organise des activités régulièrement pour les seniors. Tous les mois, des résidents d'Ehpad sont emmenés en boîte de nuit faire la fiesta. Première étape avant d'aller danser ? Maquillage, coiffure, et un peu de crème étalée sur le visage par la maquilleuse : la personne âgée profite de ce moment où elle se fait pomponner.
Chemise pour Papy, lunettes de soleil et robe pour Mamie : direction la boîte de nuit, où les attend une table VIP mise à leur disposition par la discothèque. Mais ce qui intéresse tout le monde, c’est la piste de danse bien sûr ! On ne sait pas si les personnes âgées ont fait la fermeture de la boîte mais ils ont l’air de bien s’amuser. Même des jeunes sont venus inviter Mamie à danser.
Objectif pour l’association Papy Boom : qu’on s’amuse encore un peu à tout âge. Car l’association veut rompre l’isolement des seniors pour qu’on n’oublie pas qu’entrer en EHPAD ce n’est pas la fin de la vie !
photos a écrit : À Lima au Pérou, une momie vieille de 3 000 ans découverte dans une décharge par des archéologues
Huffpost
Il a fallu retirer huit tonnes de déchets pour trouver cette momie, dont les archéologues estiment qu’elle appartenait « à la culture Manchay ».
PÉROU - 3 000 ans d’histoire ensevelis sous huit tonnes de déchets. Des archéologues péruviens ont découvert une momie datant de l’époque des Manchay dans la décharge de Rimac à Lima, mercredi 14 juin. En réalité, ce sont des étudiants de l’Université de San Marcos, qui participent aussi aux fouilles, qui ont repéré – dans un premier temps – les cheveux puis le crâne de la momie.
Miguel Aguilar, l’un des archéologues péruviens ayant participé à la découverte, estime que cette momie « appartient très probablement à la culture Manchay » qui vivait « dans les vallées de Lima entre 1500 et 1000 av. J-C. ». Le corps était enveloppé dans un tissu fait de coton et de fibres végétales.
L’expert, qui s’est confié à la BBC, précise que les Manchay « sont associés à la culture des temples en U » : ces derniers sont toujours construits en direction de l’Est.
Sans doute un sacrifice
La momie a été découverte dans une tombe en pierre, placée au centre de l’un des temples, raconte Miguel Aguilar. Pour lui, il n’y a pas de doute : « la personne qui a été abandonnée ou offerte (comme un sacrifice, ndlr) dans cette zone l’a été lors de la dernière phase de la construction de ce temple ».
Pour trouver la momie, les équipes de Miguel Aguilar ont dû retirer plus de huit tonnes de déchets. Mais il y avait aussi du maïs, des feuilles de coca et des graines enterrés juste à côté du corps.
La BBC rappelle que la momification était pratiquée par les différentes cultures qui vivaient dans la région de l’actuel Pérou, avant l’arrivée des conquistadors espagnols. Le plus fréquemment, les momies sont enterrées en position fœtale. Certaines défilent lors de festivals importants avant d’être placées dans un temple.
L'histoire ne dit pas pourquoi ils ont décidé de fouiller dans les déchets...
L’Irlande va offrir jusqu’à 84.000 euros à ceux qui accepteront d’emménager sur une île coupée du monde
CHANGEMENT DE VIE Parmi les îles à repeupler, on retrouve notamment le décor d’un film récemment nommé aux Oscars
20 Minutes
L’Irlande possède de nombreuses petites îles, que ça soit en mer d’Irlande, en mer Celtique, dans le canal du Nord, ou sur la côte Sud, Ouest et Nord-Ouest. Parmi elles, certaines sont quasiment abandonnées. Pour tenter de redynamiser plusieurs d’entre elles, le gouvernement irlandais va proposer dès le 1er juillet des subventions à ceux qui voudraient s’y installer, rapporte Euronews. Jusqu’à 84.000 euros peuvent être accordés aux futurs habitants.
Cette initiative fait partie du plan du gouvernement « Our Living Islands », qui a pour but d’augmenter la population des îles irlandaises. Ici, la trentaine d’îles concernées par le plan sont pour la plupart totalement coupées du reste de la péninsule. Parmi elles, on retrouve l’île de Toraigh au nord du pays, ou encore Inis Mór, une île à l’ouest du pays, connue pour avoir accueilli le tournage du film Les Banshees d’Inisherin, qui a été nommé aux Oscars en 2023.
Plusieurs conditions
Pour obtenir l’argent offert par le gouvernement, il faut devenir propriétaire d’un bien immobilier sur l’une des îles concernées. Le bien acquis doit avoir été construit avant 1993, être inoccupé depuis deux ans et ciblé par le plan du gouvernement. L’argent accordé a pour objectif de financer la remise en état du logement, afin de permettre à son propriétaire d’y résider ou de le louer. En parallèle, les acheteurs étrangers souhaitant habiter sur place devront aussi s’assurer de pouvoir obtenir une autorisation de séjour.
Comme l’explique le gouvernement sur son site, ces îles font partie intégrante du patrimoine naturel et culturel de l’Irlande rurale. « L’objectif de cette politique est de veiller à ce que des communautés durables et dynamiques puissent continuer à vivre - et à prospérer - sur les îles au large pendant de nombreuses années à venir. ». D’autres pays, comme l’Italie ou l’Espagne, ont également introduit ce type de politiques afin de redynamiser certaines de leurs zones rurales.
CHANGEMENT DE VIE Parmi les îles à repeupler, on retrouve notamment le décor d’un film récemment nommé aux Oscars
20 Minutes
L’Irlande possède de nombreuses petites îles, que ça soit en mer d’Irlande, en mer Celtique, dans le canal du Nord, ou sur la côte Sud, Ouest et Nord-Ouest. Parmi elles, certaines sont quasiment abandonnées. Pour tenter de redynamiser plusieurs d’entre elles, le gouvernement irlandais va proposer dès le 1er juillet des subventions à ceux qui voudraient s’y installer, rapporte Euronews. Jusqu’à 84.000 euros peuvent être accordés aux futurs habitants.
Cette initiative fait partie du plan du gouvernement « Our Living Islands », qui a pour but d’augmenter la population des îles irlandaises. Ici, la trentaine d’îles concernées par le plan sont pour la plupart totalement coupées du reste de la péninsule. Parmi elles, on retrouve l’île de Toraigh au nord du pays, ou encore Inis Mór, une île à l’ouest du pays, connue pour avoir accueilli le tournage du film Les Banshees d’Inisherin, qui a été nommé aux Oscars en 2023.
Plusieurs conditions
Pour obtenir l’argent offert par le gouvernement, il faut devenir propriétaire d’un bien immobilier sur l’une des îles concernées. Le bien acquis doit avoir été construit avant 1993, être inoccupé depuis deux ans et ciblé par le plan du gouvernement. L’argent accordé a pour objectif de financer la remise en état du logement, afin de permettre à son propriétaire d’y résider ou de le louer. En parallèle, les acheteurs étrangers souhaitant habiter sur place devront aussi s’assurer de pouvoir obtenir une autorisation de séjour.
Comme l’explique le gouvernement sur son site, ces îles font partie intégrante du patrimoine naturel et culturel de l’Irlande rurale. « L’objectif de cette politique est de veiller à ce que des communautés durables et dynamiques puissent continuer à vivre - et à prospérer - sur les îles au large pendant de nombreuses années à venir. ». D’autres pays, comme l’Italie ou l’Espagne, ont également introduit ce type de politiques afin de redynamiser certaines de leurs zones rurales.
À Rome, il est désormais possible de visiter la place mythique où Jules César a été assassiné
OuestFrance
Les passionnés d’histoire ont rendez-vous à Rome. Depuis le mardi 20 juin 2023, la place Largo Argentina est ouverte au public. C’est là qu’a été assassiné Jules César en -44 avant notre ère. Les lieux ont bénéficié de nombreux travaux avant d’ouvrir aux visiteurs.
Largo Argentina, un nom qui n’évoque peut-être rien au grand public, et pourtant. C’est là que s’est déroulé un événement historique : l’assassinat de Jules César. Il a été tué sur cette place de Rome en -44 avant notre ère. Une place que les touristes peuvent désormais visiter. Elle est ouverte au public depuis mardi 20 juin 2023, annonce BFMTV en s’appuyant sur plusieurs articles de médias italiens. Pour y accéder, les non-résidents doivent cependant payer 5 €.
Sur la place Largo Argentina, plusieurs bâtiments étaient présents, notamment la Curie de Pompée, utilisée par le Sénat antique comme l’expliquent le Corriere della Serra et la Repubblica . C’est à cet endroit qu’aurait été poignardé Jules César par plusieurs sénateurs, qui lui prêtaient des ambitions royales. Parmi les tueurs, son protégé Brutus. Les vestiges de quatre temples sont également visibles.
Le joaillier Bulgari finance les travaux
Jusqu’à présent, seuls des experts pouvaient avoir accès au site situé en plein centre-ville de Rome. Tous les ans, une reconstitution historique de la mort de Jules César y était jouée. Le site a été découvert en 1920 lors de travaux d’urbanisme. Reste que l’emplacement exact de la mort de Jules César restait flou. En 2012, des membres du Conseil national de la recherche espagnol ont fourni certaines preuves attestant le lieu de l’assassinat.
OuestFrance
Les passionnés d’histoire ont rendez-vous à Rome. Depuis le mardi 20 juin 2023, la place Largo Argentina est ouverte au public. C’est là qu’a été assassiné Jules César en -44 avant notre ère. Les lieux ont bénéficié de nombreux travaux avant d’ouvrir aux visiteurs.
Largo Argentina, un nom qui n’évoque peut-être rien au grand public, et pourtant. C’est là que s’est déroulé un événement historique : l’assassinat de Jules César. Il a été tué sur cette place de Rome en -44 avant notre ère. Une place que les touristes peuvent désormais visiter. Elle est ouverte au public depuis mardi 20 juin 2023, annonce BFMTV en s’appuyant sur plusieurs articles de médias italiens. Pour y accéder, les non-résidents doivent cependant payer 5 €.
Sur la place Largo Argentina, plusieurs bâtiments étaient présents, notamment la Curie de Pompée, utilisée par le Sénat antique comme l’expliquent le Corriere della Serra et la Repubblica . C’est à cet endroit qu’aurait été poignardé Jules César par plusieurs sénateurs, qui lui prêtaient des ambitions royales. Parmi les tueurs, son protégé Brutus. Les vestiges de quatre temples sont également visibles.
Le joaillier Bulgari finance les travaux
Jusqu’à présent, seuls des experts pouvaient avoir accès au site situé en plein centre-ville de Rome. Tous les ans, une reconstitution historique de la mort de Jules César y était jouée. Le site a été découvert en 1920 lors de travaux d’urbanisme. Reste que l’emplacement exact de la mort de Jules César restait flou. En 2012, des membres du Conseil national de la recherche espagnol ont fourni certaines preuves attestant le lieu de l’assassinat.
Qu'est-ce que le "no-wash movement", qui fait de plus en plus d'adeptes ?
RTL
Le "no-wash movement", traduisez "le mouvement pas de lavage", consiste à ne plus laver son linge ou presque. Un mouvement écolo qui part du fait que 90% du linge que l'on lave n'est pas vraiment sale.
Le no-wash movement, souvent le low-wash movement, consiste à laver beaucoup moins (voire pas du tout) son linge. Un mouvement écologique parti de ce constat : notre machine à laver le linge représente 17% de notre utilisation d’eau par foyer.
Il y a des adeptes historiques du low-wash movement. La designer Stella McCartney confiait en 2019 au Guardian ne laver ses vêtements que si nécessaire, c'est-à-dire pas à chaque fois qu'elle les porte, notamment ses soutiens-gorge.
Il y a les purs et durs, comme les amateurs de raw denim, de jeans bruts, qui ne lavent jamais leur pantalon ou chemise en jean pour lui donner des nuances uniques. Il existe même une compétition depuis quatre ans pour les pièces en jean naturellement délavées, le Indigo Invitational.
Aujourd'hui, les marques s’adaptent pour offrir des tissus qui ne nécessitent pas un lavage après chaque utilisation. Unbound Merino, Pangaia, Wool & Prince, Wool& et bien d’autres créent des vêtements faits pour être moins lavés, sans mauvaise odeur !
Parmi les vidéos sur les réseaux sociaux sur le no-wash movement, il y a ceux qui prônent le non-lavage des cheveux. Ça s’appelle le no poo (pour no shampoo, pas de shampooing) : il s'agit de laver ses cheveux à l'eau et rien d'autre.
Le no-wash movement (linge et cheveux) cumule 15 millions de vues sur TikTok. Alors hygiène ou écologie, faut-il faire un choix ? Tout est bien sûr une question d’équilibre.
RTL
Le "no-wash movement", traduisez "le mouvement pas de lavage", consiste à ne plus laver son linge ou presque. Un mouvement écolo qui part du fait que 90% du linge que l'on lave n'est pas vraiment sale.
Le no-wash movement, souvent le low-wash movement, consiste à laver beaucoup moins (voire pas du tout) son linge. Un mouvement écologique parti de ce constat : notre machine à laver le linge représente 17% de notre utilisation d’eau par foyer.
Il y a des adeptes historiques du low-wash movement. La designer Stella McCartney confiait en 2019 au Guardian ne laver ses vêtements que si nécessaire, c'est-à-dire pas à chaque fois qu'elle les porte, notamment ses soutiens-gorge.
Il y a les purs et durs, comme les amateurs de raw denim, de jeans bruts, qui ne lavent jamais leur pantalon ou chemise en jean pour lui donner des nuances uniques. Il existe même une compétition depuis quatre ans pour les pièces en jean naturellement délavées, le Indigo Invitational.
Aujourd'hui, les marques s’adaptent pour offrir des tissus qui ne nécessitent pas un lavage après chaque utilisation. Unbound Merino, Pangaia, Wool & Prince, Wool& et bien d’autres créent des vêtements faits pour être moins lavés, sans mauvaise odeur !
Parmi les vidéos sur les réseaux sociaux sur le no-wash movement, il y a ceux qui prônent le non-lavage des cheveux. Ça s’appelle le no poo (pour no shampoo, pas de shampooing) : il s'agit de laver ses cheveux à l'eau et rien d'autre.
Le no-wash movement (linge et cheveux) cumule 15 millions de vues sur TikTok. Alors hygiène ou écologie, faut-il faire un choix ? Tout est bien sûr une question d’équilibre.
Des serpents et des caïmans utilisés en thérapie
LaPresse.ca
(Sao Paulo) « Je n’ai pas peur », assure David de Oliveira Gomes, pendant qu’un imposant boa jaune aux taches marron s’enroule doucement autour de son cou.
Cet adolescent brésilien de 15 ans, autiste, fréquente un centre thérapeutique de Sao Paulo qui utilise des reptiles pour aider les patients atteints de divers troubles à se détendre et à améliorer leurs capacités motrices ou leur communication avec les autres.
« Il s’appelle Gold, il est froid et il mange des souris », dit ce grand gaillard au crâne rasé, qui sourit tandis que le serpent se promène le long de sa veste en treillis.
« Pour David, c’est un travail de mémoire et d’élaboration du discours », explique Andrea Ribeiro, orthophoniste et spécialiste des thérapies avec les animaux.
Elle reçoit de jeunes autistes, des personnes handicapées, mais aussi des patients souffrant de dépression ou de crises d’angoisse.
Les séances avec des reptiles ont lieu dans sous un grand auvent, près d’un haras où d’autres patients sont en contact avec des chevaux.
La thérapeute a l’embarras du choix, avec plusieurs espèces de serpents, des lézards ou des tortues, et même un petit caïman.
Ce type de thérapie n’a pas reçu de validation scientifique. Mais « la médecine a montré que, quand une personne est en contact avec un animal, son organisme libère des neurotransmetteurs comme la sérotonine ou la beta-endorphine, qui donnent une sensation de bien-être », affirme Andrea Ribeiro.
« Chanson du caïman »
Gabriel Pinheiro, 10 ans, n’a pas peur de caresser un petit caïman aux dents acérées. « C’est son préféré », révèle la thérapeute.
« Il est mouillé », dit le garçonnet autiste, tout en regardant le saurien dans les yeux à travers ses lunettes.
Andrea Ribeiro lui fait décrire les contrastes du corps de l’animal, ses écailles « dures » et son ventre « mou ».
Ensuite, ils chantent la « chanson du caïman », pour exercer sa mémoire auditive.
« Il est tout heureux de venir ici », dit sa mère Cristina de Oliveira Pinheiro.
En quatre ans de thérapie, Gabriel a fait des progrès « dans la compréhension, la communication et la motricité », assure-t-elle.
Avec les reptiles, « on obtient de meilleurs résultats, et plus rapidement, […] car les patients se sentent bien et ont envie d’apprendre ».
Les patients autistes, par exemple, n’ont « pas de préjugés » contre les serpents ou les caïmans, qui inspirent habituellement la peur.
Et les reptiles « sont impassibles », contrairement aux chiens, qui, comme ils sont souvent très affectueux et réclament de l’attention, peuvent causer une gêne chez les enfants autistes.
Pas venimeux
Paulo Palacio Santos, 34 ans, a subi de graves troubles neurologiques après un traumatisme crânien lors d’un accident qui a réduit presque à néant ses capacités motrices. Ses membres inférieurs sont paralysés, les supérieurs bougent à peine, et il ne peut plus parler.
Andrea Ribeiro pose sur son cou un boa dont la peau froide provoque chez lui un réflexe de déglutition.
Puis elle fait glisser sur son visage un serpent plus fin, qui stimule les muscles autour de la bouche.
La thérapeute est toujours accompagnée de la biologiste Beatriz Araujo, qui veille à éviter le moindre risque pour les patients au contact des reptiles, dont la possession est régulée par l’organe public environnemental Ibama.
« Il y a des risques au contact de tout type d’animal. Ici, nous n’utilisons pas de serpents venimeux, et je surveille les reptiles en permanence », explique-t-elle.
Andrea Ribeiro assure qu’aucun incident n’a été déploré en dix ans de thérapies.
LaPresse.ca
(Sao Paulo) « Je n’ai pas peur », assure David de Oliveira Gomes, pendant qu’un imposant boa jaune aux taches marron s’enroule doucement autour de son cou.
Cet adolescent brésilien de 15 ans, autiste, fréquente un centre thérapeutique de Sao Paulo qui utilise des reptiles pour aider les patients atteints de divers troubles à se détendre et à améliorer leurs capacités motrices ou leur communication avec les autres.
« Il s’appelle Gold, il est froid et il mange des souris », dit ce grand gaillard au crâne rasé, qui sourit tandis que le serpent se promène le long de sa veste en treillis.
« Pour David, c’est un travail de mémoire et d’élaboration du discours », explique Andrea Ribeiro, orthophoniste et spécialiste des thérapies avec les animaux.
Elle reçoit de jeunes autistes, des personnes handicapées, mais aussi des patients souffrant de dépression ou de crises d’angoisse.
Les séances avec des reptiles ont lieu dans sous un grand auvent, près d’un haras où d’autres patients sont en contact avec des chevaux.
La thérapeute a l’embarras du choix, avec plusieurs espèces de serpents, des lézards ou des tortues, et même un petit caïman.
Ce type de thérapie n’a pas reçu de validation scientifique. Mais « la médecine a montré que, quand une personne est en contact avec un animal, son organisme libère des neurotransmetteurs comme la sérotonine ou la beta-endorphine, qui donnent une sensation de bien-être », affirme Andrea Ribeiro.
« Chanson du caïman »
Gabriel Pinheiro, 10 ans, n’a pas peur de caresser un petit caïman aux dents acérées. « C’est son préféré », révèle la thérapeute.
« Il est mouillé », dit le garçonnet autiste, tout en regardant le saurien dans les yeux à travers ses lunettes.
Andrea Ribeiro lui fait décrire les contrastes du corps de l’animal, ses écailles « dures » et son ventre « mou ».
Ensuite, ils chantent la « chanson du caïman », pour exercer sa mémoire auditive.
« Il est tout heureux de venir ici », dit sa mère Cristina de Oliveira Pinheiro.
En quatre ans de thérapie, Gabriel a fait des progrès « dans la compréhension, la communication et la motricité », assure-t-elle.
Avec les reptiles, « on obtient de meilleurs résultats, et plus rapidement, […] car les patients se sentent bien et ont envie d’apprendre ».
Les patients autistes, par exemple, n’ont « pas de préjugés » contre les serpents ou les caïmans, qui inspirent habituellement la peur.
Et les reptiles « sont impassibles », contrairement aux chiens, qui, comme ils sont souvent très affectueux et réclament de l’attention, peuvent causer une gêne chez les enfants autistes.
Pas venimeux
Paulo Palacio Santos, 34 ans, a subi de graves troubles neurologiques après un traumatisme crânien lors d’un accident qui a réduit presque à néant ses capacités motrices. Ses membres inférieurs sont paralysés, les supérieurs bougent à peine, et il ne peut plus parler.
Andrea Ribeiro pose sur son cou un boa dont la peau froide provoque chez lui un réflexe de déglutition.
Puis elle fait glisser sur son visage un serpent plus fin, qui stimule les muscles autour de la bouche.
La thérapeute est toujours accompagnée de la biologiste Beatriz Araujo, qui veille à éviter le moindre risque pour les patients au contact des reptiles, dont la possession est régulée par l’organe public environnemental Ibama.
« Il y a des risques au contact de tout type d’animal. Ici, nous n’utilisons pas de serpents venimeux, et je surveille les reptiles en permanence », explique-t-elle.
Andrea Ribeiro assure qu’aucun incident n’a été déploré en dix ans de thérapies.
100 % d'accord !!! :plus:
..//...la médecine a montré que, quand une personne est en contact avec un animal, son organisme libère des neurotransmetteurs comme la sérotonine ou la beta-endorphine, qui donnent une sensation de bien-être », affirme Andrea Ribeiro...//...
..//...la médecine a montré que, quand une personne est en contact avec un animal, son organisme libère des neurotransmetteurs comme la sérotonine ou la beta-endorphine, qui donnent une sensation de bien-être », affirme Andrea Ribeiro...//...
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