Moselle : Pourquoi quatre moutons ont été inscrits comme élèves dans une école
20Minutes
BÊÊÊH•Les parents d’élèves de trois communes ont mené cette action symbolique pour tenter de sauver une classe menacée de fermeture à la rentrée
C’est une histoire qui les a rendus chèvres. Ou plutôt moutons en l’occurrence. En Moselle, les parents d’élèves et élus des communes d’Hermelange, Nitting et Voyer ont appris avec stupeur il y a quelques semaines que la cinquième classe de l’école intercommunale était menacée de fermeture à la rentrée.
Avec seulement 94 élèves inscrits, le regroupement n’atteint en effet pas le seuil des 98 inscrits exigé par l’Éducation nationale pour maintenir une cinquième classe ouverte. Une situation jugée « ubuesque » par le maire de Voyer qui rappelle au micro de RTL qu’en 2021, cette cinquième classe avait été ouverte avec « seulement » 90 élèves.
Des élèves « comptés comme des moutons »
En guise de pied de nez aux services de l’Éducation nationale, la décision a donc été prise début mai d’inscrire quatre moutons appartenant à un agriculteur du coin et également parent d’élève afin d’atteindre le seuil exigé. « Puisque nos enfants sont comptés comme des moutons, autant pousser l’absurdité du raisonnement jusqu’au bout », indiquent les parents d’élèves dans les colonnes de L’Est républicain.
Dans les formulaires, quatre moutons, prénommés John Deere, Marguerite Duprés, Phil Tondu et Valériane Deschamps, ont donc été inscrits pour la prochaine rentrée et autorisés par le maire à passer une journée dans la cour de l’école. Ils ont depuis regagné leur bergerie, attendant désormais, comme les parents d’élèves et les élus, la décision finale de l’inspection académique.
Questions existentielles - page 310
Les phénomènes paranormaux s’expliquent-ils ?
OuestFrance
INSOLITE. Lumières singulières dans le ciel, pilote d’avion manœuvrant pour éviter un appareil non identifié, lueurs orange en mouvement… Le mystère n’est pas total : un organisme public se charge de mener l’enquête.
l y a une explication à tout… ou presque. Le Geipan (Groupe d’étude et d’information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) se charge d’enquêter sur les témoignages qui lui sont adressés.
L’organisme, public, est on ne peut plus sérieux puisque placé sous l’égide du Centre national d’études spatiales (CNES). Encadré par un comité composé d’autorités civiles et militaires (gendarmerie, armée de l’air, aviation civile…), il s’appuie sur des enquêteurs bénévoles qui participent à l’évaluation des cas observés . Des scientifiques sont aussi impliqués dans le travail d’explication.
56 cas étudiés en Loire-Atlantique
En Loire-Atlantique, le Geipan, fondé en 1977, a enquêté sur 56 observations de phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Le dernier en date remonte au 4 décembre 2021
Un pilote de la compagnie Ryanair expliquait alors avoir dû réaliser une manœuvre d’évitement d’un appareil qu’il n’a pu identifier. Il a bien pensé à un drone, mais rien n’a confirmé sa présence. Dans ce cas précis, le Geipan s’appuyant sur l’enquête de gendarmerie, n’a pas mené d’enquête spécifique . Face au manque d’informations , on n’en saura pas davantage.
Autre exemple, à Nantes, le 22 novembre 2020. Le témoin observe vers 18 heures (peu après le coucher du soleil), une lumière rouge orangé à 20° à l’est. La vitesse semble faible au départ, puis plus élevée à mesure du rapprochement du témoin. D’autres PAN apparaissent, globalement lumineux, grossièrement circulaires, une dizaine environ se suivant à des distances régulières. Pour l’organisme enquêteur, un faisceau d’indices très convergents indique une observation du passage de lanternes thaïlandaises. Lesquelles lanternes, utilisées notamment lors de mariages, sont l’une des explications revenant fréquemment dans les rapports du Geipan.
Groupe de lumières
Parmi toutes les enquêtes menées par l’organisme, celle du 3 juillet 2015 à Couëron est aussi un classique du genre. Vers 1 h 15 du matin, un groupe de lumières est observé dans le ciel. Elles se dissocient et évoluent indépendamment mais par deux. Puis elles finissent par s’éteindre. Ovni menaçant ? Extraterrestres en mal de découvertes ? Que nenni puisqu’il s’agissait tout simplement de… satellites.
OuestFrance
INSOLITE. Lumières singulières dans le ciel, pilote d’avion manœuvrant pour éviter un appareil non identifié, lueurs orange en mouvement… Le mystère n’est pas total : un organisme public se charge de mener l’enquête.
l y a une explication à tout… ou presque. Le Geipan (Groupe d’étude et d’information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) se charge d’enquêter sur les témoignages qui lui sont adressés.
L’organisme, public, est on ne peut plus sérieux puisque placé sous l’égide du Centre national d’études spatiales (CNES). Encadré par un comité composé d’autorités civiles et militaires (gendarmerie, armée de l’air, aviation civile…), il s’appuie sur des enquêteurs bénévoles qui participent à l’évaluation des cas observés . Des scientifiques sont aussi impliqués dans le travail d’explication.
56 cas étudiés en Loire-Atlantique
En Loire-Atlantique, le Geipan, fondé en 1977, a enquêté sur 56 observations de phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Le dernier en date remonte au 4 décembre 2021
Un pilote de la compagnie Ryanair expliquait alors avoir dû réaliser une manœuvre d’évitement d’un appareil qu’il n’a pu identifier. Il a bien pensé à un drone, mais rien n’a confirmé sa présence. Dans ce cas précis, le Geipan s’appuyant sur l’enquête de gendarmerie, n’a pas mené d’enquête spécifique . Face au manque d’informations , on n’en saura pas davantage.
Autre exemple, à Nantes, le 22 novembre 2020. Le témoin observe vers 18 heures (peu après le coucher du soleil), une lumière rouge orangé à 20° à l’est. La vitesse semble faible au départ, puis plus élevée à mesure du rapprochement du témoin. D’autres PAN apparaissent, globalement lumineux, grossièrement circulaires, une dizaine environ se suivant à des distances régulières. Pour l’organisme enquêteur, un faisceau d’indices très convergents indique une observation du passage de lanternes thaïlandaises. Lesquelles lanternes, utilisées notamment lors de mariages, sont l’une des explications revenant fréquemment dans les rapports du Geipan.
Groupe de lumières
Parmi toutes les enquêtes menées par l’organisme, celle du 3 juillet 2015 à Couëron est aussi un classique du genre. Vers 1 h 15 du matin, un groupe de lumières est observé dans le ciel. Elles se dissocient et évoluent indépendamment mais par deux. Puis elles finissent par s’éteindre. Ovni menaçant ? Extraterrestres en mal de découvertes ? Que nenni puisqu’il s’agissait tout simplement de… satellites.
Moldavie : enterré vivant, il survit après quatre jours passés sous terre
RTL
La victime, âgée de 62 ans, a été secourue par la police locale, qui a entendu ses appels à l'aide venant du sol. Un suspect a été interpellé.
C'est un cauchemar long de quatre jours qu'il n'est pas prêt d'oublier. Un Moldave, âgé de 62 ans, a été enterré vivant et est resté sous terre pendant quatre longues journées, avant d’être secouru et d’avoir la vie sauve. La police locale a retrouvé l'homme alors qu'elle enquêtait sur un autre dossier — la mort d'une femme de 74 ans retrouvée sans vie par un membre de sa famille, chez elle, lundi 13 mai.
Comme le rapporte le Daily Mail, c'est en étant alerté par le bruit provenant du sous-sol que les forces de l'ordre sont parvenues à retrouver la trace du sexagénaire, qui avait passé quatre jours dans une tombe de fortune, recouverte de terre, dans l'arrière maison. Munis de pelles, les agents ont creusé pendant plusieurs minutes avant de tomber sur une chemise tâchée de sang puis de retrouver l'individu.
Consciente, mais blessé au cou, la victime a été évacuée avec précaution par les médecins légistes. Un suspect, âgé de 18 ans, présent dans la maison et membre de sa famille, a été arrêté. Retrouvé à son domicile en état d'ébriété, il aurait fait une déclaration "déroutante" et "incohérente" lors de son interrogatoire par la police.
Selon la victime, il buvait de l'alcool avec l'adolescent lorsqu'une dispute a éclaté et que le suspect aurait alors décidé de l'enterrer vivant. Placé en détention, il encourt la prison à vie. Le sexagénaire enterré vivant poursuit quant à lui ses soins à l’hôpital.
RTL
La victime, âgée de 62 ans, a été secourue par la police locale, qui a entendu ses appels à l'aide venant du sol. Un suspect a été interpellé.
C'est un cauchemar long de quatre jours qu'il n'est pas prêt d'oublier. Un Moldave, âgé de 62 ans, a été enterré vivant et est resté sous terre pendant quatre longues journées, avant d’être secouru et d’avoir la vie sauve. La police locale a retrouvé l'homme alors qu'elle enquêtait sur un autre dossier — la mort d'une femme de 74 ans retrouvée sans vie par un membre de sa famille, chez elle, lundi 13 mai.
Comme le rapporte le Daily Mail, c'est en étant alerté par le bruit provenant du sous-sol que les forces de l'ordre sont parvenues à retrouver la trace du sexagénaire, qui avait passé quatre jours dans une tombe de fortune, recouverte de terre, dans l'arrière maison. Munis de pelles, les agents ont creusé pendant plusieurs minutes avant de tomber sur une chemise tâchée de sang puis de retrouver l'individu.
Consciente, mais blessé au cou, la victime a été évacuée avec précaution par les médecins légistes. Un suspect, âgé de 18 ans, présent dans la maison et membre de sa famille, a été arrêté. Retrouvé à son domicile en état d'ébriété, il aurait fait une déclaration "déroutante" et "incohérente" lors de son interrogatoire par la police.
Selon la victime, il buvait de l'alcool avec l'adolescent lorsqu'une dispute a éclaté et que le suspect aurait alors décidé de l'enterrer vivant. Placé en détention, il encourt la prison à vie. Le sexagénaire enterré vivant poursuit quant à lui ses soins à l’hôpital.
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Les prédictions surprenantes de Baba Vanga pour 2024
RTL
Cette médium est connue pour ses prédictions mondiales très précises. Plusieurs de ses prévisions pour 2024 sont en train de se réaliser.
Ses prédictions refont surface, plus de 25 ans après sa mort. La voyante aveugle bulgare Baba Vanga est connue depuis la Seconde Guerre mondiale pour avoir anticipé de nombreux événements planétaires. Décédée en 1996, elle a prédit, selon son entourage, les attentats du 11 septembre, la mort de Lady Diana, le Brexit, et même la date de sa propre mort. Certaines de prédictions pour 2024 sont en train de se réaliser comme le rapporte le journal The Miror.
Malgré sa mort, cette figure culture de la divination a laissé de nombreuses prédictions jusqu'en 5079, qu'elle annonce comme la date de la fin du monde. Les événements anticipés pour 2023 n'ont toutefois pas été réalisés ; elle avait annoncé une tempête solaire aux conséquences dévastatrices pour la Terre, et même une attaque par des armes biologiques nucléaires. Heureusement pour nous, tout s’est bien passé.
Celle qui était surnommée la "Nostradamus des Balkans" a prévu 7 événements majeurs en cette année 2024. Parmi eux, une tentative d'assassinat du président russe Vladimir Poutine, par l'un des concitoyens. Baba Vanga avait senti aussi des cyberattaques à répétition, des attaques terroristes en Europe, et un pays qui ferait des essais de son arme nucléaire. Sur le plan économique, une énorme crise due à l’escalade des tensions géopolitiques.
Certaines prédictions sont plutôt justes. Cette voyante avait annoncé des problèmes météorologiques et catastrophes naturelles à répétition : cyclone, inondations... déjà nombreux depuis le début de l'année. Autre prédiction qui pourrait se réaliser : une percée technologique avec des avancées majeures, ainsi que sur le plan médical avec de nouveaux traitements en 2024 contre les maladies incurables dont Alzheimer ou encore le cancer. Ce qui n'est pas impossible, étant donné que des scientifiques anglais annoncent travailler sur un vaccin préventif contre le cancer du poumon, capable de prévenir 90% des cas.
RTL
Cette médium est connue pour ses prédictions mondiales très précises. Plusieurs de ses prévisions pour 2024 sont en train de se réaliser.
Ses prédictions refont surface, plus de 25 ans après sa mort. La voyante aveugle bulgare Baba Vanga est connue depuis la Seconde Guerre mondiale pour avoir anticipé de nombreux événements planétaires. Décédée en 1996, elle a prédit, selon son entourage, les attentats du 11 septembre, la mort de Lady Diana, le Brexit, et même la date de sa propre mort. Certaines de prédictions pour 2024 sont en train de se réaliser comme le rapporte le journal The Miror.
Malgré sa mort, cette figure culture de la divination a laissé de nombreuses prédictions jusqu'en 5079, qu'elle annonce comme la date de la fin du monde. Les événements anticipés pour 2023 n'ont toutefois pas été réalisés ; elle avait annoncé une tempête solaire aux conséquences dévastatrices pour la Terre, et même une attaque par des armes biologiques nucléaires. Heureusement pour nous, tout s’est bien passé.
Celle qui était surnommée la "Nostradamus des Balkans" a prévu 7 événements majeurs en cette année 2024. Parmi eux, une tentative d'assassinat du président russe Vladimir Poutine, par l'un des concitoyens. Baba Vanga avait senti aussi des cyberattaques à répétition, des attaques terroristes en Europe, et un pays qui ferait des essais de son arme nucléaire. Sur le plan économique, une énorme crise due à l’escalade des tensions géopolitiques.
Certaines prédictions sont plutôt justes. Cette voyante avait annoncé des problèmes météorologiques et catastrophes naturelles à répétition : cyclone, inondations... déjà nombreux depuis le début de l'année. Autre prédiction qui pourrait se réaliser : une percée technologique avec des avancées majeures, ainsi que sur le plan médical avec de nouveaux traitements en 2024 contre les maladies incurables dont Alzheimer ou encore le cancer. Ce qui n'est pas impossible, étant donné que des scientifiques anglais annoncent travailler sur un vaccin préventif contre le cancer du poumon, capable de prévenir 90% des cas.
Un impressionnant « bolide » de couleur bleue aperçu dans le ciel du Portugal et de l’Espagne
20Minutes
PHÉNOMÈNE•Le passage de ce météore a été capté par de nombreux témoins
Les images, impressionnantes, tournent en boucle sur les réseaux sociaux. Un « bolide » (météore très intense) a traversé le ciel de l’Espagne et du Portugal, dans la nuit de samedi à dimanche. Le phénomène a été capté par de nombreux internautes qui ont posté leurs vidéos.
Ce « bolide » spectaculaire « à haute teneur en magnésium (d’où sa couleur bleutée) a aujourd’hui traversé le ciel de l’Espagne et du Portugal » a ainsi tweeté le Réseau de recherche sur les bolides et les météorites (SPMN). « Rappelons qu’on ne l’appelle météorite que lorsqu’elle a touché le sol. »
« Entrée dans l’atmosphère à 161.000 km/h »
Le docteur en physique José María Madiedo, chercheur à l’Institut d’astrophysique d’Andalousie, parle d’une « boule de feu spectaculaire », dans un message posté sur son compte X. Selon lui, elle a été produite « par une roche provenant d’une comète entrée dans l’atmosphère à 161.000 km/h », écrit-il. D’une forte intensité lumineuse, elle était visible à 800 km à la ronde.
« De nombreux enregistrements ont été capturés dans le nord du Portugal, mais les rapports se sont étendus à des régions plus méridionales du pays, y compris le Grand Lisbonne » indique le journal Publico. Les pompiers portugais ont reçu un premier appel dans la nuit peu après minuit, évoquant une chute d’objet. Ils se sont rendus dans la région de Serra de Montemuro, mais n’ont rien trouvé sur place.
20Minutes
PHÉNOMÈNE•Le passage de ce météore a été capté par de nombreux témoins
Les images, impressionnantes, tournent en boucle sur les réseaux sociaux. Un « bolide » (météore très intense) a traversé le ciel de l’Espagne et du Portugal, dans la nuit de samedi à dimanche. Le phénomène a été capté par de nombreux internautes qui ont posté leurs vidéos.
Ce « bolide » spectaculaire « à haute teneur en magnésium (d’où sa couleur bleutée) a aujourd’hui traversé le ciel de l’Espagne et du Portugal » a ainsi tweeté le Réseau de recherche sur les bolides et les météorites (SPMN). « Rappelons qu’on ne l’appelle météorite que lorsqu’elle a touché le sol. »
« Entrée dans l’atmosphère à 161.000 km/h »
Le docteur en physique José María Madiedo, chercheur à l’Institut d’astrophysique d’Andalousie, parle d’une « boule de feu spectaculaire », dans un message posté sur son compte X. Selon lui, elle a été produite « par une roche provenant d’une comète entrée dans l’atmosphère à 161.000 km/h », écrit-il. D’une forte intensité lumineuse, elle était visible à 800 km à la ronde.
« De nombreux enregistrements ont été capturés dans le nord du Portugal, mais les rapports se sont étendus à des régions plus méridionales du pays, y compris le Grand Lisbonne » indique le journal Publico. Les pompiers portugais ont reçu un premier appel dans la nuit peu après minuit, évoquant une chute d’objet. Ils se sont rendus dans la région de Serra de Montemuro, mais n’ont rien trouvé sur place.
En Corée du Sud, un « moine » DJ à l’avant-garde du bouddhisme moderne
LaPresse.ca
(Séoul) Crâne rasé et longue robe de moine blanche, un DJ sud-coréen mixe textes bouddhistes et conseils de vie quotidienne sur de la musique électronique, pour le plus grand plaisir du public qui s’enflamme.
Avec ses sets, Youn Sung-ho, comédien devenu musicien, a contribué à donner un coup de jeune au bouddhisme en Corée du Sud, même si ses performances ont fait des vagues ailleurs, notamment en Malaisie.
L’homme de 47 ans a été accueilli à bras ouverts par le clergé bouddhiste de Corée du Sud, qui voit en lui un moyen de se rapprocher de la jeunesse.
Un responsable religieux lui a donné le nom de moine « NewJeansNim », adopté comme nom de scène par le DJ qui n’a pas été ordonné.
Ce nom mélange « Seunim » - un titre coréen respectueux donné aux moines bouddhistes - et d’autres termes religieux (sans aucun rapport avec le groupe de K-pop Newjeans).
« Douleur ! Parce que je n’ai pas reçu d’augmentation. Douleur ! Parce que le lundi arrive trop vite », scande NewJeansNim sur scène, devant des centaines de jeunes Coréens qui dansent en rythme.
« Ça aussi ça passera, nous vaincrons », dit-il, citant des principes bouddhistes alors que les pulsations ralentissent, pendant un concert de musique électronique organisé pour le festival des lanternes organisé l’anniversaire de Bouddha, célébré mercredi en Corée du Sud.
Les images de ses performances excentriques et pleines d’énergie sont vite devenues virales : Youn en robe de moine aux longues manches flottantes et au crâne rasé, danse, chante et mixe.
« Je ne m’attendais pas à une telle réaction. C’est bouleversant », confie-t-il à l’AFP avant de se produire à Séoul le week-end dernier.
Son inspiration de DJ bouddhiste lui est venue naturellement, assure-t-il. « Ma mère était bouddhiste et j’ai fréquenté les temples dès mon plus jeune âge, donc le bouddhisme s’est imposé à moi naturellement ».
Et ses paroles motivantes sont « juste ce que je me suis dit l’année dernière quand je n’avais pas de travail et que j’avais du mal à m’en sortir : les bons jours sont à venir ».
Interdiction en Malaisie
Des paroles qui parlent à de nombreux Sud-Coréens. « Ses messages réconfortent les jeunes d’une vingtaine ou d’une trentaine d’années qui sont épuisés et se sentent désespérés », explique Kang Min-ji, une jeune femme de 26 ans qui ne s’intéressait pas au bouddhisme auparavant.
« J’ai toujours pensé que le bouddhisme était conservateur jusqu’à ce que je voie ses performances de DJ », ajoute-t-elle. Mais en Malaisie, pays en majorité musulman avec une importante minorité bouddhiste, où NewJeansNim s’est produit début mai, un deuxième concert a été annulé après des protestations.
« Des plaintes ont été déposées à la police contre la prestation de DJ NewJeansNim en Malaisie par des groupes bouddhistes et des particuliers », a expliqué à l’AFP Eow Shiang Yen, secrétaire général de l’Association des jeunes bouddhistes de Malaisie.
Son comportement et sa tenue vestimentaire ne sont pas conformes aux croyances bouddhistes, selon lui.
Bouddhisme « branché »
En Corée du Sud, le président de l’Ordre Jogye, qui représente le bouddhisme traditionnel dans le pays, encourage NewJeansNim, considérant que le DJ peut attirer de nouveaux adeptes.
« Les jeunes pensent que le bouddhisme est difficile et vieillot », note le vénérable Jinwoo Seunim. « Pour casser cette image, il est préférable de ne pas être trop attaché à la tradition » dans un contexte où la pratique religieuse décroît.
Autre approche innovante, cette année au Salon international du bouddhisme à Séoul, les visiteurs ont pu prier avec un bouddha IA, acheter des vêtements inspirés par les écritures et manger des chocolats en forme de bouddha.
NewJeansNim a joué un morceau en fermeture du salon dont le nombre de visiteurs a triplé par rapport à l’an dernier, avec 80 % de jeunes, selon les organisateurs.
« Il y a plus d’évènements bouddhistes pour les jeunes, et ils sont plus “branchés” maintenant », indique à l’AFP Choi Kyung-yoon, un Sud-Coréen de 28 ans vivant à Séoul.
Pour sa part, NewJeansNim minimise sa contribution au rajeunissement de l’image du bouddhisme en Corée du Sud. « Je n’ai rien fait vraiment ». « Les moines sont très ouverts d’esprit et je me contente de les accompagner ».
LaPresse.ca
(Séoul) Crâne rasé et longue robe de moine blanche, un DJ sud-coréen mixe textes bouddhistes et conseils de vie quotidienne sur de la musique électronique, pour le plus grand plaisir du public qui s’enflamme.
Avec ses sets, Youn Sung-ho, comédien devenu musicien, a contribué à donner un coup de jeune au bouddhisme en Corée du Sud, même si ses performances ont fait des vagues ailleurs, notamment en Malaisie.
L’homme de 47 ans a été accueilli à bras ouverts par le clergé bouddhiste de Corée du Sud, qui voit en lui un moyen de se rapprocher de la jeunesse.
Un responsable religieux lui a donné le nom de moine « NewJeansNim », adopté comme nom de scène par le DJ qui n’a pas été ordonné.
Ce nom mélange « Seunim » - un titre coréen respectueux donné aux moines bouddhistes - et d’autres termes religieux (sans aucun rapport avec le groupe de K-pop Newjeans).
« Douleur ! Parce que je n’ai pas reçu d’augmentation. Douleur ! Parce que le lundi arrive trop vite », scande NewJeansNim sur scène, devant des centaines de jeunes Coréens qui dansent en rythme.
« Ça aussi ça passera, nous vaincrons », dit-il, citant des principes bouddhistes alors que les pulsations ralentissent, pendant un concert de musique électronique organisé pour le festival des lanternes organisé l’anniversaire de Bouddha, célébré mercredi en Corée du Sud.
Les images de ses performances excentriques et pleines d’énergie sont vite devenues virales : Youn en robe de moine aux longues manches flottantes et au crâne rasé, danse, chante et mixe.
« Je ne m’attendais pas à une telle réaction. C’est bouleversant », confie-t-il à l’AFP avant de se produire à Séoul le week-end dernier.
Son inspiration de DJ bouddhiste lui est venue naturellement, assure-t-il. « Ma mère était bouddhiste et j’ai fréquenté les temples dès mon plus jeune âge, donc le bouddhisme s’est imposé à moi naturellement ».
Et ses paroles motivantes sont « juste ce que je me suis dit l’année dernière quand je n’avais pas de travail et que j’avais du mal à m’en sortir : les bons jours sont à venir ».
Interdiction en Malaisie
Des paroles qui parlent à de nombreux Sud-Coréens. « Ses messages réconfortent les jeunes d’une vingtaine ou d’une trentaine d’années qui sont épuisés et se sentent désespérés », explique Kang Min-ji, une jeune femme de 26 ans qui ne s’intéressait pas au bouddhisme auparavant.
« J’ai toujours pensé que le bouddhisme était conservateur jusqu’à ce que je voie ses performances de DJ », ajoute-t-elle. Mais en Malaisie, pays en majorité musulman avec une importante minorité bouddhiste, où NewJeansNim s’est produit début mai, un deuxième concert a été annulé après des protestations.
« Des plaintes ont été déposées à la police contre la prestation de DJ NewJeansNim en Malaisie par des groupes bouddhistes et des particuliers », a expliqué à l’AFP Eow Shiang Yen, secrétaire général de l’Association des jeunes bouddhistes de Malaisie.
Son comportement et sa tenue vestimentaire ne sont pas conformes aux croyances bouddhistes, selon lui.
Bouddhisme « branché »
En Corée du Sud, le président de l’Ordre Jogye, qui représente le bouddhisme traditionnel dans le pays, encourage NewJeansNim, considérant que le DJ peut attirer de nouveaux adeptes.
« Les jeunes pensent que le bouddhisme est difficile et vieillot », note le vénérable Jinwoo Seunim. « Pour casser cette image, il est préférable de ne pas être trop attaché à la tradition » dans un contexte où la pratique religieuse décroît.
Autre approche innovante, cette année au Salon international du bouddhisme à Séoul, les visiteurs ont pu prier avec un bouddha IA, acheter des vêtements inspirés par les écritures et manger des chocolats en forme de bouddha.
NewJeansNim a joué un morceau en fermeture du salon dont le nombre de visiteurs a triplé par rapport à l’an dernier, avec 80 % de jeunes, selon les organisateurs.
« Il y a plus d’évènements bouddhistes pour les jeunes, et ils sont plus “branchés” maintenant », indique à l’AFP Choi Kyung-yoon, un Sud-Coréen de 28 ans vivant à Séoul.
Pour sa part, NewJeansNim minimise sa contribution au rajeunissement de l’image du bouddhisme en Corée du Sud. « Je n’ai rien fait vraiment ». « Les moines sont très ouverts d’esprit et je me contente de les accompagner ».
Mais qui a eu l’idée de compter les moutons pour dormir et cette astuce marche-t-elle vraiment ?
OuestFrance
1, 2, 3, 4… Les insomniaques reconnaissent cette vieille technique de compter les moutons pour enfin trouver le sommeil. Mais fonctionne-t-elle vraiment ? L’édition du soir répond à cette question pas si bête dans son rendez-vous podcast du jour.
En 2022, un Français sur deux avait des problèmes de sommeil selon les données partagées par l’Assurance maladie. « Compter les moutons » est un vieil adage qu’on nous racontait étant enfant pour vaincre l’insomnie. Mais pourquoi compte-t-on les moutons et pas les cochons et que sait-on de l’efficacité d’un tel procédé ?
Une histoire de bergers
Les explications semblent remonter au Moyen Âge. À cette époque, les bergers médiévaux de Grande-Bretagne, pris par la solitude, avaient pour habitude de compter leurs moutons tous les soirs jusqu’à s’assoupir.
Vrai ou faux, on ne sait pas trop, mais l’expression est très ancienne. Une preuve écrite de cet adage a été trouvée dans un recueil de nouvelles datant du XIIIe siècle, lu par un conteur au service de Messer Azzolino. Une de ces histoires raconte les péripéties d’un fermier essayant de faire traverser une rivière à son troupeau de moutons, amassé dans un petit bateau. Le conteur ne venait jamais à bout de son histoire tant son maître s’assoupissait au cours du récit.
Plus efficace de visualiser la mer
Une étude menée en 2002 par l’Université d’Oxford a prouvé que compter les moutons n’était pas la meilleure solution. Les chercheurs ont travaillé sur un échantillon de 50 personnes qu’ils ont divisé en trois groupes avec différentes instructions : le premier était libre de compter les moutons, le second n’avait pas de consigne et le troisième devait imaginer un décor apaisant.
Résultat, ce sont ceux qui ont pensé aux paysages relaxants comme la mer ou les vacances que le sommeil est venu cueillir en premier.
OuestFrance
1, 2, 3, 4… Les insomniaques reconnaissent cette vieille technique de compter les moutons pour enfin trouver le sommeil. Mais fonctionne-t-elle vraiment ? L’édition du soir répond à cette question pas si bête dans son rendez-vous podcast du jour.
En 2022, un Français sur deux avait des problèmes de sommeil selon les données partagées par l’Assurance maladie. « Compter les moutons » est un vieil adage qu’on nous racontait étant enfant pour vaincre l’insomnie. Mais pourquoi compte-t-on les moutons et pas les cochons et que sait-on de l’efficacité d’un tel procédé ?
Une histoire de bergers
Les explications semblent remonter au Moyen Âge. À cette époque, les bergers médiévaux de Grande-Bretagne, pris par la solitude, avaient pour habitude de compter leurs moutons tous les soirs jusqu’à s’assoupir.
Vrai ou faux, on ne sait pas trop, mais l’expression est très ancienne. Une preuve écrite de cet adage a été trouvée dans un recueil de nouvelles datant du XIIIe siècle, lu par un conteur au service de Messer Azzolino. Une de ces histoires raconte les péripéties d’un fermier essayant de faire traverser une rivière à son troupeau de moutons, amassé dans un petit bateau. Le conteur ne venait jamais à bout de son histoire tant son maître s’assoupissait au cours du récit.
Plus efficace de visualiser la mer
Une étude menée en 2002 par l’Université d’Oxford a prouvé que compter les moutons n’était pas la meilleure solution. Les chercheurs ont travaillé sur un échantillon de 50 personnes qu’ils ont divisé en trois groupes avec différentes instructions : le premier était libre de compter les moutons, le second n’avait pas de consigne et le troisième devait imaginer un décor apaisant.
Résultat, ce sont ceux qui ont pensé aux paysages relaxants comme la mer ou les vacances que le sommeil est venu cueillir en premier.
Espagne : Il achète un tableau pour 926 euros, il s’agit d’un Degas estimé à 8 millions
20Minutes
BONNE AFFAIRE !•Un collectionneur d’art catalan a acquis un véritable Degas via un site d’enchères entre particuliers en 2021 et a ensuite fait authentifier l’oeuvre
Ce collectionneur catalan a certainement réalisé l’une des plus belles opérations dans le monde de l’art ces dernières années. Comme le révèle le média El Punt Avui, l’Espagnol a acheté en 2021 une œuvre sur le site d’enchères de particulier à particulier, Todocolección.
Présenté comme une copie de Degas, le tableau affiché à un prix de base d’1 euro a été acquis pour 923 euros. Mais il s’agit finalement d’une véritable production du peintre impressionniste, dont la valeur est estimée entre 7 et 8 millions d’euros.
Le collectionneur est désormais en possession de L’Éloge du maquillage, un pastel de 48 cm sur 62,5 cm réalisé probablement en 1879. Parmi les experts qui ont authentifié le tableau, Michel Schulman, un spécialiste de l’artiste français. Le pastel représente « une scène de maison close, un thème important dans l’œuvre de Degas, qui a dessiné beaucoup de ses nus dans des lieux qu’il connaissait bien », explique-t-il à El Pais.
Le parcours du tableau retracé
Michel Schulman a pu authentifier le Degas « après une analyse exhaustive des pigments, une étude méticuleuse réalisée à l’aide de radiographies et de photographies, entre autres techniques ». Il a également confirmé que la signature au bas du tableau n’avait pas été ajoutée ultérieurement.
L’histoire du tableau a pu être retracée de façon quasi certaine. L’Éloge du maquillage a été une première fois acheté en 1887 par le peintre barcelonais Julià Bastinos, qui se trouvait en France à cette époque. C’est Degas lui-même qui évoque cette transaction dans une lettre. Bastinos, qui s’est ensuite installé en Égypte, a offert au tableau un cadre luxueux, avant de mourir en 1918.
Très peu de Degas en Espagne
Récupéré par la famille du peintre, le pastel a ensuite été protégé pendant la guerre civile, notamment dans un monastère. Puis, il a été acquis en 1940 par l’industriel Joan Llonch Salas, mécène et collectionneur d’art. « La dernière étiquette provient de la galerie d’art Gaspar de Barcelone, où Llonch a permis que le tableau soit exposé pour la première fois au public à Noël 1952, aux côtés d’œuvres de Picasso, Renoir et Van Gogh », explique Michel Schulman. Ce serait donc l’un des héritiers de l’homme d’affaires qui l’aurait proposé aux enchères en 2021, ignorant sa valeur.
Selon le spécialiste du peintre français, très peu de Degas sont présents en Espagne actuellement : trois se trouvent au musée Thyssen-Bornemisza de Madrid, un au musée de Montserrat et quelques-uns dans des collections privées. Si cette histoire incroyable n’est relayée qu’aujourd’hui, c’est parce que L’Éloge du maquillage vient d’être exposé à l’Institut Français de Madrid.
20Minutes
BONNE AFFAIRE !•Un collectionneur d’art catalan a acquis un véritable Degas via un site d’enchères entre particuliers en 2021 et a ensuite fait authentifier l’oeuvre
Ce collectionneur catalan a certainement réalisé l’une des plus belles opérations dans le monde de l’art ces dernières années. Comme le révèle le média El Punt Avui, l’Espagnol a acheté en 2021 une œuvre sur le site d’enchères de particulier à particulier, Todocolección.
Présenté comme une copie de Degas, le tableau affiché à un prix de base d’1 euro a été acquis pour 923 euros. Mais il s’agit finalement d’une véritable production du peintre impressionniste, dont la valeur est estimée entre 7 et 8 millions d’euros.
Le collectionneur est désormais en possession de L’Éloge du maquillage, un pastel de 48 cm sur 62,5 cm réalisé probablement en 1879. Parmi les experts qui ont authentifié le tableau, Michel Schulman, un spécialiste de l’artiste français. Le pastel représente « une scène de maison close, un thème important dans l’œuvre de Degas, qui a dessiné beaucoup de ses nus dans des lieux qu’il connaissait bien », explique-t-il à El Pais.
Le parcours du tableau retracé
Michel Schulman a pu authentifier le Degas « après une analyse exhaustive des pigments, une étude méticuleuse réalisée à l’aide de radiographies et de photographies, entre autres techniques ». Il a également confirmé que la signature au bas du tableau n’avait pas été ajoutée ultérieurement.
L’histoire du tableau a pu être retracée de façon quasi certaine. L’Éloge du maquillage a été une première fois acheté en 1887 par le peintre barcelonais Julià Bastinos, qui se trouvait en France à cette époque. C’est Degas lui-même qui évoque cette transaction dans une lettre. Bastinos, qui s’est ensuite installé en Égypte, a offert au tableau un cadre luxueux, avant de mourir en 1918.
Très peu de Degas en Espagne
Récupéré par la famille du peintre, le pastel a ensuite été protégé pendant la guerre civile, notamment dans un monastère. Puis, il a été acquis en 1940 par l’industriel Joan Llonch Salas, mécène et collectionneur d’art. « La dernière étiquette provient de la galerie d’art Gaspar de Barcelone, où Llonch a permis que le tableau soit exposé pour la première fois au public à Noël 1952, aux côtés d’œuvres de Picasso, Renoir et Van Gogh », explique Michel Schulman. Ce serait donc l’un des héritiers de l’homme d’affaires qui l’aurait proposé aux enchères en 2021, ignorant sa valeur.
Selon le spécialiste du peintre français, très peu de Degas sont présents en Espagne actuellement : trois se trouvent au musée Thyssen-Bornemisza de Madrid, un au musée de Montserrat et quelques-uns dans des collections privées. Si cette histoire incroyable n’est relayée qu’aujourd’hui, c’est parce que L’Éloge du maquillage vient d’être exposé à l’Institut Français de Madrid.
Aux États-Unis, un homme jugé pour conduite sans permis se présente au juge… au volant de sa voiture
Huffpost
Entendu en visioconférence, Corey Harris a demandé au tribunal de l’attendre « une seconde », alors qu’il était occupé à garer sa voiture.
ÉTATS-UNIS - La situation a laissé le juge stupéfait. Convoqué par la justice pour conduite avec un permis suspendu, un Américain vivant dans l’État du Michigan s’est présenté à son procès en visioconférence, le 15 mai… alors qu’il était en train de conduire, occupé à garer sa voiture.
« Monsieur Harris, êtes-vous en train de conduire ? », lui a demandé avec incrédulité le juge Cedric Simpson, déjà connecté sur Zoom depuis quelques minutes. « En fait, je suis devant le cabinet de mon médecin. Donnez-moi une seconde, je suis en train de me garer », lui a tranquillement répondu Corey Harris.
Stupéfait, le juge a attendu que le principal concerné finisse sa manœuvre avant d’ouvrir l’audience,L’avocate du prévenu a alors demandé un ajournement du procès à une date ultérieure, « peut-être jusqu’à quatre semaines si le tribunal le permet ».
Redirigé vers la prison
« Ok, il y a peut-être quelque chose que je ne comprends pas. C’est un procès pour conduite avec un permis suspendu. Et il était en train de conduire. Et il n’a pas de permis », a répété le juge Cedric Simpson, toujours aussi ébahi. « Je ne sais pas pourquoi il a fait ça. »
« Donc la caution du prévenu est révoquée dans cette affaire », a-t-il fini par annoncer. Il a également ordonné à Corey Harris de se rendre à la prison du comté de Washtenaw, avant 18 heures, le jour même.
« Oh mon Dieu », a alors répondu avec étonnement le conducteur, avant que le juge passe à une autre affaire. Au moins, l’audience n’aura pas duré longtemps.
Huffpost
Entendu en visioconférence, Corey Harris a demandé au tribunal de l’attendre « une seconde », alors qu’il était occupé à garer sa voiture.
ÉTATS-UNIS - La situation a laissé le juge stupéfait. Convoqué par la justice pour conduite avec un permis suspendu, un Américain vivant dans l’État du Michigan s’est présenté à son procès en visioconférence, le 15 mai… alors qu’il était en train de conduire, occupé à garer sa voiture.
« Monsieur Harris, êtes-vous en train de conduire ? », lui a demandé avec incrédulité le juge Cedric Simpson, déjà connecté sur Zoom depuis quelques minutes. « En fait, je suis devant le cabinet de mon médecin. Donnez-moi une seconde, je suis en train de me garer », lui a tranquillement répondu Corey Harris.
Stupéfait, le juge a attendu que le principal concerné finisse sa manœuvre avant d’ouvrir l’audience,L’avocate du prévenu a alors demandé un ajournement du procès à une date ultérieure, « peut-être jusqu’à quatre semaines si le tribunal le permet ».
Redirigé vers la prison
« Ok, il y a peut-être quelque chose que je ne comprends pas. C’est un procès pour conduite avec un permis suspendu. Et il était en train de conduire. Et il n’a pas de permis », a répété le juge Cedric Simpson, toujours aussi ébahi. « Je ne sais pas pourquoi il a fait ça. »
« Donc la caution du prévenu est révoquée dans cette affaire », a-t-il fini par annoncer. Il a également ordonné à Corey Harris de se rendre à la prison du comté de Washtenaw, avant 18 heures, le jour même.
« Oh mon Dieu », a alors répondu avec étonnement le conducteur, avant que le juge passe à une autre affaire. Au moins, l’audience n’aura pas duré longtemps.
Etats-Unis : Ils trouvent un coffre-fort contenant 100.000 dollars en pêchant à l’aimant
20Minutes
JACKPOT•Amateurs de la pêche à l’aimant, un jeune couple a trouvé un coffre-fort qui contenait 100.000 dollars dans un lac de New York
La pêche fut exceptionnellement bonne vendredi pour un jeune couple qui pratiquait la pêche à l’aimant dans un lac à New York (Etats-Unis). Comme le raconte le média local Spectrum News NY, relayé par Le Parisien, ils ont eu la belle surprise de remonter un coffre rempli de billets de banque. La somme récoltée atteindrait les 100.000 dollars, soit un peu plus de 92.000 euros.
Les deux Américains ont rapidement contacté la police de New York pour savoir si l’argent ne provenait pas d’un délit. « Il n’y avait aucune pièce d’identité, aucun moyen de retrouver la personne d’origine dans le coffre-fort », a confié la jeune femme à la BBC. Les forces de l’ordre les ont alors autorisés à garder les billets.
De l’argent inexploitable
Mais la jeune femme a également expliqué à nos confrères d’ABC News que les billets étaient dans un état vraiment déplorable, ce qui les rend inexploitables. Le couple envisagerait de confier l’argent au département du Trésor des États-Unis.
La pêche à l’aimant ne vise pas à récupérer des poissons mais des objets métalliques. Le couple est passionné de cette pratique, qu’ils ont découverte au cours de la pandémie de Covid-19. Ils ont d’ailleurs créé une chaîne YouTube à ce sujet sous le nom de « Let’s get Magnetic ». Avant de repêcher le coffre, les Américains avaient déjà retrouvé des armes, des bijoux ou encore des pièces de monnaie.
20Minutes
JACKPOT•Amateurs de la pêche à l’aimant, un jeune couple a trouvé un coffre-fort qui contenait 100.000 dollars dans un lac de New York
La pêche fut exceptionnellement bonne vendredi pour un jeune couple qui pratiquait la pêche à l’aimant dans un lac à New York (Etats-Unis). Comme le raconte le média local Spectrum News NY, relayé par Le Parisien, ils ont eu la belle surprise de remonter un coffre rempli de billets de banque. La somme récoltée atteindrait les 100.000 dollars, soit un peu plus de 92.000 euros.
Les deux Américains ont rapidement contacté la police de New York pour savoir si l’argent ne provenait pas d’un délit. « Il n’y avait aucune pièce d’identité, aucun moyen de retrouver la personne d’origine dans le coffre-fort », a confié la jeune femme à la BBC. Les forces de l’ordre les ont alors autorisés à garder les billets.
De l’argent inexploitable
Mais la jeune femme a également expliqué à nos confrères d’ABC News que les billets étaient dans un état vraiment déplorable, ce qui les rend inexploitables. Le couple envisagerait de confier l’argent au département du Trésor des États-Unis.
La pêche à l’aimant ne vise pas à récupérer des poissons mais des objets métalliques. Le couple est passionné de cette pratique, qu’ils ont découverte au cours de la pandémie de Covid-19. Ils ont d’ailleurs créé une chaîne YouTube à ce sujet sous le nom de « Let’s get Magnetic ». Avant de repêcher le coffre, les Américains avaient déjà retrouvé des armes, des bijoux ou encore des pièces de monnaie.
"J'en ai fait des cauchemars" : le voyage scolaire tourne au fiasco pour des élèves de CM2 et de 6e
RTL
Après avoir emprunté trois avions, des élèves de CM2 et de sixième n'ont finalement jamais pu arriver en Grèce.
Un véritable fiasco. 29 élèves de CM2 et de 6e se faisaient une joie de partir en Grèce ce lundi 27 mai. Mais à cause de multiples problèmes techniques, ils ont dû prendre un avion, un deuxième puis un troisième... Sans jamais arriver à destination.
Sacha, 11 ans, a raconté ses galères au micro de RTL : "On est arrivés à 6h30 du matin, tout allait bien, on a décollé. Mais au bout d'environ deux heures, le pilote nous dit que 'suite à un problème technique, nous allons devoir retourner à Orly pour changer une pièce de l'avion que nous ne pouvons pas changer à Athènes'".
"J'ai eu très peur, j'en ai fait des cauchemars", a confié le petit garçon. "Après ça, on est descendus, on est remontés vers 13h45 dans un autre avion et là, le pilote nous dit que le réacteur est défectueux et qu'on doit changer d'avion. On va alors dans le troisième avion, mais à cause de la grève, on n'a jamais pu décoller".
"On était tous très très déçus de ne pas partir", a-t-il encore raconté. "On allait visiter l'Acropole... On était très très tristes".
RTL
Après avoir emprunté trois avions, des élèves de CM2 et de sixième n'ont finalement jamais pu arriver en Grèce.
Un véritable fiasco. 29 élèves de CM2 et de 6e se faisaient une joie de partir en Grèce ce lundi 27 mai. Mais à cause de multiples problèmes techniques, ils ont dû prendre un avion, un deuxième puis un troisième... Sans jamais arriver à destination.
Sacha, 11 ans, a raconté ses galères au micro de RTL : "On est arrivés à 6h30 du matin, tout allait bien, on a décollé. Mais au bout d'environ deux heures, le pilote nous dit que 'suite à un problème technique, nous allons devoir retourner à Orly pour changer une pièce de l'avion que nous ne pouvons pas changer à Athènes'".
"J'ai eu très peur, j'en ai fait des cauchemars", a confié le petit garçon. "Après ça, on est descendus, on est remontés vers 13h45 dans un autre avion et là, le pilote nous dit que le réacteur est défectueux et qu'on doit changer d'avion. On va alors dans le troisième avion, mais à cause de la grève, on n'a jamais pu décoller".
"On était tous très très déçus de ne pas partir", a-t-il encore raconté. "On allait visiter l'Acropole... On était très très tristes".
Un chien parcourt six km pour alerter la famille de son maître, victime d’un accident de voiture
OuestFrance
Aux États-Unis, dans l’état de l’Oregon, un chien a parcouru six kilomètres pour alerter la famille de son maître, dimanche 2 juin 2024, qui venait d’avoir un grave accident de voiture et était coincé dans un ravin. Les secours ont pu lui venir en aide le lendemain.
Un automobiliste a fait une embardée sur une route forestière de l’état de l’Oregon (États-Unis), dimanche 2 juin 2024. Son véhicule a fini sa course en contrebas d’un talus. L’un de ses quatre chiens qui se trouvaient avec lui a réussi à sortir par une fenêtre pour parcourir les six kilomètres qui le séparait du campement où se trouvait la famille de son maître, rapporte Le Parisien . Les proches de la victime se sont alors lancés à sa recherche.
Comme l’explique le bureau du shérif dans un communiqué sur Facebook, l’automobiliste « a pu ramper à environ 100 m du véhicule, où il a passé la nuit. Le groupe a continué à le chercher et les membres de sa famille ont retrouvé son véhicule le 3 juin au matin ». C’est son frère qui a finalement prévenu les autorités.
Comme l’explique le bureau du shérif dans un communiqué sur Facebook, l’automobiliste « a pu ramper à environ 100 m du véhicule, où il a passé la nuit. Le groupe a continué à le chercher et les membres de sa famille ont retrouvé son véhicule le 3 juin au matin ». C’est son frère qui a finalement prévenu les autorités.
Héliporté à l’hôpital
Le bureau du shérif ainsi que les équipes de sauvetage se sont rendus sur les lieux. Le shérif a prodigué les premiers soins, après que les volontaires du Pine Valley Rural Fire et les employés de l’U.S. Forest Service ont dégagé le chemin à l’aide d’une tronçonneuse. L’homme a été placé sur une civière reliée à un système de cordes et tiré du ravin, puis héliporté vers un hôpital régional.
La nature et la gravité de ses blessures n’ont pas été communiquées. « Les trois autres chiens ont été retrouvés vivants sur les lieux de l’accident », précisent les autorités locales.
OuestFrance
Aux États-Unis, dans l’état de l’Oregon, un chien a parcouru six kilomètres pour alerter la famille de son maître, dimanche 2 juin 2024, qui venait d’avoir un grave accident de voiture et était coincé dans un ravin. Les secours ont pu lui venir en aide le lendemain.
Un automobiliste a fait une embardée sur une route forestière de l’état de l’Oregon (États-Unis), dimanche 2 juin 2024. Son véhicule a fini sa course en contrebas d’un talus. L’un de ses quatre chiens qui se trouvaient avec lui a réussi à sortir par une fenêtre pour parcourir les six kilomètres qui le séparait du campement où se trouvait la famille de son maître, rapporte Le Parisien . Les proches de la victime se sont alors lancés à sa recherche.
Comme l’explique le bureau du shérif dans un communiqué sur Facebook, l’automobiliste « a pu ramper à environ 100 m du véhicule, où il a passé la nuit. Le groupe a continué à le chercher et les membres de sa famille ont retrouvé son véhicule le 3 juin au matin ». C’est son frère qui a finalement prévenu les autorités.
Comme l’explique le bureau du shérif dans un communiqué sur Facebook, l’automobiliste « a pu ramper à environ 100 m du véhicule, où il a passé la nuit. Le groupe a continué à le chercher et les membres de sa famille ont retrouvé son véhicule le 3 juin au matin ». C’est son frère qui a finalement prévenu les autorités.
Héliporté à l’hôpital
Le bureau du shérif ainsi que les équipes de sauvetage se sont rendus sur les lieux. Le shérif a prodigué les premiers soins, après que les volontaires du Pine Valley Rural Fire et les employés de l’U.S. Forest Service ont dégagé le chemin à l’aide d’une tronçonneuse. L’homme a été placé sur une civière reliée à un système de cordes et tiré du ravin, puis héliporté vers un hôpital régional.
La nature et la gravité de ses blessures n’ont pas été communiquées. « Les trois autres chiens ont été retrouvés vivants sur les lieux de l’accident », précisent les autorités locales.
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