Questions existentielles - page 297

Pour se reposer quelques minutes
morticia Avatar de l’utilisateur

Posts: 12636
Note: 3787

Je rigole ..mais en même temps je me souviens avoir vu Zelensky sur scène ....jouer du piano zizi a l'air pantalon sur les chevilles et accompagné d'un collègue , ...... :moins:
Bizarre , personne ne ressort ce bel article .....'( censuré ??) :mrgreen:
La classe quoi .... :diable:
En plus il jouait l'hymne national Ukrainien ...:B):


(img)xxxxx(/img)
Dernière édition par morticia le 20 Oct 2023, 09:08, édité 2 fois.
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Un chef-d’œuvre de Raphaël acheté sans le savoir par des Français à un prix dérisoire
Ce tableau est daté de la rencontre entre Raphaël et Léonard de Vinci vers 1505.

Par Le HuffPost
Des collectionneurs français ont acheté ce tableau sur Internet cette année sans en connaître l’histoire. Des experts français et italiens viennent de l’authentifier comme un chef-d’œuvre du peintre et architecte italien de la Renaissance Raphaël, daté de sa rencontre avec Léonard de Vinci vers 1505.
« Quand je l’ai vue en photo via internet la première fois, cette sainte Marie-Madeleine m’a tout de suite interpellé », raconte à l’AFP l’un des collectionneurs sous couvert d’anonymat. Ils l’achètent à une galerie londonienne pour 30 000 livres sterling (près de 35 000 euros). « Quand elle est arrivée, c’était encore plus touchant, même si elle était vraiment sale », se souvient-il.
Pensant qu’il s’agit d’un tableau de l’école de Léonard de Vinci, il fait appel à l’expertise de Annalisa Di Maria, membre du groupement d’experts de l’Unesco à Florence qui a authentifié l’œuvre en septembre. Cette réattribution « ne change rien à sa beauté, spirituelle », ajoute ce trentenaire, collectionneur comme son père, qui aimerait partager cette découverte « exceptionnelle » avec le grand public en la confiant à un musée.
Les conclusions des experts, consultables en ligne, ont été publiées par la revue spécialisée ISTE, Open Science, Arts et Sciences dont le comité éditorial comprend Philippe Walter, directeur du CNRS et ancien directeur du laboratoire du Louvre.

À l’issue d’innombrables analyses, dont la visualisation grâce à la lumière infrarouge des couches de carbone cachées par les pigments de peinture, ils ont pu attribuer le tableau à Raphaël, nom francisé de Raffaello Sanzio (1483-1520), explique Annalisa Di Maria.
Le tableau « était considéré comme perdu »
Ces analyses, « basées sur les dernières avancées de la science, ont notamment mis en évidence les “repentirs”, c’est-à-dire les réajustements formels exécutés par le peintre jusqu’à la version finale de l’œuvre, et sa technique du “Spolvero”, le transfert d’un dessin d’un premier support sur son support final », comme pour La Joconde de Vinci, détaille l’experte.

Deux autres versions de la Madeleine ont été répertoriées, dont une attribuée au Pérugin, qui fut le maître puis le collaborateur de Raphaël.

Celle peinte par Raphaël sur un panneau de peuplier au format 46x33 cm est « d’une grande maîtrise et d’une incroyable finesse d’exécution qui, ajoutée aux éléments scientifiques, attestent que le portrait provient bien de ce génie », souligne Annalisa Di Maria.
Des recherches dans les archives de la ville de Florence ont également permis de retracer la provenance du tableau qui « était considéré comme perdu », selon la spécialiste.

Avant son rachat par les collectionneurs français, « il appartenait à une collection privée du nord de l’Angleterre et s’est retrouvé dans une petite vente aux enchères, où la galerie londonienne l’a acquis pensant qu’il s’agissait d’un tableau de l’école de Léonard de Vinci », retrace une autre experte, Nathalie Popis, spécialiste des mathématiques appliquées dans l’art de la Renaissance.

Cette découverte « montre l’influence de Léonard de Vinci (1452-1519) sur Raphaël, qui s’est émancipé de l’art du Pérugin » à l’époque de leur rencontre et a adopté sa technique du « Sfumato », la superposition de couches très fines de glacis monochromes translucides, ajoutent les expertes.
Contestations en Italie
Son modèle est probablement Chiara Fancelli, épouse du Pérugin, auquel est attribuée la Madeleine qui se trouve au palais Pitti à Florence.

« Une autre version, dont l’attribution reste à déterminer, se trouve à la villa Borghese à Rome. Il n’en existe pas de trace avant 1693, une époque où circulaient de nombreuses copies », continue Nathalie Popis, qui a réalisé des études comparatives du visage de la sainte avec Jean-Charles Pomerol, membre du comité scientifique de Paris et ancien président de l’université parisienne Pierre-et-Marie-Curie.

Avant la publication de l’étude et sans apport d’éléments de contre-expertise, son attribution à Raphaël a été contestée par certaines sources en Italie, dont le président de l’Académie Raffaello d’Urbino (autre nom attribué à Raphaël, d’après son village natal, ndlr), qui estimaient qu’il s’agissait « sûrement d’un prototype du Pérugin », selon le Journal des Arts.
Le « Salvator Mundi » (Sauveur du Monde en latin), qualifié de « double masculin de la Joconde » et attribué à Léonard de Vinci après restauration, sans que les résultats de son authentification ne soient publiés, a été revendu 450 millions de dollars aux enchères en 2017 à New York. Son acheteur serait le prince saoudien Mohammed ben Salmane, ce qui n’a jamais été confirmé officiellement.

Il avait été acheté moins de 2 000 dollars par un marchand d’art new-yorkais aux enchères à la Nouvelle Orléans en 2005.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Un chef-d’œuvre de Raphaël acheté sans le savoir par des Français à un prix dérisoire
Ce tableau est daté de la rencontre entre Raphaël et Léonard de Vinci vers 1505.

Par Le HuffPost
Des collectionneurs français ont acheté ce tableau sur Internet cette année sans en connaître l’histoire. Des experts français et italiens viennent de l’authentifier comme un chef-d’œuvre du peintre et architecte italien de la Renaissance Raphaël, daté de sa rencontre avec Léonard de Vinci vers 1505.
« Quand je l’ai vue en photo via internet la première fois, cette sainte Marie-Madeleine m’a tout de suite interpellé », raconte à l’AFP l’un des collectionneurs sous couvert d’anonymat. Ils l’achètent à une galerie londonienne pour 30 000 livres sterling (près de 35 000 euros). « Quand elle est arrivée, c’était encore plus touchant, même si elle était vraiment sale », se souvient-il.
Pensant qu’il s’agit d’un tableau de l’école de Léonard de Vinci, il fait appel à l’expertise de Annalisa Di Maria, membre du groupement d’experts de l’Unesco à Florence qui a authentifié l’œuvre en septembre. Cette réattribution « ne change rien à sa beauté, spirituelle », ajoute ce trentenaire, collectionneur comme son père, qui aimerait partager cette découverte « exceptionnelle » avec le grand public en la confiant à un musée.
Les conclusions des experts, consultables en ligne, ont été publiées par la revue spécialisée ISTE, Open Science, Arts et Sciences dont le comité éditorial comprend Philippe Walter, directeur du CNRS et ancien directeur du laboratoire du Louvre.

À l’issue d’innombrables analyses, dont la visualisation grâce à la lumière infrarouge des couches de carbone cachées par les pigments de peinture, ils ont pu attribuer le tableau à Raphaël, nom francisé de Raffaello Sanzio (1483-1520), explique Annalisa Di Maria.
Le tableau « était considéré comme perdu »
Ces analyses, « basées sur les dernières avancées de la science, ont notamment mis en évidence les “repentirs”, c’est-à-dire les réajustements formels exécutés par le peintre jusqu’à la version finale de l’œuvre, et sa technique du “Spolvero”, le transfert d’un dessin d’un premier support sur son support final », comme pour La Joconde de Vinci, détaille l’experte.

Deux autres versions de la Madeleine ont été répertoriées, dont une attribuée au Pérugin, qui fut le maître puis le collaborateur de Raphaël.

Celle peinte par Raphaël sur un panneau de peuplier au format 46x33 cm est « d’une grande maîtrise et d’une incroyable finesse d’exécution qui, ajoutée aux éléments scientifiques, attestent que le portrait provient bien de ce génie », souligne Annalisa Di Maria.
Des recherches dans les archives de la ville de Florence ont également permis de retracer la provenance du tableau qui « était considéré comme perdu », selon la spécialiste.

Avant son rachat par les collectionneurs français, « il appartenait à une collection privée du nord de l’Angleterre et s’est retrouvé dans une petite vente aux enchères, où la galerie londonienne l’a acquis pensant qu’il s’agissait d’un tableau de l’école de Léonard de Vinci », retrace une autre experte, Nathalie Popis, spécialiste des mathématiques appliquées dans l’art de la Renaissance.

Cette découverte « montre l’influence de Léonard de Vinci (1452-1519) sur Raphaël, qui s’est émancipé de l’art du Pérugin » à l’époque de leur rencontre et a adopté sa technique du « Sfumato », la superposition de couches très fines de glacis monochromes translucides, ajoutent les expertes.
Contestations en Italie
Son modèle est probablement Chiara Fancelli, épouse du Pérugin, auquel est attribuée la Madeleine qui se trouve au palais Pitti à Florence.

« Une autre version, dont l’attribution reste à déterminer, se trouve à la villa Borghese à Rome. Il n’en existe pas de trace avant 1693, une époque où circulaient de nombreuses copies », continue Nathalie Popis, qui a réalisé des études comparatives du visage de la sainte avec Jean-Charles Pomerol, membre du comité scientifique de Paris et ancien président de l’université parisienne Pierre-et-Marie-Curie.

Avant la publication de l’étude et sans apport d’éléments de contre-expertise, son attribution à Raphaël a été contestée par certaines sources en Italie, dont le président de l’Académie Raffaello d’Urbino (autre nom attribué à Raphaël, d’après son village natal, ndlr), qui estimaient qu’il s’agissait « sûrement d’un prototype du Pérugin », selon le Journal des Arts.
Le « Salvator Mundi » (Sauveur du Monde en latin), qualifié de « double masculin de la Joconde » et attribué à Léonard de Vinci après restauration, sans que les résultats de son authentification ne soient publiés, a été revendu 450 millions de dollars aux enchères en 2017 à New York. Son acheteur serait le prince saoudien Mohammed ben Salmane, ce qui n’a jamais été confirmé officiellement.

Il avait été acheté moins de 2 000 dollars par un marchand d’art new-yorkais aux enchères à la Nouvelle Orléans en 2005.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Voici le top dix des comportements en avion qui agacent le plus les passagers
OuestFrance

Prendre l’avion pour partir en vacances peut se transformer en cauchemar quand on tombe sur un voisin sans gêne. Un site de voyage a interrogé les Français pour savoir ce qui les agaçait le plus pendant un vol. Voici le classement de leurs réponses, du comportement le plus acceptable à la pire situation…
Embarquer dans un avion et rester enfermé pendant de longues quelques heures dans cet espace confiné, avec des centaines de personnes implique de respecter certaines règles de vie en collectivité. Mais tout le monde n’a pas la même notion de ce qui est acceptable ou non. Et lorsque l’on se retrouve assis à côté d’un passager qui a oublié que « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres », le voyage peut vite devenir un cauchemar !

Afin de mesurer quels sont les comportements qui agacent le plus les autres passagers, le site de voyages Kakak.fr a commandé une enquête. Cette dernière a été réalisée par Walr en août 2023 auprès de 1 000 adultes français âgés de plus de 18 ans, ayant voyagé au cours des trois dernières années. Les enquêteurs leur ont demandé ce qui, à leur avis, définissait les bonnes manières dans un avion. L’édition du soir a classé leurs réponses dans un top 10, du comportement le plus accepté à celui qui révulse le plus…
10. Demander à changer de place

Se retrouver séparé de sa « moitié » pendant quelques heures de vol est cruel pour certains. Quand on n’a pas eu le loisir de choisir sa place au moment de la réservation, la seule solution est de demander à un autre passager d’échanger avec la sienne (la place, pas la moitié). Pour 60 % des personnes interrogées, ce n’est pas un problème, tant que c’est pour s’asseoir à côté d’un proche. 53 % estiment qu’ils ne s’y opposeront pas si c’est demandé poliment. Seuls 4 % déclarent que ce n’est pas admissible. Ceux-là tiennent peut-être à leur siège « hublot » coûte que coûte.

9. Poser sa tête sur la tablette pour dormir

Si vous avez déjà pris un vol long-courrier, vous savez qu’il n’existe pas 36 solutions pour tenter de dormir dans un avion. L’une des positions les plus acrobatiques consiste à poser sa tête sur la tablette. Un équipement dont la vocation première est d’accueillir les plateaux-repas, ce qui n’est donc pas forcément hygiénique. Mais c’est loin d’être le comportement le plus dérangeant pour les autres passagers, à en croire ce sondage : pour 58 % des personnes interrogées, poser sa tête à l’endroit où des inconnus ont mangé est acceptable. Ce qui sous-entend tout de même que 42 % sont contre.

8. Enlever ses chaussures

Pour se sentir comme à la maison dans un avion, certains aiment enlever leurs chaussures. Curieusement, cette habitude ne pose pas de problème à 54 % des personnes interrogées. Pour 46 %, en revanche, ça ne correspond pas aux règles de savoir-vivre dans un avion. Et si l’on ajoute les odeurs…
7. Enlever ses chaussettes

On franchit encore un palier dans l’effeuillage des pieds avec le tomber de chaussettes. À ce stade, les autres passagers sont de moins en moins tolérants : près de 75 % de Français n’apprécient pas vraiment de voir les orteils de leurs voisins. Mais certains touristes sont visiblement pressés d’arriver sur la plage et de se mettre les doigts de pied en éventail…
6. Ne pas écouter sa musique en sourdine

Voilà une mauvaise habitude qui n’est pas seulement énervante dans les avions : ces passagers qui font profiter de leur musique ou de leurs vidéos à tous les autres. Pour 83 % des personnes interrogées, porter des écouteurs fait partie du savoir-vivre à bord d’un avion. Et mieux vaut ne pas trop se marrer devant un spectacle comique ou en écoutant les blagues de son pote : 79 % des sondés n’apprécient pas non plus les rires bruyants.

5. Mettre les pieds sur le siège devant soi

Dans la série des positions originales, il y a ceux qui adorent poser leurs pieds ou leurs genoux sur le dossier du siège de devant. Peut-être pratique pour se dégourdir un peu les articulations et faire circuler le sang. Mais 87 % désapprouvent totalement ce comportement. Et gare à vous si, en plus, vous donnez des coups dans le siège : 75 % des Français estiment qu’il est tout à fait acceptable de demander à quelqu’un d’arrêter de taper dans son siège.

Lire aussi : Îles Baléares, Irlande, Cinque Terre… Voici 5 destinations facilement accessibles sans prendre l’avion

4. Poser sa tête sur l’épaule de son voisin

À ce niveau, c’est soit une grosse fatigue, soit une technique de drague qui confine à l’agression : quand un passager se permet de poser la tête sur l’épaule de son voisin, ça ne passe vraiment pas. 87 % des personnes interrogées l’interprètent comme une invasion de leur espace personnel. Alors si vous avez tendance à tomber pendant votre sommeil, on vous conseille de prévoir un tour de cou !

3. Se curer le nez

Tuer le temps n’est pas toujours facile lorsque l’on passe des heures à 10 000 mètres d’altitude, mais tout de même ! Certains trouvent de quoi s’occuper d’une étrange manière. En se curant le nez, par exemple. Une drôle d’habitude qui révulse 88 % des personnes interrogées. D’autres préfèrent se couper les ongles, ce que réprouvent 78 % des voyageurs. On les comprend !

2. Être impoli avec le personnel de bord

On dit souvent que les Français sont grossiers. On se gardera bien de juger, en tout cas, ils n’aiment que les autres le soient ! C’est même en deuxième position dans les choses qui les agacent le plus en avion : neuf personnes interrogées sur dix trouvent irrespectueux d’être impoli avec le personnel de bord. La même proportion juge intolérables ceux qui laissent des ordures derrière eux dans l’avion. Et 85 % réprouvent les voyageurs qui oublient de dire « au revoir » ou « merci » aux membres de l’équipage en quittant l’avion. Non mais !

1. Manger du fromage… ou d’autres mets (mal)odorants

Nous voilà au sommet des comportements qui rebutent vos voisins de siège. Si vous avez eu la drôle d’idée d’embarquer avec un morceau de camembert bien fait, vous avez toutes les chances de vous faire enguirlander : 93 % des Français considèrent que sortir du fromage en plein vol n’est pas acceptable… alors on imagine ce qu’en pensent les étrangers. Prendre du poisson en boîte (thon, sardines, anchois) n’est pas beaucoup plus toléré (92 % sont contre), tout comme des saucisses chaudes, des haricots et des légumes crucifères (90 %). D’autant que la conséquence peut être terrible en termes de flatulences ! Oubliez aussi les snacks croquants et croustillants comme les bâtonnets de carottes et les chips, qui énerveront 88 % de vos voisins. Vous n’avez plus qu’à attendre le repas !
… Et ce qui est toléré

D’autres comportements sont plus acceptables, à en croire ce même sondage. Voici les choses que vous pouvez faire sans trop craindre de vous faire allumer :

Utiliser les deux accoudoirs quand on est assis au milieu. 72 % des personnes interrogées estiment en effet que la personne du milieu peut tout à fait reposer ses coudes des deux côtés, contre 28 % qui pensent l’inverse. Mais après tout, ces voyageurs n’ont pas la place la plus confortable, autant leur offrir un lot de consolation !

Contrôler le store du hublot quand on est assis à côté. 60 % des répondants estiment que ce privilège revient à la personne assise à côté. Les autres pensent qu’on est libre de le baisser ou le monter, tant qu’on peut atteindre le store. Et si la solution était simplement de poser la question à son voisin ?

Incliner son siège. Pour 58 % des sondés, baisser son siège sur un long vol n’est pas un problème si l’on demande poliment à la personne derrière soi. Seuls 6 % des personnes trouvent cela inacceptable, alors que 14 % préfèrent attendre que la personne de devant fasse la même chose. Mais après tout, si les sièges sont prévus pour ça, pourquoi s’en priver ?
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Il achète un terrain et crée son micro-État où les slips et les Crocs sont interdits
OuestFrance
Après avoir fait le tour du monde, un globe-trotteur américain n’avait plus de pays à visiter. Il a décidé de créer le sien au milieu du désert californien, avec son drapeau, son hymne et ses propres lois surprenantes et loufoques. Bienvenue au Slowjamastan, où l’autodérision règne en maître.
Il n’apparaît sur aucune carte et n’est reconnu par aucune instance internationale. Et pourtant, il fait parler de lui depuis quelques mois sur les réseaux sociaux et dans la presse du monde entier. Bienvenue au Slowjamastan ! Malgré sa dénomination digne d’un État d’Asie centrale, ce mini-pays qui revendique son indépendance se trouve aux États-Unis, au beau milieu du désert californien, à 160 km de San Diego. Et sa création est le fruit de l’imagination de Randy William, un DJ américain de 46 ans.
L’idée est venue au quadragénaire, infatigable voyageur, au cours d’un périple en 2021. Après avoir fait le tour du monde et visité les 193 États de la planète, reconnus par l’Organisation des Nations unies (Onu), il a expliqué à la chaîne américaine CNN avoir eu l’envie de créer le sien. Sa visite de la République de Molossia, cette micronation de quatre hectares et des poussières au Nevada, autoproclamée indépendante depuis 1998, n’y est sans doute pas étrangère non plus. C’était durant l’été 2021. Il n’en a pas fallu plus pour le décider.
Un terrain dans le désert acheté 18 000 €

De retour, il a acheté un terrain de 4,5 hectares dans le désert pour 19 000 dollars (soit près de 18 000 €) et a créé son pays. Il s’est fait le « sultan » de sa nation et a déclaré son indépendance des États-Unis d’Amérique, à 12 h 26, le 1er décembre 2021. Officiellement nommé Territoires unis de la nation souveraine de la République populaire du Slowjamastan, son pays loufoque, digne du Groland français, a évidemment tous les attributs d’un État. « Il délivre ses propres passeports, arbore son propre drapeau, imprime sa propre monnaie (« le duble ») et possède un hymne national qui est joué lors des occasions officielles », rapporte CNN.
Dictature assumée

Uniforme vert garni de récompenses militaires et d’épaulettes dorées, lunettes de soleil teintées sur le nez, coiffe militaire à visière vissée sur sa tête… Randy Williams a aussi enfilé le costume du parfait dictateur. Cette autodérision assumée est aussi une façon pour le globe-trotteur de mettre en lumière les absurdités de la politique et des dictatures qu’il a pu voir, notamment « les cultes bizarres de la personnalité et les contradictions qui existent à certains endroits de la planète, comme en Corée du Nord ».

Son idée prête à sourire et elle séduit. Il revendique ainsi, près de deux ans après sa création, plusieurs centaines de citoyens et des milliers en attente de « régularisation ». Mais le petit terrain n’étant guère plus qu’un désert sans aucune infrastructure, ils n’y habitent évidemment pas. Randy William a toutefois voulu marquer son territoire. Il a érigé un énorme panneau « Bienvenue au Slowjamastan » près de l’autoroute, construit un poste de contrôle frontalier et fait flotter le drapeau coloré de sa micronation au-dessus de son bureau ministériel.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Le légendaire alligator des égouts de New York a désormais sa propre statue à Manhattan
MYTHE Les égouts sont en réalité un environnement très peu adapté à la survie de ces reptiles

20 Minutes
Y a-t-il vraiment des alligators dans les égouts de New York (Etats-Unis) ? Ce qui est certain, c’est qu’il y en a désormais au moins un à la surface. Une statue rendant hommage à cette légende urbaine a été dévoilée fin octobre dans l’Union Square Parc, à Manhattan, rapporte le HuffPost.

L’œuvre en bronze, réalisée par l’artiste suédois Alexander Klingspor, restera là jusqu’en juin 2024. « Ayant vécu plus de dix ans à Manhattan, je voulais rendre hommage à cette ville que j’aime en représentant l’une de ses légendes urbaines les plus populaires », a expliqué le sculpteur, cité par CNN.
Une légende urbaine durable
« Cette œuvre aborde deux aspects intéressants de notre monde », a poursuivi l’artiste. « Notre besoin de dieux, de mythes et de légendes comme toute autre civilisation avant la nôtre ; et notre habitude de créer des espèces invasives en déplaçant des animaux de leur habitat naturel vers un environnement humain. »
La légende selon laquelle des alligators habiteraient les égouts de New York remonte aux années 1900, quand un égoutier a raconté aux médias avoir été mordu par un de ces reptiles. Le 9 février 1935, trois adolescents ont réussi à capturer un alligator dans une canalisation, ce fait divers faisant officiellement du 9 février la « journée des alligators dans les égouts » à New York.
Des animaux « de compagnie » abandonnés
Depuis, aucun alligator n’a été recensé ni même aperçu dans les égouts de la Grosse Pomme. Mais le mythe persiste, ayant même abouti à des films sur le sujet. Si la possession, la vente et l’achat de cet animal est interdit à New York, la livraison d’alligator est autorisée aux Etats-Unis tant que le reptile fait moins de 50 cm.

On trouve donc parfois des alligators de compagnie à New York. Les autorités capturent régulièrement des reptiles abandonnés par leurs propriétaires – mais jamais dans les égouts, un environnement bien trop froid et sale pour cet animal. En février dernier, un alligator très mal en point avait ainsi été secouru à Brooklyn, avant de mourir, rappelle le HuffPost.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Changement d’heure 2023 : ce pays a arrêté (et il a eu des problèmes)
TheHuffpost

Au Mexique, on ne change plus d’heure depuis l’automne 2022… Mais le prix à payer a de quoi refroidir de nombreux candidats.
Tous les six mois, c’est la même chose, la même complainte. Le changement d’heure, c’est bien connu, ça ne sert à rien, ou presque. Cette coutume, inaugurée par la France giscardienne puis généralisée à une bonne partie du monde (pardon pour eux), a démontré son manque d’efficacité par rapport à l’inconfort qu’elle provoque. Pourquoi alors ne pas tout arrêter ?

Après tout, l’Union européenne est passée près, tout près de bannir une bonne fois pour toutes cette coutume. En 2019, les députés européens avaient voté dans ce sens, mais le texte, victime collatérale de l’ouragan Covid-19, n’a finalement pas été appliqué. D’autres sont allés depuis jusqu’au bout du processus : le Mexique s’est débarrassé du changement d’heure à l’automne 2022. Et là, les vrais problèmes ont commencé.
Alertes sismiques en vacances et banques fermées
Le drame s’est ouvert dimanche 2 avril 2023, une date où, chaque année, tout le monde repasse à l’heure d’été… Sauf le Mexique donc, dont le tout dernier changement d’heure était intervenu en octobre de l’année précédente. Ce fameux dimanche de printemps, aucune montre n’aurait donc dû souffrir de la moindre perturbation, mais ça, c’était la théorie. Au petit matin, comme le rapportait le site abcnociticias, des milliers de Mexicains ont découvert que leur téléphone portable avait avancé d’une heure, au mépris de la loi mexicaine !

L’explication est tout bête : beaucoup de Mexicains ne sont pas reliés au réseau internet. Leur smartphone n’a donc pas appliqué la mise à jour. D’autres ne se sont simplement pas mis à jour comme ils auraient dû, ce fut le cas des Chromecast ou des smartwatches Fitbit par exemple. Devant l’ampleur de la grogne, Google a rapidement fourni des explications et des excuses. Cet échec aura entraîné, sans doute, de nombreux rendez-vous manqués, mais il a eu également des conséquences plus graves.

Au Mexique, le service des alertes telluriques rend un service à la valeur inestimable : c’est l’application, en lien avec les autorités mexicaines, qui avertit les citoyens d’une région qu’ils s’apprêtent à être touchés par un tremblement. L’appli, dénommée SASSLA, est présente sur plus de 7 millions de téléphones dans ce pays extrêmement sujet aux séismes.
Et justement le 3 avril, un séisme a secoué la ville de Mexico… alors que SASSLA donnait une heure de tremblement totalement incorrecte à de nombreux habitants. La faute, bien sûr, à la mise à jour qui ne s’était pas effectuée correctement. C’est en tout cas ce qu’affirme l’entreprise dans le tweet ci-dessus. Heureusement, le tremblement aura finalement fait plus de peur que de mal.

Comme si cela ne suffisait pas, d’autres services liés au téléphone furent aux abonnés absents dans les jours qui ont suivi le fameux 2 avril, et pas des moindres : les services de l’une des banques du pays, Bancoppel, un établissement financier qui compte 13 millions de clients dans le pays. Parmi ces utilisateurs, des milliers de malheureux ont perdu l’accès à des services de virement, consultation de compte paiement en ligne remplacés par ce triste écran :
Image
« Change l’horaire de ton téléphone » leur intimait, un peu familièrement, l’application Bancoppel, alors même que leur téléphone venait justement de le faire sans leur demander. Finalement, les uns et les autres ont fini par mettre à jour leur téléphone dans les semaines suivant le 2 avril. Alors, problème réglé ? Le Mexique, leader d’une heure qui ne change plus ? No tan rapido.
Horaire unique ? Pas vraiment, non
Au nord du Mexique, les États-Unis sont un voisin commercial inévitable. Plus encore : ils sont le principal partenaire de Mexico, lui fournissant 44 % de ses importations et le marché vers lequel le Mexique exporte 82 % de sa production. Devant une telle dépendance, depuis un décret de 1996, 31 villes frontalières sont alignées sur les fuseaux horaires nord-américains, et non mexicain. En vertu de cette exception, ces municipalités ont donc continué à changer d’heure.
Subtilité supplémentaire : depuis octobre 2022, le Mexique compte quatre fuseaux horaires différents, et non plus trois comme c’était le cas avant la fin du changement d’heure. Vous suivez ? Non ? C’est également le cas d’un certain nombre de Mexicains, pour qui le fait de ne pas avoir changé d’heure ne paraît pas avoir rendu les choses plus simples, mais plutôt les avoir compliquées.

C’est pourquoi beaucoup ont préféré rire du chaos apparent de la situation, le web mexicain s’emplissant de mèmes à la gloire du Mexique et de sa situation horaire compliquée. Bien sûr, le fait que le Mexique soit aussi étendu en longitude y est pour beaucoup, ce qui n’est pas, par exemple, le cas de la France. Si l’Hexagone appliquait le texte européen de 2019, tout devrait donc se passer sans accroc…
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Changement d’heure 2023 : ce pays a arrêté (et il a eu des problèmes)
TheHuffpost

Au Mexique, on ne change plus d’heure depuis l’automne 2022… Mais le prix à payer a de quoi refroidir de nombreux candidats.
Tous les six mois, c’est la même chose, la même complainte. Le changement d’heure, c’est bien connu, ça ne sert à rien, ou presque. Cette coutume, inaugurée par la France giscardienne puis généralisée à une bonne partie du monde (pardon pour eux), a démontré son manque d’efficacité par rapport à l’inconfort qu’elle provoque. Pourquoi alors ne pas tout arrêter ?

Après tout, l’Union européenne est passée près, tout près de bannir une bonne fois pour toutes cette coutume. En 2019, les députés européens avaient voté dans ce sens, mais le texte, victime collatérale de l’ouragan Covid-19, n’a finalement pas été appliqué. D’autres sont allés depuis jusqu’au bout du processus : le Mexique s’est débarrassé du changement d’heure à l’automne 2022. Et là, les vrais problèmes ont commencé.
Alertes sismiques en vacances et banques fermées
Le drame s’est ouvert dimanche 2 avril 2023, une date où, chaque année, tout le monde repasse à l’heure d’été… Sauf le Mexique donc, dont le tout dernier changement d’heure était intervenu en octobre de l’année précédente. Ce fameux dimanche de printemps, aucune montre n’aurait donc dû souffrir de la moindre perturbation, mais ça, c’était la théorie. Au petit matin, comme le rapportait le site abcnociticias, des milliers de Mexicains ont découvert que leur téléphone portable avait avancé d’une heure, au mépris de la loi mexicaine !

L’explication est tout bête : beaucoup de Mexicains ne sont pas reliés au réseau internet. Leur smartphone n’a donc pas appliqué la mise à jour. D’autres ne se sont simplement pas mis à jour comme ils auraient dû, ce fut le cas des Chromecast ou des smartwatches Fitbit par exemple. Devant l’ampleur de la grogne, Google a rapidement fourni des explications et des excuses. Cet échec aura entraîné, sans doute, de nombreux rendez-vous manqués, mais il a eu également des conséquences plus graves.

Au Mexique, le service des alertes telluriques rend un service à la valeur inestimable : c’est l’application, en lien avec les autorités mexicaines, qui avertit les citoyens d’une région qu’ils s’apprêtent à être touchés par un tremblement. L’appli, dénommée SASSLA, est présente sur plus de 7 millions de téléphones dans ce pays extrêmement sujet aux séismes.
Et justement le 3 avril, un séisme a secoué la ville de Mexico… alors que SASSLA donnait une heure de tremblement totalement incorrecte à de nombreux habitants. La faute, bien sûr, à la mise à jour qui ne s’était pas effectuée correctement. C’est en tout cas ce qu’affirme l’entreprise dans le tweet ci-dessus. Heureusement, le tremblement aura finalement fait plus de peur que de mal.

Comme si cela ne suffisait pas, d’autres services liés au téléphone furent aux abonnés absents dans les jours qui ont suivi le fameux 2 avril, et pas des moindres : les services de l’une des banques du pays, Bancoppel, un établissement financier qui compte 13 millions de clients dans le pays. Parmi ces utilisateurs, des milliers de malheureux ont perdu l’accès à des services de virement, consultation de compte paiement en ligne remplacés par ce triste écran :
Image
« Change l’horaire de ton téléphone » leur intimait, un peu familièrement, l’application Bancoppel, alors même que leur téléphone venait justement de le faire sans leur demander. Finalement, les uns et les autres ont fini par mettre à jour leur téléphone dans les semaines suivant le 2 avril. Alors, problème réglé ? Le Mexique, leader d’une heure qui ne change plus ? No tan rapido.
Horaire unique ? Pas vraiment, non
Au nord du Mexique, les États-Unis sont un voisin commercial inévitable. Plus encore : ils sont le principal partenaire de Mexico, lui fournissant 44 % de ses importations et le marché vers lequel le Mexique exporte 82 % de sa production. Devant une telle dépendance, depuis un décret de 1996, 31 villes frontalières sont alignées sur les fuseaux horaires nord-américains, et non mexicain. En vertu de cette exception, ces municipalités ont donc continué à changer d’heure.
Subtilité supplémentaire : depuis octobre 2022, le Mexique compte quatre fuseaux horaires différents, et non plus trois comme c’était le cas avant la fin du changement d’heure. Vous suivez ? Non ? C’est également le cas d’un certain nombre de Mexicains, pour qui le fait de ne pas avoir changé d’heure ne paraît pas avoir rendu les choses plus simples, mais plutôt les avoir compliquées.

C’est pourquoi beaucoup ont préféré rire du chaos apparent de la situation, le web mexicain s’emplissant de mèmes à la gloire du Mexique et de sa situation horaire compliquée. Bien sûr, le fait que le Mexique soit aussi étendu en longitude y est pour beaucoup, ce qui n’est pas, par exemple, le cas de la France. Si l’Hexagone appliquait le texte européen de 2019, tout devrait donc se passer sans accroc…
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Devenez propriétaire d'un restaurant pour 50 euros
RTL
Près de Pau, tentez de gagner une brasserie pour seulement 50 euros. Il vous reste un mois pour devenir l'heureux élu.
Vous avez toujours rêvé d'enfiler le tablier, de faire couler le café ou de servir des bières. Problème, vous n'avez pas les fonds nécessaires pour acheter une brasserie. À Uzos, près de Pau (Pyrénées-Atlantiques), c'est maintenant possible. Contre 50 euros, offrez-vous une action du Pare-Faim (le nom du restaurant) et tentez de remporter les clés de cette affaire.
À l'image d'une kermesse ou d'une tombola géante, il suffit de vous inscrire sur le site du restaurant. De débourser 50 euros. Puis de croiser les doigts et espérer avoir le ticket gagnant. À un mois du délibéré, plus de 1600 tickets ont déjà été vendus sur les 3000 mis en vente. La somme totale, soit 150.000 euros sera reversée à Carey et Vincent, le couple de propriétaires.

Une loterie géante encadrée et légale
Pour participer, il faut néanmoins cocher quelques critères : avoir plus de 18 ans, ne pas avoir de casier judiciaire et de dossier à la Banque de France. Si vous êtes la personne sélectionnée, il faudra passer la formation Licence 4 afin de pouvoir vendre de l'alcool.

Seule solution pour trouver des acquéreurs
Installés depuis plus de dix ans, Carey et Vincent rêvent de s'occuper de leurs petits enfants, de prendre du temps pour eux. Alors en 2021, ils ont décidé de mettre en vente leur affaire. Seulement, aucun acheteur de sérieux n'a répondu à l'appel. Le mari et la femme ont donc décidé de procéder à une loterie qui leur permet de rentrer dans leurs frais.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

« Le goût est dans le gras »… Les Suisses triomphent au premier Championnat du monde de la raclette
FONDUS DE FROMAGE La compétition réunissait des producteurs venus de Suisse, de France, mais aussi de Belgique, d’Italie ou du Canada

20 Minutes
Le plat a beau être l’un des plus populaires dans l’Hexagone, la France peut aller se rhabiller. Ce week-end, les effluves de fromage fondu ont enveloppé Morgins, un village du Valais (Suisse) qui se targue d’être le berceau de la raclette. C’est dans ce décor alpin qu’ont été organisés les premiers Championnats du monde de raclette. Et l’étonnante compétition s’est achevée dimanche sur un triomphe quasi total du savoir-faire suisse.

La raclette, qui incarne la Suisse au même titre que la fondue, le chocolat et les banques, est né il y a plusieurs siècles quand les bergers chauffaient le fromage près d’un feu de bois et en raclaient la partie fondue pour se sustenter. Mais jamais depuis tout ce temps, producteurs, experts et restaurateurs ne s’étaient réunis sous un même toit pour désigner la meilleure raclette du monde.

Près de 90 producteurs de fromages à raclette avaient fait le déplacement. « Tous ces gens sont de petits producteurs qui montent avec leurs vaches sur les alpages au début de l’été », a expliqué Henri-Pierre Galletti, un des fondateurs de l’événement. « Pour eux c’est une manière de valoriser leur travail, qui est un travail dur mais qui est tellement beau », s’est-il extasié. Morgins, niché à plus de 1.300 mètres d’altitude dans une vallée boisée non loin de la frontière française, a également accueilli près de 10.000 amateurs de raclette venus assister au concours.
Les juges enchaînent jusqu’à 15 fromages
Ce samedi, dans la cuisine de la salle des fêtes du village, des demi-meules de fromage sont posées sous des grils à raclette électriques. Le temps de cuisson varie en fonction fromage et se détermine à vue. A l’apparition des premières bulles, mais avant qu’il ne brunisse, le fromage est raclé et servi aux jurés. « Le goût est dans le gras », explique l’un des « racleurs », Jean-Michel Dubosson, tout en grattant une autre portion avec le dos de son couteau. « C’est surtout important de ne pas le chauffer trop vite. »

Tandis que la cuisine s’anime, un silence respectueux règne dans la salle où les juges enroulent le fromage autour de la fourchette d’un habile coup de poignet avant de le goûter. « Nous, on cherche une raclette qui est crémeuse, onctueuse, a un bel aspect, une belle couleur », explique Eddy Baillifard. Et « le pape de la raclette » poursuit : « Au niveau du goût, une belle texture, pas de fil, pas de corde, pas de gomme ».

Les juges dégustent un maximum de 15 fromages par séance, avant que leurs sens ne soient submergés. Le thé noir chaud ou des tranches de pommes permettent de se rafraîchir le palais et de recommencer. .

Médaille d’argent tricolore
Il y avait trois catégories : la raclette au lait cru d’alpage, la raclette au lait cru et la catégorie autres fromages à raclette. Tous les prix ont été remportés par des Helvètes à l’exception de l’EARL Les Noisetiers, venue de France voisine, de Leschaux en Haute-Savoie. Les Français se sont arrogé la médaille d’argent dans la catégorie reine du lait cru d’alpage.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Une œuvre servant de cale-porte pourrait rapporter 2,8 millions d’euros à une ville d’Écosse
Un buste de Sir John Gordon, réalisé par le sculpteur français Edme Bouchardon, cristallise un débat entre la municipalité écossaise d’Invergordon et des historiens du pays. Acquise pour presque rien en 1931, l’œuvre d’art pourrait valoir aujourd’hui près de 2,8 millions d’euros mais sa vente fait polémique.

Ouest-France
La vente d’une œuvre d’art suscite des tensions dans une ville écossaise. En 1728, le sculpteur français Edme Bouchardon avait réalisé un buste en marbre à l’image de Sir John Gordon, député écossais du XVIIIe siècle et l’un des fondateurs de la ville d’Invergordon. La municipalité, qui avait acheté l’œuvre en 1931 l’avait égaré et a pu la retrouver 67 ans plus tard. Mais aujourd’hui, un acheteur étranger lui a fait une offre faramineuse pour acquérir la sculpture. La Ville d’Invergordon se dit prête à la vendre, au grand dam des historiens écossais, rapporte la BBC.
Utilisée pour maintenir une porte ouverte
À l’époque, la ville n’avait dépensé que 5 livres sterling, soit à peine 6 €, pour acheter le buste mais avait fini par le perdre, relaye le Huffington Post . L’objet a été retrouvé par hasard, en 1998, dans le hangar d’une zone industrielle. Maxine Smith, conseillère municipale qui travaillait déjà pour la Ville en ce temps-là, a expliqué à la BBC que la sculpture avait dû se perdre après la fermeture de plusieurs bâtiments municipaux. Lorsqu’il a été retrouvé, le buste « maintenait la porte ouverte » du hangar, a-t-elle ajouté. Elle n’y avait donc pas prêté attention, mais l’un de ses collègues a reconnu le fameux objet.

Le Highland Council, chargé par la Ville de s’occuper de l’œuvre, s’est récemment vu proposer plus de 2,5 millions de livres sterling (près de 2,8 millions d’euros) par un acheteur privé étranger. Une proposition accueillie favorablement par Maxine Smith qui estime que l’argent récolté pourrait être très utile à Invergordon et ses habitants. « À Invergordon, nous avons des zones défavorisées sur le plan social, mais nous n’avons pas les moyens d’investir dans quoi que ce soit », a-t-elle affirmé à la BBC.

Le patrimoine historique de l’Écosse
Mais de leur côté, les historiens estiment que la sculpture ne doit pas être vendue en raison de sa valeur historique inestimable. Le Dr Bendor Grosvenor, historien de l’art écossais, a décrit le buste d’Invergordon comme une œuvre d’art exceptionnelle provenant du plus « grand sculpteur du début du XVIIIe ». « Tout ce qu’ils veulent, c’est la vendre très cher à quelqu’un en dehors de l’Écosse, alors qu’il n’y a aucune raison qu’elle ne soit pas prêtée au musée d’Inverness, aux galeries nationales d’Écosse ou au musée national d’Écosse », a-t-il déploré.
Même son de cloche du côté de Caroline McCaffrey-Howarth, maître de conférences en histoire de l’art à l’université d’Édimbourg. Cette dernière a mis en avant l’importance de la sculpture pour l’histoire de l’Écosse. Selon elle, l’œuvre est très précieuse, car elle a été réalisée à un moment charnière de la carrière de Bouchardon, et qu’elle présente un travail de ciselage incroyablement détaillé. « Pour autant que je sache, c’est le seul Bouchardon que nous ayons en Écosse et il est important que nous ayons ce lien », a-t-elle défendu.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Une araignée retrouvée coincée dans l'oreille d'une Taïwanaise
RTL
Une femme de 64 ans a cohabité pendant 4 jours avec une araignée dans son oreille.
Une histoire digne d'un film d'horreur. À Taïwan, en octobre dernier, une femme de 64 ans a découvert qu'une araignée s'était introduite dans son oreille.
Pendant 4 jours, jour et nuit, des bruits incessants sont venus perturber le quotidien de cette Taïwanaise. Tout laissait penser à un simple acouphène. Sauf que le vrombissement était continu, et avait même tendance à s'accentuer. La femme de 64 ans n'en dormait plus. Le jour, c'est sa concentration et ses relations sociales qui en pâtissaient. Bref, le calvaire l'a poussé à consulter.

À son arrivée à la clinique, la femme de 64 ans a été prise en charge par des spécialistes. À l'aide d'un microscope, ils ont alors découvert une araignée de 3 millimètres et sa mue (un petit squelette, ndlr). Les médecins ont procédé à l'extraction de la petite bête. Grâce à un petite tube tout fin, une sorte d'aspirateur, ils ont réussi à débarrasser la Taïwanaise de ses deux petits squatteurs.
Au premier abord, on peut trouver cette histoire terrifiante, étonnante et inédite. Pourtant, 14% des corps étrangers chez l'homme sont des insectes. La petite bête à huit pattes a tout simplement confondu sa gauche et sa droite. Le spécimen pensait rentrer dans une cavité lambda, à l'image d'un rondin de bois, ou d'un trou dans une plainte. Loupé, c'était l'oreille d'un humain.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8539
Note: 372

Marre de faire des fautes ? « Madame l’orthophoniste » arrive à la rescousse sur les réseaux sociaux
OuestFrance

Depuis bientôt deux ans, Carole, orthophoniste à Rennes (Ille-et-Vilaine), propose des astuces pour aider le grand public à gommer les fautes d’orthographe les plus fréquentes. Elle vient de publier un livre répertoriant ses leçons.
Sur les réseaux sociaux, elle se fait appeler Madame l’orthophoniste. Son compte Instagram compte plus de 248 000 abonnés et son compte TikTok encore plus. Sa spécialité : aider le grand public à gommer les fautes d’orthographe les plus courantes.
Dans son cabinet d’orthophonie, situé à Rennes (Ille-et-Vilaine), Carole reçoit beaucoup de patients atteints de maladies neurodégénératives ou de troubles du langage écrits : dyslexie ou encore dysorthographie. « Je vois aussi de nombreux adultes qui n’ont pas été diagnostiqués jeunes et qui ressentent de grandes difficultés, explique-t-elle. Ils se sentent souvent libérés quand ils comprennent qu’elles ont une explication. »
« Cela ne remplacera jamais la rééducation »

En lançant d’abord son compte TikTok au début de l’année 2022, elle se rend compte que « beaucoup de personnes souffrent derrière leur écran de téléphone, à cause des fautes d’orthographe ». Elle reçoit ainsi de nombreux encouragements, jusqu’à ce que les algorithmes la repèrent et fasse décoller son activité sur les réseaux sociaux.
Elle crée ensuite son compte Instagram « Je dois avouer que cela me prend beaucoup de temps, sourit-elle. Au début, je postais quatre à cinq vidéos par semaine, en plus de mon travail. » Par ce biais, elle touche une audience beaucoup plus large. « Je fais la part des choses car, au cabinet, ce sont des personnes qui ont des troubles, commente-t-elle. Alors que sur les réseaux sociaux, pas forcément et cela ne remplacera jamais la rééducation. Mais pour les personnes qui ont des difficultés en orthographe, même si elles ne sont pas dyslexiques, cela peut être un frein pour la carrière professionnelle. »
Des conseils variés

Même si l’orthographe reste son sujet principal, elle donne aussi d’autres conseils. « Je communique par exemple sur la dyslexie, poursuit-elle. Sur le fait qu’on a le droit à des adaptations en milieu professionnel ou encore sur la prévention des écrans. C’est assez varié. »
Aujourd’hui âgée de 36 ans, elle a réduit son activité professionnelle afin de créer plus de contenus sur les réseaux sociaux. Elle a d’ailleurs écrit un livre, Madame l’orthophoniste efface toutes vos fautes d’orthographe, paru le 24 octobre 2023 aux éditions de l’Opportun.
« Je n’aborde pas les règles comme à l’école, assure-t-elle. Je n’ai pas un rôle d’enseignante, je m’appuie sur les neurosciences avec beaucoup de visuels. » Dans son ouvrage, elle tenait à ce que l’interlignage soit aéré et que la même construction avec un questionnement, une explication, un entraînement et quelques astuces. « On me dit parfois : l’orthographe, c’est élitiste. Vous n’en avez pas marre de donner des leçons ? raconte-t-elle. Moi ce qui m’importe, c’est que les gens soient plus à l’aise pour communiquer. Ce livre, il est pour tout le monde finalement. »
Image
PrécédentSuivant

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 5 invité(s)