Questions existentielles - page 294

Pour se reposer quelques minutes
yves63000 Avatar de l’utilisateur

Posts: 2879
Note: 1278

Le progrès avec tous ses risques. Il y a vingt ans elle aurait eu du mal avec son casque audio.
Candiice Avatar de l’utilisateur

Posts: 969
Note: 472

yves63000 a écrit : Le progrès avec tous ses risques. Il y a vingt ans elle aurait eu du mal avec son casque audio.



:lol: :mur:

:mrgreen:
De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. [Coluche]
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Loire-Atlantique : mystère après la découverte d'un squelette inconnu dans la tombe d'un couple
RTL
En exhumant la tombe d'un couple pour faire de la place au cimetière de Saint-Molf (Loire-Atlantique), les fossoyeurs sont tombés sur le squelette mystérieux d'une troisième personne.
Mystère au cimetière de Saint-Molf, en Loire-Atlantique. Mardi 5 septembre, une société de pompes funèbres a exhumé une tombe pour libérer de la place. Les agents s'attendaient à trouver les deux squelettes d'un couple, les époux Guilloux, enterrés depuis 1973 et 1979, sauf qu'il y avait un troisième invité. Un troisième corps aurait été déposé là, au-dessus des deux cercueils. Une énigme pour Hubert Delorme, le maire de Saint-Molf : "Le fossoyeur a commencé à creuser, et il est tombé sur un squelette, le squelette mystérieux. Il y a un squelette de trop, ça c'est sûr".
Alors, comment ce troisième corps sans cercueil a-t-il pu arriver dans cette tombe ? Forcément, dans ce petit village de 2.000 habitants, tout le monde y va de sa petite hypothèse. "Je trouve ça un peu bizarre. A priori, il n'y a pas eu de disparition dans la commune à l'époque", dit un habitant. "Ou alors, il y a eu un règlement de compte quelque part", selon un autre. Le maire est quotidiennement alpagué dans la rue pour lui parler de ce squelette mystérieux.

"'Quelqu'un s'est débarrassé de sa belle-mère'. J'ai entendu parler de Dupont de Ligonnès. Tout de suite, les imaginations galopent", raconte Hubert Delorme. Des gendarmes mènent l'enquête, des analyses doivent déterminer le sexe et l'âge des ossements. En attendant les résultats, qui prendront plusieurs mois à arriver, cette histoire de squelette mystérieux va encore faire beaucoup parler à Saint-Molf.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Un surfeur Australien écope d’une amende pour avoir surfé avec un python enroulé autour du cou
En Australie, au sud de Brisbane, un surfeur a été vu sur l’eau avec un python enroulé autour de son cou. En réaction, les autorités lui ont infligé une amende, rapporte l’AFP ce lundi 18 septembre 2023.

Ouest-France
Une scène improbable. En Australie, outre les requins, il faut désormais se méfier des serpents après qu’un surfeur a été vu sur sa planche avec un python enroulé autour du cou, ce qui lui a valu une amende de 1 400 €, rapporte l’agence France-Presse (AFP) ce lundi 18 septembre 2023. Une vidéo de ce surfeur intrépide en train de prendre des vagues sur la célèbre Gold Coast australienne, au sud de Brisbane, a suscité l’émoi.

Une amende de 1 400 €
Les autorités lui ont infligé une amende de 2 322 dollars australiens (1 400 €). Elles ont estimé qu’il avait le droit d’avoir un python tapis comme animal de compagnie mais qu’il ne peut en aucun cas l’extraire du domicile où il est enregistré et encore moins l’emmener surfer. « Pour pouvoir le sortir dans un lieu public, il faut un permis distinct », a déclaré le ministère de l’Environnement de l’État du Queensland dans un communiqué.

« Le python aurait trouvé l’eau très froide »
« Les serpents sont évidemment des animaux à sang froid et, bien qu’ils puissent nager, les reptiles évitent généralement l’eau », ajoute le ministère. « Le python aurait trouvé l’eau très froide et les seuls serpents qui devraient se trouver dans l’océan sont les serpents de mer ».

Le python tapis, une espèce que l’on trouve en Australie et en Papouasie-Nouvelle-Guinée, peut atteindre jusqu’à trois mètres de long. Non venimeux, ils s’enroulent autour de leurs proies jusqu’à ce qu’elles meurent par suffocation. Ces reptiles se nourrissent principalement d’oiseaux, de lézards et de petits mammifères.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Alphabis Avatar de l’utilisateur

Posts: 10075
Note: 3480

Alphabravo a écrit :
photos a écrit :La Joconde
Vito Franco, un professeur italien d'anatomie pathologique, affirme que Mona Lisa souffrait d'un excès de cholestérol. Ce diagnostic a été établi après un examen minutieux de son portrait. On peut apercevoir, sous l'oeil droit, une petite poche de xanthelasma, un dépot de lipide de couleur jaune orangée, ainsi que des lipomes sous-cutanés sur ses mains. Ce sont les signes d'un taux de cholestérol élevé.

Mince alors !
Et les oméga3, c'est pour les chiens ?


Cholestérol, on s'en tamponne le coquillard !
Car, si ça se trouve, l'italien anatomiste ne cause pas des spermatozoïdes increvables qui se tortillaient encore dans le vagin de la défunte.
Forcément, dans ce cas là, il ne fallait pas salir la réputation de la dame !
Dernière édition par Alphabis le 19 Sep 2023, 07:57, édité 2 fois.
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Coupe du monde de rugby : Un Sétois invente des boules de pétanque… ovales
INSOLITE C’est en assistant pour la première fois à un match de rugby à Montpellier que José Llinarès a eu l’idée de créer des boules de pétanques en forme d’olives
20Minutes
José Llinarès, ancien chef de la Criée de Sète, a eu l’idée de créer des boules de pétanque ovales en assistant, pour la première fois, à un match de rugby.
Les règles diffèrent un peu de la pétanque traditionnelle : s’il faut toujours s’approcher le plus possible du but (l’olivette !), le Jeu de la boule ovale se joue en 15 points, et les joueurs peuvent tirer d’où ils le souhaitent, le long d’une ligne.
À l’occasion de la Coupe du monde de rugby, le géant de l’agroalimentaire Andros a proposé à José Llinarès de faire découvrir ce drôle de sport aux spectateurs du Mondial. Le prochain rendez-vous, c’est le 21 septembre, sur le Vieux-Port.
Peut-être connaissez-vous les boules carrées, l’étonnante variante de la pétanque, pratiques pour tirer au fer sur des terrains en pente. Mais désormais, il existe une autre alternative aux boules traditionnelles : les boules… ovales. C’est le Sétois José Llinarès qui a imaginé, il y a deux ans, ces drôles de boules, en forme d’olives. Ce passionné de football a eu un déclic en assistant, pour la première fois de sa vie, à un match de rugby, à Montpellier (Hérault) : ce jour-là, dans les gradins, l’ancien chef de la Criée de Sète s’enthousiasme pour ce ballon ovale, qui fait courir ces grands gaillards.

« Ça m’a vraiment marqué, raconte José Llinarès à 20 Minutes. Je me suis dit : "Et si on faisait ça, aussi, pour la pétanque ?" » Cette étrange idée n’est pas restée à la buvette. Pendant des mois, José Llinarès a remué ciel et terre, pour trouver un fabricant assez culotté pour fabriquer ces boules en forme de ballons de rugby. « Ça a été un peu le chemin de croix, reconnaît le Sétois. J’ai eu un mal fou à trouver quelqu’un… »

Des boules fabriquées par l’entreprise italienne Boulenciel
C’est un ami, Alex Biancardini, qui tirera José Llinarès de cette impasse. « De mon côté, je connaissais bien Maryan Barthélémy », champion et figure de la pétanque en France, confie Alex Biancardini. « Et lui, il connaissait très bien Boulenciel », l’un des fabricants de boules de pétanque les plus en vue d’Europe. Et… Carreau ! L’entreprise italienne accepte volontiers de se lancer dans cette aventure, et propose au duo de concevoir des boules en Cuproaluminium. « Et de les faire pleines, détaille l’inventeur sétois. Car toutes les boules de pétanque, normalement, sont creuses. » La boule ovale était née.
Mais pour José Llinarès, pas question de faire de son innovation un produit lucratif. Par l’intermédiaire de l’association Les Copains d’abord, ce jeu ne sert qu’à récolter des fonds, à l’occasion de tournois organisés ici et là, pour de grandes causes, en particulier pour les femmes touchées par le cancer du sein. Quant à Alex Biancardini, il organise régulièrement des concours de boules ovales pour récolter des fonds pour les victimes de la sclérose en plaques, avec son association, Sclérose en plaques à Poussan.

La boule ovale « demande à la fois de l’adresse et de la chance »
Mais comment joue-t-on, au Jeu de la boule ovale, le nom officiel de cette étonnante discipline ? « C’est complètement différent de la pétanque traditionnelle, explique José Llinarès, qui a officiellement déposé le règlement de ce nouveau sport. D’abord, on joue en 15 points, un clin d’œil au XV de France. Ensuite, les joueurs n’ont plus les pieds tanqués dans le sol, dans un cercle précis. Ils peuvent jouer d’où ils le veulent, à condition de rester sur une ligne, de gauche à droite. Et ça, ça change tout. » Pour le reste, c’est plutôt similaire à la pétanque : l’objectif, pour les joueurs, est d’approcher leurs boules le plus possible du but. « Mais pour le Jeu de la boule ovale, ce n’est pas un cochonnet, mais une olivette, lui aussi en forme de ballon de rugby », détaille le Sétois.
On ne jette pas une boule ovale comme une boule ronde. Tout le monde ne la tient pas, d’ailleurs, de la même façon. Certains l’envoient horizontalement, d’autres la pointe en avant. Et une fois en l’air, elles sont plus capricieuses que leurs cousines rondes. « Cela demande à la fois de l’adresse et de la chance, poursuit José Llinarès. Avec une boule carrée, ce n’est que de la chance. Avec une boule ovale, c’est un mélange des deux. »

Des présentations de la boule ovale pour le Mondial de rugby
« C’est une discipline très ludique, ajoute son camarade Alex Biancardini. Pour tirer, ce n’est pas un problème. Comme pour les boules rondes ou carrées, si on touche une boule, elle s’en va. Pour pointer, en revanche, c’est différent. Mais petit à petit, on développe des techniques. » Et avec un peu d’expérience, on peut même parvenir à lui faire faire un demi-tour, grâce à sa forme ovale. Mais ça, c’est pour les cracks.
À l’occasion de la Coupe du monde de rugby, l’invention de José Llinarès a tapé dans l’œil d’Andros. Le géant français de l’agroalimentaire, partenaire officiel du Mondial, a proposé au Sétois de présenter le Jeu de la boule ovale aux spectateurs de certains matchs. Le prochain rendez-vous, c’est le 21 septembre, sur le Vieux-Port, à Marseille (Bouches-du-Rhône), à l’occasion de France-Namibie. « Mais ce que l’on veut surtout, c’est montrer que l’intérêt de la boule ovale, c’est de récolter des fonds pour des associations », note José Llinarès. Il serait toutefois heureux que la discipline qu’il a imaginée devienne, un jour, aussi populaire que la pétanque traditionnelle. Ou même le football. « Il y a la FIFA, alors pourquoi la FIBO, la Fédération internationale de la boule ovale ? », se marre-t-il.
Image
Candiice Avatar de l’utilisateur

Posts: 969
Note: 472

Chépa ? Ça risque de les faire rire à Marseille ::D:
De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. [Coluche]
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

L’histoire du faux « trou de météorite » qui a fait le buzz et s’est révélé être une blague
OuestFrance

Une chaîne de télévision irlandaise diffuse un reportage sur un « cratère mystérieux » découvert sur une plage près de Dublin, suggérant qu’il pourrait être le signe « d’un évènement cosmique ». Mais cette découverte s’est vite révélée être fausse, déclenchant la risée des réseaux sociaux.
C’est ce qu’on appelle tomber dans le panneau. Une chaîne de télévision irlandaise, Virgin Media News, a récemment fait parler d’elle à propos d’un reportage diffusé le mercredi 13 septembre 2023 – et non le 1er avril ! – et qui s’est révélé être en réalité une belle blague déclenchant une salve de réactions amusées sur les réseaux sociaux, comme le rapporte le magazine Géo . Le reportage, qui dure une minute et trente secondes, est tourné sur une plage de la ville de Portmarnock, en Irlande. Un trou circulaire, qui s’ouvre dans le sable, est au centre de sujet. Ce dernier est présenté comme… un cratère de météorite qui serait tombée du ciel cette plage irlandaise. Le média relaie très sérieusement l’information. Étonnant.
« Un énorme et mystérieux cratère, qui ne semble pas appartenir à ce monde »

« C’est un énorme et mystérieux cratère, qui ne semble pas appartenir à ce monde », entame très sérieusement la journaliste, Hanna Murphy, dans le reportage. Un astronome amateur, pour le coup, très amateur, un certain Dave Kennedy, y explique qu’un bout de roche noire, trouvé à proximité, ressemble à une petite météorite qui aurait traversé l’atmosphère pour atterrir sur cette plage. Il dit qu’il n’en sait pas plus, mais il semble bien décidé à faire analyser le caillou.

Des passants s’arrêtent, « espérant que ce dont ils sont les témoins est le résultat d’un événement cosmique qui n’arrive qu’une fois dans une vie », souligne la journaliste dans son commentaire. Les passants se disent « surpris » par la taille de ce trou, ils le trouvent « spectaculaire ».
Un trou creusé dans le sable

Sont-ils aussi dupes que la journaliste ou font-ils aussi partie du canular ? Toujours est-il que ce reportage est très vite démonté… Dans un tweet largement partagé sur le réseau social X (ex-Twitter) d’un internaute suivi par plus de 8 000 personnes, un certain Spochadóir, le voile est levé sur ce « mystère ». Dans une courte vidéo, deux hommes, casquette sur la tête, creusent un trou dans le sable, avec une pelle en plastique verte d’enfant… Et évidemment, rien de cosmique là-dedans.

« Ce trou les gars, je suis plié. Virgin Media News fait état d’un trou sur la plage de Portmarnnock qui “pourrait être la conséquence d’un événement cosmique”. Des gars l’ont littéralement creusé la veille avec une pelle d’enfant », écrit cet internaute
Et de s’amuser en renchérissant dans un autre message sur Twitter, accompagné, cette fois, de la photo d’un château de sable : « Salut@VirginMediaNews. J’ai découvert cette petite fortification à Galway et je pense qu’elle a peut-être été construite par une sorte d’espèce humanoïde miniature hyperintelligente. Peut-être de l’espace en raison de leur technologie de construction avancée. Veuillez envoyer Richard Chambers (un présentateur de la chaîne) et une équipe de tournage complète », ironise-t-il.
Le lendemain, la chaîne Virgin Media, penaude, a réagi, rapportant que ce soi-disant « mystère » avait été résolu, « ébranlant les espoirs d’un passionné de l’espace », rapporte le quotidien américain The New York Post . « Des images ont été diffusées hier soir de deux hommes creusant un trou sur la plage de Portmarnock », a déclaré le présentateur diffusant la vidéo des deux hommes creusant dans le sable.
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Lécher des cailloux, l'activité sexuelle des anchois... Ces recherches scientifiques récompensées aux anti-Nobel
RTL
La 23e cérémonie des Ig-Nobel aux États Unis qui a récompensé dix lauréats, amuse les internautes depuis ce week-end.
Lécher des cailloux quand on est géologue, répéter un mot jusqu'à en perdre le sens... Voici quelques exemples des "recherches" récompensées par les anti-Nobel 2023. Cette compétition, baptisée Ig-Nobel, récompense "des accomplissements qui font d'abord rire les gens, puis les font réfléchir". Des lauréats des vrais prix Nobel, certains coiffés de chapeaux extravagants, ont décerné les Ig-Nobel, assortis de récompenses de dix milliards de milliards de dollars zimbabwéens. Soit une valeur proche de zéro compte tenu de l'inflation astronomique de ce pays africain. Le magazine scientifique humoristique Les Annales de la recherche improbable (Annals of Improbable Research) a présenté les dix lauréats.
Le prix de chimie et géologie est allé à Jan Zalasiewicz, géologue à l'Université de Leicester (Angleterre), "pour avoir expliqué pourquoi de nombreux scientifiques aiment lécher des cailloux". Le lauréat a expliqué avoir écrit son étude intitulée "Manger des fossiles" après s'être rendu compte que "des géologues du XVIIIe siècle utilisaient le goût des cailloux pour mieux les identifier".

Répéter des mots à l'infini
En littérature, une équipe internationale a été récompensée "pour l'étude des sensations éprouvées par des gens répétant un même mot beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de fois". Avec la conclusion que cette répétition rendait singulier quelque chose de familier, et permettait d'atteindre ainsi un état de "jamais vu", et non pas de "déjà-vu".

Réanimer des araignées en robot
Pour le prix d'ingénierie mécanique, une équipe américaine a "réanimé" des tarentules mortes pour utiliser leurs pattes comme des pinces. Avec une vidéo à l'appui montrant des araignées bien mortes dont les pattes s'ouvraient avant de saisir un petit objet. Le travail de "nécrobotique" consiste à utiliser des parties d'animaux dans des robots, ont expliqué les chercheurs de l'Université de Rice, à Houston (États-Unis).

Parleurs en verlan
L'Ig-Nobel de communication est allé à la recherche sur les personnes capables de parler rapidement à l'envers. Les récipiendaires ont accepté leur prix en verlan. L'économiste Esther Duflo, lauréate du (vrai) Nobel d'économie, a suggéré que les chercheurs se penchent sur cette pratique très répandue en France.

Pilosité cadavérique
En médecine, des chercheurs ont été distingués pour l'étude sur le nombre de poils dans les narines sur des cadavres. Les chiffres varient bien d'un décédé à l'autre, mais en moyenne la narine de gauche abrite 120 poils contre 112 pour celle de droite.

Un goût électrique
Les Japonais Hiromi Nakamura et Homei Miyashita se sont illustrés dans la catégorie Nutrition grâce au développement de baguettes et pailles électrifiées qui rehaussent le goût des aliments et boissons. "Cela permet d'augmenter le caractère salé de la nourriture", a déclaré Homei Miyashita lors de la cérémonie de remise des prix.

L'ennui qui ennuie
Les enseignants auront prêté une attention particulière au prix d'Éducation attribué à des chercheurs étudiant l'effet qu'ils peuvent avoir sur leurs étudiants s'ils ont l'air de s'ennuyer. "Nous avons découvert que si les étudiants pensaient que leurs profs s'ennuyaient en donnant leurs cours, alors ils s'ennuyaient encore plus", a annoncé sur un ton fatigué le lauréat Christian Chan.

Cou tourdu
Combien de passants dans une rue vont lever la tête s'ils voient d'autres personnes tordre le cou pour regarder vers le ciel ? C'est l'objet d'une étude de chercheurs américains qui ont remporté le Ig-Nobel de psychologie. Conclusion : plus il y a de gens regardant en l'air, plus nombreux sont les passants qui les imitent.

Sexe et anchois
Le Ig-Nobel de physique a récompensé des travaux cherchant à mesurer si "le mélange des eaux océaniques est affecté par l'activité sexuelle des anchois". "Je crois qu'il y a un consensus sur le fait que ça n'a pas d'importance", a regretté Bieito Fernandez Castro, l'un des lauréats. Les vrais Nobel seront décernés en octobre.
Image
morticia Avatar de l’utilisateur

Posts: 12291
Note: 3713

:mrgreen: :rolleyes:
(img)xxxxx(/img)
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Ce pays organise un concours de flemme, les quatre finalistes sont couchés depuis 800 heures
OuestFrance

Brezna, un petit village du Monténégro, organise un concours de… flemme. Celui ou celle qui restera allongé le plus longtemps remportera 1 000 €. Jeudi 21 septembre 2023, au 34e jour du concours, les quatre finalistes étaient couchés depuis plus de 800 heures. Bien loin du précédent record qui est de 117 heures, soit cinq jours.
Quatre matelas posés au sol, quelques valises, des claquettes… et 1 000 € pour celui ou celle qui restera allongé le plus longtemps : bienvenue au concours de flemme organisé dans un petit village du Monténégro, où depuis plus de 800 heures, les quatre finalistes sont couchés.
« Je suis ici depuis 34 jours. Je me lèverai quand je m’ennuierai – je ne sais pas trop quand ça va arriver, explique Lidija Markovic. Ce n’est pas si facile de rester couchée », ajoute quand même cette jeune esthéticienne. « C’est difficile mentalement. Nous avions avec nous trois psychologues qui n’ont pas pu tenir. »
Dernier record de 117 heures

Depuis plus d’un mois, comme ses trois derniers compagnons d’oisiveté, elle participe au concours « izlezavanje » – « rester allongé longtemps », organisé pour la douzième fois par le village touristique de Brezna.

À l’origine de la compétition, explique le propriétaire des lieux, Radonja Blagojevic, « la blague selon laquelle les Monténégrins sont flemmards. L’idée était donc de créer une compétition qui n’existe nulle part ailleurs que chez nous ». Parmi les vingt et un candidats du départ, des Monténégrins, mais aussi des Russes, des Ukrainiens et des Serbes, ajoute-t-il.

Cette année, il est impressionné par ses candidats : ils sont en train de piétiner le dernier record qui était de 117 heures, soit cinq jours.

Lire aussi : Ils s’entraînent dur pour un championnat du monde équestre… sans cheval

« Je suis fière de moi de tenir bon »

Depuis leur lit, Lidija, 23 ans, Jovan, 33 ans, Filip, 23 ans, et Gordana, 36 ans, espèrent remporter les 1 000 € promis au vainqueur. Quitte à faire attendre encore famille, travail ou études.
Tous avaient comme principale motivation l’argent, mais l’appât du gain a cédé la place à l’envie de dépasser ses limites.

« Je suis fière de moi de tenir bon. Je suis bien ici, je suis également fière de ma famille qui me soutient, de mon mari qui est avec les enfants depuis un mois. Il me dit : “Tu es en vacances, allonge-toi et profite en bien” ! » raconte Gordana Filipovic, qui travaille dans un restaurant non loin.

Leur persévérance leur a valu le soutien de leurs amis et familles, mais aussi un joli succès sur les réseaux sociaux. Ils ont d’ailleurs le droit de garder leurs téléphones ou tablettes avec eux au lit – comme de lire des livres ou de recevoir des visites.

Lire aussi : Tongs, menhirs, bouses de vache… Connaissez-vous ces dix concours de lancers insolites ?

Gare à celui qui se lève ou s’assoit

S’assoir ou se lever, par contre, valent élimination. À l’exception des pauses de 15 minutes accordées toutes les 8 heures – une nouveauté dans le règlement : les pauses étaient plus courtes, voire inexistantes, lors des éditions précédentes.

Jovan Crncanin, 33 ans, est venu de Serbie pour la seconde fois. Attiré par le prix, il a depuis trouvé dans son lit une certaine philosophie de la paresse. « Je me dis que si je peux ici, avec la force d’esprit, arriver à la fin, alors je pourrai transposer ça dans la vraie vie, pour affronter des problèmes et des situations plus sérieuses. »
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

Var : des promeneurs découvrent 400.000 euros en promenant leur chien à Valcros
RTL
À Valcros, dans le Var, des promeneurs sont tombés sur un sac rempli de billets en mai 2021. Après les avoir rendus à la gendarmerie, ils pourront toucher la moitié du montant découvert.
Dans le Var, deux couples promenaient un chien quand ils sont tombés sur un sac contenant quatre liasses de 500 billets de 200 euros, en mai 2021, dans les hauteurs de Valcros, à La Londe, comme révélé par Nice-Matin.
Pendant leur promenade, le chien a gratté une boîte métallique cachée dans un sac-poubelle à moitié enterré au bord de la piste en terre. Cette boîte aurait été mise en évidence par des intempéries avant la trouvaille des promeneurs. Ainsi, ces derniers ont décidé de ramener le butin à la gendarmerie de la commune le lendemain.

L'Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC) s'est alors occupée du trésor, tandis qu'une enquête a été ouverte pour déterminer l'origine du pactole, et savoir s'il était bien conforme à la loi.
Après avoir mené l'enquête, la gendarmerie n'a rien trouvé de convaincant. Les résultats du laboratoire n'ont pas révélé d'où venait l'argent, ce qui a entraîné la fin des investigations. Le dossier a été classé par le procureur de la République de Toulon le 7 juin, aucun caractère délictueux ou illicite n'ayant été décelé.

Les chanceux vont-ils toucher la somme qu'ils ont découverte ?
Les découvreurs ont demandé par un courrier adressé au maire, le 11 août, à toucher la somme dans son intégralité. Une demande qui n'a pas pu aboutir en raison de la loi, claire à ce sujet : l'article 716 du Code civil prévoit que les fonds découverts sont séparés en deux pour les promeneurs et pour le propriétaire du terrain.

Dans ce cas, la Ville de La Londe, propriétaire du terrain, récupère 200.000 euros, et les randonneurs récoltent les autres 200.000 euros, ces derniers n'ayant pas pu justifier le "motif d'intérêt général susceptible de faire renoncer la commune à sa part". Une répartition justifiée par le maire de la ville : "Ces découvreurs ont fait preuve d’honnêteté, c’est tout à leur honneur, mais il s’agit de deniers qui sont devenus publics de par la découverte, a expliqué François de Canson".
Image
photos Avatar de l’utilisateur

Posts: 8295
Note: 330

PrécédentSuivant

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 10 invité(s)