Barcelone : déguisé en Spiderman, il attrape les voleurs, aide les SDF et offre des jouets aux enfants
LaDepeche
Depuis plusieurs mois, dans les rues de Barcelone, un homme déguisé en Spiderman offre des jouets aux enfants, rattrape les voleurs à l’arrachée, nourrit les chats abandonnés et apporte du réconfort aux SDF. Personne ne sait qui est ce Bon Samaritain, qui veut rester anonyme.
L’homme-araignée a fait sa première apparition dans les rues de Barcelone à Noël dernier en distribuant des jouets aux enfants. Au début, les passants ont cru à une “performance”. Mais l’homme déguisé en Spiderman est toujours là. Il a même pris goût à ce rôle de Bon Samaritain anonyme. Il s’est fait justicier et a couru derrière les voleurs à l’arrachée du vieux quartier. Il donne à manger aux chats abandonnés, fait la causette et apporte le petit-déjeuner aux sans-logis couchés entre leurs cartons, comme le raconte L'Indépendant.
"Spidey BCN" -c’est le surnom qu’il s’est donné sur son site internet- se raconte dans son "Peter Parker Diary": “J’ai toujours ressenti le besoin de faire le bien...” Il assure que dans sa famille on pratique beaucoup l’entraide. Lui-même, qui pourtant ne gagne pas beaucoup vu qu’il travaille dans la restauration rapide, donne de l’argent à sa mère. En tout cas, il aime le fait d’aider autrui : “Grâce à Spiderman j’ai plus confiance en moi-même et j’accorde plus de valeur à ma vie.”
Il a peur que ses amis se moquent de lui
Il n’est pas particulièrement fan du super-héros de bande dessinée créé par Stan Lee. Il a surtout vu les films de Spiderman de Sam Raimi quand il était gosse. Il a aussi fréquenté le salon de la BD de Barcelone. Mais c’est en devisant avec le gars qui lui a vendu le déguisement pour 50 euros qu’il a eu une “révélation” : utiliser son costume de Spiderman pour faire le bien. Le dénuement des sans-logis le révolte: “J’enrage de voir jetés dans la rue ces vieilles dames et ces vieux messieurs, des vagabonds qui n’ont pas eu de chance dans leur vie, à moitié morts, souffrant du froid et de la faim...”
Il se demande d’ailleurs, pourquoi, ceux qui ont de l’argent ne sont pas plus généreux. Le Spiderman barcelonais, en tout cas, veut rester anonyme, tout en prenant des photos de ce qu’il voit et de ce qu’il fait sous son masque parce que, dit-il,"c’est une action en solitaire” qu’il ne peut guère "partager avec ses copains”, qui , pense-t-il, “se moqueraient lui !”
Questions existentielles - page 203
70 % des Français se trouvent drôles (et ce n'est pas une blague)
Ladepeche
Les deux tiers des Français se trouvent drôles selon un sondage qui paraît ce mardi. Les hommes et les Parisiens pensent être les plus drôle d'après l'enquête.
N'y voyez aucun trait d'humour, c'est même très sérieux. Un sondage a interrogé les Français pour savoir s'ils se trouvaient drôles. En ces temps moroses de manifestations, de violences, de quotidien difficile, le résultat est sans appel : 70 % des Français ont le sentiment d'être drôles, d'après un sondage YouGov.
Dans le détail, 74 % des hommes et 65 % des femmes pensent être drôles. 30 % des 18-24 ans et 8 % des plus de 55 ans n'ont pas peur de dire qu'ils sont même très drôles. Qui sont les plus tordants ? Vous allez rire : les Parisiens. En tout cas 76 % des personnes interrogées en Ile-de-France pensent faire rire. A l'inverse, dans le Sud-Est on ne trouve "que" 65 % de petits plaisantins. De manière générale, 73 % des Français affirment aimer faire des blagues à leur entourage. Ils étaient 23 % à le faire le 1er avril. Attention toutefois : avoir le sens de l'humour ne signifie pas forcément être drôle.
Les Français aiment rire
Une précédente étude parue en 2016 dévoilait que 8 Français sur 10 rient tous les jours dont 52 % plusieurs fois par jour. Au bureau, entre amis ou en famille.
Quand on leur demande de citer leurs humoristes préférés, les Françaises et les Français citent Coluche, Laurent Gerra et Raymond Devos chez les hommes ; Florence Foresti, Anne Roumanoff et Muriel Robin chez les femmes. Et quand on demande aux Français de citer leur comédie préférée, ils plebiscitent le mythique "Dîner de cons" avec Jacques Villeret, Daniel Prévost, Thierry Lhermitte et Francis Huster.
Parce que rire est bon pour notre humeur (et notre humour), de nombreuses écoles ou clubs du rire ont vu le jour depuis de longues années. Dans la région, on en trouve à Toulouse, Revel et Pinsaguel en Haute-Garonne, Tarbes, Albi, Castres, Salles-la-Source dans l'Aveyron, Lavercantière dans le Lot, Mirepoix et au Fossat en Ariège, Puichéric et Narbonne dans l'Aude.
Rire, ça fait du bien, c'est bien connu et c'est gratuit. Comme le disait Raymond Devos, "qui prête à rire n'est jamais sûr d'être remboursé".
Enquête Omnibus réalisée du 27 au 28 mars 2019 auprès de 1008 personnes représentatives de la population française, selon la méthode des quotas.
Ladepeche
Les deux tiers des Français se trouvent drôles selon un sondage qui paraît ce mardi. Les hommes et les Parisiens pensent être les plus drôle d'après l'enquête.
N'y voyez aucun trait d'humour, c'est même très sérieux. Un sondage a interrogé les Français pour savoir s'ils se trouvaient drôles. En ces temps moroses de manifestations, de violences, de quotidien difficile, le résultat est sans appel : 70 % des Français ont le sentiment d'être drôles, d'après un sondage YouGov.
Dans le détail, 74 % des hommes et 65 % des femmes pensent être drôles. 30 % des 18-24 ans et 8 % des plus de 55 ans n'ont pas peur de dire qu'ils sont même très drôles. Qui sont les plus tordants ? Vous allez rire : les Parisiens. En tout cas 76 % des personnes interrogées en Ile-de-France pensent faire rire. A l'inverse, dans le Sud-Est on ne trouve "que" 65 % de petits plaisantins. De manière générale, 73 % des Français affirment aimer faire des blagues à leur entourage. Ils étaient 23 % à le faire le 1er avril. Attention toutefois : avoir le sens de l'humour ne signifie pas forcément être drôle.
Les Français aiment rire
Une précédente étude parue en 2016 dévoilait que 8 Français sur 10 rient tous les jours dont 52 % plusieurs fois par jour. Au bureau, entre amis ou en famille.
Quand on leur demande de citer leurs humoristes préférés, les Françaises et les Français citent Coluche, Laurent Gerra et Raymond Devos chez les hommes ; Florence Foresti, Anne Roumanoff et Muriel Robin chez les femmes. Et quand on demande aux Français de citer leur comédie préférée, ils plebiscitent le mythique "Dîner de cons" avec Jacques Villeret, Daniel Prévost, Thierry Lhermitte et Francis Huster.
Parce que rire est bon pour notre humeur (et notre humour), de nombreuses écoles ou clubs du rire ont vu le jour depuis de longues années. Dans la région, on en trouve à Toulouse, Revel et Pinsaguel en Haute-Garonne, Tarbes, Albi, Castres, Salles-la-Source dans l'Aveyron, Lavercantière dans le Lot, Mirepoix et au Fossat en Ariège, Puichéric et Narbonne dans l'Aude.
Rire, ça fait du bien, c'est bien connu et c'est gratuit. Comme le disait Raymond Devos, "qui prête à rire n'est jamais sûr d'être remboursé".
Enquête Omnibus réalisée du 27 au 28 mars 2019 auprès de 1008 personnes représentatives de la population française, selon la méthode des quotas.
ColouriseSG: Cette appli rend des couleurs à vos photos en noir et blanc grâce à l'IA
ALGORITHME L’outil mis au point par des chercheurs singapouriens colorise gratuitement vos clichés en quelques instants
20 Minutes avec agence
Coloriser une photo en noir et blanc n’est pas chose aisée. Pour faciliter la tâche aux profanes, des chercheurs basés à Singapour ont mis au point l’application ColouriseSG, qui permet de coloriser une vieille photo en noir et blanc, rapporte Futura Sciences.
Grâce à l’intelligence artificielle (IA), combinant algorithmes et deep learning, l’outil ne rend pas les couleurs d’origine à la photo mais offre un résultat cohérent selon le modèle soumis. L’objectif est de « générer une image avec des couleurs plausibles », explique Preston Lim au Siècle Digital.
Mieux vaut des images de qualité
Pour développer l’application, l’IA a été entraînée avec 500.000 photos provenant des Archives nationales de Singapour. Sur le site Internet de ColouriseSG, on peut soumettre gratuitement une image en noir et blanc à coloriser.
Les chercheurs à l’origine du projet admettent que l’outil fonctionne mieux avec certaines images. Ainsi, on met plus de chances de son côté si l’on envoie des photos en haute résolution sur lesquelles on distingue des personnes ou des paysages de nature. Bon à savoir : les images soumises par les internautes ne sont pas stockées sur les serveurs de l’entreprise, un point rassurant pour le respect de la vie privée.
ALGORITHME L’outil mis au point par des chercheurs singapouriens colorise gratuitement vos clichés en quelques instants
20 Minutes avec agence
Coloriser une photo en noir et blanc n’est pas chose aisée. Pour faciliter la tâche aux profanes, des chercheurs basés à Singapour ont mis au point l’application ColouriseSG, qui permet de coloriser une vieille photo en noir et blanc, rapporte Futura Sciences.
Grâce à l’intelligence artificielle (IA), combinant algorithmes et deep learning, l’outil ne rend pas les couleurs d’origine à la photo mais offre un résultat cohérent selon le modèle soumis. L’objectif est de « générer une image avec des couleurs plausibles », explique Preston Lim au Siècle Digital.
Mieux vaut des images de qualité
Pour développer l’application, l’IA a été entraînée avec 500.000 photos provenant des Archives nationales de Singapour. Sur le site Internet de ColouriseSG, on peut soumettre gratuitement une image en noir et blanc à coloriser.
Les chercheurs à l’origine du projet admettent que l’outil fonctionne mieux avec certaines images. Ainsi, on met plus de chances de son côté si l’on envoie des photos en haute résolution sur lesquelles on distingue des personnes ou des paysages de nature. Bon à savoir : les images soumises par les internautes ne sont pas stockées sur les serveurs de l’entreprise, un point rassurant pour le respect de la vie privée.
Pétanque: la pyrale du buis menace les cochonnets
LaDepeche
Dans le Jura, la seule entreprise qui fabrique et fournit l'ensemble des cochonnets vendus en France, voit son exploitation menacée par la pyrale du buis, cette chenille qui s'attaque à sa forêt.
La prolifération annoncée de la pyrale du buis, chenille qui dévore les feuilles des arbres dont son nom est tiré, risque de continuer à faire des ravages dans le pays. Parfaitement adaptée à notre climat et sans prédateur connu à ce jour, elle se déploie sur le territoire et notamment dans le Jura, dans la forêt qui sert de vivier à la tournerie Monneret.
Cette entreprise familiale basée à Jeurre, produit environ 1 million de cochonnets, outil indispensable aux joueurs de pétanque. Elle fournit la majorité des grandes marques de cette discipline si appréciée des Français, ainsi que les compétitions officielles et la fédération française
En détruisant les buis, les chenilles privent le fabricant de sa matière première. Son patron, Jean-Yves Monnoret, se veut pescimiste : "Il n'y aura plus de buis en France d'ici cinq ou sept ans", assure-t-il. Il envisage ainsi d'importer ce bois si précieux pour lui depuis d'autres pays pour ne pas se retrouver en éventuelle pénurie dans les dix prochaines années.
LaDepeche
Dans le Jura, la seule entreprise qui fabrique et fournit l'ensemble des cochonnets vendus en France, voit son exploitation menacée par la pyrale du buis, cette chenille qui s'attaque à sa forêt.
La prolifération annoncée de la pyrale du buis, chenille qui dévore les feuilles des arbres dont son nom est tiré, risque de continuer à faire des ravages dans le pays. Parfaitement adaptée à notre climat et sans prédateur connu à ce jour, elle se déploie sur le territoire et notamment dans le Jura, dans la forêt qui sert de vivier à la tournerie Monneret.
Cette entreprise familiale basée à Jeurre, produit environ 1 million de cochonnets, outil indispensable aux joueurs de pétanque. Elle fournit la majorité des grandes marques de cette discipline si appréciée des Français, ainsi que les compétitions officielles et la fédération française
En détruisant les buis, les chenilles privent le fabricant de sa matière première. Son patron, Jean-Yves Monnoret, se veut pescimiste : "Il n'y aura plus de buis en France d'ici cinq ou sept ans", assure-t-il. Il envisage ainsi d'importer ce bois si précieux pour lui depuis d'autres pays pour ne pas se retrouver en éventuelle pénurie dans les dix prochaines années.
Nantes accueille une étape du mondial de cheval... à deux pattes!
EVENEMENT Une quinzaine d'équipes participent à l'événement, organisé ce week-end à la Foire de Nantes
Julie Urbach LaDepeche
Le cheval à deux pattes se pratique déguisé, un bâton entre les jambes, et avec une bonne dose d’autodérison.
Après une première édition l'an dernier, le championnat du monde revient avec une première étape, samedi à Nantes.
La plupart des participants viendront équipés de bottes et d’une bombe, et il faut d’ailleurs les appeler « cavaliers ». Pourtant, l’épreuve d’équitation qui se déroulera samedi dès 14h au parc des expositions de Nantes sort franchement de l’ordinaire. Inutile de chercher un double-poney à la Foire de Nantes, qui reçoit l’événement : le cheval à deux pattes se pratique déguisé, un bâton entre les jambes, et avec une bonne dose d’autodérision.
Apparue en France l’an dernier, ce Mondial insolite revient avec les mêmes règles du jeu : samedi, une quinzaine d’équipes composée de quatre à six membres s’affronteront lors d’une chorégraphie imposée, d’un parcours de saut d’obstacles et d’un concours de hennissement. Les trois meilleures seront sélectionnées pour l’étape finale, qui se déroulera le 12 octobre aux Herbiers, en Vendée.
« Une cinquantaine de critères seront pris en compte par le jury [dont certains membres sont issus du monde équestre traditionnel], sourit Philippe Maindron, co-créateur déjanté du festival de Poupet et organisateur de l’événement. L’esthétique, l’allure, l’énergie, l’humour… Il faudra être très concentré, avoir bien mémorisé les pas, tout donner. C’est du sérieux, il y aura de la compétition, sans évidemment se prendre au sérieux. »
Entraînement et lâcher prise
C’est avec cette ligne de conduite que Romain et son équipe, appelée Palmach'vaux, ont remporté le trophée des mains de Guillaume Canet, l’an dernier, face à 300 concurrents et plus de 2.500 spectateurs. « On ne se représente pas cette année pour laisser une chance aux autres, sourit le jeune homme de 29 ans. Pour gagner, il faut un peu d’entraînement et pas mal de lâcher prise. C’est sûr que se déplacer avec un manche à balai, ça fait bizarre, mais sur place il n’y a aucune moquerie, un esprit collectif, une grosse ambiance fraternelle. On est super contents d’avoir gagné après notre échec en finale du Mondial d’aquaponey 2016… »
La discipline, également appelée « hobby-horsing », compte déjà des milliers d’adeptes en Finlande et se développe en France. Car depuis le premier championnat, le délire a encore été poussé un peu plus loin puisqu’une association française du cheval à deux pattes a même été créée. Début juin, une autre étape préparatoire aura lieu à Arcachon. « Nous avons lancé une pétition pour que le cheval à deux pattes, une discipline autant technique que sportive, intègre le programme olympique, espère Philippe Maindron. Je vous l’annonce : on sera prêts pour 2024 ! »
EVENEMENT Une quinzaine d'équipes participent à l'événement, organisé ce week-end à la Foire de Nantes
Julie Urbach LaDepeche
Le cheval à deux pattes se pratique déguisé, un bâton entre les jambes, et avec une bonne dose d’autodérison.
Après une première édition l'an dernier, le championnat du monde revient avec une première étape, samedi à Nantes.
La plupart des participants viendront équipés de bottes et d’une bombe, et il faut d’ailleurs les appeler « cavaliers ». Pourtant, l’épreuve d’équitation qui se déroulera samedi dès 14h au parc des expositions de Nantes sort franchement de l’ordinaire. Inutile de chercher un double-poney à la Foire de Nantes, qui reçoit l’événement : le cheval à deux pattes se pratique déguisé, un bâton entre les jambes, et avec une bonne dose d’autodérision.
Apparue en France l’an dernier, ce Mondial insolite revient avec les mêmes règles du jeu : samedi, une quinzaine d’équipes composée de quatre à six membres s’affronteront lors d’une chorégraphie imposée, d’un parcours de saut d’obstacles et d’un concours de hennissement. Les trois meilleures seront sélectionnées pour l’étape finale, qui se déroulera le 12 octobre aux Herbiers, en Vendée.
« Une cinquantaine de critères seront pris en compte par le jury [dont certains membres sont issus du monde équestre traditionnel], sourit Philippe Maindron, co-créateur déjanté du festival de Poupet et organisateur de l’événement. L’esthétique, l’allure, l’énergie, l’humour… Il faudra être très concentré, avoir bien mémorisé les pas, tout donner. C’est du sérieux, il y aura de la compétition, sans évidemment se prendre au sérieux. »
Entraînement et lâcher prise
C’est avec cette ligne de conduite que Romain et son équipe, appelée Palmach'vaux, ont remporté le trophée des mains de Guillaume Canet, l’an dernier, face à 300 concurrents et plus de 2.500 spectateurs. « On ne se représente pas cette année pour laisser une chance aux autres, sourit le jeune homme de 29 ans. Pour gagner, il faut un peu d’entraînement et pas mal de lâcher prise. C’est sûr que se déplacer avec un manche à balai, ça fait bizarre, mais sur place il n’y a aucune moquerie, un esprit collectif, une grosse ambiance fraternelle. On est super contents d’avoir gagné après notre échec en finale du Mondial d’aquaponey 2016… »
La discipline, également appelée « hobby-horsing », compte déjà des milliers d’adeptes en Finlande et se développe en France. Car depuis le premier championnat, le délire a encore été poussé un peu plus loin puisqu’une association française du cheval à deux pattes a même été créée. Début juin, une autre étape préparatoire aura lieu à Arcachon. « Nous avons lancé une pétition pour que le cheval à deux pattes, une discipline autant technique que sportive, intègre le programme olympique, espère Philippe Maindron. Je vous l’annonce : on sera prêts pour 2024 ! »
Le pelage des chiens transporte moins de bactéries qu'une barbe humaine, selon une étude
HYGIÈNE La barbe de sept des hommes contenait tellement de bactéries qu'il y avait des risques pathologiques
Naomi Mackako 20Minutes
Selon des scientifiques suisses, les bactéries présentes dans les poils de la barbe seraient plus nombreuses que celles prélevées dans le pelage de votre chien.
Des chercheurs de la clinique Hirslanden, près de Zurich, en Suisse, ont comparé la charge bactérienne des colonies de micro-organismes pathogènes de 18 hommes barbus – âgés de 18 à 76 ans – à celle de 30 chiens. Ils ont prélevé des échantillons et ont fait passer des IRM aux sujets d’étude, rapporte la BBC.
Des risques de maladies
Le résultat est surprenant, chacun des hommes avait un nombre élevé de bactéries dans la barbe. Alors que seulement 23 des 30 chiens ont eu le même résultat. La barbe de sept des hommes contenait tellement de bactéries qu’il y avait des risques pathologiques. Les autres chiens testés ont enregistré des niveaux de bactéries moyens à faibles.
Une découverte inattendue pour ces scientifiques dont l’objectif premier était de savoir si les chiens pouvaient transmettre des maladies à l’homme au contact des poils de son visage. « Sur la base de ces résultats, les chiens peuvent être considérés comme propres, comparés aux hommes barbus », a déclaré Andreas Gutzeit, à l’origine de l’étude.
HYGIÈNE La barbe de sept des hommes contenait tellement de bactéries qu'il y avait des risques pathologiques
Naomi Mackako 20Minutes
Selon des scientifiques suisses, les bactéries présentes dans les poils de la barbe seraient plus nombreuses que celles prélevées dans le pelage de votre chien.
Des chercheurs de la clinique Hirslanden, près de Zurich, en Suisse, ont comparé la charge bactérienne des colonies de micro-organismes pathogènes de 18 hommes barbus – âgés de 18 à 76 ans – à celle de 30 chiens. Ils ont prélevé des échantillons et ont fait passer des IRM aux sujets d’étude, rapporte la BBC.
Des risques de maladies
Le résultat est surprenant, chacun des hommes avait un nombre élevé de bactéries dans la barbe. Alors que seulement 23 des 30 chiens ont eu le même résultat. La barbe de sept des hommes contenait tellement de bactéries qu’il y avait des risques pathologiques. Les autres chiens testés ont enregistré des niveaux de bactéries moyens à faibles.
Une découverte inattendue pour ces scientifiques dont l’objectif premier était de savoir si les chiens pouvaient transmettre des maladies à l’homme au contact des poils de son visage. « Sur la base de ces résultats, les chiens peuvent être considérés comme propres, comparés aux hommes barbus », a déclaré Andreas Gutzeit, à l’origine de l’étude.
Fait rarissime en Italie : un bébé naît deux mois après son jumeau
LaDepeche
Une maman italienne a d’abord donné naissance à Alessandro le 24 décembre dernier, puis à Andrea le 22 février, événement rarissime pour des jumeaux, a indiqué jeudi une responsable de la maternité du nord de l’Italie où ont eu lieu les deux accouchements.
La mère de 40 ans avait dû être hospitalisée d’urgence en décembre 2018 et avait accouché d’Alessandro, bébé prématuré de 800 grammes âgé de moins de 6 mois (24 semaines).
Grâce à l’équipe médicale, le placenta est resté intact et l’autre jumeau a pu poursuivre sa croissance dans le ventre de sa mère.
L’histoire, très compliqué d’un point de vue médical, a eu un dénouement heureux lorsque 60 jours plus tard, Andrea, 3 kg, a vu le jour à 33 semaines (8 mois).
"Toute la famille va bien, elle devrait sortir d’ici quelques jours", a précisé la responsable de la "Fondation pour l’Enfant et sa Mère" de la ville de Monza (près de Milan), qui gère la maternité. "C’est la première fois que nous voyons un cas de ce type", a-t-elle souligné.
Les jumeaux n’auront paradoxalement pas le même âge, ce qui a suscité la perplexité des services administratifs au moment de rédiger le certificat de naissance, raconte le père. "Doit-on écrire que c’est le jumeau d’un autre qui n’est pas encore né ?", se sont-ils demandé.
LaDepeche
Une maman italienne a d’abord donné naissance à Alessandro le 24 décembre dernier, puis à Andrea le 22 février, événement rarissime pour des jumeaux, a indiqué jeudi une responsable de la maternité du nord de l’Italie où ont eu lieu les deux accouchements.
La mère de 40 ans avait dû être hospitalisée d’urgence en décembre 2018 et avait accouché d’Alessandro, bébé prématuré de 800 grammes âgé de moins de 6 mois (24 semaines).
Grâce à l’équipe médicale, le placenta est resté intact et l’autre jumeau a pu poursuivre sa croissance dans le ventre de sa mère.
L’histoire, très compliqué d’un point de vue médical, a eu un dénouement heureux lorsque 60 jours plus tard, Andrea, 3 kg, a vu le jour à 33 semaines (8 mois).
"Toute la famille va bien, elle devrait sortir d’ici quelques jours", a précisé la responsable de la "Fondation pour l’Enfant et sa Mère" de la ville de Monza (près de Milan), qui gère la maternité. "C’est la première fois que nous voyons un cas de ce type", a-t-elle souligné.
Les jumeaux n’auront paradoxalement pas le même âge, ce qui a suscité la perplexité des services administratifs au moment de rédiger le certificat de naissance, raconte le père. "Doit-on écrire que c’est le jumeau d’un autre qui n’est pas encore né ?", se sont-ils demandé.
Une méthode très dangereuse pour agrandir les parties intimes
LINFO.RE
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, une ’mode’ commence à inquiéter sérieusement le corps médical…
500 patients en 15 jours
Comme le rapporte Le Tribunal du Net, en l’espace de quelques semaines, des milliers d’hommes sont allés voir un médecin à cause de problèmes ’intimes’. La nouvelle tendance en Papouasie-Nouvelle-Guinée, c’est de s’injecter de l’huile dans le sexe pour le faire grandir.
Ces hommes en question utilisent de tout ! En passant de l’huile de coco, au tournesol, et même de l’huile pour bébé… Les conséquences sont terribles. En 15 jours, un médecin a reçu 500 hommes avec des problèmes du genre. Ces actes n’atteignent pas du tout leur objectif, créant des ulcères, des gonflements et des bosses sur le sexe et les testicules.
DIY
Toujours selon le média francilien, ce qui est très étonnant, c’est que le phénomène touche les hommes de tous âges, et de tous milieux sociaux. Ils ont entre 16 et 55 ans ... Cette mode DIY (Do It Yourself) bat son plein dans ce coin du monde, et ce sont déjà plus de 90 opérations qui ont été réalisées pour réparer les dommages. Généralement, ces interventions chirurgicales concernent le gonflement du prépuce, ou des greffes de peau pour réparer les dégâts.
’autre gros problème, c’est que beaucoup d’hommes préfèrent rester discrets sur ce fait, et optent pour vivre avec ces malformations et ces douleurs plutôt que d’aller se soigner.
LINFO.RE
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, une ’mode’ commence à inquiéter sérieusement le corps médical…
500 patients en 15 jours
Comme le rapporte Le Tribunal du Net, en l’espace de quelques semaines, des milliers d’hommes sont allés voir un médecin à cause de problèmes ’intimes’. La nouvelle tendance en Papouasie-Nouvelle-Guinée, c’est de s’injecter de l’huile dans le sexe pour le faire grandir.
Ces hommes en question utilisent de tout ! En passant de l’huile de coco, au tournesol, et même de l’huile pour bébé… Les conséquences sont terribles. En 15 jours, un médecin a reçu 500 hommes avec des problèmes du genre. Ces actes n’atteignent pas du tout leur objectif, créant des ulcères, des gonflements et des bosses sur le sexe et les testicules.
DIY
Toujours selon le média francilien, ce qui est très étonnant, c’est que le phénomène touche les hommes de tous âges, et de tous milieux sociaux. Ils ont entre 16 et 55 ans ... Cette mode DIY (Do It Yourself) bat son plein dans ce coin du monde, et ce sont déjà plus de 90 opérations qui ont été réalisées pour réparer les dommages. Généralement, ces interventions chirurgicales concernent le gonflement du prépuce, ou des greffes de peau pour réparer les dégâts.
’autre gros problème, c’est que beaucoup d’hommes préfèrent rester discrets sur ce fait, et optent pour vivre avec ces malformations et ces douleurs plutôt que d’aller se soigner.
Royaume-Uni: Ils trouvent 557 pièces médiévales dans un champ, un butin estimé à 170.000 euros
CHASSE AU TRÉSOR Les chercheurs sont parvenus à extraire toutes les pièces, en or et en argent datant du XIII et XIVe siècles, en quatre jours
20 Minutes
ls en ont eu de la chance. Alors qu’ils participaient à un festival de détection de métaux les 6 et 7 avril au Pays de Galles, quatre chercheurs de trésor ont déterré 557 pièces médiévales enfouies dans un champ, rapporte BFMTV.
Les pièces en or et en argent datent du XIII et XIVe siècles. Les chercheurs ont notamment trouvé 12 pièces d’or très rares datant de la période de la Peste noire. Au total, la valeur du trésor est estimée à 150.000 livres (environ 170.000 euros).
11.500 euros pour une pièce d’or
Les quatre explorateurs ont d’abord trouvé douze pièces d’argent richement décorées. Leurs détecteurs de métaux ont signalé que la zone en contenait bien davantage. Ils ont alors nettoyé toute la zone, étendant constamment ses limites au fur et à mesure des trouvailles, rapporte le Daily Mail.
« C’était une succession de miracles », a déclaré l’un des hommes. Il leur aura fallu quatre jours pour venir à bout de la zone. Les pièces en argent sont estimées entre 20 et 50 livres (entre 23 et 57 euros). D’autres, plus rares, valent jusqu’à 570 euros. Ce sont surtout les douze pièces en or, valant chacune 11.500 euros, qui rendent cette trouvaille exceptionnelle.
L’ensemble du butin sera d’abord conservé dans un musée local en attente d’être expertisé. La somme récoltée après la vente sera partagée entre les chasseurs de trésor et le propriétaire du terrain.
CHASSE AU TRÉSOR Les chercheurs sont parvenus à extraire toutes les pièces, en or et en argent datant du XIII et XIVe siècles, en quatre jours
20 Minutes
ls en ont eu de la chance. Alors qu’ils participaient à un festival de détection de métaux les 6 et 7 avril au Pays de Galles, quatre chercheurs de trésor ont déterré 557 pièces médiévales enfouies dans un champ, rapporte BFMTV.
Les pièces en or et en argent datent du XIII et XIVe siècles. Les chercheurs ont notamment trouvé 12 pièces d’or très rares datant de la période de la Peste noire. Au total, la valeur du trésor est estimée à 150.000 livres (environ 170.000 euros).
11.500 euros pour une pièce d’or
Les quatre explorateurs ont d’abord trouvé douze pièces d’argent richement décorées. Leurs détecteurs de métaux ont signalé que la zone en contenait bien davantage. Ils ont alors nettoyé toute la zone, étendant constamment ses limites au fur et à mesure des trouvailles, rapporte le Daily Mail.
« C’était une succession de miracles », a déclaré l’un des hommes. Il leur aura fallu quatre jours pour venir à bout de la zone. Les pièces en argent sont estimées entre 20 et 50 livres (entre 23 et 57 euros). D’autres, plus rares, valent jusqu’à 570 euros. Ce sont surtout les douze pièces en or, valant chacune 11.500 euros, qui rendent cette trouvaille exceptionnelle.
L’ensemble du butin sera d’abord conservé dans un musée local en attente d’être expertisé. La somme récoltée après la vente sera partagée entre les chasseurs de trésor et le propriétaire du terrain.
Un milliard d'huîtres pour dépolluer le port de New York
LaDepeche
Dans le cadre du "Billion Oyster Project", un milliard d'huîtres vont être introduites d'ici 2035 dans le port de New York. Le but est de restaurer la biodiversité de l'eau du port. Les huîtres peuvent filtrer l'eau et attirer d'autres espèces animales et végétales.
Introduire un milliard d'huîtres dans le port de New York pour restaurer la biodiversité de l'eau, c'est le pari du "Billion Oyster Project" (NDLR. : Projet un milliard d'huîtres) dans les 15 ans à venir.
"The Bilion Oyster Project" a été créé en 2010 par Murray Fisher, un biologiste. Il milite depuis 20 ans pour que les New-Yorkais se réconcilient avec leur port et leurs rivières. Une équipe d'élèves du secondaire l'accompagne dans sa démarche.
Eduquer les futures générations
Le projet "Billion Oyster" vise à éduquer les générations futures et à stimuler leur intérêt pour sa réhabilitation et sa protection. "Le principal avantage est la participation des étudiants à la création d'une équipe de personnes qui se soucient du port et qui voudront le protéger (...) L'enthousiasme des enfants et des enseignants est palpable. Ils sont tellement impliqués. C'est merveilleux à voir", a expliqué John Waldman, biologiste au Queens College et auteur du livre Heartbeats in the Muck : l'histoire, la vie marine et l'environnement du port de New York à nos confrères de L'orient du jour.
Les huîtres éliminent l'azote
Les huîtres sont des filtres efficaces, elles détruisent l'azote et l'incorporent dans leurs tissus. L'azote est un élément important pour la faune et la flore. Mais quand il est en quantité excessive, elle déclenche une prolifération d'algues qui prennent tout l'oxygène, ce qui crée "zones mortes" maritimes.
Au début du XXe siècle, les huîtres étaient présentes dans le port de New York. Elles étaient vendues aux quatre coins des rues comme les hot-dogs aujourd'hui. Seulement, à cause de la surexploitation, le dragage du port et le déversement des eaux usées, la qualité des eaux du port a baissé, et la biodiversité marine a elle aussi diminué. Peu à peu, il n'y a plus eu de récifs ostréicoles et le port a été délaissé par les New-Yorkais.
LaDepeche
Dans le cadre du "Billion Oyster Project", un milliard d'huîtres vont être introduites d'ici 2035 dans le port de New York. Le but est de restaurer la biodiversité de l'eau du port. Les huîtres peuvent filtrer l'eau et attirer d'autres espèces animales et végétales.
Introduire un milliard d'huîtres dans le port de New York pour restaurer la biodiversité de l'eau, c'est le pari du "Billion Oyster Project" (NDLR. : Projet un milliard d'huîtres) dans les 15 ans à venir.
"The Bilion Oyster Project" a été créé en 2010 par Murray Fisher, un biologiste. Il milite depuis 20 ans pour que les New-Yorkais se réconcilient avec leur port et leurs rivières. Une équipe d'élèves du secondaire l'accompagne dans sa démarche.
Eduquer les futures générations
Le projet "Billion Oyster" vise à éduquer les générations futures et à stimuler leur intérêt pour sa réhabilitation et sa protection. "Le principal avantage est la participation des étudiants à la création d'une équipe de personnes qui se soucient du port et qui voudront le protéger (...) L'enthousiasme des enfants et des enseignants est palpable. Ils sont tellement impliqués. C'est merveilleux à voir", a expliqué John Waldman, biologiste au Queens College et auteur du livre Heartbeats in the Muck : l'histoire, la vie marine et l'environnement du port de New York à nos confrères de L'orient du jour.
Les huîtres éliminent l'azote
Les huîtres sont des filtres efficaces, elles détruisent l'azote et l'incorporent dans leurs tissus. L'azote est un élément important pour la faune et la flore. Mais quand il est en quantité excessive, elle déclenche une prolifération d'algues qui prennent tout l'oxygène, ce qui crée "zones mortes" maritimes.
Au début du XXe siècle, les huîtres étaient présentes dans le port de New York. Elles étaient vendues aux quatre coins des rues comme les hot-dogs aujourd'hui. Seulement, à cause de la surexploitation, le dragage du port et le déversement des eaux usées, la qualité des eaux du port a baissé, et la biodiversité marine a elle aussi diminué. Peu à peu, il n'y a plus eu de récifs ostréicoles et le port a été délaissé par les New-Yorkais.
Allemagne: Après 27 ans dans le coma, une femme se réveille de manière inexpliquée
EXCEPTIONNEL Ce cas constitue un bel espoir pour les autres personnes dans la même situation
20 Minutes
Une femme s’est réveillée après avoir passé 27 ans dans un coma profond. Mounira Omar a été victime d’une grave lésion cérébrale lors d’un accident de la circulation en 1991 à Al-Aïn (Emirats). Elle avait 32 ans.
Après l’accident, elle avait été transférée dans un hôpital en Allemagne. Son fils Omar a survécu à l’accident. C’est lui qui a annoncé l’heureuse nouvelle ce mercredi, précisant qu’il n’avait jamais douté que sa mère rouvrirait les yeux.
Plutôt un « coma éveillé »
« De nombreux médecins nous avaient dit de ne pas nous attendre à grand-chose après 15 ou 20 ans dans le coma, mais je n’ai jamais accepté cela », a confié Omar. « Tout est entre les mains de Dieu et je n’ai jamais perdu espoir. »
Le médecin Friedemann Müller préfère parler de stade intermédiaire de « coma éveillé ». Mounira se trouvait en effet avant son réveil dans un « état de conscience minimale », selon lui. Elle pouvait « regarder quelque chose brièvement et notamment clairement réagir en voyant le visage de son fils ». Pour le médecin, il s’agit d’un cas « très inhabituel », qui constitue un espoir pour beaucoup de personnes dans la même situation.
Une information gardée secrète
« Je conseillerais aux proches de rester en contact avec les patients », a-t-il expliqué au journal allemand Der Spiegel. « Leur parler encore et encore, les exposer à de nouveaux stimuli, les mobiliser et les observer de près. »
Aujourd’hui âgée de 60 ans, Mounira est dans un état stable et suit un traitement et une physiothérapie aux Emirats arabes unis. Elle s’est réveillée en mai 2018, mais sa famille a choisi de ne pas communiquer l’information tout de suite. « Nous voulions voir son état se stabiliser avant de rendre publique notre expérience », a expliqué son fils.
EXCEPTIONNEL Ce cas constitue un bel espoir pour les autres personnes dans la même situation
20 Minutes
Une femme s’est réveillée après avoir passé 27 ans dans un coma profond. Mounira Omar a été victime d’une grave lésion cérébrale lors d’un accident de la circulation en 1991 à Al-Aïn (Emirats). Elle avait 32 ans.
Après l’accident, elle avait été transférée dans un hôpital en Allemagne. Son fils Omar a survécu à l’accident. C’est lui qui a annoncé l’heureuse nouvelle ce mercredi, précisant qu’il n’avait jamais douté que sa mère rouvrirait les yeux.
Plutôt un « coma éveillé »
« De nombreux médecins nous avaient dit de ne pas nous attendre à grand-chose après 15 ou 20 ans dans le coma, mais je n’ai jamais accepté cela », a confié Omar. « Tout est entre les mains de Dieu et je n’ai jamais perdu espoir. »
Le médecin Friedemann Müller préfère parler de stade intermédiaire de « coma éveillé ». Mounira se trouvait en effet avant son réveil dans un « état de conscience minimale », selon lui. Elle pouvait « regarder quelque chose brièvement et notamment clairement réagir en voyant le visage de son fils ». Pour le médecin, il s’agit d’un cas « très inhabituel », qui constitue un espoir pour beaucoup de personnes dans la même situation.
Une information gardée secrète
« Je conseillerais aux proches de rester en contact avec les patients », a-t-il expliqué au journal allemand Der Spiegel. « Leur parler encore et encore, les exposer à de nouveaux stimuli, les mobiliser et les observer de près. »
Aujourd’hui âgée de 60 ans, Mounira est dans un état stable et suit un traitement et une physiothérapie aux Emirats arabes unis. Elle s’est réveillée en mai 2018, mais sa famille a choisi de ne pas communiquer l’information tout de suite. « Nous voulions voir son état se stabiliser avant de rendre publique notre expérience », a expliqué son fils.
Le cas contraire : mort cérébrale mais maintenu "en vie" durant des années pour Jackie Wilson, chanteur Américain, après son accident de voiture la famille a tout fait pour retarder l'extinction des droits d'auteurs qui les faisaient vivre bien.
L'armée indienne publie des photos "d'empreintes" du Yéti
ladepeche
Peut-on parler de grande découverte, ou plutôt de canular? Sur Facebook et Twitter, l'armée indienne a posté des images vraiment surprenantes. Les forces armées indiennes affirment avoir découverts des empreintes... du Yéti... Oui, l'abominable homme des neiges, ce singe géant et blanc qui hante l'Himalaya depuis plus ds décennies. "Pour la première fois, une expédition en haute montagne de l'armée indienne a localisé les mystérieuses empreintes de la bête mythique 'Yeti'. L'insaisissable Homme des neiges n'avait été vu auparavant que dans le parc national de Makalu-Barun" au Népal, précise encore la publication de l'armée indienne, faisant ainsi référence aux fameuses empreintes retrouvées par l'explorateur britannique Eric Shipton en 1951 sur un glacier du mont Everest.
Du fait de l'absence de preuve matérielle de son existence, la communauté scientifique considère le Yéti comme un être légendaire Selon des chercheurs, il s'agirait en fait d'un ours brun de l'Himalaya.
Dans son tweet, l'armée indienne précise que les empreintes mesurent 81 centimètres sur 38, et ont été repérées par une équipe de militaires le 9 avril près du camp de base de Makalu, une zone isolée à la frontière népalo-chinoise. Un responsable de l'armée indienne a confié à l'Agence France Presse (AFP), sous couvert de l'anonymat, que les photos avaient été publiées dans le but de soulever un peu de questionnement scientifique.
Selon le Times of India, l’armée aurait décidé de publier son message seulement 20 jours après sa découverte, pour s’assurer que celle-ci corresponde aux théories à propos du Yéti.
"Félicitations, nous sommes toujours fiers de vous. Salut à l'expédition de l'armée indienne de haute montagne", s'enthousiasmait même Tarun Vijay, un dirigeant du Bharatiya Janata Party (BJP, Parti du peuple indien) au pouvoir. Tandis que de nombreux internautes ne se sont pas privés pour se moquer de cette publication
ladepeche
Peut-on parler de grande découverte, ou plutôt de canular? Sur Facebook et Twitter, l'armée indienne a posté des images vraiment surprenantes. Les forces armées indiennes affirment avoir découverts des empreintes... du Yéti... Oui, l'abominable homme des neiges, ce singe géant et blanc qui hante l'Himalaya depuis plus ds décennies. "Pour la première fois, une expédition en haute montagne de l'armée indienne a localisé les mystérieuses empreintes de la bête mythique 'Yeti'. L'insaisissable Homme des neiges n'avait été vu auparavant que dans le parc national de Makalu-Barun" au Népal, précise encore la publication de l'armée indienne, faisant ainsi référence aux fameuses empreintes retrouvées par l'explorateur britannique Eric Shipton en 1951 sur un glacier du mont Everest.
Du fait de l'absence de preuve matérielle de son existence, la communauté scientifique considère le Yéti comme un être légendaire Selon des chercheurs, il s'agirait en fait d'un ours brun de l'Himalaya.
Dans son tweet, l'armée indienne précise que les empreintes mesurent 81 centimètres sur 38, et ont été repérées par une équipe de militaires le 9 avril près du camp de base de Makalu, une zone isolée à la frontière népalo-chinoise. Un responsable de l'armée indienne a confié à l'Agence France Presse (AFP), sous couvert de l'anonymat, que les photos avaient été publiées dans le but de soulever un peu de questionnement scientifique.
Selon le Times of India, l’armée aurait décidé de publier son message seulement 20 jours après sa découverte, pour s’assurer que celle-ci corresponde aux théories à propos du Yéti.
"Félicitations, nous sommes toujours fiers de vous. Salut à l'expédition de l'armée indienne de haute montagne", s'enthousiasmait même Tarun Vijay, un dirigeant du Bharatiya Janata Party (BJP, Parti du peuple indien) au pouvoir. Tandis que de nombreux internautes ne se sont pas privés pour se moquer de cette publication
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