Questions existentielles - page 175

Pour se reposer quelques minutes
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Les oiseaux utilisent des mégots de cigarettes pour la guerre chimique contre les tiques
Est-ce une habitude de cigarette avec des avantages ? Une espèce d’oiseau urbain semble exploiter les produits chimiques toxiques dans les mégots de cigarette dans sa lutte contre les parasites, bien qu’il y ait un inconvénient à la pratique.

Constantino Macías Garcia à l’Université nationale autonome du Mexique, et ses collègues, ont passé plusieurs années à étudier la curieuse façon de faire des pinsons urbains ( Carpodacus mexicanus ). La preuve initiale a laissé entendre que la nicotine et d’autres produits chimiques dans les mégots pourraient aider à dissuader les insectes nuisibles de se déplacer dans les nids – la nicotine a des propriétés antiparasitaires – mais ce n’était pas concluant.

Pour confirmer la conclusion, Macías Garcia et son équipe ont expérimenté 32 nids de pinson. Un jour après l’éclosion des œufs dans le nid, les chercheurs ont retiré la doublure de nid naturel et l’ont remplacée par un feutre artificiel, pour éliminer les parasites qui auraient pu se déplacer pendant l’incubation. Ils ont ensuite ajouté des tiques vivantes à 10 des nids, des tiques mortes à 10 autres et ont laissé 12 sans tiques.

Ils ont constaté que les pinsons adultes étaient nettement plus susceptibles d’ajouter des fibres de bout de cigarette au nid s’il contenait des tiques. De plus, le poids de la matière de la cigarette ajoutée aux nids contenant des tiques vivantes était, en moyenne, 40 pour cent supérieur au poids du matériau de la cigarette ajouté aux nids contenant des tiques mortes.

Pensée novatrice

Les résultats suggèrent que les pinsons utilisent les mégots de cigarette pour leurs nids contre les tiques, explique Macías Garcia. «Les ectoparasites tels que les tiques et les acariens causent des dommages aux pinsons, par exemple, à manger leurs plumes et à sucer leur sang», dit-il.

«C’est fascinant, et un exemple passionnant d’animaux innovant et utilisant les matériaux dont ils disposent», explique Steve Portugal au Royal Holloway, Université de Londres.

Cependant, les études antérieures de Macías Garcia suggèrent que l’ habitude est également nuisible . «Les mégots causent des dommages [génétiques] aux pinsons en interférant avec la division cellulaire, que nous avons évaluée en regardant leurs globules rouges», dit-il.

« Je pense que les effets antiparasitaires du filtre de cigarette doivent l’emporter sur les problèmes négatifs qu’ils causent », alternativement, les effets génotoxiques prennent plus de temps à se manifester et les oiseaux adultes ne connaissent aucun problème ».

(Source: New Scientist, Avian Biology)
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Une rumeur folle se répand, la Nasa forcée d’intervenir

L’animateur américain Alex Jones est féru de théories conspirationnistes en tout genre et n’hésite pas à les partager avec ses auditeurs. Mercredi, lors de sa célèbre émission «Alex Jones Show» diffusée sur des dizaines de stations de radio dans tous les Etats-Unis, les propos d’un invité ont eu des répercussions inattendues.

Robert David Steele, un prétendu ex-agent secret, était venu faire des «révélations». «Nous croyons réellement qu’il y a une colonie sur Mars qui est peuplée par des enfants enlevés et envoyés dans l’espace lors d’un voyage qui a duré 20 ans, a-t-il lancé à l’antenne. Une fois sur Mars, ces derniers n’ont eu d’autre alternative que de devenir des esclaves de la colonie.» «Je sais que 90% des missions de la Nasa sont secrètes», a alors affirmé l’animateur manipulateur, avant d’ajouter: «Il y a tellement de trucs qui se passent là-bas.»

Craignant que la rumeur se répande comme une traînée de poudre sur les réseaux conspirationnistes et devienne incontrôlable, la Nasa s’est sentie obligée de réagir dans la presse américaine vendredi. «Il n’y a pas d’humains sur Mars, il y a juste des rovers actifs sur Mars», a assuré au «Daily Beast» Guy Webster, porte-parole de l’agence pour le programme d’exploration de la planète rouge, déplorant qu’«une seule rumeur stupide sur internet» puisse devenir «une actualité».

Il faut dire qu’Alex Jones, également patron du site qualifié d’extrême droite Infowars, n’en est pas à son coup d’essai. Il a fait de la propagation de ragots son fond de commerce, rappelle «Le Parisien». En décembre dernier, l’animateur n’avait pas manqué d’alimenter le «Pizzagate». Cette histoire farfelue reliant Hillary Clinton à un prétendu réseau pédophile dans un restaurant italien de Washington avait été relayée par la presse. Un Américain, crédule, s’était alors présenté sur les lieux muni d’un fusil d’assaut, avant d’être arrêté.

(Source : 20 minutes)
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Les gens ne lisent pas assez donc leur imagination se repaît d'histoires loufoques vues sur la "Télé" ou sur la Radio...
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[center]Le mystère du béton romain percé: il est meilleur que le nôtre après 2.000 ans[/center]
Une équipe de chercheurs de l’université de l’Utah est parvenue à percer le mystère du béton romain, bien plus résistant que n’importe quelle version contemporaine.

C’est un mystère qui fascine depuis des lustres les scientifiques étudiant la Rome antique: l’extraordinaire longévité de certaines de ses structures en béton. Battues par les vagues depuis plus de 2.000 ans, elles n’ont pas simplement résisté à l’érosion: leur béton est aussi plus résistant que n’importe quelle version contemporaine. De surcroît, le temps semble aussi le renforcer.

Une équipe de chercheurs de l’université de l’Utah, dirigée par la géologue Marie Jackson, est (enfin) parvenue à percer le mystère, d’après une étude publiée par Berkeley Lab le 3 juillet dernier.

Pas besoin d’acier
Quel est donc ce secret? Selon cette étude, il apparaît que le béton des Romains était confectionné à base de cendres volcaniques, de chaux et d’eau de mer. C’est le résultat de l’observation par leurs scientifiques de l’effet de l’eau de mer sur les cendres volcaniques – la création de roche volcanique pareille à du ciment. Au final, le béton romain était ainsi plus dur que tout ce qu’il est possible d’imaginer, et sans besoin de renforcements d’acier.

Nos ciments sont essentiellement composés de silicates de calcium, hydraulique ajoutés à du sable et du gravier.

« C’est fantastique »
« Ce qu’on a découvert est fantastique », ajoute Marie Jackson après des années de recherche. « Les Romains ont créé un béton pareil à de la roche que le contact de l’eau de mer renforce plutôt que de l’éroder, contrairement au béton moderne. »

Malheureusement, la recette exacte de ce béton s’est perdue et la majeure partie du monde ne dispose pas des roches qu’avaient les Romains sous la main pour entreprendre leurs exceptionnels travaux de construction.

(Source : Source: Berkeley Lab, 7s7, The Telegraph)
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Mars encore moins hospitalière à la vie à ce que les scientifiques pensaient
Mauvaise nouvelle pour la quête d’une forme de vie martienne: la planète rouge serait « moins habitable » qu’escompté en raison de la formation d’un « cocktail toxique » à sa surface sous l’effet du rayonnement ultraviolet, ont découvert des chercheurs.

Une équipe de l’Ecole de physique et d’astronomie de l’Université d’Edimbourg s’est intéressée aux perchlorates, des sels présents en abondance sur Mars.

Ces composés, stables à températures modérées, constituent un puissant oxydant lorsqu’ils sont activés par exemple sous l’effet d’une hausse des températures. Sur Mars les températures sont froides. Mais l’équipe a découvert que le perchlorate pouvait également être activé sous le seul effet des UV.

« Nous avons démontré que lorsqu’on irradie les perchlorates avec un flux de rayons UV semblables à ceux sur Mars, ils deviennent bactéricides », indiquent les chercheurs dans une étude publiée jeudi dans la revue Scientific Reports.

A des concentrations de perchlorate similaires à celles que l’on trouve dans le régolithe martien (la fine couche de poussières à la surface), la bactérie Bacillus subtilis meurt « en quelques minutes », dans un environnement semblable à celui de cette planète, ont-ils observé dans leur laboratoire.

Pis encore, deux autres composés présents sur Mars, l’oxyde de fer et le peroxyde d’hydrogène, agissent en synergie avec les perchlorates, augmentant encore la mortalité des bactéries.

« Surface très nocive »
« Nos observations montrent que la surface actuelle de Mars est très nocive pour les cellules, sous l’effet d’un cocktail toxique d’oxydants, de perchlorates et de rayons UV », soulignent les chercheurs.

Les effets bactéricides des perchlorates irradiés par les UV « apportent une nouvelle preuve que la surface de Mars est létale pour les cellules et qu’elle rend inhabitables une grande partie des régions à la surface ou proches de la surface », disent-ils.

« Si nous voulons découvrir de la vie sur Mars, il faut prendre en compte ces résultats » et s’intéresser aux moyens de chercher de la vie sous la surface, dans des zones qui n’auront pas été exposées à de telles conditions, déclare à l’AFP Jennifer Wadsworth, co-auteur de l’étude.

« Peu de chance de survivre »
Il y a au moins une bonne nouvelle: avec un tel cocktail toxique, les contaminants biologiques apportés par les missions d’exploration martiennes ont « peu de chance de survivre », souligne l’étude.

Les perchlorates ont été découverts sur Mars pour la première fois par l’atterrisseur Phoenix de la Nasa en 2008.

L’espoir de trouver de l’eau liquide sur Mars a été conforté en 2015 par la découverte de perchlorate de calcium dans le sol. Ce sel a en effet la propriété d’abaisser le point de congélation de l’eau, de sorte qu’elle reste liquide.

(Source : belga, The Time)
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Yellowstone : plus de 800 séismes en deux semaines, le supervolcan est-il sur le point de se réveiller ?
Une série de plus de 800 tremblements de terre a secoué le parc national américain de Yellowstone ces dernières semaines. Des secousses qui soulèvent de nouvelles questions quant à l’état de sommeil du supervolcan du territoire.

Vague de turbulences à Yellowstone ces dernières semaines. Une série de tremblements de terre a secoué le parc national situé aux États-Unis dans l’État du Wyoming. Les premières secousses sismiques ont débuté le 12 juin dernier et n’ont pas cessé de se manifester durant les jours qui ont suivi.

En deux semaines seulement, les sismologues de l’USGS, l’Institut d’études géologiques des États-Unis, ont fait état de 878 tremblements de terre : « C’est le plus grand nombre de tremblements de terre à Yellowstone au cours d’une seule semaine durant les cinq dernières années », ont-ils expliqué dans un communiqué.

La majorité des secousses enregistrées était de faible intensité, la plupart d’entre elles ne dépassant pas la magnitude de 1. Pour autant, certains tremblements ont atteint la magnitude 4,4, ce qui représente le séisme le plus intense jamais survenu à Yellowstone depuis le mois de mars 2014.

Un volcan endormi depuis des milliers d’années

Si l’inquiétude principale ne réside donc pas dans la puissance des séismes survenus, elle pourrait plutôt se trouver du côté du volcan de la zone. En effet, en dessous de Yellowstone, à quelques mètres dans les entrailles de la terre se trouve « la caldeira de Yellowstone », plus connue donc sous le nom de « supervolcan ».

Endormi depuis des millénaires, la caldeira n’aurait pas connu de « superéruption » depuis 640.000 ans environ. L’annonce de cette série de tremblements de terre a donc naturellement éveillé l’intérêt voire l’inquiétude de certains. Néanmoins, les spécialistes sont formels : il est improbable que cette vague de secousses réveille le volcan en inactivité depuis plusieurs dizaines de siècles.

« Les secousses sont un phénomène commun à Yellowstone », a rassuré pour Newsweek, Jamie Farrell, professeur à l’Université d’Utah qui fait partie de l’Observatoire du volcan de Yellowstone (YVO). « En moyenne, Yellowstone voit environ 1.500-2.000 tremblements de terre par an ». Cette série serait d’ailleurs loin d’être la plus intense enregistrée dans la région du supervolcan.

Le record est survenu en octobre 1985 lorsque plus de 3.000 séismes ont été enregistrés en l’espace de trois mois à Yellowstone. Plus récemment, en janvier 2010, une autre série importante est survenue avec plus de 2.000 secousses recensées en un mois environ.

Ni précurseur, ni signe avant-coureur

D’après les chercheurs, la survenue de ces tremblements n’est ni un précurseur, ni un signe avant-coureur d’une possible « éruption supérieure » de la caldeira endormie. « Il n’y a pas de lien évident entre les processus volcaniques actuels et ces tremblements de terre », a souligné Mike Stickney, directeur des études de tremblements de terre du Bureau de Géologie du Montana.

A l’heure actuelle, il ne semble en effet y avoir aucun lien entre les secousses et les mouvements de magma en profondeur. Et les scientifiques n’ont mis en évidence aucune autre activité géologique suspecte pouvant suggérer une prochaine éruption telle qu’une déformation de la surface ou des changements dans le système hydrothermal.

« Nous surveillons tous ces choses à Yellowstone […] Si nous commençons à voir des changements dans toutes ces choses, alors le drapeau rouge sera peut-être dressé », a indiqué Jacob Lowenstern, scientifique en charge du YVO à l’USGS précisant que le niveau d’alerte reste aujourd’hui au vert. D’ailleurs, l’activité sismique aurait déjà commencé à diminuer.

D’après l’USGS, le risque actuel d’éruption de Yellowstone serait de 1 sur 730.000. Et si éruption il y avait, ce ne serait pas nécessairement une explosion catastrophique. « Si Yellowstone se réveillait, ce serait le plus probablement une coulée de lave, comme cela a été le cas de quasiment toutes les éruptions depuis la dernière « superéruption » il y a 640.000 ans », une coulée avec un « effet régional et continental très limité », a conclu Lowenstern.
(Source : Maxi sciences)
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Un garçon trouve une grenouille «éteinte» en Équateur
Un garçon en âge scolaire a redécouvert une grenouille équatorienne considérée comme éteinte depuis au moins 30 ans. L’animal sera maintenant élevé en captivité.

La grenouille Jambato noire ( Atelopus ignescens ) était autrefois aussi répandue en Équateur qu’elle apparaissait dans les maisons, c’était quelque chose avec lequel les enfants jouaient et était utilisé comme ingrédient de la médecine traditionnelle. Ensuite, il a été soudainement effacé, probablement par une combinaison de changements climatiques et de maladies fongiques.

« C’était une présence si longue dans la communauté équatorienne que nous n’aurions jamais pensée qu’elle pourrait disparaître », a déclaré Luis Coloma, du Centre Jambatu pour la recherche et la conservation des amphibiens .

En 2016, le centre offrait un prix en espèces de 1000 $ pour quiconque pouvait trouver la grenouille perdue, ne s’attendait pas à un succès, mais dans l’espoir de sensibiliser à la conservation des amphibiens.

Contre toute chances, un jeune garçon et sa famille ont trouvé une petite colonie de Jambato noire assurant la survie de l’espèce et des fonds pour l’éducation du garçon
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Un éléphant sauvé en pleine mer
La marine du Sri Lanka a «miraculeusement» sauvé un éléphant en détresse en pleine mer où le courant l'avait déporté, a annoncé mercredi son porte-parole.

Il a fallu pas moins de douze heures à la marine, une fois l'animal signalé, pour secourir le pachyderme qui peinait à se maintenir à la surface à huit kilomètres des côtes de cette île de l'océan Indien. Des photos le montrent tenant sa trompe au-dessus de l'eau pour pouvoir respirer.

Des plongeurs assistés par des conservateurs de la faune ont approché le mammifère et lui ont passé des cordes autour du corps. Ils a ensuite été remorqué jusqu'à proximité du rivage, où il a été relâché mardi soir.

Selon le porte-parole de la marine, Chaminda Walakuluge, le courant a vraisemblablement emporté l'éléphant alors qu'il traversait le lagon de Kokkilai (nord-est du Sri Lanka), une large étendue d'eau qui se trouve entre deux zones de jungle.

«Ils pataugent généralement à travers des eaux peu profondes ou même nagent pour prendre un raccourci», a déclaré le responsable.


«C'est une fin miraculeuse pour l'éléphant», a-t-il ajouté.
France Presse
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Mali : des chiens hollandais pour sauver les éléphants
Dans le but de sauver l’un des derniers troupeaux d‘éléphants du désert d’Afrique, le Mali a utilisé des épagneuls néerlandais. Ces chiens de chasse reniflent l’ivoire illégal.

Mitch, Bobby et Amy, ont reçu une formation intensive pour démanteler les réseaux de trafic d’ivoire qui ont dévasté l’un des derniers troupeaux d‘éléphants du désert d’Afrique.

Le braconnage s’est répandu depuis que les insurgés touaregs et les islamistes, ont crée le désordre dans une partie du pays en 2012.

“Après la théorie, et la formation en classe, la formation de détection réelle avec l‘équipe et les chiens et maintenant nous allons sur le terrain, dans les opérations réelles pour la pratique qui est la phase la plus importante après la Formation de détection réelle. Donc, c’est une étape majeure maintenant, nous avons des dresseurs avec leurs chiens, tous leurs équipements. Ils sont prêts à partir.” Rory YOUNG, directeur de la faune de Chengeta et chef du dressage anti-braconnage.

Il ne reste plus qu’environ 300 éléphants au Mali.Près de 167 personnes ont été abattues depuis que les combats ont éclaté en 2012.

“Donc, c’est une défense d’un éléphant du désert malien et, généralement, ils sont très fragiles, petits par rapport à la taille de l‘éléphant”. A-t-il ajouté.

Le reste d’ éléphants maliens constitue une population spécifique, représentant 12 % de tous les éléphants d’Afrique de l’Ouest.

Cette population a développé une stratégie nomade qui comprend un circuit de migration unique de 600 km pour faire face à la nature largement dispersée et variable des ressources de Gourma

Aujourd’hui, ces éléphants sont censés être vendus sur le marché noir pour un maximum de 3 millions de francs CFA soit près 5 000 dollars.

(Source : Africanews)
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Les requins mangent avec leurs épaules
Les requins n’ont pas de langue pour guider les aliments vers leurs dents et leur oesophage, mais une particularité anatomique.

Comment guider les aliments vers ses dents quand on n’a pas de langue? Le requin a trouvé une solution selon une étude publiée mercredi dans Proceedings of the Royal Society B: donner des coups d’épaule.

Pour arriver à cette conclusion, des chercheurs ont observé trois requin-chabots à taches blanches (Chiloscyllium plagiosum) à l’aide d’une technologie aux rayons X permettant de voir les mouvements des os et des muscles à l’intérieur de leurs corps.

Alors que les poissons dévoraient des morceaux de calmars et de harengs, les chercheurs ont constaté «que la ‘ceinture d’épaule’ des requin-chabots à taches blanches se balançait en arrière pour déplacer les aliments vers la gorge».

Pas liée aux mâchoires

Invisible de l’extérieur, la ceinture d’épaule des requins est un morceau de cartilage en forme de «U», point d’attache de plusieurs muscles, situé sous la tête du poisson. On savait déjà que cette épaule contrôlait certaines nageoires de l’animal et était utile à la locomotion.

Mais comme elle n’est pas directement reliée aux mâchoires ni même à la tête du poisson, les chercheurs ne pensaient pas qu’elle puisse également jouer un rôle dans l’alimentation. Or, «en tirant leur ‘ceinture d’épaule’ en arrière, les requins créent l’aspiration nécessaire pour pousser la nourriture vers le fond de leur gueule et dans le tube digestif», explique Ariel Camp, chercheur de l’Université Brown et auteur de l’étude.

(Source : 20 Minutes)
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Merci photos pour tous ces articles, bonnes vacances! :smack: :flo:
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La médecine traditionnelle, premier secours en cas de catastrophe
Comment les populations rurales isolées peuvent-elles se préparer à des catastrophes naturelles ?

La Bolivie mise sur la médecine traditionnelle en tant que première réponse d’urgence en cas d’inondation. Dans cette édition d’Aid Zone, nous suivons l’action auprès des populations indigènes, d’une ONG qui bénéficie du soutien de l’Union européenne.

Commençons par quelques éléments-clés sur les catastrophes naturelles qui frappent la Bolivie. Celles-ci sont de plus en plus fréquentes et dévastatrices. Près d’une quarantaine d‘évènements liés à des inondations se sont produits depuis 1900 causant la mort de 140.000 personnes et touchant trois millions d’habitants (chiffres de l’ONG bolivienne Soluciones Pràcticas).

Plus de vingt villages indigènes proches de rivières sont systèmatiquement inondés dans le bassin de l’Amazone en Bolivie. C’est le cas de Capaina au bord du Río Beni qui regroupe 25 familles. En cas de catastrophe comme lors des dramatiques inondations de 2014, les populations isolées notamment dans ce village sont coupées du monde. La médecine traditionnelle est alors le seul recours pour prendre en charge rapidement les blessés.

Juanita et Antonia la pratiquent. “Quand il y a des catastrophes qui sont dues à la rivière ou au vent, on n’a pas d’argent pour aller à l’hôpital, explique Juanita avant d’ajouter : C’est pour cela que cette médecine est tout-à-fait appropriée dans ces cas-là.”

“J’ai appris ce que je sais sur les plantes quand j‘étais enfant, j’allais dans la jungle avec ma grand-mère et je regardais quelle écorce elle prenait pour la faire bouillir par la suite,” renchérit-elle. “Là, je prends du ajo ajo, nous montre-t-elle alors qu’elle arrache l‘écorce d’un arbre, c’est vraiment efficace contre la douleur, en particulier contre celles qui ne passent pas.”

Partage de connaissances

Ce jour-là, Juanita et Antonia ont quitté leur village pour rejoindre Capaina et y partager leurs connaissances. Les deux femmes travaillent avec l’ONGSoluciones Prácticas qui notamment, soutient la médecine traditionnelle. L’organisation reçoit des fonds du service de la Commission européenne à l’aide humanitaire.

“Cette médecine est pratiquée depuis des siècles de manière empirique, reconnaît Victor Yapu, représentant de l’ONG. Ce qu’on veut faire, c’est lui apporter un soutien légal et scientifique : c’est la raison pour laquelle on est en train de terminer une étude, un inventaire des plantes médicinales, on en a répertorié plus d’une centaine dans ce secteur, mais il y en a encore beaucoup d’autres à identifier,” admet-il.

La législation bolivienne reconnaît déjà le rôle de la médecine traditionnelle. Aujourd’hui, grâce à cet inventaire, l’ONG travaille à la protection et à la transmission de ce savoir. Dans une nouvelle phase de son projet, elle compte multiplier les échanges comme celui auquel nous assistons entre Juanita, Antonia et une praticienne du village de Capaina.

Les trois femmes ont échangé des feuilles et des racines de variétés qu’elles cultiveront dans leur jardin. Elles se sont aussi montré leurs recettes respectives pour élaborer des remèdes.

Culture des plantes médicinales

Ce soutien à la médecine traditionnelle fait partie d’un projet plus vaste financé par l’Union européenne qui vise à renforcer les capacités des groupes indigènes à faire faaux catastrophes naturelles.

“Il y a des communautés indigènes qui sont natives de ces régions, mais il y en a d’autres qui viennent des hauteurs, d’autres zones du pays et il est important que ce savoir soit accessible aux nouveaux arrivants,” indique Pablo Torrealba, du service de la Commission à l’aide humanitaire.

Monica Pinna, euronews :
“Mais pourquoi soutenir ces pratiques ? En quoi sont-elles menacées ?”

Pablo Torrealba :
“Avec la déforestation, il faut aller toujours plus loin pour trouver des plantes médicinales. Le projet a donc encouragé la pratique de la cueillette de plantes et de graines dans la forêt pour qu’elles soient plantées près des habitations, pour qu’en cas d’urgence, on n’ait pas besoin d’aller dans la jungle pour s’en procurer.”

Transmission

“L’un des objectifs de ce projet, c’est d’encourager la transmission des connaissances des praticiens aux nouvelles générations, mais aussi de faire sortir leur médecine de la jungle,” précise notre reporter.

La petite ville de Rurrenabaque est à vingt minutes de bateau de Capaina. Les deux praticiennes vont y vendre leurs remèdes au marché hebdomadaire. Antonia y tient un étal depuis dix ans. “Je vends un peu de tout, j’amène ce que les gens me demandent,” dit-elle simplement.

L’Organisation mondiale de la santé estime que la médecine traditionnelle représente une part importante et souvent sous-estimée des soins dans le monde et qu’en garantissant sa qualité, on contribue à améliorer l’accès aux soins.

(Source : Euronews)
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Comment faire d’une pierre un compagnon de vie ?

Les possibles vertus thérapeutiques des pierres intriguent. Comment en faire soi-même l’expérience et choisir celles qui nous seraient les plus favorables ? Conseils pratiques de spécialistes.

Lorsque vous demandez à un lithothérapeute de vous donner « 10 conseils de pierres », sa mine se renfrogne. Car tout dépend de la personne, de sa sensibilité, de la subtilité de sa problématique.

L’énergéticien Pascal Mahious évoque la tourmaline noire, réputée réduire la pollution électromagnétique. « C’est la plus purifiante et protectrice des pierres, écrit Patrick Drouot dans Les pouvoirs secrets des cristaux. Elle absorbe les énergies négatives et les transforme. C’est une excellente pierre à poser sur son bureau lorsqu’on travaille dans un milieu chargé en rayonnements électromagnétiques. Elle agit également au niveau mental, en protégeant contre les pensées négatives. Elle permet de se défendre contre les pensées parasites et de faire face aux manipulations sans en subir les conséquences. »

Pascal Mahious souligne aussi les vertus apaisantes de l’améthyste sur la suractivité mentale. « Cette pierre donne du recul par rapport aux événements », indique Daniel Briez, fondateur de cristaux-sante.com. Elle favorise le sommeil, lutte contre les états de stress et de tension nerveuse. « C’est une pierre de passage, elle aide à la transmutation des situations et des événements », poursuit le spécialiste, en soutenant notamment une prise de décision plus responsable et efficace. En support méditatif, elle permettrait une meilleure connexion entre les plans matériels et spirituels. « Elle nous incite à ne pas résister aux forces émanant des niveaux de conscience supérieurs », écrit Patrick Drouot.

Le lapis-lazuli, lui aussi, soutiendrait l’exploration intérieure. Pour Daniel Briez, il structurerait « le développement de la vision clairvoyante en la raccordant à la réalité quotidienne ». Autre allié précieux pour élargir sa conscience : le quartz rose, dont la vibration « est en résonance avec l’énergie du cœur, écrit Patrick Drouot. C’est un allié spirituel fidèle, qui aide à s’ouvrir aux valeurs d’amour, de générosité et de compassion. Il rassure, apaise les émotions violentes et désordonnées. Il apporte douceur et tendresse. »

Côté vitalité, cap par exemple sur la cornaline, dont la teinte varie du rouge à l’orangé. « C’est une pierre de courage, qui donne la force d’entreprendre et de se lancer », écrit Patrick Drouot. La cornaline, poursuit-il, « améliore l’ancrage dans la réalité, dans l’ici et maintenant. Elle apaise la peur de se tromper et favorise la concentration ». Sur le plan physique, posée sur votre ventre, « elle apporte de l’énergie au corps physique, tonifie la sexualité et équilibre les productions hormonales ».

Comment choisir une pierre ?

Quand on se retrouve face au choix, le premier réflexe est de lire les étiquettes indiquant les vertus supposées de chaque pierre. Difficile de se décider : on a parfois l’impression qu’on aurait besoin de tout ! Certaines pierres peuvent ne pas être adaptées à notre cas, mieux vaut donc agir avec précaution. « Restez spontanés, faites confiance à votre intuition. Par simple mécanisme de résonance, le corps va se tourner naturellement vers les supports dont il a besoin pour se rééquilibrer », encourage Daniel Briez. Allez vers les pierres dont la forme et le coloris vous attirent, sans vous préoccuper dans un premier temps de leurs fonctions. Prenez-les en main, observez ce que vous ressentez. Puis demandez conseil.

En fonction de ce que vous lui direz de votre problématique, de ce qu’il en ressentira, le spécialiste vous aidera à finaliser votre choix ou vous réorientera. « Une attirance pour un jaspe, par exemple, sera le signe d’un besoin d’apport en énergie vitale, estime Daniel Briez. Le jaspe impérial, lui, aidera à se positionner plus justement au quotidien, afin de vivre davantage en fluidité. » Attention : une répulsion pour une pierre peut aussi être une indication. « Dans un premier temps, mieux vaut en choisir une que vous aurez plaisir à faire entrer dans votre environnement, note Daniel Briez, mais intéressez-vous aussi à celles qui vous dérangent ; elles ont sûrement quelque chose à vous montrer. » Optez pour un professionnel dûment formé, à la fois calé sur les vertus des différentes pierres, perceptif et non-manipulateur.

Quelle taille privilégier ?

Selon Daniel Briez, l’efficacité d’une pierre est corrélée à son poids et au vôtre. « Si vous pesez 50kg, une pierre de 20g, même portée dans les poches ou en pendentif, ne mettra rien en mouvement, car elle va se saturer de votre énergie en quelques minutes, estime-t-il. Plus elle sera grosse, plus son action sera rapide et probante. » Pour une masse corporelle de 60kg, il conseille par exemple « une pierre de 80 à 100g, à tenir dans sa main ¼ d’heure par jour ». D’autres spécialistes ne partagent pas cet avis, estimant que le degré d’entropie des pierres et des cristaux est tel que notre énergie individuelle n’est pas prête de la dégrader… « Renseignez-vous également sur la manière dont la pierre a été extraite, polie, acheminée », conseille Daniel Briez, afin de privilégier les filières où l’intervention de l’homme a été la plus respectueuse ou la moins forte – donc la moins préjudiciable aux « qualités fréquentielles » du minéral.

Comment les utiliser ?

On lit beaucoup de choses sur l’usage des pierres. Pour la plupart des spécialistes, mieux vaut pourtant ne pas trop s’y fier, et expérimenter par soi-même. « Ne prenez pas trop de pierres d’un coup, testez-les les unes après les autres, afin de bien observer les effets de chacune », indique Pascal Mahious. Ne vous contentez pas de les avoir dans un coin du salon : « elles nécessitent un contact physique », rappelle Daniel Briez. Spontanément, quand vous le sentez, matin ou soir, prenez-en une quelques minutes dans la main, ou gardez-la une heure avec vous, ou glissez-la sous votre oreiller plusieurs nuits d’affilée. « Evaluez ce qu’il se passe avec et sans la pierre, poursuit Pascal Mahious. Si le résultat semble constant, répétitif, c’est que ça marche pour vous. »

L’intérêt de cette pratique, au-delà de « bon » ou « pas bon », est d’activer la conscience de soi. « Prenez si besoin le temps d’apprivoiser l’énergie de la pierre, complète Daniel Briez, soit parce qu’elle est trop forte pour l’instant, soit parce qu’elle éveille des aspects de votre être qui ne sont pas forcément faciles à aborder dans l’immédiat. »

Pascal Mahious attire aussi l’attention sur l’utilisation du quartz transparent. « C’est la pierre qui a la capacité d’enregistrement la plus facile et la plus puissante, explique-t-il. On peut y engrammer des tas d’informations. Il faut bien se renseigner sur son fonctionnement et veiller à ce qu’elle ne contienne pas d’anciens programmes. Sinon, ça peut donner des choses explosives. »

Comment les entretenir ?

Il est de tradition de recommander de laver les pierres à l’eau ou de les rouler dans le sel à intervalles réguliers, voire de les enterrer ou de les exposer à la lueur de la lune. Objectif : les « décharger » des énergies emmagasinées, puis les « recharger ». « Certaines pierres, comme la labradorite, peuvent même devenir toxiques si on ne les décharge pas, observe Pascal Mahious, car elles finissent par renvoyer les ondes qu’elles ont absorbées. »Le physicien Patrick Drouot, qui s’intéresse aux cristaux depuis de nombreuses années, est plus circonspect sur le besoin de les purifier : « Les pierres sont issues de la formation géologique de la Terre, il y a des millions d’années, rappelle-t-il. Leur état d’équilibre est presque parfait, comme le prouvent les recherches en cristallographie. Ce n’est pas notre petit mal-être qui va venir le perturber ! » L’intérêt de ces pratiques, toutefois, est de créer un lien à la pierre, d’ancrer la conscience de sa fonction et la nécessité de prendre soin – de la pierre, d’abord, et de soi en miroir. A condition, estime Patrick Drouot, de ne pas tomber dans la « magie cérémonielle ». Là encore, expérimentez.

(Source : INREES)
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