Le palais royal suédois est hanté, affirme la reine Silvia
LaPresse.ca
Le palais royal suédois de Drottningholm est hanté - mais les fantômes sont «plutôt amicaux», confie la reine Silvia dans un documentaire diffusé jeudi par la télévision publique SVT.
La reine admet également avoir déjà rencontré les fantômes elle-même.
La résidence royale est située sur une île de l'archipel de Stockholm. Le palais de Drottningholm a été construit au 16e siècle et est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. La famille royale suédoise y habite depuis 1981.
La reine Silvia est mariée au roi Charles XVI Gustave, le chef d'État cérémonial de la Suède. Le couple s'est marié en 1976 après s'être rencontré lors des Jeux olympiques de Munich, en 1972.
La famille royale suédoise demeure extrêmement populaire dans ce pays pourtant fortement égalitaire.
Questions existentielles - page 167
Cet oiseau qui parcourt 3 000 kilomètres à la recherche de femelles
Le bécasseau tacheté vole en moyenne 3 000 kilomètres pendant la saison de reproduction pour augmenter ses chances de s'accoupler et de se reproduire.
SOURCE AFP
Parcourir 3 000 kilomètres en un mois pour multiplier les partenaires. Des scientifiques ont débusqué le roi des coureurs : le bécasseau tacheté, un petit oiseau rond et haut sur pattes, plutôt endurant. Au lieu de s'installer confortablement dans une unique zone de nidification pour profiter de la courte saison de reproduction, la plupart des bécasseaux tachetés « essayent de s'accoupler sur un site pendant quelques jours, puis se déplacent vers un autre site, puis encore vers un autre, et ainsi de suite », explique à l'Agence France-Presse Bart Kempenaers, de l'institut Max-Planck d'ornithologie à Seewiesen, en Allemagne.
Ce type de comportement, de stratégie nomade, était « jusqu'ici inconnu », selon le coauteur de cette étude parue lundi dans la revue britannique Nature. « La concurrence est si rude que la plupart des mâles qui restent sur un unique site ne copulent pas, pas même une seule fois », précise le chercheur.
Record : 13 000 kilomètres
Après avoir parcouru la moitié du globe pour atteindre leurs aires de reproduction dans l'Arctique, la majorité des bécasseaux tachetés mâles volent encore 3 000 kilomètres supplémentaires (en moyenne), visitant jusqu'à 24 sites de reproduction en un mois, une véritable course contre la montre. Un des oiseaux observés a même parcouru la distance de 13 000 kilomètres, selon cette étude. « Les mâles se déplacent à travers toute la zone de reproduction pour augmenter leurs chances de se reproduire plusieurs fois », avance Mihai Valcu également de l'institut Max-Planck d'ornithologie et coauteur de l'étude.
Avec cette technique, le champion de la zone étudiée par les chercheurs a séduit 6 femelles et engendré 22 descendants. Mais cette stratégie pourrait, à long terme, avoir peu d'intérêt pour l'espèce.
La sélection sexuelle, chère à Darwin, est l'un des moteurs de l'évolution. Dans le cas des bécasseaux tachetés, les mâles qui sont capables de réduire leur temps de sommeil pour voler de longues distances prennent l'avantage sur les plus faibles. Mais par contre, les spécificités génétiques qui pourraient se développer localement et permettre aux individus de s'adapter aux changements locaux sont continuellement gommées par le brassage général et continuel de la population. Selon l'étude, cela peut conduire à une population moins susceptible de se diversifier génétiquement en sous-populations distinctes et donc moins apte à s'adapter aux évolutions spécifiques des régions.
Le bécasseau tacheté vole en moyenne 3 000 kilomètres pendant la saison de reproduction pour augmenter ses chances de s'accoupler et de se reproduire.
SOURCE AFP
Parcourir 3 000 kilomètres en un mois pour multiplier les partenaires. Des scientifiques ont débusqué le roi des coureurs : le bécasseau tacheté, un petit oiseau rond et haut sur pattes, plutôt endurant. Au lieu de s'installer confortablement dans une unique zone de nidification pour profiter de la courte saison de reproduction, la plupart des bécasseaux tachetés « essayent de s'accoupler sur un site pendant quelques jours, puis se déplacent vers un autre site, puis encore vers un autre, et ainsi de suite », explique à l'Agence France-Presse Bart Kempenaers, de l'institut Max-Planck d'ornithologie à Seewiesen, en Allemagne.
Ce type de comportement, de stratégie nomade, était « jusqu'ici inconnu », selon le coauteur de cette étude parue lundi dans la revue britannique Nature. « La concurrence est si rude que la plupart des mâles qui restent sur un unique site ne copulent pas, pas même une seule fois », précise le chercheur.
Record : 13 000 kilomètres
Après avoir parcouru la moitié du globe pour atteindre leurs aires de reproduction dans l'Arctique, la majorité des bécasseaux tachetés mâles volent encore 3 000 kilomètres supplémentaires (en moyenne), visitant jusqu'à 24 sites de reproduction en un mois, une véritable course contre la montre. Un des oiseaux observés a même parcouru la distance de 13 000 kilomètres, selon cette étude. « Les mâles se déplacent à travers toute la zone de reproduction pour augmenter leurs chances de se reproduire plusieurs fois », avance Mihai Valcu également de l'institut Max-Planck d'ornithologie et coauteur de l'étude.
Avec cette technique, le champion de la zone étudiée par les chercheurs a séduit 6 femelles et engendré 22 descendants. Mais cette stratégie pourrait, à long terme, avoir peu d'intérêt pour l'espèce.
La sélection sexuelle, chère à Darwin, est l'un des moteurs de l'évolution. Dans le cas des bécasseaux tachetés, les mâles qui sont capables de réduire leur temps de sommeil pour voler de longues distances prennent l'avantage sur les plus faibles. Mais par contre, les spécificités génétiques qui pourraient se développer localement et permettre aux individus de s'adapter aux changements locaux sont continuellement gommées par le brassage général et continuel de la population. Selon l'étude, cela peut conduire à une population moins susceptible de se diversifier génétiquement en sous-populations distinctes et donc moins apte à s'adapter aux évolutions spécifiques des régions.
Le mystère de la naissance de la Lune enfin éclairci ?
FranceInfo
ne étude israélienne ravive un ancien scénario.
La Lune est la fidèle compagne de la Terre depuis 4,5 milliards d'années. Mais le mystère de son origine n'a pas encore été résolu de façon définitive. Une étude israélienne, publiée lundi 9 janvier dans la revue Nature Geoscience (en anglais), ravive un ancien scénario : de multiples impacts de corps célestes sur notre planète embryonnaire pourraient être à l'origine de la formation de notre satellite naturel.
L'hypothèse la plus largement répandue est celle d'une seule et énorme collision entre la Terre et un corps de la taille de Mars, peu après la formation du système solaire. La collision aurait arraché une grande partie de la matière de la Terre qui, plus tard, se serait agglomérée pour former notre satellite. Mais avec un tel scénario, les scientifiques estiment qu'un cinquième du matériel de la Lune devrait provenir de la Terre et le reste du deuxième corps. Or, les échantillons provenant de la Terre et la Lune sont pratiquement identiques.
Proto-terre et mini-lunes
Trois scientifiques israéliens ont créé, par simulation numérique, près d'un millier de collisions entre une proto-Terre - le nom donné au premier stade géologique de la Terre - et des planètes embryonnaires, plus petites que Mars. Ils ont constaté que chaque collision de ce type entraînait la formation d'un disque de débris autour de la Terre. Les morceaux se compactent ensuite pour former une mini-lune. Si le phénomène se répète, plusieurs mini-lunes se créent qui assemblées peuvent donner naissance à la Lune.
Une vingtaine d'accidents de ce genre auraient été nécessaires pour construire le satellite de la Terre. Selon les simulations des chercheurs, les impacts générés par les planètes embryonnaires produisent des mini-lunes essentiellement composés par des éléments terrestres et non par l'impacteur. L'équipe admet toutefois que des recherches plus approfondies sont nécessaires pour expliquer la mécanique de fusion des mini-lunes en Lune.
FranceInfo
ne étude israélienne ravive un ancien scénario.
La Lune est la fidèle compagne de la Terre depuis 4,5 milliards d'années. Mais le mystère de son origine n'a pas encore été résolu de façon définitive. Une étude israélienne, publiée lundi 9 janvier dans la revue Nature Geoscience (en anglais), ravive un ancien scénario : de multiples impacts de corps célestes sur notre planète embryonnaire pourraient être à l'origine de la formation de notre satellite naturel.
L'hypothèse la plus largement répandue est celle d'une seule et énorme collision entre la Terre et un corps de la taille de Mars, peu après la formation du système solaire. La collision aurait arraché une grande partie de la matière de la Terre qui, plus tard, se serait agglomérée pour former notre satellite. Mais avec un tel scénario, les scientifiques estiment qu'un cinquième du matériel de la Lune devrait provenir de la Terre et le reste du deuxième corps. Or, les échantillons provenant de la Terre et la Lune sont pratiquement identiques.
Proto-terre et mini-lunes
Trois scientifiques israéliens ont créé, par simulation numérique, près d'un millier de collisions entre une proto-Terre - le nom donné au premier stade géologique de la Terre - et des planètes embryonnaires, plus petites que Mars. Ils ont constaté que chaque collision de ce type entraînait la formation d'un disque de débris autour de la Terre. Les morceaux se compactent ensuite pour former une mini-lune. Si le phénomène se répète, plusieurs mini-lunes se créent qui assemblées peuvent donner naissance à la Lune.
Une vingtaine d'accidents de ce genre auraient été nécessaires pour construire le satellite de la Terre. Selon les simulations des chercheurs, les impacts générés par les planètes embryonnaires produisent des mini-lunes essentiellement composés par des éléments terrestres et non par l'impacteur. L'équipe admet toutefois que des recherches plus approfondies sont nécessaires pour expliquer la mécanique de fusion des mini-lunes en Lune.
Dans les Hauts-de-France, les tomates vont produire de l'électricité
RTL
C'est un fruit généralement associé au Sud. Mais dans la région lilloise, on va bientôt cultiver des tomates sous serre qui fourniront des mégawatts.
Révolution potagère en vue. Dans un mois, dans les Hauts-de-France, les premiers coups de pelle vont être donnés pour la construction de gigantesques serres à l'abri desquelles on cultivera pour la première fois des tomates. On les appellera peut-être les "chti'tomates", qui sait ? Dans tous les cas, c'est un chantier quasi-pharaonique. Ce projet annoncé depuis des années va donc voir le jour à Arques, à 60 kilomètres de Lille. Le complexe fait 9 hectares. Il y a seulement vingt ans, un demi-hectare était considéré comme une grande serre. L'investissement a représenté 15 millions d'investissement, avec 45 emplois à la clé.
On croyait la région réservée à l'endive (le chicon, comme on l'appelle là-bas) ? Pas du tout. D'abord parce que la tomate est certes un fruit du soleil, mais elle pousse partout. On en trouve sous serre jusqu'au nord du cercle polaire. Ensuite parce que les Hauts-de-France étaient la dernière région à ne pas pratiquer cette culture à grande échelle, dont la demande explose. Un producteur belge, la famille Vandevelde, a donc fait le pari de la tomate de Lille avec ce Tomatoland à la pointe de la technologie, puisqu'on va aussi produire ici de l'électricité.
Première récolte dans un peu plus d'un an
Cela s'appelle la cogénération. En été et en hiver, les serres doivent être à température constante (18 degrés). Des turbines à gaz chauffent donc l'ensemble et produisent aussi de l'électricité, qui est revendue à EDF. Les serres d'Arques pourront éclairer une ville d'environ 15.000 habitants. Le complexe sera donc à la pointe de la modernité. Le fruit fait l'objet d'incroyables attentions. Il s'agit de ne pas stresser la tomate.
À quand les premières productions des Hauts-de-France dans nos assiettes ? Il faudra encore un peu de patience. Les premiers semis auront lieu en novembre prochain ; la première récolte, dans un peu plus d'un an. Des rondes et des grappes pour commencer. Il y aura alors sur le marché, par an, 5.500 tonnes de "chti'tomates". Vous ne pourrez pas y échapper.
RTL
C'est un fruit généralement associé au Sud. Mais dans la région lilloise, on va bientôt cultiver des tomates sous serre qui fourniront des mégawatts.
Révolution potagère en vue. Dans un mois, dans les Hauts-de-France, les premiers coups de pelle vont être donnés pour la construction de gigantesques serres à l'abri desquelles on cultivera pour la première fois des tomates. On les appellera peut-être les "chti'tomates", qui sait ? Dans tous les cas, c'est un chantier quasi-pharaonique. Ce projet annoncé depuis des années va donc voir le jour à Arques, à 60 kilomètres de Lille. Le complexe fait 9 hectares. Il y a seulement vingt ans, un demi-hectare était considéré comme une grande serre. L'investissement a représenté 15 millions d'investissement, avec 45 emplois à la clé.
On croyait la région réservée à l'endive (le chicon, comme on l'appelle là-bas) ? Pas du tout. D'abord parce que la tomate est certes un fruit du soleil, mais elle pousse partout. On en trouve sous serre jusqu'au nord du cercle polaire. Ensuite parce que les Hauts-de-France étaient la dernière région à ne pas pratiquer cette culture à grande échelle, dont la demande explose. Un producteur belge, la famille Vandevelde, a donc fait le pari de la tomate de Lille avec ce Tomatoland à la pointe de la technologie, puisqu'on va aussi produire ici de l'électricité.
Première récolte dans un peu plus d'un an
Cela s'appelle la cogénération. En été et en hiver, les serres doivent être à température constante (18 degrés). Des turbines à gaz chauffent donc l'ensemble et produisent aussi de l'électricité, qui est revendue à EDF. Les serres d'Arques pourront éclairer une ville d'environ 15.000 habitants. Le complexe sera donc à la pointe de la modernité. Le fruit fait l'objet d'incroyables attentions. Il s'agit de ne pas stresser la tomate.
À quand les premières productions des Hauts-de-France dans nos assiettes ? Il faudra encore un peu de patience. Les premiers semis auront lieu en novembre prochain ; la première récolte, dans un peu plus d'un an. Des rondes et des grappes pour commencer. Il y aura alors sur le marché, par an, 5.500 tonnes de "chti'tomates". Vous ne pourrez pas y échapper.
Elle gardait près de 600 rats dans son appartement
Lapresse.ca
Une femme fait face à des accusations après la découverte de centaines de rats dans son appartement à North Bay, en Ontario, ont indiqué des responsables de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA), lundi.
Un porte-parole de la SPCA à North Bay, Daryl Vaillancourt, a expliqué que «la plupart» des rats se déplaçaient librement dans le logement lorsque des inspecteurs s'y sont rendus, le 16 décembre, pour enquêter après avoir reçu des informations au sujet d'un grand nombre de rats domestiques gardés dans un appartement.
Selon M. Vaillancourt, la femme s'est volontairement départie de près de 600 rats, qui ont été retirés de l'appartement sur une période de plusieurs jours.
Les rats ont été confiés à d'autres sections de la SPCA et à des refuges pour animaux de l'Ontario, où l'on tentera de leur trouver de nouveaux lieux de vie.
La femme, âgée de 51 ans, doit comparaître en cour le 3 février à North Bay pour faire face à quatre accusations en vertu de la loi sur la protection des animaux de l'Ontario.
Lapresse.ca
Une femme fait face à des accusations après la découverte de centaines de rats dans son appartement à North Bay, en Ontario, ont indiqué des responsables de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA), lundi.
Un porte-parole de la SPCA à North Bay, Daryl Vaillancourt, a expliqué que «la plupart» des rats se déplaçaient librement dans le logement lorsque des inspecteurs s'y sont rendus, le 16 décembre, pour enquêter après avoir reçu des informations au sujet d'un grand nombre de rats domestiques gardés dans un appartement.
Selon M. Vaillancourt, la femme s'est volontairement départie de près de 600 rats, qui ont été retirés de l'appartement sur une période de plusieurs jours.
Les rats ont été confiés à d'autres sections de la SPCA et à des refuges pour animaux de l'Ontario, où l'on tentera de leur trouver de nouveaux lieux de vie.
La femme, âgée de 51 ans, doit comparaître en cour le 3 février à North Bay pour faire face à quatre accusations en vertu de la loi sur la protection des animaux de l'Ontario.
16 aliments à bannir pour diminuer les risques de cancer
J'aime courir
En petite quantité, de nombreux aliments de notre quotidien ne présentent aucun risque pour la santé. En revanche, une consommation régulière de certains d’entre eux accroit les risques de cancer et de maladie vasculaire.
1. Les tomates en conserve
Alors que les tomates fraîches sont considérés à juste titre comme un légume efficace contre le cancer, les tomates en conserve ne rentrent pas du tout dans la même catégorie. En fait, certaines conserves sont dangereuses en raison de la composition chimique de l’acier. La doublure est souvent fabriquée avec du bisphénol-A, très mauvais pour l’homme.
2. Les sodas
Plusieurs études ont montré que les personnes qui consommaient plus d’un soda par jour avaient un risque d’AVC plus élevé que les personnes qui ne boivent pas de sodas. Contenant énormément de sucres, les sodas sont des sources de calories et n’ont que des effets néfastes sur votre corps.
3. Le saumon d’élevage
Bien que le poisson soit l’un des aliments les plus sains, le saumon d’élevage est à éviter absolument.
En effet, ces saumons d’élevage sont nourris à base d’aliments non naturels et sont contaminés par les produits chimiques, les antibiotiques, les pesticides et d’autres substances cancérogènes qui profilèrent dans les bassins où ils grandissent.
4. Les viandes transformées
La liste des viandes transformées est longue et comprend entre autres : les saucisses, hot-dogs, le bacon, la plupart des viandes des plats préparés, la sauce bolognaise…
Toutes ces viandes transformées contiennent de nombreux produits chimiques et des conservateurs, du sel en grande quantité, et des nitrates de sodium connus pour être cancérigènes.
5. Le popcorn au micro-onde
Le sachet qui contient ce popcorn est recouvert d’un produit chimique appelé acide perfluorooctanoïque, un composant qui agirait en faveur de l’infertilité chez les femmes. Ce composant augmenterait aussi les risques de cancer du rein, de la vessie, du foie, du pancréas et des testicules. Un produit à bannir définitivement!
6. Les chips
En plus d’être plein de graisses qui peuvent causer des taux de cholestérol élevé, les chips ont un niveau excessive de sodium ce qui peut provoquer une tension artérielle élevée.
Elles contiennent aussi des arômes artificiels, de nombreux conservateurs et des colorants. Enfin, elles sont frits à des températures élevées, ce qui les amène à produire de l’acrylamide, un agent cancérogène connu qui se trouve aussi dans les cigarettes.
7. Les graisses végétales hydrogénées
Toutes les huiles végétales hydrogénées contiennent des niveaux élevés d’acides gras et d’oméga-6. Un excès d’oméga-6 cause des problèmes de santé, tels que les maladies cardiaques et augmentent le risque de plusieurs cancers, notamment celui de la peau.
8. Les OGM
Dans une étude réalisée par l’Institut Rowett en Ecosse, des rats ont été nourris avec des aliments OGM. Tous ces rats ont vu leur système immunitaire s’endommager, des cellules pré-cancéreuses apparaitre, et avaient un cerveau moins développé que ceux nourris sans OGM.
9. Les sucres raffinés
Les sucres raffinés provoquent non seulement des pics d’insuline, mais sont aussi les alliés préférés des cellules cancéreuses et favorisent ainsi leur croissance. Les tumeurs et les cancers se nourrissent des sucres pour augmenter leur taille. La hausse du nombre de cancers s’expliquent en partie par notre alimentation qui contient toujours plus de sucres.
10. Les édulcorants artificiels
Les produits chimiques qui composent ces édulcorants artificiels, en particulier l’aspartame, se dissolvent dans le corps en une toxine mortelle appelée DKP. Lorsque votre estomac traite cette toxine, il produit à son tour d’autres toxines qui peuvent causer des cancers et des tumeurs du cerveau.
11. La farine industrielle
L’affinage industriel des grains de blé de farine détruit tous ses nutriments naturels. La farine ne blanchit plus avec le temps comme à l’époque des moulins, mais elle est blanchie avec du chlore chimique, nocif pour le corps. Le niveau glycémique très élevé de la farine augmente le niveau de sucre dans le sang, ce qui peut être une cause directe du diabète.
12. L’alcool
La consommation d’alcool est la deuxième cause de cancer, juste derrière le tabac. Bien qu’une consommation faible de certains alcools peut avoir des effets bénéfiques sur la santé et diminuer le risque de maladie cardiaque, la consommation excessive d’alcool est connu pour provoquer insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral et mort subite.
13. La viande rouge
En petite quantité, la consommation de viande rouge est bonne pour votre santé. Cela vaut surtout pour les animaux élevés en plein air et nourris à l’herbe.
En revanche, une consommation régulière augmente de 20% le risque de cancer, notamment ceux de la prostate, du côlon et du sein. Encore une fois, il est nécessaire d’avoir une alimentation saine et variée.
14. La charcuterie
Les personnes qui consomment régulièrement de la charcuterie et des salaisons, ont un risque plus élevé d’avoir des cancers liés à l’appareil digestif. Ceci s’explique par la présence de nitrites de sodium dans ces aliments. Les nitrites de sodium peuvent donner naissance à des cellules cancéreuses, les nitrosamines, qui favorisent notamment le cancer de l’estomac et de l’oesophage.
15. Les céréales de petit déjeuner
Certains céréales de petit déjeuner contiennent des quantités de vitamine A, de zinc et de niacine largement au dessus des besoins du corps humain. Un apport excessif de vitamine A peut être lié à des lésions du foie, des anomalies du squelette, et la perte de cheveux. Un niveau de zinc excessif peut altérer le système immunitaire, qui est la première défense de votre corps contre les maladies infectieuses mortelles.
16. Les aliments frits
Les aliments frits sont les plus dangereux que vous pouvez manger quotidiennement. La palme revient même aux aliments panés qui sont les plus mauvais pour votre santé. Tous ces aliments provoquent gain de poids, obésité et taux de cholestérol élevé, qui sont les principales causes des maladies cardiaques.
J'aime courir
En petite quantité, de nombreux aliments de notre quotidien ne présentent aucun risque pour la santé. En revanche, une consommation régulière de certains d’entre eux accroit les risques de cancer et de maladie vasculaire.
1. Les tomates en conserve
Alors que les tomates fraîches sont considérés à juste titre comme un légume efficace contre le cancer, les tomates en conserve ne rentrent pas du tout dans la même catégorie. En fait, certaines conserves sont dangereuses en raison de la composition chimique de l’acier. La doublure est souvent fabriquée avec du bisphénol-A, très mauvais pour l’homme.
2. Les sodas
Plusieurs études ont montré que les personnes qui consommaient plus d’un soda par jour avaient un risque d’AVC plus élevé que les personnes qui ne boivent pas de sodas. Contenant énormément de sucres, les sodas sont des sources de calories et n’ont que des effets néfastes sur votre corps.
3. Le saumon d’élevage
Bien que le poisson soit l’un des aliments les plus sains, le saumon d’élevage est à éviter absolument.
En effet, ces saumons d’élevage sont nourris à base d’aliments non naturels et sont contaminés par les produits chimiques, les antibiotiques, les pesticides et d’autres substances cancérogènes qui profilèrent dans les bassins où ils grandissent.
4. Les viandes transformées
La liste des viandes transformées est longue et comprend entre autres : les saucisses, hot-dogs, le bacon, la plupart des viandes des plats préparés, la sauce bolognaise…
Toutes ces viandes transformées contiennent de nombreux produits chimiques et des conservateurs, du sel en grande quantité, et des nitrates de sodium connus pour être cancérigènes.
5. Le popcorn au micro-onde
Le sachet qui contient ce popcorn est recouvert d’un produit chimique appelé acide perfluorooctanoïque, un composant qui agirait en faveur de l’infertilité chez les femmes. Ce composant augmenterait aussi les risques de cancer du rein, de la vessie, du foie, du pancréas et des testicules. Un produit à bannir définitivement!
6. Les chips
En plus d’être plein de graisses qui peuvent causer des taux de cholestérol élevé, les chips ont un niveau excessive de sodium ce qui peut provoquer une tension artérielle élevée.
Elles contiennent aussi des arômes artificiels, de nombreux conservateurs et des colorants. Enfin, elles sont frits à des températures élevées, ce qui les amène à produire de l’acrylamide, un agent cancérogène connu qui se trouve aussi dans les cigarettes.
7. Les graisses végétales hydrogénées
Toutes les huiles végétales hydrogénées contiennent des niveaux élevés d’acides gras et d’oméga-6. Un excès d’oméga-6 cause des problèmes de santé, tels que les maladies cardiaques et augmentent le risque de plusieurs cancers, notamment celui de la peau.
8. Les OGM
Dans une étude réalisée par l’Institut Rowett en Ecosse, des rats ont été nourris avec des aliments OGM. Tous ces rats ont vu leur système immunitaire s’endommager, des cellules pré-cancéreuses apparaitre, et avaient un cerveau moins développé que ceux nourris sans OGM.
9. Les sucres raffinés
Les sucres raffinés provoquent non seulement des pics d’insuline, mais sont aussi les alliés préférés des cellules cancéreuses et favorisent ainsi leur croissance. Les tumeurs et les cancers se nourrissent des sucres pour augmenter leur taille. La hausse du nombre de cancers s’expliquent en partie par notre alimentation qui contient toujours plus de sucres.
10. Les édulcorants artificiels
Les produits chimiques qui composent ces édulcorants artificiels, en particulier l’aspartame, se dissolvent dans le corps en une toxine mortelle appelée DKP. Lorsque votre estomac traite cette toxine, il produit à son tour d’autres toxines qui peuvent causer des cancers et des tumeurs du cerveau.
11. La farine industrielle
L’affinage industriel des grains de blé de farine détruit tous ses nutriments naturels. La farine ne blanchit plus avec le temps comme à l’époque des moulins, mais elle est blanchie avec du chlore chimique, nocif pour le corps. Le niveau glycémique très élevé de la farine augmente le niveau de sucre dans le sang, ce qui peut être une cause directe du diabète.
12. L’alcool
La consommation d’alcool est la deuxième cause de cancer, juste derrière le tabac. Bien qu’une consommation faible de certains alcools peut avoir des effets bénéfiques sur la santé et diminuer le risque de maladie cardiaque, la consommation excessive d’alcool est connu pour provoquer insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral et mort subite.
13. La viande rouge
En petite quantité, la consommation de viande rouge est bonne pour votre santé. Cela vaut surtout pour les animaux élevés en plein air et nourris à l’herbe.
En revanche, une consommation régulière augmente de 20% le risque de cancer, notamment ceux de la prostate, du côlon et du sein. Encore une fois, il est nécessaire d’avoir une alimentation saine et variée.
14. La charcuterie
Les personnes qui consomment régulièrement de la charcuterie et des salaisons, ont un risque plus élevé d’avoir des cancers liés à l’appareil digestif. Ceci s’explique par la présence de nitrites de sodium dans ces aliments. Les nitrites de sodium peuvent donner naissance à des cellules cancéreuses, les nitrosamines, qui favorisent notamment le cancer de l’estomac et de l’oesophage.
15. Les céréales de petit déjeuner
Certains céréales de petit déjeuner contiennent des quantités de vitamine A, de zinc et de niacine largement au dessus des besoins du corps humain. Un apport excessif de vitamine A peut être lié à des lésions du foie, des anomalies du squelette, et la perte de cheveux. Un niveau de zinc excessif peut altérer le système immunitaire, qui est la première défense de votre corps contre les maladies infectieuses mortelles.
16. Les aliments frits
Les aliments frits sont les plus dangereux que vous pouvez manger quotidiennement. La palme revient même aux aliments panés qui sont les plus mauvais pour votre santé. Tous ces aliments provoquent gain de poids, obésité et taux de cholestérol élevé, qui sont les principales causes des maladies cardiaques.
Dernière édition par photos le 15 Jan 2017, 10:21, édité 1 fois.
Inde : 150 vers ont été retirés de l’estomac d’une patiente
Actu Santé
Plus de cent vers ont été retrouvés dans l’estomac d’une patiente indienne. Le mode de vie insalubre semble mis en cause.
Un chirurgien stupéfait
Neha Begum, 22 ans, a été hospitalisée d’urgence au nord de l’Inde pour de forts maux de ventre et des vomissements depuis plusieurs mois.
Après un examen de l’abdomen et une intervention chirugicale, les médecins ne s’attendaient pas à faire une telle découverte… La jeune femme vivait depuis plusieurs mois avec 150 vers dans l’estomac. Un «choc» pour le docteur Anand Prakash Tiwari qui l’a opérée.
Déjà confronté à quelques cas similaires, il n’avait toutefois jamais vu autant de vers dans l’estomac d’un patient. «Nous avons rencontré des patients avec trois ou quatre vers de terre, mais c'est la première fois que nous en rencontrons un si grand nombre», commente-t-il.
«Les œufs de ces vers sont habituellement trouvés dans de l'eau impure et des légumes verts. Une bonne hygiène de base peut éviter de tels problèmes », a-t-il conclu.
Actu Santé
Plus de cent vers ont été retrouvés dans l’estomac d’une patiente indienne. Le mode de vie insalubre semble mis en cause.
Un chirurgien stupéfait
Neha Begum, 22 ans, a été hospitalisée d’urgence au nord de l’Inde pour de forts maux de ventre et des vomissements depuis plusieurs mois.
Après un examen de l’abdomen et une intervention chirugicale, les médecins ne s’attendaient pas à faire une telle découverte… La jeune femme vivait depuis plusieurs mois avec 150 vers dans l’estomac. Un «choc» pour le docteur Anand Prakash Tiwari qui l’a opérée.
Déjà confronté à quelques cas similaires, il n’avait toutefois jamais vu autant de vers dans l’estomac d’un patient. «Nous avons rencontré des patients avec trois ou quatre vers de terre, mais c'est la première fois que nous en rencontrons un si grand nombre», commente-t-il.
«Les œufs de ces vers sont habituellement trouvés dans de l'eau impure et des légumes verts. Une bonne hygiène de base peut éviter de tels problèmes », a-t-il conclu.
Haute-Garonne: Les gendarmes interviennent pour arrêter… un cochon
20 minutes
INSOLITE Un cochon domestique s’est offert une balade sur la commune de L’Isle-en-Dodon, en Haute-Garonne, lundi. L’animal a été interpellé sans heurt…
Po-ly-va-len-ce. C’est le maître mot dans beaucoup de métiers, dont celui de gendarme. Avertis par des automobilistes, les militaires de la brigade de L’Isle-en-Dodon ont ainsi dû intervenir, lundi après-midi, pour mettre fin à la divagation d’un cochon domestique. Cette truie d’un an et demi s’était offert une balade dans le centre de ce village de 1.800 habitants, situé à l’ouest de la Haute-Garonne, aux portes du Gers.
Remis à son propriétaire
Le propriétaire de l’animal a pu être retrouvé, avec l’aide de la police municipale et d’un employé communal. Le suidé, qui n’a pas fait de dégât ni de blessé pendant son périple, lui a été restitué.
20 minutes
INSOLITE Un cochon domestique s’est offert une balade sur la commune de L’Isle-en-Dodon, en Haute-Garonne, lundi. L’animal a été interpellé sans heurt…
Po-ly-va-len-ce. C’est le maître mot dans beaucoup de métiers, dont celui de gendarme. Avertis par des automobilistes, les militaires de la brigade de L’Isle-en-Dodon ont ainsi dû intervenir, lundi après-midi, pour mettre fin à la divagation d’un cochon domestique. Cette truie d’un an et demi s’était offert une balade dans le centre de ce village de 1.800 habitants, situé à l’ouest de la Haute-Garonne, aux portes du Gers.
Remis à son propriétaire
Le propriétaire de l’animal a pu être retrouvé, avec l’aide de la police municipale et d’un employé communal. Le suidé, qui n’a pas fait de dégât ni de blessé pendant son périple, lui a été restitué.
Cette nouvelle espèce de mite appelée Trump pour sa coiffure singulière
Leparisien
Il s'agit de la première espèce animale à recevoir officiellement le nom du président élu des États-Unis.
L'insecte se nomme «Neopalda Donaldtrumpi». Après avoir découvert une nouvelle espèce de mite, un scientifique canadien a décider de lui donner le nom du futur président des États-Unis, qui sera investi vendredi. La raison : la ressemblance du papillon de nuit avec la coiffure de l'homme d'affaire.
Vazrick Nazai s'est dit frappé par la ressemblance entre les écailles dorées sur la tête de la mite et la chevelure du magnat de l'immobilier. Il dit aussi avoir choisi le nom de ce petit papillon de nuit de 9 millimètres par souci écologique, afin d'attirer «davantage l'attention sur la protection de fragiles habitats aux États-Unis qui abritent encore beaucoup d'espèces inconnues».
Cette mite, première espèce scientifiquement baptisée en référence à Trump, se trouve dans le sud de la Californie mais son habitat s'étend à la Basse Californie au Mexique. L'an dernier, un papillon trouvé dans l'Amazonie au Pérou avait été surnommé de manière informelle «Trumpapillar» à cause du duvet jaune orangé qui le recouvrait.
D'après la revue scientifique Live Science, il y a neuf espèces qui portent le nom du président sortant Barack Obama, plus qu'aucun autre président, dont un poisson que l'on trouve dans un récit corallien d'Hawaï et une mygale.
Leparisien
Il s'agit de la première espèce animale à recevoir officiellement le nom du président élu des États-Unis.
L'insecte se nomme «Neopalda Donaldtrumpi». Après avoir découvert une nouvelle espèce de mite, un scientifique canadien a décider de lui donner le nom du futur président des États-Unis, qui sera investi vendredi. La raison : la ressemblance du papillon de nuit avec la coiffure de l'homme d'affaire.
Vazrick Nazai s'est dit frappé par la ressemblance entre les écailles dorées sur la tête de la mite et la chevelure du magnat de l'immobilier. Il dit aussi avoir choisi le nom de ce petit papillon de nuit de 9 millimètres par souci écologique, afin d'attirer «davantage l'attention sur la protection de fragiles habitats aux États-Unis qui abritent encore beaucoup d'espèces inconnues».
Cette mite, première espèce scientifiquement baptisée en référence à Trump, se trouve dans le sud de la Californie mais son habitat s'étend à la Basse Californie au Mexique. L'an dernier, un papillon trouvé dans l'Amazonie au Pérou avait été surnommé de manière informelle «Trumpapillar» à cause du duvet jaune orangé qui le recouvrait.
D'après la revue scientifique Live Science, il y a neuf espèces qui portent le nom du président sortant Barack Obama, plus qu'aucun autre président, dont un poisson que l'on trouve dans un récit corallien d'Hawaï et une mygale.
Grâce à leur GPS intégré, les fourmis peuvent se guider même à reculons
yahoo
"Faites demi-tour sans vous retourner". Les fourmis possèdent un système de navigation GPS très sophistiqué qui leur permet de se diriger sans problème même en marchant à reculons quand elles transportent de lourdes charges de nourriture. C'est ce qu'ont découvert des chercheurs qui ont publié leur étude dans la revue américaine Current Biology (en anglais), jeudi 19 janvier.
Pas de boîtier collé sur leur pare-brise ni de voix robotique pour leur dire de tourner à gauche dès que possible, mais une mémoire visuelle des lieux super puissante, qui leur permet, en fonction de la position du Soleil, de se guider et retrouver le chemin de leur fourmilière. Ces scientifiques ont en effet observé que les fourmis marchant à reculons s'arrêtaient à certains moments pour regarder autour d'elles afin de vérifier les alentours et utiliser cette information pour établir leur itinéraire à venir.
Même si les fourmis marchent généralement en avant quand elles transportent de petits morceaux de nourriture, elles se déplacent souvent à reculons pour tirer de lourdes charges. Ces observations suggèrent que les fourmis sont apparemment capables de reconnaître le monde autour d'elles quelle que soit la direction à laquelle elles font face. Elles peuvent aussi maintenir leur cap en se déplaçant dans toutes les directions, en avant, en arrière ou latéralement. Pratique.
Une source d'inspiration pour guider des robots
Pour comprendre comment ces insectes font face à différents obstacles et ajustent leur trajet pour retrouver le chemin de leur fourmilière, ces chercheurs ont mis à l'épreuve des fourmis du désert dans leur environnement naturel. Ils ont notamment constaté que des fourmis allaient dans la mauvaise direction quand un miroir était utilisé pour altérer leur perception de la position du Soleil.
Cette découverte suggère qu'elles sont capables de saisir les interactions spatiales dans le monde extérieur, et pas seulement par rapport à elles-mêmes. Cette capacité remarquable d'ajustement pour naviguer pourrait être une source d'inspiration pour créer de nouveaux logiciels d'ordinateur visant à guider des robots, estiment ces chercheurs.
"Les fourmis ont un cerveau relativement petit dont la taille est inférieure à une tête d'épingle mais elles peuvent malgré cela naviguer sans problème dans des conditions difficiles", relève le professeur Barbara Webb de l'université d'Edimbourg. "Comprendre leur comportement nous donne de nouveaux éclairages sur le fonctionnement de leur cerveau et peut nous inspirer pour concevoir des systèmes robotiques reproduisant leurs fonctions cérébrales", ajoute-t-elle
yahoo
"Faites demi-tour sans vous retourner". Les fourmis possèdent un système de navigation GPS très sophistiqué qui leur permet de se diriger sans problème même en marchant à reculons quand elles transportent de lourdes charges de nourriture. C'est ce qu'ont découvert des chercheurs qui ont publié leur étude dans la revue américaine Current Biology (en anglais), jeudi 19 janvier.
Pas de boîtier collé sur leur pare-brise ni de voix robotique pour leur dire de tourner à gauche dès que possible, mais une mémoire visuelle des lieux super puissante, qui leur permet, en fonction de la position du Soleil, de se guider et retrouver le chemin de leur fourmilière. Ces scientifiques ont en effet observé que les fourmis marchant à reculons s'arrêtaient à certains moments pour regarder autour d'elles afin de vérifier les alentours et utiliser cette information pour établir leur itinéraire à venir.
Même si les fourmis marchent généralement en avant quand elles transportent de petits morceaux de nourriture, elles se déplacent souvent à reculons pour tirer de lourdes charges. Ces observations suggèrent que les fourmis sont apparemment capables de reconnaître le monde autour d'elles quelle que soit la direction à laquelle elles font face. Elles peuvent aussi maintenir leur cap en se déplaçant dans toutes les directions, en avant, en arrière ou latéralement. Pratique.
Une source d'inspiration pour guider des robots
Pour comprendre comment ces insectes font face à différents obstacles et ajustent leur trajet pour retrouver le chemin de leur fourmilière, ces chercheurs ont mis à l'épreuve des fourmis du désert dans leur environnement naturel. Ils ont notamment constaté que des fourmis allaient dans la mauvaise direction quand un miroir était utilisé pour altérer leur perception de la position du Soleil.
Cette découverte suggère qu'elles sont capables de saisir les interactions spatiales dans le monde extérieur, et pas seulement par rapport à elles-mêmes. Cette capacité remarquable d'ajustement pour naviguer pourrait être une source d'inspiration pour créer de nouveaux logiciels d'ordinateur visant à guider des robots, estiment ces chercheurs.
"Les fourmis ont un cerveau relativement petit dont la taille est inférieure à une tête d'épingle mais elles peuvent malgré cela naviguer sans problème dans des conditions difficiles", relève le professeur Barbara Webb de l'université d'Edimbourg. "Comprendre leur comportement nous donne de nouveaux éclairages sur le fonctionnement de leur cerveau et peut nous inspirer pour concevoir des systèmes robotiques reproduisant leurs fonctions cérébrales", ajoute-t-elle
Royaume-Uni : pour la première fois, un "homme" va accoucher !
planet.fr
Pour la première fois au Royaume-Uni, un transsexuel va donner naissance à un enfant. Hayden Cross, qui était une femme il y a trois ans, espère devenir "le meilleur papa du monde".
Une première au Royaume-Uni. Après avoir commencé un traitement hormonal il y a trois ans, Hayden Cross est devenu un homme. Et comme le rapporte The Sun jeudi, ce transsexuel est tombé "enceint"
Selon toute logique, Hayden Cross a été obligé de stopper son traitement hormonal depuis le début de sa grossesse. Le jeune homme, âgé de 20 ans et "enceint" depuis 17 semaines, n’en fait pas un drame. "C’est 18 mois en moins de ma vie, mais après je peux revenir immédiatement à la transition".
Il peut remercier... Facebook
Hayden, qui s'appelait Paige avant sa transformation, avait dans un premier temps tenté de faire congeler ses ovocytes auprès des services de santé britanniques. Ces derniers ont refusé cette manipulation. C'est alors que l'homme, qui manquait de moyens pour se payer une clinique privée, a opté pour une solution originale.
Il a trouvé son donneur de sperme grâce à... Facebook ! Ensuite, Hayden a dû compter sur lui-même pour l'insémination, dont on ne connaît pas les détails. Une chose est certaine : l'affaire s'est avérée très efficace.
Hayden Cross a marqué l'histoire de son pays, mais aussi de l'Europe. Il est considéré comme le premier transsexuel du "Vieux Continent" à tomber "enceint". Mais en dehors du continent, l'Américain Thomas Beatie a fait plus fort. Celui qui a participé en France à Secret Story 10 a mis au monde... trois enfants
planet.fr
Pour la première fois au Royaume-Uni, un transsexuel va donner naissance à un enfant. Hayden Cross, qui était une femme il y a trois ans, espère devenir "le meilleur papa du monde".
Une première au Royaume-Uni. Après avoir commencé un traitement hormonal il y a trois ans, Hayden Cross est devenu un homme. Et comme le rapporte The Sun jeudi, ce transsexuel est tombé "enceint"
Selon toute logique, Hayden Cross a été obligé de stopper son traitement hormonal depuis le début de sa grossesse. Le jeune homme, âgé de 20 ans et "enceint" depuis 17 semaines, n’en fait pas un drame. "C’est 18 mois en moins de ma vie, mais après je peux revenir immédiatement à la transition".
Il peut remercier... Facebook
Hayden, qui s'appelait Paige avant sa transformation, avait dans un premier temps tenté de faire congeler ses ovocytes auprès des services de santé britanniques. Ces derniers ont refusé cette manipulation. C'est alors que l'homme, qui manquait de moyens pour se payer une clinique privée, a opté pour une solution originale.
Il a trouvé son donneur de sperme grâce à... Facebook ! Ensuite, Hayden a dû compter sur lui-même pour l'insémination, dont on ne connaît pas les détails. Une chose est certaine : l'affaire s'est avérée très efficace.
Hayden Cross a marqué l'histoire de son pays, mais aussi de l'Europe. Il est considéré comme le premier transsexuel du "Vieux Continent" à tomber "enceint". Mais en dehors du continent, l'Américain Thomas Beatie a fait plus fort. Celui qui a participé en France à Secret Story 10 a mis au monde... trois enfants
Royaume-Uni : mais pourquoi les Anglais manquent-ils de courgettes ?
Planet
Le nord-ouest de l’Angleterre connaît une pénurie de courgettes. Le pire timing pour les clients, qui cherchent à manger sainement après les bonnes résolutions de la nouvelle année…
Le Grand Manchester, comté métropolitain situé au nord-ouest de l’Angleterre, connaît actuellement une pénurie de courgettes. En cause : des problèmes d’importations en raison de la neige qui tombe en Espagne et Italie, pays où le légume vert pousse principalement en Europe occidental.
Le prix de la courgette a quadruplé
Dans les supermarchés de la région, il est très difficile de mettre la main sur une courgette. Le quotidien local explique aussi que cette pénurie arrive au pire moment. En effet, les clients cherchent aujourd'hui à manger le plus sainement possible après les bonnes résolutions de la nouvelle année.
Comme l’indique Metro, le prix à l'achat du légume préféré des Anglais a quadruplé depuis l'été dernier. "Les prix sont très élevés. Ils sont au-dessus de 20 livres (23 euros) pour une boîte de 5 kilogrammes. Donc les distributeurs ne souhaitent pas acheter les courgettes à ce prix-là et préfèrent laisser des rayons vides dans les supermarchés. Pendant l'été, les prix étaient entre 4 et 6 livres (entre 4,6 et 6,9 euros)", assure dans The Guardian, Jodi Voderman, fournisseur au Royaume-Uni des produits de l'entreprise hollandaise de légumes, Valstar Holland.
Les clients très surpris du prix
"Les courgettes sont très chères en ce moment, tout comme les aubergines, mais je ne suis pas certains que ce soit pour la même raison", précise au Manchester Evening News, Daniela Kaye, directrice d'un supermarché à Prestwich, banlieue de Manchester. "Nous les vendons à un coût de revient. Nous n'arrivons pas à les importer. Nous n'en vendons pas assez. J'espère que cette pénurie s'arrêtera vite. Quand les clients arrivent à la caisse du magasin, ils se rendent compte du prix élevé des courgettes et en demandent pour deux fois plus", poursuit Daniela Kaye
Planet
Le nord-ouest de l’Angleterre connaît une pénurie de courgettes. Le pire timing pour les clients, qui cherchent à manger sainement après les bonnes résolutions de la nouvelle année…
Le Grand Manchester, comté métropolitain situé au nord-ouest de l’Angleterre, connaît actuellement une pénurie de courgettes. En cause : des problèmes d’importations en raison de la neige qui tombe en Espagne et Italie, pays où le légume vert pousse principalement en Europe occidental.
Le prix de la courgette a quadruplé
Dans les supermarchés de la région, il est très difficile de mettre la main sur une courgette. Le quotidien local explique aussi que cette pénurie arrive au pire moment. En effet, les clients cherchent aujourd'hui à manger le plus sainement possible après les bonnes résolutions de la nouvelle année.
Comme l’indique Metro, le prix à l'achat du légume préféré des Anglais a quadruplé depuis l'été dernier. "Les prix sont très élevés. Ils sont au-dessus de 20 livres (23 euros) pour une boîte de 5 kilogrammes. Donc les distributeurs ne souhaitent pas acheter les courgettes à ce prix-là et préfèrent laisser des rayons vides dans les supermarchés. Pendant l'été, les prix étaient entre 4 et 6 livres (entre 4,6 et 6,9 euros)", assure dans The Guardian, Jodi Voderman, fournisseur au Royaume-Uni des produits de l'entreprise hollandaise de légumes, Valstar Holland.
Les clients très surpris du prix
"Les courgettes sont très chères en ce moment, tout comme les aubergines, mais je ne suis pas certains que ce soit pour la même raison", précise au Manchester Evening News, Daniela Kaye, directrice d'un supermarché à Prestwich, banlieue de Manchester. "Nous les vendons à un coût de revient. Nous n'arrivons pas à les importer. Nous n'en vendons pas assez. J'espère que cette pénurie s'arrêtera vite. Quand les clients arrivent à la caisse du magasin, ils se rendent compte du prix élevé des courgettes et en demandent pour deux fois plus", poursuit Daniela Kaye
Il n’est pas nécessaire de placer ces aliments au réfrigérateur
foodpowa
Tous les aliments que nous allons vous présenter sont souvent présents dans les compartiments de nos réfrigérateurs alors qu’ils n’y ont pas leur place.
1. La confiture
Tout le monde a déjà rangé sa confiture au frigo. Pourtant, le froid est déconseillé puisqu’il va cristalliser le sucre et endommager le goût du fruit.
2. Les oeufs
C’est souvent par habitude que nous les plaçons dans notre frigo, mais rien ne nous y oblige. Ils sont très bien à température ambiante, comme quand nous les achetons au magasin.
3. Les avocats
Ils sont très à la mode depuis quelques temps et pourtant, nous continuons de mal les conserver. Ils auront beaucoup plus de goût s’ils sont conservés à l’extérieur de votre frigo. Ils mûriront aussi bien mieux à température ambiante.
4. Le ketchup
La bouteille de ketchup est mieux dans un placard que dans un étage de votre frigo. En effet, le froid le rend pâteux et lui fait perdre de sa saveur.
5. Le thon en boite
Encore une fois, lorsque vous le cherchez dans un magasin, il est rangé avec les conserves. Le thon n’a pas besoin d’être au frigo, bien au contraire ! Le froid peut endommager la boite de conserve et rendre le produit dangereux à la consommation.
6. Les abricots
C’est le cas pour beaucoup de fruits comme les nectarines ou les pêches. Le frigo abîme le goût et ralentit le mûrissement de l’abricot. D’où le phénomène des fruits sans saveur.
7. Les cornichons
Ce n’est pas sans raison que vous ne les trouvez pas au rayon frais de votre magasin. En effet, lorsqu’on les conserve au réfrigérateur, les cornichons ne vieillissent plus et perde en saveur. Ils sont plus fermes mais moins aromatisés.
8. Les tomates
Bien qu’il soit très rare de trouver de bonnes tomates dans la grande distribution, lorsque cela vous arrive, laissez-les loin du frigo. En effet, les ranger au réfrigérateur leur fait perdre leur goût.
9. Le miel
Vous avez surement pu le vérifier par vous-même. Le miel que l’on range dans le réfrigérateur est inutilisable. En effet, le sucre se cristallise et cela le rend impossible à consommer, mais abîme aussi son goût.
10. Les bananes
Selon plusieurs études, les bananes conservent mieux leurs valeurs nutritives lorsqu’elles reposent à température ambiante. Le réfrigérateur bloque le mûrissement du fruit et tue certaines de ses qualités gustatives.
foodpowa
Tous les aliments que nous allons vous présenter sont souvent présents dans les compartiments de nos réfrigérateurs alors qu’ils n’y ont pas leur place.
1. La confiture
Tout le monde a déjà rangé sa confiture au frigo. Pourtant, le froid est déconseillé puisqu’il va cristalliser le sucre et endommager le goût du fruit.
2. Les oeufs
C’est souvent par habitude que nous les plaçons dans notre frigo, mais rien ne nous y oblige. Ils sont très bien à température ambiante, comme quand nous les achetons au magasin.
3. Les avocats
Ils sont très à la mode depuis quelques temps et pourtant, nous continuons de mal les conserver. Ils auront beaucoup plus de goût s’ils sont conservés à l’extérieur de votre frigo. Ils mûriront aussi bien mieux à température ambiante.
4. Le ketchup
La bouteille de ketchup est mieux dans un placard que dans un étage de votre frigo. En effet, le froid le rend pâteux et lui fait perdre de sa saveur.
5. Le thon en boite
Encore une fois, lorsque vous le cherchez dans un magasin, il est rangé avec les conserves. Le thon n’a pas besoin d’être au frigo, bien au contraire ! Le froid peut endommager la boite de conserve et rendre le produit dangereux à la consommation.
6. Les abricots
C’est le cas pour beaucoup de fruits comme les nectarines ou les pêches. Le frigo abîme le goût et ralentit le mûrissement de l’abricot. D’où le phénomène des fruits sans saveur.
7. Les cornichons
Ce n’est pas sans raison que vous ne les trouvez pas au rayon frais de votre magasin. En effet, lorsqu’on les conserve au réfrigérateur, les cornichons ne vieillissent plus et perde en saveur. Ils sont plus fermes mais moins aromatisés.
8. Les tomates
Bien qu’il soit très rare de trouver de bonnes tomates dans la grande distribution, lorsque cela vous arrive, laissez-les loin du frigo. En effet, les ranger au réfrigérateur leur fait perdre leur goût.
9. Le miel
Vous avez surement pu le vérifier par vous-même. Le miel que l’on range dans le réfrigérateur est inutilisable. En effet, le sucre se cristallise et cela le rend impossible à consommer, mais abîme aussi son goût.
10. Les bananes
Selon plusieurs études, les bananes conservent mieux leurs valeurs nutritives lorsqu’elles reposent à température ambiante. Le réfrigérateur bloque le mûrissement du fruit et tue certaines de ses qualités gustatives.
Arctique : l'armée enquête sur un bruit mystérieux venu du fond de la mer
Lepoint
Un mystérieux « bip » entendu à plusieurs reprises depuis cet automne par des Inuits intrigue en Arctique. Si bien qu'une patrouille militaire et des spécialistes vont être dépêchés sur place pour enquêter sur le phénomène. Le bruit a été entendu à plusieurs reprises au large du détroit de Fury et Hecla, à environ 2.700 km au nord de Montréal. Et depuis les spéculations vont bon train. Mammifères marins ? Sous-marin étranger ? Hallucination collective ? L'enquête permettra de le déterminer.
Les animaux ont quitté les lieux
Situé entre le Passage du Nord-Ouest et le nord de la Baie d'Hudson, le détroit de Fury est peu profond et est d'ordinaire très fréquenté par les narvals, les baleines boréales, les phoques annelés et les phoques barbus. Mais depuis l'été dernier, la vie animale a disparu, selon les chasseurs inuits. "Il n'y avait plus aucun animal", avait affirmé à l'époque Paul Quassa, élu local de cette région, à l'assemblée législative du Nunavut (territoire autonome inuit), attribuant cette absence à ce "bip". Quelle qu'en soit l'origine, ce bruit "provient du fond de la mer" et éloigne les animaux, avait-il ajouté, après s'être rendu sur place avec les chasseurs l'ayant entendu.
Une première patrouille en novembre
En novembre, l'armée avait déjà été appelée en renfort et avait envoyé un avion de patrouille équipé d'une batterie de radars. Après 1h30 de survol, "aucune anomalie acoustique" ni "aucune présence à la surface de l'eau ou sous-marine" n'ont été constatées, a résumé jeudi à l'AFP Josée Bilodeau, major de la Force opérationnelle interarmées Nord. En revanche, l'équipage de l'appareil a observé deux bancs de baleines et six narvals, a-t-elle remarqué.
A la suite de cette patrouille, l'enquête a été officiellement classée mais, "afin de répondre aux inquiétudes de la population locale", deux soldats spécialistes de l'acoustique vont être dépêchés sur place entre le 25 janvier et le 2 février. Ils vont se joindre à une patrouille de Rangers --un corps de l'armée canadienne formé de réservistes inuits-- qui devait déjà inspecter la zone, a indiqué la major Bilodeau. "Cela va permettre de rassembler des informations de première main auprès de ceux qui avaient rapporté en premier" ce son inconnu, a-t-elle dit.
Lepoint
Un mystérieux « bip » entendu à plusieurs reprises depuis cet automne par des Inuits intrigue en Arctique. Si bien qu'une patrouille militaire et des spécialistes vont être dépêchés sur place pour enquêter sur le phénomène. Le bruit a été entendu à plusieurs reprises au large du détroit de Fury et Hecla, à environ 2.700 km au nord de Montréal. Et depuis les spéculations vont bon train. Mammifères marins ? Sous-marin étranger ? Hallucination collective ? L'enquête permettra de le déterminer.
Les animaux ont quitté les lieux
Situé entre le Passage du Nord-Ouest et le nord de la Baie d'Hudson, le détroit de Fury est peu profond et est d'ordinaire très fréquenté par les narvals, les baleines boréales, les phoques annelés et les phoques barbus. Mais depuis l'été dernier, la vie animale a disparu, selon les chasseurs inuits. "Il n'y avait plus aucun animal", avait affirmé à l'époque Paul Quassa, élu local de cette région, à l'assemblée législative du Nunavut (territoire autonome inuit), attribuant cette absence à ce "bip". Quelle qu'en soit l'origine, ce bruit "provient du fond de la mer" et éloigne les animaux, avait-il ajouté, après s'être rendu sur place avec les chasseurs l'ayant entendu.
Une première patrouille en novembre
En novembre, l'armée avait déjà été appelée en renfort et avait envoyé un avion de patrouille équipé d'une batterie de radars. Après 1h30 de survol, "aucune anomalie acoustique" ni "aucune présence à la surface de l'eau ou sous-marine" n'ont été constatées, a résumé jeudi à l'AFP Josée Bilodeau, major de la Force opérationnelle interarmées Nord. En revanche, l'équipage de l'appareil a observé deux bancs de baleines et six narvals, a-t-elle remarqué.
A la suite de cette patrouille, l'enquête a été officiellement classée mais, "afin de répondre aux inquiétudes de la population locale", deux soldats spécialistes de l'acoustique vont être dépêchés sur place entre le 25 janvier et le 2 février. Ils vont se joindre à une patrouille de Rangers --un corps de l'armée canadienne formé de réservistes inuits-- qui devait déjà inspecter la zone, a indiqué la major Bilodeau. "Cela va permettre de rassembler des informations de première main auprès de ceux qui avaient rapporté en premier" ce son inconnu, a-t-elle dit.
Des pansements fabriqués à partir de toiles d'araignées ?
portail free
En effet, d'après une étude publiée dans la revue Advanced Materials, et relayée par LCI, les toiles tissées par les araignées pourraient servir pour un nouveau type de pansement cicatrisant.
Les chercheurs de l'Université de Nottingham (Royaume-Uni) qui ont travaillé sur le sujet se sont rendus compte que « la soie d'araignée » lorsqu'elle est synthétisée par la bactérie E.coli, et « enrichie » en mini-molécules, peut libérer petit à petit un antibiotique. Ces antibiotiques vont agir sur la plaie comme un antibactérien très efficace. L'application d'un tel « pansement de soie d'araignée » pourrait accélérer la cicatrisation et régénérer la peau.
D'après le site Santelog, cette toile serait « résistante, biocompatible, biodégradable et constituée de protéines qui ne semblent pas provoquer de réaction immunitaire, inflammatoire ou allergique ».
Une découverte très encourageante pour le traitement de certaines plaies comme celles des diabétiques qui demandent un soin particulier.
portail free
En effet, d'après une étude publiée dans la revue Advanced Materials, et relayée par LCI, les toiles tissées par les araignées pourraient servir pour un nouveau type de pansement cicatrisant.
Les chercheurs de l'Université de Nottingham (Royaume-Uni) qui ont travaillé sur le sujet se sont rendus compte que « la soie d'araignée » lorsqu'elle est synthétisée par la bactérie E.coli, et « enrichie » en mini-molécules, peut libérer petit à petit un antibiotique. Ces antibiotiques vont agir sur la plaie comme un antibactérien très efficace. L'application d'un tel « pansement de soie d'araignée » pourrait accélérer la cicatrisation et régénérer la peau.
D'après le site Santelog, cette toile serait « résistante, biocompatible, biodégradable et constituée de protéines qui ne semblent pas provoquer de réaction immunitaire, inflammatoire ou allergique ».
Une découverte très encourageante pour le traitement de certaines plaies comme celles des diabétiques qui demandent un soin particulier.
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