En parlant de banc.............
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Et l'aiguille de pine dans la foune.
Parole d'Etat, mensongeS d'Etat.
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
Covid-19, mensongeS d'Etat.
Incarcération, Soumission, Extermination (devise macronnasse de la France)
So let’s walk down Pennsylvania Avenue. (c'est pour l'idée, une autre avenue ailleurs fera aussi l'affaire) Let'go Brandon!
Nous vivons maintenant dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées (© Blanche Gardin)
L'herbier ?
Ben j'ai connu ça, il y a soixante ans, quand les disciples de Baden Powel, les boy-scouts, avaient le droit d'investir et de parcourir en toute légalité, les bois, les champs, les rivières...
Nous avions même le droit de faire du feu dans la clairière où était plantée notre tente.
Les gardes forestiers nous connaissaient et nous accompagnaient parfois pour observer une biche et son faon...
Une véritable école de la nature, avec pour premier principe, le respect de celle-ci, et donc sa connaissance...
Je connaissais alors toutes les plantes des champs et des bois, toutes les constellations du ciel...
Et bien sûr, j'avais un herbier...
Lorsque je vais faire un tour en forêt, je n'y rencontre plus de gosses et d'ados...
Quelques groupes de "retraités" faisant leur promenade hebdomadaire, quelques "pédés" qui se retrouvent régulièrement au même carrefour avant de s'enfoncer (au propre et au figuré) dans le bois, et, parfois, une classe bruyante et grouillante venue y apprendre la différence entre un chêne rouvre et un brin de muguet...
Ben j'ai connu ça, il y a soixante ans, quand les disciples de Baden Powel, les boy-scouts, avaient le droit d'investir et de parcourir en toute légalité, les bois, les champs, les rivières...
Nous avions même le droit de faire du feu dans la clairière où était plantée notre tente.
Les gardes forestiers nous connaissaient et nous accompagnaient parfois pour observer une biche et son faon...
Une véritable école de la nature, avec pour premier principe, le respect de celle-ci, et donc sa connaissance...
Je connaissais alors toutes les plantes des champs et des bois, toutes les constellations du ciel...
Et bien sûr, j'avais un herbier...
Lorsque je vais faire un tour en forêt, je n'y rencontre plus de gosses et d'ados...
Quelques groupes de "retraités" faisant leur promenade hebdomadaire, quelques "pédés" qui se retrouvent régulièrement au même carrefour avant de s'enfoncer (au propre et au figuré) dans le bois, et, parfois, une classe bruyante et grouillante venue y apprendre la différence entre un chêne rouvre et un brin de muguet...
Quel joli souvenir! Je n'ai pas connu cette belle manière d'apprendre le nom des herbes et fleurs qui poussent dans l'environnement des enfants en Europe! Trop peu de matière végétale dans ma brousse natale autour de l'école... J'ai pourtant fait une tentative avec les fleurs de flamboyants:
Isabel a écrit :Quel joli souvenir! Je n'ai pas connu cette belle manière d'apprendre le nom des herbes et fleurs qui poussent dans l'environnement des enfants en Europe! Trop peu de matière végétale dans ma brousse natale autour de l'école... J'ai pourtant fait une tentative avec les fleurs de flamboyants:
Que c'est beau cette gerbe flamboyante !!!
Le rouge de la passion
@ Alpha ??
Tes bois ressemblent donc aux miens.................motos , quads , mais encore parfois...........quelques buissons qui bruissent et s'agitent
.....alors là.................sur la pointe des pieds je m'éloigne en souriant............Souvenirs..........Souvenirs................hhhhaaaaa !! les aiguilles de pin dans les fesses !!!!
(img)xxxxx(/img)
Avec notre institutrice, grâce à laquelle j'ai des souvenirs d'enfance lumineux, nous avions des "leçons de choses", c'est â dire des promenades dans nos bois de Sologne pour apprendre les arbres et les plantes.
morticia a écrit :Je pense a ma petite école.............
...........nous devions faire un herbier.
Qui a connu ça ???
Mon école élémentaire était au milieu de Paris, alors pas d'herbier...
La leçon de choses était uniquement théorique
J'ai reçu en cadeau, il y a très longtemps un petit livre:
"L e nom de fleurs" de Gaston Bonniet. Édition 1967.
Vous cueillez une fleur inconnue. Par élimination, en fonction de la couleur de la fleur, de la forme de ses feuilles, vous trouvez son nom. Des dessins, des planches couleur représentent quelques fleurs ou plantes répondant aux caractéristiques, confirmant votre cheminement de page en page.
Et je vois que ce livre est toujours édité:
http://livre.fnac.com/a121775/Gaston-Bonnier-Les-noms-des-fleurs
Gaston Bonnier est un botaniste français, né le 2 janvier 1853 à Paris et mort le 2 janvier 1922.Son père enseigne à la faculté de droit de Paris, comme son grand-père maternel. C’est cette discipline que choisit son frère aîné.
Bonnier est engagé volontaire durant la guerre franco-allemande de 1870. Il fait ses études à l’École normale de 1873 à 1876. Bonnier obtient sa licence en 1875, son agrégation en 1876, sa licence en 1877 et enfin son doctorat en 1879. Il se marie deux ans plus tard avec la fille du professeur Philippe Van Tieghem (1839-1914), du Muséum national d'histoire naturelle et membre de l’Académie des sciences. De cette union naîtra une seule fille. Elle épousera Raoul Combes (1883-1964), professeur de botanique à la faculté des sciences de Paris.
Il est préparateur à l’École normale supérieure (1876), puis chargé de conférences (1877), maître de conférences (1879) et, enfin, directeur du laboratoire de botanique (1886). Il enseigne la botanique à la faculté des sciences de Paris à partir de 1887 et jusqu’à sa mort. Il participe en 1889 à la fondation de la Revue générale de botanique, qu’il dirige jusqu’en 1922. Il fonde en 1889 un laboratoire de biologie végétale à Fontainebleau.
Il est élu membre de l'Académie des sciences en 1897. Il est membre de diverses sociétés savantes dont la Société botanique de France (qu’il préside en 1890), la Société de biologie, etc. Il est membre des académies de Vienne et de Pétrograd.
Chercheur, il a ouvert de nombreuses voies de recherche dans des domaines aussi variés que la systématique, la biogéographie, l'écologie et la physiologie végétales. Il est connu pour ses travaux concernant l'apiculture.
(Source: Wikipédia)
"L e nom de fleurs" de Gaston Bonniet. Édition 1967.
Vous cueillez une fleur inconnue. Par élimination, en fonction de la couleur de la fleur, de la forme de ses feuilles, vous trouvez son nom. Des dessins, des planches couleur représentent quelques fleurs ou plantes répondant aux caractéristiques, confirmant votre cheminement de page en page.
Et je vois que ce livre est toujours édité:
http://livre.fnac.com/a121775/Gaston-Bonnier-Les-noms-des-fleurs
Gaston Bonnier est un botaniste français, né le 2 janvier 1853 à Paris et mort le 2 janvier 1922.Son père enseigne à la faculté de droit de Paris, comme son grand-père maternel. C’est cette discipline que choisit son frère aîné.
Bonnier est engagé volontaire durant la guerre franco-allemande de 1870. Il fait ses études à l’École normale de 1873 à 1876. Bonnier obtient sa licence en 1875, son agrégation en 1876, sa licence en 1877 et enfin son doctorat en 1879. Il se marie deux ans plus tard avec la fille du professeur Philippe Van Tieghem (1839-1914), du Muséum national d'histoire naturelle et membre de l’Académie des sciences. De cette union naîtra une seule fille. Elle épousera Raoul Combes (1883-1964), professeur de botanique à la faculté des sciences de Paris.
Il est préparateur à l’École normale supérieure (1876), puis chargé de conférences (1877), maître de conférences (1879) et, enfin, directeur du laboratoire de botanique (1886). Il enseigne la botanique à la faculté des sciences de Paris à partir de 1887 et jusqu’à sa mort. Il participe en 1889 à la fondation de la Revue générale de botanique, qu’il dirige jusqu’en 1922. Il fonde en 1889 un laboratoire de biologie végétale à Fontainebleau.
Il est élu membre de l'Académie des sciences en 1897. Il est membre de diverses sociétés savantes dont la Société botanique de France (qu’il préside en 1890), la Société de biologie, etc. Il est membre des académies de Vienne et de Pétrograd.
Chercheur, il a ouvert de nombreuses voies de recherche dans des domaines aussi variés que la systématique, la biogéographie, l'écologie et la physiologie végétales. Il est connu pour ses travaux concernant l'apiculture.
(Source: Wikipédia)
Observateur a écrit :Mon école élémentaire était au milieu de Paris, alors pas d'herbier...
Tu es sans doute plus jeune que moi Obs !!
Mais il existe des espaces verts ? des parcs non ??
La leçon de choses était uniquement théorique
AH ouiiiiiiiii ! leçons d'anatomie !!!!
Mais dans la campagne aussi ça existait .pas à l'école c'est sûr...........mais ça m'aurait bien plu tiens................
(img)xxxxx(/img)
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